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OVNIS en France
Les enquêtes de Georges Metz
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EDITIONS INTERKELTIA
Collection dirigée par Christel SEVAL
Ecrivez-nous : interkeltia@hotmail.fr
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naître l'interaction de l’esprit avec la matière ? Les phénomènes ob-
servés et les contacts révélés par nos sens en éveil, ne permettent pas
d’être absolument certains de pouvoir les inclure dans notre réalité
ordinaire. Nous avons besoin de preuves matérielles qui conforte-
raient notre vécu pour s’assurer que nous n’avons pas rêvé.
Les témoins sont le plus souvent pris dans un contexte hors du
temps et de l’espace. Un "passage à vide" dans un ailleurs où les
perceptions sont différentes. Le retour à l’instant précédent où le
phénomène paranormal se manifeste, ne permet pas de l’inclure
dans le cours de la réalité ordinaire. Le sens commun du vécu est
perturbé dans sa continuité temporelle. Cette rupture est désignée
par le terme anglo-saxon : "missing time", ou temps manquant.
Les cas d’apparition à caractère ufologique, pris isolément, passent
dans la plus grande majorité inaperçus, parce qu’occultés, et restent
inconnus. C’est la quantité des observations, dont seulement une très
petite partie a été rapportée par les témoins, qui permet de se pen-
cher maintenant sur le sujet dit : Objets Volants Non Identifiés. Ces
phénomènes sont mondiaux, et sont propres à embarrasser les plus
hautes autorités de chaque pays.
Le plus souvent, seuls sont pris en compte les rapports officiels des
marins, pilotes militaires et civils, les opérateurs de radars et per-
sonnels ayant une responsabilité professionnelle devant rendre
compte aux autorités. En France : la Gendarmerie Nationale, depuis
1974, recueille, conserve et transmet ses rapports au GEIPAN
(Groupe d’Etudes et d’Informations sur les Phénomènes Aérospa-
tiaux Non Identifiés) bureau assimilable à une sous-commission du
CNES (Centre National d’Etudes Spatiales).
La plus grande confusion s’est installée sur le sujet depuis la fin de
la deuxième guerre mondiale.
Les rumeurs les plus folles ont été répandues dans les médias.
Ce livre est une recherche au cœur de récits hallucinants obtenus de
première main auprès des témoins. Des témoignages dont
l’importance et la nouveauté, par rapport à la littérature spécialisée
qui n’est souvent qu’un "recopiage", apportent un éclairage unique
et original sur le phénomène Ovni. Dans les faits rapportés ici, la
sincérité des témoins n’a pu être mise en doute. Ceci n’est pas un
gage d’authenticité ni de vérité. Le sceptique demandera légitime-
ment des preuves matérielles.
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Ces preuves seront pourtant toujours discutables et sujettes à inter-
prétation. Le problème de l’ufologie n’est pas seulement matériel,
qui n’est qu’un aspect des choses. Il est aussi d’ordre philosophique
et spirituel. Il relève d’un niveau de compréhension plus vaste. Une
réalité existentielle supérieure qui transcende le sens commun.
La conséquence directe de cette situation est qu'il est aléatoire, voir
inutile, de rechercher des éléments de preuves uniquement maté-
rielles, recherche qui s’est d’ailleurs jusqu’ici, le plus souvent, révé-
lée vaine. L’aspect physique d’une observation n’étant qu’un instant
fugace de notre perception, comme peut l’être la scène saisie par
une photographie au dos de laquelle il est indispensable d’inscrire,
outre le sujet, le lieu et la date de l’événement : c'est-à-dire donner
un complément contextuel pour situer et comprendre la scène.
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N ous sommes un petit groupe d’enquêteurs, avec évidemment
chacun, son historique particulier.
Ce vaste sujet des Objets Volants Non Identifiés (OVNI),
un univers d’interrogations, a rassemblé nos énergies et cimenté
notre amitié. Je tenais aux quelques mots de qui vont suivre, afin de
présenter cette petite bande de traqueurs de l’indicible, mousque-
taires de la recherche d’une forme apparente d’irréalité, qui interfère
avec notre monde et qui continue à nous transcender.
Gérard Deforge a publié quelques unes de ses plus "belles" enquêtes
au fil des pages de notre revue de référence, LDLN (1), que dirige
avec un grand talent le respecté ufologue Joël Mesnard. Il vient aus-
si de graver un DVD rassemblant ses principales enquêtes.
Directeur d’Ecole honoraire, que Gérard a dirigée pendant 23 ans,
les parents d’élèves de l’école connaissaient son intérêt pour les
OVNI et ils ne l’ont jamais pris pour un farfelu. A certains mo-
ments, même, les plus grands de ses élèves et aussi quelques parents
lui communiquèrent des témoignages qui furent enregistrés à la
gendarmerie de Pontoise. Un site sur internet rend compte de
quelques-uns de ces témoignages (2). De même, vous pourrez trou-
ver de sa part un très intéressant témoignage personnel, (3) enregis-
tré par Franck Marie (4), qui dirigea l’importante base de données
nommée "Banque Ovni".
Gérard s’est surtout fait remarquer par la qualité de ses investiga-
tions dans l’affaire dite "d’Haravilliers" (5). Dans cette importante
étude, on apprend qu’il y a au moins six témoins concernés à des
degrés divers. De plus, Gérard a su faire partager son investigation à
des sommités de l’ufologie, qui consolident sérieusement les indices
de crédibilité de ce document. Il a pu en effet associer l’éminent
ufologue Jacques Vallée, (que l’on ne présente plus !) à son enquête,
ainsi que notre très regretté ami le Contre-amiral de Réserve Gilles
Pinon (6) brutalement décédé prématurément, dans le temps de la
rédaction de cet Avant-propos.
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Le deuxième mousquetaire, notre ami Jean-Claude Venturini, beau-
coup trop modeste et discret pour être notoirement connu est pour-
tant d’une grande efficacité, grâce à ses compétences en mathéma-
tiques et en physique, d’un bon niveau. Après un cursus universi-
taire classique, complété par un DEA de mathématiques, il a travail-
lé dans des entreprises de pointe en technologie et statistiques. Il a à
son actif de "belles" enquêtes, et a toujours cherché à nous aider à
approfondir nos propres recherches en utilisant ses multiples talents.
Facultés d’une grande utilité lorsqu’on cherche à discerner le réel
de "l’irréel", auxquels nous nous trouvons confrontés.
Quant à moi, Georges Metz, auteur du présent ouvrage, je suis tech-
nicien retraité après 32 ans dans l’industrie aéronautique. Ma spécia-
lité professionnelle était le travail des métaux en feuilles appliqué
aux appareils de laboratoire et le dessin industriel. Autodidacte, je
pense avoir honorablement réussi une carrière, successivement
comme chaudronnier, traceur, et pour finir technicien préparateur en
méthode de fabrication dans d’importantes entreprises comme la
SNECMA, Etudes prototypes moteurs et Dassault Aviation en fabri-
cation cellule, avions militaires et civils.
J’ai aussi beaucoup étudié et investigué dans le domaine de
l’ufologie et suis un des plus anciens lecteurs et collaborateur de la
revue LDLN. J’ai éprouvé le désir d’écrire ces " Mémoires
d’enquêteur " après l’une de mes dernières rencontres avec un "con-
tacté " exceptionnel : Robert L., dont la relation privilégiée avec des
entités extraterrestres et la révélation de ce cas, après quarante an-
nées de secret obligé, constitue le noyau principal de mon ouvrage.
J’ai souhaité associer mes deux amis dans cet "Avant-propos ", étant
donné "qu’in fine", ils ont participé à l’approfondissement de cette
enquête très particulière. Par exemple, Gérard a réalisé une vidéo
d’une durée de 53 minutes, en présence du témoin, sur les lieux
même de cette affaire dite des " Boules de l’Aveyron ", qui est une
forme de complément visuel à la compréhension de cette enquête.
Cas dans lequel j’ai été littéralement propulsé et qui a, au sens
propre, bouleversé ma vie d’enquêteur !
Quant à Jean-Claude Venturini, aidé de plusieurs amis, il a pu ap-
profondir des éléments particulièrement importants dans cette af-
faire, et cette contribution a permis d’augmenter les indices de cré-
dibilité de l’incroyable histoire que vous allez découvrir.
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J’espère que vous éprouverez de l’intérêt à prendre connaissance de
ces enquêtes de terrain, et, plus particulièrement, celle consacrée à
l’aventure exceptionnelle de notre grand témoin, et maintenant ami
Robert L, appelé familièrement " Roro" par les "extraterrestres"… !
Georges Metz
10
O
VNI, de UFO (Unidentified Flying Object) d’où Ufologie
(Etude des ovnis)
Définition.
12
Les phénomènes physiques.
13
Les témoins sont confrontés à une intelligence qui dirige le phéno-
mène.
Leur mental est pris en compte suivant leur niveau culturel et leur
mode de vie.
Cette situation dominante est vécue comme un viol de conscience
où le sujet terrorisé refuse toute acceptation de la situation, ou bien
accepte de jouer le jeu de coopération et se place en état de soumis-
sion volontaire. Le plus souvent, dans les cas de rencontre rappro-
chée, les témoins ne se souviennent pas de ce qu’il leur est arrivé.
Des régressions sous hypnose permettent quelquefois d’en ap-
prendre davantage sur le vécu. Mais cette technique peu fiable est
sujette à caution par des éléments induits perturbateurs. La psychia-
trie a démontré que les témoins, même perturbés, avaient leur raison
et n’étaient pas "dérangés"... Dans la majorité des cas, il s’ensuit une
lente prise en compte de cette nouvelle réalité et le témoin s’en
trouve transformé par une prise de conscience philosophique élargie
de la vie terrestre.
Ces sentiments nouveaux et intimes ne sont pas immédiatement par-
tageables avec autrui. Surtout quand les témoins subissent des con-
tacts répétés avec le phénomène physique et mental.
Cette situation conduit le "contacté " à s’isoler du monde extérieur
qui ne le comprend pas.
C’est la raison qui explique que les témoins ont des difficultés à se
confier à quelqu’un qui ne les prendra pas au sérieux, et se moquera
de leur témoignage.
Les enquêtes.
14
De nombreuses autres observations d’objets volants inconnus au-
dessus de l’Europe du nord en 1946 et aux Etat Unis, avaient été
auparavant rapportées par la presse.
Du fait de la position prédominante de ce pays après la deuxième
guerre mondiale, les rumeurs les plus alarmantes créant une certaine
confusion, seront reprises en main par les autorités civiles et mili-
taires pour démentir et contrer la liberté de l’information.
Diverses commissions seront crées au sein de l’Air Force et reprises
ensuite comme les projets "Twinkle, Blue Book, Grudge et Signe"
pour aboutir au rapport de la commission Edward U. Condon de
l’Université du Colorado et dont les conclusions négatives amène-
ront l’Air Force à clore officiellement l’étude des UFOs en 1969. La
communauté scientifique soulagée, les autres pays s’aligneront sur
la décision américaine.
En France, dès 1950, le deuxième bureau de l’Armée prendra les
choses au sérieux. C’est le Ministre des Armées, Robert Gallet qui,
en 1974, révèlera dans une émission à France-Inter, le travail de
récolte de témoignages consignés par l’Armée de l’Air et la Gen-
darmerie Nationale.
L’ensemble de ces témoignages était transmis au Groupement
d’Etude des Phénomènes aériens créé par René Fouéré en 1962 le
(GEPA). Groupement privé qui publiera un bulletin : Phénomènes
Spatiaux jusqu’en 1977, suivi du GEPAN, organisme d’état au sein
du CNES (Centre National d’Etudes Spatiales), qui deviendra le
GEIPAN en 2005.
Divers groupements privés les avaient précédés ; OURANOS en
1951 par Marc Thirouin et le groupement LDLN en 1958 par Ray-
mond Veillith qui publiera la revue " Lumières Dans La Nuit " pen-
dant trente ans, dirigée maintenant par Joël Mesnard depuis sep-
tembre 1988.
D’autres revues à faible tirage, également vendues sur abonnement,
ont eu une durée de vies éphémères ; alimentées seulement de cou-
pures de presse et du travail d’enquêteurs amateurs et bénévoles.
Des chercheurs indépendants appelés "ufologues ", des journalistes
et des écrivains ont écrit un nombre considérable d’articles, et de
livres de qualité inégale sur le sujet. Les avis et les hypothèses les
plus diverses ont été présentés. Les témoignages rapportés recopiés
de l’un à l’autre ne permettant pas toujours de remonter à la source
de l’information, font qu’il est très difficile d’en authentifier
15
l’origine. Les témoins, le plus souvent anonymes, ne souhaitant pas
être discrédités par leurs déclarations jugées incroyables par une
personne non préparée.
On touche là le cœur du problème des enquêtes personnalisées sur
des témoins disposés à raconter leur histoire intime de rencontre
avec l’insolite. Une confiance absolue doit s’établir avec l’enquêteur
réceptif et impartial pour une écoute qui relève de la confidence.
Une confidence comparable à une confession, par un témoin le plus
souvent traumatisé par un phénomène hors du commun. Une chose
invraisemblable et fantastique à peine racontable.
De son côté, l’enquêteur doit être informé sur le sujet ufologique ;
disponible et indépendant, sans esprit de profit autre que celui
d’établir la vérité de l’expérience vécue ou subie par le témoin.
Une bonne part d’intuition et de psychologie sont nécessaires pour
mener à bien une enquête le plus souvent conduite dans des mo-
ments de disponibilité, dans un climat de détente propice à la confi-
dence.
Bien qu’une méthode d’investigation et qu’une préparation soient
nécessaires, elles ne sont pas indispensables pour recueillir les pre-
miers témoignages d’une rencontre ovni aléatoire et imprévisible.
C’est l’enquêteur de terrain qui a le plus de chances de relever les
témoignages et les premiers indices de crédibilité du phénomène
ovni.
Chaque cas pris séparément peut sembler illogique, incohérent, in-
croyable, déraisonnable.
Bien des enquêtes n’ont pas été publiées intégralement dans tous
leurs détails, jugées trop hâtivement irrecevables en l’état, avec
quelques apparentes bonnes raisons.
C’est la quantité de phénomènes semblables et comparables dans
certains aspects les plus insolites, qui font que c’est justement sur
ces points là qu’il faut porter notre attention et noter les témoignages
dans leurs similitudes les plus flagrantes.
Des témoins éloignés qui ne se connaissent pas, racontent les mêmes
absurdités apparentes dans leurs détails les plus invraisemblables. Ils
ne sont pas tous fabulateurs, dérangés ou fous. Il y a un problème, et
ce problème est de taille. Les dérivatifs, évitements, dérobades pour
tenter de fournir une explication valable et rationnelle, se heurtent
aux faits les plus significatifs d’étrangeté, entraînant des interroga-
tions et des explications à fournir aux esprits un tant soit peu cu-
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rieux. L’ufologie a besoin de mobiliser les chercheurs dans toutes
les disciplines scientifiques et philosophiques, au-delà de nos con-
naissances actuelles, remettant en cause nos acquis culturels, afin de
prendre en compte le plus grand problème de notre temps :
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sans préjugés ni restrictions aucune. Ce parti pris que nous ayons
affaire à une intelligence supérieure, a l’avantage de laisser le
champ libre aux spéculations les plus audacieuses sur l’aventure
spatiale que nous avons entreprise, au-delà de notre planète.
En marge des observations d’Ovnis, la plupart des récits de contact
avec des êtres inconnus présentent entre eux des similitudes éton-
nantes. Ces êtres nommés extraterrestres (E.T), sont décrits comme
ayant forme humanoïde, de robot, voire de forme indéfinissable.
D’après les témoins "contactés", les E.T observeraient la Terre et
ses habitants depuis très longtemps et seraient soucieux de la gravité
de la situation de nos civilisations actuelles.
La recrudescence de ces contacts serait destinée à alerter les autori-
tés terrestres au niveau politique et scientifique sur les dommages
planétaires que nous pourrions engendrer.
La prudence la plus élémentaire consiste à prendre ces hypothèses
de contact avec le plus grand sérieux.
En France, c’est le rapport COMETA qui, en 1999, ouvrira le débat
en publiant un rapport adressé au Président de la République et au
Premier Ministre. Ce rapport sera publié dans la presse et dans un
numéro hors série du grand hebdomadaire national: VSD.
Pour la première fois, des hommes, dont certains ont occupé de très
hautes fonctions, tels :
Le général Bernard Norlain, ancien directeur de IHEDN, l’institut
des hautes études de la défense nationale.
Jean-Claude Ribes, astrophysicien et ancien directeur de
l’Observatoire de Lyon.
Le professeur André Lebeau, ancien président du Cnes, Centre na-
tional d’études spatiales.
L’ingénieur en chef des Mines, Christian Marchal. Le général de
l’armée de l’Air, Denis Letty.
L’amiral Marc Merlo. L’ingénieur général de l’Armement, Alain
Orszag, et bien d’autres…
Ces hommes ont accepté de cosigner un rapport circonstancié entiè-
rement consacré au problème OVNI, jugeant qu’en fonction des
connaissances acquises à ce jour, il posait suffisamment de ques-
18
tions d’intérêt national pour que ces informations soient portées au
plus haut niveau de l’Etat.
Dans ce rapport très documenté, sont traités des faits depuis 1947.
Des témoignages de pilotes français, et de cas aéronautiques dans le
monde entier. Des phénomènes lumineux inquiétants.
M. Giraud, pilote de Mirage IV (7 mars 1977)
Le colonel Claude Bosc , élève pilote à Tours (3 mars 1976)
Jean-Charles Duboc, commandant de bord du vol d’Air France AF
3532 (28 janvier 1994)
Le cas de Laken heath (Royaume-Uni) (13-14 août 1956)
L’avion RB-47 aux Etats-Unis (17 juillet 1957)
L’affaire de Téhéran (18-19 septembre 1976)
En Russie, à l’est de Moscou (21 mars 1990)
Sans Carlos de Bariloche , (Argentine) (31 juillet 1995)
Des cas d’observation près du sol, des traces et des rencontres rap-
prochées.
Phénomène observé par de nombreux témoins à Tananarive (16 août
1954)
Observation d’une soucoupe près du sol par un ancien pilote, Jean-
Pierre Fartek (9 déc. 1979)
Un cas à témoins multiples dans une base de missiles russes (28-29
juillet 1989)
Le cas Maurice Masse à Valensole, Alpes-de- Haute- Provence ( 1er
juillet 1965)
L’observation des enfants de Cussac, Cantal (29 août 1967)
Le cas de Trans-en-Provence, Var (8 janvier 1981)
L’affaire dite de « l’Amarante » (21 octobre 1982)
Il y est fait le point des connaissances et de l’organisation de la re-
cherche en France.
En 1977, le CNES (Centre National d’Etudes Spatiales) a reçu la
mission de mettre en place une structure d’étude des phénomènes
aérospatiaux non identifiés (PAN) : le Groupe d’études des phéno-
mènes aérospatiaux non identifiés (GEPAN) avec la participation de
la Gendarmerie nationale chargée depuis 1974 de recueillir les té-
moignages se rapportant aux observations d’ovnis. Des instructions
sont données pour collecter les rapports de l’Armée de l’Air et de
l’aviation civile.
Des méthodes d’analyse sont établies pour formuler des hypothèses
et faire des essais de modélisation. Des conclusions en sont retirées
19
dont nous savons que les avis sont partagés en haut lieu, sur la con-
duite à tenir face à la recrudescence du phénomène au niveau mon-
dial.
Le rapport conclut courageusement : Finalement, pourquoi le se-
cret ?
L’association COMETA analyse avec pertinence la justification du
maintient du secret au Pentagone chez les militaires américains.
Chez les responsables des principaux pays on s’aligne sur les Etats-
Unis, pour des raisons politiques et économiques. C’est partout
l’expectative.
Cette situation ambiguë et délicate sur la révélation, ou non, aux
Etats-Unis, comme en France, a conduit le Contre-amiral Gilles Pi-
non, à la tête d’un collectif, à publier une lettre ouverte au Président
de la République Française.
**********
20
phique et bien entendu ufologique d'un phénomène planétaire con-
cernant nos civilisations.
21
La passion pour l'Espace
22
Une observation d’ovni en Haute-Savoie en 1940 ?
Bibliographie :
Pour les nouveaux ufologues comme pour les anciens. Un excellent recueil vient
de paraître :
"OVNI, le dossier des rencontres du troisième type en France"
Un recueil des principales affaires classiques de l'ufologie d'expression française
regroupant les articles de journaux, de revues et de livres d'auteurs connus et re-
nommés.
Diffusion du catalogue 352 pages, format A4, par l'auteur :
Julien Gonzalez, 22 rue Turgot, 21000 Dijon. (Voir également son blog sur inter-
net)
23
A
u cours des années j'accumulais les livres et les revues. Ou-
ranos fondé par Marc Thirouin en 1951. "Lumières Dans La
Nuit" (LDLN) fondé en 1958 par Raymond Veillith et
"Phénomènes Spatiaux"(PS) du GEPA de René Fouéré en1962.
24
Après les présentations d'usage, nous discutâmes de cas d'atterris-
sages les plus significatifs et de l'importance qu'il attachait aux en-
quêtes. Je fus impressionné par la vivacité de son esprit et l'expres-
sion de son regard aux yeux vifs qui transperçait l'interlocuteur.
Ma situation en région parisienne et mes occupations profession-
nelles me laissaient peu de temps à consacrer à récolter des témoi-
gnages avant l'âge de la retraite.
C'est en 1988 que je rencontrais à Paris le nouveau directeur de la
revue LDLN, Joël Mesnard et lui offrais ma collaboration.
Le soir du 5 novembre 1990 eut lieu une multitude d'observations
d'objets lumineux ou sombres munis de feux, à basse altitude, au-
dessus de la France et même au-delà de nos frontières. Cet évène-
ment fut attribué par la NASA et les autorités, à la rentrée atmosphé-
rique d'éléments du 3ème étage de la fusée russe Proton qui avait mis
en orbite le satellite de télécommunication Gorizont 21.
Une opportunité d'enquête allait enfin se présenter plus tard, quand
je découvris le rapport de Joël Mesnard sur l'observation de l'Isle-
Adam (Val d'Oise). Dans le n° 318 de LDLN
Libéré de mes obligations professionnelles, j'allais pouvoir faire de
l'ufologie "de terrain" en recherchant des sujets d'enquêtes auprès
des témoins.
Une occasion n'allait pas tarder à se présenter, et bien d'autres un
peu plus tard. Je mis de l'ordre dans mes livres et dans mes docu-
ments, avec ma participation active à la revue LDLN :
"Lumières Dans La Nuit".
25
C’est une femme active et dynamique, que sa profession amène à
beaucoup voyager, parfois dans des pays lointains.
Ses deux filles, alors âgées de 6 et 8 ans, se trouvaient en sa compa-
gnie, ce soir du 5 novembre ; elles étaient assises sur le siège ar-
rière de la voiture, mais n’ont pas observé le phénomène.
Claire Depeuille circulait dans l’Isle-Adam (Val d’Oise), suivie de
la voiture d’une amie. Celle-ci s’étant trouvée bloquée à un feu
rouge, Claire Depeuille décida de s’arrêter pour permettre à son
amie de la rejoindre. C’est ainsi qu’après avoir traversé un second
carrefour, elle tourna à gauche dans l’avenue des Bonshommes, et
s’arrêta presque aussitôt.
Son regard était alors tourné vers le sud-est. Elle vit tout d’abord,
dans l’axe de l’avenue, ce qu’elle prit pour une étoile filante, puis,
l’instant d’après, deux projecteurs horizontaux, parallèles, se dé-
plaçant approximativement du sud vers le nord.
Presque aussitôt, ces deux projecteurs (portés par une masse
sombre, dont elle distinguait mal les contours dans la nuit) tournè-
rent pour se mettre dans l’axe de l’avenue.
La chose remonta donc l’avenue des Bonshommes, se rapprochant
rapidement de la voiture à l’arrêt.
La masse sombre aux contours assez indistincts, pouvait avoir la
forme d’un triangle isocèle rectangle (un demi-carré), le grand côté
en avant. Ses extrémités droite et gauche étaient masquées par les
arbres bordant l’avenue.
Le premier virage avait été pris à environ 300m du carrefour, et
soudain, alors que l’énorme objet ne se trouvait plus qu’à une cin-
quantaine de mètres de la voiture, il bascula sur sa droite, prenant
sur place un virage d’environ 300°, accéléra de façon foudroyante,
et disparut en direction approximative de l’est.
JM
26
Cette dame me reçut très aimablement chez elle un samedi matin, où
elle me confirma le témoignage de son observation le soir du 5 no-
vembre 1990 comme bon nombre de personnes.
Pendant qu’elle me racontait son aventure, j’ai ressenti son émotion
qui n’était pas feinte.
J’ai pu ainsi compléter l’excellente enquête de Joël Mesnard sur un
phénomène visuel insolite. J'ai pu aussi vérifier l’impact psychique
de cette apparition laissé sur le témoin. Il est certain que ce soir là, il
s’est passé autre chose qu’une simple rentrée atmosphérique d’un
quelconque débris de fusée russe. Un cas typique de mimétisme du
phénomène ovni.
Réactions du témoin :
27
Cette dame a tout de suite pensé à un Ovni, "d’après ce qu’elle en
connaît, comme tout le monde" (Sic) .Sa première réaction a été
d’occulter l’évènement par un rejet de l’insolite.
Quelque chose de bizarre, d’inhabituel, dont il ne fallait rien laisser
entrevoir aux deux filles qui n’avaient rien vu, assises sur la ban-
quette arrière de la voiture.
Toutefois, une curiosité persistante le lendemain, a décidé Claire à
interroger par téléphone la Tour de Contrôle de l’Aéroport de Rois-
sy ; une information radio faisant état d’observations d’Ovnis en Bel-
gique et dans le nord de la France. Roissy a confirmé son observa-
tion, le phénomène ayant survolé l’Aéroport le soir même du 5 no-
vembre (Distance à 26 km. de l’Isle-Adam).
GM
28
L’Isle-Adam, 5 novembre 1990
29
Haravilliers (Val d’Oise) Janvier 1998
Un énorme Ovni survole un groupe de chasseurs
30
phénomène. Comment il a été sollicité par la Banque Ovni de
Franck Marie pour enquêter sur le cas d'Haravilliers, et sa rencontre
avec Jacques Vallée.
31
avec des lumières colorées : vert, rouge et jaune, qu'il compare à des
rampes d'éclairage de stade, qui n'éclairent rien…!
Ils vont bientôt passer sous cette "chose" à la rencontre d'un objet
aérien de forme plate et ronde qui semble les attendre, coiffé de
puissantes lumières. M.D ne stoppe pas son véhicule et continue à
rouler. Il peut maintenant voir distinctement le "disque", d'environ
45 mètres de diamètre, haut de trois étages d'immeuble, immobile à
une dizaine de mètres au-dessus d'eux. Ils atteignent l'aplomb du
bord du disque volant stationnaire et absolument silencieux,
"comme au parking" dira M.D, qui a baissé la vitre de la voiture,
roulant lentement. Il peut maintenant le détailler avec précision. Le
dessous est plat et gris avec des ouvertures rondes et sombres, régu-
lièrement espacées, inscrites dans un bloc hexagonal en saillie. Au
centre de l'objet, se trouve un grand creux d'environ 6 m de diamètre
qui fait penser à une sorte de trappe d'ouverture. L'ensemble est im-
posant et paraît irréel. Le moteur de la voiture ne s'arrête pas." Un
ange passe"… Personne ne parle. M.D, a une étrange sensation de
tristesse. Son cerveau "se vide"; plus de pensée, plus de réflexe.
Tout est extraordinairement calme. Le temps semble suspendu…
M.D, comme les autres passagers de la voiture sont comme anesthé-
siés, et ne se souviendront de rien…
Quand le témoin reprend conscience de ce qu'il fait, et où il se
trouve, il estime difficilement le temps exact passé dans cet état très
particulier. Sur le coup il ne se souvient de rien. Il est toujours au
volant de sa voiture qui a parcouru 1,2 km. Comment ? Mystère ?
Sur le parking du hameau, M.K attend patiemment l'arrivée des ses
amis, assis au volant de sa voiture. Il leur décrira qu'une chose in-
croyable l'a survolé. Par le toit ouvrant vitré, il a pu voir le ciel
s'assombrir subitement par une masse noire qui a projeté d'étranges
faisceaux lumineux, déversant une multitude de taches multicolores
sur sa voiture. Dans le même temps, il ressentait un inquiétant gron-
dement vibratoire assourdi. Il a pu voir disparaître l'objet, très len-
tement au-dessus des arbres, en ayant le sentiment qu'il allait bascu-
ler vers le sol.
Il voit enfin arriver M.D au volant de sa voiture, accompagné de ses
amis, complètement incrédules, comme si rien ne s'était passé, à qui
il raconte ce qu'il a observé et ressenti.
32
A part M.K, personne ne saisira, ni commentera l'étrangeté de l'évè-
nement. Ils retrouveront leurs autres amis, avec qui ils passeront
ensemble leur journée de chasse habituelle.
Ce n'est que deux heures plus tard, vers 9 heures, que M.D retrouve-
ra quelque peu ses esprits, et qu'il se demandera ce qui a pu lui arri-
ver. Pourquoi ne s'est-il pas arrêté complètement pour mieux voir le
phénomène ?
La scène à
7h30, repré-
sentée par
M.D. Il
montre la
Peugeot 306
du témoin
principal
arrivant sous
le bord de
l’objet.
33
Les effets physiques corporels
Dans les jours qui ont suivi, M.D a ressenti de profondes irritations
aux yeux, au point de consulter un praticien qui a diagnostiqué des
brûlures. Sans révéler l'origine de la lésion, M.D a obtenu un certifi-
cat attestant un bombardement radio magnétique ou électrique d'ori-
gine inconnue, (voir document).
Un autre effet physique s'est produit : une tache brune est apparue
en haut de la pommette gauche correspondant au côté conducteur,
quand il s'est penché par la vitre ouverte pour mieux voir l'Ovni.
Cette tache est vraisemblablement due à un rayonnement de l'engin
qui lui aurait bruni la peau.
D'autres traces corporelles seront constatées plus tard.
M.D dit ne pas comprendre ce qui lui est arrivé et avoue avoir des
pensées qui ne sont pas les siennes. Peut-être en rapport avec ce
qu'il a vu. Des "flashes" d'informations de tous ordres qui arrivent
sans prévenir. Des messages sur l'avenir de l'humanité pas très ré-
jouissants. "Une catastrophe nous menacerait : La rencontre avec un
gros astéroïde, peut-être" Des bribes d'informations scientifiques
comme :
"Connaissez-vous les tachyons " ?
Des particules qui seraient capables de se mouvoir à une vitesse
supérieure à celle de la lumière.
M.D fait allusion à des entités qui lui auraient implanté une espèce
de micro-puce dans son cerveau. Des pensées et des images s'impo-
34
sent à lui comme un "visage" ayant plutôt l'apparence d'une tête de
robot sans âme, ou une tête avec un heaume de chevalier.
Une entité empreinte de tristesse et de pessimisme, qui met le té-
moin mal à l'aise. Une ingérence dans sa vie, que le témoin n'avait
certes pas souhaité rencontrer !
35
Autres phénomènes sur le témoin
Deux mois plus tard, le 13 mai, les problèmes au visage étaient ré-
sorbés au niveau des yeux et la tache à la joue avait pratiquement
disparu. Quelques jours après, le 20 mai, M.D a percé un très gros
furoncle au niveau de la hanche, avec l'aide de sa femme. Cela a fait
une excavation d'environ 1 cm avec un drôle de craquement qui les
a surpris. Au fond du cratère, il y avait une sorte de germe gros
comme un grain de riz de belle taille, qui a été expulsé.
Depuis lors, M.D a constaté que les pensées "étrangères" qui l'im-
portunaient régulièrement, avaient pratiquement disparu. Il a fait un
certain rapprochement avec les deux phénomènes…, mais sans cer-
titude, évidemment.
36
et la pile bouton était complètement vide, ce qui est extrêmement
rare. Mais en remplaçant les aiguilles et utilisant une pile neuve, la
montre s'est remise à fonctionner, mais sans jamais donner l'heure
exacte. Elle est toujours en retard.
37
Haravilliers revisité
38
Elle s'aperçut que ces lumières l'accompagnaient et la chose, visible
de 5 cm à bout de bras, avait un aspect qui ne lui était pas familier.
Elle aperçut également dans un champ, deux tracteurs dont les pro-
jecteurs semblaient orientés en direction du phénomène.
Mme M. ressentit soudain une forte appréhension, se disant qu'il ne
fallait pas franchir l'espace compris entre les tracteurs et l'objet. Elle
arrêta sa voiture, sans sortir et sans arrêter le moteur, pour télépho-
ner, mais en vain. Il n'y avait pas de contact. Elle put observer l'objet
lumineux immobile et les deux tracteurs qui étaient également à
l'arrêt. Il lui sembla qu'elle n'entendait pas le bruit des tracteurs.
La forme géométrique de l'objet dans le ciel était simplement sil-
houettée par des lumières clignotantes multicolores formant un
triangle. Le détail le plus frappant était une forme lunaire ronde
blanc jaune qui semblait en suspension sous la forme triangulaire.
Cette lumière ne clignotait pas. Mme M. sentit la panique l'envahir :
elle ne pouvait pas joindre son mari. Elle redémarra, malgré la peur,
et se dirigea rapidement vers le village. L'objet était toujours là,
mais Mme M. le perdit de vue.
Cette dame, qui était cadre dans une entreprise commerciale, ne s'est
jamais intéressée au problème Ovni. Elle avait eu connaissance par
sa famille, des évènements du 10 janvier 1998, mais elle affirme que
cette histoire lui était complètement sortie de la tête. Lorsque l'en-
quêteur, Gérard Deforge lui a montré le témoignage de M.D. et les
dessins, elle n'a guère manifesté de surprise. Il faut ajouter que cette
dame se rendait chez des amis dont la maison fut probablement sur-
volée par l'Ovni de M.D. Elle lui a appris que le nom du hameau:
"Le Heaulme" avait effectivement un rapport avec le heaume des
chevaliers. Le hameau du Ruel a un lointain passé avec l'histoire des
Templiers. Par la suite, Mme M. a ressenti des maux de tête inhabi-
tuels, le dimanche suivant sa vision du phénomène.
39
Je prenais aussitôt le téléphone pour joindre M.D qui acceptait ai-
mablement de me rencontrer chez moi, en juillet 2003 et plus tard
aussi, plusieurs fois chez lui où je fis également la connaissance de
Jean-Claude Venturini ufologue et ami de Marceau Sicaud qui avait
organisé une réunion à Pontoise où je m'étais rendu quelques années
auparavant.
Ce fut le début d'une rencontre de passionnés d'ufologie qui devait
constituer une équipe de chercheurs et une collaboration qui devait
déboucher sur un échange de compétences et un travail en commun
sur l'extraordinaire affaire des "boules" de l'Aveyron du témoin Ro-
bert L.
Nous sympathisâmes aussitôt avec M.D. Je l'écoutais attentivement
pendant qu'il me racontait son aventure, avec des émotions qui ne
laissaient pas de doutes sur la sincérité de son récit.
Nous aurons l'occasion de nous voir plusieurs fois pour approfondir
son témoignage.
Ce n'est que plus tard en 2008, après avoir obtenu ses coordonnées,
que j'aurai une longue conversation téléphonique avec François K
(je conserve son anonymat) en retraite dans le Var, où nous évoque-
rons nos souvenirs professionnels. Il me confirmera son témoignage
sur ce fameux rendez-vous de chasse d'Haravilliers du 10 janvier
1998 et le phénomène subi dans sa voiture, quand il attendait ses
amis sur le parking.
Il se souvient d'avoir été survolé par une énorme masse noire à hau-
teur des arbres, avoir ressenti un grondement vibratoire et vu des
40
taches de lumières de différentes couleurs qui ont baigné sa voiture.
Ce curieux phénomène s'est déroulé dans une ambiance irréelle où
le fil du temps s'est trouvé décalé par rapport à la réalité.
C'est ce qui est appelé un "missing time", ou temps manquant, en
terme ufologique.
Ce phénomène est connu pour se manifester à proximité d'ovni,
avec l'hypothèse de physiciens, qu'il serait dû à des conséquences
causées par le très puissant champ magnétique dégagé par l'ovni qui
déformerait, en quelque sorte, l'espace et le temps.
41
La veille de notre entrevue a été diffusée par la même Radio I et M.,
une seconde émission sur le cas de Zahia, concernant une séance
d'hypnose par le psychanalyste Daniel Goldschmidt.
Zahia et sa sœur qui vivent en France, ont été élevées dans la tradi-
tion occidentale. En juillet 1990 elles se trouvent en Algérie dans le
village de leur mère, Tizi Bouamane, commune de Meckla dans la
région de Tizi Ouzou, grande Kabylie. C'est une région assez com-
parable à un paysage de Haute Corse, avec des montagnes arides et
quelques arbres culminant à 800 mètres. Zahia à 19 ans et sa sœur
15 ans. Les deux jeunes filles sont montées sur la terrasse de la mai-
son familiale pour se bronzer au soleil, à la manière européenne.
Il est près de midi, le ciel est bleu, sans nuages, il fait chaud. Elles
sont seules mais ont soudain l'impression d'être observées.
Au loin, vers le nord, quelque chose est caché derrière un grand pin.
Une masse sombre se dissimule dans le feuillage et sort lentement
suivie d'une autre. Deux formes ovoïdes qui se rapprochent rapide-
ment vers les jeunes filles pour s'arrêter à environ 150 mètres à la
hauteur d'un immeuble de 30 étages. Deux objets plats comme des
galets gris foncés immobiles dans le ciel, comme reposants sur un
coussin d'air. - Aucun bruit - Pas de vent.
42
La sœur de Zahia s'exclame : -" Ce sont des extra-terrestres"! Les
deux jeunes filles ont eu très peur quand les objets sont arrivés sur
elles,… au risque de les écraser! Ici, Zahia déclare son impression
que le phénomène lisait dans ses pensées :
— Un danger de mort, imminent — Et la réponse immédiate à leur
inquiétude, fut un arrêt brutal des objets en sustentation devant elles.
Les deux Ovnis, car ce ne sont pas des aéronefs connus, vont main-
tenant se livrer à une véritable démonstration. Un ballet de figures
géométriques, accolés comme liés entre eux. S'élançant de la posi-
tion "deux heures". (Terme de navigation aérienne désignant une
position par rapport au cadran horaire). Déplacements rapides en
tous sens. Haut, bas — Aller et retour — Eloignement, jusqu'a de-
venir des points noirs sous les yeux de Zahia et de sa jeune sœur,
stupéfaites et émerveillées par la prouesse du spectacle aérien.
Zahia, le témoin principal, nous a déclaré avoir été déjà sujette dans
sa jeunesse, à des phénomènes paranormaux tels que :
43
Après son premier témoignage, Zahia a accepté de subir une régres-
sion sous hypnose par un psychologue professionnel pour approfon-
dir l'évènement et en savoir davantage sur ce qui lui était arrivé.
La séance d'hypnose
(Ici, Zahia déclare qu'il y avait un rapport entre l'attitude des objets
et ce que nous pensions. Un état d'âme, une sensation de contact. )
Il est demandé à Zahia d'aller voir à l'intérieur des appareils : Rien
vu, mais des sentiments, des émotions.
44
sur une sorte de tableau de bord.-- Même ressenti : sagesse, maturi-
té, nostalgie. .... Etres aimants.
(Ici Zahia manifeste beaucoup d'émotion, pleurs, larmes) C'est
comme s'ils avaient compris quelque chose nous concernant.
45
logiques. Une sensibilité souvent remarquée chez les témoins, en
quelque sorte prédisposés à des "visions" hors de la réalité ordinaire.
Dommage que sa sœur, effrayée, et certainement moins réceptive,
n'a pas souhaité s'exprimer.
46
Extraterrestres repérés à Fort Smith
Arkansas, USA
Nous nous sommes tenus là, nous regardant les uns les autres pen-
dant cinq ou six minutes, quand ils ont disparu dans une lumière
blanche. Tous deux étaient d’approximativement sept pieds (2,1
mètres) de haut, mais celui de gauche était de quelques pouces plus
petit.
Ils sont apparus venant du sud, (la région du stade de Harper –JT.)
à une vitesse de marche moyenne."
47
Taverny (Val d’Oise) juin 2001
Rencontre Ovni au sol avec humanoïdes
Le témoin, Alain Besse, 51 ans, SDF (sans domicile fixe), dort dans
sa voiture, une Ford Corsa blanche, à l’abri des regards dans ce lieu
isolé, comme habituellement, depuis qu’il a perdu son activité arti-
sanale dans le bâtiment.
Il est réveillé dans la nuit entre 1:30 et 2 heures du matin par une
lueur dans le champ. Une masse sombre ovoïde en forme de poire
est près du sol à une centaine de mètres.
Le profil de cette masse se détache sur le fond du ciel dégagé moins
sombre.
Une très forte lumière s’échappe d’une sorte de porte rectangulaire
qui vient de s’ouvrir. Malgré la distance, l’ensemble est estimé de la
taille d’une camionnette.
Le témoin, surpris, pense à une ronde de police venant contrôler la
voiture en stationnement dans cet endroit désert d’autant plus que
deux silhouettes d’apparence humaine s’agitent en contre-jour de la
porte et se dirigent vers lui.
48
49
Le témoin montrant l'emplacement de l'Ovni au coin du champ
50
Le témoin suit la scène, couché sur la banquette arrière de la voiture,
la tête relevée devant la vitre entrebâillée.
Les deux « visiteurs » qui se sont éloignés d’une vingtaine de mètres
de leur véhicule, sont maintenant rejoints par un troisième person-
nage identique qui les fait se retourner vers le nouvel arrivant. Une
concertation semble avoir lieu entre eux, car au bout d’un moment,
les trois personnages font demi-tour vers la porte et rentrent dans
l’engin qui les a amenés.
Jusqu’ici aucun bruit quelconque n’a été perçu à cette distance de-
puis le poste d’observation du témoin. La « porte » se referme sur
les visiteurs, entraînant la disparition de la forte lumière blanche qui
s’échappait sans toutefois éclairer le sol. Reste visible, la masse
sombre avec une lueur diffuse à la base de l’objet.
L’engin opère un demi-tour sur place visible de trois-quarts arrière,
avec une sorte de bourdonnement audible ….Bzzzz (Ici le témoin
imite un bruit d’insecte), et décolle brusquement en s’élevant à plat
sous un angle de 45 degrés, pour disparaître rapidement dans le ciel
nocturne en direction du Nord-est.
51
Il n’est pas question d’aller raconter ces visions aux copains du
stage de formation, ni à quiconque, et risquer de se retrouver dans
une situation pire, ou bien de passer pour un demeuré ou un
ivrogne…et se faire enfermer. Le témoin se tait, et on ne peut l’en
blâmer.
L’événement est volontairement oublié par mesure de prudence. La
zone d’atterrissage ne sera pas visitée, ni l’endroit fréquenté comme
refuge, car difficile d’accès.
Il n’est pas signalé de trouble ni de dommages physiques, à part une
nuit de sommeil gâché.
52
Il est croyant (catholique) et satisfait de pouvoir se soulager de son
secret devant quelqu’un qui l’écoutera sans se moquer de lui.
53
L’appréciation de l’enquêteur est favorable quant à la sincérité du
témoin. Le récit est cohérent et sans fioritures. On demanderait
une suite, mais le témoin ne le souhaite pas.
Attendons quand même ! Si c’est le cas, il s’est engagé à nous le
faire savoir et nous l’en remercions à l'avance.
54
Un important gage d’authenticité. Le silence du témoin pendant
deux années, face un évènement insolite, qu’il a préféré cacher,
jusqu’au jour où l’occasion s’est présentée de pouvoir en parler
dans une émission ufologique.
(1)_ Radio Ici et Maintenant (95.2 FM) 8 rue Violet, Paris 15° Tél.
08.92.23.95.20 Emission Ovni par Didier De Plaige assisté d’Alexandre
Prely le mardi soir à 23 h:20.
55
Photo surprise de deux Ovnis dans le ciel
Mériel (Val d’Oise) 2 Septembre 2004
56
La reproduction de l'image en petit format ne permet pas d'appré-
cier pleinement l'anomalie dans le ciel.
Le deuxième objet, plus bas, est invisible sur cette image.
57
dain attiré presque au-dessus de lui, sur la gauche, par un puissant
flash de lumière. Aussitôt après, trois feux verts intenses alignés
formant un triangle à base très large, émergent d’un nuage.
Ce ne sont pas des avions comme il a l’habitude d’en voir en phase
d’atterrissage, en direction de Roissy ; mais plutôt de puissantes
lumières irisées, type laser de spectacle, qui semblent s’échapper des
côtés de chacun des trois objets dont il distingue les silhouettes,
d’abord vues de face, qui s’approchent à basse altitude, grossissent
et vont passer devant lui. Il peut les voir passer de profil, devant lui :
Ce sont trois gros aéronefs à fond plat rectangulaire, aux angles ar-
rondis ; le dessus est bombé avec les bords nervurés. Les flancs sont
munis de courtes ailes recourbées vers le haut, surmontées chacune
d’une énorme sphère. La trajectoire est régulière et semble recti-
ligne ; les objets conservant leurs positions respectives bien que rien
ne les relie entre eux.
Le témoin, surpris et curieux, doit lever la tête pour suivre la forma-
tion triangulaire qui s’approche en silence et la voir passer presque à
l’aplomb de sa maison. L’ensemble est énorme, et peut à peine être
masqué par la main, bras tendu. Le paysage est tout illuminé de vert,
jusqu’aux arbres sur la rive d’en face la Seine. Le plus impression-
nant est l’absence de bruit qui rend le spectacle irréel, insolite. Une
apparition que l’on ne peut attribuer à quelque chose de connu.
Chaque objet, d’apparence plastique mate, vert sombre, est entouré
d’un fin halo vert clair fluorescent, dessinant les contours. Estimée
avec le pouce et l’index en forme de« C », la taille de chaque objet
est évaluée à celle de trois gros avions de transport. Le corps de la
nef est nervuré par un large sillon longitudinal visible dans la phase
d’éloignement, comme une immense plage arrière. Depuis les bords
plus hauts, semblant venir de l’intérieur autour de l’emplanture des
aillerons, s’échappe une lueur irisée jaune parsemée de formes
noires.
Les objets aériens s’éloignent lentement pour disparaître complète-
ment vers le Nord, derrière un nuage que le phénomène éclaire par
le dessous en laissant le témoin perplexe.
C’est un spectacle grandiose et inoubliable, qui n’a duré que cinq à
six secondes. Daniel n’en a parlé autour de lui que dans sa famille.
58
Le phénomène OVNI ne lui était pas inconnu, mais il ne s’y intéres-
sait pas vraiment.
59
D’autres lumières ont été observées auparavant, dont une en plein
jour à basse altitude au même endroit.
Un petit nuage plat très brillant qui se déplaçait parallèlement au
sol, pour ensuite s’élever brusquement dans le ciel. Là aussi ce ne
pouvait pas être un avion. Une autre fois de nuit, un satellite dont il
suivait la trajectoire, prend soudain la fantaisie de dévier sa course
rectiligne pour effectuer une figure de boucle en forme d’oméga, et
continuer son chemin tranquillement parmi les étoiles.
Des observations récurrentes qui confortent l’hypothèse de témoins
privilégiés.
60
Vue du site de La Frette-sur-Seine, vers Taverny au nord.
La maison du témoin était située sur le coteau, offrant une vue
panoramique au-dessus de la Seine.
61
dans le bâtiment pour voir ce qui se passe ; l’autre "se cache", et lui
demande de rester avec elle.
Tel est le récit que me fit en juin 2005 cette infirmière, après
m’avoir questionné sur la revue LDLN (Lumières Dans La Nuit) qui
était sur la table de nuit.
62
On aurait ici plusieurs témoins : au moins quatre, et probablement
plus, car il y a quatre services avec du personnel de garde dans cette
clinique, ce qui potentiellement ferait 8 à 10 personnes, sans comp-
ter les malades.
JCV
63
Arrêtée, devant un bac à fleurs, Nicole essaye d’en voir davantage
en suivant l’objet des yeux avant qu’il ne disparaisse derrière les
maisons à flanc de coteau. Mais ce n’est pas possible, car tout à dis-
paru. Les lumières se sont brusquement éteints. Le spectacle n’a
duré que 3 à 4 secondes, et puis plus rien. Ce type de comportement
est tout à fait caractéristique des apparitions / disparitions d’Ovnis.
Le caractère d’étrangeté de cet insolite objet volant n’a pas échappé
à notre témoin qui s’est empressé d’en faire part à son voisin Daniel.
Un rapide croquis nous a été fourni avant l’enquête. Nicole, qui est
une artiste, dessine et peint des aquarelles. Un beau dessin était pré-
vu pour illustrer l’enquête. Cela n’a pas été fait, et c’est bien dom-
mage. Nicole nous a avoué avoir été troublée par cette apparition et
ressentir une sorte de blocage pour réaliser un dessin de ce qu’elle a
observé ce soir là. Elle n’en aurait même pas parlé sans les confi-
dences de son voisin.
64
L’homme en noir
65
serait malade, mais brillant de couleur argent ; ce détail me frappe
beaucoup. Il me fait un petit sourire pour me montrer qu’il m’a bien
vue, que je l’observe, et continue son chemin…
66
temps très court. Au réveil, nous savons reprendre le cours de la
réalité ; nous savons faire la part des choses.
67
Le cas de Michel G. que nous suivons depuis plusieurs années et
avec qui nous entretenons des relations constantes, est caractéris-
tique de ce que les anciens classaient dans les cas de possessions
démoniaques.
Nous n’en sommes plus là et pourtant, malgré nos certitudes scienti-
fiques modernes, nous sommes démunis devant des phénomènes
aussi insolites qui dépassent l’imagination.
Les phénomènes qui vont être relatés se situent dans la ferme, près
de Bray-sur-Seine (Seine-et-Marne), qu'il a habitée avec son père
adoptif, et dans les environs, jusqu'à son lieu de travail. Il a perdu sa
mère quand il était jeune et la vie n'a pas été facile pour lui dans un
milieu très défavorisé.
Michel n'est pas un inconnu pour nous à LDLN, puisqu'il a déjà fait
l'objet d'une rencontre rapprochée d'OVNI en 1961 à l'âge de 17 ans
et demi.
Nous y reviendrons plus loin avec l'excellente enquête de Joël Mes-
nard parue dans LDLN n°314 (page 26)
Commençons par raconter les souvenirs des événements subis par
Michel en respectant autant que possible l'ordre chronologique.
68
Le site de la ferme de Bray sur Seine
Avertissement :
Le récit rapporté est tel qu'il a été noté et consigné suivant les décla-
rations du témoin au mieux de l'esprit du sujet traité, sans influences
69
volontaires de l'enquêteur, a priori ou jugement de valeur, sur la
véracité ou les preuves du témoignage. Des précisions ont été appor-
tées chaque fois qu'il a été utile de le noter d'une manière indispen-
sable et non exhaustive, avec un vocabulaire approprié à des événe-
ments exceptionnels.
Les rencontres insolites s'étalant sur plus de quarante années nous
ont conduits à répartir celles-ci par rubriques en commençant par les
plus anciennes.
L'homme du souterrain.
C'est l'été - Juillet / Août 1958. Michel a 14 ans. Il est seul dans la
ferme de la propriété où il loge avec son père adoptif. C'est une bâ-
tisse avec des dépendances, isolée en plein champ dans cette région
agricole céréalière dépendant de la commune de Mousseaux les
Bray.
Il fait beau et chaud, le ciel est bleu avec quelques nuages. C'est
l'après-midi vers 14 / 15 heures. Michel se promène autour du péri-
mètre de la propriété à peine clôturée par un seul mur sur un côté. Il
a maintes fois fait le tour sans remarquer quoi que ce soit de bizarre.
Malgré le soleil aveuglant, il découvre en limite côté Est une ouver-
ture dans le sol. Un trou rectangulaire de 1 x 2 mètres environ bien
découpé, qu'il n'avait jamais vu ; des travaux peut-être ? Il se met à
genoux pour observer l'intérieur qui semble profond de plusieurs
mètres. Il distingue une lumière blanche genre fluo, mais n'en voit
pas la source. Parviennent des bruits. On y travaille, mais à quoi ?
On dirait des bruits de roues en fer sur le sol dur et d'autres bruits
métalliques venant d'une autre direction. Il y a certainement du
monde à l’intérieur avec un escalier pour descendre. Soudain sort un
homme très grand, d’environ deux mètres ; il est en combinaison
kaki avec une casquette à visière carrée de même couleur. Une al-
lure de militaire qui le fixe et tend son bras droit vers lui comme
pour le chasser. Il lui parle rudement dans un langage inconnu avec
des phrases hachées. Le garçon est terrorisé et paralysé sur place
70
sans pouvoir bouger. Il a froid. Le temps semble interminable et il
craint que l'homme vienne lui botter les fesses. Michel prend peur et
se sauve à toute vitesse en pleine nature au milieu des champs et se
cache dans un petit bois. Il ne rentrera chez lui que le soir, quand
son père reviendra du travail.
Jamais il n'osera venir revoir le trou de près et ne dira rien à son
père de peur d'être réprimandé et surveillera souvent l'endroit du
trou avec la crainte de voir revenir l'inconnu.
L'OVNI de la ferme
71
teur. Il ne voit personne à l'intérieur et se demande ce que cela pour-
rait bien être, ce qu'elle fait là, et à quoi elle pourrait servir ?
Le pourtour de la salle comporte des sortes de vitrines en quart de
cercle sur un sol bien lisse, impeccable. C'est plein de panneaux
lumineux sur les parois avec des signes de couleur qui s'agitent. A
ce moment, Michel déclare avoir reçu des quantités d’informations
qu'il ne comprend pas; des choses dans sa tête …! Il ne sait pas très
bien ce qui se passe …!
Et puis le bruit de ventilateur s'intensifie pour devenir assourdissant
et insupportable en même temps que les lumières des "vitrines" ac-
célèrent leurs mouvements de clignotements.
Michel est alors projeté en arrière par une force invisible; éjecté à
plusieurs mètres sur le dos, dans la boue du terrain labouré….
Tandis qu'il se relève, surpris, la porte se referme pour disparaître
complètement dans la masse, le pied cylindrique s'escamote en re-
montant dans le corps de l'engin qui tourne de plus en plus vite en
augmentant de luminosité, qui de rouge, passe à l’orange vif. L'en-
gin inconnu décolle du sol qu'il ne semblait pas toucher, s'incline, et
s'envole rapidement. Il disparaît en un instant en moins de cinq se-
condes pour ne plus devenir qu'un point comme une étoile dans le
ciel.
Complètement abasourdi, stupéfait, Michel gardera pour lui cette
aventure hallucinante.
Cet évènement a profondément marqué le jeune homme qui ignorait
tout de l'ufologie à cette époque. Il s'est renseigné depuis, auprès de
personnes informées sur le sujet.
72
ferme situé à quelques kilomètres de là, au bout du chemin de
Montléon depuis Mousseaux-les-Bray.
73
temps que Michel ne peut évaluer …Et puis soudain les lumières
s’accélèrent très vite. Il est littéralement éjecté. La porte se referme,
la base de l’engin remonte à l’intérieur. La rotation bruyante de
l’engin s’amplifie et s’irradie d’une intense lumière orangée, avant
de disparaître rapidement dans le ciel. Tel est le témoignage vivant
de Michel G.
Dans l’herbe, il n’y a aucune trace après plus de quarante ans. Pas
de déviation de la boussole. Il n’y a pas eu d’enquête à l’époque des
faits qui sont restés pratiquement ignorés. Michel me signale quand
même que les arbres, le long du mur, ont dépéri par la suite, et ont
tous fini par disparaître. Depuis, la nature a repris sa place et la vé-
gétation a repoussé.
74
Michel montre d’où venait la lumière derrière le mur
75
chambre des machines; ce qu'on lui accorde volontiers. Il passe
trente minutes à discuter avec le personnel naviguant, et en remon-
tant sur le pont, tout le monde est debout sauf une jeune femme de
25 à 30 ans, en tailleur bleu clair, le visage au teint très pâle. Michel
l’avait déjà remarquée, assise, sans l'avoir vue monter dans le ba-
teau. Impassible, elle n'avait rien mangé.
Michel l'observe – Il y a un grand silence qui se fait. ....... On dirait
que le temps s'est arrêté.............. La femme a un regard fixe qui
transperce.........Le temps s'écoule, impossible à évaluer........
Tout s'arrête et redevient normal quand le bateau arrive à quai. Il ne
verra pas la femme descendre du bateau .La vision de cette femme
l’intrigue, mais il n’en parle pas.
76
sous la fenêtre de cette pièce condamnée. Michel, pas rassuré, se
procurera même une carabine.
77
Les visiteurs nocturnes.
78
Michel est resté ainsi sur place environ une heure sans qu'aucune
voiture ne passe. Cette caractéristique du phénomène d’isoler le
témoin de son environnement est classique dans les rencontres rap-
prochées. Il lui semble être dans un "ailleurs". C’est seulement
quand la mobylette a de nouveau fonctionné qu’il est rentré chez lui.
79
ment sur la gauche, de peur, surtout, qu'on le fasse tomber. Il accé-
lère le rythme devant ces gens inquiétants. Il n'a pas regardé derrière
lui. Sans aucune habitation à des kilomètres à la ronde pour le rassu-
rer, tout aurait été possible.
Avril 1986.- Michel est à son travail sur le site à 7 heures du matin
avec en charge d'alimenter en carburant les engins de chantier à
chenilles qui partent en déplacement.
Au volant d'un volucompteur de 3,5 tonnes diesel, il parcourt un
kilomètre à faible vitesse pour accomplir son travail. Le parcours est
le même depuis quinze jours. Il faut normalement dix minutes pour
faire ce trajet. (C’est une zone privée qui comporte des routes gou-
dronnées).
Le temps est très beau, le soleil montant dissipe la brume.
Deux cent mètres après son départ, il se retrouve soudain sur un
chemin qu'il ne connaît pas. Le paysage a changé. C'est d'une beauté
irréelle. Il a l'impression d'être dans un rêve dans un pays d’Afrique.
La piste est couleur ocre. Il n'y a rien à l'infini, pas d'animaux non
plus. Michel est inquiet et perd la notion du temps…Il roule dans un
paysage inconnu…
Au bout d’un moment il retrouve enfin sa route. Il est 10 heures à
son arrivée pour faire le plein des véhicules. Les chauffeurs l'atten-
dent depuis plus d'une heure et l'un d'eux est en panne sèche. On lui
demande d'où il vient ? Mais il est incapable de fournir une explica-
tion.
A son retour, on lui demande ce qu'il a pu faire? Il ne le sait pas lui-
même. Il a seulement roulé pendant plus d'une heure avant de re-
trouver son chemin.
Michel a vécu un " missing time ", ou temps manquant. Une perte
de repères temporels.
80
nombre, il distingue sur la gauche trois hélicoptères noirs sans
signes distinctifs, posés moteurs arrêtés près de la berge d'un étang.
Roulant dans l'herbe, il se dirige vers eux.
A quelques dizaines de mètres de ceux-ci, se dresse un homme
grand (1,90 / 2 mètres) en combinaison kaki sans aucun signe parti-
culier, qui s'avance vers lui. Michel lui demande s'il est en panne ?
Mais l'homme lui demande ce qu'il fait là et d'une manière autori-
taire, lui intime de partir. Michel lui répond sur le même ton, qu'il
travaille ici et qu’il a à faire. L'autre ne répond pas et Michel re-
prend le chemin du garage.
81
La porte du garage étant déjà ouverte, Michel se dirige vers un établi
situé à une quinzaine de mètres. Sur la gauche il y a un poêle à fuel
à air pulsé d'environ 1,70 mètre de hauteur et sur le côté, se confon-
dant avec la couleur grise du poêle, est blottie une créature, qui se
lève... et lui fonce dessus !
C’est un gros animal sombre qui ressemble à une chauve-souris
géante sans poils ni plumes, d'un mètre de haut. Un long cou avec
un bec de héron et des dents sur les côtés – L'animal agressif pousse
des cris rauques – Michel saisit un morceau de ferraille à portée de
main et fait face à la bête menaçante.
La bête recule, ouvre des ailes immenses de plus de trois mètres
d'envergure et s'envole au faîte du hangar avant de s’enfuir par la
porte d'entrée restée ouverte, et sort en planant. Dans le même temps
se font entendre les hélicoptères qui démarrent. Michel se précipite
au dehors et en voit maintenant cinq au ras du sol à moins de cent
mètres. Leur forme est différente de ce qu'il peut connaître. Ils n’ont
pas d'hélice à l'arrière, et un fuselage très long. Ils décollent les uns
derrière les autres dans un vacarme de moteur à explosion avec
l’oiseau sorti du garage qui les suit à grands battements d'ailes.
Cette scène fantastique est rapidement perdue de vue, masquée par
l'environnement boisé du site.
Michel est sur le coup de l'émotion, les événements le dépassent
complètement. Tout ça en moins d'un quart d'heure. Il est secoué par
ce qu'il vient de vivre. Ca fait beaucoup pour un seul homme. Je
compatis sincèrement au traumatisme subi par le témoin.
La description de l’animal ne ressemble à rien de connu. Après
quelques recherches, je montre à Michel des images d’animaux qui
pourraient convenir à l’identification. Le plus approchant est la res-
semblance avec un reptile volant préhistorique de type ptérodactyle :
Pas de plumes, peau lisse gris foncé, long cou et bec denté, pattes
griffues, et ailes immenses. Une vision de cauchemar d’un autre
temps, digne des meilleures réalisations de science-fiction. Le fan-
tastique qui vient se mêler à l’ufologie pour nous embrouiller encore
davantage.
82
L’intérieur du garage d’où a surgi l’animal
83
Le témoin explique la vision fantastique de l’envol des engins
" hélicoptères " noirs rejoints par " l’oiseau " mystérieux.
Image composite de l’enquêteur GM.
84
qui deviennent lumineux rouge sombre et le fixent. Il a comme deux
plaques à la place des oreilles. L'horreur ! Stupeur… et freinage
brutal de Michel !
L'être sort brusquement sous la pluie battante, marche en se dandi-
nant et se met à courir à toute vitesse à travers le champ fraîchement
labouré. Michel sort à son tour sous la pluie battante et lui court au
train pour l'attraper. Mais, quoique très sportif à l'époque, il se fait
facilement distancer par l'individu qui disparaît dans la nuit....! Il ne
courait pas, il volait !
Impossible qu’un homme normal, même un champion de course,
puisse courir aussi vite dans un champ de labour détrempé !
85
Plusieurs bizarreries sont à remarquer dans cette aventure fantas-
tique. Le choix du témoin de poster une lettre qui pouvait attendre
un moment plus favorable. Une incitation à sortir comme obligée,
malgré le mauvais temps.
Le passant sous la pluie nocturne qui ne cherche pas à s’abriter.
Il ne fait pas signe à la voiture qui passe.
Le plafonnier en panne quand on ouvre la portière (Il fonctionnera
ensuite). L’être fantomatique qui ne prononce aucune parole.
Les yeux rouges et lumineux qui font penser à un robot.
Les plaques à la place des oreilles (1)
La fuite de l’être à l'aspect non humain dans des conditions diffi-
ciles.
L’enveloppe mouillée, que Michel aurait dû préserver de la pluie.
Le bris anormal de la serrure de la portière, abandonnée, qui aurait
pu servir comme pièce à conviction.
(1) Une entité semblable avec des plaques sur les oreilles, a été ob-
servée en 1972. Cas de Santa Isabel (Argentine)
Voir LDLN n°144 p.16 à 20 – Inforespace n°19 – L’album de J.Lob
et R.Gigi « Les apparitions OVNI » page 182.
Le piéton géant.
Juillet 1988 - Michel est seul au volant d’un C15 diesel, le temps est
beau et chaud. Il est sur la route privée à 200 mètres des bâtiments
qui bordent la route de chaque côté, dont l’un à droite sert de garage
et d’atelier. En face, à gauche, quelqu’un est adossé debout contre le
mur du bâtiment. C’est un grand type qui mesure 2 à 2,5 mètres,
tout vêtu de noir. La voiture se rapproche. Michel se demande qui
cela peut bien être ? Soudain, le type traverse la route devant la voi-
ture en quelques enjambées : impossible pour un homme normal !
L'individu se rend directement en face, devant la paroi du garage
dépourvue de porte... et disparaît à l’intérieur !
Michel, surpris et intrigué par l’intrus, contourne rapidement le bâ-
timent par le chemin de derrière et entre dans les lieux en voiture
pour coincer l’être mystérieux qui s’est caché dans la remise.
Quelques secondes après, arrive le chef de Michel, qui lui raconte ce
qui vient de se passer. Ils fouilleront partout pendant un bon mo-
ment pour chercher le bonhomme ; même dans une mare d’eau où il
86
aurait pu se cacher. Rien, le type s’est volatilisé dans la nature. Les
deux hommes sont perplexes et pensent avoir eu à faire à un farceur.
C’est la version que Michel retiendra devant son responsable, bien
qu’il sache à quoi s’en tenir, exaspéré par tous ces phénomènes qu’il
est seul à voir et lui gâchent la vie. Est-ce le même personnage que
le passager sous la pluie ? Une entité venue d’ailleurs qui ne serait
observable que pour des personnes sensibles qu'à certaines fré-
quences d'ondes vibratoires, comme les sons et les couleurs, ou
d'autres types d'ondes ? Le débat reste ouvert.
Nous avons revisité les lieux ensemble et pris une photo depuis la
route où a été vu le personnage en noir adossé au mur, comme si il
attendait le passage de Michel en voiture.
Sur la photo il y a plusieurs anomalies. Devant les bâtiments de
chaque coté de la route, il y a une tache blanche près du sol au-
dessus de l’herbe. On pense à quelques fleurs sauvages.
Quand on agrandit l’image, on peut voir qu’il n’en est rien. Les
taches cotonneuses et informes pourraient faire penser à des orbes,
comme on peut en observer sur des photos numériques.
Il s’agit ici d’une photo sur film négatif couleur argentique qui peut
expliquer des défauts sur l’émulsion. Rien de bien probant, jusqu’au
jour où Joël Mesnard, le directeur de la revue d’ufologie : " Lu-
mières Dans La Nuit" dans laquelle l’article a été publié, découvre
une autre anomalie. Juste au-dessus du toit du bâtiment, à droite sur
la photo ; on peut voir dans le ciel une forme grise aplatie, d’origine
inconnue, que l’imagination pourrait attribuer à une soucoupe vo-
lante. A l’agrandissement, on ne voit rien de plus qu’une tache floue
diffuse. C’est bien maigre pour formuler une quelconque interpréta-
tion qui irait dans le sens souhaité d’une manifestation ufologique.
87
La route où a traversé le géant noir entre les deux bâtiments
88
nements que nous qualifions de paranormaux. Ceci n’est qu’une
hypothèse comme le "Système de contrôle" cher à l’éminent ufo-
logue franco-américain Jacques Vallée.
Le triangle et la quille.
Mars 1993 — C'est l'après-midi, il est 14 heures 10. Michel est sur
son lieu de travail. Il conduit un engin de chantier, un chargeur Car-
terpillar. Il alimente en sable une installation de triage. Il fait un
froid glacial. Le ciel est bleu avec quelques nuages, pas de vent. Le
site est parsemé de petits îlots de verdure, et c'est sur l'un d'eux que
va se produire le phénomène. A 400 mètres, décolle au ras du sol un
engin semblable à une aile delta de couleur sombre qui, au bout de
50 mètres de course, se transforme en une quille géante de 20 mètres
de haut, qui fonce et se positionne au sommet d'un pylône de haute
tension de 400.000 volts.
La quille se ballade à petite vitesse au ras des fils, dans un sens, puis
dans l'autre, aller-retour. Le manège a duré 10 minutes. En final,
l'engin s'est repositionné au faîte du pylône, est parti lentement à la
verticale, puis à disparu dans le ciel.
Michel était seul ; il n’y a pas d’autre témoin qui pourrait confirmer
le phénomène.
La couronne tournante.
89
de tourisme en rase-mottes. Mais en passant au-dessus de lui, il
s'agissait de tout autre chose. Apparaissent alors de gros points de
lumières rouges fixes. Une couronne qui se met à tourner sur place
au-dessus d'un champ. L'observation a duré 15 secondes au plus, à
cause d'un camion qui le suivait et qui le collait, il n'a pas pu s'arrê-
ter. L'engin avait un diamètre minimum de 30 mètres. Une occasion
de perdue de pouvoir observer plus longtemps un aéronef venu
d’ailleurs, ou peut-être d’une autre dimension.
90
(Mystérieux Objets Célestes).
91
volant observé à la place des avions à réaction qu’il souhaitait voir.
Objet ou manifestation surnaturelle à ajouter au bestiaire de l’album
de la famille ufologique. Nous ne prendrons pas parti pour qualifier
ces apparitions déroutantes qu’il faut accepter de la manière dont
elles se présentent.
Le lecteur appréciera et jugera selon ses propres convictions.
92
Dessin de Michel G. de l’ovni " Libellule " piloté par deux êtres ayant atterri
en 1954 à Vulaines (Seine et Marne)
93
Présences, apparitions
Missing time
94
C’est une sorte de mélodie agréable et reposante qui semble venir de
partout et de nulle part.
95
(*) « Michel G. ou les tribulations d’un contacté »
(LDLN n° 314 déc. 1992, n°379 nov.2005, n° 380 fév. 2006)
Hantise
96
en question détale, mais il ne voit rien dans la pénombre de la
chambre faiblement éclairée. Quelqu'un était vraisemblablement sur
le lit, couché à côté de lui. Michel se réveille complètement angoissé
et rassemble ses forces pour allumer la lumière. Il se lève et fouille
partout à l'étage, sans rien trouver. Personne. Il descend au rez-de-
chaussée, rien non plus. Personne dans la maison. Michel est terrori-
sé. Il est certain que quelqu’un est entré dans la chambre et s’est
couché à son côté…!
Michel ne peut se rendormir. Il allume la radio pour se rassurer et
s'assoit pour boire une tisane. Il ressent une présence invisible qui
l’observe. Il reste ainsi à attendre, angoissé, avant de remonter se
coucher trente minutes plus tard. Dans la chambre, il essaie de re-
garder la télévision. Il y a du courant, mais l’écran reste blanc sur
toutes les chaînes. Aucune image. Une situation qui n'est certaine-
ment pas sans rapport avec l'événement de la nuit. C’est plus qu’un
simple cauchemar. Une présence surnaturelle, invisible, semble
s'être introduite dans la maison. Dans cette atmosphère angoissante,
Michel a bien du mal à trouver le sommeil….!
Et l’aventure n’est pas terminée…!
Mystérieuse blessure.
97
Ce n’est pas la première fois que
des phénomènes de poltergeists se
manifestent dans sa maison. Comme
nous l’avons vu dans les histoires
précédentes, un sort semble
s’acharner sur notre témoin. A son
grand désespoir, un esprit malin
vient l’importuner et lui pourrir la
vie. Nous n’avons pour l’instant pas
d’explication à cet acharnement ni
aux motivations qui pourraient ins-
pirer le choix des
victimes. Michel est exaspéré par
ces phénomènes incessants et pé-
nibles qui s’écartent des manifesta-
tions célestes et des personnages qu’il peut voir se matérialiser de-
vant lui.
98
Barbey (77) le 27 septembre 1977
Pascal se souvient des deux observations de sa mère quand il était
jeune homme.
Il était près de 19h15 quand sa mère revenait de Montereau, par la D
29, sur une mobylette.
A la hauteur du lieu dit : "Le chemin vert", une boule jaune orangé
d'un diamètre apparent à celui de la pleine lune, la survolait. "L'en-
gin venait du nord-ouest et se dirigeait vers le sud-est à une vitesse
élevée. Elle stoppa son vélomoteur pour continuer l'observation.
Une voiture s'arrêta également. La boule disparut derrière le parc du
château, masquée par le sommet des arbres. L'observation dura
moins de trente secondes. Les deux témoins se quittèrent sans trou-
ver d'explication, ni échanger leurs noms.
99
Des prélèvements de terre on été fait. Nous n’avons pas les résultats.
De toute façon il aurait dû être réalisé des tests de germination com-
paratifs avec des prélèvements hors site.
Il n’y aura pas de suite à cette affaire.
100
Les deux amis pensent se dépêcher pour accomplir leur tâche. Ce-
pendant, en vérité, le temps s’écoula lentement, beaucoup plus len-
tement qu’à l’ordinaire. Pascal pense qu’il est important de signaler
qu’il s'occupe, de temps à autre, des chevaux d’une amie, sans que
toutefois cela soit régulier.
Le 24 juin 2005, ils retournent dans ce bois, et sont sans problème
sur le site vers 14 H30. Peu de temps après leur arrivée, un "cy-
cliste" apparaît, au sens littéral du terme : C’est le sosie du grand-
père de Pascal, décédé il y a 14 ans…
101
Chaumont (89)_ Le 25 juin 2006. Des traces étranges
dans un champ de blé.
Au cours d’une promenade, Pascal Lahaie remarque de curieuses
traces de passage dans un champ de blé. Ce qui attire l’attention,
c’est surtout une large trace sinueuse comme un chemin, qui part de
la route jusqu’à la lisière du bois, éloigné de plusieurs centaines de
mètres. La largeur du passage correspond à celui d’une voiture où le
blé est couché dans le sens de la marche. Il est peu probable qu’il
puisse s’agir de traces laissées par un véhicule sans empreintes de
roues.
Trois photos ont été prises. Le chemin en question est coupé en plu-
sieurs endroits par ce qui semble être les traces parallèles d’un trac-
teur venu constater les dégâts dans le blé.
Le mystère reste entier. D’un côté, la route est surélevée par rapport
au champ, et forme un talus d’au moins deux mètres de haut à la
pente très raide, qui empêche l’accès d’un véhicule. A l’autre ex-
trémité, le couloir de blé couché se termine à l’orée du bois où les
arbres serrés interdisent le passage d’un engin quelconque. La lar-
geur de la voie n’a pas été mesurée, l’agriculteur en ayant interdit
l’accès, prétendant qu’il y avait trop de dégâts sur la récolte. Cepen-
dant cette voie devait avoir une emprise de 1,75 mètre. On peut,
bien sûr, envisager l’exploit de farceurs motivés, poussant devant
eux une sorte de rouleau sur plusieurs centaines de mètres.
Tout cela n’est guère plausible pour un canular qui, somme toute,
demanderait beaucoup de motivation et d’énergie pour passer
presque inaperçu au regard des passants qui ignorent ou se posent
peu de questions sur l’ufologie.
102
et lui dit qu’il a aussi observé un triangle en statique au dessus de
l’antenne. D’abord de couleur noire, il devint marron puis rouge
avant de disparaître. L’observation a duré 15 à 20 secondes. Pascal a
relevé le nom et le téléphone du témoin. (non communiqué).
103
donné un coup de sonnette. Le facteur s'est éloigné, quand Pascal
ouvre le portillon de la boîte et lève machinalement les yeux vers le
ciel.
Et là, il voit un hélicoptère noir à environ 20 mètres d'altitude, en
statique au-dessus de la maison. Pascal se demande ce que cet héli-
coptère peut faire aussi bas, car l'appareil est absolument silencieux,
et aucune marque n'est visible, qui permettrait de l'identifier.
Les vitres du cockpit son teintées et ne permettent pas de voir s'il y a
un pilote à l'intérieur.
Au bout de quelques minutes, l'engin se déplace de quelques mètres
en le survolant, avant de faire demi-tour et disparaître en direction
du nord.
L'apparition qui semblait guetter Pascal n'a pas permis au facteur
d'être également témoin de la scène. Un cas classique de témoin
unique, comme si cela n'était destiné qu'à lui seul. Ce cas vient
s'ajouter a ceux des contactés "ciblés" par le phénomène qui choisit
ses victimes en réitérant ses apparitions.
Pascal rentre chez lui, il est 12h35…
104
Il n'a pas distingué d'ouvertures sur les appareils, qui avaient 5 à 6
mètres d'envergure. Ils volaient très bas, car ils ont repris de l'alti-
tude en raison du relief, avant de disparaître au loin.
105
ment noire et ne laisse entrevoir s'il y a un pilote, ou quelqu'un à
l'intérieur.
C'est une scène bien étrange pour un hélicoptère, ou ce qui lui res-
semble, vienne se poser à cet endroit. Pascal observe la suite des
événements, pour voir ce qui va se passer. Si quel qu'un va en sortir,
ou si un passager va venir embarquer ?
Cette scène insolite vécue par notre ami Pascal, est à verser au dos-
sier des objets volants non identifiés. Bien que l'apparence d'un ap-
pareil aérien reconnu comme un hélicoptère soit en premier lieu
identifié comme tel. Il apparaît que le comportement de cet engin
volant ne soit pas conforme à un engin connu.
Cette situation étrange n'est pas nouvelle, mais reconnue comme une
manifestation de mimétisme du phénomène Ovni, qui prend l'appa-
rence d'un objet familier.
Pascal Lahaie ne répondra pas, ne verra plus rien. Il est décédé bru-
talement d'une crise cardiaque le 11 août 2011 à l'age de 49 ans.
106
Michel G qui devait venir lui rendre visite pour vérifier sur place,
viendra voir sa mère et présenter ses condoléances.
Ainsi se termine l'histoire tragique d'un "contacté" victime de mani-
festations paranormales pour lesquelles nous n'avons pas d'explica-
tion.
Mon amie s’était retournée pour ouvrir la porte vitrée et était par
conséquent, dos au phénomène.
107
dans un rayonnement vert clair intense, nous laissant complètement
stupéfaites.
Anne-Elodie Toussay
Le 17 janvier 2007
Cette date est importante. Elle nous rappelle l’atterrissage d’un Ovni
avec humanoïdes du 24 juin 2001 près de Taverny à proximité de la
Base stratégique de l’Armée de l’Air (*) et l’observation de la for-
mation de trois astronefs verts non identifiés à la Frette sur Seine en
juillet 2004 (**)
108
1 – Apparition de l’Ovni au Nord-Ouest. Azimut 315°
Anne-Elodie qui est légèrement myope et qui ne portait pas ses lu-
nettes lors de cette observation, estime la dimension de l’objet vu
comme une tache lumineuse aux bords flous, de la dimension du C
de l’enseigne Cora. Son amie Elisa est d’accord sur la largeur, mais
précise qu'il s'agissait d'un objet long et aplati. Ce qui correspond au
type d’Ovni discoïdal généralement observé baptisé: "Soucoupe
Volante".
Nous relevons 0,4 cm à bout de bras soit à peine 0,4° pour une dis-
tance de 600m sur la carte.
L’altitude de l’objet relevé au théodolite de poche, un simple rap-
porteur pendulaire fixé sur un tube de visée nous donne 1°, à 2° de
hauteur au-dessus de l’horizon. Ce qui confirme l’observation à hau-
teur des yeux depuis le quatrième étage.
109
Hormis la taille de l’objet estimé de 2 à 3 mètres par le témoin, la
description reste cohérente avec les mesures effectuées.
La couleur : vert fluo désignée correspond assez bien à ce que l’on
peut observer quelquefois sur une flamme de gaz brûlant des impu-
retés. On peut en faire l’expérience en chauffant par exemple un fil
de cuivre.
— Cela s’est passé en avril, mai 2001, vers 20h00. Nous étions sur
le balcon de mon amie Anne-Elodie, lorsqu’elle m’interpelle pour
110
me monter une lumière verte fluo dans le ciel au- dessus du logo de
Cora. Nous l’avons observé plusieurs secondes, et la lumière est
partie à une vitesse impressionnante. J’ai eu l’impression "qu’ils"
savaient qu’ils étaient observés.
J’ai eu peur. Je me suis sentie très bizarre. Le fait de vous en parler
me gêne et me mets très mal à l’aise.
Je ne sais pas si j’ai été suffisamment précise ?
La taille, je ne saurai pas vraiment dire, si ce n’est que l’ovni avait
l’air loin et donc grand. Il était plutôt de forme ovale et est resté
stationnaire pendant quelques secondes au-dessus de l’enseigne,
pour finalement partir à une vitesse impressionnante.
Autant dire que sa vision du phénomène a été encore plus brève que
celle de son amie.
Elle a juste eu le temps de voir l’objet lumineux arriver rapidement
au-dessus de l’horizon en venant de la droite et ralentir pour mar-
quer un court temps d’arrêt au-dessus de l’enseigne du magasin Co-
ra pendant quelques secondes et disparaître aussitôt très rapidement
vers le ciel.
L’objet est décrit de forme aplatie. Une lumière verte assez impor-
tante plutôt floue. D’un beau vert fluo au centre, dégradé sur les
bords.
La dimension correspond à celle indiquée estimée. C’est-à-dire de
l’ordre de 4 à 5 mètres pour une distance de 600 à 800 mètres.
111
Pour sa part, elle pense que le fait de l’avoir observé a été perçu et a
déclenché sa disparition.
C’est en partie pour cette raison que nous avons eu des difficultés à
pouvoir la rencontrer pour confirmer son témoignage écrit et lui
poser des questions.
Nous lui avons seulement demandé si elle avait bien dormi après
coup ?
En fait, elle nous a avoué que non. Couchée dans son lit, elle s’est
trouvée sortir de son corps et flotter "au-dessus" sans pouvoir bou-
ger. Pour elle, ce n’était pas un rêve, mais bien réel et elle se sentait
tout à fait consciente.
Elisa a eu très peur. Elle devinait une présence dans la chambre et a
craint que quelqu’un vienne la chercher pour l’enlever.
Cette certitude s’est installée dans son esprit et nous comprenons ses
réserves.
112
Et je ne le fais pas, parce que j’ai peur de mourir. Et après je me
réveille, et je suis sûre que ce n’est pas un rêve.
— J’en suis sûre. En tout cas je me rappelle. J’ouvre les yeux, donc
je me réveille. Mais j’ai eu tellement peur, enfin je ne sais pas.
— Tu as vu quelque chose ?
En conclusion, nous pouvons dire que ces deux jeunes filles ont été
interpellées par un phénomène aérien lumineux inconnu qui a per-
turbé leur compréhension. Un événement physique et psychique qui
n’a pu être interprété d’une manière logique et rationnelle.
Informées sur l’existence du phénomène Ovni, elles ont cherché à
contacter des ufologues et raconter leur aventure. On ne peut que les
en féliciter.
113
Elisa O. avec son amie Anne-Elodie Toussay
(*) « Un Ovni au sol avec humanoïdes à Taverny (Val d’Oise) en juin 2001».
LDLN n°370 page 1
(**) «Une formation de trois Ovnis traverse le ciel à La frette- sur- Seine (Val
d’Oise)». LDLN n°377 page 22
114
Schéma panoramique du site de l’observation d’Ermont
115
Cette jeune fille s’était toujours dit qu’elle voulait voir, au moins
une fois dans sa vie, un "truc" bizarre, non identifié, voler dans le
ciel comme dans les films : "Indépendance Day" ou : "Men in
Black" qui, soit dit en passant, l’avaient habituée à des
images….insolites.
116
Car ça ne faisait aucun bruit par rapport aux avions qu’on voit dans
le ciel. On avait l’impression que ça glissait dans le ciel.
117
Charles P. Un "contacté" de haute volée
En nous rendant aux Premières Rencontres Européennes de Châ-
lons-en-Champagne en octobre 2005 avec Michel G, le témoin de
Seine et Marne et mon ami Jean-Claude Venturini. Nous devions
retrouver sur place un témoin de choix, Robert L. de cette fameuse
affaire des " Boules de l’Aveyron ".
Nous ne nous attendions pas à
rencontrer autant de témoins qui
estimaient être porteurs d’implants
inconnus, sous-entendu d’origine
"extraterrestre".
Nous avons fait la connaissance de
Charles P. avant qu’il prenne le
micro, pour exposer brièvement
son cas pendant la conférence de
Budd Hopkins, le spécialiste amé-
ricain des "abductés", présenté par
Jean-Luc Rivera et Marie-Thérèse
De Brosses. L’intervention de
Charles P. fut brève et ne sembla
pas beaucoup retenir l’auditoire,
plutôt captivé par le programme en
cours.
Une investigation sur le cas de ce
témoin s’imposait.
118
Charles était l’un de ceux-ci, installé sur une chaise. En examinant
la jambe gauche de Charles, Michel découvrit une trace de cicatrice
sur le mollet. En imposant ses mains, il lui déclara immédiatement
déceler la présence d’un petit objet comme un fil en forme de "V",
certainement métallique. Nous nous demandions comment ce corps
étranger avait pu être introduit dans sa jambe ? Michel répondit aus-
sitôt qu’il a eu la vision d’une sorte de seringue en forme de porte-
mine qui aurait expulsé l’implant en sous-cutané. Les branches en
"V" de l’objet implanté se seraient ensuite écartées en se recourbant,
l’empêchant ainsi de ressortir.
Charles nous montra également une trace ronde de la taille d’une
médaille ou d’une grosse pièce de monnaie, qu’il avait au milieu de
la poitrine, dans le creux du sternum. Cet endroit lui est particuliè-
rement sensible et ne supporte même pas une main posée dessus,
même si elle est très douce. Il y a comme une boule à l’extrémité du
sternum. Il est incapable de dire depuis combien de temps il a cette
trace. C’est comme s’il l’avait toujours eue. Peut-être quand il avait
7 ou 8 ans et qu’il a vu le "chariot de feu".
119
D’abord, ses "expériences" ont été répétitives. Elles ont débuté de-
puis l’enfance. Elles ont jalonné sa vie, tels les petits cailloux du
Petit Poucet. Elles ont pris des aspects différents. Les formes de
communication qu’il a entretenues avec le "phénomène" lui parais-
sent relativement banales, à son niveau. Une règle d’or s’est impo-
sée à lui comme à d’autres grands témoins, assurément bien ciblés
par ces sortes d’intelligences qui nous sont encore inconnues. Cette
règle d’or, ils l’ont ainsi énoncée :
Le Chariot de feu.
120
Le "cigare" s’est arrêté plusieurs fois, et est reparti autant de fois
avec le même phénomène. Il crachait du feu lors de ses déplace-
ments. Charles se souvient que le ciel était dégagé et il faisait assez
frais. Il se voit encore sur la balançoire ce jour là et s’en rappellera
toute sa vie. C’était magnifique.
La chose était peut-être de la longueur du majeur des doigts de la
main, à bout de bras.
Au bout d’une période de quinze à vingt minutes, le "cigare" est
parti à une vitesse fulgurante dans une grande gerbe de feu.
En rentrant à la maison, il en a parlé à son grand-père et qui lui a
répondu : "Ca, c’est encore une connerie des Russes ".
Il ne sait pourquoi, mais il se souvient textuellement de sa réponse.
Il a mis cette réponse dans sa poche et l’affaire était close, mais il a
toujours pensé à cette observation.
Le buisson ardent
121
L’objet était tellement éclairé que je ne pouvais pas distinguer la
matière. Des lumières orange, avec par endroit des reflets
bleuâtres. A ces endroits, je pensais voir des formes de hublots. Bien
que les lumières jaillissaient de toute la matière de l’engin, aucun
endroit autour n’était éclairé.
En passant devant cette chose, je n’avais qu’une pensée. D’ailleurs,
ce n’était pas une pensée, c’était une voix qui me parlait mentale-
ment et avec insistance ; Ce sont des extraterrestres.
Je cherchais à voir quelqu’un, car j’étais paralysé, mais conscient.
Dès que j’eus quitté la zone à proximité de l’engin, une sensation de
liberté se faisait en moi, je me sentais de plus en plus libre au fur et
à mesure que je m’éloignais. Je ressentais le phénomène inverse que
quand je m’en étais approché.
Par contre, je n’avais pas retrouvé la parole. J’avais reçu
l’interdiction d’en parler à qui que ce soit. Je suis rentré chez moi
sans pouvoir dire un mot à mon passager.
Quelques kilomètres plus loin, je voulus faire demi-tour, ayant re-
trouvé ma liberté de mouvement ; je voulais revenir, voir de plus
près. Impossible ! Une force en moi m’en empêchait, comme elle
m’empêchait de parler à mon compagnon de route.
Une fois arrivé à la maison, j’étais encore sous le coup du choc.
J’ai déchargé ma voiture (nous revenions de cueillir des moules).
Je suis rentré à la maison. J’ai offert un pot au jeune homme.
J’avais retrouvé la parole. Je discutais avec mon épouse. Je voulais
lui dire ce que j’avais vu, mais il y avait toujours cette force surna-
turelle qui m’en empêchait. Sur le plan de l’écoulement du temps,
une durée aussi longue de mon absence, ce jour-là, me semble in-
compréhensible.
Quelque chose me disait : "tais-toi", et je pensais : "ce sont des ex-
traterrestres, ce sont des extraterrestres ….. ".
Je me suis mis à table, j’ai mangé, je n’avais pas très faim. A la fin
du repas, je suis allé me coucher. Je n’ai pas fait une nuit agitée,
mais je pensais toujours aux extraterrestres, bien plus qu’à l’engin
lui-même. J’avais eu l’impression d’avoir reçu un message.
Le lendemain matin, j’en ai parlé à mon épouse et je n’avais plus
aucune sensation. Mais pendant 3 ou 4 jours, je pensais sans cesse
à mes visiteurs ; car j’avais la certitude qu’il y avait du monde à
l’intérieur de l’engin.
122
Bien souvent je me suis demandé pourquoi j’avais eu cette impres-
sion de passagers à l’intérieur de cette ‘’ chose ‘’, alors que je n’ai
vu personne. Le mystère demeure toujours et pourtant, je cherche.
L’engin avait une hauteur de 2 mètres environ, mais peut-être plus.
Ce récit date de 1984. Pendant tout ce temps, il m’était interdit d’en
parler, sauf à mon épouse.
Charles P.
123
grande sympathie, comme s’il les connaissait depuis très longtemps.
Il a dit à plusieurs reprises qu’ils étaient gentils, c’est son intime
conviction. Ses visiteurs ne lui sont pas hostiles, il sait qu’il en
existe des mauvais, mais pas ceux-là. Pourquoi a-t-il toujours pensé
cela ? Il ne sait pas.
La deuxième chose, c’est quand J.G. est venu à côté de lui sur le
canapé. Charles avait l’impression de voir son aura, d’une couleur
jaune orange pâle, et J.G. lui a paru comme étant un "ennemi" !
C’est la raison pour laquelle il a eu un ton accusateur envers lui, et
pourtant, sorti du contexte, il n’a aucune animosité envers J.G.
Le lendemain matin, il l’a appelé au téléphone pour lui dire ces deux
événements. A ce moment, il "pouvait" le faire, mais pas la veille.
Pourquoi ? Charles a demandé à J.G. de ne pas lui en vouloir, mais
il a toujours dit la vérité, et même si dans le monde où nous vivons,
la vérité n’est pas toujours bonne à dire, que ce n’est pas considéré
comme une grande vertu, il ne changera pas. Etre franc et honnête
ne lui a jamais rien rapporté, ce n’est pas grave ! Il est "lui-même" et
il tient à le rester. Charles est entré chez Dany Dan en espérant trou-
ver une réponse à ses questions, il est sorti en s’en en posant encore
davantage. Il se pose la question à propos des ET :
124
(*) JG est le Commandant Jean-Gabriel Grelé ancien pilote, qui a
écrit plusieurs livres sur le phénomène Ovni.
27février1996
Je vous avais dit que quelles que soient les révélations, je ne les
craignais pas. Je peux encore aller beaucoup plus loin. Le phéno-
mène est facile à comprendre pour moi, mais pour les autres, il fau-
dra certainement beaucoup de temps. Rien n’est vrai, rien n’est
faux. Là, je parle des philosophies humaines.
Ce que j’ai vu, ce que je n’ai pas dit, Dany Dan ne m’en a pas don-
né l’occasion, il ne m’a peut-être pas formulé les bonnes questions.
Je n’ai pas vu grand-chose, mais si cela peut servir à d’autres té-
moins et à Dany Dan, peut-être que nous pourrions progresser dans
la recherche.
L’être qui m’a accueilli dans la lumière était sombre, plutôt noir,
comme s’il était habillé d’une combinaison, de la tête au pied. Il
était de proportion humaine, bras, jambes, corps, mais je n’ai pu
voir ses membres, mains …. etc. à cause de cette combinaison. Je
me souviens des jambes, mais pas des pieds. D’ailleurs, je ne lui
regardai pas les pieds, mais bien de face, je n’avais aucune crainte.
La tête semblait de proportion normale, sauf que les oreilles étaient
grandes. Elles arrivaient à hauteur du sommet du crâne environ,
125
elles étaient fines et pointues, noires comme le corps, comme si la
combinaison avait des oreilles.
Ses yeux noirs semblaient être fixes, perçants, mais pas inquiétants.
Cet être semblait être au service des autres. Je suis entré dans une
sorte de couloir, pièce pas très large, ni longue, les parois sem-
blaient métallisées, comme du fer blanc, parois nues, concaves.
Au milieu de cette pièce il y avait une "table d’opération", table
dont je ne peux définir la composition. Je n’ai pas fait attention.
J’étais attendu par trois êtres qui se trouvaient à gauche ; le qua-
trième se trouvait à droite et m’a semblé être le chef. Il a dû entrer
en même temps que moi, sauf que lui devait venir d’une autre pièce
à droite. On aurait cru un chirurgien avec ses assistants. Ils étaient
complaisants. A aucun moment, je n’ai été bousculé, c’est Dany
Dan qui me bousculait : il allait plus vite que le "scénario".
Ces quatre êtres étaient habillés d’une blouse ou d’une combinaison
bleu clair, tirant sur le vert, portant ceinture de même couleur. Leur
masque ressemblait tout à fait aux masques des chirurgiens dans
nos hôpitaux. Ces êtres étaient de même taille que le premier, de ma
taille environ, plus minces que moi (je pesais 70kg à l’époque), ils
ne devaient pas porter "de sac de patates", sauf qu’ils n’avaient pas
d’oreilles apparentes. Au bout de la seringue, il n’y avait pas
d’aiguille comme j’ai cru le voir au début, mais un tube qu’on m'a
enfoncé dans la jambe. Pendant toute cette opération, je me suis
laissé faire; je ne me souviens pas d'avoir eu la moindre crainte ou
de ressentir la moindre douleur.
126
PS : Quand Dany Dan m’a demandé "quand ils allaient arriver", je
lui ai dit qu’ils étaient en route. A ce moment j’ai vu une formation
d’Ovnis, mais elle était encore très loin, elle ne semblait pas pressée
d’arriver.
Lorsque mes visiteurs, par la fenêtre de ma chambre (j’avais peut-
être 7/8ans) m’ont donné ce "bonbon", en l’avalant, j’ai senti que
c’était une pastille métallique.
Charles P.
127
Charles, en transe, révèle être sur une table d’opération, entouré
d’entités humanoïdes
L’une de ces entités paraît être une sorte de subordonné aux ordres
d’un responsable.
Il est mis en "confiance", et on le prépare à une pose d’implant.
L’outil employé est décrit semblable à un tube, ou une sorte de se-
ringue sans aiguille.
C’est exactement ce qu’a décrit Michel G pendant son "ausculta-
tion" médiumnique".
Ce détail est d’une extrême importance, car il l'ignorait complète-
ment, tout comme moi.
128
suit l’objet jusqu'à ce qu’il soit masqué par le mur de la tour d’en
face.
Charles réveille son épouse pour lui dire qu’il sort… car il a vu un
Ovni. Il s’est donc habillé et il marche jusqu’au Centre Commercial,
mais ne voit plus rien. A minuit quarante, il revient à l’appartement
et prend aussitôt des notes.
129
même si elle est très douce. Il y a comme une boule à l’extrémité du
sternum. Il est incapable de dire depuis combien de temps il a cette
trace. C’est comme s’il l’avait toujours eu. Peut-être quand il avait 7
ou 8 ans et qu’il a vu le "chariot de feu".
130
Les boules de pierre
Derrière la maison de
Charles se trouve un terrain
bordé d'une haie vive. Un
jour, alors que Charles ton-
dait son gazon, une pierre,
entraînée par la lame de la
tondeuse, vola dans les airs
et retomba sur le gazon. Ce
qui attira de suite l'attention
de Charles, c'est que cette
pierre avait une forme ex-
trêmement régulière et n’avait pas été même ébréchée par le couteau
de la tondeuse. Charles, ayant ramassé l’objet parfaitement sphé-
rique, très intrigué, abandonna sur le champ sa tondeuse, commença
une exploration minutieuse de son terrain. Il découvrit, disposées en
cercle, un certain nombre de ces pierres, toutes aussi belles et in-
tactes, d’une surface totalement lisse, avec des sortes d’incrustations
différentes les unes et les autres, parfaitement originales et assuré-
ment inhabituelles.
Ce qui sembla extraordinaire à Charles, comme à nous certainement
bien plus qu'a lui, c’est que l’une de ces pierres rondes fut trouvée à
un mètre environ du sol, "assise" sur la fourche branchue d’un ar-
brisseau de thuya de sa haie. La pierre était donc manifestement
venue d’en haut. La propriété de Charles étant soigneusement proté-
gée par des clôtures, il était impensable que ces objets aient été rap-
portés de la rue par une main étrangère.
Toutefois, il ne faut pas oublier que nous sommes près de la mer. En
cherchant bien, avec un peu de patience, on peut trouver des petits
galets très usés quasi sphériques. On peut très bien imaginer que des
enfants qui en auraient fait une collection, s'en soit débarrassés au
cours d'un jeu ou d'une dispute en les jetant par-dessus la clôture de
la propriété. Mais des là à les disséminer par hasard selon un cercle
quasi parfait…
131
Charles eut l’opportunité de confier l’analyse de certains échantil-
lons de ses pierres à un laboratoire, par l’intermédiaire de l’UEC
(UEC-Union Européenne de Chercheurs pour le Droit de Savoir),
ainsi qu’à un Laboratoire de Géologie sous-marine. Ces deux labo-
ratoires conclurent qu’ils ne pouvaient déterminer la nature de ces
minéraux ! L’une de ces pierres ne lui fut pas rendue, elle aurait été
égarée. Cependant, quelle ne fut pas la surprise de Charles lorsque
Jacques Pattenet responsable du GEIPAN, présenta sur FR3
quelques échantillons d’objet trouvés lors d’enquêtes sur les ovnis,
parmi lesquels il fut certain d’avoir reconnu…sa fameuse pierre
ronde qui avait été "égarée"…
132
graphe de réaliser quelques clichés agrandis pour essayer de dé-
crypter si possible le symbolisme, s'il existe.
Au développement de la pellicule, la couleur blanche a viré au bleu
vert émeraude.
Est-ce une erreur de prise de vue, ou cette pierre émet-elle des ra-
diations ? Nous le saurons après avoir effectué un second tirage.
Pour continuer l'expertise, nous envisageons de la présenter à un
laboratoire d'étude minéralogique. Combien de pierres analogues
non par la forme mais par l'aspect avez vous ramassé ? Sont-elles
aussi bien polies, et ont-elles cette légère croûte jaunâtre saupou-
drée sur la périphérie ?……………
Dans l'attente d'une suivante poste, nous vous adressons cher adhé-
rent tous nos remerciements pour le travail ufologique que vous
accomplissez, et vous prions de croire à notre fraternelle amitié.
Le Coordonnateur : Claude C
Guy Coatanroch est un ami ufologue à qui est également arrivé une
histoire de "boule", ou bille de pierre extraordinaire.
En octobre 2011, il se rend au cimetière de Pantin avec sa femme
pour entretenir les tombes
de famille. Sa voiture est garée dans une allée.
Près d'une fontaine, où il vient remplir son seau, il se retrouve nez à
nez avec un couple qui lui souhaite le bonjour avec un accent du
133
midi .A leur dires, ils étaient de Nîmes et entament la conversation
au sujet de la région où vit notre ami. Rien d'extraordinaire à cela.
Ils avaient remarqué le numéro de sa voiture immatriculée dans le
Tarn ou il réside plusieurs mois de l'année.
C'est un couple bizarre. Lui a une grande bouche rectangulaire. Elle,
une petite brune avec des couettes et un fort accent du sud de la
France. Guy leur répond aimablement.
Un sentiment de malaise s'installe en leur présence. On ne les a pas
vus arriver. Ils n'ont aucun accessoire de nettoyage comme tous les
visiteurs. Ils remontent presque aussitôt dans une voiture noire en
faisant un signe de la main. Curieux personnages dont on se de-
mande ce qu'ils étaient venus faire là ?
Guy s'engage dans l'allée pour rejoindre son épouse près des tombes
à nettoyer, quand un objet roule sous ses pieds devant lui, sans sa-
voir d'où il venait ? C'est un caillou rond, ou plutôt une grosse bille
de la taille d'un calot. Intrigué par cette découverte, il le ramasse et
le met dans sa poche pour le conserver. C'est une bille blanche
d'aspect marbre satiné. Une sphère presque parfaite d'environ 3 cm
de diamètre, qui posée sur une table, roule en ondulant à cause de
deux légères déformation en calottes opposées. Le poids de la bille
est de 50 g et sa densité de 3,3 correspond au cristal. L'objet est
indifférent à l'aimantation et ne dévie pas une boussole. Par contre,
un pendule de quartz réagit fortement en giration rétrograde. Un
examen plus approfondi serait nécessaire, ainsi qu'une analyse de
laboratoire. On ignore si cela peut être un objet manufacturé quel-
conque ou un caillou naturel ? La similitude avec les boules de
Charles est frappante. Elle laisse Guy perplexe et le trouble, avec
l'impression qu'il doit garder cette boule…
Reste l'hypothèse d'une manifestation paranormale d'un objet venu
d'ailleurs, comme les mystérieuses pierres de Charles P.
Cette affaire de petites boules nous fait penser à l'histoire des 'bou-
lettes" de Trancas, du 21 octobre 1963. (PS n°33 p.18)
134
venant de la voie ferrée proche. Des silhouettes de personnages vont
et viennent dans un couloir de lumière entre deux objets lumineux
distants l'un de l'autre, posés sur la voie. Les jeunes femmes sortent
avec une torche électrique pour voir ce qui se passe. Elles sont
prises de panique devant les lumières de fenêtres provenant d'un
engin discoïdal de neuf mètres de diamètre qui se balance douce-
ment devant elles et sont projetées au sol par un souffle de chaleur
qui les fait fuir. D'autres objets s'illuminent sur la voie ferrée. Six en
tout, dont le plus proche projette un curieux double faisceau de lu-
mière cylindrique de trois mètres de diamètre, qui avance lentement
vers le hangar, qu'il "ausculte" pendant une vingtaine de minutes.
Une femme plonge même son bras dans le faisceau calorique qui ne
fait pas d'ombre et ne se déforme pas. Chacun des engins projette
leurs faisceaux sur les bâtiments de la ferme. A l'intérieur de la mai-
son, il fait clair comme en plein jour, la température s'élève rapide-
ment et les enfants sont trempés de sueur dans leur lit. Peu après, un
rayon de lumière, provenant de l'engin le plus proche, est projeté au
loin, vers la ville de Trancas. Les objets se regroupent ensuite pour
s'éloigner à basse altitude.
Après le départ des engins, à l'endroit où se trouvait l'objet principal,
se dégageait une odeur de soufre, et les Moreno découvrirent un tas
de petites boules, de la taille d'un doigt, entassées en pyramide, for-
mant un cône parfait de 90 cm de hauteur. L'arrangement ainsi bien
ordonné, ne pouvant être que l'œuvre manifeste d'une présence intel-
ligente.
Le jour suivant, sur la voie ferrée, ils trouvèrent d'autres boulettes
semblables qui s'écrasaient facilement entre les doigts. Une analyse,
faite par un laboratoire, révéla qu'elles contenaient 95,5 % de carbo-
nate de calcium et 3,5% de carbonate de potassium.
*******************
135
Charles interpelle son épouse qui observe avec lui le passage de ce
phénomène. Ils l’on suivi environ 15 secondes, quand trois points
ressemblant à des étoiles de feu d’artifice s’en sont échappés. Rien
n’est tombé, tout cet amas de points est resté bien compact et cela
s’est éteint d’un seul coup, comme lorsque l’on éteint la lumière.
(Cela a un certain rapport avec l’observation de M.D. - voir l’affaire
d’Haravilliers, par Gérard Deforge)
Ce n’est pas la première fois que Charles observe une telle lumière
dans cette direction. En vérifiant à la boussole, il confirme que la
lumière venait de l’est et allait en ligne droite vers l’ouest. La boule
allait plus vite qu’un avion type Mirage, comme on en voit parfois.
Vers 6h10, en déchargeant le camion et surveillant très souvent le
ciel, il voit, tout à coup, comme une étoile filante qui arrive de
l’ouest (était-ce le même objet de retour ?) et se dirige vers l’est. La
boule semble suivre une courbe sur l’horizon et se diriger vers le
sol. C’est, par contre, beaucoup moins loin. Il est précisé que le ciel
était très clair, mais que, par ciel couvert, il est certain qu’on aurait
vu aussi ces phénomènes : c’était relativement à faible altitude et a
été vu à 5h56 par deux autres témoins : Madame H. de Rouen-les
Sapins, et M. G. de Totes.
Le récit de Charles P. :
136
grosse que notre chère planète à confusion …. J’ai donc pris mes
jumelles. Au début, je ne voyais qu’une boule se balançant, mais au
bout de 2 à 3 minutes, cette boule s’est penchée et là, à ma grande
surprise, j’ai vu nettement une forme de soucoupe. Je n’aime pas
employer ce terme, mais c’est exactement ce que j’ai vu, une sou-
coupe avec à son sommet une antenne.
J’ai donc appelé mon épouse et mes enfants pour qu’ils me disent ce
qu’ils voyaient. C’était la même chose. A 21h45, je me suis décidé à
appeler le responsable régional LDLN.
Coïncidence ? Celui-ci n’était pas étonné de mon appel, car lui aus-
si, à ce moment là, observait une boule dans le ciel. Nous avons pris
rendez-vous pour observer ces phénomènes. Je suis parti avec mes
deux fils. Pendant quelques kilomètres, je voyais cette "chose" légè-
rement sur ma droite, mais avant d’arriver à Buchy, celle-ci s’est
déplacée et seuls mes enfants pouvaient la voir. Nous avons perdu
la trace de l’Ovni et sommes arrivés au rendez-vous fixé avec mon
ami ufologue.
137
halo. Il est muni de deux grosses lumières blanches à l’avant, deux
orange à l’arrière, il est muni d'une sorte de gyrophare à son extré-
mité, dont la luminosité augmente et diminue sans arrêt, et très len-
tement. Cet objet disparaît après avoir opéré un angle à 180 degrés
Ouest, d’où a débuté l’observation, jusqu'à l'Est, où elle s’est termi-
née.
Les témoins sont retournés ensuite à leur premier poste
d’observation : tout avait disparu ! Plus de boule rouge, plus aucun
flash émis. Il était 23h30. La durée totale des observations avait été
de plus de deux heures.
Commentaires de Charles P.
"Nous avons noté que nous étions heureux pendant toute cette ob-
servation. En effet, ayant déjà été témoin d’un ovni au sol avec ef-
fets physiques, j’attends avec impatience le jour où il me sera pos-
sible d’avoir un contact avec "ceux" qui dirigent ces engins...
Pour cette observation, nous n’avons ressenti aucun effet particu-
lier. Nous nous sommes tellement préparés à un contact avec nos
visiteurs que nous avons plutôt éprouvé une certaine déception de
n’avoir vu que cela.
Nous sommes retournés dès le lendemain sur les lieux. A priori, il
n’y a pas eu atterrissage, aucune trace n’ayant été trouvée dans
l’immense plaine autour du château d’eau.
Nous avons laissé des affiches dans toute la région et n’avons aucun
autre témoin.
Aucune anomalie magnétique n’est à signaler. D’après nos informa-
tions, aucun appareil militaire ou civil ne devait se trouver à cet
endroit, au moment de l’observation".
Isneauville le 12 juin 1986 (Témoignage paru dans le LDLN n° 267-
268 p.35)
Ce rapport d’observation par six témoins est remarquable par la qua-
lité de sa description, de la part d'un témoin fiable, qui n’en est pas à
son premier contact avec le phénomène ovni.
On peut penser que c’est Charles qui sert de support et
d’entremetteur, en quelque sorte, aux autres témoins qui, on va le
voir, ne sont pas tous réceptifs à l’idée de visiteurs extraterrestres !
Il ne fait aucun doute que le phénomène intelligent, mène le jeu. Il
manipule la réceptivité des observateurs en fonction de leur ouver-
138
ture d’esprit. Cela ressemble à un parcours initiatique dont on ne
connaît pas les règles, ni les aboutissements.
139
Je circulais sur la D20 qui coupe la A29 et feue la RN 15, au nord
de Rouen.
J’ai fait cette observation sur une distance d’une dizaine de kilo-
mètres, de Grémonville à Croix-Mare. Je suis persuadé que mon
observation aurait pu commencer plus tôt et durer plus longtemps,
si je n’avais pas été gêné par les arbres.
Le "cigare" était immense : 4cm à bout de bras, 1cm environ
d’épaisseur, (j’ai pris les mesures avec mon pouce et l’index). De
couleur vert-foncé, voir noir, de forme oblongue, cet objet avançait
lentement, et à une vitesse régulière.
Ca ne pouvait être un nuage ou un aéronef, ni un ballon. Ayant déjà
fait plusieurs observations, je suis certain de cela.
Je l’ai perdu de vue quand les arbres me l’ont caché, et je n’ai pu le
retrouver.
Direction SSO, 150° environ. J’ai refait le trajet avec une boussole.
Le cigare venait du NO.
Pour moi c’est une chose bien étrange. Qu’ai-je vu ? Le saurai-je
un jour ?
Trois mois plus tard, je n’ai trouvé aucun autre témoin. Cela ne me
paraît pas étonnant, et c’est peut-être même tant mieux pour les
personnes qui auraient pu m’accompagner… "
CP.
140
la porte principale. Une dame très classe, habillée d'une robe et d'un
chemisier blanc, l'ensemble un peu rétro, mais chic. Cheveux mi-
long, blonds, yeux clairs, bleus ou verts. Une dame assez grande :
Im75 /Im80, mince.
Cette dame venait chercher deux fruits et lui posait des questions
très courtes sur le mode de culture des fruits et sur la nature en géné-
ral. Elle était très aimable, souriante et pouvait être une cliente en
vacances qui appréciait son travail. Charles avait reçu un diplôme
d'honneur national " Très Nature", pour la qualité de ses fruits.
Cette femme était là, du mardi au vendredi, quelle que soit l’heure
d’arrivée de Charles qui n’était jamais la même, et il ne la voyait
jamais repartir. Il faut dire qu’il n’y prêtait pas attention.
Charles lui disait au revoir et puis elle s'en allait. Où ? Comment ?
Le vendredi soir, cette dame lui a dit :
"Au revoir Monsieur P……. ", avec un grand sourire et d'une ma-
nière saccadée.
– Au revoir Madame !
141
Charles n’avait jamais vu ce monsieur dans le magasin. Il n’a pu
voir s’il achetait quelque chose, ou s’il faisait ses courses. Il arrivait
toujours quand Charles repartait.
Surpris et étonné, il a surveillé ce monsieur pour voir de quel côté il
allait, et voir la plaque minéralogique de sa voiture, s'il en avait eut
une. Pas de monsieur, pas de voiture :
"Fondu" ? Envolé ?
142
Contrairement à d'autres "contactés", Charles reste disponible. Il ne
semble pas trop souffrir de cette situation, et se prête volontiers aux
investigations nécessaires avec une certaine naïveté dont certains
médias pourraient abuser. Bien que j'aie été autorisé à révéler son
nom, j'ai préféré lui conserver l'anonymat pour le mettre à l'abri de
manipulations mal intentionnées à son égard.
C'est une des raisons pour laquelle le cas de Charles P. avait été mis
en réserve à l'instar de divers problèmes d'éloignement et de dispo-
nibilité. Ces différents obstacles ont pu être enfin surmontés avec
l'aide précieuse de mon ami et collaborateur Gérard Deforge qui m'a
permis de mener à bien la présentation et la révélation de ce cas ex-
traordinaire.
143
Nous lui suggérons d’exécuter un dessin et enchaînons sur la dimen-
sion de l’objet, par rapport à un diamètre lunaire de 0,5 °, soit 0,5
cm à bout de bras (base 57,3cm)
144
Je pensais qu’il y aurait eu des crépitements beaucoup plus impor-
tants. Parce que vu l’altitude que ça avait,…Il y a plusieurs choses
qui m’ont choquée.
— C’était pour moi insolite dans ce que je voyais. Mais c’est vrai
qu’au départ, j’ai pensé tout de suite à une météorite. Vu l’altitude,
je me suis dis ça va plonger, ça va tomber sur terre.
Parce que l’altitude et l’angle étaient tellement inclinés, en fait, ça
va faire un truc énorme.
…J’ai pensé, punaise ! Mais si ça tombe sur terre, qu’est-ce qu’on
va se prendre…
— Ce qui m’a frappé, c’est que sur une courte distance, ça a dispa-
ru d’un coup. Cela m’a choquée parce que ce n’est pas normal.
Dans un objet qui poursuit sa course, j’aurais dû le voir jusqu'à
l’horizon et diminuer de taille…Et puis les avions, je les entends.
Mais là aucun bruit, rien.
145
normales sur les témoins non préparés à observer un phénomène
céleste irrationnel.
146
d’observation concernée. C’est-à-dire dans le couloir aérien des
avions de ligne se dirigeant vers l’ouest, distant de 5 km, d'où sem-
blait se trouver l’Ovni.
Objet : 2° = 175 m
Trajectoire : 7° = 610 m
Altitude : 8° = 700 m
Il est bien évident que toutes ces estimations sont subjectives et ré-
visables en fonction de données plus précises. Un objet lumineux
ayant tendance à être perçu plus gros qu’il n’est réellement.
Cette observation, bien que brève, est remarquable pour la précision
des éléments fournis et retenus pour l’établissement de notre en-
quête de terrain.
GM-JCV
147
148
Calzac Eglise (Theix près de Vannes).
1998 Golfe du Morbihan
Les Lumières nocturnes
149
— Il y avait de drôles de lumières blanches qui tournaient. On au-
rait dit une énorme roue.
Sarah explique que ces traits étaient blancs comme les traces que
laissent les avions dans le ciel. Cela ressemblait à une énorme cou-
ronne constituée de taches floues qui tournaient sur elles-mêmes,
toutes dans le sens des aiguilles d’une montre. Tout l’ensemble de la
couronne, comme un carrousel, se déplaçait en tournant de gauche à
droite sur une grande partie du ciel.
Sarah fait le geste du bras en tournant, à la manière dont on essuie
une vitre en décrivant des boucles avec la main.
150
Devant l’importance du phénomène, son aspect insolite de jamais
vu, ni de comparable, les témoins ont été choqués. Ne trouvant au-
cune explication valable, ils sont allés se coucher, non sans une cer-
taine inquiétude doublée d’une peur de l’inconnu.
151
quand on embobine d’un côté et ça se rembobine sur l’autre. C’était
deux ronds comme ça, avec des lumières autour. Des grosses
lampes de couleur néon, un peu bleues-blanches. Oui, c’était ça
vraiment qui a attiré mon attention d’abord. Et puis au départ je
pensais que c’était des lasers de boîte de nuit, mais non, non, rien à
voir. Ce n’était pas du tout ça. Quand j’ai vu ça je suis venu cher-
cher Sarah. On est retourné voir à pied. Effectivement, il y avait
bien quelque chose.
GM — C’était l’été ?
GM — Votre dame m’a dit que vous étiez montés sur la route.
152
ça tournait comme ça… Et puis ça allait à gauche, puis ça allait à
droite en tournant, et puis ça s’approchait vers nous....
GM — On ira voir ?
Nous nous dirigeons un peu plus haut à une centaine de mètres sur
la route bordée d’arbres. Un dégagement sur le côté de la route
laisse apparaître un groupe de maisons.
153
GM – Cela semblait vous concerner personnellement ?
L’enquêteur fait remarquer que les gendarmes ont des ordres pour
remplir les dépositions des témoins pour ce genre d’affaires.
MC —Non ! Ils seraient venus, ils auraient vu, bon d’accord, mais
voilà…On aurait peut-être dû… Maintenant ça fait quelques années.
On est rentré dans la maison en 1997/98. Ca devait être dans ces
années là, au printemps, ou au début de l’été.
154
Nous ne pourrons pas obtenir plus de précisions sur la date. Cette
déposition a été prise sur le vif et rapportée pour l’essentiel, d’après
l’enregistrement sans aucune préparation, sur un petit enregistreur
audio numérique.
Pour Sarah : des taches de lumière blanche qui tournent sur elles-
mêmes, disposées en couronne. Cette couronne tournoyant en
boucles dans le ciel.
Pour Marcel : Les mêmes taches de lumière, dont il n’est pas précisé
si elles tournent sur elles-mêmes. Par contre, nous avons ici deux
"objets " en rotation dans le même sens comme des bobines de "cas-
settes", ou bien en sens contraire, comme indiqué sur le dessin ?
Ce point reste à préciser.
De plus, il a été ajouté que les deux "objets" se confondaient parfois
pour s’écarter ensuite. Cette caractéristique de deux ovnis se con-
fondant en un seul, a été souvent remarquée dans d’autres cas,
comme l’absence de bruit.
Pour ce qui concerne l’attitude des voisins, qui à cette heure de la
nuit étaient couchés, seuls les habitants de la maison ont cru nos
témoins bien qu'ils n'aient rien vu, parce qu’ils avaient subi un évé-
nement semblable.
155
Les lumières nocturnes de Calzac-Eglise
156
Témoin principal : Robert L. (1)
A
la fin de l’année 2004, après avoir lancé la diffusion du
nouveau logo LDLN sous forme d’un autocollant ; je rece-
vais un nombreux courrier de demandes, et aussi quelque-
fois de témoignages d’observations et de confrontations au phéno-
mène OVNI.
L’un de ces témoignages était assez ancien, et suffisamment éloigné
de mon secteur pour envisager de confier l’enquête à un enquêteur
plus proche couvrant le secteur de l’Aveyron.
157
La ferme de l’Aveyron où les occupants furent harcelés
par de mystérieuses boules de lumière, intelligentes…
158
terrorisant toute la famille composée de l’aïeule, de sa fille, de son
gendre, et de leur fils Robert, qui deviendra le témoin principal visé
par le phénomène. De grosses boules de lumière apparaissaient le
soir, au ras du sol, et s’éteignaient subitement. Les boules réinté-
graient une sorte de colonne, également lumineuse, en forme d’obus
dressé dans les champs. L’engin décollait ensuite rapidement et sans
bruit. Les boules semblaient dirigées ou menées par une intelli-
gence. Une fois, le père voulant surprendre une boule par derrière la
maison, se trouva contré dans ses intentions et abandonnera la ma-
nœuvre.
Un soir, le fils Robert, excédé, décide de répondre à la provocation
et de poursuivre l’une d’elles. Robert sera alors témoin d’une ren-
contre rapprochée : un Ovni de type " soucoupe volante ", occupé
par deux humanoïdes. Les conséquences de cette rencontre seront
surprenantes et inattendues……….
159
Nous pouvons maintenant révéler le lieu exact, qui avait été tenu
secret dans la première enquête de l’époque dirigée par le regretté et
prestigieux ufologue : Fernand Lagarde.
Il s’agit du hameau de Roumagnac, dépendant de la commune de la
Fouillade, située à 17 km au sud de Villefranche-de-Rouergue par
les routes départementales D.922 et D.160.
L’habitation de la famille concernée est une maison ancienne d’une
dizaine de pièces, aux murs épais. Elle possède un étage où se trou-
vent les chambres, d’où la vue est très étendue sur une campagne
vallonnée de 400 à 500 mètres d’altitude. La demeure longe la route
départementale, peu fréquentée. Autour d’une cour, sont les dépen-
dances, jouxtant la ferme des voisins.
Que l’on se mette à la place des témoins dans une campagne pai-
sible, en pleine nature. Il fait nuit ; en face d’eux une colline à
1,2 km environ, qui culmine à plus de 400 mètres d’altitude, rien ne
gêne la vision, seulement les champs, un vallon où coule un ruisseau
et la pente qui remonte vers la ferme.
Dans l’obscurité d’un paysage qu’ils connaissent bien pour le voir
chaque jour, ils voient ces " feux" qui descendent la colline et re-
montent traversant les champs et les haies. Ils se posent des ques-
tions. Ce ne peut être un orage, ni la foudre en boule. Tout est silen-
cieux. Mais c’est la hantise du feu qui fait peur à tous dans les cam-
pagnes. Malgré le désir d’une explication rationnelle, on ne com-
prend pas le comportement de ces boules menaçantes, semblant être
pourvues d’une volonté propre.
160
Le père voit une boule, qui s’est approchée à 15 mètres de la mai-
son. Rien qu’une grosse boule de lumière de 1,20 m de diamètre, le
bas légèrement aplati. Elle ne touche pas tout à fait le sol ; à 15 cen-
timètres peut-être. Puis soudain, plus rien. Elle disparaît. Elle s’est
éteinte brusquement comme une lumière que l’on éteint, pour réap-
paraître plus loin, à 500 mètres.
Intrigué, il décide d’aller voir de plus près, au dehors. Il revoit la
boule, et dressé au loin dans un champ, un autre objet lumineux
comme un arbre qui brûle. Mais il n’y a ni flamme, ni fumée…….
Puis il voit les boules. Il en compte six qui se déplacent lentement
en file indienne, au pas d’un homme ; allant et tournant, espacées les
unes des autres de plusieurs mètres. Un étrange carrousel qui va
durer une demi-heure. Le père est ébahi, ne comprend toujours pas.
Les boules rejoignent l’objet vertical à l’extrémité pointue comme
un "obus", et vont s’y accrocher, s’y fondre et disparaître à
l’intérieur.
Le témoin n’osera pas s’approcher davantage de l’objet mystérieux.
Las d’observer, mais rassuré pour l’incendie, il ira se coucher.
Des observations lumineuses s'étaient produites avant ce 15 juin,
mais le père n’en avait pas parlé. D’autres observations auront lieu
les jours suivants.
Il faut rappeler que dans les années 1966 / 67, il n’y avait pas
d’éclairage extérieur au village.
Que les gens étaient couchés au plus tard aux environs de 22 heures.
Il n’y avait pas de télévision. Chaque famille avait seulement un
poste de radio servant à écouter les informations, et le journal écrit;
un seul hebdomadaire lu par les gens du village, intitulé "Le Ville-
franchois". Tous les gens des alentours étaient agriculteurs et ne
connaissaient d’aucune manière le sujet qui va être traité ici.
C’est le fils Robert, 20 ans à l’époque, qui va maintenant entrer en
scène. Il n’a encore rien vu. Il nous a fait récemment le récit sui-
vant :
161
parents n’étaient pas couchés, et les lumières de la maison allu-
mées. Je me suis dis : Qu’est-ce qu’il y a ? Peut-être une bête ma-
lade, ou quelqu’un du village, un voisin qui ne va pas bien. Je de-
mande ce qui se passe. Mon père et ma grand-mère parlant en
même temps, me décrivent ce qui est arrivé.
Il y avait des lumières qui se promenaient autour de la maison. Cinq
à six lumières de un mètre à un mètre vingt de diamètre. Elles ve-
naient d’un "obus" lumineux dressé immobile au fond de la vallée.
Ces boules de lumière couleur blanc / jaune n’éclairaient pas. Elles
se sont approchées progressivement de la maison sans aucun bruit.
Ma grand-mère me dit qu’elle s’était couchée tout habillée, de peur
que ça mette le feu. Par moments, ces lumières s’éteignaient comme
si on tournait un interrupteur, puis ça revenait. Elles circulaient au
pas d’un homme en s’approchant de plus en plus de la maison. Tout
le monde avait peur !
162
détachaient ces boules qui s’approchaient de la maison. Quel est ce
trafic ? Des engins militaires spéciaux, ou alors quoi ? – Bref !
– Le manège dure jusque tard dans la nuit, puis tout le monde va se
coucher sans être rassuré pour autant.
Le vendredi 6 janvier au soir, le père sort pour voir les bêtes. Une
boule est là tout près dans la cour, entre la maison et l’étable. Il ne
dit rien, mais décide intérieurement d’aller chercher une lampe de
poche et de faire le tour de la maison en passant par la route, pour
surprendre cette «boule» par derrière. Il passe à l’exécution, mais
parvenu sur la route la boule est là, semblant l’attendre, l’obligeant à
modifier son plan…
163
" L’obus " dans le champ récupérant les " boules "
164
chemin de terre. Nous sommes conduits à envisager une connais-
sance préalable de la boule des intentions du témoin, ou au mini-
mum, le calcul et la prévision de son comportement.
Le père change donc de direction en s’éloignant d’une soixantaine
de mètres sur la route. La boule le suit en longeant la route dans le
pré, derrière la haie où débouche un chemin de terre. La boule est
encore là, lui bloquant le passage. Découragé, il renonce et retourne
vers la maison. La boule le raccompagne en le suivant sur la route.
Le fils, prévenu, descend à son tour, mais tout a disparu… Cepen-
dant, quelques minutes plus tard, ils revoient ensemble une étrange
procession dans la campagne : six boules alignées qui se dirigent
vers " l’obus" dressé en plein champ, avec à son sommet un étroit et
puissant faisceau lumineux qui tourne, tel un phare dans la nuit. Les
deux hommes appellent alors la mère et l’aïeule pour voir le spec-
tacle, mais les femmes apeurées refuseront de sortir.
Finalement, le père montera se coucher et le fils restera seul à con-
templer la suite des événements…. Il distingue l’obus avec trois
"branches" de chaque côté. Et à un moment donné, une boule sur
chaque branche… trois boules de chaque côté; cela faisait six boules
qui disparaissent ensuite comme absorbées par l’obus.
Quand le jeune homme regagne sa chambre, un peu plus tard, le
phare tournait. On y voyait par intermittence, comme en plein jour.
Une enquête avait été effectuée dans la ferme des voisins, attenante.
165
Le cultivateur avait confirmé avoir aperçu des lumières certains
soirs, pensant plutôt à des enfants qui se seraient amusés avec un
gros phare. A part une fois où il a vu une lumière qui se déplaçait,
au même endroit que les témoins. L’orientation de son habitation
étant différente de celle de ses voisins et de plus, gêné par les bâti-
ments, explique peut-être que les occasions de faire des observations
étaient plus aléatoires.
La poursuite en voiture
C’est là, 500 mètres plus loin, qu’il revoit " l’obus " à gauche, (ou
un autre semblable) qui se tient au bord de la route. "L’obus" n’est
maintenant qu’à une trentaine de mètres du témoin, venant de
l’étang voisin. La voiture est arrêtée. L'obus mesure bien 2 à 2,5
mètres de large. L'objet est estimé mesurant 13 mètres de hauteur. Il
se tient à environ deux mètres du sol. Il est d’un blanc lumineux
avec une sorte de halo marron à son sommet. Et là, notre témoin
revoit la boule qui s’était arrêtée plus loin devant, ou une autre.
166
C’est au moment où Robert ouvre sa portière qu’un sifflement se
fait entendre. La luminosité de l’obus s’accroît. Il s’incline à 45° et
une sorte de buée verdâtre apparaît à la base. Il décolle aussitôt dans
une sorte de glissade latérale, et il part à une vitesse incroyable.
La boule, elle, est restée sur la route à 150 mètres un peu plus haut,
semblant l’attendre. Robert redémarre et la poursuite continue, la
boule conservant toujours la même distance quelle que soit la vi-
tesse de la voiture qui parcourt ainsi 3 kilomètres de montée depuis
la ferme. Soudain, arrivé au point culminant où la route redescend
avant d’atteindre l’embranchement avec la route nationale, le mo-
teur ralentit, la voiture et les phares s’arrêtent. Le démarreur ne ré-
pond pas non plus. La voiture termine les quelques dizaines de
mètres au point mort et Robert se gare sur le bas-côté. Devant lui, au
carrefour, la boule s’arrête un instant avant de sauter le fossé et
s’immobiliser dans un champ. C’est alors qu’il est pris de panique
car…
167
La rencontre extraordinaire après la poursuite de la boule de lumière. Un vaisseau
spatial d’un autre monde à double dôme avec deux passagers a calé la voiture et
paralysé le témoin.
Un panneau indicateur vibre étrangement sous influence magnétique de l’engin
qui s’envole à une vitesse fulgurante.
168
— Je dis :" bon on va se coucher ". Fin de cette journée.
Le témoin raconte :
169
— Voyons, R…vous me disiez que vous aviez fait d’autres observa-
tions l’année dernière, pourriez-vous me dire dans quelles circons-
tances et à quel moment ces observations ont eu lieu ?
— Pourquoi ne vous êtes pas approché plus près ? Vous aviez peur ?
— Non, mais une voiture est arrivée sur la colline en face, sur le
versant droit de la petite rivière, tous phares allumés, et le phéno-
mène a cessé. C’était une voiture de gendarmerie en patrouille avec
au-dessus son phare tournant. La sphère a disparu, comme éteinte.
Le lendemain le phénomène a reparu, et ça a été à peu près le même
scénario. A peu près à la même heure et au même endroit (c’est à 5
ou 600 m de sa maison dans sa propriété).
Quand je me suis approché, la luminosité décroissait à mesure que
j’approchais. Pendant que je marchais, une voiture identique à la
veille s’est avancée sur la colline en face, par la même route, et la
sphère a disparu sur place.
170
— Je ne pense pas que les phares ont fait cesser le phénomène. Je
pense que c’est le phénomène qui ne désirait pas être observé par
les occupants de la voiture.
— Vous m’aviez dit que votre père avait vu également ces boules
un peu avant vous, je crois ?
— Oui, mon père m’a dit qu’au mois d’août il avait vu une boule
verte qui remontait le vallon se dirigeant vers Villefranche, près du
sol, suivant sa dénivellation. Toujours aux alentours de 22 :00 h.
F. Lagarde
171
Poursuite d’une boule de lumière en Vendée
172
nutes. C’était comme si la boule avait attendu le cycliste et
s’échappait pour ne pas se laisser approcher.
173
Lagarde serait comblé quarante ans plus tard. Robert L, a tenu sa
promesse et peut révéler maintenant ce qu’il ne pouvait pas dire à
l’époque.
Les témoins étaient « boule…versés », les enquêteurs perplexes et
dubitatifs, quant aux ufologues, ils étaient certainement partagés.
Une certitude pour nous aujourd'hui : Le phénomène prouvait son
intelligence en poursuivant un but précis, en attirant le témoin dans
un endroit isolé à l'abri des regards. Certains faits étaient déjà con-
nus dans le domaine ufologique. D’autres moins, comme les réac-
tions des boules aux intentions et aux actions des témoins et des
animaux. Les boules absorbées par « l’obus » et la vibration du pan-
neau routier métallique, analogue à l’observation de Vins-sur-
Caramy (Var), le 14 avril 1957 où une « soucoupe méduse » en
forme de toupie géante munie de tigelles lumineuses survola la route
à 2 ou 3 mètres du sol, faisant vibrer successivement deux panneaux
indicateurs au carrefour de la D 24 sur la route de Vins. (3)
La révélation
174
Grande était ma curiosité, après les surprenantes révélations dont
j’étais le premier, selon lui, à bénéficier.
Il s’agissait essentiellement de nombreuses…… visites nocturnes
dans sa chambre.
175
de nombreuses visites nocturnes de lumières et de manifestations
d’entités que l’on pourrait qualifier "d’extraterrestre".
On aborde ici un phénomène à peine évoqué dans la première en-
quête de 1970 effectuée par trois enquêteurs de LDLN, sous la di-
rection de Fernand Lagarde, à qui il avait tenté de fournir des expli-
cations. Arrivé devant lui, il n’avait rien pu dire. Quelque chose
indépendant de sa volonté l’en avait empêché.
176
Ovni double dôme - Canada
177
Le plan de la ferme de Roumagnac et les dépendances
178
Le plan des phénomènes autour de la ferme de l’Aveyron
179
Les Visiteurs nocturnes (Bedroom visitors)
On entre ici au cœur des évènements qui ont tous lieu dans la
chambre du témoin : des visites nocturnes d'entités connues sous le
nom de "bedroom visitors", dans le langage anglo-saxon de l'ufolo-
gie. Ces visites vont s'étaler sur environ deux ans. Depuis le 11 jan-
vier 1967 après la rencontre avec l'ovni, jusqu'à janvier 1969 au dé-
part du témoin avec ses visiteurs.
Ceux-ci l'ont choisi pour le tester et l'évaluer sur ses aptitudes géné-
tiques, et le préparer méthodiquement à accepter un don génétique
de sa personne.
Le phénomène est décrit selon un processus classique de contact. Le
témoin est apparemment éveillé - Il ne rêve pas - La scène est res-
sentie comme une réalité consciente. Le visité entre dans un état
second. Il ressent une présence puissante qui le paralyse. Il ne peut
pas bouger, pas s'échapper. Son esprit semble flotter au dessus de
son corps. Il est très conscient de la situation. Il est entièrement sous
contrôle, et subit l'évènement sans pouvoir intervenir d'aucune ma-
nière physique. Un phénomène "dimensionnel" interfère avec le
témoin.
Impossible de dire si c'est une énergie lumineuse qui pénètre la
chambre close, ou bien si c'est le témoin qui est transporté ailleurs;
un autre environnement. La chambre n'a plus de murs. Le phéno-
mène sera éprouvé plusieurs fois pendant deux ans.
Des personnages de grande taille, d'aspect humanoïde, entourés
d'une très forte lumière, l'observent autour de son lit. Une communi-
cation mentale s'établit entre les visiteurs et le témoin passif. Mais
laissons le témoin s'exprimer:
A travers la matière.
180
sais pas comment expliquer cela - Un changement d’état. Au début,
les premières fois j’avais très peur. Mais peu à peu, je m’y suis ha-
bitué, et finalement ce n’est pas si terrible.
Autour de moi, je voyais des personnages. D’abord trois ou quatre,
tous très grands ; plus de deux mètres environ ; des humanoïdes
longs et minces, blonds au visage fin, les yeux légèrement bridés. Il
y avait des hommes et des femmes. Quelquefois ils étaient plus nom-
breux, jusqu’à neuf personnes qui entouraient mon lit. Tous étaient
habillés d’un vêtement collant d’une seule pièce ouverte au cou et
aux poignets; une sorte de combinaison brillante aux reflets mé-
talliques avec une large ceinture. Les femmes portaient de longues
robes aux reflets métalliques. Leurs bras étaient très longs égale-
ment, et descendaient jusqu’aux genoux, avec des mains aux
doigts fins.
Tous me parlaient. Surtout celui qui se présenta comme le "Guide"
et m’appelait familièrement : " Roro ", surnom qu’il me donnait
(Bien que personne de mon entourage, parents ou amis,
n’employait). J’ai eu de nombreuses visites dans ma chambre. Je me
souviens ; ils m’avaient mis un bracelet de lumière autour de mon
poignet. Une sorte de gros anneau qui se remplissait de sang, et
me donnait des picotements. Le lendemain matin, je n’avais plus de
traces. Le " Guide" m’a rapporté que leur hiérarchie avait estimé
qu’ils m’avaient trop pris !
181
phètes qui ont contribué à notre évolution. Leur but n’est pas de
s’ingérer dans nos affaires. Cela leur est interdit. – Nous avons
notre libre arbitre – C’est à nous de faire le choix de notre avenir
individuel et collectif.
Ils m’ont enseigné beaucoup de choses que je ne savais pas ; (Il est
question de 300.000 contactés sur terre !) Comme moi !
(6) « Les Extraterrestres m’ont dit », page 76. Editions Alain Le-
feuvre 1978
Le changement.
Question : " Quelle est cette espèce de boule que vous avez tout le
temps à la main ? "
182
— Ah ! Cela t’intrigue ce boîtier que nous avons en permanence
avec nous. Eh bien ! Ce petit appareil nous sert à communiquer, à
donner notre position aux vaisseaux en orbite lointaine autour de la
terre ou en attente dans les parages au- dessus du sol ; cachés dans
un ou plusieurs carrefours d’espace inter-dimensionnels, que vos
savants n’ont pas encore découverts ; mais aussi à nous défendre
en cas d’attaque. Il nous permet d’apporter une réponse adaptée
soit contre une bête féroce sur une planète hostile en début
d’évolution, ou contre des formes de vie qui veulent nous attaquer,
formes de vies organiques ou inorganiques. Mais aussi à nous sortir
d’un mauvais pas : tomber à l’eau, dans un ravin ou autre. Changer
la composition de la matière etc…
Affirmation
183
pendant, il y a aussi d’autres formes intelligentes non humaines
très organisées et évoluées. La Vie est partout et beaucoup de pla-
nètes sont habitées. Nous avons de nombreux échanges cos-
miques.
Le camouflage.
Déclaration
" Avant tout, je voudrais dire que cette expérience vécue par ma
famille et par moi, est indépendante de notre volonté. Que j’ai com-
pris très vite être la personne visée par ces gens.
Que cela a remis en cause l’enseignement religieux que j’avais re-
çu. Remis en cause aussi, l’idée que je m’étais faite de l’univers.
Que cela a amené en moi, de manière progressive, une nouvelle
approche conceptuelle de notre univers. J’ai compris aussi que cela
ne servirait à rien d’en parler à qui que ce soit ; ni au médecin qui
n’y comprendrait rien. Les moyens de présentation et
d’investigation de ces gens, leurs méthodes de travail dépassant, de
loin, tout ce qui pouvait se faire sur terre. Je voudrais dire à ceux
qui me liront ou me connaîtront, que je n’ai aucune prétention, que
je n’ai aucun pouvoir, que je ne cherche à convaincre personne, et
que si j’ai accepté, à la demande de ces gens venus d’une terre loin-
taine, certaines choses ; cela reste avant tout une expérience indivi-
duelle enfouie au fond de mes tripes. Peu importe d’être cru ou pas,
c’est le dernier de mes soucis. Je pense que beaucoup de personnes
ont vécu des choses similaires. Pourquoi je parle de cette affaire ?
Simplement en fin de carrière, et rencontrant monsieur Metz, j’ai
décidé de livrer la suite, sans d’ailleurs aucune conviction, que cela
puisse aider à la recherche. Je suis donneur de sang bénévole, et à
184
un certain moment, j’ai accepté que celui-ci serve de temps à autre
à la recherche.
J’ai eu des inquiétudes, des interrogations, parfois aussi de
l’angoisse par rapport à l’inconnu. Mais cela m’a forgé, a trans-
formé ma vie. J’ai pris des risques calculés avant de faire un long
voyage. Je n’avais rien à perdre. Je me suis dépassé, et je considère
que cette expérience a été plus que bénéfique sur tous les plans.
Comment je me sens à l’heure actuelle ?- Bien dans mon esprit, bien
dans mon corps, plein de vitalité, de souplesse et de jeunesse. Une
grande sérénité.
Les années 1967 / 1968 ont été deux années où certains souvenirs
sont dans le flou. Je confirme : qu’après la soirée mémorable pour
moi, du mercredi 11 janvier 1967, j’ai dormi pendant quelques
jours 18 heures sur 24. Que la lumière blanche intense pénétrait à
l’intérieur de ma chambre où je perdais conscience. Et ensuite, que
des " humanoïdes " s’affairaient autour de mon corps pour prélever
des "composants humains" comme ils me l’ont dit plus tard. Cela a
duré plusieurs mois…Et ensuite, leur manière d’opérer a changé.
Un dialogue venant de leur part a été établi. Là, j’avais toute ma
conscience. L’impression de flotter ou de ne plus avoir de corps ;
mais dans aucun cas de figure, jamais de douleur, toujours de la
politesse et de la prévenance.
C’est là, que la personne que j’appellerai "le Guide" s’est présen-
tée à moi en tant que :
Explorateur d’étoiles. Que tous venaient d’une galaxie voisine. Que
leurs connaissances scientifiques avaient 20.000 années d’avance
sur la nôtre. Qu’une autre réalité (la leur) allait s’imbriquer dans la
185
mienne si je le voulais, avec le moins de gêne possible, occupant les
espaces vides.
Puis nos rapports (toujours le contact établi par eux) se sont amé-
liorés. Je les attendais dans ma chambre, en pleine possession de
mes moyens psychiques et physiques. Le dialogue s’instaurait;
échanges sur des sujets philosophiques, – alimentaires, – culturels,
– politiques, – évolution humanitaire, – comportement – avenir de
la planète,– ressources énergétiques – Entretien du corps physique
avec une première approche du Yoga, et préparation à celui-ci.
Des exercices physiques, des mouvements et des postures à prati-
quer régulièrement tout au long de ma vie pour me maintenir en
forme (J’ai commencé ces mouvements et exercices le 1er octobre
1968) Ils m’exposaient parfois certains détails de la vie sur une pla-
nète différente de la nôtre, se présentant comme explorateurs
d’étoiles. Ils m’informaient sur la coexistence d’autres univers à
travers le nôtre, non encore découverts par notre science terrestre,
le respect et le droit de la vie des humains, et la non- propriété du
sol (la planète appartient à tous et à personne en particulier) —
l’obligation de chaque personne intelligente à aider celle qu’il l’est
moins...etc…
Ces contacts toujours établis par ces êtres, venus d’une terre étran-
gère, ont duré sept années avec des intervalles plus ou moins longs.
Eux, que m’ont-ils fait, ou que m’ont-ils pris ? Je n’en sais rien, et
je ne tiens pas tellement à le savoir. Si je leur ai rendu service, j’en
suis heureux, eux aussi m’ont beaucoup apporté."
En novembre 1969, LDLN avait reçu une lettre qui avait déclenché
l’enquête de l’Aveyron.
186
l’hôpital de Rodez en tant qu’agent des services hospitaliers en
1977, pour devenir plus tard aide-soignant.
L’année où je n’ai pas travaillé est 1969. Année blanche, mais par-
ticulièrement différente, où une rencontre riche en évolution per-
sonnelle, m’attendait.
Robert L, nous a fourni des documents sur ses états de service, ainsi
qu’un relevé de carrière de la Sécurité Sociale montrant une activité
nulle pour l’année 1969.
Après la rencontre de notre témoin avec l’Ovni, et les nombreuses
visites d’entités qu’il faut bien qualifier "d’extraterrestres", puisque
qu’ils prétendent eux-mêmes venir d’une autre galaxie. Robert donc,
notre témoin "choisi" par ces visiteurs, va subir une préparation de
près de deux années qui va aboutir à une proposition de voyage. Une
sorte de contrat pour un stage d’un an avec les visiteurs. Un enga-
gement apparemment librement consenti par le candidat au "don" de
matériel génétique destiné au peuplement d’une hypothétique et
lointaine planète. Tout sera pris en charge par les visiteurs. Robert
qui va avoir vingt-trois ans et peu d’avenir dans le milieu rural où il
vit, estime ne rien avoir à perdre, et va accepter la proposition avec,
il faut le dire, un certain courage et une bonne dose de témérité.
Préparation de départ
187
gnac. D’autant que je n’avais vraiment aucune attache particulière
qui pouvait me retenir, pas de copine.
Et puis j’ai ressenti l’occasion extraordinaire qui m’était donnée.
J’ai dit à ma mère et à ma grand-mère que j’irai à Paris travailler
l’année 1969 et à mon père, que je partais avec les visiteurs. Il n’y a
pas vu beaucoup d’inconvénients. J’ai toujours eu la liberté de dé-
cider. J’ai prévenu mon employeur, (aujourd’hui décédé) de ma
démission pour la fin de l’année 1968, en lui disant que je partais à
Paris. Comme j’étais jeune, il n’y a pas vu d’inconvénients.
188
Le Voyage en Inde - La Grotte
— Au cours de notre dernière rencontre, où j’avais accepté de par-
tir, mon "Guide" m’avait informé du lieu de destination dans une
grotte en Inde près de la frontière avec la Chine.
La date de départ était fixée pour le mardi de la première semaine
de janvier 1969. (Le 7 janvier) J’ai donc passé Noël 68 à la maison.
J’ai informé mon père que je partais avec mes amis, et à ma mère et
ma grand-mère que je partais travailler à Paris. Que je n’aurai pas
le temps de communiquer beaucoup, voir que je ne donnerai pas de
mes nouvelles avant de revenir. Mon père savait que je ne commu-
niquerai pas, mais que je serai en sécurité.
A la date prévue, le soir vers 22 :30, je me dirige au fond du champ,
là où ‘l’obus’ avait stationné, avec pour consigne de ne pas
m’approcher du vaisseau tant qu’il ne serait pas éteint et que je
monterai sur la passerelle uniquement quand je verrai la lumière
jaune. Tout d’un coup, en arrivant dans le champ pour les attendre,
j’ai eu peur de ne pas pouvoir respirer une fois dans la ‘machine’.
(Le terme : machine était souvent utilisé par le ‘guide’)
Peur injustifiée, car presque aussitôt, j’ai reçu un message télépa-
thique de mon ‘guide’ pour me rassurer, me disant que je n’avais
pas de souci à me faire ; que tout était prévu pour moi, et que ma
sécurité était assurée. J’attendais depuis quelques minutes, lors-
que j’ai vu arriver la "machine"...
Robert s’en va, comme ça, seul à pied, un soir de janvier, à peine
vêtu d’un pantalon, d’une chemise et d’un pull sur ses sous-
vêtements, sans bagages ni montre. Malgré la nuit, il trouve son
chemin. Si son père était au courant de sa destination, sa mère et sa
grand-mère auraient dû se poser des questions. Si Robert n’a pas eu
à simuler un départ organisé pour Paris ; (nous sommes en pleine
campagne loin de tout). Il faut envisager que les femmes avaient
subi une inhibition qui les empêchait de poser des questions. Robert
ne se souvient pas d’avoir eu des difficultés pour préparer son dé-
part. On est ici dans la logique des enlèvements où les témoins de
" l’abducté" peuvent être mis hors circuit de la réalité ordinaire.
189
Nous sommes le mardi 7 janvier 1969. Robert prend le chemin qui
sort de la ferme et se dirige dans le champ à quelques centaines de
mètres en contrebas, à l’endroit où s’était po-
sé l’obus. Renseignement pris auprès de météorologie locale entre
Villefranche-de-Rouergue et La Fouillade pour cette soirée; la tem-
pérature était plutôt douce pour la saison.
Nous avons une confirmation supplémentaire par monsieur Ray-
mond Gibelin qui enregistrait les données météorologiques pour le
compte de Météo-France depuis son domicile de Quins qui se situe à
quelques 600 m d'altitude et à 25 km à l'est de Roumagnac pour ce
même jour du départ de Robert. Température le matin : 3,8°, et de
7,5° le soir. Vent sud-est. Ciel nuageux avec averse de grêle à 17
heures.
Nous remercions monsieur Gibelin pour cette importante précision,
d'autant plus qu'il a été personnellement témoin d'une observation
ovni publiée le 8-02-2002 par La Dépèche.fr
— Je sortais pour vérifier qu'il n'y avait pas de verglas sur le che-
min avant que ma petite fille n'aille à l'école. Et en regardant le ciel
entre le hangar et la maison, j'ai vu cette boule rouge ou orange
foncé avec une petite traînée derrière". Raymond Gibelin n'en re-
vient toujours pas, alors qu'il décrit, ce jeudi, vers 14 heures, ce qu'il
a vu le matin même.
— C'était huit heures moins cinq. L'heure à laquelle je vais relever
les données météorologiques, comme je le fais tous les jours depuis
trente-neuf ans ", ajoute ce presque octogénaire résidant à Quins,
membre du cercle des observateurs aveyronnais de Météo-France. Il
explique même qu'il s'agit d'un véritable "coup de chance": "
— D'habitude je sors par l'arrière de la maison pour aller jusqu'au
poste et à la station météo, et je fais le tour pour entrer par la porte
de devant. Or ce matin, j'ai inversé mon chemin. Un pur hasard qui
m'a permis de voir cette chose bizarre."
190
Car Raymond Gibelin est dans l'expectative. Il a véritablement vu
quelque chose dans le ciel aveyronnais à cette heure où le soleil
darde à peine ses rayons. Mais définir avec certitude ce qui a attiré
son regard est une autre histoire.
"Tout s'est passé en moins d'une seconde"
Il s'agit sans conteste d'un objet volant non identifié (Ovni, dans le
langage courant). Mais de là à penser qu'il s'agit d'une soucoupe
volante, il y a un pas. L'idée l'a pourtant effleuré, que l'homme n'ose
pas franchir. " Tout s'est passé très vite. Moins d'une seconde en
fait. Cette chose se déplaçait dans le sens sud-est, sud-ouest, paral-
lèlement au sol. Et je suis sûr que ce n'était pas une comète ou une
étoile filante", assure-t-il d'un ton péremptoire.
191
Que faut-il comprendre de cette dernière phase ? Cette affaire de
Quins, qui comporte deux témoins, dont un est particulièrement qua-
lifié pour observer le ciel, ne serait donc pas classable ?
Reprenons plutôt notre affaire, autrement intéressante, quand Robert
arrive à son rendez-vous dans le champ près de la ferme, ce soir
là…
L'embarquement
192
Robert est inquiet. Apparaît une colonne de lumière jaune sous
l’engin. Il peut maintenant s’approcher en toute sécurité. Une sorte
de rampe d’accès avec trois marches se déplie sous l’appareil. Le
jeune homme se présente dans la lumière et monte les marches. Une
porte s’ouvre dans la paroi ; il rentre. Le "Guide" est là, qui l’attend,
main tendue. C’est le même personnage que Robert a vu dans la
chambre. Il rassure Robert : " Tout est prévu pour toi. Tous tes be-
soins essentiels sont prévus ". Il l’invite à s’asseoir dans un fauteuil
confortable qui s’adapte parfaitement à son corps. Tout est calme
dans l’appareil ! Rien ne bouge ! Pas de bruit !
193
Le "Guide" m’a amené dans une sorte de chambre où il y avait un
lit comme ceux que je connaissais ; des toilettes à côté comme nous
les avons à l’heure actuelle, mais avec un matériau très doux, du
papier wc, de l’eau sur un lavabo. Comme j’étais fatigué, le ‘Guide’
m’a suggéré d’aller au lit et que nous verrions la suite demain ma-
tin…
Robert a été doté d’un vêtement semblable à ceux des hôtes extrater-
restres. C’est une sorte de collant souple et fin d’une seule pièce
sans poches, ouverte au cou, aux chevilles, et aux poignets, aux
qualités extraordinaires d’élasticité. La matière indéfinissable de
cette seconde peau, se distant à volonté et s’adapte parfaitement
194
au corps. La couleur aux reflets métallisés est variable et c’est un
parfait isolant du froid et du chaud. Ce vêtement lui sera changé
environ tous les quatre jours ; pas pour des raisons d’hygiène, (le
vêtement ne se salissait pas) mais il avait besoin d’être vérifié et
régénéré pour captage des rayons magnétiques.
195
On a ici la description de ce que l’on peut désigner comme une télé-
vision en couleurs et en relief. Il semblerait que cela soit un prélude
à nos futures découvertes technologiques à venir.
Les scènes se présentent avec un décalage horaire correspondant aux
heures de repas habituels à la ferme, relativement compatibles avec
le décalage horaire entre l’Inde et la France. Nous tenterons de dé-
velopper plus loin cette étude du lieu possible de la grotte.
Par vision sous différents angles, il faut comprendre dans tous les
sens, à la manière d’un oiseau. C’est comme s'il y avait des caméras
partout, aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur de la ferme.
Les petites boules de lumière observées autour d’ovnis pourraient
bien être des sortes de sondes faisant office de mouchards pouvant
rapporter l’image et le son ainsi que d’autres renseignements.
196
La transmission était en temps réel avec le décalage horaire
d'environ six heures dans les activités journalières.
Le "Guide" lui avait dit aussi qu'une "sonde" avait été installée au
sommet d'un grand chêne qui se trouvait en face de la fenêtre de sa
chambre, coté Ouest.
Rentré chez lui fin novembre 1969, Robert avait cherché la "sonde"
qui devait se trouver dans le chêne. Mais l'arbre était si haut, et ne
pouvant atteindre le sommet, il abandonna la recherche.
197
L’écran en relief 3D
198
des personnes différentes. Elle revint ainsi sept fois rendre visite à
notre témoin qui insistait pour le laisser entrer dans son appareil.
Mais en vain…, jusqu'à leur dernière rencontre où son désir fut
exaucé.
La visiteuse, prudente, qui ne s'éloignait jamais de plus d'une di-
zaine de mètres de son appareil, l'invita enfin à pénétrer dans son
astronef. Très ému, il remarqua d'abord une sorte de poste de pilo-
tage en métal brillant, surmonté d'une plaque en demi-lune d'environ
1m,50 de rayon, sur laquelle apparaissaient des points lumineux
reliés entre eux par des lignes sombres.
Les parois de la cabine ainsi que le parquet étaient en métal. Sur la
"demi-lune" transparente, se trouvaient trois gros boutons disposés
en triangle, des commandes sans doute. Les "points" colorés, reliés
entre eux par des lignes sombres, qui, par un effet de perspective,
semblaient suspendus dans le vide ou en "profondeur", dans ou der-
rière la plaque transparente.
199
Le technicien examina soigneusement ce qui aurait pu être les
"bords" sans trouver aucun joint qui permettait une quelconque sé-
paration des matières différentes. Ce que l'état de nos connaissances
techniques ne permet pas de réaliser.
Le témoin et l'enquêteur se rendirent ensuite sur une montagne pour
tester l'appareil. Il suffisait de tourner la molette de la partie cylin-
drique pour obtenir un effet de "zoom" à grossissement variable,
sans avoir à ajuster l'image, qui restait parfaitement nette.
Toutefois, lorsque l'on déplaçait l'appareil pointé, par exemple, sur
la cime d'un arbre pour en examiner le tronc, l'image du feuillage ne
cédait la place à l'image du tronc qu'avec un certain retard de tran-
slation, amortissant le bougé de l'observation.
Il faut noter que depuis cette époque, il existe des jumelles avec at-
ténuation du "bougé" permettant une vision plus confortable particu-
lièrement appréciées dans les cas de forts grossissements.
Cet effet est également visible sur les caméras et les appareils photo
numériques récents, équipés de stabilisateur optique destiné à la
prise de vues sportives à déplacement rapide.
L'instrument fut pointé sur le sommet d'une montagne distante de 17
km, où se trouvait une station de téléphérique. Sidéré, l'enquêteur vit
non seulement la construction, mais distingua aussi parfaitement la
roue métallique d'entraînement du câble du téléphérique. Surpris, il
lut même le matricule en relief sur la roue et vit les taches de cam-
bouis entre les chiffres.
(Soit à titre comparatif : 1 million de fois la largeur d'un doigt de 1,7
cm vu à 17 Km).
Il est évident que cette histoire invraisemblable rapportée par un
écrivain de science-fiction suspect et controversé au sein même du
milieu ufologique, avait de quoi surprendre par cette révélation qui
fournissait une preuve de l'existence de visiteurs extraterrestres, par
la description d'un objet qui n'était pas réalisable par nos technolo-
gies industrielles.
L'affaire se termina mal, puisque le témoin et l'enquêteur disparurent
de la circulation. Subirent-ils des interdictions, des pressions et des
menaces pour les faire taire ? Toujours est-il que le contact fut rom-
pu jusqu'au jour où un parent donna des nouvelles du témoin qui,
après avoir été malade, avait reçu la visite de quatre hommes mysté-
rieux qui s'entretinrent longuement avec lui. Quel fut cet entretien ?
200
Le technicien enquêteur ne put en apprendre davantage sur le sort du
malheureux peintre retraité qui avait reçu en cadeau un appareil op-
tique d'un autre monde. Il avait déménagé et refusait catégorique-
ment de donner son adresse. Il avait peur et se cachait.
Cette "intervention" de quatre hommes mystérieux que l'on baptise-
ra plus tard "men in black", ou hommes en noir, ressemble à des
envoyés "d'ailleurs", qui viendraient en quelque sorte réparer une
bévue. L'interdiction d'une preuve prématurée de l'existence extra-
terrestre.
On peut imaginer que la visiteuse aurait commis un excès de zèle en
donnant un objet qu'elle aurait dû garder pour ne pas laisser une
preuve tangible de son passage. Tout cela peut faire partie d'un plan
de mise en condition pour éviter une révélation brutale de l'existence
d'autres mondes, qui viendrait bouleverser profondément l'équilibre
fragile de nos sociétés terriennes.
201
petite balade au grand air était la bienvenue, à peu près tous les
soirs. "
202
Robert L. décrit la "grotte" comme une base construite à environ
1000 mètres de profondeur sur un piton rocheux dans une zone de
montagnes abruptes inaccessible de tous les côtés et des vallées en-
caissées en contrebas. La nature sauvage paraît hostile et dange-
reuse. Quelques arbres autour et de la neige sur les sommets.
La température y est supportable, et le climat tempéré malgré
l’altitude. Sur un autre versant, un énorme rocher en surplomb, sous
lequel se trouve un immense trou d’accès pour les vaisseaux.
203
tructions à l'aspect métallique sont lisses et ne laissent voir aucun
mécanisme apparent. La réalisation est admirable (7).
Il est aussi question d’un système de monte-charge pour les véhi-
cules, qui débouche sur la plateforme de départ, pouvant servir éga-
lement d’arrivée moins discrète pour les vaisseaux. Cela a été dit à
Robert, mais il ne l’a pas constaté par lui-même. On peut imaginer
un système élévateur, comme il en existe sur les porte-avions.
(7) La même remarque avait été faite par Michel G, témoin de Seine
et Marne en 1961 devant la porte de l’Ovni où il n’est pas entré. Il
admire la qualité de la fabrication, faite d’une matière qui semble
vivante qu’il n’ose pas toucher (LDLN n°379, page 35)
On peut entendre et voir plus bas, au fond, une cascade qui doit ali-
menter la base en eau.
Cette base de haute technologie et d’un grand confort, est superbe-
ment organisée. Il y règne une atmosphère d’ordre et de discipline.
Tout semble être prévu dans le moindre détail.
Robert ignore depuis quand les étrangers sont installés dans cet en-
droit.
Il y a des couloirs, des salles bien éclairées et des hangars pour les
vaisseaux de différentes tailles où s’active du personnel d’entretien.
Il croise diverses personnes qui le saluent courtoisement sans prêter
d’attention particulière à sa présence. Robert peut aller librement
partout, accompagné, ou quelquefois seul, sauf dans certaines zones
dont il a été averti d’éviter d'y entrer. Il se risquera pourtant un jour
à braver l’interdit. Il sera une fois empêché d’avancer par une bar-
rière invisible. Un champ de force entravant, qu’il compare à une
sorte de mélasse engluant ses mouvements, et dont il aura les plus
grandes difficultés à s’extraire. Plus il enfonçait sa main, plus il
avait du mal à l'enlever.
L’expérience hasardeuse ne sera pas renouvelée.
204
Des rumeurs vivement démenties faisant état d’une intense activité
d’ovnis ont été rapportées. Les militaires indiens et chinois auraient
interdit une zone qui serait sous haute surveillance. Les gens de
cette région signaleraient percevoir régulièrement de grands et petits
ovnis. Les gouvernements de ces deux pays s’efforceraient de mi-
nimiser et d’étouffer l’affaire.
Sous toutes réserves, la source : India Dailly 2004 a publié trois ar-
ticles sur le sujet :
205
connaître. Est-ce donc la dernière phase du débarquement prédit par
les Mayas, plus de mille ans auparavant ?
Une chose est sûre, on a ordonné au gouvernement et à l’armée in-
diens de rester discrets. Les militaires échangent sur le sujet à huis
clos et persistent à exposer qu’ils ne peuvent rien dire de plus, invo-
quant la sécurité nationale. Mais au moins l’un d’entre eux est sorti
de la réserve et a annoncé qu’il s’agissait certainement d’ovnis.
Tout indique qu’une base d’atterrissage est en construction dans la
roche dure de l’Himalaya. Le site choisi est un terrain difficile situé
dans la «zone neutre » entre l’Inde et la Chine.
Il se passe un autre fait intéressant : dans ce secteur, une augmenta-
tion des activités militaires indiennes et chinoises assez considérable
pour qu’en d’autres circonstances, on en déduise que les deux pays
y sont en guerre.
Les gens dans cette région signalent percevoir régulièrement de
grands et de petits ovnis. Les armées indiennes et chinoises préten-
dent qu’il s’agit de véhicules espions. A l’ISRO, (Indian Space
Research Organisation) on dit tout bas que ces ovnis sont en train de
concevoir et de construire un site d’atterrissage avec l’aide des gou-
vernements indien et chinois.
206
Apparemment, l’Inde va pouvoir tirer profit de ces récentes ren-
contres. L’un des ingénieurs de l’ISRO s’est récemment exprimé sur
le projet secret le plus abouti de l’Inde portant sur les systèmes de
propulsion anti-gravité ainsi que du fait que quelques scientifiques
sont en train d’étudier cette technologie de pointe sous une forme
globale. Sollicité sur ce qu’il entendait réellement par
forme « globale », sa réponse se référa à des technologies déjà opé-
rationnelles développées plus par l’intégration et la mise en œuvre
que par un processus de recherche et de créativité.
Par ailleurs, le personnel de l’armée de l’Air Indienne a également
fait état de programmes intéressants en cours à l’Hindoustan Aero-
nautics Limited, première organisation indienne pour la recherche,
le développement et la production avionique. Trois de ces pro-
grammes impliquent la propulsion antigravité pour la fabrication de
vaisseaux. Un autre tout aussi intéressant est celui sur le mécanisme
de la technologie furtive pour rendre les objets de vol invisibles
même pour l’œil.
S’il est vrai qu’ingénieurs et techniciens de l’ISRO ont été postés
dans différents endroits de l’Himalaya et opèrent près de la frontière
Indo-Chinoise, cela ne signifie pas qu’ils y ont aménagé un chantier
de lancement de vaisseau spatial.
Dans ce cas, qu’y installent-ils ?
Curieusement, selon certaines sources, la CNSA (China National
Space Administration) a aussi entrepris des activités semblables sur
l’autre versant de l’Himalaya. Or, la Chine fait aussi partie de la
liste de 6 pays où de tels atterrissages sont annoncés pour 2012.
Pour certaines raisons, à l’instar des USA ou de la Russie, la Chine
fait également machine arrière dans ses projets d’exploration lu-
naire. A Beijing (Pékin), au sein de quelques cercles intimes du
gouvernement, une rumeur circule selon laquelle « on a ordonné » à
la Chine d’abandonner tout voyage dans l’espace au-delà de 100
milles (160 kilomètres) de la terre d’ici 2012.
207
Subhra Jain, une reporter indépendante à New Delhi, y a rencontré
par hasard un militaire indien au grade élevé dans une boîte de nuit.
Ce qu’elle allait découvrir lors de cet entretien a de quoi chambouler
notre vision du monde.
Selon elle, des extraterrestres ont visité l’Inde et le reste du monde
pendant des milliers d’années. Récemment, la plupart des puis-
sances de la planète ont été officiellement contactées. L’Inde n’y fait
pas exception.
«Ils entrent toujours en contact au moyen des stations radar au sol
de l’armée» rapporte-t-elle.
L’Himalaya indien et la frontière chinoise du Ladakh furent le pre-
mier théâtre de leurs récentes prises de contact. Ils cherchent à en-
seigner à l’Inde les lois et les règles de l’Univers multidimensionnel.
L’Inde programme une expédition inhabitée sur la Lune, et plus
tard, une autre sur Mars. On a indiqué à l’ISRO "ce qu’il faut faire
et ne faut pas faire ".
A une semaine près, un commandant de vol de l’Armée de l’Air
Indienne, à peine retraité, donna une conférence sur le sujet de son
choix aux camarades de classe de son plus jeune fils, dans leur école
au Bangalore. Devinez quel thème il choisit : en plein dans le mille !
C’était la base souterraine d’atterrissage pour ovnis au Ladakh.
Il engagea l’exposé en traitant du développement des nouvelles
technologies et des nouveaux accomplissements dans l’espace. Les
élèves l’ont fixé du regard et l’ont interrogé sur les différents aspects
et la provenance de cette nouvelle technologie. Puis ils commencè-
rent à l’interpeller, comme s’il était en train de plaisanter, mais il
répondit en fournissant des descriptions détaillées de la base
d’atterrissage.
A Leh, au Ladakh, d’après Tsering Spalzang, un haut fonctionnaire,
toutes les activités paranormales se passent au vu et au su de l’armée
indienne. Il y a des zones qu’elles interdisent pour des raisons de
sécurité.
La vallée du Ladakh est hautement sécurisée par le gouvernement
indien. C’est un secteur délicat et personne n’y est admis, que ce
soit du coté indien ou du coté chinois. Le terrain est tel qu’il est im-
possible d’apercevoir les constructions souterraines cachées sous les
montagnes massives du cœur de l’Himalaya
208
Un porte-parole du ministère du pétrole indien, récemment enquit
sur le prix élevé du pétrole a indiqué que l’inde exploite des sources
d’énergie alternatives grâce aux technologies de pointe.
Questionné au sujet des dites technologies, il a mis hâtivement fin à
la conférence de presse déclarant que ce sont des informations clas-
sées secrètes.
D’après certaines rumeurs à New Delhi, les ovnis et les extrater-
restres ont officiellement pris contact avec le gouvernement indien.
Au début, ce dernier a été un peu dérouté, ne sachant pas comment
réagir. Plus tard, les choses se calmèrent et il semble qu’il ait main-
tenant compris que ces extraterrestres sont amicaux.
Kargil et Ladakh sont des points chauds au Cachemire qui verront
probablement le premier échange nucléaire, si jamais cela arrive.
Trois nations s’y affronteront, chacune disposant de la puissance
nucléaire : L’Inde, la Chine et le Pakistan.
En 1999, le Pakistan et l’Inde se sont affrontés lors d’une escalade
qui aurait pu aboutir à une guerre nucléaire à Kargil. Sur l’insistance
de Bill Clinton, le Président des Etats-Unis à l’époque, le Pakistan
se défila au dernier moment, permettant d’éviter le pire de justesse.
Depuis, d’après les résidents locaux et les militaires indiens, ce sec-
teur a connu un maximum d’apparitions d’ovnis et de signes de pré-
sence extraterrestre.
Si ces éléments apportent des informations qui vont dans le sens des
révélations de notre témoin Robert L; il nous faudrait d’autres
preuves de l’existence de cette base souterraine ET.
209
28 août 2011. Incroyable, la Chine et l'Inde révèlent ensemble :
L'existence d'une base secrète OVNIS dans l'Himalaya
Selon les témoignages des habitants des cotés indien comme chi-
nois, c'est d'ici, d'une base régulière, qu'ils ont vu sortir des ovnis.
Selon plusieurs sources sur place, les bases souterraines d'OVNI
sont légion dans la région, et les gouvernements indien et chinois le
savent depuis très longtemps.
210
navire Gootan classique. Il ne s'agit pas, cependant, d’un de leurs
navires de guerre. "
Dr Malley a fait le tour du monde, parlant aux différents gouver-
nements de l'invasion extraterrestre en cours (ce qui qu’il pense
durer jusqu'en décembre 2015). Il leur a proposé leur aide sur la
meilleure façon d'affronter les aliens. «Nous devons nous comporter
d'une manière appropriée lorsqu'il s'agit des Gootans, sinon, nous
sommes condamnés », a déclaré Malley.
Pourquoi l'Inde communique les informations maintenant ?
Ils n'avaient pas le choix.
Récemment, certains pèlerins hindous en route vers le Mont Kai-
lash ont vu d'étranges lumières dans le ciel. Les guides locaux di-
sent alors que cela n’a rien de nouveau, que le phénomène est nor-
mal dans cette zone frontalière.
Les pèlerins ont d'abord contournés les postes de garde chinois,
sans succès, sur ce, ils ont ensuite décidé de passer du côté indien,
mais quand ils ont essayé d'approcher le site, la patrouille fronta-
lière indienne a également interdit l'accès, malgré leur permis de
voyager entre les deux pays.
Un des pèlerins (Sukhbir Siwach) est un écrivain pour le Times of
India (le plus grand journal en langue anglaise en Inde) et il avait
prévu un exposé sur le cover-up de la base alien par l'Inde. Le gou-
vernement a été incapable de l'arrêter (un écrivain courageux) - de
sorte que le gouvernement indien rend aujourd’hui public l'informa-
tion.
WWN a examiné le site avec le Dr Malley. Les habitants de Aeras
commencent à rire quand ils sont interrogés sur ces observations
d'OVNI. Selon eux la présence extra-terrestre est bien connue et est
en profondeur dans le sol. Ils croient que les gouvernements indien
et chinois dissimulent leur existence pour quelque raison.
Mais aujourd’hui, les habitants de cette zone frontalière sont heu-
reux de savoir que l’Inde et la Chine ont révélé la base OVNI au
monde entier.
211
Pourquoi ne l’ont-ils pas signalé à la presse internationale ?
La zone où la base d'OVNI est située, entre la plaque Eurasienne et
la plaque indienne a créé des frontières de plaques convergentes, où
l’une plaque plonge sous l’autre. C’est-à-dire qu’on est présence de
l'un des rares endroits dans le monde où la profondeur de la croûte
terrestre est deux fois plus épaisse ! L'inverse est constaté dans les
points chauds comme sous le parc National de Yellowstone, aux
Etats-Unis, là, la croûte y est en l’occurrence très mince.
Parfait pour les vaisseaux spatiaux extraterrestres.
Le Groupe d'experts des Nations Unies sur les Extraterrestres a
convoqué une réunion d'urgence pour le 22 septembre 2011 afin de
traiter du problème de la base d'ovnis.
Espérons qu'ils viennent avec une solution pacifique pour faire face
aux Gootans.
Source: Article du 25 août 2011 Weekly World News
Etrangement la NASA et le Vatican organisent conjointement une
conférence de presse entre le 11 et le 15 septembre 2011, une se-
maine simplement avant la réunion de crise sur la situation dans
l’Himalaya ! Il semblerait bien que cette fin d’année 2011 reste dans
l’Histoire de l’Humanité comme étant la Grande révélation au
monde de l’existence d’une intelligence extraterrestre.
www.wikistrike.com/article-incroyable-la chine-et l-inde-revelent
La "biologiste"
— Dès les premiers jours dans la Grotte, le "Guide" m’avait dit que
je serai pris en charge par la "Biologiste». Elle m’informerait de ce
qu’elle attendait de moi. Elle est venue dans mon espace de vie. Une
très jolie dame, mince, grande, environ deux mètres. Le visage
souriant, les yeux bridés comme les orientaux. Elle m’a demandé
assez rapidement si je voulais participer à un programme de peu-
plement d’une planète qui devenait habitable, et prête à recevoir
des êtres vivants semblables à nous, les humains de la terre ?
212
Sans me laisser le temps de répondre, elle a enchaîné en me disant
que pour moi cela consistera à m’allonger sur une table, et à re-
cueillir mon sperme par masturbation et qu’elle s’en chargerait.
Les séances auraient lieu une fois tous les deux jours. Cela pour la
durée de mon séjour à la grotte.
J’ai réfléchi à sa proposition – (Pas de vie sexuelle sans cela) et j’ai
accepté.
Elle est donc venue le lendemain dans mon espace de vie environ-
nemental avec un tube spécial en verre, ou je ne sais pas, mais en
tout cas transparent. Elle a recueilli ma semence dans le tube, puis
est repartie aussitôt dans son labo pour "traiter le matériau", me
disait-elle.
Au cours de ces séances, elle enlevait parfois sa tunique pour facili-
ter la tâche, et j’ai pu constater que son corps nu était comme celui
des femmes de notre planète.
Une fois, au bout de quelques mois, je lui ai proposé d’avoir un
rapport normal. Ce qu’elle a refusé catégoriquement, en me disant
avec un regard désapprobateur, que ce qu’elle faisait avec moi
était une mission importante pour une nouvelle race humaine.
L’air de me dire qu’elle n’était pas là pour son plaisir, mais pour
une mission.
213
me disait, et mon "Guide" aussi, que la mort n’existait pas. Uni-
quement un passage difficile pour nous humains.
Elle me disait que nous avions des corps physiques merveilleux et
très complets, que nous abîmions tous les jours par notre ignorance
de ses besoins fondamentaux, par nos excès alimentaires, médi-
camenteux et que nous ne savions même pas les faire fonctionner
correctement.
C’est pour cela que leur hiérarchie leur avait ordonné pour moi, en
compensation, de m’apprendre les techniques du Yoga afin que je
puisse avoir une vie sans problèmes de santé et équilibrée. Le Yoga
étant la méthode la plus efficace pour maintenir la grande souplesse
du corps et de l’esprit. Qu’eux-mêmes le pratiquaient assidûment.
214
Les conditions climatiques allaient changer progressivement.
Que la planète allait se réchauffer dans les années à venir.
215
Eviter de fumer ; ce qui détruit le cerveau et fragilise le système
osseux.
Eviter tout comportement dicté par l’émotion qui rend partial, non
objectif.
Avoir toujours, et en toutes circonstances, un comportement modé-
ré.
Rechercher toujours la vérité sur tout.
Se montrer ouvert à tout ce qui est nouveau en analysant ce que
cette nouveauté peut apporter de bien ou de mal.
Chaque nouveau jour devant être utilisé par moi pour acquérir des
connaissances nouvelles, enrichir l’expérience de vie, la qualifica-
tion. Etre très exigeant pour moi-même tout en respectant à priori
les idées des autres. Si celles-ci ne sont pas bonnes, les combattre
tout en respectant la personne en lui démontrant qu’elle a tort.
S’adapter aux différentes situations qui peuvent se présenter au fil
des jours. Respect de la hiérarchie. Aider les autres à trouver leur
propre voie. Avoir toujours à l’esprit une conduite économique.
Préserver la nature et économiser les ressources terrestres.
Conseils d’hygiène.
— Se laver à l’eau et au savon tous les jours. Eviter les bains pro-
longés qui ramollissent le corps.
Faire de l’exercice physique quotidiennement, avec un temps
d’effort soutenu. Marche, vélo, danse, arts martiaux ; dans un esprit
d’évolution et non dans un esprit de compétition. Bien sur pour moi,
pratiquer une heure de Yoga tous les deux jours, ainsi que des exer-
cices spéciaux appris (technique de récupération rapide).
Aller aux toilettes au moins une fois par jour (le matin en se levant),
y rester un bon quart d’heure afin de bien vider l’intérieur et éviter
les putréfactions.
Sauter un repas, au besoin, si nécessaire.
Eviter les comportements négatifs : les critiques, les négations. Les
remplacer par l’analyse de ce qui ne va pas, et mettre en œuvre des
dispositions pour faire évoluer la situation dans le bon sens.
Avoir toujours à l’esprit que tout ce qui se passe dans l’univers est
enregistré dans l’énergie et qu’il est possible de tout voir dans les
moindres détails :
216
Les évènements, grands ou petits, tous les actes et comportements
faits par chaque créature humaine ou non, quel que soit l’univers
ou la planète où elle vit.
L’ambiance.
217
Les conditions d’arrivée extraordinaires de ces visiteurs et le spec-
tacle qui va lui être offert, pourraient être sortis d’un récit, ou d’un
film de science fiction – Que l’on en juge !
— Un jour, la Biologiste me dit qu’il y allait avoir sous peu une
réunion importante à la grotte où des gens de très loin, d’autres
systèmes solaires, viendraient. On était devenu un peu en sympathie
tous les deux… ; enfin avec le recul je me dis qu’elle n’avait pas du
tout sympathisé, mais bon… Elle avait envie que j’assiste de ma-
nière passive comme observateur à cette réunion et qu’elle allait en
parler à son supérieur :
Mon "Guide". Celui-ci n’y tenait pas trop, mais il finit par accepter
avec l’assurance que je n’interviendrai d’aucune manière, sans ex-
clamations ni aucune question de ma part.
Etant assurée de ma passivité, le jour venu, la "Biologiste" vint me
chercher pour nous rendre dans une grande pièce que je ne con-
naissais pas. Il n’y avait aucune lampe nulle part et pourtant
c’était bien éclairé par une lumière blanche. C’était très agréable,
on se sentait bien à l’aise. La pièce était ovale comme la grande
table autour de laquelle étaient disposés ces mêmes fauteuils parti-
culiers aux formes très ergonomiques.
Il n’y avait encore personne d’arrivé. Je m’assis sur un fauteuil en
retrait, avec la "Biologiste" à côté de moi.
Soudain, d’un coup, apparut un premier personnage à côté d’un
siège et il s’assit.
D’autres arrivèrent de la même manière et s’assirent autour de la
table. Alors là, Il y en avait des grands et des petits. Des gens de
couleurs différentes. Des gens qui avaient la peau noire et d’autres
qui avaient les yeux bridés comme les chinois. Ils se regardaient
sans rien dire... Je crois qu’ils se comprenaient par transmission
de pensée. Il y en avait qui parlaient dans des langues inconnues
que je ne comprenais pas.
Voilà que soudain apparurent au-dessus, au milieu de la table, des
images en relief en trois dimensions. Des planètes, des soleils, des
vaisseaux spatiaux étaient représentés. On se serait cru à
l’intérieur de l’espace. C’était magnifique, en mouvement. Parfois
les gens en réunion parlaient avec ceux apparaissant à l’intérieur
des images. Je n’avais jamais rien vu de pareil.
Un moment donné il y avait une planète avec au moins trois soleils
qui tournaient autour.
218
Alors la Biologiste, de temps en temps me disait un mot :
— Tu vois l’univers, tu vois, il est fabuleux.
A la fin de la réunion, toutes les personnes se sont levées et se sont
littéralement évaporées. Ils ont disparu comme ils étaient venus.
Nous sommes ressortis avec la Biologiste, mais elle ne m’a rien dit.
Une réunion à laquelle je n’ai rien compris. "
219
Le vendredi 14 octobre 2005 Robert L. arrive le soir à Châlons, ac-
compagné de sa femme et de sa fille cadette de 16 ans. Après un
voyage de plus de 700 kilomètres, il est en pleine forme.
Cet homme dispose d’une santé extraordinaire qu’il dit avoir reçue
de ses hôtes extraterrestres en compensation de ses bons et loyaux
services, rendus à une cause de niveau cosmique pour une planète
lointaine.
Nous procédons aux présentations d’usage entre les contactés. Après
quelques hésitations, le courant passe aussitôt entre eux. Nous fai-
sons la connaissance d’un autre témoin également contacté qui a
subi une régression hypnotique révélant une intervention corporelle.
Nous nous retrouvons à neuf personnes au restaurant "Buffalo Grill"
près du parc d’exposition, pour dîner. Il y a Robert L, et sa famille,
Michel G., le Contre-amiral Gilles Pinon, Christel Seval, tous deux
conférenciers, mon ami Jean-Claude Venturini et votre serviteur.
Les questions se portent naturellement sur Robert qui confirme son
aventure avec l’accent volubile de son terroir. On passe rapidement
sur l’affaire des "boules", la poursuite en voiture et l’apparition de
l’Ovni. On s’attarde sur les visites des extraterrestres en chambre
avec la description des entités de grande taille aux pouvoirs extraor-
dinaires…
Les séances de Yoga préparant le départ en vaisseau spatial dans des
conditions de transport exceptionnelles de confort. L’arrivée dans la
grotte en Inde qui se révèle être une base de très haute technologie
où tout est organisé dans le moindre détail. Une merveille digne des
meilleures réalisations de science-fiction. Dans le tumulte de la
salle, on enregistre la conversation que l’on ne peut rapporter ici
dans son intégralité.
220
table avec l’apparition des invités par téléportation. La conférence
avec des images en trois dimensions, préfigurant ce que nos savants
s’efforcent de réaliser dans un avenir proche. Ce qui paraît mainte-
nant à la portée de notre technologie de pointe.
Robert revient sur la déclaration de la « Biologiste » en sortant de la
réunion :
221
core. Un jour, (ou plutôt un soir) avec la Biologiste et moi, il est
monté sur la plate-forme. Il avait la boule. Il ne s’en séparait qua-
siment pas. Et alors il me dit : Regarde cet arbre là bas. Alors, il a
fait…Il a passé la main dessus. Il me dit : Prends cette boule. Tu
mets la main, tu mets ton doigt, celui là. Tu mets ton doigt là. Tu
orientes bien. (Il tenait la boule par-dessous pour l’orienter vers
l’arbre). Mille dieux, mon pauvre ! Cet arbre est parti en fumée. Il
n’y avait plus d’arbre. Il n’y en avait plus !
(9) Il est ici question de l’objet que les entités extraterrestres tien-
nent dans la main, qui semble être une sorte de télécommande por-
tative "à tout faire", maintes fois observée. C’est aussi une arme qui
peut paralyser les témoins.
Avril 1968, Tosa del Mare (Espagne). Un car de touristes observe
un humanoïde sorti d’un véhicule spatial qui vient d’atterrir.
L’individu tient une boule brillante à la main. (Catalogue ibérique
n°40 – LDLN n° 112, p.6
222
Juin 1968 Carlo Paz (Argentine). Une jeune fille rencontre un
grand personnage devant la porte du motel Il tient une boule bleue
à la main .Elle est retrouvée évanouie par son père qui voit
s’envoler un engin.
25 juillet 1968 Olavaria (Argentine). Quatre militaires sont paraly-
sés par trois grands êtres porteurs de boules qu’ils tiennent en main
avant que les soldats les mettent en joue avec leurs armes. LDLN n°
95.
L’alimentation
223
Quand nous avons un problème, nous allons réfléchir. Il y aura des
solutions, mais après il y aura la solution. A un problème unique :
une solution unique. La meilleure, celle qui se rapproche le plus, de
ce qui peut correspondre et aider. Qui peut amener à résoudre le
problème. L’Univers est mathématique. Tout est mathématique.
Tout est ordonné dans l’Univers.
Regarde ton corps. Il y a beaucoup de gens qui le détruisent.
N’importe quoi ! Ils ont des accidents. Mais le tissu va se reconsti-
tuer. La moindre cellule, le moindre truc, c’est intelligent. Parce
que cette énergie là, ça vient d’encore plus haut que nous .Mais il
arrive un moment où ça ne va pas se reconstruire. On vieillit, bon
c’est vrai. Mais ce vieillissement et le temps mis pour vieillir cor-
respondent à la pesanteur de la planète et au rayonnement solaire.
Nous avons à peu près réussi à résoudre tous les problèmes qui
concernent la matière physique.
Le Temps et l’Espace.
Une chose qui avait choqué Robert : nous disons que nous avons
trois dimensions.
— Non, vous n’avez pas trois dimensions. Vous avez une dimen-
sion. Cette dimension vous la placez en longueur, en largeur et en
hauteur parce que vous faites des erreurs dans vos mathéma-
tiques. Vous avez une dimension. Vous avez un espace. Cette di-
mension vous la placez dans un espace. En gros, ça correspond à
vos mathématiques. Mais vos mathématiques sont révolues. Les
nôtres ont 20.000 ans d’avance sur les vôtres. Mais il y a une di-
mension et un espace.
224
Tu vois là, tu vas vivre quelques années encore de plus, et quand tu
seras mort, peut-être que tu retrouveras à peu près le même état
dans lequel tu étais avant de naître.
Vous avez peur de la mort parce que vous croyez que vous existez
par rapport à votre corps physique. Tu vas travailler sans doute sur
des machines, mais après, il faudra que tu viennes travailler sur les
humains.
225
Question de Robert au "Guide" sur leur système solaire.
Des indications sont données sur les moyens de transport par des
comparaisons de matériels employés sur terre, en fonction de la dis-
tance à franchir. A pied, en bateau, en voiture, en train, en avion, en
voyageant dans une dimension.
226
Cette affirmation va à l’encontre des crashes d’ovnis comme celui
de Roswell. Mais il peut s’agir d’entités n’ayant pas le même niveau
technologique.
Cette perception exceptionnelle d'un "ciel qui s'ouvre" sur une autre
dimension, en quelque sorte, est relatée à plusieurs reprises dans un
document lui aussi exceptionnel… Il s'agit du livre "Hunt for the
Skinwalker", décrivant les travaux du NIDS, (un panel de scienti-
227
fiques de haut niveau), ayant travaillé pendant huit années à essayer
de décrypter les évènements de haute étrangeté survenus dans un
ranch de l'Utah. Ce document a été publié en France sous le titre :
"La science confrontée à l'inexpliqué" (Edition le Mercure dauphi-
nois) traduit par l'ufologue Gildas Bourdais. Par exemple, page 102
de ce livre, on peut lire ceci :…
Et à la page 313 :
228
Note de l’enquêteur :
(LDLN n°381 avril 2006, 382 juillet, 383 décembre 2006 et 384
février 2007)
229
père me l’avait envoyé mais je ne l’ai pas conservé n’y attachant
pas d’importance.
Par la suite, ni sceptique, ni croyant à la même époque, je regardais
vers 19 h, de la fenêtre de notre chambre à Gonesse, les essais
d’atterrissage d’un gros transport aérien sur la piste Nord nouvel-
lement construite à Roissy, lorsque j’ai vu tournant autour de
l’appareil une sorte de nébuleuse grise avec comme des morceaux
de papier d’emballage marron-gris, planant et virevoltant comme
des feuilles mortes. Ceci a suivi l’avion pendant un moment, puis
s’en est détaché et a poursuivi vers l’est un moment et a disparu.
Je n’ai pas cherché d’explications. Mon épouse et mon fils que
j’avais appelé ont aperçu la même chose que moi. C’est depuis ce
temps que je me suis abonné à LDLN, pour essayer d’en savoir un
peu plus… après m’être demandé qu’elles pouvaient être l’origine
d’observations inexpliquées ou mal par les médias et pour ma part,
la plupart du temps, pas naturelles.
Dans les années 60, un cousin de mon épouse, André UNAL habi-
tant Sauveterre de Rouergue se rend avec son véhicule chez un de
ses copains un samedi soir afin d’aller ensemble à un bal donné
dans un village de l’Aveyron. Il arrête sa voiture au bord de la route
et se rend dans un chemin proche pour satisfaire un besoin urgent
quand il aperçoit venant vers lui des boules lumineuses flottant au
ras du sol, comme de grosses perles luminescentes, d’environ un
mètre de hauteur. Il prend peur, remonte précipitamment son panta-
lon, au point de se salir et se précipite à la ferme des parents de son
copain, toute proche. Bouleversé, arrivant avec peine à s’exprimer
il leur raconte ce qui lui est arrivé. Ne mettant pas en doute ses pa-
roles, son copain et son père le persuadent de retourner avec eux
vers le lieu de l’incident. Rendus sur place, ils aperçoivent à nou-
veau les boules. Le père fait des appels lumineux avec une lampe
électrique, ce qui a comme conséquence de faire disparaître subite-
ment les boules dans un grand éclair blanc.
André UNAL a par la suite comme de légères brûlures formant des
squames sur le visage et un traumatisme moral et psychologique
important qui le marque jusqu’à son décès le 25 décembre 1993,
230
jour de Noël. Je ne crois pas à une affabulation. Il ne voulait pas
trop en parler car le peu qu’il le fit, lui apporta préjudice et moque-
ries. Pour ma part, j’avais essayé de remplir plusieurs fois avec lui
le questionnaire préconisé sur un des numéros de LDLN. Mais
d’une façon bizarre, par quatre fois, un événement fortuit nous a
empêché de le faire. La dernière fois que je l’ai vu, nous évoquions
encore ce phénomène lorsqu’il m’a dit et ceci m’a troublé : " Si tu
veux, un soir, on retournera tous les deux et tu verras… il me suffit
de les appeler… ".
Ce qui m’interpelle dans cette histoire, c’est que j’ai bien eu du mal
à rassembler mes idées au fil des années’ afin de coucher sur le
papier ce qui est relaté ci-dessus, après enquêtes, très discrètes,
bien entendu. En conclusion personne dans la famille qui était au
courant ne se souvient plus de rien, de l’identité de son copain et
des ses parents, ni sa sœur, ni sa future épouse qu’il fréquentait
alors. Mais j’ai découvert récemment un récit ressemblant de près à
ce que je viens de vous raconter. Il s’agit de toute une série
d’apparitions inexplicables survenues dans l’Aveyron, aux abords
d’une ferme occupée par une famille de quatre personnes : un culti-
vateur, sa belle-mère, sa femme et son fils… des boules de lumières
hautes d’un mètre vingt environ, ce qui m’a poussé à raconter cette
histoire.
Etant donné sa nature, je ne pense pas que le cousin André ait pu
lire ce témoignage.
G.C
Notre témoin Robert L n’a pas vraiment connu André Unal de six
ans son aîné, mais sa mémoire lui rappelle que c’était un gars qu’il
voyait en fréquentant les fêtes et les bals de la région de l’époque,
dans les années 60. On peut penser que les "visiteurs" cherchaient
des contacts avec des sujets réceptifs pouvant convenir à ce qu’ils
attendaient d’eux.
Ce témoignage tardif, mais combien précieux, de la rencontre
d’André Unal avec les « boules », l’année 1967, a donc eu lieu en
pleine période de celle de Robert L. à Roumagnac distant de Sauve-
terre de Rouergue d’une vingtaine de kilomètres !
231
Le retour
Robert poursuit :
— Ainsi donc, les jours et les mois ont passé jusqu’à vers le 20 no-
vembre 1969, où j’ai repris la "machine" pour rentrer à la ferme,
accompagné de la Biologiste, de l’Ethnologue, et du Guide qui, à
l'endroit d’où nous étions partis, m’a remis une enveloppe jaune
contenant 27000 francs pour me dédommager d’une année passée
sans salaire, et pour les services rendus. Une poignée de main de sa
part et de grosses bises des deux dames.
Puis les recommandations suivantes : "Roro, ne parle pas de cette
expérience à qui que ce soit avant 40 ans, car non seulement tu ne
serais pas cru, mais en plus certains pourraient te faire des misères.
Nous serons présents tout au long de ta vie, mais sans notre inter-
vention. Ta vie sera telle que tu la feras, mais par contre tu jouiras
d’une très bonne santé. Tu t’en rendras compte seulement quand tu
seras arrivé au terme de ta carrière. Bonne chance et bon courage,
merci encore ".
" Quand je suis descendu, j’avais les larmes aux yeux. Il faisait nuit.
Je suis remonté du champ à la maison, j’ai frappé à la porte, mon
père est venu m’ouvrir et m’a dit qu’un courrier était arrivé la veille
lui signifiant que je rentrais le lendemain soir.
232
Ma vie… La rencontre et Après…
— J’ai aujourd’hui le souhait de parler un peu de ce qui a été ma
vie dans ma prime jeunesse et de mon enfance.
Dés l’âge de trois ans je suis devenu assez conscient de ce qui se
passait dans mon environnement familial et des réalités de la vie.
Mon père me disait qu’il était important de pouvoir se débrouiller
tout seul et de pouvoir subvenir à ses besoins essentiels (propreté,
écouter, obéir, manger toute nourriture, travailler).
233
pris que la Terre n’était pas la seule planète habitée. Que des êtres
vivants peuplaient l’Univers, qu’il y avait d’autres Univers. Que
ceux-ci n’étaient pas vides, qu’ils étaient remplis d’une énergie
considérable. Que nos corps physiques étaient loin d’être les plus
performants et les plus beaux. Que nos corps étaient en pleine évo-
lution, perfectibles, bien que dans l’ensemble ils donnaient toute
satisfaction, et que c’était nous qui commettions des erreurs. Que
nous étions assez bas sur l’échelle de l’évolution, et que régulière-
ment nos corps physiques recevaient des impulsions pour avancer
vers un meilleur état.
234
J’ai travaillé ensuite dans le secteur de la santé, cela m’a beaucoup
apporté. J’ai vu mourir beaucoup de personnes de part ma fonction
d’aide-soignant et compris ainsi les limites du corps physique hu-
main. J’ai vu la vieillesse et la dégénérescence, ainsi que la manière
très imparfaite de soigner.
— Que nous devrions déjà accepter des gens d’un physique dif-
férent, car l’avenir nous habituera à des gens encore plus diffé-
rents.
235
— Que la Fédération Galactique avait des vaisseaux dans
l’espace tellement gigantesques que cela dépassait notre imagi-
nation. (11)
A la question :
236
Il m’apparaît depuis longtemps que je sers de cobaye et de terrain
d’expérience. Que je suis suivi dans le temps partout où je me
trouve, et surtout qu’à travers moi, et d’autres, "Ils" veulent voir
nos réactions face à eux, et comment nous évoluons et cherchons
à faire connaître leur existence au plus grand nombre de gens.
Bien souvent au fil de mes aventures, je me suis senti bien seul. Mais
enfin, si cela doit faire avancer la recherche, tant mieux – Ne pen-
sez-vous pas comme moi ? J’ai parfois le sentiment d’être entre
deux mondes. Mais je ne suis pas le seul, il y a Michel G. que je
connais, et tant d’autres que nous ne connaissons pas… "
237
— Non, nous n’avons pas à proprement parler de religion dans le
sens où vous l’entendez, vous sur Terre. Si nous devions en avoir
une, elle serait scientifique. Notre religion se base sur la connais-
sance de l’Univers, et de l’espace qui nous entoure, des lois qui
régissent celui-ci, car la moindre parcelle de matière où elle se
trouve, est intelligente et constructive. Je vais te donner un
exemple : Si tu te fais une entaille par exemple à un doigt, coupure
de la peau. Le corps cherchera à la réparer. Tu appelles cela la
cicatrisation. Si lorsque la plaie est presque cicatrisée, tu te refais
la même coupure au même endroit ; encore une fois le corps va re-
commencer à se guérir, et ensuite sans arrêt autant de fois qu’il le
faut. Le corps physique est donc intelligent. Roro, tu pourrais dire
que c’est Dieu qui a œuvré à l’intérieur de toi et que la cicatrisation
s’est faite d’une manière très intelligente. De même tous tes organes
à l’intérieur de toi travaillent toujours avec une grande harmonie et
une grande intelligence pour te maintenir en vie. La force de celui
que tu appelles Dieu est constamment en œuvre en permanence.
Pour nous, Dieu est cela, mais encore beaucoup plus avec des lois
que vous ne connaissez pas. Même nous, on ne les connaît pas en-
core toutes. Ne serait-ce que pour les immenses distances qui sépa-
rent nos mondes et nos galaxies. Et bien on pourrait dire que Dieu a
tout prévu pour qu’on se rencontre, car des lois que vous ne con-
naissez pas encore permettent de combler ces grandes distances en
peu de temps. On peut donc dire que Dieu cherche et aiguise notre
soif de connaître sa création.
238
de CO², de l’azote, de l’oxygène, de l’hydrogène et d’autres compo-
sants, de l’alimentation des habitants.
— Non ! La maladie n’a plus de prise sur nous depuis des temps
immémoriaux. Notre médecine permet d’éviter ce que vous avez sur
Terre : la souffrance. Pourtant nous vieillissons aussi, mais lorsque
notre corps physique n’est plus viable, nous en changeons. Car nous
arrivons de façon scientifique à séparer ce que tu appellerais l’âme,
du corps physique. Nous faisons pousser des corps physiques sans
239
occupant jusqu’à maturité, ensuite le corps est prêt à être occupé
par quelqu’un. Je ne dirai plus rien sur ce sujet, car cela remet en
question toutes tes croyances et tes convictions. Je vois que cela te
choque.
Il me semble que tu penses souvent à la souffrance et à la mort; que
cela ne te trouble pas.
Continue la pratique du Yoga telle que nous te l’enseignons. Cette
méthode te permettra d’arriver très loin, et en tout cas, de pouvoir
mener une vie de travail sans souffrir et sans trop te fatiguer. Et
puis nous te laissons un héritage; pas celui que tu crois, mais si tu
suis bien nos directives, tu seras toujours uni avec toi- même et ra-
rement fatigué. Il n’y a pas de méthode plus efficace pour agir sur
les organes à l’intérieur du corps, que les exercices. Pratique-les et
quand tu seras à l’automne de ta vie, tu pourras voir les bienfaits de
notre enseignement.
240
Révélations pendant les Rencontres de Châlons.
Comme je l’ai dit, le témoin Robert L. avait décidé de venir aux
Rencontres Ufologiques de Châlons-en-Champagne en octobre
2005.
Mon enquête était à peine commencée, et malgré mon impatience,
j’ai renoncé à présenter son cas en public. A part quelques ufologues
avertis et bien occupés chacun par leur programme et leur emploi du
temps.
J’avais avec moi : Michel G. le témoin de Seine-et-Marne dont les
témoignages n’avaient pas encore été publiés (Voir LDLN n° 379 de
novembre 2005 et le n° 380 de février 2006).
(L'enquête a finalement été menée par Gérard Deforge. Elle est pu-
bliée sur le site Internet des Repas Ufologiques de Paris).
241
génétiques de notre témoin. On s’interroge bien évidemment sur les
preuves de la véracité de l’événement hors du commun vécu par
Robert L. Sans mettre en doute la sincérité du témoin, ni sombrer
dans une crédulité satisfaite, nous nous bornerons à rester neutres en
recherchant, sinon des preuves, tout au moins des indices qui nous
permettraient de corroborer le récit.
La discussion allait bon train, passant d’un sujet à l’autre pour finir
sur le cas de l’implant que Robert ressent dans son dos.
RL : Robert L…
GM : Georges Metz
MG : Michel G…
CP : Charles P…
JCV : Jean-Claude Venturini
242
avec un appareil numérique (12) dont je connais à peine le fonction-
nement.
Michel a posé ses mains sur le dos de Robert.
MG — Il est là,… il est ici, voilà…. Attends bouge pas… Il est là!…
Je prends une deuxième photo qui fait réagir l’implant supposé, (J’ai
l’impression que le flash n’a pas fonctionné) et quatre autres photos
à la suite. (13)
243
MG — je ne pensais pas qu’un truc comme ça me donne un coup de
jus. Ca fait psitt…
244
Rencontres Ufologiques de Châlons-en-Champagne
245
(12) Il s’agit d’un appareil récent Panasonic Lumix à stabilisateur
d’image. Il est équipé d’une lampe .d’assistance de mise au point.
Cette lampe d’une portée utile de 1,5 mètre projette un spot de lu-
mière rouge sur la zone à photographier. Il est possible que le fais-
ceau spot émette des fréquences infrarouges.
(13) Six photos ont été prises en deux minutes. La première est
sombre, la deuxième est très sous-exposée et demande à être éclair-
cie à l’aide d’un logiciel approprié. Les quatre dernières sont noires
et inexploitables.
Vu les séquences, il est possible que le flash n’ait pas eu le temps de
se recharger.
Le fait m’a été confirmé par sa femme Yvonne, quelque peu in-
quiète d’avoir à subir ce genre de désagrément. La voiture de ma-
dame est une Ford Fiesta avec moteur diesel. Cela ne s’est jamais
reproduit depuis.
246
La voiture miracle.
Conclusion de Robert L.
247
Une réflexion sur les implants d’origine inconnue, dont on parle
dans le domaine ufologique, nous semble la bienvenue. Bien enten-
du, nous n’avons pas la prétention d’apporter la réponse à la ques-
tion sur ce sujet qui concerne un nombre en progression
"d’abductés", révélés au hasard, soupçonnant en être porteurs, mais
le plus souvent à leur insu.
— A quoi servent-ils ?
248
C’est-à-dire partir du principe que nos visiteurs sont capables de
pratiquement tout faire, y compris agir sur nos propres pensées et de
là, notre comportement.
Nous n’avons d’autre choix que d’admettre à priori l’hypothèse
d’une interaction entre l’esprit et la matière. C’est une proposition
qui de toute façon s’est maintes fois vérifiée dans les témoignages
de rencontres rapprochées.
Il conviendrait d’analyser dans le détail les effets de ces phéno-
mènes classés ufologiques et paranormaux, avant de vouloir essayer
d’en comprendre les causes et comment cela peut-il être possible.
Pour sa part. Robert pense que les "visiteurs" souhaitent être infor-
més de ce qui se passe au niveau de l’environnement du porteur de
l’implant. Les porteurs ainsi équipés, ou qui pensent l’être, devraient
noter ce qui peut changer dans leur vie : Effets psychiques et phy-
siques de toute nature agissant sur leur comportement.
Les implants
249
1– l’implant constitué d’un morceau métallique ou fragment de cris-
tal de silicone ou autre matière, fut inséré dans le corps de l’être
humain. La partie la plus brillante de l’objet, presque lumineuse,
devenait dure au contact de l’air. Elle était injectée sous-cutané. Sa
forme était cylindrique ou ovoïde (généralement 4 mm de long, 1
mm de diamètre) et comprenait de nombreux appendices crochus et
translucides. Pour éviter tout effet secondaire, une enveloppe pro-
tectrice gélatineuse entourait cet implant.
250
3ème œil, les gris créèrent des hommes-robots, de véritables ma-
chines à tuer qui anéantissaient les ennemis des gris, grâce à une
sonde laser issue de ce 3ème œil. Ces êtres n’étaient plus maîtres
d’eux-mêmes et n’étaient plus responsable de leurs actes. Ces im-
plants pouvaient être détectés et neutralisés par divers moyens. Au
20ème siècle, ces mêmes implants existent toujours et sont insérés à
des personnes enlevées par les gris.
L’exploit physique.
251
Deux journalistes du journal local "Centre Presse" passaient par là.
Quand ils m’ont vu, ont voulu me photographier, mais j’ai dit :
" Non pas question ! " — J’ai refusé !
252
et encore un contrôle. Là aussi je n’avais aucun anticorps pour
d’autres maladies. Et pour le reste, je ne sais pas. Ce que je sais,
c’est que je n’attrape jamais de grippe. J’ai été vacciné normale-
ment au DTTAB, tétanos. Je n’ai jamais éprouvé le moindre ma-
laise suite à ces vaccins. Je suis du groupe O+, et donneur de
sang.
A propos de "L’Ethnologue".
Il y avait cette autre femme à qui Robert avait quelquefois affaire,
celle qu’il a appelée : "L'Ethnologue", anthropologue, philosophe,
éducatrice de vie. Ce qu’il a retenu de ses entretiens avec elle c’est
que les jeunes, chez eux, partaient à ce qui pourrait correspondre
chez nous à l’âge de douze ans, dans des centres de formation. On
évaluait leurs capacités et l’on développait leurs compétences. Elle
lui disait que la famille était une très belle chose mais qu’il y avait
un gros inconvénient. A savoir : le risque d’isolement. Dans une
famille, il pouvait y avoir des soucis sans que personne ne le sache.
Ce qui ne pouvait se produire chez eux grâce à l’organisation de leur
société où la règle impérative de base était de veiller à ce que cha-
cun individuellement et collectivement puisse accéder au bien-être
et au bonheur.
Elle lui disait souvent que dans leur monde, ils vivaient ensemble
dans le respect de chacun en amour et en harmonie. Que les ani-
maux étaient respectés et la capacité de leur intelligence était déve-
loppée au plus haut point. Elle lui a appris aussi que chacun avait un
"devoir d’évolution". Que c’était un grand bonheur de vivre, don-
né par le Créateur. Que chaque créature avait le devoir de faire
avancer les choses, à son niveau bien sûr. Elle lui disait aussi que
toute matière organique ou inorganique nous était donnée comme de
l’argile et que c’était à nous de la transformer, de la conditionner, de
l’associer, pour la mettre au service de chacun, pour le bien-être de
tout ce qui vit dans le respect mutuel.
253
– Que les boules étaient de matière inorganique organisée !
254
"L’Ethnologue" : Elle s’occupe des relations entre les personnes,
entre les corps et l’esprit.
Il serait intéressant de développer cette idée. Car ce n’est pas le fait
du hasard si Robert a été confié à trois êtres représentant un type de
valeurs morales spécifiques.
255
l’extérieur. Pas d’attache de siège, pas de sensation de départ. Et
comme je regardais au dehors, j’ai vu soudain le sol s’éloigner à
une vitesse fantastique. Pas de sensation d’accélération, ni de com-
pression. La biologiste m’a dit que c’était normal, car le vaisseau
était protégé par un champ de force très important ; que tous les
mécanismes du vaisseau avaient une intelligence et savaient ce
qu’ils devaient faire, et qu’ils faisaient tout pour protéger la vie à
bord, et se protéger eux-mêmes, et que de plus, ils pouvaient s’auto-
réparer. Pendant un moment personne n’a rien dit. Puis le guide
s’est tourné vers moi et m’a dit que nous survolions l’Italie et que
nous allions arriver en France ; que la vitesse de la machine serait
réduite à environ mille kilomètres à l’heure à une altitude d’environ
dix kilomètres. Que nous allions rencontrer en France des avions
militaires volant le plus souvent par deux, dépendant de la Zone de
Défense Sud–Méditerranée. Et effectivement, au bout de quelques
instants j’ai aperçu devant nous un avion de type " Mirage III " à
quelques centaines de mètres. L’autre avion était plus loin, mais je
ne l’ai pas vu. Le guide me dit en souriant que nous allions donner
quelques frayeurs au pilote, et des sueurs froides dans son dos.
Nous nous sommes présentés sur sa droite à une cinquantaine de
mètres de lui, deux ou trois mètres plus haut. A ce moment là, le
pilote nous a vus, il a tourné la tête vers nous. Le guide m’a fait
remarquer que le tableau de bord de l’avion de chasse s’affichait
sur un deuxième panneau. Effectivement, je pouvais voir ce tableau
qui, sur le coup, m’a semblé dérisoire et primitif par rapport à celui
du vaisseau. Nous avons viré légèrement sur la droite et l’avion
nous a suivis. Puis nous sommes passés au-dessus de lui vers sa
gauche, puis en- dessous, puis revenus au-dessus de lui, toujours à
la même distance, légèrement à sa droite. J‘ai pu voir les lettres :
FB (16). Le guide semblait beaucoup s’amuser. Le vaisseau a accé-
léré un peu, l’avion aussi et il nous suivait. Il voulait s’approcher
de nous. Puis j’ai vu l’avion s’éloigner à toute vitesse, ne devenir
qu’un point et l’ai perdu de vue. Le guide m’a dit que ce n’était pas
l’avion qui s’était éloigné mais nous ; car l’avion se serait éclaté et
que donc, ils étaient souvent obligés de partir très vite, ce qui dis-
suadait les pilotes de suivre et de casser leur avion, ou de
s’encastrer dans le champ de force de celui-ci. J’ai dit au guide : "et
si l’avion nous avait tiré dessus ?". Le guide m’a répondu que cette
manœuvre aurait été perçue dans le vaisseau. Et que même si
256
l’avion nous avait tiré dessus, la machine ne risquait rien car il y
avait le champ de force qui aurait détruit le projectile quel qu’il
soit, et il a ajouté que lorsque la machine déployait le champ de
force, rien de solide, de liquide ou de gazeux ne pouvait la toucher.
Puis il a ajouté qu’ils n’avaient pas le droit de détruire l’avion; que
ce serait une faute très grave sanctionnée par leur hiérarchie, mais
que s’il le fallait, acculés dans l’impossibilité de faire autrement,
l’avion pouvait être déstructuré et brisé en milliers de morceaux,
mais que le pilote ne serait pas touché et ferait fonctionner son
siège éjectable. La vie humaine comptant au plus haut niveau de
priorité. Ensuite nous avons ralenti, zigzagué à droite et à gauche,
observé le paysage avant de rentrer à la grotte quand le soleil allait
bientôt se coucher. J’ai gardé un très bon souvenir de cette impres-
sionnante sortie ".
257
Mais dans le cas du tableau de borde de l'avion, on peut se deman-
der si leur technologie ne permet pas de voir de n'importe quel point
de l'espace, d'une manière plus furtive.
Si cette affirmation est vraie, et rien ne laisse penser qu’elle soit
fausse, elle ne devrait pas manquer de faire du bruit, (ou pas du
tout !) ; si elle inquiète les autorités françaises. Ce qui lui est facile
de vérifier dans ses archives, sauf si le pilote n’a pas rédigé de rap-
port circonstancié.
258
La rencontre de Robert avec le Mirage III FB de Dijon
259
Structure du code radio sur Mirage III
260
Conclusion provisoire de l’affaire des boules de
l’Aveyron.
Ici se termine provisoirement la longue enquête révélée trente six
ans (1969/2005) après le séjour de Robert L parmi les visiteurs d’un
autre monde comme "ils" se sont présentés. Ce qui porte à quarante
ans le secret (1966/ 2006) conformément au souhait des visiteurs.
Les faits ont été rapportés au mieux avec les réponses aux questions
essentielles les plus pertinentes, que pourraient se poser les lecteurs
ufologues avertis.
Rien ne permet d'affirmer que ce témoignage soit vrai ; mais rien ne
permet de penser non plus qu’il soit faux !
261
peur d’être démasqués. Interrogeons-nous objectivement : Sommes-
nous prêts ?
Il faut à mon avis que les ufologues travaillent encore, et de plus en
plus, à faire connaître les observations et informer le public, et que
les gouvernements disent la vérité aux peuples de la planète.
RL mars 2006
Robert L. nous a donné son avis qui reste libre à chacun de partager
ou non, selon ses convictions les plus profondes.
Toutes ces questions ont déjà été objet d’un long débat que ce té-
moignage français, pour une fois, ne va pas manquer de remettre au
goût du jour.
Je dois rendre hommage à notre regretté Fernand Lagarde, qui avait
dirigé la première enquête de l’Aveyron. Je pense qu’il aurait été
curieux de connaître la suite extraordinaire de ce dossier ufologique.
Des recherches ont été menées sur le pilote et l’avion qui aurait
"rencontré" le vaisseau extraterrestre, selon le témoignage de Robert
L, à bord du dit vaisseau.
262
JMO : Journal de Marche et d’Opération : Rapport semestriel des
chroniques de l’Escadron. (Liste de l’effectif, entrants, sortants,
Liste des appareils, et rapport par mois.)
Il n’a pas été trouvé de trace d’un Capitaine JOUAN aux archives de
Vincennes (janvier 2008). D’après l’archiviste de Dijon, le carnet de
vol devrait se retrouver à Vincennes.
263
En ce qui concerne l’avion identifié : Le Mirage III 2FB n° 8, parmi
la liste des opérations.
On retrouve ici une trace du pilote FEVRIER qui n'était alors que
sergent.
264
D'autres missions à très haute altitude viseront à des survols dis-
suasifs au-dessus du rideau de fer."
Dans son livre : "Alerte dans le ciel" (Edition Alain Lefeuvre 1981),
Charles Garreau écrivait à la page 216 :
….Le 21 juillet 1969, vers 23 heures, un disque lumineux s'immobi-
lise très haut dans le ciel.
Il est dans l'axe des pistes de la base aérienne 102 de Dijon-
Longvic, où sont basés les Mirages III de la 2ème escadre de chasse
et quelques bombardiers atomiques "MirageIV"
265
Depuis cette déclaration et les évènements d’écroulement boursier
en provenance des Etats-Unis de fin 2008, on se demande bien
pourquoi on devrait encore s’aligner sur la politique des américains
en matière d’information ainsi que des orientations à prendre sur
l’état du monde ?
Des contacts sont dirigés au plus haut niveau, d’une façon générale,
pour la prise en compte de l’ufologie, avec la création de
l’Académie d’Ufologie de Jacky Kozan et de la "Lettre ouverte au
Président de la République" pour sensibiliser l’opinion à laquelle à
participé notre ami le Contre Amiral Gilles Pinon.
De mon coté, je m’efforce de faire en sorte que l’affaire Ovni / Mi-
rage III soit connue au niveau aéronautique par la firme Dassault, au
sein de laquelle j’ai été employé comme technicien de fabrication.
En premier lieu par politesse vis-à-vis de mon ancien employeur et
également dans l’espoir d’obtenir de l’aide, pour la recherche du
pilote dont le rapport, s’il existe, pourrait confirmer l’évènement de
la rencontre de l’avion avec l’ovni où se trouvait Robert.
Je suis en relation permanente avec le témoin Robert L. (Son nom
est connu de quelques ufologues, mais ne sera pas divulgué pour des
raisons bien compréhensibles de sécurité et de tranquillité).
Il m’a chargé de transmettre les révélations de son contact qui se
manifeste par des phénomènes dont il est l’objet, ainsi que des
membres de sa famille. Robert a eu trois enfants : Un garçon d’un
premier lit, qui apparemment se porte bien, et fait sa vie, et deux
filles d’un second lit.
266
Pour reprendre l’ordre des événements, il faut revenir à la présence
de Robert aux "Premières Rencontres Ufologiques" de Châlons-en-
Champagne de 2005. On se souvient qu'il était venu avec sa femme
et sa fille cadette Bénédicte (15 ans).
La jeune fille diminuée psychiquement, vit avec ses parents.
Intervention médicale ET ?
267
dans le couloir. Robert suppose une visite d’origine extraterrestre
comme cela a dû se produire le mois précédent. Il décide de ne pas
intervenir dans la chambre pour ne pas déranger le phénomène et
s’assoit par terre en tailleur, dans le couloir. La lueur intense dimi-
nue progressivement au bout d’un quart d’heure. Il va uriner et re-
vient. La lumière a complètement disparu. Il est 3h 20. Il
n’intervient toujours pas dans la chambre de sa fille. Dans son es-
prit, Robert pense que l’aide qu’il a demandée était à l’œuvre pour
sa fille Aurélie.
Le lendemain, celle-ci se lève normalement comme si rien ne s’était
passé…..Et puis déclare le matin, que cette nuit, elle a fait "un tour
en avion"…. !
**************
Nous partons donc du Val d’Oise, un matin de mai 2008, tous les
trois dans la voiture de Gérard. Bagages et matériel vidéo dans la
Renault Espace de Gérard ; direction Rodez en Aveyron. Nous
avons l’intention de filmer une séance de Yoga et de retourner sur le
site de Roumagnac où se trouve la ferme autour de laquelle ont été
vues les "boules" et les phénomènes qui ont suivi.
Le soir même, à Rodez, après les présentations d’usage, nous nous
dirigeons pour dîner avec le témoin Robert, sa femme et leur fille
cadette à la Cafétéria Casino de Rodez.
268
En route, les discussions vont bon train. Nous enregistrons les con-
versations et les déclarations de Robert dans le jeu des questions-
réponses.
Il faut se rappeler que ce que nous rapporte le témoin sont des in-
formations principalement issues du "Guide" de Robert et qu’elles
datent de 1969.
Robert nous parle calmement en faisant appel à sa mémoire, de ses
hôtes extraterrestres et d’autres entités qui lui ont été décrites
comme des "sondeurs d’âmes".
269
venait cet argent ? Il lui a été dit que certains des leurs (ET) travail-
laient avec des terriens dans des entreprises et des usines à des
postes à responsabilité élevées, d’une façon clandestine. Des postes
où ils ne sont pas tenus de faire des discours. Des gens tout à fait
retirés, des ingénieurs dans les industries de pointe comme
l’aéronautique et la marine.
Quand Robert avait demandé comment ils avaient fait pour atterrir
au même endroit en pleine nuit, le Guide avait souri. Maintenant
avec nos progrès en localisation par satellites, on comprend mieux
pourquoi.
Ce qui nous paraissait insoluble à cette époque ne nous surprend
plus. Il faut bien comprendre que ce qui nous semble relever de
l’incompréhensible et de l’absurde sur le moment s’éclaire par nos
progrès scientifiques et technologiques. Ce simple exemple nous
conduit à raisonner d’une manière prospective en admettant provi-
soirement que la réalité peut dépasser la fiction.
Le véritable savant est celui qui peut mesurer ce qu’il sait, en regard
de tout ce qu’il ignore.
En arrivant sur le parking du centre commercial nous continuons
d’enregistrer tant bien que mal la conversation. On revient sur la
rencontre du vaisseau avec l’avion Mirage III.
Il faut rappeler que notre témoin se trouvait à bord, assis sur des
sièges en compagnie de sept personnes. Ses compagnons habituels :
Le Guide, la Biologiste, l’Ethnologue, un chef de bord et deux pi-
lotes debout devant leur pupitre de commande. Le voyage part de la
grotte base souterraine située en Inde vers la France.
Robert revit l’évènement avec émotion. Il narre ce qu’il a vécu
d’une voix rapide dans la façon de parler des gens du pays aveyron-
nais. Nous posons nos questions.
270
à l’heure, et on va descendre à environ 10 km. On va le suivre
(l’avion) et on va passer derrière. Effectivement, j’ai vu l’avion en
face. Carrément, on a fait un virage, on est passé derrière, et juste
en dessous, à la même vitesse (que l’avion).
Il me dit : "Regarde le panneau là". Il y avait le panneau là, bon,
avec des zigzags et des trucs partout. C’était pas les quadrants du
panneau du vaisseau. Il y avait des lumières partout, et puis d’un
coup, juste à côté : là c’est le tableau de bord de l’avion que nous
suivons. Alors sur le coup, il m’a paru tout à fait rudimentaire, par
rapport à ce que je voyais à côté. Il me dit : "maintenant on va
s’approcher, on va le doubler à droite, juste au-dessus, on va lui
donner des sueurs froides !" Il rigolait, le Guide, …"on va lui don-
ner des sueurs froides au pilote !". Alors il a tourné la tête et on est
passé par-dessus comme ça, là, et on est revenu au même endroit,
mais sans passer ni derrière ni devant ; on suivait toujours comme
ça, (Robert fait un geste tournant) et on est revenu au même endroit.
RL — A droite !
271
RL — Et là, le Guide m’a dit : "Ce n’est pas l’avion qui s’en va,
c’est nous ! Parce qu’il serait rentré dans le champ de force. Il y a
des pilotes qui se sont déjà tués pour ça ! Alors on va aller très
vite !
RL — Malheureusement, non !
GM — Le Chef de bord ?
272
Aucun élément organique, physique ou gazeux ne peut pénétrer
dans le vaisseau. "
…Ils m’avaient parlé de la structure des vaisseaux. Il y a plusieurs
parties ; Il y a la partie habitacle qui est circulaire ou plus ou moins
circulaire. Celle là hyper protégée des rayonnements, car il y a des
rayonnements très forts qui nous tueraient.
JCV — Et la hauteur ?
273
JCV — 5 à 6 mètres, quoi !
274
RL — D’une autre galaxie ! Le groupe avec qui j’avais à faire m’a
dit : "On ne vient pas de votre système solaire ni de votre galaxie.
On vient d’une autre galaxie voisine ".
Il m’a été dit aussi que l’on pouvait comprimer ou étirer le temps.
On peut le comprimer ou bien l’étirer.
****************
On rentre dans le restaurant cafétéria Géant Casino de Rodez et on
s’installe sur une table ronde à l’écart ; malgré le bruit, on continue
tant bien que mal à enregistrer les conversations.
****************
On profite de la table pour élaborer quelques croquis des vaisseaux
que nous a décrits Robert.
Ils sont ronds en forme de couvercle avec une protubérance centrale
sur le dessus pour l’habitacle. En dessous se trouvent trois ou quatre
pieds sphériques rétractables qui assurent la stabilité et la direction
des mouvements. La structure est lisse d’apparence gris métallisé,
quand l’appareil est posé, à l’arrêt.
275
— C’est comme dans le vaisseau. A certains moments, on peut en
avoir une partie dans la dimension terrestre, et l’autre partie dans
une autre dimension. Robert prend l’exemple d’un sous-marin
quand il monte en surface. Il y a une partie à l’extérieur et l’autre
partie sous l’eau. Si quelqu’un entre dedans par le haut, il ne voit
que ça ; mais après il va dire que c’est gigantesque."(18)
276
Les phénomènes de contact avaient toujours lieu tard le soir ou dans
la nuit.
Robert pense que c’était lui qui était personnellement visé.
Pendant les deux années de visites nocturnes, il a été définitivement
débarrassé de ses abominables migraines. Le Guide lui avait dit :
— En fait, tu as une très bonne santé, mais tu es comme une ma-
chine, tu as un corps physique, et des fois il y a un mauvais ré-
glage….Tu vas vivre ta vie, bien ou mal…..C’est une de tes der-
nières vies sur Terre. Après on viendra te récupérer…. ! "
277
On ne sait pas ce que le Guide voulait dire par là ? Cela voudrait-il
dire que l’on à plusieurs vies et que Robert serait récupéré à la fin de
la sienne ?
En corps ou en esprit, on ne sait pas …?
Des hommes, des femmes et des enfants, des familles entières dispa-
raissent mystérieusement sans raison ni mobile apparent comme
s’ils avaient été soustraits à leur vie quotidienne, sans laisser de
traces, emportés vers un lieu où on ne les retrouve jamais.
278
Tu pourras en parler dans quarante ans…
Ce que tu devras leur dire…
R.L.
— J’ai été élevé dans la religion catholique, le curé nous disait que
ceux qui n’étaient pas de cette religion ne verraient jamais Dieu, ou
les enfants qui n’avaient pas reçu le baptême n’allaient pas au ciel,
que dois-je croire ?
Le Guide :
279
veux. Tu as tout à y gagner. Nous allons venir te voir régulièrement.
En contrepartie nous te demandons de n’en parler à personne.
Le silence absolu, et nous savons que nous pouvons compter sur toi.
RL — C’est vrai que j’ai des maux de tête terribles, mais si vous
venez souvent, les voisins vont s’en apercevoir avec vos lumières si
puissantes ".
La Biologiste :
L’Ethnologue :
280
que l’adaptation de races différentes sur une planète donnée, en
fonction de paramètres que sur votre Terre vos savants connaissent,
mais aussi sur des paramètres que vous êtes encore loin de décou-
vrir.
Sur notre planète notre organisation de vie est basée sur la paix
entre tous les êtres, femmes et hommes avons les mêmes devoirs et
les mêmes droits mais en tenant compte de la spécificité féminine et
masculine. La plupart des gens travaillent il n’y a pas de retraite, ni
de conflits sociaux.
Il y a des veilleurs — qui sont ceux qui vérifient le bon fonctionne-
ment de nos lois et de nos décisions auprès du plus petit d’entre
nous. Nos dirigeants choisis en fonction de leur compétence, et de
leur volonté de servir ont le devoir de veiller à ce que chaque per-
sonne vive correctement. Il y a chez nous de l’abondance. Il n’y a
pas d’argent.
Vos dirigeants sont des arrivistes, des conquérants par la force, soif
de pouvoir, d’argent, et de domination, malades physiques et men-
taux, incompétents ne tenant pratiquement pas compte des masses
de population qu’ils asservissent. Vous êtes esclaves des gouverne-
ments de vos pays, il y en a beaucoup sur votre planète. Sur la nôtre
il n’y en a qu’un seul. Qui s’occupe du plus petit comme du plus
grand.
Le Guide :
281
nous ne voulons aucun mal aux habitants ; ils connaissent en pe-
tite partie les capacités de nos engins. Pourquoi ne veulent-ils pas
en parler aux populations?
Ils tournent en dérision les rapports de ceux qui nous voient et qui
le disent. Alors la confédération interplanétaire a décidé de mon-
trer nos capacités au plus grand nombre de gens possible. Il faut
que la Terre entière sache que nous existons et que l’intelligence
manifestée est partout dans l’Univers.
Notre organisation
— Notre planète, ainsi que celles qui ont accès à un niveau de tech-
nologie importante, sont gérées par un gouvernement planétaire,
celui-ci contrôlé par des groupes de "sages", des habitants ayant
une grande expérience dans la plupart des domaines qui interfèrent
dans notre vie. Ces sages que nous appelons "sondeur d’âmes",
sillonnent l’ensemble de notre système solaire. Ils peuvent lire la
pensée la plus profonde et la plus cachée. Ils voient les gens non
pas tels qu’ils veulent paraître parfois, mes tels qu’ils sont réelle-
ment. Ces sages sont très craints de nos habitants, et même de nos
dirigeants, parce qu’avec leurs pensées ils peuvent manipuler la
matière. Ils ont un statut particulier, et n’ont pas besoin nécessai-
rement d’un vaisseau pour se déplacer.
Dans nos mondes, la contestation, la désobéissance, la tricherie
envers notre morale ou à notre code de déontologie est sévèrement
punie. Par contre nous avons bien entendu une grande liberté indi-
viduelle : se promener, visiter d’autres planètes. La plupart des ha-
bitants de nos mondes on visité des planètes plus évoluées et
d’autres moins. Parfois certains voyages sont organisés dans de
grands vaisseaux, vers les différents systèmes d’autres mondes.
Conflits, guerres, mais aussi ce qui est bon dans ces organisations
est étudié et montré à nos peuples, afin de comparaisons. Ils se ren-
dent compte que toute déviation à ce qui est établi chez nous peut
être très dangereuse à terme. Nécessité de l’ordre, de la discipline,
282
de l’envie de progresser et d’être utile. La fainéantise n’est pas ad-
mise chez nous.
*************
283
restres en Inde. Robert nous confirme ce qu’il a déjà dit sur
l’alimentation qui lui a été offerte, à base de céréales et de protéines,
qui ressemblait à de la viande hachée, de l’eau, et aussi du café.
Comparé à notre position d’enquêteurs occidental et de surcroît
français, il y a un gouffre dans notre mode alimentaire, avec ce que
ces gens là nous proposent ! Pas de fruits ni de sucreries. Un mode
de vie ascétique dans une civilisation hautement technologique et
scientifique, où l’esprit prime sur le corps, qui ne serait qu’une en-
veloppe.
Une sorte de Théocratie universelle dans l’ordre et la discipline,
garantes de la pérennité des civilisations.
Ils ne sont pas optimistes sur nos sociétés telles qu’elles sont diri-
gées. Vu "d’en haut", on ne peut leur donner tort !...
Nous avons certainement des progrès à faire. Nous avons notre libre
arbitre dans la mesure où nos actions ne détruisent pas la planète et
l’ordre de l’Univers.
D’après ce que Robert a vu, ils sont des humains constitués maté-
riellement comme nous, et spirituellement aussi, mais d’un ordre
supérieur. Il semble que leur mode de reproduction sexuel soit le
même que le nôtre. L’homosexualité ne serait pas permise. Il y en
avait parfois chez eux comme dans d’autres civilisations qui "dé-
viaient". Dans ce cas, comme dans d’autres cas de déviance, ces
êtres étaient en quelque sorte réorientés dans le "bon sens". Le mot
réorienté était souvent employé pour combattre des déviationnismes,
en considération de leur système d’organisation. Robert rapporte la
comparaison de la prolifération excessive, inconsidérée, de la folle
avoine dans un champ de blé.
Robert a ressenti qu’ils avaient une peur panique des gens qui dé-
viaient. De l’ordre, de la discipline. Ils ne voulaient pas que les civi-
lisations se détruisent comme ils avaient pu le constater. Ils seraient
même peut-être obligés d’intervenir si les civilisations en venaient à
se détruire.
284
Ils font partie de cette Fédération, mais des gens d’autres planètes
qui font cavaliers seuls, viennent sur notre Terre. Ils les laissent
faire dans la mesure où il n’y a pas de conflits.
Nous n’arrivons pas à savoir s’il s’agit d’un conflit entre eux au
sujet des terriens, ou ces autres visiteurs avec nous. En ce qui con-
cerne nos divisions internes entre pays, il est clairement dit qu’ils
seraient obligés d’intervenir en simultané sur des bases nu-
cléaires américaines et russes.
Nous savons maintenant que nous sommes des terriens sous surveil-
lance et que des interventions ont eu lieu de part et d’autre, en pro-
voquant des pannes inexplicables sur des bases de lancement de
missiles nucléaires, qui ont conduit à des accords pour limiter ces
armes stratégiques. Il est parfaitement clair que nous sommes depuis
longtemps sur surveillance dans nos agissements sur tout ce qui
pourrait gravement endommager la vie sur notre planète.
Des interventions ont lieu sous forme de boules de lumière dotées
"d’intelligence", pouvant opérer matériellement et psychiquement
sur les choses et tout être vivant, animal ou humain.
Dans la grotte, à l’intérieur de la base, il n’a pas été vu d’enfants,
mais la "Biologiste" qui a été vue nue, sexuée, avec un nombril,
indique un mode de reproduction de ces extraterrestres humanoïdes
identique au nôtre. Par contre il y avait d’autres présences, chez eux,
qui ne naissaient pas.
Ils avaient des embryons humains dans des containers ou des cou-
veuses, où ils développaient des corps en entier, jusqu’à l’âge cor-
respondant de 18/20 ans. C’était rapide.
S’il y avait une certaine catégorie de gens qui ne mouraient pas dans
un corps qui ne fonctionnait plus, ils enlevaient l’esprit de ce corps
pour le mettre dans un autre corps, à l’aide d’une "machine".
Robert n’a pas vu ces corps en gestation développés "in vitro". Ces
propos sont rapportés d’après ce qui lui a été dit.
285
Ceci est une autre histoire que nous n’aurons pas le loisir d’explorer
ici.
*************
286
ne se pratiquait que dans les grades élevés des moines des monas-
tères tibétains.
Ces exercices devaient se pratiquer comme il l’avait appris selon
une technique appelée : étirement en décontraction ou aussi, élonga-
tion relâchée. Ce que Robert avait dû apprendre tous les jours de sa
formation à la grotte sous la direction de la "Biologiste" et de
"l’Ethnologue". Exercices en quelque sorte personnalisés, qu’il de-
vrait pratiquer toute son existence en fonction du poids, de la taille,
de la façon de marcher étant droitier, de la profession, du débit du
système glandulaire, et de la vitesse d’élimination des déchets. C’est
la raison des postures qui ne sont pas obligatoirement symétriques,
en rapport avec les positions incorrectes dues au travail, et aux acti-
vités quotidiennes.
Tout un programme que Robert appliquera depuis maintenant qua-
rante années, pendant une heure, un jour sur deux, réduits à un jour
sur trois depuis sa retraite.
C’est cette pratique du yoga qui lui permettra de conserver la santé
et cette forme physique exceptionnelle pour son âge. Travailler ac-
croupi, à genoux, sans ressentir la moindre gêne, avec une grande
souplesse, et une grande liberté de mouvements.
287
Autres questions / réponses :
Comme ses hôtes extraterrestres le lui ont dit eux-mêmes : Ils vieil-
lissent moins vite dans la grotte, au sein de leur "bulle d’espace-
temps", qu’à l’extérieur de la grotte, parmi nous. L’idéal pour eux,
c’est de vivre dans leurs grands vaisseaux de l’espace, où ils ne
vieillissent pratiquement pas.
288
Par rapport à nous, l’expérience peut être plus courte dans le temps
pour le témoin lui-même qui revient dans notre monde avec des
heures ou des jours, voire dans certains cas, des mois ou des années,
ou bien l’inverse. Le témoin enlevé revient vieilli, comme dans le
cas du caporal Valdez, qui disparaît un quart d’heure devant ses
hommes, et réapparaît avec une barbe et une montre décalée de cinq
jours supplémentaires. (21)
Mon ami Jean Sider m’a fait parvenir un cas vieux de 60 ans au
Brésil.Lieu : Entre Barra Mansa et Volta Redonda, Rio de Janeiro le
4 décembre 1949
Témoin : Mario Restier
289
Il a rapporté tous ses souvenirs spontanément sans le recours à
l’hypnose ; d’autant que lorsqu’il les livra à l’enquêteur, cette tech-
nique n’était pas encore utilisée par les ufologues brésiliens.
L’enquête initiale fut faite bien plus tard, à la fin des années 1960,
par le Dr. Walter Buhler, qui la publia dans le bulletin de la
SBDEV, société. Brésilienne privée dévolue aux recherches sur les
ovnis, dont il était le directeur. (SFR, Vol. 27, n°5, et n°6, page 19.
Article de Richard W. Heiden, qui cite le SBEDV Bulletin n°60, jan-
vier 1968, pp. 12-18 et n° 61, avril 1968, pp.24-25. Voir aussi les
relations partielles dans FSR Vol.22, n°4, 1975 p.23, et Vol. 21,
N°3, et 4, 1976 p. 37).
Fin de l'article
290
J.S
Cet édifice dont les vestiges remontent à 516 reconstruits vers l’an
1000 et la reconstruction en 1277 pendant trois siècles comporte de
magnifiques vitraux et des tableaux de scènes religieuses.
291
Dès le matin, nous nous retrouvons au domicile de Robert pour nous
transporter tous dans le monospace de Gérard. Nous sommes reçus
très aimablement par le couple qui nous fait visiter sa maison et les
chambres où ont eu lieu de curieux phénomènes récents, datant de
quelques mois :
Dans la chambre où Yvonne a observé cette curieuse lumière ram-
pante sur le mur.
Nous examinons avec attention la fenêtre sur le jardin entouré de
végétation, d’où pourraient provenir des lumières de la route laté-
rale : pas de possibilité. L’armoire à glace également, qui aurait pu
refléter une quelconque lumière extérieure. Aucune explication lo-
gique à ce phénomène lumineux n’a été trouvée satisfaisante.
Nous passons au couloir où Robert s’est assis devant la chambre de
sa fille quand une très forte lumière débordait sous la porte. C’est
une petite chambre avec une simple lampe au plafond, de faible
puissance, dont on peut constater à peine la lueur depuis le couloir,
quand la porte est fermée. Il n’y a pas non plus de lampe de chevet,
ni d’autre éclairage pouvant justifier un tel débordement lumineux.
Robert a su à quoi s’en tenir quand il s’est assis dans le couloir, en
attendant sans intervenir dans la chambre de sa fille. Sa femme nous
confirme avoir instamment souhaité une intervention miraculeuse,
tout comme son mari. Ce souhait a été formulé à l’insu l’un de
l’autre, chacun de son côté.
On peut interpréter l’amélioration de la santé d’Aurélie comme on
veut. Intervention extraterrestre ou non. Seul le résultat compte.
292
ces fameux gâteaux cuits à la broche qui nous sont offerts par Ro-
bert, avec un carton de vin comme souvenir de la région.
Nous redescendons par les ruelles jusqu’au pont qui enjambe la ri-
vière Aveyron, jusqu'au restaurant de "l’hôtel de l’Univers" où nous
attend une table. La spécialité est la tête de veau ravigote (22), ap-
préciée parait-il, par notre ancien président de la République, fin
gourmet, Jacques Chirac, client de ce restaurant.
Le plat que je propose surprend, certainement plus par ignorance
que part une méfiance qui sera vite comblée par un ravissement des
palais, avec la sauce gribiche qui accompagne la tête de veau, et les
fameuses pommes de terre du Ségala. Une surprise à laquelle mes
amis ne s’attendaient pas. Après les glaces et le café, nous repren-
drons la route du sud vers la ferme de Roumagnac, but de notre sor-
tie.
Le choix du trajet nous conduit à refaire le parcours inverse que
celui fait par Robert en 1969, quand il avait poursuivi la boule de
lumière avec la voiture.
On s’arrête à l’endroit où est apparu l’ovni double dôme, quand la
voiture est tombée en panne. La route et les bas-côtés ont été modi-
fiés depuis. Robert revit l’évènement en nous montrant où il s’est
garé; le panneau de signalisation qui vibrait, et comment est arrivé
l’ovni ; ses évolutions au-dessus du champ, et où se trouvait le fossé
où il s’est réveillé après sa perte de connaissance, cette mémorable
nuit de janvier 1967.
On s’attarde un instant pour assimiler le déroulement du phénomène
vécu et prendre quelques photos. Gérard filme la reconstitution de
l’événement.
Plus loin, vers la ferme, à trois kilomètres, on marque un temps
d’arrêt où a été vu "l’obus" dressé la seconde fois, dans le champ
près de la route. Robert nous montre où la "boule" l’attendait dans le
haut de la côte. La ferme de Roumagnac est en vue parmi quelques
maisons disséminées dans la campagne vallonnée. On se gare pour
terminer à pied, et observer le site. L’endroit est peu habité. Un trac-
teur passe plusieurs fois, conduit par un homme qui nous observe, et
doit se demander ce que l’on fait là. On arrive à la ferme qui semble
inoccupée.
Robert nous montre la fenêtre de la chambre où il dormait et le
champ en contrebas vers la rivière et la route. C’est le champ où
293
venait "l’obus" et où s’était posé le vaisseau venu chercher Robert
pour le séjour en Inde.
Nous nous engageons dans le champ, quand un homme se dirige
vers nous. En fait, c’est le nouveau propriétaire de la ferme, que
Robert connaît. Il n’est pas question de lui dire ce que nous sommes
venu faire. Aussi, je suggère à Robert, embarrassé, de déclarer que
nous sommes des amis à qui il montre la ferme de son enfance. Un
pèlerinage, en quelque sorte.
Après les présentations et l’évocation des souvenirs communs, le
nouvel exploitant agricole nous invite aimablement dans la maison
pour visiter et prendre un rafraîchissement.
On ne pouvait espérer mieux. L’imposante bâtisse aux murs épais,
date de 1766. Coïncidence, les événements des "boules" ont eu lieu
200 ans plus tard ! Le bâtiment comporte une dizaine de pièces dont
seul le bas est occupé pour gérer l’exploitation agricole.
La pièce principale à l’énorme cheminée est aménagée en bureau et
lieu de travail. Les pièces de l’étage auquel on accède par un esca-
lier de pierre, sont à l’abandon, ou servent de débarras. Robert nous
montre ce qui était les chambres en enfilade, et la dernière qui était
la sienne avec les fenêtres qui donnaient une vue étendue sur les
champs. Il nous montre où se trouvait son lit autour duquel venaient
les visiteurs nocturnes. La pièce est maintenant encombrée de
caisses et de cartons de boîtes de pâté de fabrication artisanale.
Même quand la ferme était habitée, il y a quarante ans, le confort
était des plus rustiques et la vie rude. On comprend le choix que
Robert avait fait pour sortir de ce milieu rural rudimentaire sans
véritable perspective d’avenir. Quand j’étais venu seul avec Robert,
trois ans plus tôt, la maison était fermée et le propriétaire absent.
Nous n’avions pu voir que les extérieurs. Mes deux amis, Jean-
Claude et Gérard étaient ravis de leur visite sur ce lieu plein de mys-
tères, qui méritait le voyage.
Ce complément d’enquête repris quarante ans plus tard à permis de
détailler et de renforcer l’impression d’authenticité du témoignage
de Robert, par les précisions données en réponse aux questions qui
auraient pu échapper à la compréhension de cette extraordinaire
aventure, révélée par le témoin lui-même.
Retour à Rodez et derniers témoignages.
294
Le dessin pariétal
Après cette agréable journée passée ensemble entre amis, nous re-
gagnons le domicile de Robert, dans la banlieue de Rodez.
Attablés autour d'un verre, Robert nous parle encore de la grotte et
du dessin qu'il a vu sur une paroi.
Ne sachant pas bien dessiner, il nous fournit les indications d'une
sorte de logo de 1,5 m de hauteur sur 0,9 m de large que nous avons
reproduit aussi fidèlement que possible.
On peut l'interpréter comme un sigle symbolique de deux disques
pouvant représenter des planètes reliées par un trait vertical, de bas
en haut. Le disque du bas est coiffé d'un jambage en A, et celui du
haut d'un V, tous les deux finement tracés. Au centre du trait vertical
plus épais, se trouve une petite barre horizontale coiffée d'un petit
chapeau pointu qui suggère un véhicule spatial à mi-parcours entre
les disques qui pourraient représenter des planètes dont l'une rayon-
nant son savoir, irait visiter l'autre.
Le symbole planétaire est donc réversible de bas en haut, suivant
comment on se place. En émetteur vers le haut, ou en récepteur vers
le bas. C'est une interprétation qui a le mérite de correspondre aux
propos de ces extraterrestres qui se sont présentés eux-mêmes
comme des explorateurs d'étoiles et de planètes habitées.
295
Dessin pariétal vu dans la grotte en Inde
296
Le témoignage du pilote de l’avion Mirage III identifié 2 FB. Par
confirmation du pilote lui-même, s’il est encore vivant, ou
quelqu’un qui aurait recueilli ses confidences de l’époque.
L’Armée de l’Air sait-elle quelque chose ? Il y a-t-il eu un rapport
de fait ? Rien n’est moins sûr ! Des confidences ? Nous ne savons
pas. Nous supposons que ce pilote impressionné par cette rencontre,
a dû se confier un jour à son entourage pour se libérer de ce qui peut
être vécu comme un traumatisme que l’on ne peut conserver indéfi-
niment pour soi.
En tant qu’enquêteur nous ne désespérons pas d’aboutir à un "aveu",
même confidentiel et anonyme.
297
Un signal d'alerte ?
Un fait curieux s'est produit dans la nuit qui a suivi notre entrevue
avec cette personne "haut placée", pour préparer nos investigations.
Robert, notre témoin, s'est endormit rapidement, puis s'est réveillé et
a eu l'intuition que quelque chose allait se produire. Il avait vécu
souvent cette situation, pleinement éveillé.
Soudain, un léger bruit métallique de machine électrique portative
se fit entendre, comme une "disqueuse", en même temps que son
corps se paralysait jusqu'à ce qu'il ne puisse plus bouger. Le bruit
s'est amplifié, ainsi que la "force" qui le maintenait immobile. Il a
malgré tout essayé de bouger, mais en même temps la pression et le
bruit sont devenus insupportables dans ses oreilles.
Puis cette la pression et le bruit ont disparu de manière très progres-
sive. Ces phénomènes, dont il pensait en avoir terminé, étaient reve-
nus. Robert ne sait toujours pas pourquoi …?
Il s'est ensuite endormi normalement et s'est réveillé en pleine
forme, comme à chaque fois.
Faut-il conclure à une manifestation de ses "hôtes" E.T par l'inter-
médiaire de son implant ? Et comment interpréter le message ? Est-
ce un encouragement, ou au contraire une mise en garde pour con-
clure un accord d'analyse qui ne serait pas "approuvé" par ces intel-
ligences ?
298
l’efficacité à accorder à la véracité de l’événement réellement vécu
par le témoin
299
Il manquera toujours une dimension de réalité que nous n’aurons
pas, avant de découvrir un moyen d’aller au-delà de notre simple
ressenti environnemental.
Les témoins de rencontre rapprochée font souvent état d’avoir reçu
de grandes quantités d’informations compressées, en un temps très
court. Ils sont dans l’incapacité d’en rapporter la moindre compré-
hension. Bien qu’enregistrée, cette information devrait être décryp-
tée à la bonne vitesse. Ce qui suppose un décalage dans le temps,
comme la fréquence du sifflet d’un train, selon qu’il vient ou qu’il
s’éloigne de l’auditeur. La bonne fréquence est celle où on se trouve
dans le train, et nous sommes dans la situation des vaches qui regar-
dent passer le train.
C’est un problème de relativité.
300
L'action spirituelle des phénomènes paranormaux est encore moins
accessible aux individus ordinaires. C'est ce qui expliquerait que les
témoins n'interprètent pas la même vision des choses. C'est l'hypo-
thèse du "rêve éveillé" de certains ufologues. Ce qui n'explique pas
les preuves physiques de ce phénomène subtil qui s'adresse à la
"conscience totale" du témoin.
Un état de conscience modifié, où la conscience normale ne peut
tout retenir, ni déchiffrer.
Le "Guide " me disait que d’après leur analyse, nos sociétés mon-
diales allaient vers une course effrénée à la compétition dans tous
les domaines, et à une course idiote à l’enrichissement personnel.
Ceux qui sont à des postes de direction, ou de commandement, ne
penseraient d’abord qu’à leur enrichissement personnel et à celui
de leurs familles, au détriment des autres, le plus grand nombre,
sans doute les plus méritants.
Il trouvait lamentable et absurde le fait d’acheter financièrement
des hectares de terre par milliers, alors que chez eux, et sur les pla-
nètes avancées en sagesse, la terre appartenait à tout le monde, du
fait d’y être né, mais à personne en particulier.
301
Tant qu’il y aura des gouvernements différents avec des façons
d’agir opposées, et des pays dont les habitants sont si éloignés en
évolution les uns des autres avec des frontières et des conditions de
vie différentes, aucune avancée vers la paix et les bonheurs des
peuples de la terre ne pourra se faire.
Bien sûr, il ne faut pas tout rejeter, ni tomber dans le piège de tout
suspecter, mais il faut rester dans le raisonnable.
302
Pour l’avenir
303
La Recherche énergétique
Les trois personnes rencontrées à la grotte, m’ont dit que nos sa-
vants devraient s’efforcer d’orienter les recherches en matière
d’énergie sur l’électromagnétisme, et la domestication de cette
énergie inépuisable qui se trouve partout en abondance dans tout
espace.
A ce sujet, le "Guide" affirmait que nous pourrions avoir le choix
pour le chauffage des maisons.
Soit de continuer à distribuer le courant électrique produit par une
centrale électromagnétique, par des câbles sur des centaines de
kilomètres ; mais ce transport par câbles a la particularité de pertes
énormes d’énergie par ce mode de transport, comme habituelle-
ment.
Soit de créer des moteurs à propulsion, par l’énergie universelle,
comme eux le font.
Soit chaque maison d’avoir un petit moteur électromagnétique
d’une taille de 50 sur 50 cm, qui produirait suffisamment d’énergie
pour plusieurs immeubles.
Ce même principe de moteur pourrait faire fonctionner les automo-
biles, bateaux, avions, tracteurs, etc …, sans bruit. Et il me dit en
rigolant : "Ta 203 Peugeot pourrait tourner tout le temps, sans ja-
mais mettre de carburant. Elle serait usée, alors que le moteur ma-
gnétique serait encore en bon état.
Fini les centrales nucléaires construites de cette manière. Fini le
pétrole, les éoliennes, les cultures à carburants, et fini le vacarme
des moteurs.
"L’Ethnologue" me dit que si nous mettions de suite ces découvertes
et ces énergies en place, cela pourrait créer, à cause de
l’organisation actuelle de nos sociétés, des désordres importants.
Car cela supprimerait énormément de main-d’œuvre. Il faudrait
donc faire les changements de manière lente et progressive, pour
ne pas détruire notre patrimoine culturel et nos richesses plané-
taires.
Voir la référence à "l'ethnocide" planétaire évoqué par Gilles Pinon,
dans sa "lettre ouverte au Président de la République française".
304
La recherche spatiale (état d’esprit)
Les informations que j’ai données ont été prononcées par les diffé-
rentes personnes qui avaient un contact avec moi. Elles sont gravées
dans ma mémoire.
Lorsque je suis assis le matin devant le clavier, et à ce moment là
seulement, les mots arrivent très rapidement, et je n’ai plus qu’à
écrire.
305
Quand les mots ne viennent plus, je relis le texte qui est cohérent et
exprime la réalité du vécu.
R.L.
Il n’est pas question, ici, d’émettre une opinion pour ou contre cette
hypothèse qui semble la plus probable et la plus cohérente. Mon
seul but est de transmettre des témoignages ufologiques en exposant
les similitudes troublantes et les inévitables corrélations.
306
Parcourir le chemin
307
Comme je t’ai dit (le guide), regarde et observe attentivement la
nature. Si tu regardes la création tu comprendras mieux les créa-
teurs. Je te donne un exemple (l’Ethnologue):
A ta ferme tu as des chiens et des chats. La différence, un chien
t’aide à rassembler les vaches, il aide à des tâches spécifiques, il à
été crée pour vous aider. Il n’a rien à voir avec un loup, ce n’est pas
la même espèce. Le chat dans ta maison, il est propre, il ne salit pas
car il fait ses excréments et les recouvre, il ronronne, il te divertit, il
peut coucher dans ton lit sans problème, il à été programmé pour
cette mission.
Il en va de même pour toute la nature et toute vie sur toute planète.
L’ensemble a été étudié conçu et programmé pour que tout le sys-
tème planétaire, comprenant aussi le climat, chaleur, pluies, vents
saisons etc. puisse s’auto suffire.
Tu vois, l’Univers, comme ont te l’a déjà dit, est organisé, et tu le
verras au bout de quelques années de pratique du yoga, et de ré-
flexion. Tu seras émerveillé et en admiration devant le grand œuvre
gigantesque qui t’entoure. Alors tu comprendras que les créateurs
ne se sont pas moqués de la race humaine qui est admirable, mais
vous n’avez pas encore compris, ni ressenti, toute la splendeur de la
création.
Même vos corps physiques sont des merveilles de fonctionnement, tu
t’en apercevras après quelques années de pratique."
— J’ai essayé d’être le plus fidèle possible dans mes souvenirs, mais
c’est un sujet difficile, surtout pour moi au niveau des chiffres et des
nombres qui ne veulent pas dire grand-chose pour moi.
Le chemin est long, il ne faut pas désespérer. R.L.
Sosie et phénomènes
Michel G, le "contacté" de Seine et Marne, était dans un cabinet
médical attendant son tour avec trois ou quatre personnes.
Sur son côté gauche se trouvait assis un homme, la tête penchée en
avant, qui ressemblait à Robert L que Michel connaît bien.
308
Ce sosie portait des lunettes claires montrant bien ses yeux. Michel
le regarda avec insistance, tant la ressemblance était frappante, se
demandant ce qu’il faisait là, si loin de chez lui.
Tandis qu’il le regardait, l’homme a relevé la tête et s’est tourné
vers lui en lui souriant gentiment. Les yeux de l’inconnu se sont
soudain allumés d’une lumière rouge. Cela faisait comme des petits
triangles brillants sur chacun d’eux, en plein milieu de l’œil.
Cette ressemblance frappante et le phénomène inattendu lié à
l’attitude de l’inconnu, ont laissé Michel interdit, en voulant lui
adresser la parole. Il s’est trouvé comme paralysé, incapable de
bouger. Le temps et les bruits un instant suspendus, comme dans un
ailleurs…
309
Pour quelle raison faudrait-il rejeter cette histoire rapportée avec
empressement, comme faisant partie d’un tout que le témoin perçoit
à son corps défendant, sans pouvoir apporter d’autre témoignage
que le sien ?
Gaston Oble est né en 1910 à Lusignan dans le Poitou dans une fa-
mille de paysans.
En 1928, à l'âge de 18 ans, il disparaît dans le pré où il gardait les
vaches.
Il revient trois ans plus tard en 1931 avec une valise de billets de
banque.
310
En 1942 — C'est la guerre et l'occupation. Gaston disparaît une se-
conde fois du foyer familial.
Retour en 1945, à la Libération —Fin de la deuxième guerre mon-
diale.
Pendant ce temps, son fils René (de 8 à 11 ans) est élevé par sa
grand-mère paternelle.
311
traterrestres grisâtres également nus. Environ un mètre de haut, cou-
leur gris clair, pas de cheveux, des yeux ronds et fixes, visages figés,
bouche en forme de "O". Deux petits trous recouverts d'une peau
translucide à la place du nez. Pas d'oreilles, mais à la place deux
petites bosses translucides. Les pieds et les mains sont comme les
nôtres. Pas de sexe, mais une petite bosse à la place.
312
Robert lui, disposait de l'eau d'une douche qui n'avait pas besoin de
savon pour se laver.
Tout restait propre et entretenu dans la "base ET" de la grotte de
l'Himalaya. Pour les soins corporels, Robert disposait d'un rasoir
mécanique classique à lame, peut-être ramené sur place ou copié et
reproduit à l'identique. Les soins des cheveux et des ongles étaient
assurés par la "Biologiste" affectée à sa personne, sans savoir avec
quels outils ni quels moyens. Le vêtement collant qu'il portait, ne se
salissait pas mais avait besoin d'être "régénéré" tous les quatre jours.
Gaston peut poser les questions qu'il veut pour permettre son ins-
truction proprement dite, à son rythme, en lui assurant que ce sera
très rapide. En dépit de sa curiosité et de son niveau d'instruction qui
ne lui permettait pas de tout appréhender. Ce n'est donc que petit à
petit, aidé du cerveau central, que Gaston a pu comprendre ce que
sont les extraterrestres, ce qu'ils veulent, à quoi ils le destinent, et
quel est son avenir.
313
Dès le début, le jeune homme a fait part de l'inquiétude probable de
ses parents. Il reçoit une réponse très concise de ne pas trop s'inquié-
ter de ce qui se passe sur Terre et de sa famille, la vie sur cette pla-
nète y étant très courte. Son avenir ici, (dans le vaisseau) devant être
meilleur.
314
Evolution, deux formes d'énergies indispensables l'une à
l'autre...Tout est mathématique, tout est ordonné dans l'Univers…"
315
S'il faut en croire Gaston, ces extraterrestres là ne sont pas gênés
pour l'enlever à sa famille pendant trois ans sans lui demander son
avis! Curieuse éthique de considérer ainsi l'intégrité et la liberté de
l'individu. Il faut peut-être considérer ici, la bonne intention de
l'intérêt général ?
Après tout, nous pratiquons de même avec les animaux pour leur
bien-être…, et du nôtre…! On ne s'embarrasse pas non plus à sacri-
fier quelquefois des hommes pour l'intérêt de la "nation" ou la satis-
faction du plus grand nombre !
Il est évident que cette attitude condescendante à notre égard ne fa-
cilite pas les relations que nous souhaiterions avoir avec ces "visi-
teurs". La furtivité constatée et pleinement confirmée ne nous laisse
pas d'autre choix que de dénoncer ces manifestations occultes.
Gaston poursuit :
— Il existe cependant d'autres extraterrestres venant du grand ail-
leurs. Avec certains, le vaisseau peut communiquer, avec d'autres
non. Mais cela ne semble pas les inquiéter. Ces inconnus ne sem-
blent être que de passage. Ils ne paraissent s'intéresser à la Terre
qu'à titre de collecte, de renseignements. Il est possible qu'ils soient
à l'origine des observations relatées par les médias de la Terre. Ce
n'est pas le problème de mes extraterrestres.
Le "Guide" de Robert :
— Notre monde est très éloigné du vôtre. Il y a des races qui sont
plus près dans votre Galaxie. Mais pour qu'une civilisation prenne
316
contact avec vous, il faudra vous familiariser avec elle; d'où l'im-
portance des visites…Cependant, il y a aussi d'autres formes intelli-
gentes non humaines très organisées et évoluées. La Vie est partout
et beaucoup de planètes sont habitées. Nous avons de nombreux
échanges cosmiques… Nous faisons partie d'une sorte de Confédé-
ration Intergalactique…
Gaston :
— Concernant l'étude du vivant, il y a cependant des choses qu'ils
ne comprennent pas très bien pour le moment. Par exemple, con-
cernant la Terre, ils constatent mais ne comprennent pas, l'utilité de
la diversité du vivant conscient (3). Ils en connaissent le processus
mais se posent la question du pourquoi… Ils étudient nos émotions
aussi et eux ne semblent pas en avoir. Ils sont rationnels…Le con-
cept de nations différentes leur est étranger ainsi que ses consé-
quences comme les langues différentes. Il semble que sur toutes les
planètes visitées, il n'y ait qu'une unique vie consciente… Il n'y a
donc qu'un seul peuple sur une planète.
Le concept de démocratie n'est pas très bien appréhendé non plus.
Pour eux, pour chaque problème il ne peut y avoir qu'une seule ré-
ponse possible et c'est celle qui est la plus rationnelle et logique. Si
un problème se pose, les extraterrestres n'ont pas besoin de commu-
niquer entre eux, tous sans exception trouvent en même temps la
seule réponse possible. Voilà pourquoi aussi la Terre les intéresse.
Robert avait remarqué que ses "hôtes" n'avaient pas forcément be-
soin de se parler pour se comprendre entre eux et exécuter la même
tâche. Toutes leurs actions semblaient parfaitement coordonnées,
317
chaque individu paraissant obéir à une volonté commune vers le
même objectif. Cela fait penser à l'organisation des insectes comme
les abeilles ou les fourmis.
Santé — Longévité
Pour Gaston, les extraterrestres vivent très longtemps. Ils sont partis
de leur planète il y a des milliers d'années terrestres. Aucun n'est
mort, dit le cerveau central. Pourtant il est arrivé que des navettes ne
soient jamais rentrées au vaisseau….Tous les habitants des vais-
seaux bénéficient de la même longévité, même si certains ont besoin
de respirer. Les terriens qui sont parmi eux finissent par acquérir des
changements en mutant de leur vivant. Certains organes s'atrophient
puis disparaissent … Aucune maladie ne peut se déclarer sans qu'en
amont un manque ne soit satisfait à temps. Neurones ou autres cel-
lules sont réparées ou changées à temps, ce qui supprime le vieillis-
sement. Ils peuvent même changer le cerveau et y injecter une mé-
moire ancienne.
318
C'est ainsi qu'il s'est retrouvé en compagnie de deux autres terriens
et d'un extraterrestre dans le même type de navette que lors de son
premier enlèvement. Le processus fut le même qu'à son départ de la
Terre. Réduction instantanée de l'engin, "gélatine" partout à l'inté-
rieur, traversée du mur d'énergie extérieur du vaisseau et léger en-
dormissement. A l'approche de la Terre, fonte de la "gélatine" et
posé dans un pré, un lieu dit Le Planty, près du village de Buxerolles
(banlieue nord de Poitiers).
Comme convenu, un homme l'attendait avec une valise contenant
des vêtements, car il était nu et il lui a remis une carte marquée de
l'emplacement de l'atterrissage, dates et heures des prochains con-
tacts avec lui, toujours la veille de l'arrivée d'une navette, environ
tous les trois mois. La date d'arrivée d'une navette servant de contact
de rattrapage en cas de problème, au même endroit que l'atterris-
sage.
Dans la valise se trouvait un gros tas de billets de banque, pour lui
permettre de vivre. L'homme prit note de son adresse chez ses pa-
rents, puis lui remit une feuille de papier concernant sa mission.
C'était facile, Il s'agissait essentiellement d'acheter des livres de ma-
thématique et de physique les plus récents possible et de ramasser
des échantillons de plantes diverses. Il prit le train pour rentrer chez
lui près de Lusignan.
C'est ainsi qu'un matin il arrivé à la ferme de ses parents après trois
ans d'absence, qu'il justifia en ayant travaillé de ferme en ferme.
Après quelques récriminations pour avoir abandonné les vaches et
fugué, le calme revint avec l'argent et les cadeaux rapportés et on ne
parla plus de sa disparition.
Similitudes
319
Gaston fit son service militaire, se maria en 1933 et l'année suivante
naissait son fils René.
La petite famille vint s'installer à Poitiers où Gaston se fit embau-
cher comme manœuvre dans le bâtiment en déclarant se rendre avec
la petite moto achetée, sur différents chantiers de la région où il était
logé sur place. Ce qui lui permettait une grande liberté de mouve-
ments pour mener à bien sa "mission", à l'insu de tous, tout en sub-
venant largement aux besoins de sa famille grâce au soit disant "pé-
cule" de ses parents dans la valise, que sa femme Germaine n'aurait
jamais osé ouvrir.
Les contacts avec le correspondant avaient lieu sans problème au
même endroit. Gaston ne se perdait plus pour retrouver le pré la
nuit. Ils fraternisaient un peu plus à chaque visite en venant de Bel-
gique, plaque tournante des atterrissages de navettes, avec divers
correspondants comme lui. Il remettait sa collecte, prenait une nou-
velle commande et repartait. Gaston n'a jamais eu le courage
d'informer son correspondant de son mariage et de la naissance de
son fils René. Les choses ont continué comme cela jusqu'en 1942,
où nous étions en pleine guerre.
La France était coupée en deux. Le Poitou était en zone occupée, et
se déplacer devenait dangereux. Son contact avait encore plus de
problèmes que lui pour se déplacer. Il l'a averti qu'il serait plus pru-
dent pour eux de rentrer au vaisseau. Ce dernier allait s'approcher de
la Terre pour récupérer en un seul voyage tous les correspondants
avec une multitude de navettes.
C'est à ce moment qu'il l'a informé de sa situation pour gagner du
temps. Il risquait de tomber malade et mourir sur Terre. Il pouvait
être aussi imprudent et laisser entendre par inadvertance qu'il était
en contact avec des êtres venus d'ailleurs. On n'aurait pas manqué de
l'enfermer dans une maison de fous jusqu'à la fin de ses jours. Dans
ce cas personne ne pourrait rien pour lui. Aucune navette ne pourrait
le localiser. C'était le bon moment pour partir, disait-il, cela ne pa-
raîtrait pas bizarre, car à cette époque beaucoup de gens disparais-
saient, soit à cause des bombardements, soit arrêtés par les alle-
mands.
Après quelques allusions à sa femme concernant l'argent quelle
pourrait prendre au cas où il lui arriverait malheur, il a pris sa déci-
sion et, au rendez-vous suivant, il a informé son correspondant qu'il
était prêt à partir.
320
Cette fois, pas de gélatine, le vaisseau était tout près de la Terre et
en quelques minutes ils étaient à bord. Gaston était content mais
avait le cœur gros.
321
qui sépare les différents univers… Ils m'exposaient parfois certains
détails de la vie sur une autre planète… Les habitants se doivent,
dans la mesure de leurs possibilités, d'apporter leur savoir, leur
travail à la construction d'un monde meilleur.
Fin de l'aventure ?
322
Par contre, un peu plus tard, la radio et les journaux annonçaient que
les billets devaient être changés. Au-dessus d'une certaine somme, il
faudrait en justifier l'origine. Cela n'était pas prévu. Impossible de
contacter le correspondant avant la date prévue de l'échange. Au
contact suivant, le correspondant avait tout prévu. Les billets an-
ciens ont été brûlés et remplacés par les billets nouveaux. A sa
femme, Gaston a dit que son patron avait un moyen de les changer
après la date obligatoire, et qu'il avait pu changer les siens. Sa
femme semblait douter, mais elle n'a rien dit.
323
Il est rapporté par le "Guide" que la "Fédération galactique" était
déjà intervenue, notamment sur les sites stratégiques nucléaires
américains et russes.
324
Voici donc ce que disait cette lettre, que René Oble affirme avoir
trouvée dans une poche du blouson de son père, juste après sa mort.
Ce que vous venez de lire n'est qu'un résumé d'une transcription de
la lettre manuscrite originale expurgée de diverses considérations
d'ordre purement familiale.
Nous aurions bien aimé obtenir une copie manuscrite de cette lettre
de Gaston Oble laissée à son fils René, qui sans apporter une
preuve, permettrait d'ajouter une pièce d'importance au dossier. Une
demande a été faite dans ce sens en prenant contact avec René Oble
pour instruire et étayer le fond de l'affaire et établir des comparai-
sons avec celle de Robert L.
Un entretient s'est établit aimablement d'abord par téléphone et en-
suite par courrier où nous avons échangé des documents concernant
les deux affaires.
(3) Pour Urantia, la Terre est une planète décimale, un monde ex-
périmental de vie. Neuf mondes sur dix ne sont pas expérimentaux.
Sur le dixième il est permis de s'écarter davantage des archétypes
de la vie. (Fascicule 36 – Les Porteurs de Vie).
325
Monsieur Oble a envoyé la lettre suivante :
R. OBLE
……………… Le 28 septembre 2009
Il n'y a pas que cela. Mon épouse et moi perdons très vite la mé-
moire. Ça nous pose de gros problèmes. Je ne peux plus conduire et
j'ai de temps à autre des problèmes d'amnésie et d'élocution.
C'est ainsi, par exemple, que quelques jours après avoir reçu votre
lettre, je ne me souvenais plus de la date de décès de mon père. Au
reçu de votre lettre, j'ai cherché ce qu'il me restait en archives. Im-
possible de retrouver le livret de famille de mes parents. J'ai pensé
que je l'avais brûlé par erreur. J'en étais tellement persuadé que j'ai
envoyé un mail à Mr Mesnard car je savais qu'il connaissait la date
du décès de mon père, car il m'avait dit à l'époque qu'il avait envoyé
un enquêteur à l'hôpital de Poitiers pour avoir des renseignements
sur la mort de ce dernier et qu'on avait répondu à cet enquêteur que
les archives de cette année avaient disparu. Donc, je lui avais bien
communiqué cette date. Il ne m'a pas répondu. Finalement ce jour,
je viens de redécouvrir le livret de famille de mes parents.
326
meubles était à terre. Curieusement, n'ont disparu que mes archives
militaires et mes dossiers d'ONG. En gros tout ce qui était marqué
archives et quelques babioles sans valeur.
Cependant, j'avais toujours sur moi, l'original de la lettre de mon
père. C'est ce qui m'a permis d'en taper par la suite un autre extrait
pour Mesnard. A l'époque, les gendarmes pensaient à des gitans et
c'est ce que j'ai pensé aussi.
Voilà, cher ami. Je ne peux guère vous aider. L'idée de vous en-
voyer une photocopie de la lettre de mon père avec noircissement
des considérations familiales était une bonne idée, mais je n'ai plus
ni l'original ni même un double de l'article envoyé en son temps à
Mesnard.
327
Concernant l'affaire R.L. Que dire ?
328
3- Je note aussi, que de plus en plus de scientifiques commencent à
reconnaître à demi-mot la possibilité de contacts avec des "visi-
teurs ".
Par contre, je ne crois pas trop à un complot mondial pour cacher
ces faits. Connaissant un peu la puissance des médias américains, il
est impensable de garder un secret aux USA bien longtemps. Com-
ment croire qu'un ancien président ne parle pas, ou n'écrive pas,
même à titre posthume ? Mais je me trompe peut-être.
Voilà cher ami. Je ne vous suis pas d'une grande utilité. Je vous
souhaite bon courage dans votre enquête.
329
— C'est exact. Je l'ai trouvé curieuse. Mais comment savez-vous
cela, vous êtes dans l'édition?
— Oui, c'est possible. Mais n'ayez pas peur. Je ne vous veux aucun
mal. Je voudrais seulement que vous renonciez à publier cette lettre.
Le mieux serait de la détruire en ma présence. Mais si vous voulez,
je peux vous l'acheter très cher.
330
— Oui je comprends. Mais pensez à plusieurs choses. D'abord, on
ne vous croira pas. C'est la meilleure des solutions. Mais le
contraire est possible. Vous risqueriez d'affoler des gens. Ce n'est
pas rationnel. Vous y pensez ?
— Mais pourquoi faire ? Ces cercles dans les champs, c'est quoi ?
331
l'art. Alors pour vous faire comprendre qu'ils existent, certaines de
leurs sondes impriment de l'art. Voilà tout.
— Merci du renseignement.
Nous n’en saurons pas davantage sur cette affaire de Gaston Oble
transmise aimablement par son fils René.
C’est avec son autorisation de publication que j’ai obtenu l’accord
de René Oble en m’engageant à ne pas révéler ses coordonnées. Il
ne souhaite pas être dérangé davantage sur cette affaire qui ne
l’intéresse plus. Sa réponse a été : " Faîtes ce que vous voulez ".
Si cet homme a connu Gaston, il doit être âgé. Il dit "nous", comme
s’il faisait partie d’une équipe qui fait penser aux personnes qui par-
laient au marché avec lui. Le type ne voulait, ou regrettait la publi-
cation de la lettre qu’il souhaitait voir détruite. Si la lettre a été brû-
lée, ses désirs sont comblés. S'il avait le téléphone, il pouvait con-
naître l’adresse et venir voir René pour se présenter et en discuter.
332
Cette histoire est à mettre au compte des énigmes ufologiques non
résolues.
333
mètres. Il s’en approcha et toucha la surface métallique brillante,
aux reflets violacés. Il fut frappé de la trouver extraordinairement
lisse et assez chaude. Il la heurta légèrement de la main et ressentit
immédiatement un picotement dans les doigts
Une voix inconnue sortie du néant, l’interpella familièrement dans
sa propre langue (argot américain). Une sorte de dialogue télépa-
thique s’installa, où à ses réponses à ses questions à peine formu-
lées, il obtenait la réponse. L’inconnu indiqua qu’il se trouvait dans
la centrale de commandes d’un vaisseau mère, au-dessus du globe
terrestre.
Il lui expliqua que le but principal de son expédition consistait à
examiner si les facultés d’adaptation humaine étaient capables de
recevoir des conceptions radicalement étrangères à ses modes de
pensée. La voix l’invita à faire un petit voyage dans le vaisseau.
" Voulez-vous faire un vol à destination de New York ? — interro-
gea la voix — Il y en a pour tente minutes aller-retour."
334
chaque atome du vaisseau spatial, mais aussi sur l’ensemble de la
masse moléculaire renfermée, pilote et passagers…
* Cet extrait est tiré du livre "Alerte dans le ciel" Le dossier des
enlèvements du journaliste et écrivain Charles Garreau. Edition
Alain Lefeuvre 1981
335
éclairage fourni par un médium qui aurait visionné une scène où le
pilote racontait à trois autres pilotes l'incident qu'il a vécu avec la
soucoupe. Ses camarades l'on charrié là dessus, et il a décidé de ne
pas en parler officiellement. Le nom de LERECLUS a été perçu par
le médium comme étant le nom d'une personne qui aurait un rapport
avec cette affaire. Ce pourrait être le nom de la femme du pilote ou
d'un proche, si ce n'est pas le nom du pilote lui même.
336
Epilogue et remerciements
Ce livre contient l’étude d’un chercheur passionné par le phénomène
Ovni et les problèmes connexes qui s’y trouvent rattachés. Outre les
nombreux livres spécialisés accumulés sur le sujet, passant en revue
les différentes hypothèses sur l’origine de ces mystérieux engins et
compte tenu des milliers de témoignages recueillis de par le monde,
il m’a paru indispensable d’utiliser mes loisirs de retraité à investi-
guer auprès des témoins sur les cas les plus étranges de contacts
rapprochés avec des Objets Volants Non Identifiés. Ces manifesta-
tions n’étant pas été reconnues d’origine humaine, c’est l’hypothèse
la plus probable qui a été retenue :
La logique voulant que ces vaisseaux soient dirigés par des intelli-
gences d’autres mondes, c’est-à-dire de visiteurs interplanétaires qui
viendraient voir ce qui se passe sur notre Terre, comme nous es-
sayons de le faire pour explorer d’autres planètes.
Considérant cette énigme comme le plus grand problème de notre
temps, resurgi avec recrudescence depuis plus de soixante ans, il
m’a semblé urgent d’investiguer directement auprès des témoins en
faisant abstraction de toute opinion préconçue sur le sujet.
C’est ainsi que j’ai été amené à enquêter, depuis plus de vingt ans,
pour rapporter les cas les plus étranges défiant l’entendement, au
risque de déranger les esprits les plus rationnels.
Je remercie les témoins qui ont bien voulu se laisser interroger et
avec lesquels s’est établi un climat de confiance indispensable pour
rapporter leur témoignage.
337
L’organisateur des Repas Ufologiques Gérard Lebat qui m’a fait
connaître des ufologues.
Je remercie également les nombreux amis qui m’ont encouragé dans
mon travail en soutenant mon engagement.
Et bien entendu, mon éditeur Christel Seval, qui s’est intéressé à
mon ouvrage pour en assurer la diffusion.
Il est certain que l'avenir appartient à nos enfants qui sauront s'ou-
vrir aux réalités de l'Univers.
Il en va de la connaissance générale des choses et des êtres au-delà
de notre réalité ordinaire.
Un domaine inhabituel qu’il nous faudra prendre en compte :
Georges Metz
338
Table des matières
3— Introduction
7— Avant-propos
11 — Les Objets Volants Non Identifiés
16 — L'hypothèse Extraterrestre (H.E.T.)
17 — Les Ovnis et la Défense
19 — Lettre ouverte au Président (Gilles Pinon)
21 — La passion de l'Espace
22 — Une observation d'Ovni en 1940
339
88… La couronne tournante
89… Jet de lumière, radiation, brûlure – La libellule géante
93… Présences, apparitions – Missing time – Phénomènes
95… Hantise
96… Mystérieuse blessure
97 — Insolite en Seine et Marne
99... Les sosies dans la forêt
101... Balloy – Chaumont
102... L'homme du camion
102... Un hélicoptère noir
103... Vimpelles, une escadrille de "boomrangs"
106 — Ermont 2001. Une mystérieuse lueur verte
117 — Charles P. Un "contacté" de haute volée…
118... Un cas récurrent de "contacté"
119... Le chariot de feu
120... Le buisson ardent
127... Observation près de la Lune
128... Les traces corporelles
130... Les boules de pierre
133... Trancas, Argentine, 1963
137... D'autres témoignages – Grémonville à Croix-Mare
139... Vraiment, de drôles de clients…
142 — Sannois 2006. Un objet lumineux …
148 — Calzac-Eglise. 1998. Les lumières nocturnes
340
181... Exemples de contacts et dialogues
181... Le fameux boîtier ovale
182... Affirmation – Question : Avez-vous une religion ?
183... Le camouflage — Déclaration
186... Préparation de départ
188 — Le voyage en Inde — la Grotte
189... Il a vu un Ovni dans le ciel du Ségala
191... L'embarquement
194... La "télévision" extraterrestre en relief 3D
197... Similitude avec un autre appareil
198... Un télescope exotique, lui aussi
200... La vie à l'intérieur de la "base"
204... Rumeurs d'une base Ovnis du coté indien …
211... La " biologiste"
213 — La vie… l'Ambiance…Les Visiteurs…
213... Considérations sur notre civilisation
214... Conseils de vie physique et mentale
215... Conseils d'hygiène
216... L'ambiance — Les "visiteurs" et la réunion
218 — Les Rencontres Ufologiques de Châlons
223... Le Temps et l'Espace – Question de Robert au "Guide"
226... La fenêtre dans le ciel
228... Note de l'enquêteur
228... André Unal et les "boules de l'Aveyron"
232 …
229 — Ma vie…La rencontre…et Après…
236... Fragments de discussions avec– Questions / Réponses
240 — Révélations pendant les Rencontres de Châlons
241... Soirée à la cafétéria de l'hôtel – L'implant
245... Les bip-bip dans la Ford Fiesta – La voiture miracle
246... Les implants …Questions…Réflexions
248... Révélations d'une voyante
250... L'exploit physique
252... A propos de "l'Ethnologue"
254 — Une sortie en France
258... Rencontre Ovni / Mirage III
260... Un appel est lancé à ce pilote
261... Conclusion provisoire de l'affaire des boules
261... Investigations sur la rencontre Ovni / Mirage III
263... La base de Dijon-Longvic avait déjà été visitée
341
266... Intervention E.T. ?
268... Les sondeurs d'âmes
276... Vaisseau E.T. type
278 — Tu pourras en parler dans quarante ans…
278... Ce que tu devras leur dire
285... La séance de yoga filmée
287... Autres questions-réponses
288... Un cas vieux de 60 ans (de Jean Sider)
290... Curiosité à la Cathédrale de Rodez
290 — Retour sur les lieux de la ferme de Roumagnac
294... Le dessin pariétal
297... Un signal d'alerte ?
300 — Le chemin à suivre vers les étoiles
303... La recherche énergétique
304... La recherche spatiale (état d'esprit)
307... Sosie et phénomènes
309 — L’affaire Gaston Oble. Une "abduction" en 1928 ?
309... Comparaison et similitudes
309... Résumé de l’affaire
310... L’enlèvement de Gaston Oble
317... En mission sur Terre
318... Similitudes
320... Second séjour dans le vaisseau
321... Fin de l’aventure
332 — Le cas Daniel Fry - Similitudes
336 — Epilogue et remerciements
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Georges Metz
Ancien technicien de l’industrie aéronau-
tique SNECMA, Dassault, il se passionne
très tôt pour l’espace et les « Soucoupes
Volantes ». Affilié au groupement « Lu-
mières Dans La Nuit », ses enquêtes
l’amènent à rencontrer des « contactés »
sur des cas de haute étrangeté et les révé-
lations concernant l’affaire des « Boules
de l’Aveyron », objet principal de ce
livre, avec la collaboration et l’aide de
deux précieux ufologues et amis. 40 ans
de secrets enfin révélés !
Gérard Deforge
Jean-Claude Venturini
Diplômé d’un DEA de mathématiques,
statisticien, puis chef de service dans la
société d’études de marchés NIELSEN, il
s’est toujours vivement intéressé à tout ce
qui pourrait répondre à la question : « Que
fait-on là » ? En particulier à la physique,
et par là à ses frontières épistémologiques
que sont le paranormal et l’ufologie.
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- des PDF (livres sous format électronique)
Conditions de vente imbattables.
OVNIS :
Le miracle de Fatima, de l’amiral G.Pinon.
Backdoor, de Christel Seval.
Enlèvements extraterrestres de ludovic Chapier
Séjour sur Gaïa, de frédéric de Wald,
Et bientôt : UFO congrès 2012, Arizona
Spiritualité :
Le Christ revient il révèle sa surprenante vérité
Journal d’un éveil du 3eme œil
Le vrai Tao
L’ascension
L’après-vie confirmée par la science
Kildine est vivante
Accepter de s’éveiller
Pourquoi l’amour guérit
Etc...
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