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Périphériques
Module 2
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OBJECTIFS DU COURS
Sensibiliser le technicien au
fonctionnement interne des
périphériques informatiques et
des technologies utilisées.
Les technologies
Bandes : DLT/SDLT/LTO
AIT/DAT/DDS
Supports fixes
Les disquettes (ou Floppy : support souple dans une enveloppe souple 8’’ et 5,25 ‘’)
(C’est avec la disquette 3,5’’ qu’apparait l’enveloppe rigide)
La société IOMEGA créera dans les mêmes périodes le disque JAZ (2 Go) ,externe et
interfacé en IEEE1394 et SCSI, et cessera sa fabrication en 2002.
Les produits cités ci-dessus utilisent un « CAD » qui protège le plateau et les éléments de
motorisation solidaires du plateau. Les « têtes » sont situées dans le Lecteur/Enregistreur.
Très loin de l’obsolescence, mais peu utilisées par le particulier, les bandes magnétiques jouissent
de réputations pour le moins controversées. Dans le milieu informatique professionnel ce type de
media reste un support fiable et pérenne pour ses capacités de stockage (sauvegardes), même si
sa lenteur (temps d’accès) est évidente en comparaison avec les autres médias.
Et puisqu’on évoque la capacité de stockage, remarquons l’annonce faite par SONY en 2014
d’une cassette permettant de stocker plus de 185 000 000 000 000 octets (185 To).
Cette technologie repose sur l’utilisation d’une nanoparticule (7,7 X 10-9 mètres) magnétique,
offrant ainsi une densité exceptionnelle à ce jour pour une cassette.
(Non commercialisée au moment d’écrire ces mots)
Les DAT (têtes hélicoïdale) (Digital Audio Tape crée par SONY en 1986)
Format DDS = Data Digital Storage; norme de formatage et de capacité établie par H-P et SONY :
CAPACITE
DDS 1: 2 Go non compressé à 4 Go compressé
DDS 2 : 4 Go non compressé à 8 Go compressé
DDS 3 : 12 Go non compressé à 24 Go compressé
DDS 4 : 20 Go non compressé à 40 Go compressé
TAUX DE TRANSFERT
6 Mo /mn environ(DDS1) à 150 Mo/mn environ (DDS 4)
Voici une bande magnétique dans une cartouche, d’une capacité de 2,5 To de données non
compressées. Souvent multipliée dans des « baies » réseaux (voir ci-dessous), elle est surtout
utilisée pour la sauvegarde, Sa fiabilité, comme toutes les bandes magnétiques de qualité, est
exceptionnelle (>30ans d’après le constructeur).
Cette famille de média souffre d’un inconvénient inévitable, compte tenu d’une exigence liée à son
fonctionnement, la tête est en contact avec la bande, il s’agit de sa lenteur (en temps d’accès !). La
photo ci-dessous montre une « bibliothèque de bandes », pas moins de 8 lecteurs/enregistreurs
(contrôleurs FC, SAS ou SCSI) dans un rack connectable sur réseaux IP. Vitesses de transfert
entre 1,1 To/h et 4,0 To/h*, suivant les modèles.
Des capacités de 150 To, 300 To, 600 To* pour l’ensemble de la baie.
Les têtes sont mécaniquement liées entre elles et seulement une seule tête peut lire ou écrire à un
moment donné.
L'ensemble de cette mécanique de précision est contenu dans un boîtier totalement hermétique,
car la moindre particule peut détériorer la surface du disque. Vous pouvez donc voir sur un disque
des opercules permettant l'étanchéité, et la mention "Warranty void if removed" qui signifie
littéralement "la garantie expire si retiré" car seuls les constructeurs de disques durs ou des
Laboratoires spécialement équipés, peuvent les ouvrir (dans des salles blanches, exemptes de
particules).
Capacité : volume des données pouvant être stockées sur le disque. Les données sont
stockées sur les secteurs du disque (512 octets de données par secteur). L’adressage
par secteur est amené à évoluer vers l’adressage par block de 4 K octets.
Temps d’accès moyen : quelques millisecondes.
Délai écoulé entre la demande d’information et la disponibilité de l’information sur le BUS.
Ce délai inclut :
Le temps de recherche (seek time ) : temps de déplacement des têtes au
dessus de la piste désirée.
Le temps de stabilisation des têtes (settle time) : pour une lecture stable.
Le temps de latence (latency time) : attente du passage du secteur désiré sous
la tête choisie puis lecture du secteur au tour suivant.
Densité radiale : nombre de pistes par pouce (TPI: Track per Inch).
Densité linéaire : nombre de bits par pouce sur une piste donnée (BPI: Bit per Inch).
Déclaration en Rombios
On parle de CHS (Cylinder Head Sector )
Nbre de Cylindre X Nbre de Têtes X Nbre de Secteurs X 512 Octets=capacité max.
ENTÊTE DU SECTEUR
15 octets : Séparation entre secteurs + Octets de synchro + Marqueur d’adresse
09 octets : Octets réservés à l’adresse unique du secteur (actuellement 6 octets)
La technologie vient du CD Audio crée en 1978 comprenant 650 Mo (on dit que cela
ème
correspondrait à la capacité de la 9 symphonie de Beethoven !)
La lecture est aléatoire et se fait par la face inférieure : mono face, de l’intérieure vers l’extérieure.
Le laser fait 0,6 microns de diamètre.(contre 0,4 pour le DVD-ROM)
Constitution :
L’écriture est faite en usine par moulage (empreinte).On inscrit dans le support des « trous »
appelés INDENTATIONS qui servent de codage (alternance entre zones pleines et zones
creuses). 0,6 microns de diamètre (CD), 0,4 microns(DVD) sur 0,12 microns de profondeur.
Le disque est composé de poly carbonate dont la surface est recouverte d’une fine couche de
métal (aluminium, or, argent,..) pour réfléchir la lumière. Son épaisseur est de 1,2 mm..
L’ensemble est recouvert d’un vernis durcisseur transparent.
Pour la fabrication d'un CD/DVD vierge de quelque sorte soit il, le procédé de fabrication démarre
simplement au moulage et il n'y pas de Premastering. La matrice est " vierge " et ne comporte
qu'un sillon vierge. Pour les DVD double couche, on réalise deux opérations distinctes avant
d’assembler les deux couches.
Taux de transfert :
Environ 150 Ko/s en 1X
Temps de réponse :
Environ 300 millisecondes à 100 millisecondes
Les Vitesses de rotation :
CLV ( constant linear velocity ) : De 400 tr/min à 2000 tr/min
CAV (constant angular velocity ) : 1800trs/mn
Les DVD
Un DVD peut facilement être confondu avec un CD dans la mesure où les deux supports sont des
« galettes » de 12 cm de diamètre et de 1,2 mm d'épaisseur et que leur lecture repose sur
l'utilisation d'un rayon laser. Toutefois, les DVD possèdent des alvéoles dont la taille
minimum est de 0,4 microns avec un espacement de 0,74 microns, contre 0,6 microns avec
un espacement de 1,6 microns pour le CD. (Info : GEFI)
Les DVD existent en version «simple couche» et «double couche» (en anglais «Dual Layer», noté
DL). Les premières versions de ces derniers était constitués d'une couche translucide semi-
réfléchissante à base d'or et d'une couche réflexive opaque à base d'argent, séparées par une
couche de liaison (bonding layer). Aujourd’hui le support est simplement constitué d’un sillon
sortant sur la couche inférieur et d’un sillon entrant sur la couche supérieure. Pour lire ces deux
couches le lecteur dispose d'un laser pouvant changer d'intensité en modifiant sa focale grâce à
un condenseur optique qui peut prendre deux positions.
TEMPS NOMBRE DE
TYPE DE CARACTERISTIQUE
CAPACITE MUSICAL CD
SUPPORT S
EQUIVALENT EQUIVALENT
CD 650Mo 1h14 min 1
simple face, simple
DVD-5 4.7 Go 9h30 7
couche
simple face double
DVD-9 8.5 Go 17h30 13
couche
double face, simple
DVD-10 9.4 Go 19h 14
couche
double face, double
DVD-17 17 Go 35h 26
couche
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**GEFI
DVD DL
Le terme «DVD DL» (DVD Dual Layer) désigne les DVD enregistrables double couche. Ces supports,
proposant une plus grande capacité de stockage que les DVD simple couche, utilisent une technologie proche
des DVD-9 (DVD pressés double couche). Le sillon inférieur va du centre vers l’extérieure alors que le sillon
supérieur va de l’extérieure vers l’intérieure. Sa densité est sensiblement plus faible qu’un simple couche.
Les W.O.R.M.
Write once read many
Cette appellation va désigner tous les CD ou DVD livrés vierges et que nous allons pouvoir graver
une seule et unique fois. Donc tout ce qui est désigné avec le suffixe « R » pour READ.
Les W.A.R.M.
Write always read many.
R/W
Deux technologies basées l’une et l’autre sur l’utilisation d’un champ magnétique
LA TECHNOLOGIE FLASH
LA CLE USB
LES IMPRIMANTES
Une imprimante doit être considérée comme un micro-ordinateur : en effet, elle possède un
microprocesseur interne, de la mémoire RAM de traitement et de stockage, et de la ROM qui
renferme ses caractéristiques, son langage et ses bibliothèques de caractères, et à ce jour, il y en a qui
sont même devenues des imprimantes « multifonctions ». (comme les FAX et PHOTOCOPIEURS)
Quoiqu’il en soit, le rôle de base d’une imprimante est de pouvoir reproduire sur papier tout travail
effectué avec l’ordinateur. Les premiers terminaux d’ordinateurs ont été des imprimantes avec
claviers, issues de nos bonnes vieilles machines à écrire.
Pour pouvoir envoyer des données et des commandes à l’imprimante, l’ordinateur a besoin d’un
transporteur spécialisé : le driver (pilote).Chaque imprimante a son driver associé.
Caractéristiques techniques
Résolution : exprimée en points par pouces (notés ppp ou dpi, pour dot per inch), la
résolution définit la finesse de l'impression. La résolution est parfois différente pour
une impression monochrome, couleur ou photo.
Le buffer texte : Appelé aussi buffer d’entrée. Il prend la plus grosse part de La
RAM car celle-ci va stocker les données envoyer par l’ordinateur et lui rendre la main
dès qu’il est plein.
Le buffer de consignes : C’est dans celui ci que vont être stockées les différentes
commandes et consignes d’écritures qui vont être exécutées.
Le format de papier : selon leur taille, les imprimantes sont capables d'accueillir
différentes taille de documents, généralement au format A4 (21 x 29,7 cm), voir au
format A3 (29,7 x 42 cm). Il existe des imprimantes capables de gérer d’autres
formats mais c’est plutôt dans des secteurs professionnels très spécifiques. Certains
modèles d’imprimantes permettent également d'imprimer sur d'autres types de
support, tels que les CD ou les DVD, étiquettes ,supports plastiques, etc…
Coût à la feuille : Ce critère est le seul à considérer pour décider du bon choix dans
l’acquisition d’une imprimante.
USB ;
SCSI ;
Critères d’environnements :
Le papier
Le grammage représente la densité du papier (c’est le poids en gramme d’un mètre carré!).La norme
minimale acceptable sur imprimante est rarement inférieure à 80 gr
La taille du papier est donnée en pouce (inch ou ‘) .1 pouce = 2,54 cm
Le format papier de norme européenne est l ’ A4 = 21 x 29,7 cm
Le papier continu (listing) est présenté en deux largeurs utiles : 21 cm et 37 cm
On les appelle 80 colonnes et 132 colonnes !
La longueur de page, entre deux pliures, est de 11 ou 12 pouces.
Le 11’=27,94 cm et le 12’= 30,48 cm
Or le format A4 = 29,7 cm soit 11,69’, ce qui génère des problèmes lors d’impressions faites en
format A4 sur du listing 11’ou 12’ ( décalage du texte).
La taille des perforations est un standard sur le papier listing : pas de 0,5 pouce
Les bandes de perforations s’appellent les bandes CAROLL.
Il existe plusieurs épaisseurs de listing : doublé, triplé voir quadruplé (avec carbone entre chaque
feuille permettant le multi-exemplaires; ex: les feuilles de salaires).
Une feuille en position normale est dite imprimée en < portrait >
Si la feuille est mise dans le sens de la longueur, l’impression est appelée « à l ’ italienne ».
Si c’est le texte qui est mis dans le sens de la longueur, l’impression est appelée « paysage ou
landscape »(laser).
VOCABULAIRE :
Technologies d’impression
Impression matricielle à aiguilles
A caractères matriciels : (TECHNOLOGIE ENCORE TRES LARGEMENT UTILISEE), le mot
matriciel vient du fait que le caractère est constitué d’une juxtaposition de points(dot matrix)
On parle par exemple de matrice de 5 points (ou pas) avec 9 aiguilles : 5x9. Pour former un L avec
une matrice à 9 aiguilles, les 9 aiguilles frapperont simultanément sur le premier pas et 5 fois la 9 sur
les quatre restants..
La tête d’impression se déplace sur un rail horizontal avec un moteur pas à pas de demi-caractère en
demi-caractère et chaque aiguille est commandée par un électro-aimant qui va la projeter contre le
ruban encreur derrière lequel se trouve le papier.
Elles comportent de 7 à 24 aiguilles et leur vitesse avoisine les 440 cps (150 à 440 cps en mode
brouillon appelé DRAFT ) et ont une résolution pour les 24 aiguilles de 360 dpi.
La mémoire va de 8 Ko à maximum 128 Ko.
L’encre est retenue dans l’enceinte de la buse et un signal électrique Haute-Tension vient déformer
une membrane constituée de plusieurs dizaines de lamelles de quartz piézo-électrique. La
déformation de la membrane va comprimer l’encre, et ainsi permettre l’expulsion de gouttelettes à
une fréquence de 7200 Hz à 14400 Hz, soit un nombre de gouttelettes/seconde identique à la
fréquence. Chaque goutte mesurant environ de 70µm à 40 µm de diamètre.
La fréquence d’éjection des gouttelettes à 14400 Hz., utilisée par EPSON, permet d’obtenir ainsi une
résolution de 1440 dpi.
Les gouttelettes sont crées par chauffage.l’encre est envoyée dans l’enceinte de la buse et est chauffée
( 300 °c en 3µs !! ).Dilatée par le gaz, l’encre est expulsée sous forme de micro gouttelette.
Impression LASER
Il s’agit aussi d’une impression sans impact. Contrairement aux autres imprimantes, elle travaille au
minimum sur le quart de la page, et c’est une imprimante vectorielle comme l’imprimante à Jet d’Encre
(ce qui permet de mélanger du dessin avec du texte sans problème puisque le texte est du dessin!).
Il existe plusieurs méthodes d’impression dite par électrophotographie. La plus connue et la plus
répandue est par le laser Le concept fut créé par XEROX et breveté par CANON, avec sa cartouche
de toner et son cylindre de sélénium.
9 TONER
Phase 1 : CHARGE
Un fil de Tungstène (Corona de charge) est soumis à une Haute Tension (-600V).
Cela a pour effet de générer des ions négatifs (ionisation de l’air autour du fil). Ces
charges négatives sont attirées par le tambour (OPC), et plus précisément par le
Sélénium (+) qui le recouvre.
Phase 2 : EXPOSITION
Le Laser va éclairer certaines zones du tambour et ainsi neutraliser une partie des
charges négatives qui s’y trouvent. On dit que le laser crée une image « latente » sur
l’OPC.
Phase 3 : DEVELOPPEMENT
Quand l’image latente va passer devant le rouleau pré-magnétisé, des particules de
TONER (-) vont être attirées vers les zones qui ont été éclairées par le laser et qui
sont, de fait, positives.
Phase 4 : TRANSFERT
A la verticale du Corona de transfert ( fil de Tungstène soumis à une Haute
Tension de +600V),
Les particules de TONER sont attirées (ligne par ligne) vers la feuille qui les
conserve « éléctro-statiquement ».
Phase 5 : CUISSON
La feuille de papier est acheminée par la zone de transfert vers le four constitué
d’un rouleau chauffant à 200°C et d’un rouleau presseur. Le TONER va se liquéfier
grâce au four et pénétrer la fibre du papier grâce au rouleau presseur.
Phase 6 : NETTOYAGE
L’OPC va être nettoyé du TONER résiduel par une rangée de petits balais et les
charges statiques résiduelles vont être neutralisées par la lumière d’une rangée de
lampes
Bourrage papier.
A sublimation
La sublimation utilise des agents colorants disposés sur un rouleau de film plastique.
Pour chaque page imprimée quatre zones de film (cyan, magenta, jaune et noir)
sont systématiquement utilisées. (Illustration ci-dessous)
Elle permet de doser et mélanger les nuances de bases ce qui permet d’avoir une
qualité exceptionnelle comparable à la photo.
**
A encre solide
Créée par XEROX, cette technologie utilise des consommables solides
intégralement utilisés par la machine. Chaque « pain » de couleur subira une
« fusion » partielle à haute température sur sa face inférieure.
L’encre chaude et liquide ainsi obtenue sera projetée (façon Jet d’encre) vers un
tambour qui recueillera l’intégralité des points de la future page. Puis toutes la
couche d’encre sera ensuite transférée vers le papier par chaleur et pression.
Les têtes d’impression vont projeter vers le tambour, de l’encre « liquide » issu de la
fusion partielle des recharges.
Quand le rouleau aura reçu tous les points de couleurs qui constituent l’image, le
transfert pourra se faire vers le papier préalablement légèrement chauffé.
L’encre ainsi déposé sur le papier a eu le temps de pénétrer la fibre et d’y sécher.
(Documents XEROX)
**
LANGAGES ET POLICES
Codes
Par défaut , les caractères sont envoyée sous forme octets en ASCII.
La norme ASCII est respecté pour tout ce qui est caractère commun (de 32 à
127).La ou le problème se pose, c’est pour les codes de caractères étendus : tout le
monde a essayer d’imposer sa norme .Exemple IBM a crée sa propre page de code
(tables IBM) pour les caractères ASCII de 127 à 255 (norme 437),idem pour
APPLE, EPSON ...
LES POLICES
La police (ou FONT) est la caractéristique d’un caractère, c’est à dire en imprimerie
sa forme (police) et sa taille (fonte).
Il existe une véritable anarchie dans les types de polices ; on peut même parler de
« guerre ». Car un nom de police est
déposé (copyright) mais pas ses
caractéristiques !
Toutes les imprimantes sont livrées avec des tables de plusieurs polices.
Un même n° de taille peut signifier une grandeur (hauteur ) différente suivant le
fabricant de l’imprimante ou du créateur de la police.
Les CPI
Les toutes premières polices avaient leur largeur exprimée en nombre de caractères
par pouce (CPI) et leurs formes étaient fixes.
Ainsi sur les matricielles, le pica normal = 10 points par pouce ; l’elite = 12 et le
mode condensé = 17.
Pratiquement plus utilisé sauf sur certaines matricielles.
Chaque police est définie point par point (1 point = 1/72 pouce soit 0,35 mm) et
par sa hauteur(force de corps). La largeur(chasse) variant automatiquement suivant
la hauteur et proportionnellement à la lettre .un m sera plus large qu’un i .
Les Vectorielles
CAPs : ( CANON)