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Elsa Cândido
Université Rovuma
Délégation de Nampula
2021
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Elsa Cândido
Supervision: MA.
Université Rovuma
Nampula
2021
2
Sommaire
INTRODUCTION……………………………………………………………………………..4
1. Thème……………………………………………………………………………………...5
2. Justificative………………………………………………………………………………...5
3. Problème…………………………………………………………………………………...6
4. Hypothèse………………………………………………………………………………….7
5. Objectifs…………………………………………………………………………………...8
6. CADRE THEORIQUE……………………………………………………………………9
6.1 Difficultés…………………………………………………………………………………9
6.1.1 L’interaction…………………………………………………………………………….9
7.3.1. Univers………………………………………………………………………………...20
7.3.2. Echantillon…………………………………………………………………………….21
8. Chronogramme…………………………………………………………………….….24
9. Budget…………………………………………………………………………….......25
Bibliographie……………………………………………………………………….….……26
Sitographie………………………………………………………………………….……....28
4
INTRODUCTION
L’interaction est un concept très important dans quelque matière ou ensemble de matières, et
le FLE n’est pas une exception. C’est donc dans ce sujet qui est dérivée la réflexion sur
comment développer l’activité d’enseignement-apprentissage dans un contexte d’interaction
verticale en terme didactique et scientifique de façon que les connaissances soient transmises
et assimilées chez les apprenants de manière plus significative.
L’interaction est considérablement nécessaire dans les classes de langue qu’on arrive à la
concevoir comme étant le fil conducteur de l’enseignement-apprentissage de langues en
général et du FLE en particulière.
Cependant, est dans cet ordre d’idées que le présent Project de recherche intitulée «les
difficultés d’interaction verticale en classe du FLE» émerge, tenant comme son objectif
primordial l’analyse des facteurs de difficultés de l’interaction verticale en classe du FLE.
En termes de structure, ce travail est ordinairement organisé tel comme régi la structure d’un
Project à l’université pédagogique, avec les suivants items : thème, problèmes, hypothèses,
justificative, objectifs, référentiel théorique, méthodologie, chronogramme et budget.
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Pour la réalisation de ce travail, l’auteur s’est servi des plusieurs éléments, fonts qu’abordent
profondément le sujet, consulte aux enseignants, âpres avoir bien sur observé le problème de
la recherche.
Pour assurer la crédibilité et fidélité de l’information présentée dans ce travail, toutes les
sources utilisées seront présentées dans une liste bibliographique.
1. Thème
2. Justificative
Le choix de notre sujet de recherche est relevé de deux raisons à savoir: la première raison est
d’ordre théorique et la deuxième raison est entièrement d’ordre pratique. Ainsi, concernant la
raison théorique de notre intérêt en développer cet étudie sur l’interaction verticale en classe
du FLE est justifié par le fait que la classe de langue est le lieu de privilégie des interactions
entre l’enseignant et les élèves. Donc, une interaction qui se déroule sous la forme d’échanges
langagiers entre d’une part, l’enseignant et les élèves, et d’autres parts les élèves entre eux
(Cicurel, 2002:155) est très importante. En plus, l’interaction permet à l’enseignant de
vérifier et d’aider à l’apprenant en difficultés.
D’ailleurs, par interaction, on entend à peu près l’influence réciproque que les partenaires
exercent sur leurs actions respectives lorsqu’ils sont en présence physique immédiate les uns
des autres; par une interaction, on entend l’ensemble de l’interaction qui se produit en une
occasion quelconque quand les membres d’un ensemble donné se trouvent en présence
continue les uns des autres ; le terme « rencontre » pouvant aussi convenir » (Goffman,
1973 : 23).
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Pourtant, la deuxième raison pour la mise en œuvre de cette étudie, est relevée de
l’expérience vécu au stage pédagogique en tant que professeur stagiaire à l’école secondaire
de Natikire en 2016, dont l’auteur a été délégué une salle de la 12eme classe pour faire cours.
Ainsi, nous croyons profondément que cette recherche sera pertinente dans la mesure où la
même proposera des activités stratégiques qui pueront aider aux futurs enseignants à dépasser
les possibles conflits relativement à la stimulation d’interaction avec ses apprenants soient-ils
débutants ou dans la phase terminale comme est le cas de 12eme classe à l’école de Natikire.
3. Problème
Pour BOOTH et all (2000), cité par DOXSEY et DE RIZ (2003, Pag. 21) :
A notre perception avec cette idée présenté par Doxsey et de Riz, les problèmes qu’on
constate dans notre quotidienne peuvent devenir des problèmes de recherche. Ainsi, les
situations qu’on a vécu dans notre stage pédagogique relative aux difficultés des apprenants
d’entrer dans une interaction avec leur enseignant du FLE, a constitué un problème de
recherche.
Comme nous avons fait référence antérieurement, l’interaction dans la classe de langue est
une des conditions signe quoi non pour la pratique de la langue cible (donc la langue
enseignée). En effet, le problème de notre recherche apparait au moment où on a compris que
le CECR (Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues) définit les interactions
dans le cadre des apprentissages en incluant la notion de co-construction :
«Dans les activités interactives, l’utilisateur de la langue joue
alternativement le rôle du locuteur et de l’auditeur ou destinataire
avec un ou plusieurs interlocuteurs afin de construire conjointement
un discours conversationnel dont ils négocient le sens suivant un
principe de coopération » (Conseil de l’Europe, 2005 : 60).
Néanmoins, ce qui nous avons constaté en classe avec les cours observés de l’enseignant
tuteur était en complète contradiction avec ce principe. Subséquemment, une fois observé que
l’enseignant avait des difficultés de mettre ses apprenants à interagir avec lui en classe, on a
essayé de centrer notre attention sur ce point, et la situation était en continue démarche.
Ainsi, dans la tentative de comprendre les raisons par lesquelles ces apprenants ne
participaient pas en classe du FLE, on s’est posé la question suivante :
Quels sont les facteurs qu’incitent les difficultés d’interaction verticale en classe du FLE?
4. Hypothèse
Pour BELLO, Bello l’hypothèse est «Le synonyme de supposition. Dans ce sens, hypothèse
est l’affirmation catégorique (une supposition), qu’essaye de répondre au problème désigné
par le thème choisi pour la recherche. Est une pré-solution pour le problème désigné.»
(Bello 2005 :20).
Cependant, en s’appuyant sur ces idées et principes nous avons essayé de donner des
réponses à la question de notre recherche :
5. Objectifs
Les objectifs dans une recherche déterminent ce qu’on prétend avec la réalisation de la
recherche. De plus, MORETTI (2008 :25) en réfléchissant sur ce sujet, il remarque que «La
définition des objectifs détermine ce que le chercheur veut atteindre avec la réalisation du
travail de recherche. L’objectif est le synonyme de but, ou finalité. Généralement, les
objectives sont divisés en objectifs généraux et objectifs spécifiques.»
Ainsi, nous comprenons que dans une recherche scientifique les objectifs sont divisé en deux
parties : objectif général et spécifiques.Cependant, l’objectif général de cette recherche est:
Analyser les facteurs par lesquels les apprenants de l’école secondaire de Natikire ont des
difficultés d’interagir avec leur enseignant dans la classe du FLE.
5.1 Objectifsspécifiques :
6.1 Difficultés
Les difficultés sont vue comme, «Ce qui est difficile dans quelque chose ; tout élément qui
empêche, gène le sujet dans une action quelconque et exige un effort.» (VALERY, 1894 :98).
Alors que pour BERNARD(1878, p.159), la difficulté est désigné comme ce qui possède le
«caractère de ce qui est ressenti comme difficile ou est difficile à faire soit eu égard aux
capacités du sujet, soit à cause de la nature de l’objet, soit du fait des circonstances.».
Cependant, à notre compréhension, les difficultés ce sont des aspects qui s’exposent gênants
dans la réalisation d’une telle activité. De ce fait, on considère que les entravées que
l’enseignant a eu par rapport à la mise en place de l’interaction en classe de langue surtout du
FLE dont les apprenants sont caractérisés comme des finalistes constituent dans sa tous des
difficultés.
6.1.1 L’interaction
Dans un contexte scolaire d’apprentissage du français langue étrangère (par des allophones),
les interactions constituent l’espace des apprentissages, le lieu de construction des
connaissances nouvelles de langue cible.
Les interactions en didactique des langues sont définies par Francine CICUREL (2011:10-11)
comme
« une forme dialoguée, une suite d’échanges verbaux constituée par
une alternance de tours de parole des co-actants. La particularité de ce
dialogue – parce qu’il s’effectue dans une situation explicitement
didactique – est qu’il met en contact des participants dont le statut
[…] est asymétrique. L’un guide les échanges, les autres participent
au polylogue et influencent en partie sa dynamique.»
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De plus, la position de Circuel n’est pas loin de celle de GAJO et MONDADA (1998), pour
lui,
des interlocuteurs, cependant, les interactions sociales doivent être regardée comme étant une
des moyenne pour la mise en place de la pratique intensive de la langue.
De plus, dans les interactions sociales, ce qui est fréquent ce le désir de développement du
notre vocabulaire due aux besoins linguistique de l’interlocuteur face a la langue cible, ainsi,
les apprenants qui acquièrent la langue dans un milieu scolaire et la pratiquent au milieu
sociale ont plus des avantages par rapports a ceux qui la pratiquent exclusivement en classe.
6.1.2.2. L’interaction scolaire
L’essential à retenir dans ce statut est que dans le contexte scolaire, constitue l’une des
devoirs les plus importantes des enseignants dans le processus
d’enseignement/apprentissageest de réaliser des interactions avec leurs apprenants en classe.
Elles sont indispensables car «l’interactivité est le moteur de l'apprentissage en classe du
FLE, à partir de supports variés par le déclenchement de prise de parole.» (Op.cit. Pag : 64).
Nonobstant, la mise en place des interactions en classe du FLE est une des activités
effectivement contournable si les apprenants ne parlent pas la langue cible comme est cas
d’apprenants de notre pays, cependant, les enseignants sont appelés à tout efforts mobiliser de
façon à mettre ces apprenant en interactions avec lui et entre eux-mêmes.
Selon (WOLF : 2003), aussi, il est indispensable que ces interactions soient
« […] organisées, gérées et évoluées par l’enseignant. Bien
que son but de transmettre un savoir soit le même,
l’enseignant se doit surtout de laisser ses apprenants faire en
donnant des tâches à accomplir aux étudiants, il sollicite leurs
capacités de déduction et de découverte et les invite à
construire leur propre savoir.»
À partir de cet envisagement, nous pouvons comprendre que l’interaction dans son contexte
scolaire ou soit dans le processus d’enseignement-apprentissage d’une langue est un de
facteurs pertinent pour le triomphe de ce qui constitue le principal objectif de ce processus
qui est donc, l’acquisition et développement de la communication chez les apprenants. A part
le statut qui l’interaction possède chez quelques auteurs, elle est divisée en deux petites
parties.
Avant même d’entrer dans les détails sur l’interaction dans les classes de langue, étant FLE
en particulier, il convient de voir la conception de certains auteurs par rapport à ce qui est une
classe de langue. Ainsi, pour le didacticien CUQ, la classe est le «lieu privilégié des
interactions entre professeur et élèves et entre élèves, la classe créée artificiellement des
conditions d’appropriation de savoir et de savoir-faire. Elle est le lieu par excellence de
toutes les interventions pédagogiques et l’espace de la Co-construction de savoir» CUQ
(2003, pag.42)
Egalement, Cicurel soutient que «la classe de langue est le lieu privilégié des interactions
entre l’enseignant et les élèves. Une interaction qui se déroule sous la forme d’échanges
langagiers entre d’une part, l’enseignant et les élèves (asymétrie), et d’autre part les élèves
entre eux.» (Relative symétrie, CICUREL(2002 : pag.155)
Ainsi, l’explication de Legendre rejoint la position de (Circuel, 2002) et celle de (Cuq, 2003)
en disant que la «classe estl’ensemble d’élèves d’un établissement réunis à partir d’une ou de
plusieurs caractéristiques communes» (Legendre, 1993). On comprend ainsi, que c’est dans
la classe où les interactions doivent être privilégiées de façon à mener chez l’apprenant la
capacité d’utiliser la langue appris.
Selon (Circuel, 2002)1 dans une classe de langue, pour ce cas du FLE, l’interaction tout en
accord avec leur sens didactique, elle est divisée en quatre catégories à savoir :
Pour cet auteur, l’interaction symétrie est «l’interaction qui consiste en présence de deux
interlocuteurs dont parmi eux l’un est compétent et l’autre joue le rôle d’apprenant.»
(Op.cit., Pag 154). A la suite de Circuel rappelle que : «en classe de langue, il y a
nécessairement une asymétrie c’est-à-dire qu’un locuteur est compétent face à un ou des
locuteurs qui sont là pour apprendre.» (CICUREL, 1994 :93).
Toutefois, cet auteur préconise que l’interaction asymétrie est celle dont les «interlocuteurs
se situent dans un même niveau par rapport aux compétences d’utilisation de la langue.»
(Op.cit. Pag.108). Cependant, il va encore loin en postulant que les interactions en classe de
langue sont «spécifiques par leur caractère institutionnalisé mais aussi par leur caractère
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Ainsi, il est évident qu’il y a toujours une « […] asymétrie de compétences linguistiques et
communicationnelles […] » (MONDADA, 1999 : 21) entre l’enseignant et l’élève.
Incontestablement, selon ce qu’on à lu dans l’article intitulé : ‘’Stratégies d’aide à la
production orale en classe de FLE’’ de RabéaBenamar, «ces définitions impliquent une
inégalité qui, au niveau des compétences, suppose une certaine fragilité du côté de
l’apprenant.» BENAMAR(1999 :67)
langue étrangère), la relation la plus fréquent et important doit être la verticale qui selon
laquelle l’enseignant interagie avec leurs apprenants.
A l’égard de ces apports, l’OCDE2 (2008 :20) préconise que «l’efficacité de l’enseignement,
de l’apprentissage et de l’évaluation repose sur la qualité des interactions entre les
enseignants et les apprenants.» cet opinons est renforcé par des mots suivants : «la qualité de
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l’apprentissage ne dépend pas uniquement des ressources apportées par l’enseignant, mais
des interactions entre élèves, et entre les élèves et le professeur». (Op.cit. pag.3).
Nous croyons particulièrement que dans l’interaction, les individus développent leurs
capacités linguistique par le fait que «en interaction avec d’autres, il ne mobilise pas
uniquement ses qualités d’expression orale. Il doit aussi savoir écouter l’autre simultanément
et réagir à son message» (DERVI et SALMI, 2007 :43).
_________________
2
OCDE : Conférence internationale OCDE/CERI « Apprendre au XXIe siècle : recherche, innovation et
politiques ». 2008.
En expliquant sur les apports de l’interaction verticale dans la classe du FLE, Harmer et
Rossner (1992) ont précisés que ces «interactions sont une partie crucial de création une
sante et un climat de classe coopérative. De ce fait, c’est le rôle de l’enseignant à guider,
conseiller et à informer les apprenants.» (HARMER et ROSSNER, 1992 : 9).
Pour terminer, RICHARDS (2008 :23) fait remarque que «les habilites cernée dans
l’interaction concernent la capacité des apprenants à :
Initier une conversation ;
Choisir des topiques ;
Faire des brefs discours ;
Raconter des incidents et expériences personnels ;
Réagir aux autres ;
Utiliser une style approprie de discours.»
6.2.7. Les Conditions pour la mise en place d’interaction verticale en classe du FLE
Ces interactions en classe du FLE n’arrivent pas d’une forme irrégulière, sans d’autant obéir
des principes ou des conditions ainsi, il est important qu’on nous rappelle que la mise en
place de l’interaction requiert que soient mobilisée quelques paramètres que la
comprennent comme: «l’aide extérieur, le temps, le(s) but(s), la prévisibilité, les conditions
matérielles et les participants.» (CECR, 2001: 123).
TAGLIANTE (2006 :93) dans son ouvrage LA CLASSE DE LANGUE postule et encourage
la mise en œuvre des jeux de rôle comme une stratégie pour la mobilisation spontanée de
l’interaction dans la classe de langue en disant que
A son tour, MUCCHIELLI (1983) en expliquant et exposant sur les conditions par quelles les
activités interactives sont réalisées, il nous rappelle que,
Il s’agissant plus spécifiquement de jeux de rôle, (op.cit. pag.79) est estimé que le jeu de rôle
est «une activité de production d’énonces, dans une situation particulier, définie à l’ avance
et qui comporte un élément problématique. Cette technique est utilisée dans les classes
débutants et moins avances pour faciliter la production d’énonces à travers de rôles qui
seront joués par les apprenants.»
Pour PINKER (1984 :14) les supports pédagogiques «sont les matériaux que directe ou
indirectement sont utilisés pour l’enseignement de certain contenu.» À son tour, Chapala
(2006 :54) estime que les «supports pédagogiques ce sont des matériaux à partir duquel
l’enseignant peut concevoir, élaborer et organiser son cours.»
Ainsi, les documents authentiques sont considérés dans l’axe communicationnel comme les
supports basent dans le processus d’enseignement-apprentissage.
A partir de ces éclaircissements et d’autre qui suivent, nous pouvons comprendre que la mise
en place des documents authentiques ont été introduit selonCOURTILLON, 2005: 387) à la
suite de travaux de Jean Pierre datent vers les décades 70.d’après celui-ci
Pour TAGLIANTE (1994 :37) est considéré document authentiques à tous les supports
(audio, visuel) utilisée pour l’enseignement même «qui n’a pas été conçue à des fins
pédagogiques.»
Pourtant, cette vision est renforcée par GALISSON et LACOSTE (1976) en disant qu’un
document authentique est «document sonore ou écrit qui n’est pas été conçue expressément
pour l’utilisation en classe ou pour l’étudie de la langue mais à travers leur adaptation par
l’enseignant, il peut être utilisée pour illustrer, traiter un contenu linguistique ou
socioculturel.»
A l’égard de cette définition, d’après Robert (2002 : p.14) «Le document authentique est un
document écrit, audio ou dans des activités qu’il va proposer en classe.» ainsi, pour la
sélection de ce supports il faut obéir certain critère selon BERARD (1991) et
BARRIERE(2003) ces critères sont :
6.2.8.5. Lamotivation
Pour NERICE3 (1993:228) «la méthodologie est un chemin pour arriver à une fin, cela veut
dire, elle représente la façon de conduire la pensée, des actes pour atteindre un objectif.»
La désignation de méthodologie comme chemins utilisé pour arriver à un tel but, est ajoutée
par GIL (1999:26) que présente que:
Comme est de notre connaissance, la recherche bibliographique est estimée comme méthode
principale dans une recherche scientifique. Regardons l’envisagement de ces deux auteurs sur
la recherche bibliographique:
Conçue et considérée comme la principale méthode dans une recherche scientifique, elle
permet d’expliquer des événements en s’appuyant aux références bibliographique 5,
(MARCONI et LAKATOS, 2003:41).
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Ainsi, nous justifions le choix de cette méthodologie par le fait qu’elle constitue le fil
conducteur pour l’obtention des informations sur notre sujet à partir des autres méthodes
proposés par les autres auteurs.
Cependant, avec cette méthodologie nous souhaitons avoir des informations en temps réel
pour la réalisation de notre étudie. Et on espère encore que notre bibliothèque (de
L’université pédagogique-Nampula) soit munie de tout matériel didactique nécessaire et
relevant pour notre recherche.
__________________
3
Manuel trouve en portugais cependant tous les informations a partir de manuel ont été pour nous
traduit :NERICI, Imídeo Giuseppe. Introdução à didáctica geral. 16a edição. Atlas editor. São Paulo, 1993.
4
LAKATOS, Eva Maria e MARCON, Maria de Andrade. Metodologia Cientifica. 2ª Edição
5
Informations pournoustraduitesetrelevées d’ouvrage de GIL, António Carlos, Métodos, Técnicas e Pesquisa
Social, 5a e/d, São Paulo, Atlas, 1999.
7.2. Type de recherche
La définition du type de recherche sera construite tout en tenant compte trois importants
aspects à savoir:
Du point de vue des objectifs, cette recherche sera Explicative car elle va essayer de miroiter
sous forme d’analyse tout le processus d’enseignement-apprentissage avec l’accent mis sur
les difficultés d’interaction (verticale) observées en classe de la 12 eme classe à l’école
secondaire de Natikire, en 2016.
Relativement à l’approche, cette recherche sera Qualitative car elle prétend décrire les
facteurs qu’empêchent aux apprenants d’interagir avec leur enseignant et vice-versa. Mais,
cela ne signifie pas que cette recherche n’aura pas besoin d’un étudie ou des analyses
quantitative.
A ce que concerne la nature de cette recherche, elle sera une recherche appliquée du fait
qu’elle (GIL, 2007) cherchera à créer des connaissances pour l’application pratique, destinée
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à la solution des problème spécifiques, néanmoins, elle rejoint de vérités et des intérêts
locaux.
7.3. Populationdelarecherche
7.3.1. Univers
Pour MARCONI & LAKATOS (1999:109), «l´univers ou population est l´ensemble d´êtres
humaines ou inanimés qu´au moins ont des caractéristique communs». En accord avec ces
auteurs et par notre compréhension, l’univers est le nombre ou soit l’unité totale de personnes
sélectionnées pour la recherche. Ainsi, nous définissons comme l’univers de notre recherche
tous les apprenants de la 12eme classe et tous les enseignants du FLE à l’école secondaire de
Natikire en 2016.
7.3.2. Echantillon
Comme est notable chez MARCONI & LAKATOS (1999:43), l´échantillon est la«partie ou
alors la portion convenablement sélectionnée dans un univers ou population». Ainsi,
l’échantillon de cette recherche sera constitué de trente (30) apprenants de la 12 eme classe dont
on considérera la question du genre par le fait que cela pourra équilibrer les aspects
émotionnels de nos enquêtées. Ils constitueront encore intégrants de l’échantillon de cette
recherche quatre (4) enseignants du FLE de l’école secondaire de Natikire à Nampula dans
l’année 2016.
On trouve nécessaire d’annoncer que nous avons pris cet échantillon tout en tenant compte
que l’échantillon sélectionnée pour une recherche représente une partie significative de la
population ou univers recherchée […] généralement acceptée comme représentative (GIL,
2007).
Genre
Apprenants 30 15 15
Enseignants 4 3 1
22
Total 34 18 16
Dans la réalisation d’une recherche scientifique, le recueil de donnés est une de activités
principal pour la compilation de la recherche c’est pour cette raison que QUIVY et
CAMPENHOUDT (1998:164) soutiennent que,
Ainsi, pour le recueil de donnés de notre recherche, on s’appuiera sur deux (2) techniques que
nous trouvons importants pour la colletions de donnés nécessaire pour notre recherche, donc
on prendra:
Dans cet ensemble d’idées ce qui nous pouvons dire ce qui, pour le recueil d’autres donnés
d’ordre visuelles et situationnel du terrain, l’auteur fera une observation directe des cours et
de là, arriver à la conclusion en accord avec ce qu’on observera.
L’enquête par questionnaire est une technique de recueil de donnés que consiste à
l’élaboration des questions relative à la recherche. Ces questionnaire est adressé aux groupe
cible de la recherche.
Relativement au questionnaire, RICHARDSON (1989 :160) décrit cette technique par des
mots suivants :«le questionnaire est une technique de recherche composée par le nombre de
questions à l’écrit ayant l’objectif de connaitre des opinions, des sentiments, des croyances et
d’autres situations de la vie.»
A l’égard de cette conception, BELLENGER et PIGALLET dans leurs travaux, ils désignent
l’enquête par questionnaire comme tout
Ainsi, nous comprenons que ces auteurs sont tous en accord concernant l’importance du
questionnaire dans une recherche comme techniques de recueil de donnés vu que dans cette
méthode les enquêtées ce sent libre de s’exprimer.
Pourtant, pour cette recherche on élaborera deux questionnaires qui seront adressés à
l’échantillon déjà déterminé. On réfère encore que ces questionnaires seront donc ajustés aux
niveaux de chaque groupe cerné, c’est-à-dire aux enseignants et aux apprenants.
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6
Citation libre : economiza tempo e viagens e obtêm grande número de dados; atingi maior número de pessoas;
economiza pessoal tanto em treinamento quanto em trabalho de campo; dá mais tempo para responder e em
horas favoráveis; obtém respostas que materialmente seriam inacessíveis. GERHARDT, Tatiana Engelet
SILVEIRA, Denise Tolfo. Métodos de pesquisa. Porto Alegre: Editora da UFRGS, 2009.
8. Chronogramme
Ce chronogramme a été conçue tout en accord avec les activités basiques qui seront réalisées
du début jusqu'à la fin de notre Project. Ce plan a été bâti sous principe que : «pour une
bonne réalisation de certaine activité, il faut tout d’abord un bon plan ou planification.»
cependant, pour nous, il est très important qu’on sache quel point a suivre lors d’avoir
terminé une telle étape.
Chronogramme
Mois : 2016
Elaboration du Project x
Révision du Project X
Recueils de donnée X
Compilation de donnés X
Elaboration du texte X
Soutenance du travail X
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7
Notre tradution: «Este consiste na distribuição das etapas de realização da pesquisa no tempo, normalmente
expresso em meses necessários após a redacção do projecto; ele assume com frequência a forma de um quadro
ou tabela, onde constam as actividades que serão desempenhadas e os meses em que as actividades serão
levadas a cabo, podendo-se marcar com um X cada um dos meses pertinentes a cada actividade.» GERHARDT,
Tatiana Engelet SILVEIRA, Denise Tolfo. Métodos de pesquisa. Porto Alegre: Editora da UFRGS, (2009).
9. Budget
Pour GERHARDT et SILVEIRA (2009:87) «le budget consiste dans l’estimative des sources
économiques utilisés pour la réalisation de la recherche, tout en tenant compte les couts
référents à chaque étape, selon les items de dépense (couts de la source humain, couts de
matériel, et d’autres)8.»
Cependant, l’objectif d’avoir conçue ce budget est de montrer et informer à notre financeur
sur les outils qu’on aura besoin pour la réalisation de notre recherche. D’ailleurs, cela nous
aide à meilleur contrôler et de certaine façon réduire les sources d’ordre économique qu’on
aura besoin d’utiliser pendant l’effectuation de notre recherche.
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No Cout par
d’ordre Object
Objet Quantité par unité Subtotal
Total : 9.800.00mt
____________________
8
Tradution libre: «Consiste na estimativa dos gastos com a pesquisa, considerando os custos referentes a cada
etapa, segundo itens de despesa (custos de pessoal, custos de material, e outros). (op.cit. pag:87).
Bibliographie
CUQ, Jean Pierre & GRUCA, Isabelle. Cours de didactique de français langue étrangère et
second, Paris, Pug, (2003).
GIL, António Carlos, Métodos, Técnicas e Pesquisa Social, 5a e/d, São Paulo, Atlas, 1999.
GIL, António Carlos. Como elaborar projecto de pesquisa, 4a ed. São Paulo, Atlas 2007.
HERMER, Jeremy etROSSNER, Richard. MORE THAN WORDS: Vocabulary for upper
intermediate to advanced students. Book 2. CAMBRIDGE,(1992.)
LEGENDRE R., Dictionnaire actuel de l'éducation, 2ème édition, Paris, ESKA, 1993.
28
MANGENOT, F.L’intégration des TIC dans une perspective systémique. DansLes Langues
Modernes, 2000.
MUCCHIELLI, Alex. Les jeux de rôle, Presses Universitaires de France, collection « Que
sais-je?», Paris, 1983.
NERICI, Imídeo Giuseppe. Introdução à didáctica geral. 16a edição. Atlas editor. São Paulo,
1993.
PUREN, C. L’observation de classe. Dans ELA : revue de didactique des langues cultures.
Paris, France : Didier Érudition. (1999).
RICHARDS, Jack C. Teaching Listening and Speaking From Theory to Practice. Cambridge
University Press,(2008.)
RICHARDSON, Walter. Make your scientific work step by step. Brushedition. England,
(1989.)
29
Sitographie :
www.acifr.org/ressoletudiant.aujourd’hui.fr.