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Réglage rotatif de la lentille (4) Réglage rotatif de l’objectif (2) réticule orientable autocollimatrice
le miroir semi-transparent .
Vis pour Placer ou escamoter (3)
lampe
La position des éléments mobiles sera fixée
spectrale
par deux vis:
- une de blocage après avoir positionner à la
main la lunette
Collimateur mobile - une de réglage fin de la position, une fois la
non utilisé ici lunette bloquée
2) Réglages
Oter le réseau. Allumer la lampe spectrale au mercure (Hg), elle doit préchauffer .
réglage de l’oculaire :
Tirer l’extrémité de l’oculaire (1) puis le rentrer lentement
en observant le réticule jusqu’à ce que la vision du réticule soit nette.
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réglage de l’objectif de la lunette autocollimatrice :
il s’agit à présent de mettre le réticule dans le plan focal image de l’objectif.
Mettre un miroir plan contre l’objectif et agir sur la vis (2) pour voir le réticule et son image nets .
utiliser la parallaxe pour avoir le réticule et son image dans le même plan : Si on déplace son oeil de (1) vers (2) le réticule et son
image doivent rester fixes l'un par rapport à l'autre .
3) Mesure d'angle
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Intensité lumineuse
Le réseau disperse les composantes de la lumière dans
des directions données par la formule :
Pour une longueur d’onde ( couleur ) donnée l
pl
sin i - sin i 0 = = np l
a
pour un réseau de pas n éclairé
sous l’incidence i0 par rapport à sa normale.
0 1 2 ordre
p est l’ordre :
p = 0 pour la lumière directe
non dispersée
p = ± 1 pour les premières raies
dispersées
Positionner le réseau sur le plateau et le placer sur le goniomètre « aussi près que possible » de l’incidence normal
Chercher alors avec la lunette les différentes images de la fente :
- d’ordre 0 dans la direction du collimateur (fente de la couleur de la lampe sans dispersion )
- d’ordre 1 : on cherche le premier pic lumineux vert-clair ( à côté du doublet jaune ) très intense dans une direction
déviée de la lunette en sens trigonométrique. On a alors l'équivalent d'une source monochromatique.
- d’ordre 2 en cherchant le second pic lumineux vert-clair dans une direction déviée en sens trigonométrique;
- revenir à l’ordre 0 (direction du collimateur) ;
- d’ordre -1 en cherchant le premier pic lumineux vert-clair dans une direction déviée en sens inverse
- d’ordre -2 en cherchant le second pic lumineux vert-clair d’ordre -3... chercher l’ordre minimal ;
Pour exploiter la relation sin i - sin i 0 = npl , il faut pouvoir mesurer précisément i0 . Or il n’y a pas de procédé pour
pointe la normale. On utilisera donc par la suite « le minimum de déviation » pour faire des mesures.
La déviation D est l’angle entre le pic lumineux étudié et la direction incidente de la fente de lumière.
soit D = i - i0.
Cette déviation dépend de l’angle d’incidence i0 . On peut montrer qu’elle passe par un minimum Dm.
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On a alors. 2 sin( Dm ) = npl
2
Þ En considérant D et i fonctions de io , montrer cette formule à partir de D = i - io et la formule des réseaux
Détermination de n
On détermine les minima de déviation dans les deux situations symétriques de la raie vert-clair ( à côté du doublet
jaune ) par rapport à la direction incidente (ordre 1 et -1).
Pour cette raie verte, repérer les angles q1m et q-1m.
Þ Déterminer l’angle de déviation Dm = (q1m - q-1m)/2 et estimer l’incertitude de mesure sur Dm.
Þ En déduire une évaluation de n et son incertitude
annexe : longueurs d'onde dans le vide pour les raies principales du mercure
Violet 404,7 nm
Bleu 435,8 nm
Vert-clair 546,1 nm
Jaune 577,0 nm ( premier du doublet )
Couleur nm Intensité
Lampe Cd Rouge 643,8 Intense
Vert 508,6 ’’
Bleu 480,0 ’’
Bleu-violet 467,8 ’’
Lampe Hg Rouge 690,7 Pâle
’’ 623,4 Pâle
’’ 612,3 Très pâle
’’ 607,2 Très pâle
Jaune 579,1 Intense
Jaune 577,0 Intense
Vert -jaune 546,1 Très intense
Vert 496,0 Très pâle
Vert-bleu 491,6 Pâle
Bleu-violet 435,8 Intense
Violet 407,8 Très pâle
Violet 404,7 Intense
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TP 2223 PCSI
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TP 2223 PCSI
II.1 Expérience
On réalise la chronophotographie de la chute d’une
bille sphérique en acier dans l’huile. Pour ce faire,
on filme la bille dans une éprouvette remplie
d’huile, avec un caméscope numérique au rythme
de 50 images par seconde.
Grâce à un traitement adéquat des images, on ob-
tient la chronophotographie de la figure 1.
On repère ensuite les positions successives M0 , M1 ,
..., du centre d’inertie M de la bille.
M0 correspond à sa position initiale, la bille étant
lâchée, à l’instant t0 pris comme origine des dates,
sans vitesse initiale.
Ce point M0 étant pris comme origine des espaces,
selon un axe y descendant, et des temps (y0 = 0 et
t0 = 0), on repère les di↵érentes hauteurs réelles
de chute de la bille dans l’huile, notées y, en mm,
fig 1 : chronophotographie de la chute aux dates t correspondantes, en ms.
o Q2. Dans la partie Main, écrire les instructions nécessaires pour générer les deux listes, Tps
et Y, respectivement des dates t et des positions y , sous forme de listes de float sans la ligne
d’en-tête ’t(ms)’ ou ’y(mm)’.
Vérifier, par des instructions print, que les listes sont bien celles voulues et qu’elles contiennent
chacune 22 éléments.
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TP 2223 PCSI
o Q5. Á l’aide de l’instruction plt.plot, compléter la partie Tracés des modèles et expérience
du Main pour tracer le graphe des points ’+’ expérimentaux de la vitesse en fonction du temps.
Exécuter le programme et vérifier que l’allure de ce tracé est celle attendue.
II.4 Modélisations
On e↵ectue une étude dynamique du point M de masse constante, dans le référentiel galiléen
lié à l’éprouvette.
o Q6. Montrer (sur feuille), pour chacun des deux modèles de force de frottement fluide vus
au chapitre 2 de mécanique, que la vitesse linéique v(t) de M vérifie une équation di↵érentielle
de la forme :
dv
— modèle du frottement visqueux (modèle de Stockes) : = h·v+g
dt
dv
— modèle de la trainée (modèle quadratique) : = A · v2 + g
dt
où g est le champ de pesanteur, h et A des constantes dépendant des caractéristiques du fluide
et de la bille.
o Q7. Dans la partie Main, écrire un script évaluant h exp et A exp, les valeurs expérimentales
de h et A à partir de la valeur de la vitesse finale Vit[-1]
. et de g.
Dans la partie Fonctions, les fonctions visqueux et def visqueux(v,h):
trainee, données ci-contre, permettent de calculer return -h∗v+g
dv def trainee(v,A):
la valeur de pour une valeur de v selon chaque
dt return -A∗v∗∗2+g
modèle
o Q8. Dans la partie Fonctions, compléter la fonction euler (cf le programme Euler du
TP2 Lr de physique) pour qu’elle retourne deux listes, T, listes des dates, et V, listes des
vitesses obtenues par la méthode de résolution numérique d’Euler d’une équation di↵érentielle
de la forme
dx
= f (x, coef ).
dt
On notera que :
— l’argument f correspond à une fonction f (x, coef ) qui sera idenfiée à visqueux(v,h) ou
trainee(v,A) ;
— l’argument tf correspond à la durée totale de l’intervalle de calcul ;
— l’argument ndt correspond au nombre d’itérations souhaitées ;
— l’argument coef correspond au coefficient nécessaire à la fonction f (x, coef ).
o Q9. Dans la partie Main, écrire les instructions qui renvoient les listes des dates et vitesses
selon chaque modèle et qui tracent ces modèles sur le graphe des points expérimentaux.
Conclure quant à l’adéquation entre ces modèles et les données expérimentales.
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TP 2223 PCSI
Le principe devenu théorème (démontré au XVIème siècle) figure dans un des ouvrages d’Ar-
chimède, ⌧ Le Traité des corps flottants : ⌧ Tout corps plongé dans un fluide reçoit de la
part de ce fluide une poussée verticale (force), vers le haut dont l’intensité est égale au poids
du volume de fluide déplacé par le corps
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TP 2223 PCSI
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TP 2223 PCSI
Pour une barre de longueur 2L et de masse m en rotation (ou oscillations) Ú autour d’un axe passant par son milieu
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L mL2
(centre d’inertie G), le moment d’inertie est JG = m et donc To = 2fi
3 3C
— Utiliser la notice du pendule de torsion et du logiciel PENDULOO associé : voir, entre-autres, pages 17/18/19
de la notice.
— Connecter la face avant du boitier d’acquisition au capteur du pendule ( situé dans l’axe de rotation) par un
cable et la face arrière du boitier d’acquisition à l’ordinateur par un cable. La led rouge du boitier clignote.
— Ouvrir PENDULOO , si le message d’erreur penduloo not found s’affiche, cliquer sur réessayer jusqu’à ouverture
effective du logiciel.
— Régler total time à 4 s et valider par enter du clavier,
— Lâcher le pendule en choisissant une valeur approximative de l’angle initial ◊o souhaité selon le rapporteur.
cliquer juste après sur l’icône camera pour lancer l’acquisition.
— On peut vérifier que l’on peut négliger l’effet des frottements sur la période en vérifiant que le nombre d’oscil-
lations ”visibles à l’oeil” est bien superieur à 5
— Utiliser le zoum si nécessaire pour mesurer à l’aide du réticule la période To
— Mesurer 2L et peser la barre, en déduire la valeur de C.
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TP 2223 PCSI
Pour la suite,
— Peser l’aimant
— Accrocher l’oscillateur (aimant) au ressort de raideur k, il évolue à l’intérieur de 3 bobines comme sur le schéma
en page 2
— Effectuer sur plaquette "mille trous" le montage à ALI (amplificateur et filtrage passe-bas) (utiliser la fiche
de montage du TP12)
La bobine B3 sera connectée à l’entrée du montage à ALI. On montre que la tension de sortie us (t) est une loi affine
de la vitesse v(t) de l’aimant.
Le dispositif permet donc d’avoir accès à la vitesse de l’oscillateur
— Connecter us (t) à Campus et ouvrir Latis.
— Déplacer l’aimant de 2 ou 3 cm , attendre quelques oscillations et acquérir us (t) sur quelques périodes.
— Vérifier visuellement que l’armortissement est faible. Quelle est la valeur de la fréquence propre To de l’oscillateur
Ú
1 k
(en confondant la speudopériode à To ) ? Comparer à la valeur obtenue par le modèle harmonique fo =
2fi m
— Déplacer à nouveau l’aimant de 2 ou 3 cm , attendre quelques oscillations et acquérir us plusieurs fois si
nécessaire en adaptant la durée d’acquisition pour visualiser la quasi-totalité des oscillations.
— Ramener l’oscillation autour de l’origine en utilisant v = us ≠ moy(us) , retirer us de la fenêtre.
— À l’aide du réticule, repérer les coordonnées de deux points de v placés environ après 10 et 25 oscillations, noter
les valeurs de v1max, t1 et v2max , t2 dans la feuille de calcul.
— Dans la feuille de calcul :
a = (LN (v1max) ≠ LN (v2max))/(t2 ≠ t1)
env1 = v1max ú EXP (≠a ú (T emps ≠ t1))
env2 = ≠env1
— placer env1 et env2 sur v . méthode déjà utilisée pour le circuit RLC au TP5
— la valeur du coefficient a est liée au coefficient de qualité Q de l’oscillateur . Relier a , Êo et Q. Évaluer Q et
comparer au nombre d’oscillations visibles à 5%.
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