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Au Msid :
A la maison du narrateur :
Le narrateur ne retrouve pas sa mère chez elle :
Lalla Aicha vient chercher d’une heure son amie Lalla Zoubida
Le narrateur se trouve seul chez lui – terrifié ; la gorge sèche – Il lui semble que
les objets se sont transformés en monstres.
Le retour de la mère :
- Après « des siècles passèrent » la mère retourne et révèle l’objet de son
absence d’abord à Fatma Bziouya qui comptait à Lalla Aicha et puis à Rahma
- Lalla Aicha a tout vendu pour que Moulay Larbi achète du matériel et assurer
les premiers frais d’installation de son nouvel atelier
A la maison de Mohammed ben Taher :
- Les cris et les hurlements déchirèrent l’atmosphère :
- Dans un vacarme de cris ; la négresse annonce la mort du coiffeur qui était
malade depuis deux mois
- Enveloppée dans une légère couverture et épare pour aller à la maison du
coiffeur. Sidi Mohammed L’accompagne
- Vingtaine de femmes manifestent leur douleur. La femme du coiffeur gémit se
donnant de grands coups du plat de la main sur les joues et sur les cuisses
« description de la scène »
- Zineb déploie de vains efforts pour pleurer. Sidi Mohammed lui envoie un
coup de poing sur le nez. Les psalmistes récitent un long chapitre du coran.
Dans la chambre du narrateur :
- Le bourdonnement des récitateurs et les cris de la femme du coiffeur de temps
à autre parviennent à la famille du narrateur à travers les murs – Sidi
Mohammed ne peut pas jouer.
- Après les ablutions rituelles ; Sidi Mohammed rêve de l’enterrement de la
coiffure : étroitement cousu dans sa cotonnade blanche ; rigide
- Sidi Mohammed se rappelle les morts découverts posés simplement sur la
civière et sans personne – cela l’attriste davantage – le père trouve une
histoire pour le consoler