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Un un en et d’un de
et par
d’un :
La d’un vu en donne de en
Vue de gauche :
L’observateur se porte à gauche de l’objet et dessine l’objet à droite de la vue principale tel que
défini ci-dessus.
Vue de droite :
L’observateur se porte à droite de l’objet et dessine l’objet à gauche de la vue principale tel que
défini ci-dessus.
Vue de dessus :
L’observateur se porte au-dessus de l’objet et dessine l’objet en dessous de la vue principale tel que
défini ci-dessus.
Vue de dessous :
L’observateur se porte en dessous de l’objet et dessine l’objet au-dessus de la vue principale tel que
défini ci-dessus.
Vue de derrière :
L’observateur se porte derrière l’objet et dessine l’objet au de-là d’une des vues placées autour de
la vue principale tel que défini ci-dessus.
1-
2- du :
de méthode cartouche
3- du :
de méthode cartouche
vues p
Du p d d : Un peut être par
m :
− Ne nom
− de et
− et
−
−
− D’une manière générale : une vue placée à gauche d’une autre est vue du côté droit de cette
autre. Une vue placée à droite, au-dessus, au-dessous d’une autre est vue du côté gauche,
du dessous, du dessus de cette autre.
d u d’un :
− :
Le nombre de au pour
L’emploi des vues particulières dont il va être question ci-dessous, celui des sections et des coupes,
permet dans de très nombreux cas de rendre le dessin plus clair, tout en réduisant le travail matériel
du dessinateur.
cet
Vue de
Vue de
Vue de C
m :
Pour un de forme de en et
de à vue de face.
− :
• Méthode de du
• à cartouche.
− :
de vue.
− :
NEF 04-506 m
La vue d’une pièce obtenue suivant la procédure définie dans ce chapitre est appelée « vue en vraie
grandeur » ou vue à l’échelle 1 :1.
Pour des raisons d’encombrement, l’ensemble du dessin peut être exécuté en le réduisant dans une
proportion qui constitue son « échelle de réduction ».
Pour que des petites formes soient plus compréhensibles il peut être agrandi dans une proportion
qui constitue son « échelle d’agrandissement » (ou d’amplification).
Employer, autant que possible l’échelle 1 (vraie grandeur), à défaut employer les échelles :
Les échelles non soulignées ne figurent pas sur les normes ISO. Elles sont surtout employées dans
les dessins d’architecture et dans les dessins de mécanique en relation avec le bâtiment.
Lorsque la représentation d’un détail figure à plus grande échelle que le dessin principal, les vues de
ce détail doivent être encadrées et leur échelle répétée dans le cadre.
− du :
normaux ou
− :
du format en
méthode de
− :
par de
être par
− au :
Gommer
fort pour et
pour et
pour
de etc.
Exercices d’applications :
Toutes les surfaces sont supposées planes (sauf 10-11-12-13) et les trous débouchants. Pour les
exercices suivants (1 à 11), déterminer et tracer les vues manquantes, compléter au besoin les vues
connues et si possible tracer la perspective.
14
Evaluation :
Toutes les surfaces sont supposées planes et les trous débouchants. Pour les exercices suivant (12
et 13), déterminer et tracer les vues manquantes, compléter au besoin les vues connues sur format
A4 vertical avec cartouche d’inscription
b) Vues partielles :
Vues partielles proprement dites : Lorsqu’une partie seulement d’une pièce nécessite pour la
représentation de ses formes une vue supplémentaire (faite dans l’une des directions de la
méthode usuelle), les autres parties placées à côté de cette partie peuvent être omises soit
qu’il soit utile de l’indiquer.
La vue partielle est limitée par une brisure.
Vues interrompues : dans le cas de formes longues de section constante, on peut se borner,
pour gagner de la place, à la représentation des parties essentielles de la pièce permettant à
elles seules de la définir. Les parties conservées limitées par des brisures, sont rapprochées
les unes des autres.
Vue partielle de pièces symétriques : lorsqu’ ‘une pièce possède un plan de symétrie ou deux
plans de symétrie perpendiculaires, une demi-vue ou un quart de vue peut remplacer une vue
complète. Les axes de symétrie de la vue sont repérés à leurs extrémités ou encore les arêtes
sont légèrement prolongées au-delà de l’axe sans figuration d’une brisure. Dans le même
ordre d’idées, les figures 12 et 13 sont sans ambiguïté.
Vues obliques : lorsqu’une vue est observée dans une direction oblique par rapport à l’une
des six directions principales définies plus haut, la direction d’observation est indiquée par
une flèche repérée par une lettre et la vue est désignée. Une vue oblique est toujours une
vue partielle. S’il en était autrement c’est que la pièce aurait été mal disposée par rapport aux
directions principales d’observation.
Une vue oblique de représenter sans le déformer, des surfaces obliques.
Vues locales : une vue suivant flèche qui n’intéresse qu’un détail est une vue locale. Elle est
strictement limitée au détail à l’exclusion de toute forme placée à côté ou en arrière de lui.
Elle est obligatoirement placée selon la méthode du 3è dièdre. Flèche et repères sont inutiles.
Méthode des ‘’ flèches repérées’’ : il peut aussi arriver que de nombreuses vues dans
différentes directions soient utiles et que pour des raisons d’encombrement, par exemple, il
soit nécessaire de les disposer sans tenir aucun compte des règles de la méthode usuelle.
Pour chacune de ces vues, une flèche placée sur la vue principale (et pouvant même l’être sur
une autre) indique le sens d’observation. Elle repérée par une lettre majuscule écrite à côté
de la flèche et orientée dans le sens normal de lecture de dessin. Cette lettre est repérée au-
dessus de la vue correspondante dessinée dans une région quelconque de la feuille.
Cette méthode dite « des flèches repérées » est nouvelle, est d’application très générale. Mais
elle peut provoquer des difficultés de lecture et ne doit donc être utilisée que lorsqu’elle
présente des avantages certains. Elle n’a pas de symbole.
Sur de très nombreuses pièces de moulage, la présence de congés et d’arrondis supprime un grand
nombre d’arêtes. Ainsi toutes les arêtes fictives sont représentées en trait continu fort chaque fois
que cela est possible et s’il se peut, à quelques millimètres des extrémités de l’arête ou du contour
apparent réel auquel ils se substituent.
a) Plan de coupe :
Il est indiqué dans une vue adjacente.
Il est matérialisé par un trait mixte fin (« trait d’axe ») renforcé par deux traits forts courts aux
extrémités de l’axe.
Le sens d’observation est indiqué par deux flèches (en traits forts) orientées vers la partie à
conserver. Les extrémités « touchent » les deux traits forts courts.
deux lettres majuscules (AA,BB…) servent à la fois à repérer le plan de coupe et la vue coupée
correspondante. Ces indications sont particulièrement utiles lorsque le dessin comprend
plusieurs vues coupées. S’il n’y pas d’ambiguïté sont parfois omises.
b) Hachures :
Les hachures apparaissent là où la matière a été coupée par le plan imaginaire.
Elles sont tracées en trait continu fin et sont de préférence inclinées à 45 (dans le cas où un seul
objet est coupé) par rapport aux lignes générales du contour.
Elles ne traversent pas ou ne coupent jamais un trait fort.
Elles ne s’arrêtent jamais sur un trait interrompu court.
Le motif des hachures ne peut en aucun cas préciser la nature de la matière de l’objet coupé.
Cependant, sur les dessins d’ensembles en l’absence de nomenclature, les familles de matériaux
(ferreux, plastique, alliages légers…) peuvent être différenciées par les motifs d’emploi usuel.
b) Des pièces ou des objets différents appartenant à un même ensemble en coupe doivent avoir
des hachures différentes : inclinaisons différentes et au besoin motifs différents.
c) On ne coupe jamais les pièces de révolution pleines (cylindriques ou sphériques telles que
axes, arbres, billes…), les vis, boulons, écrous, rivets, clavettes.
3.3. Demi-coupe :
Les vues en demi-coupe sont particulièrement intéressantes dans le cas des pièces symétriques.
1 – Principe :
Dans ce mode de représentation la moitié de la vue est dessinée en coupe, afin de définir les
formes et les contours intérieurs, alors que l’autre moitié reste en mode de représentation
normal pour décrire les formes et les contours extérieurs.
2 – Règles :
Elles sont les mêmes que pour les coupes normales, l’indication du plan de coupe est inchangée.
Les deux demi-vue sont toujours séparées par un axe de symétrie, trait mixte fin l’emportant
sur tous les autres types de traits.
3.4. Coupes partielle :
Il arrive fréquemment que l’on ait besoin de définir uniquement un seul détail (un trou, une
forme particulière etc.) du contour intérieur. Il est alors avantageux d’utiliser une coupe partielle
plutôt qu’une coupe complète amenant trop de tracés inutile . l’indication du plan de coupe et
inutile dans ce cas .
III.3. Section
En dessin une section d’une forme est ce qu’en géométrie on appelle une section sortie, c’est-
à-dire la surface obtenue en coupant cette forme par un plan perpendiculaire à son axe. (A
défaut d’axe le plan perpendiculaire à une direction privilégiée de la forme).
On peut les considérer comme des vues complémentaires ou auxiliaires. Elles se présentent
comme une variante simplifiée des vues en coupe et permettent de définir avec exactitude une
forme, un contour, un profil en éliminant un grand nombre de tracés inutiles.
Les sections sont définies de la même manière que les coupes : plan de coupe, flèches, etc.
L’emploi de sections pour déterminer des formes est commode lorsque ces formes,
généralement allongées :
Sont de section constante : on dessine leur section ;
Ont une allure générale pyramidale : on dessine deux sections situées vers leurs extrémités (ou
une section dont on indique les proportions si celles-ci sont constantes ;
Sont limitées par des surfaces gauches : on dessine des sections successives.
Règles normalisées de réalisation d’une section
1 – Principe :
Dans une coupe normale toutes les parties visibles au-delà (en arrière) du plan de coupe sont
dessinées. Dans une section, seule la partie coupée est dessinée (là où la matière est réellement
coupée ou sciée).
2 – Sections sorties :
Elles sont dessinées, le plus souvent, au droit du plan de coupe si la place le permet. L’inscription
du plan de coupe peut être omise.
3 – Section rabattues :
Ces sections sont dessinées en traits continue fins (pas de traits forts) directement sur la vue usuelle
(en superposition). Pour plus de clarté il est préférable de gommer ou d’éliminer les formes de
l’objet vues sous la section ; si ces formes sont nécessaires, préférer une section sortie. L’indication
du plan de coupe est en général inutile.
Exercices 3-6-9 : faire une demi-coupe. Exercices10-12-16-18 : faire une coupe brisée. Exercice 17 :
faire les sections sorties.
Définitions
− Ligne droite: La ligne droite est le plus court chemin d’un autre. Deux points suffisent donc
pour définir une droite.
− Segment de droite: C’est la portion de droite comprise entre deux points.
− Demi-droite: La demi-droite est la droite limitée dans un seul sens.
− Angles: Est formé par deux demi-droite issues d’un même point.
− Perpendiculaires: Deux droites sont perpendiculaire lorsqu’elles déterminent un angle droit
− Médiatrice: Le médiatrice d’un segment est la perpendiculaire issue du milieu de ce
segment.
− Parallèles: Deux droits parallèles sont perpendiculaire à une même troisième droite.
PERPENDICULAIRE A UN SEGMENT
De C et D comme centre décrire des arcs de rayons égaux sécants en A et A’. On a AC =AD et A’C =A’D. La
perpendiculaire au milieu de CD est AA’, cette perpendiculaire s’appelle médiatrice
DEFINITIONS
La circonférence: La circonférence est une courbe plane fermée. Dont tous les points sont à égales
distance (rayon) d’un point fixe appelé centre. Longueur de la circonférence: L = 2πR. R: rayon
Cercle: Le cercle est la surface plane limité par la circonférence. Aire du cercle S = πR2
Bissectrice: La bissectrice est la demi-droite issue du sommet d’un angle et le partageant en deux
angles égaux (fig. 5)
Division de la circonférence: La division de la circonférence est utilisée dans la détermination :
− des angles,
− des polygones réguliers.
Le segments MN, NP, MR sont des cordes MP, MR, sont des diamètres MON=POR, angles au centre
opposés par le sommet RMP=RNP angles inscrits sous-tendant l’arc PR. MRN=RNP, angles inscrits
sous- tendant des arcs égaux.
BISSECTRICE
a) Point de concours accessible. Tracer (O ; ROM). la médiatrice de MN est la bissectrice de xOy.*
b) Point de concours inaccessible .Tracer D’1 et D’2 respectivement parallèles à D1 et D2 et sécantes
en O. on retrouve le cas précédent.
Droite et circonférence
Ovale
l’ovale est une courbe plane, fermée, composée de quatre arcs de circonférence
tangents, possédant deux axes de symétrie.
- Ovale défini par le petit axe (Fig.1).
- Ovale défini par le grand axe (Fig.2)
décrits.
Ovale (grande axe) Diviser TR en trois parties égales. Tracer les circonférences (A ;RTA) et (O ; RRO)
sécantes en L et U. Joindre et prolonger LA, LO, UA et UO, afin de définir les points de tangence R, J,
Y et E
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3.5. PERSPECTIVES
1) Caractères généraux
− La perspective exacte ou d’observation : qui est une projection conique. Elle est utilisée
dans les représentations artistiques et rarement dans l’industrie ;
− Les perspectives industrielles : ce sont des projections cylindriques (projetantes
parallèles). Selon la position de la pièce et la direction d’observation on obtient :
Une perspective cavalière
Une perspective axonométrique.
2) perspective cavalière
au de
; α dépend de ; pour
de ou .
3)
- La
:α égaux.)
:α (deux égaux.)
:α (aucun
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