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Email : ettaki.m.a@gmail.com
ENCADRANT UNIVERSITAIRE :
Mr. MASSIF NOURDDINE
Nous tenons à exprimer, au terme de ce travail, nos sincères remerciements à toutes les
personnes dont l’intervention, de près ou de loin au cours de ce projet, a favorisé son
aboutissement.
Ainsi, nous remercions vivement notre encadrant Mr. MASSIF NOURDDINE, le responsable
de la formation MASTER EN INGENIERIE DU BATIMENT, DES TRAVAUX PUBLICS ET
TOPOGRAPHIE à la faculté des sciences l’Université Ibn Tofail Kenitra, qui n’a ménagé ni
son temps ni son effort pour nous aider à élaborer ce travail dans les meilleures conditions.
Nous lui sommes très reconnaissants pour ses conseils fructueux qu’il n’a cessé de nous
prodiguer.
3. RÉSULTAT
En termes de matériaux
4. PRINCIPES DE CONSTRUCTION
a) Aération et éclairage
b) Renouvellement de l’eau
c) Conditions d’exploitation
5. EXIGENCES TECHNIQUES
a) Caractéristiques géométriques
b) Caractéristiques des matériaux
1. Béton
2. Aciers
c) Hypothèses de calcul
d) Pré-dimensionnement
e) Modélisation sur ROBOT :
1. Dalle Sup. et Inf.
2. Voiles
3. Poteaux
4. Semelles
III. Conclusion
I. Dimensionnement de Systèmes de Pompage solaire
Photovoltaïque
1. INTRODUCTION
Beaucoup de populations dans les zones rurales du pays affrontent de grands problèmes dus au déficit en
eau. Ces problèmes sont spécialement accentués dans zones désertiques et semi-désertiques. Le déficit en eau
dans les zones arides et semi-arides est une question vitale pour les populations. L’amélioration des conditions
de vie dans ces zones est liée à la recherche des solutions adéquates à ce problème. Le pompage solaire
photovoltaïque (PV) représente la solution idéale pour l’approvisionnement en eau.
C’est le cas de la zone rural de la ville de Tata situé au sud du Maroc :
Coordonné géographique : 29° 44' 45.682" N 7° 58' 7.178" W
Eh = g a Va h / 3600
où
Durant le processus de pompage, le niveau d’eau à l’intérieur du puits tend à baisser, jusqu’à ce que la
vitesse avec laquelle la régénération du puits arrive à équilibrer la quantité pour que l’on puisse pomper l’eau de
nouveau. L’abaissement du niveau d’eau dans le puits dépend d’un certain nombre de facteurs, comme le type
et la perméabilité du sol et l’épaisseur de l’aquifère.
La hauteur totale de pompage est la somme de la hauteur statique et de la hauteur dynamique :
h = hs + hd
Dans le cas de puits qui présentent des variations importantes du niveau d’eau en fonction du débit, on peut
ajouter un terme correctif et cette équation devient :
où
La hauteur statique hs est la distance entre le niveau statique de l’eau dans le puits jusqu’au point le plus
élevé auquel on doit pomper l’eau.
La hauteur dynamique hd représente les pertes d’eau dans la tuyauterie. La formule de Darcy-Weisbach [6]
permet le calcul de la hauteur dynamique :
où
Dans le cas où le système de tuyauterie aurait un autre type d’accessoires (vannes, coudes, tés, jonctions,
nous pouvons calculer les pertes de charge dans chaque élément additionnel comme :
Où
Dans le tableau 1, on donne une série de valeurs de Kac pour différents accessoires.
Une autre méthode pour tenir compte des accessoires du circuit est d’ajouter à la longueur réelle de la
tuyauterie (seulement pour effet de calcul) des longueurs de tubes de même diamètres que le conducteur en
étude, capables de causer les mêmes pertes de charge occasionnés par les pièces qu’elles substituent. De cette
façon, n’importe quel accessoire peut être substitué par une longueur fictive. En général, on recommande que
la hauteur dynamique ne dépasse pas 10 % de la hauteur totale de pompage.
2.3 Détermination de l’énergie solaire disponible :
La méthode de dimensionnement utilisée est basée sur les calculs des valeurs moyennes journalières
mensuelles de l’irradiation solaire disponible et de l’énergie hydraulique nécessaire.
2.4 Inclinaison du générateur photovoltaïque :
L’inclinaison des modules photovoltaïques (PV) par rapport au plan horizontal doit se faire de manière à
optimiser le rapport entre l’irradiation solaire et l’énergie hydraulique nécessaire.
Inclinaison optimal et distance minimal entre les ronds des panneaux :
Comme idée de principe, à chaque inclinaison , correspond un mois le plus défavorable. Le mois de
dimensionnement à l’inclinaison optimale sera précisément celui qui présente le plus petit rapport entre
l’irradiation solaire et l’énergie hydraulique. L’irradiation solaire Gdm( ) et l’énergie hydraulique nécessaire Eh
correspondantes à ce mois serviront pour le choix des composantes du système.
où
Pp : puissance de sortie sous CSM (W)
g : rendement du générateur à la température de référence (25 °C)
A : surface active du générateur (m2)
Gce : éclairement dans les CSM (1000 W/m2)
Ee = PV A Gdm ( )
où
PV = [
Fm 1 (T c Tc,ref )] g
où
Fm : facteur de couplage, défini comme le rapport entre l’énergie électrique générée sous les conditions
d’explotation et l’énergie électrique qui se générerait si le système travaillait au point de puissance maximum.
: coefficient de température des cellules. prend des valeurs entre 0,004 et 0.005 /°C pour des modules au
silicium mono et polycristallin, et entre 0,001 et 0,002 pour des modules au silicium amorphe.
L’énergie électrique nécessaire est liée avec l’énergie hydraulique par l’expression :
Où
En substituant les équations (7), (8) et (9) dans (6), nous obtenons pour la puissance crête du générateur :
(9.81m/s2)
h : hauteur manométrique totale (m)
La puissance hydraulique crête (Ph) nécessaire en fonction de la puissance électrique crête fournie par le
générateur photovoltaïque (Pe) est donnée par :
Ph = Pe MB
où
Le diamètre le plus économique sera celui qui réduit au minimum la somme des coûts de la tuyauterie et de
l’énergie perdue par frottements [9]. Il est possible d'obtenir analytiquement les diamètres des tuyauteries de
pompage qui s’approximent à ceux qui minimisent les coûts des installations par la formule de Bresse [7] :
Choisir la valeur K équivaut à fixer la vitesse moyenne du fluide( v ). Enfin en substituant dans l’équation de
continuité la valeur de Q prise de la formule de Bresse, nous avons :
Quelque soit la formule employée, les diamètres obtenus diffèrent fréquemment des diamètres
commerciaux. Il suffit de prendre la valeur du diamètre commercial le plus approche et d’ajouter les calculs en
conséquence.
3. RÉSULTAT :
Ee : l’énergie électrique
Pc : la puissance crête
Nm : nombre de panneaux
Pc unitaire : 270 Wc
IO50 :
CU 200 :
II. Dimensionnement du réservoir en Béton Armé :
1. INTRODUCTION :
Ils permettent essentiellement de réguler la pression et le débit entre la phase de production (du
forage vers le stockage) et la phase de consommation (du stockage à la consommation). Leur rôle est
d'emmagasiner l'eau lorsque la consommation est inférieure à la production et de la restituer
lorsqu’elle en devient supérieure. Les réservoirs sont présents notamment dans les réseaux
d'adduction et d'assainissement.
Ce type de réservoir est généralement employé lorsque le réservoir est construit à même la station de
traitement de l’eau ou lorsque le site est suffisamment élevé afin d’assurer une pression adéquate par
gravité pour le réseau desservi. Lorsque construit à même la station de traitement de l’eau, le
réservoir sera généralement utilisé en combinaison avec une station de pompage de type « haut
niveau » qui assure un débit et une pression convenables au réseau de distribution.
Réservoir souterrain
Réservoir semi-enterré
b) Réservoir surélevé :
Lorsqu'il n'y a aucun site ayant une élévation suffisante pouvant assurer des pressions adéquates dans
le réseau de distribution à partir d'un réservoir souterrain, on utilise parfois un réservoir élevé. Ce
type de réservoir est supporté par des piliers et s'utilise dans les mêmes conditions qu'un réservoir
cylindrique, sauf que la hauteur requise pour assurer une pression adéquate est généralement élevée.
Réservoir surélevé :
En termes de matériaux :
En ce qui concerne la structure, la forme peut être de différents types : on peut avoir des châteaux
cubiques, cylindriques ou coniques. Généralement, on opte pour des châteaux de formes
cylindriques mais leur construction est difficile de par le fait qu’elle requiert de nombreuses
exigences en termes de qualité. C’est pour cette raison que de nos jours, les petites localités
privilégient les autres formes.
Dans cette sous-partie, nous avons détaillé les avantages et inconvénients principaux des
différents types de réservoirs.
Avantages :
Inconvénients :
Avantage:
Difficile à entretenir
Frais d’entretien et de maintenance élevés
Mise en œuvre difficile
Les résines s'appliquent sur des supports (en béton par exemple) et assurent l'étanchéité du
bassin. La résine polyester sur support de fibres de verre présente de nombreux avantages en termes
de réalisation, solidité, fiabilité mais également en termes de prix de revient et de technicité à la pose.
Avantages :
Inconvénients :
Coût très élevé de la résine polyester / fibre de verre (fournitures et temps de réalisation),
Température de pose de la résine polyester / fibre de verre comprise entre 15 et 25 degrés et
par temps sec
Mise en œuvre difficile (elle doit être réalisée par un professionnel)
En se basant sur les aspects cités ci-dessus, nous adopterons dans le cadre
de ce projet un réservoir en béton armé surélevé.
3. EQUIPEMENTS DU RÉSERVOIR :
Chacun des compartiments d’un réservoir doit être muni d’une conduite d’alimentation, d’une
conduite de distribution, d’une conduite de vidange et enfin, d’une conduite de trop-plein. Les
dispositions spéciales qui peuvent être prises pour constituer la réserve incendie ne modifient en rien
ces principes ; ce ne sont que des aménagements de détail.
A noter que les traversées des parois des réservoirs par les diverses canalisations s’effectuent à l’aide
des gaines étanches.
Figure : Equipement d’un réservoir d’eau potable
L’adduction s’effectue soit par sur verse, soit en chute libre, soit en prolongeant la conduite de façon
que son extrémité soit toujours noyée. L’adduction peut aussi s’effectuer par passage à travers le
radier.
L’arrivée en chute libre provoque une oxygénation de l’eau, ce qui peut être favorable pour des eaux
souterraines, ordinairement pauvres en oxygène dissous.
Techniquement, l’arrivée par surverse permet d’avoir, pour l’arrivée de l’eau, une altitude constante
définie par le niveau supérieur N de la crosse d’arrivée.
En adduction par refoulement, les pompes travaillent ainsi sous hauteur constante et le débit est
également constant, puisque Q et H sont liés. Cette disposition est d’autant plus sensible que la
hauteur d’élévation est faible En adduction gravitaire, le débit peut aussi rester constant si la cote de
départ reste fixe.
L’arrivée en chute libre, par l’aération qu’elle produit, peut, pour certaines eaux, détruire l’équilibre
carbonique qui s’était établi au sein du liquide et précipiter le calcium, d’où entartrage. Dans ce cas,
l’arrivée noyée trouve sa justification. Elle présente toutefois un inconvénient : en cas d’accident sur la
conduite de refoulement, le réservoir se vide par siphonage. Il peut y être remédié en disposant un
clapet sur l’arrivée au réservoir.
L’arrivée par surverse peut, également, s’effectuer par un simple tuyau vertical, supprimant ainsi le
coude du sommet. C’est la disposition que l’on adopterait dans le cas d’un réservoir important formé
de plusieurs compartiments juxtaposés ; on a ainsi une arrivée dite en pipe. L’eau pénètre alors dans
une bâche d’arrivée centrale de distribution peu profonde et la répartition entre les compartiments a
lieu soit par déversoir pour les compartiments contigus à la bâche, soit par conduite pour les plus
éloignés.
Certains techniciens préconisent une adduction par le fond du réservoir ; il en résulte une petite
économie sur les frais d’exploitation dans le cas d’une adduction par refoulement, la hauteur
d’élévation de la pompe étant fonction du niveau du plan d’eau dans a cuve. Celle-ci, par contre,
n’est plus alimentée avec un débit constant.
La conduite d’adduction, à son débouche dans le réservoir, doit pouvoir s’obstruer quand l’eau
atteint, dans la cuve, son niveau maximal : obturation par robinet-flotteur si l’adduction est gravitaire
ou dispositif permettant l’arrêt du moteur de la pompe si l’adduction se fait par refoulement tel que
(robinet flotteur + Pressostat) ou ligne pilote.
Ces robinets à flotteurs doivent être d’un type anti-bélier ; les soupapes et leurs parties sont en
bronze ou en métal inoxydable.
Dans les installations importantes, les robinets-flotteurs normalisés présentant des diamètres
insuffisants (Dmax=0.3m), il est prévu des vannes motorisées électriques en liaison avec le niveau de
l’eau dans la cuve.
b) Conduite de distribution :
La conduite de distribution doit être munie à son origine d’une crépine. Dans le cas d’une distribution
par gravité, une crépine simple est utilisée ; dans le cas d’une aspiration, il faut prévoir un clapet au
pied de la crépine.
c) Trop-plein :
Cette conduite doit pouvoir évacuer le surplus d’eau d’arrivée en cas de remplissage total du réservoir
(cas de non fermeture du robinet flotteur). Elle comprendra un déversoir situé à une hauteur h au
dessous du niveau maximal susceptible d’être atteint dans la cuve.
La canalisation de trop-plein débouchera à un exutoire voisin. Pour éviter une pollution ou une
introduction d’animaux ou de moustiques qui pourraient pénétrer dans le réservoir, un clapet doit
être ménagé dans la canalisation.
d) Vidange :
Elle part du point bas du réservoir (point le plus bas du radier, sa crépine est située dans la souille du
réservoir), afin de pouvoir évacuer les dépôts. Elle peutse raccorder sur la canalisation de trop-plein,
et comporte un robinet-vanne.A cet effet, le radier est réglé en pente vers l’orifice de la conduite, ce
dernier étant obturé à l’aide, soit d’une soupape de vidange, soit d’une bonde de fond.
La soupape de vidange, incongelable, est destinée à assurer la vidange des réservoirs dont le fond est
accessible.
La bonde de fond est destinée à assurer la vidange des réservoirs dont le fond est inaccessible.Elle
permet la vidange totale du réservoir en cas de besoin de nettoyage de la cuve ou d’intervention.
Figure By-pass
f) Robinets-vannes :
Dans chaque canalisation (arrivée, départ, vidange…) un robinet-vanne doit être prévu pour pouvoir
effectuer le sectionnement de chacune de ces conduites en cas de besoin.
g) Tuyauterie :
Pour la protection de la tuyauterie contre la corrosion, celle-ci doit être galvanisée.
h) Tampon de visite :
Rares sont les réservoirs au sol qui ne comportent pas un petit local accolé, la chambre des vannes,
dans lequel se feront les pénétrations des diverses canalisations- refoulement, distribution, trop-
plein, vidange- dans la cuve (ce qui permet d’ailleurs de surveiller l’étanchéité à ce niveau), à partir
duquel on accèdera à la cuve elle-même, tout accès direct par le dessus, par exemple, étant ainsi
éliminé. On peut y faire des prélèvements d’eau dans de bonnes conditions sanitaires, y installer un
dispositif de comptage ou de chloration.
4. PRINCIPES DE CONSTRUCTION :
Le sol de fondation doit faire l’objet d’examens approfondis, tant du point de vue de la capacité
portante que du drainage des eaux qu’il est normal de rencontrer dans les fouilles.
A cet effet, il sera prudent d’établir, sous les radiers, un drainage permanent vers des puisards
extérieurs où les venues d’eau provenant, soit du terrain, soit d’une mauvaise étanchéité des
maçonneries, pourront être surveillées. On peut également prévoir que toutes les faces du réservoir
seront visitables, en réservant des galeries de visite de pourtour, ainsi que sous le radier.
Si la couverture doit être supportée par des poteaux, ceux-ci pourront prendre appui directement sur
le radier ou, dans certains cas, sur des fondations établies sous celui-ci : le radier dans ce dernier cas
est indépendant de la couverture. Une étanchéité devra alors être réalisée au droit de la pénétration
du poteau dans le radier.
Le radier, lui-même, sera constitué par des dalles en béton armé coulées de façon telle que les côtés
n’excèdent guère une dizaine de mètres. Une étanchéité sera appliquée dans les joints de dalles ainsi
constituées. De cette manière, on évitera les fissures dues au retrait du béton et les petits tassements
pourront être permis sans dommage pour l’étanchéité.
L’étanchéité pourra être réalisée par l’utilisation de produits plastiques ne donnant pas de goût à
l’eau, et de bandes en caoutchouc incorporées au béton. Il n’est pas nécessaire que le mastic
d’étanchéité règne sur toute l’épaisseur de la dalle. Le fond du joint est constitué à l’aide d’un
matériau imputrescible et élastique, le mastic n’étant appliqué que sur 0.03 à 0.04 m de profondeur à
partir de la surface.
Cette étanchéité sera particulièrement soignée à la jonction avec les murs de pourtours et au droit des
joints de dilatation, qu’en tout état de cause on devra ménager, à moins d’utiliser le béton
précontraint.
a) Aération et éclairage :
Les réservoirs d’eau potable doivent être couverts. La couverture protège l’eau contre les variations de
la température et contre l’introduction de corps étrangers. Toutefois, les réservoirs doivent être aérés.
Des lanterneaux sont donc prévus avec des ouvertures protégées par du grillage en cuivre à mailles
finies pour protéger contre les poussières, insectes, animaux, et en particulier les oiseaux.
Il faut aussi limiter l’éclairage naturel de l’intérieur du réservoir, et éviter les entrées de liquides ou
solides à l’intérieur du réservoir.
Sur certains réservoirs importants sont installés des équipements pour le traitement de l’air (filtration,
déshumidification) afin d’éviter l’entrée de germes et la condensation sur les parois. Cette méthode
est toutefois un peu onéreuse en investissement et en coût d’exploitation et doit être réservée aux
grands réservoirs de stockage où les temps de séjour risquent d’être plus longs.
b) Renouvellement de l’eau :
Le renouvellement de l’eau dans les réservoirs est une condition nécessaire à la préservation de la
qualité de l’eau. Le chlore utilisé pour la désinfection se combine progressivement et son pouvoir
bactéricide disparaît, l’eau n’est plus alors protégée contre les pollutions susceptibles de provenir de
l’extérieur.
Que le réservoir soit sollicité par le réseau de distribution et qu’un volume entrant et
sortant significatif soit assuré tous les jours. Ceci n’est pas toujours le cas lorsque
plusieurs réservoirs sont raccordés sur le même réseau.
Qu’il n’existe pas de zone d’eau morte dans le réservoir.
Pour éviter ces zones d’eau mortes, deux façons sont envisageable.
La première, qui est peu onéreuse et qui donne de bons résultats, consiste à
organiser dans l’ensemble du réservoir, par des entrées convenablement conçues, un
mouvement tourbillonnaire aboutissant à un mélange aussi homogène que possible,
de l’eau entrant dans le réservoir avec celles s’y trouvant déjà.
La seconde façon pour éviter ces zones d’eau morte est d’essayer d’obtenir un
écoulement en masse de l’eau en cloisonnant le réservoir : réservoir en spirale,
cloisons entre poteaux, réservoir avec entrée et sortie étudiées sur modèle
hydraulique.
c) Conditions d’exploitation :
Les ouvrages doivent comporter de larges trappes d’accès pour le matériel, et en tant que de besoin,
des escaliers et passerelles de service.
Les conditions de sécurité lors des interventions d’exploitation ou d’entretien doivent faire l’objet
d’études toutes particulières s’appuyant sur les normes et la réglementation : échelles à crinoline,
mise en place de paliers sur les échelles de grande hauteur, ancrages pour harnais de sécurité, garde-
corps autour des trappes…).
Pour faciliter l’exécution des prélèvements nécessaires au contrôle des eaux, des robinets de puisage
doivent être piqués directement sur les conduites d’adduction et de distribution à proximité du
réservoir.
5. EXIGENCES TECHNIQUES :
Résistance : Le réservoir doit, dans toutes ses parties, équilibrer les efforts auxquels il est soumis.
Etanchéité : Il doit constituer pour le liquide qu’il contient un volume clos sans fuite. Il doit donc
être étanche.
Durabilité : Le réservoir doit durer dans le temps, c'est-à-dire que le matériau dont il est constitué,
doit conserver ses propriétés initiales après un contact prolongé avec le liquide qu’il est destiné à
contenir.
Enfin, le contact avec le béton du parement intérieur du réservoir ne doit pas altérer les qualités du
liquide emmagasiné. Le revêtement intérieur, s’il protège le béton sous-jacent doit aussi protéger le
liquide de l’influence du béton.
Les structures en béton assurant le rôle de barrière étanche (stockage intérieur de liquides, barrière
contre l'eau extérieure) sont soumises à de multiples sollicitations simultanées d'origine externe ou
interne (pression de liquide, pression du sol, température, retrait, tassements, ...).
Le matériau le plus couramment utilisé pour remplir cette fonction est le béton armé. Comme ce
dernier n'est pas à proprement parler étanche aux liquides, on lui associe bien souvent une deuxième
enveloppe (cuvelage secondaire pour garantir l'étanchéité aux substances dangereuses) ou un
revêtement externe ou interne.
Il existe trois sources de percolation à travers une structure en béton armé :
Les fissures éventuelles, lorsque les sollicitations de la structure sont telles que les contraintes de
traction générées sont supérieures à la résistance en traction du béton ;
Les éventuels joints incorporés dans la structure afin de limiter les risques de fissuration.
En voulant résoudre le phénomène de fissuration par la création de joints, on augmente les risques de
fuite. On estime que le débit de fuite est 10.000 fois plus grand au droit d'une fissure, voire même
10.000.000 fois au droit d'un joint fonctionnant mal, par rapport au débit de fuite susceptible de se
produire au travers d'une structure en béton. Il est dès lors conseillé d'agir graduellement lors de la
conception de la structure (formulation, calcul, conception et exécution des joints) en fonction de
l'étanchéité (relative) souhaitée.
On utilise pour l’étanchéité des voiles et la dalle du réservoir des procédés d’imperméabilisation à
la surface. Ces procédés s’appliquent sous forme de liquides et/ou de barbotines pénétrant dans
le béton sur une profondeur, ce qui lui confère l’étanchéité recherchée. Ils sont économiques et
durables, et conviennent très bien aux ouvrages soumis à des charges hydrauliques.
Pour les réservoirs, on applique un revêtement épais à base de mortier à liants hydraulique
adjuvanté d’un hydrofuge de masse ou d’une résine de synthèse.
i. Une couche d’accrochage : d’une épaisseur de 8 mm de mortier de ciment dosé à 600 Kg/m3,
auquel on ajoute un hydrofuge de masse, est appliquée sur la paroi interne du voile en béton
armé traitée et humidifiée ; ce qui permet l’accrochage du revêtement d’étanchéité.
ii. Une couche de dressage : d’une épaisseur de 8 à 10 mm de mortier de ciment hydrofugé dosé
à 600 Kg/m3 permet d’homogénéiser la surface du voile pour l’application de la couche de
finition.
iii. Une couche de finition : couche étanche hydrofugée dosée à 500 Kg du ciment, a une
épaisseur de 8 à 10 mm. Le dosage des adjuvants est fonction de leur type de l’imperméabilité
recherchée, ils sont sous forme liquide ou poudre et peuvent être incorporés aux sables et au
ciment, mais de préférence à l’eau de gâchage afin de permettre une bonne répartition.
Les mortiers doivent être bien composés avec des sables propres de granulométrie convenable :
0.1 mm à 2 mm ou 0.1 à 3 mm.
Classe A Classe B Classe C Classe D
Ouvrage dont l’étanchéité Ouvrage dont Ouvrage dont l’étanchéité Ouvrage construit à l’aide
est assurée par la structure l’étanchéité est assurée est assurée par un d’éléments préfabriqués
elle-même fc28 >= 25Mpa par la structure est revêtement d’étanchéité (les dispositions
Ft28 >= 2.1Mpa complétée par un (les structures n’ayant précédentes sont
revêtement qu’un rôle mécanique) applicables y compris pour
C > 350 Kg/m3 le traitement des joints de
d’imperméabilisation - Exemple : revêtement
Structure BA ou BP avec construction).
(écran intérieur plastique, élastoplastique
éventuellement adhérent mais ne appliqué à l’intérieur de la
incorporation d’hydrofuge résistant pas à une structure et supportant de
de masse ou de surface.
fissuration de ce dernier légères déformations et
: mortiers hydrauliques, fissurations du
hydrofuges, résines de support (membranes,
synthèse non armées). résines, armées).
Note : Les fuites ne doivent pas dépasser 500cm3 par jour et par mètre carré de paroi mouillée (en dehors des
variations de volume liées à l’évaporation) pour les ouvrages de classe A et 250 cm3 par jour et par mètre carré
pour les autres. Pour les bassins non enterrés, on considère cette condition remplie si l’on ne constate pas de
fuite. Une simple tâche n’est pas considérée comme une fuite.
6. ETUDE TECHNIQUE :
a) Caractéristiques géométriques:
1- Dimension en élévation :
Hauteur total du bâtiment : 6.00m
Hauteur du réservoir : 3.00m
2- Dimension en plan:
Lx= 4m
Ly= 4m
Le matériau utilisé pour la réalisation de ce projet est le béton armé. C’est le matériau le plus
couramment utilisé pour ce type de construction en raison des possibilités de forme réalisables avec
le béton mais surtout de l’existence de main d’œuvre et d’entreprises confirmées dans l’exécution de
projet à base de ce matériau.
1. Béton :
1- le liant : le ciment portland composé de classe CPJ 45 tel que défini par la norme
NM 10.1.004.
2- Les granulats : sable et gravier.
3- L’eau de gâchage : il donne au béton une plasticité qui facilite son écoulement
et son moulage dans 1 m3 de béton dosé à 350 Kg/m3.
Cisaillement:
Fissuration peu nuisible 3.33 MPa
Fissuration (très) préjudiciable 1.5 MPa
Diagrammes déformations-contraintes:
2. Aciers :
Vu la faiblesse relative de la résistance du béton à la traction, il n’en est
pas de même pour les contraintes de traction, armatures (barres ou treillis
soudés) généralement en acier combiné avec le béton présente une bonne
résistance à la traction.
Elles sont obtenues par laminage à chaud d’un acier naturellement dur.
Ces armatures ont leur surface marquée par des crénelures de formes diverses
de façon à assurer une meilleure adhérence avec le béton. Ces aciers existent
dans les nuances Fe E 400 et Fe E 500.
Calcul à l’ELU:
Avec :
= 1.15 Pour les combinaisons fondamentales
Calcul à l’ELS:
A l’ELS les vérifications à effectuer pour les aciers portent sur l’état limite
d’ouverture des fissures. L’appréciation du degré de nocivité de l’ouverture
dépend de l’agressivité de l’environnement.
st =
Fissuration préjudiciable
st = min ( )
st = min ( )
= 1 pour RL et TS
= 1.6 pour HA de 6 mm
Diagrammes déformations-contraintes:
c) Hypothèses de calcul :
d) Pré-dimensionnement :
- Les pondérations :
- En lance le calcule pour obtenir la Cartographie :
Dimensionnement de la structure :
- Dalle Inf :
1. Notes de calcule Dalle: Dalle22
1.1. Ferraillage:
Type : Plancher BA
Direction armatures principales : 0°
Classe armatures principales : HA 500; résistance caractéristique = 500.00 MPa
Diamètres des barres inférieures d1 = 1.2 (cm) d2 = 1.2 (cm)
supérieures d1 = 1.2 (cm) d2 = 1.2 (cm)
Enrobage inférieur c1 = 3.0 (cm)
supérieur c2 = 3.0 (cm)
1.2. Béton
1.3. Hypothèses
Contour:
bord début fin longueur
x1 y1 x2 y2 (m)
1 0.00 -4.00 4.00 -4.00 4.00
2 4.00 -4.00 4.00 0.00 4.00
3 4.00 0.00 0.00 0.00 4.00
4 0.00 0.00 0.00 -4.00 4.00
Appui:
n° Nom dimensions coordonnées bord
(m) x y
2 ponctuel 0.30 / 0.30 0.00 0.00 —
2 linéaire 0.30 / 4.00 2.00 0.00 —
2 linéaire 4.00 / 0.30 0.00 -2.00 —
0 linéaire 4.00 / 0.20 0.00 -2.00 —
0 linéaire 0.20 / 4.00 2.00 0.00 —
4 ponctuel 0.30 / 0.30 0.00 -4.00 —
0 linéaire 0.20 / 4.00 2.00 -4.00 —
4 linéaire 0.30 / 4.00 2.00 -4.00 —
6 ponctuel 0.30 / 0.30 4.00 -4.00 —
6 linéaire 4.00 / 0.30 4.00 -2.00 —
0 linéaire 4.00 / 0.20 4.00 -2.00 —
8 ponctuel 0.30 / 0.30 4.00 0.00 —
* - présence du chapiteau
ELS
Mxx (kN*m/m) 1.43 -0.39 0.01 -0.57
Myy (kN*m/m) -0.39 1.40 0.01 -0.60
Mxy (kN*m/m) 0.40 0.42 -0.09 0.75
ELU
Mxx (kN*m/m) 1.92 -0.52 0.01 -0.76
Myy (kN*m/m) -0.53 1.90 0.02 -0.80
Mxy (kN*m/m) 0.54 0.57 -0.13 1.01
1.5.4. Flèche
|f(+)| = 0.0 (cm) <= fdop(+) = 3.0 (cm)
|f(-)| = 0.0 (cm) <= fdop(-) = 3.0 (cm)
2. Chargements:
Cas Type Liste Valeur
1 poids propre 22 24A26 28 29 PZ Moins
2 (EF) pression hydrostatique Gamma=1000.00[kG/m3] H=3.00[m]
Direction=-Z
Ferraillage inférieur
Nom coordonnées Armatures adoptées At Ar
x1 y1 x2 y2 [mm] / [cm] [cm2/m] [cm2/m]
1/1- Ax Principal 0.00 -4.00 4.00 0.00 6.0 / 25.0 0.98 < 1.13
1/2- Ay Perpendiculaire 0.00 -4.00 4.00 0.00 6.0 / 25.0 0.91 < 1.13
Ferraillage supérieur
Nom coordonnées Armatures adoptées At Ar
x1 y1 x2 y2 [mm] / [cm] [cm2/m] [cm2/m]
1/1+ Ax Principal 0.00 -4.00 4.00 0.00 6.0 / 25.0 0.98 < 1.13
1/2+ Ay Perpendiculaire 0.00 -4.00 4.00 0.00 6.0 / 25.0 0.91 < 1.13
4. Quantitatif
Volume de Béton = 3.20 (m3)
Surface de Coffrage = 16.00 (m2)
Périmètre de la dalle = 16.00 (m)
Superficie des réservations = 0.00 (m2)
Acier HA 500
Poids total = 55.99 (kG)
Densité = 17.50 (kG/m3)
Diamètre moyen = 6.0 (mm)
Liste par diamètres:
Type : Plancher BA
Direction armatures principales : 0°
Classe armatures principales : HA 500; résistance caractéristique = 500.00 MPa
Diamètres des barres inférieures d1 = 1.2 (cm) d2 = 1.2 (cm)
supérieures d1 = 1.2 (cm) d2 = 1.2 (cm)
Enrobage inférieur c1 = 3.0 (cm)
supérieur c2 = 3.0 (cm)
1.2. Béton
1.3. Hypothèses
Contour:
bord début fin longueur
x1 y1 x2 y2 (m)
1 0.00 0.00 4.00 0.00 4.00
2 4.00 0.00 4.00 4.00 4.00
3 4.00 4.00 0.00 4.00 4.00
4 0.00 4.00 0.00 0.00 4.00
Appui:
n° Nom dimensions coordonnées bord
(m) x y
0 linéaire 0.20 / 4.00 2.00 4.00 —
0 linéaire 4.00 / 0.20 0.00 2.00 —
0 linéaire 4.00 / 0.20 4.00 2.00 —
0 linéaire 0.20 / 4.00 2.00 0.00 —
* - présence du chapiteau
ELS
Mxx (kN*m/m) 0.29 -1.87 0.29 -1.87
Myy (kN*m/m) 0.28 -1.97 0.28 -1.97
Mxy (kN*m/m) 0.48 0.55 0.48 0.55
ELU
Mxx (kN*m/m) 0.39 -2.52 0.39 -2.52
Myy (kN*m/m) 0.38 -2.67 0.38 -2.67
Mxy (kN*m/m) 0.64 0.75 0.64 0.75
2. Chargements:
Cas Type Liste Valeur
1 poids propre 22 24A26 28 29 PZ Moins
2 (EF) pression hydrostatique Gamma=1000.00[kG/m3]
H=3.00[m] Direction=-Z
Ferraillage inférieur
Nom coordonnées Armatures adoptées At Ar
x1 y1 x2 y2 [mm] / [cm] [cm2/m] [cm2/m]
1/1- Ax Principal 0.00 0.00 4.00 4.00 6.0 / 25.0 0.98 < 1.13
1/2- Ay Perpendiculaire 0.00 0.00 4.00 4.00 6.0 / 25.0 0.91 < 1.13
Ferraillage supérieur
Nom coordonnées Armatures adoptées At Ar
x1 y1 x2 y2 [mm] / [cm] [cm2/m] [cm2/m]
1/1+ Ax Principal 0.00 0.00 4.00 4.00 6.0 / 25.0 0.98 < 1.13
1/2+ Ay Perpendiculaire 0.00 0.00 4.00 4.00 6.0 / 25.0 0.91
< 1.13
4. Quantitatif
Volume de Béton = 3.20 (m3)
Surface de Coffrage = 16.00 (m2)
Périmètre de la dalle = 16.00 (m)
Superficie des réservations = 0.78 (m2)
Acier HA 500
Poids total = 52.88 (kG)
Densité = 16.53 (kG/m3)
Diamètre moyen = 6.0 (mm)
Liste par diamètres:
2.2 Géométrie:
2.2.1 Désignation Position APG L APD
(m) (m) (m)
P1 Travée 0.30 3.70 0.30
2.4 Chargements:
2.5 Résultats théoriques:
2.5.1 Sollicitations ELU
-40
-20
20
40
60
[m]
80
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Moment fléchissant ELU: Mu Mru Mtu Mcu
150
[kN]
100
50
-50
-100
[m]
-150
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Effort transversal ELU: Vu Vru Vcu(cadres) Vcu(total)
-40
-20
20
40
60
[m]
80
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Moment fléchissant ELS: Ms Mrs Mts Mcs
20
[kN]
15
10
-5
-10
-15
[m]
-20
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Effort transversal ELS: Vs Vrs
0.015
[0.1%]
0.01
0.005
-0.005
-0.01
-0.015
[m]
-0.02
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Déformations: Ats Acs Bs
2
[MPa]
1.5
1
0.5
0
-0.5
-1
-1.5
-2
-2.5
-3 [m]
-3.5
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Contraintes: Atss Acss Bss
3
[m]
4
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Section d'acier en flexion: Abt Abr Abmin Ades Aver_gross
3
[cm2/m]
2
[m]
3
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Section d'acier en cisaillement: Ast Ast_strut Asr AsHang
2.5.5 Flèches
Fgi - flèche due aux charges permanentes totales
Fgv - flèche de longue durée due aux charges permanentes
Fji - flèche due aux charges permanentes à la pose des cloisons
Fpi - flèche due aux charges permanentes et d'exploitation
Ft - part de la flèche totale comparable à la flèche admissible
Fadm - flèche admissible
-0.4
-0.2
0.2
0.4
0.6
[m]
0.8
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Flèches: Fgi Fgv Fji Fpi F Fadm
a/add bc A Atheor Ar
(m) (MPa) (cm2) (cm2)
Abscisse *
(m) (MPa) (MPa) (MPa)
0.30 0.01 0.00 0.01 1.77 0.00 0.14
0.55 -0.02 0.00 -0.02 -3.10 0.00 -0.25
0.95 -0.01 0.00 -0.01 -2.13 0.00 -0.18
1.35 -0.01 0.00 -0.01 -1.09 0.00 -0.09
1.75 -0.00 0.00 -0.00 -0.65 0.00 -0.06
2.15 -0.00 0.00 -0.00 -0.60 0.00 -0.05
2.55 -0.00 0.00 -0.00 -0.65 0.00 -0.06
2.95 -0.01 0.00 -0.01 -1.09 0.00 -0.09
3.35 -0.01 0.00 -0.01 -2.13 0.00 -0.18
3.75 -0.02 0.00 -0.02 -3.08 0.00 -0.25
4.00 0.01 0.00 0.01 1.81 0.00 0.15
2.7 Ferraillage:
2.7.1 P1 : Travée de 0.30 à 4.00 (m)
Armature longitudinale:
Aciers inférieurs
3 HA 500 12 l = 4.24 de 0.03 à 4.27
Aciers de montage (haut)
3 HA 500 8 l = 4.24 de 0.03 à 4.27
Chapeaux
3 HA 500 12 l = 1.04 de 0.03 à 1.07
3 HA 500 12 l = 1.04 de 3.23 à 4.27
Armature transversale:
10 HA 500 6 l = 1.48
e = 1*0.05 + 9*0.40 (m)
10 HA 500 6 l = 1.01
e = 1*0.05 + 9*0.40 (m)
3 Quantitatif:
Volume de Béton = 0.65 (m3)
Surface de Coffrage = 5.71 (m2)
Acier HA 500
Poids total = 27.39 (kG)
Densité = 42.46 (kG/m3)
Diamètre moyen = 8.5 (mm)
Liste par diamètres:
2.2 Géométrie:
2.2.1 Désignation Position APG L APD
(m) (m) (m)
P1 Travée 0.30 3.70 0.30
2.4 Chargements:
2.5 Résultats théoriques:
2.5.1 Sollicitations ELU
-10
-5
10
15
[m]
20
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Moment fléchissant ELU: Mu Mru Mtu Mcu
80
[kN]
60
40
20
-20
-40
-60
[m]
-80
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Effort transversal ELU: Vu Vru Vcu(cadres) Vcu(total)
-20
[kN*m]
-15
-10
-5
10
15
[m]
20
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Moment fléchissant ELS: Ms Mrs Mts Mcs
4
[kN]
3
-1
-2
-3
[m]
-4
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Effort transversal ELS: Vs Vrs
0.025
[0.1%]
0.02
0.015
0.01
0.005
-0.005
-0.01
-0.015
-0.02 [m]
-0.025
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Déformations: Ats Acs Bs
4
[MPa]
3
-1
-2
-3
[m]
-4
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Contraintes: Atss Acss Bss
2.5.4 Sections Théoriques d'Acier
1.5
[cm2]
0.5
0.5
1
[m]
1.5
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Section d'acier en flexion: Abt Abr Abmin Ades Aver_gross
2
[cm2/m]
1.5
0.5
0.5
1.5
[m]
2
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Section d'acier en cisaillement: Ast Ast_strut Asr AsHang
2.5.5 Flèches
Fgi - flèche due aux charges permanentes totales
Fgv - flèche de longue durée due aux charges permanentes
Fji - flèche due aux charges permanentes à la pose des cloisons
Fpi - flèche due aux charges permanentes et d'exploitation
Ft - part de la flèche totale comparable à la flèche admissible
Fadm - flèche admissible
-0.4
-0.2
0.2
0.4
0.6
[m]
0.8
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
Flèches: Fgi Fgv Fji Fpi F Fadm
a/add bc A Atheor Ar
(m) (MPa) (cm2) (cm2)
Abscisse *
(m) (MPa) (MPa) (MPa)
0.30 0.02 0.00 0.02 3.79 0.00 0.32
0.55 0.01 0.00 0.01 1.89 0.00 0.16
0.95 -0.00 0.00 -0.00 -0.39 0.00 -0.03
1.35 -0.01 0.00 -0.01 -2.04 0.00 -0.18
1.75 -0.02 0.00 -0.02 -3.04 0.00 -0.27
2.15 -0.02 0.00 -0.02 -3.37 0.00 -0.29
2.55 -0.02 0.00 -0.02 -3.04 0.00 -0.27
2.95 -0.01 0.00 -0.01 -2.04 0.00 -0.18
3.35 -0.00 0.00 -0.00 -0.39 0.00 -0.03
3.75 0.01 0.00 0.01 1.89 0.00 0.16
4.00 0.02 0.00 0.02 3.79 0.00 0.32
2.7 Ferraillage:
3 Quantitatif:
Volume de Béton = 0.34 (m3)
Surface de Coffrage = 4.34 (m2)
Acier HA 500
Poids total = 10.55 (kG)
Densité = 30.68 (kG/m3)
Diamètre moyen = 6.8 (mm)
Liste par diamètres:
Diamètre Longueur Poids
(m) (kG)
6 22.50 4.99
8 14.08 5.56
- Dimensionnement des poteaux sup. :
1 Niveau:
Nom :
Cote de niveau : 0.00 (m)
Tenue au feu :0h
Fissuration : peu préjudiciable
Milieu : non agressif
2.2 Géométrie:
2.2.1 Rectangle 30.0 x 30.0 (cm)
2.2.2 Epaisseur de la dalle = 0.20 (m)
2.2.3 Sous dalle = 2.85 (m)
2.2.4 Sous poutre = 2.55 (m)
2.2.5 Enrobage = 3.0 (cm)
2.4 Chargements:
Lu (m) K
Direction Y: 3.00 1.00 34.64
= max ( y ; z)
= 34.64
< 50
= 0,85/(1+0,2*( /35)^2) = 0.71
Br = 0.08 (m2)
A= 6.16 (cm2)
Nulim = [Br*fc28/(0,9* b)+A*Fe/ s] = 1222.19 (kN)
2.5.3 Ferraillage:
Coefficients de sécurité
global (Rd/Sd) = 8.08
section d'acier réelle A = 6.16 (cm2)
2.6 Ferraillage:
Barres principales:
4 HA 500 14 l = 3.02 (m)
Armature transversale:
12 Cad HA 500 6 l = 1.08 (m)
e = 3*0.20 + 9*0.21 (m)
3 Quantitatif:
Volume de Béton = 0.23 (m3)
Surface de Coffrage = 3.06 (m2)
Acier HA 500
Poids total = 17.48 (kG)
Densité = 76.14 (kG/m3)
Diamètre moyen = 9.9 (mm)
Liste par diamètres:
2.2 Géométrie:
2.2.1 Rectangle 30.0 x 30.0 (cm)
2.2.2 Epaisseur de la dalle = 0.00 (m)
2.2.3 Sous dalle = 1.20 (m)
2.2.4 Sous poutre = 0.80 (m)
2.2.5 Enrobage = 3.0 (cm)
2.4 Chargements:
Lu (m) K
Direction Y: 1.00 1.00 11.55
= max ( y ; z)
= 11.55
< 50
= 0,85/(1+0,2*( /35)^2) = 0.83
Br = 0.08 (m2)
A= 6.16 (cm2)
Nulim = [Br*fc28/(0,9* b)+A*Fe/ s] = 1430.49 (kN)
2.5.3 Ferraillage:
Coefficients de sécurité
global (Rd/Sd) = 8.37
section d'acier réelle A = 6.16 (cm2)
2.6 Ferraillage:
Barres principales:
4 HA 500 14 l = 1.82 (m)
Armature transversale:
4 Cad HA 500 6 l = 1.08 (m)
e = 4*0.18 (m)
3 Quantitatif:
Volume de Béton = 0.07 (m3)
Surface de Coffrage = 0.96 (m2)
Acier HA 500
Poids total = 9.74 (kG)
Densité = 135.26 (kG/m3)
Diamètre moyen = 11.0 (mm)
Liste par diamètres:
1.1.1 Principes
1.1.2 Géométrie:
1.1.3 Matériaux
1.1.4 Chargements:
1.2.2 Sol:
qu = 0.25 (MPa)
Soulèvement
Soulèvement ELU
Combinaison dimensionnante ELU : 1.00G1
Coefficients de chargement: 1.00 * poids de la fondation
1.00 * poids du sol
Poids de la fondation et du sol au-dessus de la fondation: Gr = 146.48 (kN)
Charge dimensionnante:
Nr = 367.25 (kN) Mx = -0.00 (kN*m) My = 0.00 (kN*m)
Surface de contact s = 100.00 (%)
slim = 10.00 (%)
Soulèvement ELS
Combinaison défavorable: ELS : 1.00G1
Coefficients de chargement: 1.00 * poids de la fondation
1.00 * poids du sol
Poids de la fondation et du sol au-dessus de la fondation: Gr = 146.48 (kN)
Charge dimensionnante:
Nr = 367.25 (kN) Mx = -0.00 (kN*m) My = 0.00 (kN*m)
Surface de contact s = 100.00 (%)
slim = 100.00 (%)
Glissement
Renversement
Autour de l'axe OX
Combinaison dimensionnante ELU : 1.00G1
Coefficients de chargement: 1.00 * poids de la fondation
1.00 * poids du sol
Poids de la fondation et du sol au-dessus de la fondation: Gr = 146.48 (kN)
Charge dimensionnante:
Nr = 367.25 (kN) Mx = -0.00 (kN*m) My = 0.00 (kN*m)
Moment stabilisateur: Mstab = 367.25 (kN*m)
Moment de renversement: Mrenv = 0.00 (kN*m)
Stabilité au renversement:
Autour de l'axe OY
Combinaison défavorable: ELU : 1.00G1
Coefficients de chargement: 1.00 * poids de la fondation
1.00 * poids du sol
Poids de la fondation et du sol au-dessus de la fondation: Gr = 146.48 (kN)
Charge dimensionnante:
Nr = 367.25 (kN) Mx = -0.00 (kN*m) My = 0.00 (kN*m)
Moment stabilisateur: Mstab = 367.25 (kN*m)
Moment de renversement: Mrenv = 0.00 (kN*m)
Stabilité au renversement:
1.3.1 Principes
Poinçonnement
Semelle isolée:
Aciers inférieurs:
ELU : 1.35G1
My = 59.25 (kN*m) Asx = 3.90 (cm2/m)
ELU : 1.35G1
Mx = 59.25 (kN*m) Asy = 3.90 (cm2/m)
Aciers supérieurs:
A'sx = 0.00 (cm2/m)
A'sy = 0.00 (cm2/m)
Fût:
Armature longitudinale A = 4.80 (cm2) A min. = 4.80 (cm2)
A = 2 * (Asx + Asy)
Asx = 1.20 (cm2) Asy = 1.20 (cm2)
2.3.2 Fût
Armature longitudinale
En X:
2 HA 500 12 l = 1.95 (m) e = 1*-0.09 + 1*0.19
En Y:
2 HA 500 12 l = 2.00 (m) e = 1*-0.09 + 1*0.19
Armature transversale
4 HA 500 6 l = 1.08 (m) e = 1*0.30 + 1*0.20 + 2*0.09
Attentes
Armature longitudinale
4 HA 500 12 l = 1.43 (m) e = 1*-0.12 + 1*0.24
2 Quantitatif:
Volume de Béton = 1.83 (m3)
Surface de Coffrage = 3.96 (m2)
Acier HA 500
Poids total = 37.07 (kG)
Densité = 20.29 (kG/m3)
Diamètre moyen = 8.6 (mm)
Liste par diamètres:
En résumé on peut dire que ce travail nous a permis d’axer tout enseignement
scientifique et technique, propre au domaine du génie civil, acquis au cours de notre
formation autour des deux grandes phases de la construction : la conception et la
réalisation. Ce qui nous a apporté une forte sensibilisation des difficultés rencontrées
au cours de tout projet et aussi des sujets de réflexion sur des points singuliers et
complexes du domaine du génie civil.
Merci !