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Retour aux fondamentaux.

Je suis Mandjombè...Tétè Mandjombè, deuxième du nom.

Muntu a dit :

<<Le nom est un mot chargé d'énergies qui nous connecte à la société des vivants et à celle des
Ancêtres.

Il est la clé de notre être et des essences qui le constituent.

Quiconque perd son nom au profit d'un autre se sépare du fluide qui le lie directement et aisément à
l'univers tout entier...>>

Trois choses renforcent l'énergie de ton patronyme, ajouta le maître de l'0ralité Initiatique de Batem-
Na-sim à Kwa Muntu, son dernier fils :

1) L' amour que tu lui portes.

2) Sa prononciation ou son évocation respectueuse par ton entourage et autres connaissances

3) La grâce que les Ancêtres versent sur toi en récompense de tes actes bienfaisants dans la
communauté.

Hotep à vous et portez-vos noms avec respect, dignité et amour car, comme disent les Anciens, ils sont
vous faits VIBRATIONS.

Comprenne qui pourra et lira qui saura !

Bonne journée sur la Terre et sous le Ciel !

Tétè Mandjombè II nya Batem-Na-sim

Le nom, chez le negro-africain, épouse des contingences socio-culturelles et historiques.

L'enfant peut porter dans ce cas, le nom de son Ancêtre proche ou lointain, le nom d'un proche vivant
ou rappelant un fait connu dans la famille ou le clan.
On a connu des personnes appelées "Nguéa"( la route) parce que nées sur la chemin menant leur mère
à l'hôpital...

[16/07/2019 à 11:33] +237 52923715: Les prénoms occidentaux sont une autre source d'aliénation nous
rattachant à un soit-disaint saint qui en réalité est un mort devenu "Saint" par la voie de la canonisation
pour avoir rendu service à l'église.

Nous renforçons, en réalité en énergie,ce "saint"chaque fois que son nom est prononcé par nous-même
ou par les autres lorsqu'ils nous appellent.

[16/07/2019 à 11:38] +237 52923715: LE NOM CHEZ LES SAWA DU CAMEROUN

“«DINA», «le nom» est le mot qui nous connecte à la société des morts et à celle des vivants. Il est la clé
de notre âme et des essences qui la constituent.

Il existe différents types de noms (MINA) chez les Sawa :

Dina la dibum ou dina la yabè : le nom donné à la naissance;

Dina la mundi : le nom de famille;

Dina la jengu : le nom cultuel au moment de l'initiation;

Dina l'elimbi ou dina la mungi : le nom tam-tamique;

Dina la mpesa ou dina la loko : le surnom;

Dina la bebolo : le nom attribué par les actes.

Chez les Sawa , lorsqu'un vieillard vous demande : «Dina longo na nja?» (quel est ton nom?), si vous
répondez «Dina lam na Ndumbè» (mon nom est Ndumbè) il considère que vous n'avez répondu à sa
question qu'à 1/3, alors il enchaînera en demandant «Ndumb'a nja?» (Ndoumbè né de qui?).

A travers cette attitude a priori banale, nous pouvons réaliser que dans la perception Sawa de l'identité,
l'individu est en quelque sorte pluriel, chacun de nous n'étant en réalité qu'un maillon d'une longue
chaîne d'ascendants et de descendants.

Si nous nous référons à la sainte oralité des Sawa que constituent les «Maso Ma Ndala», nous voyons
que le héros providentiel Jèki ne se présente jamais comme «Jèki» tout court, mais toujours comme
«Jèki la Njamb'a Inono»; sa sœur aînée «Engom'a Njamb'a Inono»; sa mère «Ngrijo Epe'a Tungum'a
Bokambo», etc.

«Dina na Bebolo», nous disent les Anciens.

À tel nom telles actions !

Les Ancêtres étaient des Sages parmi les sages.”

Tétè Mandjombè II ©
"En Côte d'Ivoire, chez les Wêon, les noms de personne sont classés en sept catégories qui sont :

Bo ô gnéné : patronyme

Lohoubly-gnéné : nom maternel

Nenan-gnéné : nom philosophique

Kougnéné : nom ésotérique

Kpébla-gnéné : surnom, pseudonyme

Gnénégba-gnéné : nom de bravoure

Douhou-gnéné : nom proverbial

Chaque catégorie de noms symbolise chacun des sept rayons cosmiques qui pénètrent et englobent à la
fois le corps de tout individu.

Chacune de ces catégories de nom comporte une histoire. Elle est sensée avoir un pouvoir déterminant
sur la vie du titulaire de ces noms. Aussi pour bénéficier pleinement de l'ensemble de ces bénédictions,
un grand nombre de Wêon n'hésitent pas à porter sept noms à la fois.

Dans la culture du Masque, le nom est l'essence et la vérité de celui qui le porte."

Alphonse Tiérou "Paroles de Masques".

Enseignement :

1) Nous devons impérativement renoncer aux noms étrangers à notre civilisation ancestrale
multimillénaire ET réhabiliter urgemment nos institutions et pratiques sociétales en matière de nom.

2) Le nom n'est pas un gadget ; c'est la signature - le code - sonore d'une énergie multidimensionnelle
incarnée dans un Mu Ntu particulier, avec un programme/projet spécifique.

3) Connaître son nom pour connaître sa véritable mission ; afin de l'accomplir, ou de la trahir...

Nos Ancêtres, l'Unique Voix !

Popo Klah
Par son nom, un être vivra dans la mémoire des hommes. « Prononcez mon nom, ô vivants », implorent
les inscriptions gravées sur la porte des tombes. Car prononcer le nom, c’est faire vivre l’entité ; le
marteler, c’est la détruire et faire disparaître à jamais celui qui réagissait à sa puissance vibratoire.

Dans les rites initiatiques enfin, la phrase «se rappeler son nom» signifie «reconnaître la propre nature
de son âme qui est feu ».

J'aimerais ajouter quelque chose. Toujours en rapport avec les SAWA.

Il ya un découpage initial de la communauté. Commençons donc de bas en haut.... J'utiliserai ici des
mots Ɓàŋkon vu que cest la langue que je maitrise le mieux.

Nous avons donc

*1- ìsoso* (les enfants d'un foyer, c'est a dire la petite famille).

*2 - ìɓòndò* (le foyer, la petite famille)

*3 - ìtumba* (la grande famille. Ce qui correspond normalement a un quartier)

*4 - ŋ̀kɔ̀ŋ* (le village. dans notre context certain village sont appelés des villes aujourd'hui)

*5 - ìlɔ̀ŋ* (la nation/le pays)

Tout ceci pour appuyer sur le fait que, quand on demande de se présenter, on espère savoir exactement
d'ou vous venez et de qui. Par example, je me présente a Kemaat Uhuru....

Jǒ jɛŋ la Kònjà Mbìà, mǎn nu Mbìà Ndoŋ, ì Ɓànjiu Miaŋ. (Je m'appel Konja Mbia, fils de Mbia Ndong, de
Banjiou-Miang).

Dans cette présentation il ya ìsoso(moi, mon nom), ìbòndò(le nom de mon père et donc du foyer),
ŋ̀kòŋ(le nom de mon village, cet a dire Banjiou-Miang).

Pour poursuivre on peut donc me demander *ŋ̀jǎŋ ìtumba?*(de quelle grande famille?). Puis je donne le
dernier indice en repondant *Ɓùnandoŋ*(Bonandong).

En résumé voici un présantation complète chez les Bankon surtout dans le cadre d'un tout premier
contact.

Et vous, comment ca ce passe chez vous.

Rituel de naissance chez les Fon du Bénin

Le rituel lié à la naissance chez les Fon du Benin consiste a introduire le nouveau-né et sa mère dans le
"monde des vivants". La mère et l'enfant sont considérés comme ne faisant qu'1 durant les 3 premiers
mois suivant la naissance. Le nouveau-né est considéré comme un être venant d'ailleurs, venant du
monde invisible. Quant à la mère, on dit qu'elle revient du pays de la mort: accoucher se dit "aller au
pays de la mort et en revenir". Pour que tout se passe bien, il faut donc réintroduire la mère dans le
monde des vivants qu'elle a quitté le temps de l'accouchement, et introduire "l'intrus" (le nouveau-né)
dans le nouveau monde dans lequel il est appelé à vivre désormais. Ce rituel est appelé "vi di dé ton",
littéralement "sortir le nouveau-né".

Le premier rituel, c'est la coupure du cordon ombilical. Une fois le cordon coupé, la mère doit le toucher
de la langue 7 fois. Ensuite le cordon et le placenta sont mis dans un canari. Le second, on fait boire au
nouveau-né de l'eau de ruissellement prélève sur le sol. Le troisième, le placenta qui a servi à nourrir et
protéger le bébé pendant les 9 mois de la grossesse sera restitué à la terre. C'est un rituel capital, car s'il
est mal exécuté, il est censé pouvoir rendre la femme stérile pour le restant de ses jours. Le placenta
doit toujours être enterré avec l'attache du cordon ombilical vers le haut. On y ajoute certaines feuilles,
parfois aussi de l'huile rouge, et un morceau de peau d'hyène. C'est en général une femme déjà atteinte
de ménopause qui restitue le placenta a la terre. Si l'enfant est né un mardi, le placenta sera enterré
dans la douche où sa mère se lave. S'il est né un vendredi, ce sera au bord d'un fleuve.

Après l'accouchement, et une fois le placenta restitué à la terre, on commence à surveiller la lune. A la
veille de la nouvelle lune, la mère et son bébé sont "enfermés". Commence ainsi une période de
réclusion qui va durer 3 lunes. Pendant cette période, la mère est interdite de tous travaux domestiques:
interdiction de puiser de l'eau, de transporter des fagots de bois, d'aller au marigot, d'aller au marché,
d'aller au champ, etc. D'autres femmes de la maison font tout cela à sa place. Dans la journée, elle peut
déambuler dans la concession, mais elle doit regagner sa chambre avant la tombée de la nuit. Car le
bébé ne doit pas voir la lune, et la lune ne doit pas le voir non plus. Pareil pour la mère. Si elle voit la
lune, on considère que c'est l'enfant qui l'a vue.

Tous les soirs, un feu est allumé dans sa chambre, c'est le feu sur lequel sont préparés les remèdes pour
les soins de l'enfant et de la mère (cicatrisation du nombril, montée du lait, anémie, etc.). Ce feu ne doit
jamais s'éteindre avant l'aube. Quand le cordon ombilical tombe (entre 6 et 10 jours après
l'accouchement), on le range soigneusement hors de portée de la vue de l'enfant. De même que la
cendre du foyer et les bûches ayant servies à l'allumer. Pendant cette période, les femmes les plus âgées
de la famille du père de l'enfant passent régulièrement chez la mère, pour l'instruire sur les soins du
bébé et sur les interdits de la famille de son mari...

Beaucoup mettent l'accent sur le placenta: «Masse charnue et spongieuse richement vascularisée, qui
adhère à l'utérus par un grand nombre de prolongements et communique avec le fœtus par le cordon
ombilical». Faisant l'objet d'un grand rituel, il est enterré près de la maison, près du lieu où la maman a
mis au monde son enfant, pour signifier 'son ancrage à la terre qui l'a fait naître'. Il est restitué à la terre
afin de la féconder davantage et de donner plus de vie à ceux et celles qui l'habitent.

En Occident le placenta est considéré comme un déchet, alors que chez nous il est considéré comme le
double de l'enfant ( comme le Noun pour Atoum , et est donc très sacré.

Rapprochement:
Nsangou: Ah ça, et en observant la forme de la tombe qui correspond au ventre creux et bombé de la
femme enceinte on peut comprendre beaucoup de chose, la tombe a été inspiré du ventre de la femme
enceinte, car y vibrent nos Ancêtres

Au Nigéria

Ton commentaire me rappelle la Déesse ALA chez les Igbo.

Fille du grand dieu Chuku, Ala est la déesse de la Terre et la Fertilité du peuple, mais elle est aussi la
déesse de l'Autre Monde. Elle est considérée comme la mère de toutes choses. Au début, elle donne
naissance, et à la fin, elle accueille les morts dans son ventre...

Astuces

Invocations prénatales et postnatales de Transmission des énergies ancestrales et divines de la mère à


l'enfant.

*Aux Ancêtres* :

Moi, X, fille de...et de...

Mère de ...et de...

Moi, X, épouse de...,

par ma voix, cette nuit, je vous invoque, Vous, très chers Ancêtres de mon Clan et de mon Royaume .

Puissent mes entrailles abriter le meilleurs d'entre Vous.

Puissiez-vous le guider jours et nuits dans sa mission sur la terre, votre terre.

Puissiez-vous, Glorieux Ancêtres, me donner la force nécessaire pour l'y accompagner. Je suis votre fille,
votre sang.

Puissiez-vous, X, Y, Z de ma famille maternelle me protéger durant ces (9mois)

Accordez-moi, X, Y, Z de ma famille paternelle la grâce qui était la vôtre de votre vivant durant ces 9
lunes mais aussi, celle dont vous jouissez, à présent, dans les mondes lumineux qui vous abritent !!!
Honneur à vous !

*Au bébé à naître...*

Toi, qui vis à présent, dans mon sein depuis...lunes.

Toi....(si le nom est déjà connu), chair de ma chair, je te parle cette nuit.

Par la puissance de mes Ancêtres et de leurs divinités, moi, X, ta mère, je te parle !

Que la grandeur de mes Pères soit tienne !

Que la beauté de mes Mères soit tienne !

Que la force de mes Pères soit tienne !

Que la sagesse de mes Mères soit tienne !

Je suis ta mère, et je te bénis !

Je suis ta mère et je te consacre, depuis mon sein, aux tâches les plus nobles de ma famille et de mon
clan !

Jamais le vol, la médisance, la perversion et la pauvreté ne seront tes alliés !

Ô sang de mon sang, moi ta mère, je m'engage à te chérir et à t'offrir tout ce qui sied à ta grandeur !

Je suis une reine et je te veux roi, fils !

Que les Divinités et les Ancêtres donnent vie à mots !

Prendre de l'huile de palmiste mélangée à 9 graines de jujube dans sa main et l'enduire sur son ventre 3,
7 ou 9 fois

*Autre invocation pour femme enceinte*

Se coucher sur le dos après s'être lavée et parfumée et bien entendu après avoir allumé de l'encens

Imaginer la pleine lune juste au-dessus de nous et lui parler après quelques minutes de répit,
Les bras étendus le long du corps :

« Ô divinités lunaires jadis invoquées par mes Ancêtres !

Ô Jehuty et Khonsou garant de la fertilité et de la sagesse ancienne, pour vous, en cette pleine lune je
brûle des aromates.

Ô Lune de mes Pères et Mères qui prend le relais dans le firmament lorsque ton époux solaire s'efface,
purifie mon ventre et fortifie l'enfant qui s'y réfugie.

Ô Lune, je suis X, enveloppe-moi de ta clarté et....(faire une demande)

Astre lunaire, mère de Vie, donne à cet enfant, à venir, la meilleure des destinées ! »

Les Sawa d'antan célébrait Musoso mwa Yadi (Rite d'acceuil) au matin du neuvième jour.

Dibua est le chiffre neuf mais aussi la neuvaine.

Chaque jour passé depuis le jour de sa naissance rattache le nouveau-né à l'une des divinités ( Maloba)
de Dibuka, l'Enneade des Anciens Ngala.

Les cérémonies mettant en exergue le chiffre 8 exprime entre autres la convocation des Kolombo,
auteurs des huits lignées humaines des temps mythiques.

Les Kolombo sont des sortes de Proto-dieux gémellaires.

Disons donc que, anthropologiquement, les Sawa rattache prioritairement le nouveau-né à l'Enneade et
les Banen, célébrant cette ceremonie le huitième jour, à l'Ogdoade.

Huit est Infinitude et neuf est Pouvoir.

Dans le Grand MBAM

Dans le grand mbam ,il ya un ensemble d’éléments rituels essentiels qui accompagne la naissance de
l’enfant.
Après que l’homme et la femme aient été unies selon les rites et coutumes exécutés par les anciens
selon les règles de l’art;

La seconde étape consistait à attirer vers le couple les âmes des ancêtres en fonction de leur spécificité
et des besoins du couple la famille du village et de la communauté.

Après consultation des oracles, le jour l’heure de l’accouplement étaient connus pour la conception.

Le couple et la chambre nuptiale étant purifiés;

Les initiés faisaient un grand feu accompagné de chants et de danses rituels autour de la case des
copulants pour inviter des ancêtres.

Pendant la gestation du foetus dans le ventre de la mère il lui était interdits certains repas et conseillés
d’en consommer d’autres.

L’époux devait vouer un grand amour à son épouse et surtout ne pas la trompé avec une autre idem
pour la femme qui devait par des chants initiatiques entretenir le fœtus dans son ventre.

La naissance de l’enfant se fera uniquement par les sages femmes initiées pour la circonstance.

Une eau spéciale le sang d’un animal à et un fil noir tout ceci était préparés pour purifier et protéger
l’enfant

Un bon vin et un repas spécial etait préparés pour L’ancêtre venu.

Après cela il était remis à l’enfant des objets symbolique appartenant à un ancêtre lié à sa caste sa
mission accompagnée d’un peu de pièces de monnaie ancienne synonyme de prospérité matériel.

Le cordon et le placenta était enterré sous un bananier avec du jujube et quelque paroles rituels.

Voici quelques éléments indispensable pour la naissance en adéquation avec les différents élémentaux
de la nature qui connectait le nouveau aux ancêtres aux antites tutélaire à la nature et au cosmos.

*Invocation post-natale du père*

Ô Fils, je t'ai nommé X

Fils de ...Et de... ( généalogies )

Par ma bouche écoute, tes Ancêtres mâles,

Sois le meilleur des fils, des hommes et des pères !

Il t'est refusé le vol, la médisance, la lâcheté....

Les interdits de notre clan sont les suivants :

Te voilà face au monde !

Ne déçois pas les tiens !


Ne mets pas en colère tes Ancêtres

N'offense pas nos Divinités

Voilà ce qu'on répète à son oreille droite...

Faire la même chose à l'oreille gauche pour la généalogie maternelle

À répéter 9 fois à chaque oreille par le père

On suppose que la mère a suffisamment parlé à l'enfant durant les 9 mois.

Après la naissance, l'enfant est confié au père le 9 ème jour, qui lui aussi, le présente à l'Assemblée
réunie le jour de la cérémonie rituelle de l'attribution du nom.

Quelques protections et précautions rituelles infantiles pour boucler ce survol dans la sphère culturelle
et cultuelle de la naissance.

Chez les Sawa et bien au-delà, on attachait autour des reins ou du poignet une corde noire...

Tous ici l'ont vue ou l'ont portée.

il était question, pour les anciens de le rattacher (le nouveau-né) solidement à la Terre des Humains avec
l'aide des Ancêtres.

À cette corde, on ajoute parfois un cauris, une écorce d'Ekong ou même une métal rond comme une
pièce.

Le cauris cache dans les profondeurs, il est Eau.

L'Ekong est censé après le rite du fil te rendre "amer", "dangereux" et parfois même invisible aux yeux
des ennemis vivants ou morts. Il est Terre car venant d'un arbre.

La pièce est le signe que tu as été "racheté" par tes parents et que tu es donc Wonja ou libre. Elle est un
Metal fondu et donc Feu.

C'est la protection par les Éléments !

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