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VERSION DEFINITIVE
SOMMAIRE
7.1.1.5. Conformité................................................................................................................. 21
7.1.2. Amendements du sol et substrats de culture ............................................................... 21
7.1.2.1. Amendements organiques du sol .............................................................................. 21
7.1.2.2. Fumier séché ............................................................................................................. 21
7.1.2.3. Amendements organiques mélangés ........................................................................ 21
7.1.2.4. Compost .................................................................................................................... 21
7.2. Critères de qualité des végétaux à fournir ............................................................................ 22
7.2.1. Arbre de haute tige ........................................................................................................... 22
7.2.2. Arbustes............................................................................................................................. 23
7.3. Plantations d’arbres, arbustes et des gazons ........................................................................ 23
7.3.1. Procédure de plantations d’arbres et arbustes ................................................................. 23
7.3.2. Procédures de plantation de gazon :................................................................................. 24
7.4. Entretien des plantations et des espaces verts ..................................................................... 24
7.4.1. Entretien des arbres et arbustes ....................................................................................... 24
7.4.2. Entretien de la pelouse...................................................................................................... 25
8. PLANIFICATION DES TRAVAUX DE PLANTATION ..................................................................... 25
La présente étude d’Avant-Projet Détaillé est la phase quasi terminale de définition des projets
à réaliser dans le cadre de ce vaste programme qui par ailleurs est connexe au projet de
drainage pluvial de la ville de Douala.
Cette phase est la mission 3-2 et est consécutive aux études d’Avant-Projet Sommaires qui
ont permis de valider les options d’aménagement dans quatre zones regroupant huit quartiers
de la ville Douala : BRAZZAVILLE, NGODI AKWA & BESSENGUE OUEST, BEPANDA
GENTIL - BEPANDA JOURDAIN, MAKEPE MATURITE-SIC CACAO-BEPANDA CACAO
BARRY.
Au terme d’un diagnostic effectué sur 36 quartiers de la ville de Douala, une identification des
projets prioritaires a été réalisée sur 8 de ces quartiers.
Les travaux proposés visent à améliorer les conditions de vie des populations à travers, le
désenclavement, l’accessibilité, la création d’espaces publics et la construction des
équipements socio-collectifs. Ces travaux comprennent :
L’aménagement des voies revêtues et non revêtues dans les quartiers afin de faciliter
un accès des populations aux services de base ;
La construction de collecteurs tertiaires le long des voies, ainsi que l’aménagement
de certains drains dans les divers quartiers ;
La construction des ouvrages de franchissement (passerelles piétonnes) ;
La pose d’éclairage public le long de certaines voies et systématiquement dans tous
les espaces à aménager ;
La construction des voies piétonnes (parcours santé) le long des drains et dans les
quartiers en vue de satisfaire les exigences des populations en matière de mobilité
interne ;
La construction ou la réhabilitation de certains équipements socio-collectifs (espaces
publics, bornes fontaines, kiosques à eau, sources, espaces de sports et de loisirs,
refuge pour bac à ordures …) ;
L’aménagement des espaces marchands ;
Les plantations d’arbres et espaces verts.
Ces projets prioritaires retenus ont d’abord fait l’objet d’études d’Avant-Projet Sommaire. Puis
en phase d’études détaillées, dans la perspective de l’organisation de la phase des travaux,
ils ont été divisés en 02 phases ainsi qu’il suit :
Les projets à réaliser se trouvent tous dans la ville de Douala située dans le bassin de même
nom. Ce bassin côtier fait partie de la région la plus humide du territoire. Le climat équatorial
qui y règne est de type équatorial océanique marqué par l’influence de la mousson et
caractérisé par des faibles amplitudes thermiques et d’abondantes précipitations annuelles
(plus de 4 000 mm) sous régime uni modal. On compte plus de 200 jours de pluie par an ; les
mois les plus pluvieux sont ceux de juillet et août avec plus de 700 mm chacun.
Mois Jan. Fév. Mars Avr. Mai Jun Juil. Août Sep. Oct. Nov. Déc.
T (°C) 27,6 28.4 28.1 27,7 27,3 26.5 25.3 25,1 25.8 26,2 '26.7 26,8
P (mm) 52 79 208 239 325 550 749 783 649 385 154 48
Source : SDAU de Douala
2.2. Végétation
La forte urbanisation, le lotissement très dense et/ou le taux élevé d’occupation du sol de
Douala rendent difficile l’espace pour la végétation. La végétation existante est constituée
notamment des arbres d’ombrage ou d’ornement plantés le long des routes ou dans les
quelques rares espaces verts. Parfois existent quelques plantes utilitaires autour des
habitations (canne à sucre, bananiers, manguiers, palmiers à huiles, légumes, etc.), mais on
n’aperçoit plus de végétation naturelle dans les bas-fonds ou le long des drains et dans
quelques espaces non bâtis, due surtout au défaut d’entretien. D’ailleurs, ces cas résistent
difficilement à la pression des riverains dont le souci est d’occuper le plus d’espace possible.
La végétation estuarienne comportait des mangroves, des forêts marécageuses et de la forêt
dense sempervirente de basse altitude. L’urbanisation et l’industrialisation de la région de
Douala ont conduit à la destruction d’une partie importante de cette flore.
2.3. Géomorphologie
Douala dispose d’un relief globalement plat avec des basses terres côtières. D’altitude
inférieure à 200 m, cette plaine côtière étalée et à peine gauchie s’étend sur moins de 150 km
entre l’océan et le plateau sud Camerounais. Les altitudes sont faibles et varient généralement
entre 1,00 m de la bordure de la mer vers les moyennes de 40 m à l’intérieur de la ville. Les
Le bassin côtier de Douala est le théâtre d’une puissante sédimentation marine et continentale
fluviatile. Ces alluvions récentes présentent une structure monoclinale.
2.4. Pédologie
Les sols de la région sont constitués par des alluvions fluviomarines et des terrains
sédimentaires. Le bassin dans la région de Douala est constitué de dépôts sédimentaires à
partir desquels se sont développés deux types de sols.
Les sols ferralitiques jaunes : Ils constituent le plateau, et sont dérivés de roches
sédimentaires sableuses ou sablo-argileuses. Ce sont ces terrains qui sont exploités
pour la production de matériaux alluvionnaires au Nord et à l'Est de la ville ;
Les sols alluviaux marins : Ils sont formés de dépôts récents ou sub-récents et
colonisés par la mangrove ; ils constituent l'essentiel de la bande côtière. Ce sont des
sols peu ou pas consolidés, qui affichent des textures variables selon les conditions
dans lesquelles se sont produits les dépôts : superposition ou juxtaposition de lentilles
vaseuses, sableuses ou graveleuses. De nombreux bras de drainage de la mangrove
(marigots) sont ainsi exploités pour la production de sables et graviers. Ces
formations sédimentaires (argiles, marnes, sables, grès…) ont une importante
proportion des sols hydromorphes. Le fait qu’elles absorbent peu l’eau et se saturent
assez rapidement en cas de pluies explique la quasi-permanence des filets et/ou
mares d’eau et des inondations en cas de pluies.
Le périmètre urbain est dominé par des complexes sablo-argileux. De manière plus spécifique,
la ville de Douala occupe deux types de terrains :
D’une part des terres basses sur alluvions récentes plus ou moins consolidées,
souvent riches en matières organiques ; ces sols ont une bonne aptitude à la rétention
d’eau, et correspondent généralement à des marécages ;
D’autre part des plateaux et des collines s’étant développés par des alluvions récentes
mal consolidées.
Les épaisseurs de ces couches peuvent varier de façon importante selon l’emplacement mais
sont généralement de plusieurs mètres.
2.5. Hydrographie
Le Wouri constitue l’exutoire final de toutes les eaux de Douala. Le périmètre urbain est drainé
par des rivières pour la plupart tributaires des fleuves Dibamba et Wouri : le Tongo Bassa, le
Mbanya, le Mboppi, la Bésséké, le Bobongo, le Mgoua, le Longmayagui et le Kambo sur la
rive gauche du Wouri, l'Epolo (encore appelé Bésséké) sur la rive droite du Wouri.
Les écoulements sont soutenus en permanence par une nappe sub-affleurante et sont
influencés par les marées du fait de sa situation en région côtière, le mouvement des marées
constitue un facteur susceptible d'influencer le fonctionnement des systèmes hydrauliques de
la zone d'étude. En effet, en période de marée haute, des biefs importants et les nombreuses
criques de la Dibamba et du Wouri sont envahis par les eaux de la mer. L'influence des marées
se fait sentir sur le fleuve Wouri jusqu'au-delà de sa confluence avec la Dibombé en amont de
la localité de Yassem.
Etat des lieux : visite sur place pour établir l’état des lieux, relever le métré des différents
sites à aménager ;
Mise en évidence des points forts et points faibles de chaque site à aménager ;
Définition des attentes des populations riveraines ;
Etude pédologique des différents sols pour plantation d’arbres, arbustes, fleurs et
gazon ;
Proposition détaillée sur le choix des végétaux à planter sur les différents sites du projet.
La plantation d’arbres d’ombrage est prévue le long des cheminements piétons aux abords
des drains à construire, conformément au profil type ci-dessus.
- Des gardes corps de type glissière de sécurité en raison de la proximité du drain avec
les habitations associées au risque de noyade ;
- Une piste piétonne en pouzzolane compactée et un revêtement en pavé pour le
cheminement piéton sur une largeur de 1,5 m à 2 m.
La plantation d’arbres d’ombrage est prévue le long de ces cheminements piétons.
Des prélèvements de sol sur plusieurs sites dans la ville de douala, ont été analysés et les
résultats ci-après obtenus (APVAZ-LABO) :
Horizon humifère 5-10cm, gris brun
Texture sablo argileux.
Horizon brun jaune epaisseur
variabl 10 à 50 cm.
Horizon forme d’un mélange de sol
Brun jaune.
Horizon humifère 5-15 cm, gris brun
Texture sableuse et argileuse.
Horizon brun jaune epaisseur
Variable 10 à 50 cm.
Horizon formé d’un mélange de
Sol Brun jaune et ocre
Figure 6 : Profil No 2 (Douala 5e)
Les profils observés présentent une succession d’horizons variés. Le premier est humifère,
sablo argileux, d’épaisseur faible et inférieur à 10 centimètres.
Le deuxième d’épaisseur variable, argilo sableux à argileux est de structure fondue.
Le troisième est formé d’un mélange de roches altérées et ferrugineuses, de concrétions
ferrugineuses arrondies. Elle est très fréquente et présente à une profondeur très variable.
N.B : Les profils sont presque identiques dans les arrondissements de Douala 1er, 2ème, et
4ème (voir bassin du Wouri)
Le choix va tenir compte des critères suivants : ombrage, décoratif par la floraison et le
feuillage, adaptation au sol et au milieu, tolérance aux embruns marins et au climat littoral.
Arbres d’ombrage à feuillage dense sans floraison particulaire : Terminalia mentaly,
Terminalia catappa, Eucalyptus deglupta (tolère les sols pauvres), Ficus benjamina, Polyalthia
longifolia.
Arbres d’ombrage à floraison saisonnière : Lagerstroemia speciosa (voir rue ancienne
mairie Douala 1er), Delonix regia (Flamboyant), Tulipier du Gabon (voie coulée verte de la
présidence à Bonanjo).
Arbres fruitiers décoratifs par les fleurs et fruits : Mangifera indica (Manguier), Dacryodes
edulis (Safoutier), Persea americana (avocatier).
Arbustes ornementaux : Lagerstroemia indica, Calliandra haematocephala (trois couleurs),
Clerodendron thomsoniae, Ixora coccinea (double 3 couleurs), Gardeia tamitensis,
Malvaviscus arboreus (hibiscus plusieurs couleurs), Caesalpinia pulcherrima (Orgueil de chine
plusieurs couleurs), Laurus nobilis (laurier rose).
Palmiers ornementaux : Palmier royal, palmier métis, palmier cariota.
Palmier à huile, Cocotier.
Remarque : le choix des arbres fruitiers (manguier, safoutier, avocatier et le cocotier) pour la
délimitation des différents aménagements réside non seulement dans la recherche d’une plus-
value (fruit) de motivation des différents comités de gestion destinée à la pérennisation de
l’équipement. Dans la mesure du possible, il est préférable d’opter pour des plantes greffées
avec comme avantage le caractère moins envahissant (-4m d’hauteur), la facilité d’entretien,
la qualité des fruits et un meilleur délai de productivité.
Le tableau ci-après présente la liste des principales espèces par type d’aménagements.
- Ils peuvent atteindre - C'est un excellent arbre pour - Ils sont réservés aux grands
une hauteur de 14 à faire de l'ombre ; espaces ;
20 mètres. - Sa durée de vie est - Ils poussent sur des sols frais et
- Ils possèdent une relativement longue ; préfèrent une exposition semi-
couronne en forme de - Sa valeur décorative résulte ombragée ;
parasol. surtout de la senteur.
Terminalia catappa
Parc humide
- S’adapte bien au climat local - L'eucalyptus apprécie un sol
et demande peu d’entretien ; acide et riche en humus, normal à
- Leur feuillage, persistant chez sec ;
la plupart des espèces, est très - Il s’accommode d’une exposition
parfumé, ce qui éloigne les au soleil ou à mi-ombre, à l’abri
moustiques ; des vents forts ;
Peut mesurer entre Très facile à cultiver, il ne - Inhibe la croissance des plantes
10 et 90 mètres de demande pas d’entretien : voisines.
haut à l’âge adulte. aucune taille et aucun apport - Leur feuillage ne doit pas être
d’engrais ne sont nécessaires. utilisé pour le paillage ou le
Cet arbre résiste bien à la compost car il est toxique aux
plupart des maladies ; autres plantes ;
-Les eucalyptus assèchent les - Réclame une grande
sols dans lesquels ils sont consommation en eau pouvant
plantés. atteindre 300l/jour asséchant
Eucalyptus deglupta ainsi les nappes.
Polyalthia longifolia
Arbre à mâture ou arbre mât.
7.1.1.1.Texture
A défaut de spécification particulière, la texture du sol ne peut être prélevée à plus de 30 cm
de profondeur. La texture granulométrique de la terre arable doit respecter les conditions
suivantes dans le triangle granulométrique (la somme de ces trois fractions égalant toujours
100 %) :
Sables : < 82,5 % Limons : 15 à 85 %
Argiles (passant < 0,002 mm) : < 25 %
Cela signifie que les textures du sol « argileux lourd » ou « sableux » ne peuvent être
acceptées.
En cas de manquement à ces exigences concernant la texture, la terre arable est refusée et
doit être remplacée par de la terre qui satisfait aux exigences mentionnées.
7.1.1.2.Taux d'humus
Celui-ci varie suivant la texture du sol et doit représenter au minimum les taux suivants :
- Dans le sol limoneux ou argilo-sableux : 4,3 % ;
- Dans le sol sablo-limoneux : 2,6 % ;
- Dans le sol argileux : 3,4 %.
Si l'analyse de l'humus révèle un écart inférieur à 1 %, la différence pourra être compensée
par un apport de 100 litres de tourbe noire par m³ de terre et de 10 kg d'engrais organique
contenant au moins 5N, 6P, 7K. La tourbe et la terre seront intimement mélangées.
Une variation de plus de 1 % vers le bas du taux d'humus induit le refus de la terre arable.
7.1.1.3.Acidité
L'acidité de la terre arable varie et doit se situer, pour le pH (H2O), dans les zones optimales
suivantes :
- Dans le sol limoneux ou argilo-sableux : 5,5 – 6,4 ;
- Dans le sol sablo-limoneux : 5,9 – 7,2 ;
- Dans le sol limoneux : 6,5 – 7,6 ;
- Dans le sol argileux : 6,5 – 8,0.
Si le taux d'acidité diffère jusqu'à une unité de pH vers le bas, la différence doit être compensée
par une valeur neutralisante en rapport avec la texture de la terre arable.
Une variation en moins de plus d’une unité de pH entraîne le refus de la terre et son
remplacement.
7.1.1.4. Pureté
La terre arable livrée ne peut pas contenir des pierres d'un diamètre supérieur à 15 mm pour
les engazonnements et supérieur à 40 mm pour les plantations, ni déchets quelconques ou
éléments phyto-toxiques, ni végétaux nuisibles : chiendent, orties, renouées du Japon, etc.
7.1.1.5.Conformité
L'échantillonnage se fait contradictoirement avant l'épandage et l'apport éventuel
d'amendement. La quantité prélevée doit être représentative pour la terre arable
fournie. La terre arable qui n'est pas conforme est refusée.
7.1.2.2.Fumier séché
La dénomination du fumier doit indiquer l’(les) espèce(s) animale(s) dont il provient. Ce produit
est obtenu par déshydratation thermique et est constitué exclusivement par les excréments
solides et liquides d’animaux et éventuellement de la litière.
Il doit contenir au moins 40 % de matières organiques.
7.1.2.4.Compost
Le degré de décomposition des matières organiques doit être d’au moins 50 %. Le résidu de
calcination de l’extrait aqueux de la matière sèche est au maximum de 1,5 % de la matière
sèche.
Le compost d’écorces de bois feuillus est obtenu par le compostage d’écorce de bois feuillus
et doit contenir au moins 40 % de matière sèche, laquelle doit être constituée d’au moins 55%
de matières organiques. La teneur en chlore de la matière sèche est au maximum de 0,025%.
La capacité d’absorption d’eau après séchage est au moins égale à 5 fois la teneur en matières
organiques de la matière sèche.
Le compost d’écorce d’arbres résineux est obtenu à partir d’écorces d’arbre résineux enrichies
en éléments fertilisants adéquats et compostées dans des conditions telles que les résines
phyto-toxiques sont décomposées. Il doit contenir au moins 30 % de matière sèche, laquelle
doit être constituée d’au moins 70 % de matières organiques. La teneur en chlore de la matière
sèche est au maximum 0,1 %. La capacité d’absorption d’eau après séchage est au moins de
150 g par 100 g de matière sèche.
7.2.2. Arbustes
Les arbustes doivent être fournis en conteneurs (pots) dont les dimensions sont de minimum
7,5 litres pour des plantes de 60/80 cm de hauteur ; 10 litres pour des dimensions de 80/100
cm ; 15 litres pour des dimensions 100/125 cm. Les racines devront être bien développées,
saines, uniformément réparties dans l'ensemble du pot, le chevelu racinaire ne peut se
développer en dehors ni être sectionné pour la livraison.
présentent sur site qui auront été amendées dans le cadre du poste amendements ci-après.
La terre doit former une cuvette au pied de la plante, afin de retenir les eaux d'arrosage à
l’exception des fruitiers sensibles au pourrissement des racines.
Par temps sec à la plantation, l'ensemble des plantes est copieusement arrosé. La finition du
remplissage n'est effectuée que lorsque l'eau est entièrement absorbée.
De manière synthétique les grandes lignes à suivre sont :
Chronogramme
Activités Action à mener Description J F M A M J J A S O N D
Descendre sur le terrain pour le choix définitif des sites
Prospection et reconnaissance des sites
à aménager
Délimitant les sites à reboiser
Délimitation des sites
Relever des coordonnées des points limites
Descente et sélection des plants auprès des
Commande
fournisseurs (pépiniéristes)
Défrichement Couper à blanc et toc toutes les herbes et la défriche
Rechercher et couper les piquets de 1.5 m de haut,
badigeonner l’extrémité supérieure par une peinture à
huile rouge
Piquetage Placer les piquets à l’aide d’une ficelle à écartement
convenu
Creuser les trous aux dimensions indiquées ci-dessus
Trouaison
à l’emplacement des piquets
Préparation Transport et distribution des plants Poser les plants à coté de chaque trou
du terrain et Déchirer le sachet et mettre le plant dans le trou ;
plantation Boucher le trou en commençant par la terre de surface
Mise en terre Tasser le trou en laissant 5 cm sur le collet
Conserver le sachet pour destruction ultérieure
Remettre le piquet à côté du plant
Pose des outils de protection Placer les plaques signalétiques au niveau des points
stratégiques
Entretien Réouverture des lignes de plantation Rabattre le recru herbacé et sarcler autour des plants
Remplacement des mauvais plants et des Compter les arbres plantés
Regarnis morts Remplacer les garnements et morts
Visiter les sites de plantation
Prendre les paramètres qualitatifs et quantitatifs de la
Suivi Descente de terrain dynamique des peuplements
Faire l’état des lieux