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Chapitre I (L’incipit de l’œuvre) : Se Malaise de Sidi Mohammed (il s’évanouit).

(je
termine un lundi m’écroulai aux pieds de ma mère sans
Le narrateur adulte, miné par la solitude connaissances).
commence son récit pour mieux comprendre sa
solitude et ses souffrances qui datent depuis Chapitre II : Mardi et mercredi
toujours. Au Msid : le regard du Fqih (personne cruelle) et
les coups de baguette de cognassier étaient
Le narrateur-enfant présente « Dar Chouafa » qui source de cauchemars et de souffrance de Sidi
se trouve dans la médina de Fès, Mohammed.

Sidi Fatma Le mardi est un jour néfaste pour les élèves du


Mohammed Bziouia Msid, (jour de récitation hebdomadaire).

Lalla Zoubida Allal le A son retour, le narrateur trouve sa mère


2eme étage jardinier souffrante d’une terrible migraine.
Sidi
Abdesslam Visite de Lalla Aïcha (ex-voisine et amie intime
de Lalla Zoubida) qui accompagne Lalla Zoubida
Lalla Rahma et le narrateur au sanctuaire de Sidi Ali
Boughaleb.
1er étage Driss El Ouad
Le narrateur décrit le voyage vers le sanctuaire
Zineb de Sidi Ali Boughaleb.

Rez-de- La voyante Lalla Kenza Sidi Mohamed se fait griffer par un matou (gros
chaussée (Locataire principale) chat mâle) dans la cour de la Zaouia quand sa
mère et Lalla Aichai parlaient avec la gardienne
du mausolée.

Le rituel des Gnawa de la Chouafa (une fois par Le lendemain il bénéficie d’un repos de deux
mois). jours et demi de convalescence (grâce à son père
qui a demandé à sa mère ne pas le laisser aller au
Sidi Mohammed est un enfant rêveur et différent Msid).
des autres enfants.
Le père était le premier à se lever. Il partait tôt à
Situation du M’sid qui se trouve à la porte de son travail et ne revenait que tard le soir (après la
Darb Noualla (deuxième lieu principal), et prière de l’Aâcha).
présentation du fqih qui habitait la rue
Jiaf(maigre, a barbe noire et ses yeux lançaient Sidi Mohamed assiste au cérémonial des
des flammes de colère). Ainsi les occupations des matinées (Zineb la pisseuse, salutation des
autres élèves de l’école coranique. femmes, la compréhension du langage des
oiseaux…), reçoit deux beignets de Fatma
Il évoque le souvenir du bain maure qu'il Bziouya et un cabochon de verre de Rahma qu’il
considère comme l’enfer (il n’aime pas aller au met dans sa boîte à merveille.
bain maure « je ne veux pas aller en enfer »).
La course de Driss le teigneux.
La description de sa Boîte à Merveilles où les
objets hétéroclites (boules de verre, des anneaux Chapitre 3
de cuivres, cadenas sans clé…), qui s'y trouvent Le narrateur raconte une journée ordinaire
lui tiennent compagnie (La Boîte à Merveilles est (Vendredi) au M’sid. Indifférence du fqih et
le véritable ami du narrateur) et évoque son ennui des enfants.
admiration au monde invisible.
Le soir, remarquant que Fatima Bziouiya s'éclaire
Le narrateur relate le souvenir d'une dispute entre avec une lampe à pétrole. Lalla Zoubida
sa mère et Rahma à propos de la lessive. (Lundi (envieuse et jalouse) demande à son mari de lui
le jour de la lessive). en acheter une, ce qui est fait le lendemain.
Zineb, la fille de Rahma est perdue Kalkaliyine Chapitre 5 (Un mercredi)
(Rsif). Une occasion pour Lalla Zoubida de se Le Fqih parle aux enfants de la Achoura. Ils ont
réconcilier avec sa voisine. Tout le voisinage quinze jours pour préparer la fête du nouvel an.
partage le chagrin de Rahma. Ils ont congé pour le reste de la journée.
Lalla Zoubida et Lalla Rahma se rendent à Rentré chez lui, le narrateur trouve sa mère
Moulay Idriss où ils trouvent Zineb à Dar Kitoun. absente en visite chez Lalla Aicha.
Une fois Zineb retrouvée, et pour remercier Dieu De retour(après une heure), la mère raconte les
de lui rendre sa fille, Rahma organise un repas malheurs de Lalla Aicha à toutes ses voisines :
pour les pauvres. (Les mendiants et les aveugles (Lalla Aicha dépouille de ses bijoux et de son
qui habitent à Riad Jeha). mobilier pour aider son mari à remettre en
marche son atelier).
Toutes les voisines participent à la tâche.
Le décès de Sidi Mohammed Ben Taher le
Sidi Mohammed montre son admiration aux coiffeur du quartier. (Description de son cortège
aveugles parce qu’il les trouve bien organisé. funèbre, Les funérailles, les pleurs…).
Dar Chouafa ne retrouve sa quiétude et son Pour soulager son fils, le père se met à raconter
rythme que le soir. l’histoire de Sidi… qui suit les cortèges funèbres.
Sidi Mohamed ouvre sa Boîte à Merveilles et se Lalla Zoubida offre une chaînette de cuivre à son
met à rêver. fils.
Chapitre 4 Le chapitre se termine par la dispute de Sidi
Les premiers jours du printemps : le narrateur et Mohammed avec Zineb car son chat lui a volé sa
sa mère sont invités chez Lalla Aicha (Zankat chaînette.
Hajjama). Une journée de la médisance pour les
deux femmes (Lalla Aicha et Lalla Zouida Chapitre 6 (Un lundi, sept nuits avant
parlent de leurs voisines avec éloge). la Achoura)
Pendant les préparatifs pour Achoura au M’sid,
Sidi Mohamed joue avec les enfants de la maison
le Fqih organise le travail et forme des équipes.
à la mariée. (le jeu s’achève par une dispute et
Sidi Mohamed est nommé chef des frotteurs.
des hurlements).
Lalla Zoubida accompagne Sidi Mohamed à la
La faillite de Moulay Larbi (babouchier): Lalla
kissaria pour lui acheter des vêtements à
Aicha raconte à Lalla Zoubida les malheurs de
l’occasion d’Achoura ainsi que ce que Lalla
son mari escroqué par son associé Abdelkader, il
Kenza lui a demandé (un gilet, une chemise et
lui a prit 80 rials(le narrateur a entendu le mot «
des babouches neuves).
Pacha »).
De retour à la maison, Rahma insiste pour voir
Le lendemain Zoubida raconte à son mari le récit
les achats fait à la Kissaria et Sidi Mohamed se
de la dispute entre Moulay Larbi avec son
dispute avec Zineb, ce qui met en colère sa mère.
associé qui a renié ses dettes.
Sidi Mohamed s’est disputé avec Zineb, car cette
Sidi Mohammed critique le comportement de
dernière lui a fait une grimace.
Zineb avec son chat et ouvre sa boite.
Le narrateur nous rapporte ensuite l'histoire de
Mâalem Abdesslam parle à son fils de l’épicier
Lalla khadija (jeune femme) et son mari l'oncle
Abdellah et de ses histoires fabuleuses (Lahbib le
Othman (vieil homme) racontée aux voisines par
considère en tant que saint par contre Abdennbi
Rahma.
le considère comme manipulateur).

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