1 - FR - Yes, It's Aliens - Kevin Harville - Medium

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Oui, ce sont des extraterrestres Kevin Harville Medium
Kévin Harville
27 à 34 minutes
Oui, des extraterrestres venus de dizaines de mondes visitent probablement la Terre. Pourquoi
croire cette proposition ridicule ? Mathématiques. Théorie des probabilités.
Il existe des milliards d’étoiles et des milliards d’années ont permis à la vie d’apparaître. À
seulement 1% de la vitesse de la lumière, les humains ou les extraterrestres pourraient
explorer la galaxie entière. À cette vitesse cosmiquement lente, l’exploration galactique ne
serait pas terminée en quelques milliards, mais en quelques millions d’années. Mais il s’agit du
pire scénario, soit 1 % de la vitesse de la lumière. Ainsi, une fois que nous sommes d’accord
sur la probabilité que des extraterrestres voyagent dans l’espace dans cette vaste galaxie, la
conclusion est presque inévitable.
Il y a dix ans, cela aurait semblé insensé. Mais, avec les récentes vidéos de la marine
américaine, la croyance dans les ovnis, désormais connus sous le nom de phénomènes
anormaux non identifiés (UAP) pour éviter la stigmatisation, a changé notre perspective. Mais que
sontils ? Telle est la question.
Des croyances extraordinaires nécessitent des preuves extraordinaires. Cette preuve est ici,
sur vidéo gouvernementale, avec des calculs à l’appui. Nous devons maintenant considérer
que bon nombre des quelque 100 000 autres rapports enregistrés pourraient être tout aussi valables,
simplement sans la vérification déclassifiée par radar et par vidéo infrarouge.
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Gravure sur bois tirée d'un rapport de 1561 documentant l'activité des ovnis audessus de Nuremberg
Les possibilités infinies
Des lumières et des objets anormaux ont été enregistrés, non seulement dans des pétroglyphes
ou de vagues symboles, mais dans des centaines de documents astronomiques
tout au long de l’histoire occidentale et mondiale. Ils ont effectué les mêmes
manœuvres alléchantes que celles rapportées aujourd'hui, s'élevant instantanément dans le
ciel, tournant instantanément et planant sans respecter la gravité.
L'ufologue de premier plan Jaques Vallée a contribué aux recherches du projet Blue Book des
ÉtatsUnis. Dans son livre Wonders in the Sky, il cite 500 documents anciens décrivant des
rapports UAP à la fois fantastiques et banals. Vallée, cependant, n'attribue pas nécessairement
le phénomène aux extraterrestres interstellaires. Au lieu de cela, il envisage d'autres
possibilités paranormales, des visites venant d'audelà de notre propre espace et
de notre temps. Bien sûr, ces phénomènes peuvent être n’importe quoi : des êtres spirituels,
des adolescents transdimensionnels, des voyageurs temporels, des formes de vie
inhabituelles, des seigneurs de l’IA, des campagnes de désinformation ou tout autre phénomène
rêvé ou encore inimaginé. Ces phénomènes pourraient même être une technologie
humaine avancée qui nous a été miraculeusement cachée pendant des décennies. De
nombreux chercheurs soulignent que les rapports d’OVNI représentent probablement
de multiples phénomènes inconnus, et nous sommes constamment surpris par de
nouvelles découvertes. Mais les extraterrestres semblant être surnaturels sont plus
susceptibles que les êtres surnaturels semblant être des extraterrestres. Et une espèce
vieille d’un milliard d’années, dont la technologie et l’évolution atteignent les limites les plus
imaginables, pourrait à peine se distinguer des êtres surnaturels. Ou bien, beaucoup
pensent qu’une certaine forme de vie extraterrestre puise dans une existence « paranormale »,
estimant que la conscience est l’élément fondamental de l’univers dans lequel nous et les
extraterrestres existons.
Les possibilités abondent donc, mais restonsen à ce que nous savons : les mathématiques
indiquent des extraterrestres. De plus, le rasoir d'Occam, la règle consistant à utiliser
l'explication complète la plus simple, nous conduit à la conclusion extraterrestre. Le
problème avec les explications transdimensionnelles, de simulation, de voyage dans le
temps, paranormales et même de technologie humaine est que l'explication la
plus simple, les sondes extraterrestres, explique de manière complète, concise et réaliste
l'UAP sans aucune hypothèse ahurissante. Le scepticisme est justifié. Mais ces théories
ajoutent généralement davantage de niveaux de complexité et de conjectures.
Pour tester une théorie sceptique avec un test rapide, demandezvous si elle ajoute plus
de conjectures que la croyance remise en question ellemême.
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L’explication la plus simple est l’hypothèse extraterrestre, car si la vie évolue, même à une
fréquence infime, de nombreuses espèces évoluent vers des races spatiales bien avant nous.
Les chances de visite extraterrestre sont extrêmement élevées et les chances

d’alternatives extrêmement faibles. Combinez ces probabilités et les arguments en faveur
du phénomène extraterrestre sont accablants.
Avec la confirmation des rencontres venant de plusieurs gouvernements, le saut hypothétique

dans le fantasme est désormais encore plus petit pour l’hypothèse ET que pour toute autre
hypothèse. Il suffit de croire qu'il existe une autre espèce intelligente dans notre galaxie, un
groupe de 100 à 400 milliards d'étoiles, dans lequel notre Terre n'est qu'un simple bébé né
dans le dernier tiers de l'existence de la galaxie.
Quoi qu’il en soit, la race humaine n’a pas seulement son monde, mais son univers,
bouleversé par des découvertes allant des planètes extrasolaires à la théorie quantique.
Quoi que nous découvrions sur le tissu de la réalité, c’est une période très excitante – une
période non pas de peur, mais d’excitation. Les extraterrestres sont probablement ici depuis
longtemps et, jusqu’à présent, ils n’ont pas jugé bon de prendre notre eau, notre or, notre
chair savoureuse ou nos femelles alléchantes.
Jetons un coup d'œil aux chances que les extraterrestres explorent la planète et étudient les
singes irrationnels qui y règnent.
1 : La galaxie est explorable à la vitesse de la sublumière
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Mission Orion. Photo gracieuseté de la NASA
Oublions les extraterrestres une seconde. Et oublions l’hyperdrive, le warp drive, les portes des
étoiles et les trous de ver. Restonsen à Einstein et Newton. Supposons que nous nous aventurions
nousmêmes dans l'espace interstellaire.
Nous savons qu’une vie intelligente pourrait apparaître et s’aventurer dans l’espace.
Nous en sommes la preuve.
La base rationnelle est que la réalité proche et la réalité lointaine sont similaires, car sinon
nous devons ajouter des hypothèses égoïstes. Une base de référence est loin d’être une
preuve. Mais supposer que nous avons de la chance représente un saut plus important que de
supposer que nous ne sommes pas particulièrement favorisés.
Ainsi, si nous ne nous détruisons pas, ou même si nous y parvenons presque, nous pourrions bientôt
explorer la galaxie entière à des vitesses tout à fait compatibles avec la relativité. Les
moyens pourraient inclure l’utilisation de la dilatation du temps einsteinienne, la prolongation
de la durée de vie, les vaisseaux multigénérationnels, les sondes autoréplicatrices et peutêtre
la cryogénie – autant d’avancées prévisibles par rapport à la technologie actuelle.
Nous n’avons pas besoin d’une technologie de distorsion révolutionnaire pour les voyages interstellaires.
Au lieu de cela, nous pourrions envoyer des sondes autoréplicatrices et des vaisseaux
spatiaux stratégiquement assignés avec des environnements conçus pour les voyages à long terme.
Leur vitesse peut représenter seulement 1 % de la vitesse de la lumière. Les scientifiques
considèrent que des vitesses plus rapides sont une possibilité réaliste. Il existe environ 10 étoiles
dans un rayon de 10 annéeslumière. À 1% de la vitesse de la lumière, nos sondes les atteignent
toutes en 1000 ans (10 annéeslumière ÷ 0,01). Pendant ce temps, nous restons assis et
attendons les destinations idéales.
Tous les 1 000 ans, nos sondes se répliquent dans ces systèmes stellaires et atteignent davantage
d’étoiles. Nous nous dirigeons nousmêmes vers les plus prometteurs. Ainsi, tous les mille
ans, nous ajoutons une augmentation de dix annéeslumière à notre domaine exploré, le tout à 1 %
de la vitesse de la lumière. Une lente progression de dix annéeslumière tous les 1 000 ans aboutit à
ce que la galaxie entière, soit 100 à 400 milliards (400 000 000 000) d'étoiles, soit entièrement
explorée en 7,5 millions d'années. (75 000 annéeslumière ÷ 01). .
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Nous pouvons explorer la galaxie d’ici 7,5 millions d’années à 1 % de la vitesse de la lumière,
vitesse que nous espérons largement dépasser. Et cela ne suppose aucun progrès
supplémentaire.
Ainsi, si notre galaxie vieille de 13,6 milliards d’années et composée de plus de 100 milliards
d’étoiles héberge un groupe motivé, avec une très courte longueur d’avance, ces curieux sont ici
en train de profiter de l’ émission de téléréalité sur l’homo sapiens . Nous pourrons bientôt
atteindre les étoiles. Un collectif extraterrestre aurait pu faire la même chose avec quelques
milliards d’années entre ses mains – ou avec ses autres membres.
Photo gracieuseté de la NASA
2 : La galaxie est immense et ancienne
Les éléments nécessaires à la vie sont présents depuis les premiers jours de notre galaxie
vieille de 13,6 milliards d’années. Mais imaginons que, comme sur Terre, les 3,6 milliards
d’années n’aient pas encore été propices à la vie intelligente. Utilisons donc 10 milliards
d'années comme estimation de la civilisation la plus ancienne possible. Imaginez que les
chances de développement d’une civilisation spatiale autour d’une étoile donnée soient d’une sur
cent milliards. Par souci de simplicité, supposons que notre Voie lactée ne compte que 100
milliards d'étoiles – l'estimation minimale. Avec ces chances, nous avons probablement une
civilisation qui explore la galaxie. Peutêtre juste nous ! Mais nous sommes apparus après 4,5
milliards d’années d’incubation solaire. Nous sommes des bébés sur le
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calendrier galactique. Soyons donc légèrement plus optimistes et disons que tous les milliards
d'années, nous avons une
probabilité de 1 : 100 milliards (1 : 100 000 000 000) et voyons ce que cette estimation
produit :
Il y a 13,7 milliards d'années : l'Univers et la Voie lactée Il y a 13 milliards

d'années : la vie commence sur des mondes lointains Il y a 12 milliards
d'années : la vie non sensible apparaît Il y a 11 milliards
d'années : la vie non sensible évolue encore Il y a 10 milliards d'années :
la vie sensible évolue et explore l'espace il y a 9 milliards d'années : 2 espèces
explorent (et se rencontrent). Galaxie entière explorée.
Il y a 8 milliards d'années : 3 espèces 7
milliards d'années : 4 espèces 6 milliards
d'années : 5 espèces 5 milliards
d'années : Forme du Soleil et de la Terre. 6 espèces à explorer.
Il y a 4 milliards d'années : la vie commence sur terre. 7 espèces à explorer.
Il y a 3 milliards d'années : 8 espèces explorées. Il
y a 2 milliards d'années : 9 espèces explorées.
Il y a 1 milliard d’années : 10 espèces sont désormais explorées. La vie complexe sur Terre évolue.
Ainsi, si la vie intelligente évolue un jour, même avec des probabilités astronomiquement
faibles , la vie intelligente a rempli la galaxie.
Mais allaientils évoluer et explorer ? Bien sûr. Parce que l’exploration fait partie intégrante de la
dynamique de survie évolutive. Les explorateurs font face à des dangers, mais, en tant qu’espèce
(en supposant qu’ils restent la même espèce), ils survivent.
Mais attendez, il y a plus ! Cette chronologie couvre la probabilité qu’une seule espèce apparaisse
à raison d’une sur cent milliards tous les milliards d’années ! En augmentant un peu ces chances,
des centaines, voire des milliers (certains suggèrent des millions) d'espèces voyagent dans
la Voie lactée. Et au moins un, voire plusieurs, sont ici. Une culture extraterrestre atteignant l’espace
un dix millième plus vite que nous selon le calendrier galactique nous aurait atteint il y a
un million d’années. (10 000 000 000 d'années ÷ 10 000 = 1 000 000 d'années).
Dans les années 1960, Frank Drake de SETI, la société de recherche pour l'intelligence
extraterrestre, a proposé une formule très détaillée dans laquelle nous faisons plusieurs
suppositions et, selon les probabilités assignées, déterminons le nombre probable de civilisations
dans notre galaxie. Nous n’avons pas besoin de l’équation de Drake à sept suppositions, multipliant
l’incertitude à tous les niveaux, pour parvenir à une estimation maîtresse du nombre de
civilisations susceptibles de communiquer avec la Terre.
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Il en suffit d'un seul.
Image gracieuseté de la NASA
3 : Les signes de vie sont partout
Alors, avonsnous des preuves de l’apparition de la vie ? Chaque année, de nouvelles découvertes
nous orientent dans cette direction. Les scientifiques ont confirmé que les processus chimiques
évoluent sous forme de protovie. L'évolution ne commence pas par la définition classique de la vie.
Tout, des cristaux aux acides aminés en passant par les structures moléculaires auto
protectrices, persiste en reproduisant les processus qui assurent leur existence.
Les molécules protovie se défendent contre les radiations ou les interférences chimiques.
Finalement, ces composés organiques se combinent pour former ce que nous appelons la vie, même
si cela peut être rare et prendre des milliards d'années.
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Europe, la lune de Jupiter, pourrait abriter de la vie dans son océan couvert de glace. Avec l'aimable autorisation de la NASA
Où avonsnous des signes de vie ? On retrouve des molécules organiques dans les
astéroïdes et les météorites. On trouve des molécules organiques et de l’oxygène dans
la haute atmosphère de Vénus. Nous détectons des molécules organiques sur les lunes de
Jupiter, Europe et Ganymède, ainsi que de l'eau sous la glace sur Encelade, la lune
de Saturne. Titan, également en orbite autour de Saturne, contient des molécules organiques
et les éléments constitutifs (bases nucléotidiques) de l'ADN. Même une planète naine
rétrogradée Pluton pourrait avoir de l’eau et des conditions météorologiques propices au
développement de la vie. La plupart de ces corps ne se trouvent pas dans notre « zone Boucle
d’or », juste à la bonne distance de notre soleil, mais ils présentent néanmoins des
caractéristiques permettant à la vie d’émerger.
Nous n’avons pas trouvé de vie sur Mars, mais les sondes Curiosity et Perseverance ont
trouvé une grande variété de molécules organiques dans le sol martien, et les météorites
martiennes ont des structures représentant peutêtre des microorganismes fossilisés.
Le catalogue des planètes extrasolaires s'allonge chaque année, ce qui indique que presque
toutes les étoiles ont un système solaire et que beaucoup ont des planètes dans des zones
habitables. L'absorption de la lumière provenant de certaines autres planètes, étoiles et
nébuleuses indique des molécules organiques et des éléments essentiels à la vie tels
que le carbone, l'oxygène et l'hydrogène. Et dans toute la galaxie, nous trouvons la source
de vie importante, la combinaison de cet oxygène et de cet hydrogène : l’eau.
En attendant, remettons les pieds sur Terre. Non seulement les humains pourraient
potentiellement devenir un jour une espèce intelligente, mais de nombreux animaux semblent
suivre des trajectoires d’évolution intellectuelle similaires, mais indépendantes.
De nombreux chiens, oiseaux, éléphants, orques, dauphins, baleines, poulpes et espèces de
singes montrent un développement intellectuel et une conscience de soi. L’absence
de pouces opposables ou la capacité de construire une fusée peut être un obstacle s’ils rêvent
d’explorer l’espace. Mais si nous apprenons à communiquer avec eux et à leur parler de
l’espace, ils nous demanderont peutêtre de les accompagner !
Avec ces voies évolutives divergentes il y a des centaines de millions d’années, nous voyons
la sensibilité, la conscience de soi, la cohésion sociale et la communication
évoluer selon plusieurs voies distinctes. S’il existe plusieurs voies bien distinctes sur Terre,
la vie intelligente pourrait être omniprésente dans toute la galaxie.
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Oui, c'est inimaginable.
Mais c'est notre limite. Pas celle de la galaxie, et certainement pas celle de la biologie.
Il n’est plus irrationnel de croire que la vie extraterrestre pourrait et évoluerait.

Il n’y a aucune raison de croire que ce ne serait pas le cas.
4 : Des témoins qualifiés s’expriment
Depuis des décennies, plus de 1 000 responsables gouvernementaux et entrepreneurs du

monde entier se sont exprimés en tant que témoins directs de contacts extraterrestres.
Le Dr Stephen Greer a réuni de nombreux ufologues et témoins pour les conférences de presse
de 2001, 2013 et 2023 .
Un ou deux de ces témoins pourraient nous induire en erreur. N'importe quel cas peut être une
tromperie. Mais les gens qui ont mené des enquêtes et des programmes gouvernementaux de
manière vérifiable – ceux qui sauraient le savoir – nous disent constamment que nous recevons
des visites.
Le Dr Jay Allen Hyneck a été embauché pour le projet Blue Book et, après avoir loyalement
nié les cas d'ovnis, il est finalement parvenu à la conclusion qu'ils étaient, d'une manière encore
mystérieuse, réels. Ces cas et d'autres sont désormais conservés en ligne dans la section
des Archives nationales sur les ovnis et les PAN, et les archives de la CIA sont conservées
en ligne sur The Black Vault.
Le représentant des relations publiques du projet Blue Book, Albert M. Chop, a contribué à la
création du film MGM de 1956, Objets volants non identifiés, un docudrame factuel qui couvrait de
nombreux cas clés jusqu'à cette époque,
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y compris « The Washington Flap » de plusieurs jours de confirmation militaire, civile, radar
et pilote d'un engin inhabituel accomplissant des choses apparemment impossibles
près de la capitale des ÉtatsUnis. Cet incident faisait écho au cas Nimitz , simplement sans vidéo
infrarouge.
Edward J. Ruppelt, responsable du projet Blue Book, a objectivement décrit bon nombre de ces
cas comme des mystères non résolus dans son livre, disponible gratuitement en ligne, The
Report on Unidentified Flying Objects.
En 1978, le lieutenantcolonel Jesse Marcel, l'officier du renseignement qui a enquêté sur l'accident
de Roswell, a dévoilé son histoire, et son fils, le Dr Jesse Marcel, Jr., l'a confirmé. Depuis lors,
des dizaines de témoins accrédités, tels que des militaires et des officiers, se sont manifestés
au sujet de la technologie capturée. Walter Haut, l'officier des relations publiques qui a envoyé
le communiqué de presse initial sur une soucoupe capturée, à la demande du commandant
de la base de Roswell, a déclaré que l'incident s'était produit ; mais il n’était pas un témoin
direct. Les ufologues débattent encore de Roswell parce que la pléthore de témoins qualifiés
ne sont pas toujours d'accord les uns avec les autres et que l'affaire est devenue compliquée
par plusieurs histoires officielles contradictoires et de nombreuses histoires non officielles.
Le lieutenantcolonel Philip J. Corso, un officier de carrière ayant fait ses preuves, a affirmé,
dans The Day After Roswell, avoir travaillé dans la division des technologies étrangères de
l'US Air Force. Il déclare que, dans ce rôle, il recevrait des technologies extraterrestres, telles que
des circuits intégrés, des fibres optiques, des lasers, une vision nocturne et des métaux
avancés, et qu'il confierait ensuite l'ingénierie inverse à nos entreprises sans aucune
suggestion aux destinataires. qu'ils étaient d'origine étrangère. Bien que ces affirmations soient
étonnantes et que tout incident donné soit remis en question, cela concorde avec les affirmations
de nombreux autres témoins du gouvernement. Cela explique également comment la
question des extraterrestres est restée secrète pendant si longtemps : beaucoup de personnes
travaillant sur la question ne savaient même pas qu'elles travaillaient sur cette question.
Dans les années 1980 , le colonel John Alexander, sous l'administration du témoin
d'OVNI Ronald Reagan (après l'administration du témoin d'OVNI Jimmy Carter), a réuni
diverses branches de notre gouvernement et de notre armée pour étudier la physique
paranormale, sur laquelle il parle et écrit maintenant .
À la fin des années 1980, le personnage controversé Bob Lazar a affirmé avoir travaillé sur
l'ingénierie inverse des ovnis dans la zone 51. Ses affirmations étaient faciles à rejeter jusqu'à
ce que d'autres membres du gouvernement rapportent les mêmes dispositifs et
théories de propulsion.
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Alors que les ÉtatsUnis déclassifiaient progressivement les enregistrements d'incidents

anormaux, les journaux révélèrent que l'UAP aurait apparemment désarmé les missiles nucléaires,
les éteignant à distance dans leurs bunkers souterrains.
Le capitaine Robert M. Salas et bien d’autres confirment ces rapports déclassifiés d’incidents liés
aux armes nucléaires par des témoignages personnels.
Plusieurs dizaines d'officiers qui ont servi dans une base de missiles nucléaires américaine en
Angleterre, en 1980, ont affirmé que des OVNIS avaient survolé et avaient été suivis, et qu'un OVNI
avait atterri. Cette affaire, l’incident de la forêt de Rendlesham, est un cas classique dans lequel
les explications sceptiques ignorent complètement les témoins de première main et les
preuves avec des arguments de paille – des arguments qui annulent un incident en s’attaquant à
son point le plus faible. Des dizaines de témoins affirment avoir touché l'engin, l'avoir vu voler
directement audessus de sa tête, l'avoir vu émettre des faisceaux laser de sondage, l'avoir vu sur un
radar, observer des lumières voler dans le ciel et mesurer des empreintes radioactives placées avec
précision dans le sol. Mais les sceptiques annulent l’intégralité de l’incident en soulignant qu’une lampe
de phare en rotation pouvait être vue au loin.
En 2017 et dans les années qui ont immédiatement suivi, Lou Elizondo et plusieurs anciens
responsables gouvernementaux et entrepreneurs se sont manifestés dans le cadre du programme
AATIP (Advanced Aerospace Threat Identification) du Pentagone.
Ils ont fait en sorte que les trois vidéos de la Marine, désormais virales, soient déclassifiées.
Elizondo a été décrié par certains responsables, mais le chef de la majorité au Sénat, Harry Reid, a
étonnamment reconnu qu'il avait financé les enquêtes par le Congrès, et il a confirmé la validité des
vidéos.
David Grush, s'est exprimé devant le congrès en 2023 au sujet de son travail avec le Alldomain
Anomaly Resolution Office. Comme Corso, il prétend que nous procédons à une ingénierie inverse
des vaisseaux écrasés et que nous pouvons même posséder des corps extraterrestres.
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Une des nombreuses photos d'OVNI d'une rencontre avec la marine brésilienne, 1958
Les témoins occupant des postes officiels ne se limitent pas aux ÉtatsUnis. Plusieurs pays
considèrent la présence d'OVNIS comme un fait. Beaucoup, dont le Mexique, le Pérou,
le Chili, l' Italie, la Russie, l'Ukraine, la Belgique et l'Iran , ont partagé des incidents
similaires à ceux de la marine américaine. Le Brésil a publié sa
documentation sur les ovnis, y compris des photos d'une rencontre avec la marine
brésilienne en 1958. En Angleterre, Nick Pope a dirigé le programme OVNI du
ministère de la Défense et explore désormais publiquement la possibilité qu'il s'agisse d' engins extraterrestres.
France’s Groupe d’Études et d’Informations sur les Phénomènes Aérospatiaux
Non Identifiés (GEIPAN) sent out a thorough report in French acknowledging their
unexplained cases. United States cases are the tip of the international UFO iceberg.
Ce ne sont là que quelquesuns des cas les plus confirmables. Il y en a des

milliers. Beaucoup sont téléchargeables en ligne à partir de sources telles que The
Black Vault.
Ces rencontres ne sont pas l’affaire d’un stéréotype de résidents ruraux sans
instruction hallucinant, mais d’enregistrements de gouvernements du monde entier.
Heureusement pour l’avenir de l’humanité, de nombreux responsables ont brisé le
sceau et les gouvernements prennent désormais cela au sérieux.
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Photo d'OVNI de McMinnville, Oregon, 1950
5 : Ce n’est pas une technologie humaine avancée
Mais manquonsnous une explication encore plus évidente ? Seraitce une technologie humaine ?
Seulement en cas d'ingénierie inverse.
La diffusion des vidéos de la Marine pourrait donner l’impression que ces phénomènes sont
nouveaux. Mais la preuve la plus concluante, la vidéo « Tic Tac », date désormais de 20 ans. Des
incidents similaires ont été enregistrés tout au long de l’histoire, partout dans le monde. De
nombreux incidents documentés ne sont que des rapports non embellis et non interprétés : de
simples faits. De nombreux témoins anciens ont enregistré des incidents au cours desquels une
lumière traversait l'horizon et revenait ou au cours desquels un objet planait sous le regard des
citoyens de la ville. Il ne s’agit pas de rapports extravagants émanant d’« anciens théoriciens des
extraterrestres », mais de documents municipaux, de reportages, de journaux astronomiques et de
journaux intimes. À mesure que la technologie s'est améliorée et que nous avons passé plus de
temps dans le ciel, les contacts avec des témoins oculaires et avec plusieurs capteurs ont été
systématiquement documentés depuis au moins la Seconde Guerre mondiale. Les rapports faisant
état d'engins étonnants, agissant apparemment sous direction, ne sont pas nouveaux.
Au cours des années 1950 et 1960, le projet Blue Book a documenté des centaines de cas inexpliqués
cohérents avec les vidéos de la Marine. Le capitaine Ruppelt de Blue Book, sans tirer de conclusions,
révèle plusieurs cas de contact d'UAP hypersonique par plusieurs opérateurs de radar à plusieurs
endroits, plusieurs pilotes, de nombreux officiers militaires et des groupes de civils, tous témoins et
enregistrant l'UAP.
La première vidéo publiée par la Marine date de 2004. C'était il y a vingt ans, et nous n'avons vu
aucune utilisation d'une technologie similaire par un ami, un ennemi ou une entreprise.
Nous n’avons vu aucune preuve que la Russie ou la Chine exploitent ces engins très utiles. Nous
n’avons également vu aucune preuve de réacteurs de puissance avancés ou de technologies
avancées.
Ces PAN ont été documentés volant dans le ciel, les mers et l’espace depuis des milliers
d’années. L’explication de la technologie humaine nécessite également un incroyable saut de
raison : un groupe d’humains a créé une technologie antigravité hypersonique il y a des décennies,
mais cache cette technologie, au lieu de l’utiliser à son avantage immédiat et écrasant.
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Photo d'un gardecôte , 1952
6 : Il ne s’agit pas de conditions météorologiques, d’illusions d’optique, d’hallucinations ou de dysfonctionnements

d’équipement.
Seraitce de simples anomalies atmosphériques ou psychologiques que nous ne comprenons tout simplement pas ?
Peu probable.
Il existe de nombreux cas où des phénomènes spécifiques ont été suivis simultanément par plusieurs
sources sensorielles, comme par des radars et des pilotes, aux ÉtatsUnis et au Canada. Dans certains cas, les
pays ont détecté les vols et ont failli entrer en guerre, chacun craignant l’invasion de l’autre.
La curiosité et le scepticisme sont tous deux sains. Certains sceptiques, là encore, inventent des explications
absurdes. Certains ont appliqué la trigonométrie avec des suppositions sans fondement sur la distance pour
suggérer que les vidéos de la Marine auraient pu être des oiseaux ou des avions privés. Ou peutêtre que les
vidéos, affirmentils, présentaient un problème. Ce n’est pas de la logique, ni même ce qu’on appelle à juste titre du
scepticisme, car cela fonde luimême son argumentation fondamentale sur une fantaisie injustifiée.
Comme un croyant déraisonnable, ils créent leur propre réalité sans fondement.
Quelles preuves les sceptiques ignorentils ? Regardons la rencontre avec Nimitz
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faits sans ordre particulier. Premièrement, ce sont des pilotes entraînés, qui ne sont pas
facilement confondus par les oiseaux ou les nuages lorsque les aviateurs sont passés par là et ont
estimé la taille à 46 pieds. Deuxièmement, ces objets ont été vus depuis plusieurs avions et
pilotes lors de deux missions. Troisièmement, ces objets ont été suivis par plusieurs radars sur
plusieurs navires, ce qui a amené les officiers à redémarrer le radar pour confirmer qu'ils
fonctionnaient correctement. Quatrièmement, les objets ont été suivis de manière intermittente
pendant plus d'une semaine. Cinquièmement, ils ont été enregistrés à l’aide de diverses
technologies à courte distance des avions. Sixièmement, pas un seul, mais une flotte d'entre eux ont
été vus et suivis. Septièmement, lors d' un témoignage au Congrès, le pilote commandant, Jeffrey
Fravor, a été témoin du brouillage actif du radar de leurs avions. Huitièmement, l'UAP a voyagé à
des vitesses inhumaines jusqu'à 60 milles jusqu'au point de cheminement secret des combattants,
effectuant des virages instantanés à 90 degrés.
Neuvièmement, lorsque l'UAP est tombé de 80 000 pieds au niveau de la mer, il l'a fait en un instant.
Dixièmement, une confirmation visuelle a été faite par des officiers de l' USS Princeton à l'aide de
jumelles puissantes, observées de jour et brillantes la nuit. Onzièmement, les appareils ont
réagi intelligemment à la poursuite des combattants. Douzièmement, les agents attestent
de l’existence d’une vidéo plus longue, plus claire, mais toujours classifiée.
Des oiseaux? Une explication non extraterrestre pourrait être que les ovnis sont une nouvelle
espèce d’oiseau brillant qui surgit de l’espace et brouille les radars alors qu’il vole à 13 000
milles à l’heure.
Plusieurs témoins militaires du Nimitz et de Princeton se sont maintenant manifestés, confirmant que
plusieurs navires, pilotes et opérateurs radar ont tous détecté l'UAP sur une période de plusieurs
semaines et l'ont ensuite détecté outremer dans le golfe Persique. De même, l’USS Roosevelt
a fait l’objet de nombreuses observations similaires en 2014 dans l’océan Atlantique plutôt que
dans l’océan Pacifique. Le gouvernement recueille désormais des rapports réguliers auprès des
pilotes.
Rien de tout cela est nouveau. Cela vérifie simplement les rapports dont nous avons autrefois ri
ou ignorés comme étant trop incroyables.
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Buzz Aldrin Avec l'aimable autorisation de la NASA
7 : Il n’existe aucune raison pour que les civilisations avancées nous contactent ouvertement… pour le
moment
Ce point n’est en réalité pas une preuve mais une réfutation du paradoxe de Fermi : s’ils sont ici,
pourquoi n’ontils pas annoncé leur présence ?
Il n'y a pas de paradoxe. Le prétendu paradoxe suppose que nous sommes les pairs de
civilisations des centaines, des milliers, des millions ou des milliards d’années plus avancées. Nous
ne sommes ni leurs égaux intellectuels ni technologiques.
Nous devons également considérer que de nombreuses espèces exotiques, voire la plupart, peuvent vivre
dans un environnement physique ou microbien totalement incompatible avec le nôtre et pourraient
accidentellement contaminer la Terre ou leurs propres civilisations par contact.
Et puis il y a les crashs. Comment une civilisation assez intelligente pour traverser la galaxie peutelle
être si sujette aux accidents ?
La rencontre avec Nimitz a peutêtre enregistré jusqu'à 100 signaux radar simultanés. Si,
hypothétiquement, chaque année, 100 000 sondes diverses visitent la Terre, utilisant diverses
technologies furtives, et qu’une sur un million s’écrase, alors tous les dix ans, en moyenne, une s’écraserait.
Certaines raisons pour lesquelles des engins avancés pourraient s'écraser incluent le processus périlleux
pour arriver ici, les attaques chanceuses de nos militaires, des phénomènes naturels comme la foudre,
de simples accidents, l'incapacité de se détecter en mode furtif,
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révélation intentionnelle ou conflits interstellaires. Crashs ou non, des scientifiques

réputés du monde entier ont étudié de prétendus matériaux UAP que nous ne
pouvons pas expliquer avec les techniques de fabrication modernes. Récemment, Garry
Nolan , de l'Université de Stanford, a fait part de sa conclusion, partagée par Jaques
Vallée et Lou Elizondo, selon laquelle les ÉtatsUnis détiennent des matériaux qui
dépassent de loin l'invention humaine.
Mais la vraie raison, selon beaucoup, pour laquelle ils ne nous ont pas officiellement
contactés est la même raison pour laquelle nous ne fournirions pas soudainement des
voitures, des armes et des maisons aux tribus primitives. Cela changerait
fondamentalement qui ils sont et cela nous coûterait une chance de mieux comprendre l’humanité.
Les extraterrestres peuvent hésiter à nous inviter à leurs unions interstellaires pour
la même raison que nous n'inviterions pas les chimpanzés à la nôtre. Ils sont ici avec
un contact bref et obscur, observant cette espèce primitive alors qu'elle plane au
bord de l'autodestruction. Il est peu probable qu’ils créent une ambassade prochainement
car une bonne partie des primates primitifs de la planète chercheraient à détruire les
redoutables démons inhumains.
Les extraterrestres avancés n’essaient probablement pas de nous dicter la voie, mais
observent plutôt notre lente croissance sociétale. Ils feraient bien de ne pas s’annoncer
au hasard à notre population facilement paniquée et souspréparée. Peut
être attendentils notre découverte officielle de leur existence et notre invitation
formelle et solidaire à venir nous rendre visite.
Les éléments constitutifs de la vie sont détectés dans tout l’univers, des nuages
interstellaires aux météorites. Photo gracieuseté de la NASA
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La conclusion inévitable
Nous ne savons pas vraiment grandchose. Mais nous savons une chose :
Nous sommes observés.
La bonne nouvelle est que nous ne courons probablement aucun danger, car n’importe
quelle ligue spatiale aurait facilement pu nous détruire par de multiples moyens banals mais
impitoyables. Et l’espace est plein d’or et d’eau et de tous les éléments que nous craignons que
les ET ne volent dans nos trésors. En fait, de nombreux témoins présumés rapportent que les
extraterrestres sont très préoccupés par le fait que nous détruisons nousmêmes notre
planète. Il existe certes des risques, car notre planète ellemême est un trésor douillet que
certains souhaiteront peutêtre habiter pour leur résidence de vacances. Mais, jusqu'à
présent, les multipropriétés extraterrestres n'ont pas fait leur apparition (je ne peux pas le
prouver, car il est impossible de prouver une réponse négative).
Avec la technologie croissante de nos télescopes et notre ouverture croissante, nous sommes
sur le point de découvrir la vie extraterrestre – ou, plus probablement, de découvrir
que les extraterrestres nous ont découverts il y a longtemps. La lente prise de conscience de
l’existence d’êtres plus avancés est la plus grande nouvelle de l’histoire de l’humanité. Peut
être que la seule raison pour laquelle nous n’avons pas pris conscience de l’ampleur de cette
réalité est qu’elle est accablante. Cette connaissance change notre
compréhension de tout. Relevons ce défi avec audace et créons un chemin pour finalement
dépasser notre tribalisme et rejoindre la communauté intergalactique.
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Oui, ce sont des extraterrestres ­ Kevin Harville ­ Medium

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Les possibilités infinies

2 sur 18 23/02/2024 07:22

Les chances de visite extraterrestre sont extrêmement élevées et les chances

Avec la confirmation des rencontres venant de plusieurs gouvernements, le saut hypothétique

1 : La galaxie est explorable à la vitesse de la sublumière

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Mission Orion. Photo gracieuseté de la NASA

Nous en sommes la preuve.

4 sur 18 23/02/2024 07:22

Photo gracieuseté de la NASA

2 : La galaxie est immense et ancienne

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Il y a 13,7 milliards d'années : l'Univers et la Voie lactée Il y a 13 milliards

6 sur 18 23/02/2024 07:22

Il en suffit d'un seul.

Image gracieuseté de la NASA

3 : Les signes de vie sont partout

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Oui, c'est inimaginable.

Il n’est plus irrationnel de croire que la vie extraterrestre pourrait et évoluerait.

4 : Des témoins qualifiés s’expriment

Depuis des décennies, plus de 1 000 responsables gouvernementaux et entrepreneurs du

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10 sur 18 23/02/2024 07:22

Alors que les États­Unis déclassifiaient progressivement les enregistrements d'incidents

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Ce ne sont là que quelques­uns des cas les plus confirmables. Il y en a des

12 sur 18 23/02/2024 07:22

Photo d'OVNI de McMinnville, Oregon, 1950

5 : Ce n’est pas une technologie humaine avancée

Seulement en cas d'ingénierie inverse.

13 sur 18 23/02/2024 07:22

Photo d'un garde­côte , 1952

6 : Il ne s’agit pas de conditions météorologiques, d’illusions d’optique, d’hallucinations ou de dysfonctionnements

Quelles preuves les sceptiques ignorent­ils ? Regardons la rencontre avec Nimitz

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17 sur 18 23/02/2024 07:22

Nous sommes observés.

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Ce ne sont là que quelquesuns des cas les plus confirmables. Il y en a des

Photo d'un gardecôte , 1952

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