Vous êtes sur la page 1sur 2

LLP : Le Lâcher Prise

~Intro~

~~~

Tu es le Parie et le Paris; Mes mains perdues t'atournent et te tournes autour


comme le périph;
L'humain perdu qui tombe encore tout en péril.
Mes Mains perdues qui à taton ton corps lui l'entoure, garde en souvenir une
chaleur qui elle périt.

~~~~~~~~~~~~~~~

La lune était tout allumée, comme la cigarette que tu voulais;


Tout aussi ronde que le volant;
Tellement de pensées dans la volée;
Tu me regardais comme un voleur.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

"Mon coeur a connu le violent alors voulez-vous le voler ?”


La vie est rose en ces vallées mais vos "vouloirs" apportent le violet.
Mes cheveux voilés de rouge, qui dévisage ces vallées vertes, voulaient de vous.
Et volaient presque en suspension dans l'air, L’air. Lui nous souhaitant presque
un bon voyage.
On parle des pages précédentes tout en écrivant un nouveau volet;

“Mon corps a connu bien des coups et donc est vérolé”;


Notre histoire si précieuse s'épaissit comme étant de l'eau qui vire au lait;
Ces pensées si malsaines et si précises me vire et vinrent au lit;
J'entends les saints me rire au nez, ceux qui me virent au loin te suivre honnête.

~~~~~~~~~

~Slow down~
Alors ?

Ces assonances sont presque maintenant insonores.

À la fin j'ai eu envie de lâcher.

J'ai préparé, mit en boîte et emmené les rires de la journée comme un traiteur.

Vraiment. À la fin j'ai eu envie de lâcher un “il est trop”.

Ta tête sur mon épaule j'étais tout ton tréteau.

Sincèrement, à la fin j'ai eu envie de lâcher un "Il est trop tôt".

Mais mon courage est un traître.

Comment pourrais-je lâcher devant tant d'efforts presque effrayants ?


Sur certains points je me fais presque aveugle et parfois tes courts silences sont
comme de longs aveux.
C'est marrant.
C'est les yeux fermés qu'on embrasse mais c'est le geste qui ouvre le plus les yeux.
En fait c’est pas marrant.
C'est peut être bête.

Je te jure, à la fin j'ai eu envie de lâcher un "il est trop tôt pour s’arrêter là, merci.
Pour tout.

“Ton corps épris, je me tuerai si je le prend; Ton coeur est pris, tu le tueras si tu le
promènes; Alors avec toi-même c'est une promesse"

Je vais sûrement lâcher.


On verra.
“T’en as envie ? Bah viens on le fait”

Vous aimerez peut-être aussi