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EPIGRAPHE

« L’homme se forme par la peine »

Israël 2 :25

DEDICACE
A nos parents Corneille POLELE et PITSHIAMSHI, pour votre tendre encouragement
et sacrifices, qui ont pu créer un climat affectueux et propice à la poursuite de nos études.
REMERCIEMENTS

La réalisation de ce travail est le couronnement des efforts de plusieurs personnes. Il


est de notre devoir d’être reconnaissant, envers tous ceux qui nous ont assistés pour sa rédaction.

Nous témoignons notre sentiment de gratitude envers l’Eternel, Dieu Tout-Puissant,


Maitre de temps et des circonstances, pour sa protection et sa bénédiction durant ce parcours
académique.

Nos remerciements s’adressent à toutes les autorités académiques de l’Institut


Supérieur de Commerce d’Ilebo, particulièrement celles du Département de Gestion informatique,
ainsi qu’à tous les enseignants pour notre formation et encadrement dont nous en sommes
bénéficiaires

Notre sentiment de gratitude va tout droit à Monsieur, le Chef de Travaux NGUELO


LELE, et à Monsieur l’Assistant KABAMBA Don ; respectivement Directeur et Co-directeur de ce
travail qui, en dépit de leurs multiples charges et occupations, ont bien voulu accepter d’assurer la
direction et la codirection de ce travail. Leurs conseils et remarques nous ont été d’un apport
considérable.

Nos remerciements vont l’endroit de tous nos compagnons de lutte académique,


collègues, ami(e)s et connaissances :

Enfin que tous ceux qui n’ont pas été cités à travers ces quelques lignes, ne nous en
tiennent pas rigueur, car l’oubli n’est nullement pas l’ingratitude.

(MABELE POLELE)
SIGLES ET ABREVIATIONS

MCC : Modèle Conceptuel de Communication

MCD : Modèle Conceptuel de Données

MOD : Modèle Organisationnel de Données

MCT : Modèle Conceptuel de Traitements

MOT : Modèle Organisationnel de Traitements

MLD : Modèle Logique de Données

MLT : Modèle Logique de Traitements

MPD : Modèle Physique de Données

MPT : Modèle Physique de Traitements

TIC : Technologies de l’Information et de la Communication

MERISE : Méthode d’Etude et Réalisation Informatique pour les


Systèmes d’Entreprise

UML : Unified Modeling Langage (Langage de Modélisation Unifiée)

OMT : Object Modeling Technique

OOSE : Object Oriented Software Engineering

CIF : Contrainte d’Intégrité Fonctionnelle

CIM : Contrainte d’Intégrité Multiple

ULT : Unité Logique de Traitements

SGBDR : Système de Gestion de Base de Données Relationnelle

SQL : Structured Query Language

Internet : Interconnected Networks

SI : Système d’Information

Rn : Règle de Gestion(n)

Fn : Flux (n)
LISTE DES FIGURES

Figure N°1 : présentation de l’organigramme de l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo..................8


Figure N°2 : Présentation du diagramme de flux.......................................................................................11
Figure N°4 : présentation du formalisme....................................................................................................22
Figure N°5 : recensement de règle de gestion...........................................................................................22
Figure 6 : Présentation de modèle conceptuel de données brut.............................................................23
Figure N°7 : Présentation du modèle conceptuel de données valide...............Erreur ! Signet non défini.
Figure N°7 : Présentation du modèle logique de données de données valide......................................28
Figure N°10 : Présentation du Formalisme.................................................................................................31
Figure N°9 : Présentation du modèle conceptuel de traitement..............................................................32
Figure N°10 : Présentation du modèle logique de traitement..................................................................36
Figure N°11 : Présentation du modèle physique de traitement...............................................................37
Figure n°13 : Présentation du formulaire de lancement............................................................................39
Figure n°14 : Présentation menu général...................................................................................................39
Figure n°16 : Présentation du formulaire liste de présence.....................................................................40
LISTE DES TABLEAUX

Tableau n°1 : Présentation des moyens humains..............................................................................10


Tableau n°2 : présentation des moyens matériels.............................................................................10
Tableau n°3 : description de bulletin..................................................................................................11
Tableau n°4 : description de registre.........................................................Erreur ! Signet non défini.
Tableau n°5 : Description de diagramme de flux...............................................................................12
Tableau n°6 : présentation des étapes de MERISE...................................Erreur ! Signet non défini.
Tableau n°7 : Présentation de dictionnaire de données.....................................................................16
Tableau n°8 : Présentation de la dépendance fonctionnelle..............................................................20
Tableau n°9 : Calcul de volume des tables.......................................................................................26
Tableau n°10 : Calcul des indexes.....................................................................................................26
Tableau n°11 : Présentation du modèle physique de données..........................................................30
Tableau n°12 : Présentation du modèle organisationnel de traitement..............................................34
0. INTRODUCTION GENERALE

0.1. PRESENTATION DU SUJET

Pour assurer une bonne gestion dans une organisation ou dans une entreprise, il est
nécessaire d’informatiser le système d’information, au moyen de l’outil informatique.

L’informatisation procure de nombreux avantages, assouplissant le travail entre autres :


la réduction du volume de travail, la facilité de recherche, le désencombrement des bureaux, la
facilite de production des rapports, etc.

C’est dans cet ordre, d’idée que nous nous engageons dans cette recherche, qui
s’intitule «Mise en place d’une base de données pour la gestion de répartition des étudiants
dans les locaux des examens à l’ISC-ILEBO»

0.2. ETAT DE LA QUESTION


Il est défini comme étant, un état de lieu, un produit documentaire établissant le bilan
critique, des travaux effectués sur un sujet donné, pendant une période déterminée et pouvant se
présenter sous forme écrite ou orale1

L’état de la question est une synthèse, critique des écrits existant, permet au
chercheur de tracer la ligne de démarcation entre ceux-ci, et la littérature qu’il se propose de
produire2.

Vu que le travail scientifique seul ne suffit pas, il doit s’appuyer sur les travaux
antérieurs, qui se sont effectués dans le même rayon ou domaine. Il convient de démontrer ce qui a
été fait par nos prédécesseurs, leurs problèmes de départ, et les résultats auxquels ils ont aboutis.

Dans ce cadre de la technique documentaire, avec le but d’enrichir notre étude, nous
avons lu le travail de KUDURA MIENDA.

Notre prédécesseur avait comme sujet d’étude : « Mise d’une base de données pour
la gestion d’attribution de numéro parcellaire direction des affaires foncière/IKELA »

 Quel système utilisé à la direction des affaires foncières/IKELA


 Est-il important de mettre en place, un système informatisé pour la gestion
d’attribution des numéros dans des parcelles, à la Direction des affaires foncières
à IKELA ?

Par rapport à son problème de départ, il s’était fixé les hypothèses suivantes :

 La direction des affaires foncières utilise le système manuel


 Il est important pour mettre en place, un système informatisé pour la gestion
d’attribution des numéros dans des parcelles, à la Direction des affaires foncières
d’IKELA
1
www.larousse.fr/dictionnaire, vendredi 11/08/2023, à 12h30
2
KIYUNSA Bidum G. SHOMBA KINYAMBA S., Initiation aux méthodes de recherche en Sciences Sociales. éd. PUZ, 1995
P.41
Pour ce qui nous concerne, notre objet d’étude se penche sur la « mise en place une
base de données pour la gestion de répartition des étudiants dans des locaux des examens à
l’ISC-ILEBO.

0.3. PROBLEMATIQUE
Par sa définition, la problématique est un ensemble des questions précises et concises
posées dans un sujet précis dans le domaine scientifique, en vue d’une recherche des solutions.3

Selon KIYUNSA BIDUM G. et SHOMBA KINYAMBA S., la problématique désigne


l’ensemble de questions posées dans le domaine de la science, en vue d’une recherche des
solutions4.

Les deux auteurs ajoutent que, la problématique ne peut que signifier le problème à
résoudre par des procédés scientifiques5.

Jadis, la gestion ou le traitement des données se faisait manuellement, ce qui était


lent, ennuyeux, harassant et difficile de retrouver rapidement les informations voulues. Les
informations relatives à cette gestion de répartition des étudiants, dans les locaux des examens
s’est conservée ou gardée de manière sécurisée et sujette à de nombreuses erreurs.

D’après nos investigations, et au regard des inconvénients inhérents à la gestion


manuelle de répartition des étudiants dans des locaux des examens, nous nous sommes alors posé
les questions suivantes :

- Le processus actuel de gestion de répartition des étudiants, dans des locaux des examens
au sein de l’ISC-ILEBO est-il fiable ?
- L’informatisation de cette gestion manuelle, résoudra-t-elle tous les problèmes de la gestion
manuelle cités-ci-haut ?
- Quels sont les avantages d’un tel système, dans le fonctionnement de l’ISC-ILEBO(Jury).

Nous rechercherons à répondre provisoirement à ces questions dans la partie


hypothèse de la manière suivante :

0.4. HYPOTHESE

Dans le langage courant, ce terme évoque la présomption que l’on peut construire
autour d’un problème donné.

Pour le Dictionnaire Robert M. désigne une proposition relative à l’explication des


phénomènes naturels et qui doit être vérifiée par les faits6.

Les hypothèses ci-après sont formulées en guise de réponses provisoires aux


questions ci-hauts posées :

A notre avis, pour que les problèmes énumérés dans notre problématique soient
résolus, nous proposons la mise en place d’une base de données au sein de l’ISC-Ilebo (Jury).

3
Petit Robert, Dictionnaire de langue française, nouvelle édition, revue, corrigée et mise à jour, Paris, 1987
4
KIYUNSA Bidum G. SHOMBA KINYAMBA S.Op.cit
5
Idem
6
Dictionnaire le Micro R. Montréal, Canada, 1988, P.545
Le nouveau système pourrait être une meilleure solution et elle permettrait:

- D’éviter la répartition des étudiants dans des locaux dont leurs noms ne se figurent pas ;
- D’éviter toutes les erreurs liées à la gestion manuelle
- D’établir les listes des étudiants selon les locaux
- D’obtenir les statistiques des tous les étudiants répartis dans des locaux.

En performance du système informatisé que nous proposons, constituerait également


une garantie pour la gestion de répartition des étudiants dans des locaux.

Nous concevrons la base de données avec la méthode MERISE. Le SGBD utilisé est
le SQL server 2008, manipulé par le langage de programmation VB Studio.

0.5. CHOIX ET INTERET DU SUJET

0.5.1. CHOIX DU SUJET


Le choix du sujet se présente comme acte que l’on pose dans le processus de toute
recherche scientifique. Il n’existe pas à ce propos un procédé unique présidant la détermination d’un
thème d’investigation7.

Nous devons retenir que toute investigation part toujours d’une curiosité scientifique.

Notre objet d’étude est porté ainsi sur le thème intitulé : « Mise en place d’une base
de données pour la gestion de répartition des étudiants dans des locaux des examens à
l’ISC-ILEBO 2023 ».

Notre souci moyen est d’aider l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo, en dotant
d’outil efficace de gestion de répartition, des étudiants dans des locaux des examens.

0.5.2. INTERET DU SUJET


Etat de l’esprit qui prend part, à ce qu’il trouve digne d’attention.

Ainsi, l’intérêt dans cette étude est de décrire de façon, détailler et l’importance de la
gestion de répartition des étudiants dans des locaux, en faisant allusion à son rôle, pour une
bonne réussite des activités académiques.

Cette étude va nous rendre plus profond et expérimenté les connaissances acquises
durant notre premier cycle, en Informatique de gestion.

Enfin, cette étude sera pour le monde scientifique, un document de référence à toute
recherche ultérieure cadrant avec celle-ci.

0.6. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES

0.6.1. METHODES UTILISEES


Comme on le sait, une science se définit par un objet propre et des méthodes précises.

Méthode veut dire poursuite, et que par conséquent effort pour atteindre une fin.

En effet, la méthode désigne l’effort intellectuelle, qui organise le choix du sujet et


accompagné le chercheur, dans la collecte systématisée des matériaux.

7
KIYUNSA BIDUM G. et SHOMBA KI NYAMBA S., Op.Cit. P.37
A ce qui concerne notre objet d’étude, nous avons utilisé la méthode suivante :

 MERISE : qui est une méthode de réalisation de projet informatique ; la Méthode MERISE
est une de conception, qui consiste à séparer les données et les traitements en plusieurs
modèles et phases pour concevoir le système d’information dans une entreprise. Cette
méthode était accompagnée des approches suivantes :
 Approche Analytique : cette approche consiste à analyser les procédures de traitement de
l’information, dans un Système d’Information ; elle nous a permis de découper notre travail,
en autant de domaines en vue de proposer un modèle adéquat de traitement des données.
Elle nous a aidées également, dans l’analyse de différents documents pour circonscrire le
cadre théorique de la recherche.
 Approche structuro-fonctionnelle : elle nous a permis d’étudier la structure et le
fonctionnement, de divers organes de l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo, afin de
percevoir la partie faiblissante et d’en proposer des solutions pour son amélioration. Elle
nous a conduits à déceler les postes concernés, pour notre processus à informatiser.
 Approche comparative : nous l’avons utilisé dans le choix de différents outils de conception
et de réalisation, utilisées pour la réalisation de cette Base de Données.

0.6.2. TECHNIQUES UTILISEES


Par technique, nous attendons l’ensemble de procédés exploités par le chercheur dans
la phase des données qui intéressent son étude.

La technique est un moyen ou ensemble de moyens adaptés à une fin8.

Pour arriver à réaliser ce travail, nous avons utilisés les techniques suivantes :

 La technique d’interview libre : cette technique nous a aidé d’interviewer


certains de l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo pour les informations
fiables ;
 La technique d’observation directe : cette technique nous a permis de saisir
la réalité par l’observation directe faite à l’Institut Supérieur de Commerce
d’Ilebo ;
 La technique documentaire : cette dernière nous a permis de consulter les
documents en rapport avec notre étude.

0.7. DELIMITATION DU SUJET


Toute scientifique procède fatalement par de coupage de la réalité.

Dans l’espace, notre champ d’étude trouve sa place à l’Institut Supérieur de Commerce
d’Ilebo, précisément au bureau de jury

Dans le temps pour réaliser ce travail, nos recherches ont été menées au cours de la
période allant du 15 février au 7 septembre 2023 sur base du système d’information actuel au sein
de l’Institution.

0.8. SUBDIVISION DU TRAVAIL


Excepté l’introduction et la conclusion générales, notre travail se subdivise en trois
chapitres qui sont :

8
Dictionnaire Universel 2e P. 165
 Le premier chapitre : traite de l’étude d’opportunité ;
 Deuxième chapitre : Modélisation du nouveau système avec la méthode MERISE
 Troisième chapitre : Réalisation de l’application

0.9. DIFFICULTES RENCONREES


Nous avons eu des difficultés pour l’élaboration dudit travail entre autres :

- Manque des bibliothèques riches dans notre rayon d’Ilebo ;


- Manque de moyen financier suffisant

CHAPITRE PREMIER : L’ETUDE DE L’OPPORTUNITE

L’analyse de l’existant appelée aussi étude de faisabilité comporte un ensemble


d’études préliminaires avec comme objectif de mettre à la portée des responsables toutes les
données techniques possibles et de la permettre afin de décider si oui ou non.
Section1 : Présentation de l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo

I.1. Aperçu historique


Comme nous l’avons souligné ci-haut, l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo a vu le
jour en 1993 par l’arrêté ministériel n°ESU/CABMIN/0483/ du 19/10/1993 portant ouverture
d’Enseignement Supérieur et Universitaire sur le territoire national en RDC une année plus tard, il
obtient sous l’arrêté ministériel n°ESU/CABMIN/0402 du 07/04/1994 avec un Comité de Gestion
composé de :

- DG le Chef de Travaux Firmin MAKUTU ;


- SGAC Assistant Achille BUNDJOKO IYOLO
- SGAD Assistant Gaspard MANYAMA

Son agrément définitif n’interviendra qu’en date du 19 Avril 1996 en charge totale par le trésor public
sous l’arrêté ministériel n°ESURS/CABMIN/B4/062 Bis avec un comité de gestion comme suit :

- DG Assistant Achille BUNDJOKO IYOLO ;


- SGAC Assistant Alphonse LUNGAMAKAMBA MASHEKE ;
- SGAD Assistant Henri NGWAMA PERO LUMBOMBO.

I.2. SUCCESSION DE COMITE GESSTION

De 1996-2001 :

- DG Chef de Travaux Achille BUNDJOKO IYOLO ;


- SGAC Assistant Alphonse LUNGAMAKAMBA MASHEKE ;
- SGAD Monsieur Henri PERO LUMBOMBO

De 2001-2004 :

- DG Chef de Travaux Achille BUNDJOKO IYOLO ;


- SGAC Assistant Alphonse LUNGAMAKAMBA MASHEKE ;
- SGAD Assistant Jean-Bosco NGWAKOYO NYAMAKAD’KATOT ;

De 2004-2010 :

- DG Chef de Travaux Achille BUNDJOKO IYOLO ;


- SGAC Chef de Travaux Jean-Bosco NGWAKOYO NYAMAKAD’KATOT ;
- SGAD Assistant Alphonse LUNGAMAKAMBA MASHEKE ;

De 2010-2011:

- DG Chef de Travaux Achille BUNDJOKO IYOLO ;


- SGAC Poste vacant ;
- SGAD Chef de Travaux Alphonse LUNGAMAKAMBA MASHEKE ;

De 2011-2016 :

- DG Professeur Associé Achille BUNDJOKO IYOLO ;


- SGAC Chef de Travaux Alphonse LUNGAMAKAMBA MASHEKE ;;
- SGAD Assistant Ephrem BWANGA BWA PERO ;
- AB Assistant YVON MABONDJI PUNGA

De 2016 -2018 :
- DG. Professeur Associé IYOLO PONGO BULONDO Rodolphe ;
- SGAC : Chef de travaux Ephrem BWANGA BWA PERO ;
- SGAD : Chef de travaux NZUNDU KWEY Floribert ;
- AB : Assistant Yvon MABONDJI PUNGA .

De 2018 -2021

- DG Chef de Travaux Pierre KWAKOMBE WOTO;


- SGAC : Chef de travaux Leiris PANGU NDJONDO ;
- SGAD : Chef de travaux KWEYABATO NDEMBWANYI ;
- A.B : Chef de travaux Noëlla PEMBA BAHEKA ;

De 2021 à nos jours

- DG Chef de Travaux Antoine YOK BAKWEY;


- SGAC : Chef de travaux Marcelin MAMBOKO KUKA;
- SGR : Chef de Travaux LWENDJOKO Adalbert ;
- SGAD : Chef de travaux Leiris PANGU NDJONDO ;
- A.B : Madame Honorine BIONGO.

I.3. Objectif de l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo


L’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo a pour mission :

- Former les cadres spécialistes dans les domaines de techniques commerciales,


informatique, comptabilité, fiscalité, secrétariat de direction, comptable et
diplomatique;
- Organiser la recherche sur l’adaptation des techniques commerciales
informatique.

I.4. Situation géographique


Géographiquement, l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo créé en RDC et implanté
dans la province du Kasaï, dans le territoire d’Ilebo, au quartier Bikuku, Avenue Koshi N°75. Il est
borné :

- A l’Est par l’ISTM Ilebo ;


- A l’Ouest l’Eglise Catholique Saint Kizito
- Au Nord par la route nationale n°1 qui amène à Kananga
- Au Sud par la source Mputshia
I.5. Organigramme général

Figure N°1 : présentation de l’organigramme de l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo


Source : Collège Sainte Christine
I.4.1. Organigramme de service concerné
COMITE DE GESTION

DIRECTEUR GENERAL

PRESIDENT DU JURY

SECRETAIRE DE JURY

MEMBRE DU JURY

I.4.2. Description des postes


Il assure la gestion quotidienne de l’Institution et exécute les décisions du ministère et
du Conseil d’Administration des Instituts Supérieurs Techniques, c’est un organe de gestion qui est
composé de :

- Directeur Général (DG) ;


- Deux Secrétaires Généraux : Académique et Administratif ;
- L’Administrateur du Budget.
A. LE DIRECTEUR GENERAL

Il est numéro 1 de l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo.

En cette qualité :

- Il veille au respect du statut et des règlements ;


- Il préside les réunions du Conseils de l’Institut et du Comité de Gestion en cas d’Urgence ;
- Il exerce tout le pouvoir, la police de l’institut notamment en cas e ce qui concerne le
maintien de l’ordre public, l’application des lois et règlement relatif à la sécurité des biens et
des personnes, à la salubrité de lieu et à la santé morale et hygiénique de la population de
l’Institut. Il peut convoquer et assister sans voix délibérative au jury d’examen, dans ce cas, il
devient le président de la séance ;
- Il ouvre et clôture les sessions du cours et les sessions d’examens ;
- Il confère les grades académiques, contresigne les diplômes officiels ;
- En cas d’urgence, il prend toutes les mesures que révèle de la compétence du Conseil de
l’Institut en se chargeant de l’informer à la session prochaine ;
- Il contrôle toute la situation financière de l’Institut.

I.5. Etude des moyens utilisés


Ce sont les ressources humaines, matérielles et financières de l’organisation.

I.5.1. Moyens humains


L’analyse des moyens humains est très indispensable pour mieux comprendre la
qualification des personnes.
Nous avons alors utilisés une fiche d’analyse, le voici :

Tableau n°1 : Présentation des moyens humains


Source : ISC-ILEBO
Projet : Domaine éducationnel date,
le…../…../2021
Analyste : MABELE POLELE
Application :
N° Niveau d’étude
01 Professeur
02 Professeurs associés
02 Chefs de travaux
03 Assistants 2
04 Assistants 1
05 Chargé de pratique professionnelle
Total
Total personnel

I.5.2. Moyens financiers


Les moyens financiers de l’Institut supérieur de Commerce d’Ilebo proviennent des
étudiants, c’est-à-dire lors de paiement de frais adamique et autres frais connexes, qui fait l’outil de
la production de l’organisation pour le bon fonctionnement et pour la disposition des frais pour le
paiement des agents et surtout le non payé. Parce que d’autres agents sont reconnus par l’Etat
congolais donc ils sont prise en charge.

I.6. Infrastructures
L’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo dispose d’un important patrimoine de
plusieurs biens, dont des bâtiments, des matériels didactiques et des matériels informatiques.

Tableau n°2 : présentation des moyens matériels


Source : ISC-ILEBO
Projet : Domaine éducationnel date, le…../…../2021
Analyste : MABELE POLELE
Application :
N° Matériels Nombres Didactique
1 Tables laboratoire informatique 14 Informatique
2 Chaises laboratoire informatique 29 Informatique
3 Ordinateurs fixes et 4 portables 28 Informatique

I.7. Etude des documents utilises


Cette étude nous a permis de présenter les documents utilisés.

En effet, les documents utilisés l’Institut Supérieur de Commerce pour la répartion, on y


trouve :

 Les liste des étudiants;

La liste est un document qui répertorie l’effectif des étudiants dans des locaux.

Est un document que la section remet aux enseignants pour mettre les points annuels des étudiants
avant la délibération.
I.7.1. Description des documents utilisés
I.7.1.1.listes
Tableau n°3 : description de registre
Source : ISC-ILEBO
N° Code Rubrique Libellé Rubrique Nature Taille
1 Num etud N Num etud N 27
2 Nom Nom AN 15
3 Postnom Postnom AN 16
4 Sexe Sexe Booléenne 8
5 Promotion Promotion
6 Option Option

191 octets

I.8. Etude de la procédure


a. Narration de la procédure de la gestion de répartition des étudiants dans des locaux des
examens

L’étudiant se présente devant le président de jury qui procède à l’appel nominal ;

Le président reçoit l’élève et lui attribue un numéro d’ordre et présente l’étudiant au


surveillant ;

Le surveillant reçoit l’élève, vérifie le numéro attribué par le président puis lui indique la
place.

b. Le diagramme de flux

Ce diagramme est appelé aussi modèle conceptuel de la communication) permet de


compléter le diagramme de contexte en décomposant l’organisation en une série d’acteurs internes.
Dans ce diagramme la représentation standard est la suivante :

- Les acteurs internes sont représentés par des ellipses ;


- Les messages internes sont représentés par des flèches.

c. Présentation du diagr amme de flux

Figure N°2 : Présentation du diagramme de flux


Source : nous même
d. Description de flux

Acteurs émetteur Acteur récepteur Distance


Flux 1 Etudiant Président de jury ± 5m Preuve de paiement
Flux 2 Président de jury Etudiant ± 2m Attribué le numéro
Flux 3 Membre de jury Etudiant ± 2m Fiche de présence
Flux 4 Etudiant Membre de jury ± 2m Fiche de présence signée
Flux 5 Président de jury Membre jury Procès-verbal
Flux6 Membre jury Président de jury Procès-verbal signé

Tableau n°4 : Description de diagramme de flux


Source : nous même

Section II : Critique de l’existant


Elle nous permet de décider les anomalies ou les insuffisances supposées et réels du
système d’information, en place de faciliter une connaissance complète du système futur
(système informatisé). Cette critique ne consiste pas à la destruction, mais qu’à l’ajout d’un plus
sur ce qui existe.

Elle permet de déceler les causes, qui sont à la base de disfonctionnement ou son
alourdissement.

II.1. Aspects négatifs


 Du point durée de traitement, nous avons noté une lourdeur dans le traitement des
informations;
 Du point de conservation des informations, elles sont gardées sur des supports papiers. Ce
qui présente plusieurs risques et par conséquent une insécurité, une courte durée de vie
pour ces dernières.
 Du point de vue circulation des informations, nous avons décelé un circuit moins raccourci
de circulations des informations ;

II.2. Aspects positifs


 Du point de vue organisation, l’ISC est bien organisé ;
 bien structuré. Il est chapoté par le DG, qui est assisté par trois Secrétaires Généraux et
une Administrateur de Budget
 Le limite de travail et autres se déroulent dans un climat, de parfaite collaboration et de
sérénité.

Section III : Proposition des solutions


Après l’analyse faite sur notre existant, en ce qui concerne les aspects négatifs, nous
avons trouvé, que le plus grand problème se pose du fait que le système est manuel.

C’est ainsi que nous proposons aux responsables de l’ISC-ILEBO ce qui suit :

III.1. Solution manuelle réorganisée


Abordant la piste d’une solution manuelle réorganisée, l’ISC-ILEBO devra se doter
d’une bibliothèque, afin de bien structurer ses documents. Ce qui suppose une classification des
documents par année ; augmenter si possible le nombre du personnel sur base des critères ci-
après :

 Qualification et aptitude professionnelles plus ou moins requises ;


 Un degré d’expérience pour la fonction à occuper.
a. Avantage:
 Croissance du bureau par l’accumulation d’un potentiel humain qualifié ;
 Faciliter dans la recherche des documents à une période bien déterminée ;
 Minimisation du temps de réalisation des opérations etc.
b. Désavantage :
 Cette solution ne permet pas une longue durée de vie des informations, à cause de la
nature du support de stockage des informations utilisées ; c’est-à-dire le support papier ;
 Risque d’erreur et imperfection due à la fiabilité humaine ;
 Charge du personnel élevé à supporter par l’Institution etc.

III.2. Solution informatique


Quant en ce qui concerne la perspective d’une solution informatique, elle nécessite
l’utilisation d’un certain nombre d’ordinateurs qui prendront en charge d’une manière
automatique toutes les données relatives aux opérations de gestion de répartition des étudiants
dans les locaux des examens lesquelles seront en effet stockées dans une base de données qui
sera administrée.

a. Avantage :
 Contrôle assuré des informations ;
 Faciliter dans la recherche, mise à jour et édition des informations, à une période bien
déterminée ;
 Amélioration de la productivité ou du rendement, grâce à la performance et la rapidité du
traitement des informations ;
 Fiabilité des résultats obtenus
b. Désavantage :
 Charges à supporter pour l’acquisition des équipements informatiques et des logiciels ;
 Charges à prendre en compte pour la formation du personnel, appelé à utiliser le
nouveau système ;
 Coût de la maintenance des équipements informatiques à prendre en charge ;
 Invasion des virus et autres logiciels malveillants…

III.3. Le choix d’une solution


Compte tenu du volume des informations à traiter, du niveau de sécurité nécessaire, des
besoins des utilisateurs du système et de la politique de croissance de l’ISC-ILEBO, nous
préconisons, pour une meilleure performance du système actuel, une solution informatique.
Section IV : Définition de concept de base du sujet
1. Mise en place : action d’installer, placer, de mettre quelque chose à une certaine place.

2. Base de données: Une base de données (son abréviation est BD, en anglais DB, database)
est une entité dans laquelle, il est possible de stocker des données de façon structurée et
avec le moins de redondance possible. Ces données doivent pouvoir être utilisées par des
programmes, par des utilisateurs différents. Ainsi, la notion de base de données est
généralement couplée à celle de réseau ; afin de pouvoir mettre en commun ces
informations, d’où le nom de base9.

3. Gestion : La gestion est une organisation et actualisation (de quelque chose). Dans
l’administration, la gestion est une organisation et contrôle administratif d’une entreprise. Elle
a pour verbe « GERER » ; qui vient du latin « GERO »qui signifie à la fois, porter, administrer.
4. Répartition
5. Etudiants
6. Locaux

9
Comment ça marche.net
Chapitre II : Modélisation du nouveau système avec la méthode mérise

Section I : Modélisation de données

I.1.Dictionnaire de données
I.1.1. Définition
Le dictionnaire de données est un ensemble de propriétés, permettant d’élaborer le
modèle conceptuel de données (MCD). C’est un schéma qui regorge la structure de données, qui
sont constituées à partir d’un ensemble des définitions, de base constituées par les données
élémentaires de base qui sont des propriétés.
I.1.2.Présentation du dictionnaire de données
Tableau n°5 : Présentation de dictionnaire de données
Source : Nous même

N° Code Rubrique Désignation Objets Nature Taille Formule


Objt Objt Objt Objt Objt Objt Objt7 Objt E S C AN N D
1 2 3 4 5 6 8
01 Matriculemembrejury X X AN N 5
02 Nom X X AN 12
03 Postnom X X AN 10
04 Prénom X X AN 1
05 Sexe X X AN 13
06 Lieu de naissance X X AN 8
07 Date de naissance X X AN X 12
08 Adresse X X AN 32
09 Niveau d’étude X X AN 12
10 Fonction X X AN 16
11 Grade X AN
14 Matriculesurveillant X AN
15 Nom X AN
16 Postnom X AN
17 Prénom X AN
18 Sexe X AN
19 Lieu de naissance X AN
20 Date de naissance X AN
21 Adresse X AN
22 Niveau d’étude X AN
23 Fonction X AN
24 Grade X AN
25 Matricule etudiant X AN
26 Nom X AN
27 Postnom X AN
28 Prénom X AN
29 Sexe X AN
30 Lieu de naissance X AN
31 Date de naissance X AN
32 Adresse X AN
33 Niveau d’étude X AN
34 Fonction X AN
35 Grade AN
48 Code grande fiche pr X AN
49 Nom étudiant X AN
50 Cours X AN
51 Travaux annuel X AN
52 Examen X

54 Code local X AN
55 Nom enseignant X AN
56 Promotion X AN
57 Département X AN
58 Cours X AN
59 Année académique X AN
60 Nom étudiant X AN
61 Travaux annuels X AN
62 Date X AN
63 Signature X AN
64 #Matricule enseignant X AN
I.2.La dépendance fonctionnelle

I.2.1.Définition
La dépendance fonctionnelle est considérée comme étant une liaison, ou de liaisons
possibles entre les propriétés. Ces liaisons rendues possibles, grâces aux valeurs que prennent
chacune de propriété.10

10
CRESSOR, DETHOOR, JN BOILLOT ; Les principaux types d’organisation de fichiers informatique de gestion, éd.
Réalisation pratique décembre 1970
I.2.2.Présentation de la dépendance fonctionnelle

N° PROPRIETES PROPRIETES SOURCES


Matricule CODE MATRICULE Matricule Matr m. Code Code petite Code
enseignant départ membre .Enc autorité jury grande grille procès-
ement o acade grille verbal
01 Nom X
02 Postnom X
03 Prénom X
04 Sexe X
05 Lieu de naissance X
06 Date de naissance X
07 Adresse X
08 Niveau d’étude X
09 Fonction X
10 Grade X
11 Libelle département X
12 Nom X
13 Postnom X
14 Prénom X
15 Sexe X
16 Lieu de naissance X
17 Date de naissance X
18 Adresse X
19 Niveau d’étude X
20 Fonction X
21 Grade X
22 X
23 Nom X
24 Postnom X
25 Prénom X
26 Sexe X
27 Lieu de naissance X
28 Date de naissance X
29 Adresse X
30 Niveau d’étude X
31 Fonction X
32 Grade X
33 X
34 Nom X
35 Postnom X
36 Prénom X
37 Sexe X
38 Lieu de naissance X
39 Date de naissance X
40 Adresse X
41 Niveau d’étude X
42 Fonction X
43 Grade X
45 Code grande grille X
46 Nom étudiant X
47 Cours X
48 Travaux annuel X
49 Examen X
50 Code petite grille X
51 Nom enseignant X
52 Promotion X
53 Département X
54 Cours X
55 Année académique X
56 Nom étudiant X
57 Travaux annuels X
58 Date X
59 Signature X
60 #Matricule X
61 enseignant X
62 Code procès-verbal X
63 Motif X
64 Noms membres du X
65 jury X
66 Signature X
67 #Matricule autorité X
68 académique X
69 #Matricule membre X
70 du jury X
71 Date X
72 Motif X
73 Noms membres du X
74 jury X
75 Signature X
76 #Matricule autorité X
77 académique X
78 #Matricule membre X
79 du jury X
80 Date X

Tableau n°6 : Présentation de la dépendance fonctionnelle


Source : Nous même
I.3. Règle de passage de dépendance fonctionnelle au modèle conceptuelle de données
(MCD)
 Toute propriété à source de dépendance fonctionnelle devient des identifiants
d’entité dans le modèle conceptuel de données (MCD) ;
 Toute propriété but de dépendance fonctionnelle ayant une propriété à source
devient une propriété d’entité dans le modèle conceptuel de données ;
 Toute propriété à la fois dépendance fonctionnelle pour au moins une autre
propriété entraine la création d’une association binaire de cardinalité maximum
égal à un.

I.4.Démarche à suivre dans l’élaboration du modèle conceptuel de données (MCD)


Partant de la définition, le modèle conceptuel de données (MCD) est une représentation
statique du système d’information de l’entreprise qui met en évidence sa sémantique.

I.4.1.Démarche ascendante
C’est une démarche qui consiste à partir du schéma de circulation et des règles de
gestion à construire un schéma conceptuel entité-association après avoir conçue le dictionnaire de
données recherche de dépendances fonctionnelles entre propriété et après avoir appliquée les
règles de passage de dépendance fonctionnelle au modèle conceptuel de données (MCD).

C’est une démarche rigoureuse du fait qu’il assure le concepteur que sa présentation
conceptuelle de données du système d’information est le résultat d’un travail donné
systématique, cette démarche, ne se réalise pas pour le système d’information volumineuse.

I.4.2.Démarche descendante
C’est une démarche appelée empirique car son système est basé sur la recherche des
entités et associations puis les propriétés à leurs associations et afin l’indication des cardinalités.

Elle est plus globale car elle présente l’inconvénient de ne pas mettre en œuvre la
notion de dépendance fonctionnelle et donc de produire les schémas qui ne sont pas en
troisième forme normale.

Elle comporte deux opérations :

 Le recensement de rubrique apparait dans le système d’information existant ;


 Le recensement des nouveaux besoins exprimés en termes de fonction par
utilisateur.

I.4.3.Choix de la démarche
La qualité d’information à considérer n’est pas volumineuse, nous avons opté
pour une démarche ascendante pour faire la recherche de rubrique ‘entrée.

I.5. Etape Conceptuelle

I.5.1.Définition
Le modèle conceptuel de données est une représentation statique au système
d’information de l’entreprise qui met en évidence sa sémantique.
I.5.2.Formalisme

Cardinalité minimum Verbe en infinitif

ENTITE
ENTITE
ASSOCIATION
PROPRIETE
PROPRIETE

Cardinalité maximum
Figure N°3 : présentation du formalisme
Source : Nous même

I.5.3. Recensement des associations ou des relations


1. Se présenter entre Département et Enseignant
2. Elaborer entre Département et Petites grilles
3. Transcrire entre Petites grilles et Enseignant
4. Transcrire2 entre Petites grilles et membre d’encodage
5. Recevoir entre membre du jury et petites grilles
6. Elaborer entre grande grilles et membres du jury
7. Autoriser entre autorité académique et membres du jury

I.5.4. Recensement de règle de gestion

Figure N°4 : recensement de règle de gestion


Source : Nous même
I.5.6. Interprétation de règle de gestion

I.5.7.Modèle conceptuel de données brut

I.5.7.1. Définition
Le modèle conceptuel de données brut (MCDB) est celui qui présente les entités avec
le verbe à l’infinitif, c’est-à-dire liens ou les associations qui réunissent les entités sont
conjuguées à l’infinitif. Dans ce modèle il n’y a pas encore de notion de dépendance fonctionnelle
entre les entités, il se conçoit de manière brute.

II.7.2. Présentation du Modèle conceptuel de données brut

Figure 5 : Présentation de modèle conceptuel de données brut


Source : Nous même
a. Quantification de multiplicité de cardinalité

La moyenne n’est pas toujours facile, soit on fixe arbitrairement cette cardinalité soit à
partir de statistique possible pour la dernière façon plus précise.

Cette quantification des cardinalités multiples s’exprime par des éléments ci-dessous :

 La cardinalité maximale ;
 La cardinalité minimale ;
 La cardinalité moyenne.

Le choix de cette valorisation se fait selon l’intérêt dans le processus d’optimisation.


Dans tous les cas, au niveau organisationnel on définira la cardinalité moyenne.

La quantification de cardinalité moyenne n’est pas toujours aisée. Elle peut être fixée
arbitrairement ou à partir de statistique sur la population d’entité concernée par la relation.

Il n’est alors possible de la déterminer de façon plus précise avec cette formule.
CM= (Min+2Mo+Max)4*P

CM : Cardinalité moyenne ;

Min : Valeur minimale (fréquence d’apparition plus élevée) ;

N : Valeur Maximale de l’effectif

Max : valeur maximale

P : Taux de répartition à la relation

Mo 32 Mo 17
P¿ = =0 , 2 P¿ = =0 , 6
N 136 N 27
CM= (Min+2*Mo + Max)/4*P CM= (Min+2*Mo + Max)/4*P
CM= 1+2(32 + 136)/4*0,2 CM= 1+2(17 + 27)/4*0,6
CM= 1+(64 + 136)/4*0,2 CM= 1+(18 + 27)/4*0,6
CM= (65 + 136)/4*0,2 CM= (19 + 27)/4*0,6
201 46
∗2 ∗6
CM = 4 402 = 10,5 CM = 4 276 = 6,9
I.5.8.Règle
= =
10 de passage
40 du modèle conceptuel de données
10 40 brut au modèle conceptuel de
données Valide (MCDV)
La règle de validité du modèle conceptuel de données brut ou la normalisation du
modèle conceptuel de données brut ne pouvant se limité seulement à résoudre les conflits
entretenus par la polysémie et la synonymie. Il fait veiller à ce que le modèle conceptuel de
données brut puisse vérifier les règles des normalisations suivantes.

 Dans une entité, toutes propriétés sont élémentaires dans une entité, c’est-à-
dire les propriétés doivent être non décomposable, on doit voir une seule clé
caractérisant chaque occurrence (clé primaire) ;
 L’entité père doit céder sa clé à l’entité fils pour assurer une relation entre deux
entités ;
 Les verbes disparaissent encas de relations du type père et fils pour avoir le
contrainte d’intégrité fonctionnelle (CIF) appelé dépendance fonctionnelle ;
 Pour les entités des couples de cardinalités fils et fils la relation tombe, et on
garde seulement les entités parce qu’ils sont en relation avec d’autres entités ;
 Pour les entités des couples des cardinalités pères, pères les verbes demeurent
et ces verbes se conjuguent au temps présent, on choisit l’un parmi les deux
entités, qui sera considéré comme fils ;
 Dans une relation des propriétés doivent dépendre fonctionnellement des
identifiants des entités concernées par la relation c’est-à-dire les propriétés
communes qui ne doivent pas être à un identifiant à deux entités ;
 Si une entité a un identifiant, un des éléments composant cet identifiant ne doit
pas dépendre d’une autre entité ;
 Chaque propriété de la relation doit dépendre fonctionnellement de l’ensemble
des identifiants et des entités qui participent à la relation, mais aucun sous
ensemble ne doit avoir une dépendance pleine de propriétés des relations par
rapports aux entités.

I.5.9.Modèle conceptuel de de données valides (MCDV)

I.5.9.1.Définition
Le modèle conceptuel de données valide est celui qui s’élabore avec le verbe au
présent et tient compte de la migration de clé, c’est-à-dire la dépendance entre deux ou plusieurs
entités.

I.5.10. Règle de passage du modèle conceptuel de données au modèle organisationnelle de


données globales
Ce passage s’effectue de la manière suivante :

 Supprimer les éléments qui ne seront pas modélisés informatiquement (il peut
s’agir de des objets, relations ou propriétés pour trois raisons :
 Si l’objet ne présente pas d’intérêt pour votre application de ;
 Lorsque l’objet ou relation est technique impossible d’être
informatisée ;
 Si l’objet ne contient qu’un enregistrement.
 Modifier certaines éléments aux besoins ;
 Ajouter d’autres éléments s’il y a lieu pour garder la sémantique entre les
données : s’il n’y a pas suppression, modification, ajout le modèle global doit
être égal au modèle conceptuel de données.

I.2. Etape organisationnelle de données globales

I.2.1.Définition
Est une phase organisationnelle de données qui permet de contrôler la structure de
données à informatiser et le contrôle se passe au niveau de règle de passage.

Pour notre MC est égal à MOD


ICalcul de la base de données
1. Calcul de volume théorique des tables

Tableau n°7 : Calcul de volume des tables


Source : nous même
Volume théorique des tables = somme de volume *coefficient

3982 *2,5=9955 Mo

2. Volume théorique des indexes

Tableau n°8 : Calcul des indexes


Source : nous même

Volume théorique des indexes=somme de volume*coefficient


200*2,5=500 Mo
Calcul de volume de la base de données = Volume Théorique de des tables + volume
théorique des indexes/1024Ko
9955+500
=¿
1024

I.3. Etape logique

I.3.1. Règle de passage de modèle de conceptuel de données valide au modèle logique de


données
 Toute association devient relation, l’identifiant de l’entité devient clé primaire de
la relation, les propriétés de l’entité devient des attributs de la relation ;
 Toute association binaire de cardinalité maximum N devient une table de
l’identifiant de l’implicite dont association devient association de l’attribut de la
table à l’absence de propriété, la relation a comme attribut que ceux qui
constitue sa clé primaire. Cette clé s’applique aussi à l’association réflexive,
mais il est alors nécessaire de préciser le rôle de chaque attribut constitutif de
la clé primaire ;
 Toute association binaire de cardinalité maximum égal à 1 induit la création
d’une clé étrangère. Une clé étrangère est ajoutée dans la relation ayant pour
origine l’entité dont la participation maximum à l’association vaut un.

I.3.2. Modèle logique de données

I.3.2.1. Définition
Le modèle logique de données brut est une transformation de MOD dans le langage qui n’est pas
compréhensible que par l’informaticien.

Il convient de signaler que le modèle logique de données contient encore des


impuretés auxquels doivent appliquer certaines nombres de normalisation ou vérification des
tables.

I.3.2.2.Présentation de modèle logique de données brut


1. Surveillant :(Matricule enseignant, Nom, Post-nom, Prénom, Sexe, Lieu de naissance, Date de
naissance Adresse, Niveau d’étude, Fonction) ;
2. Membres du jury : (Matricule membre du jury, Nom, Post-nom, Prénom, Sexe, Lieu de naissance,
Date de naissance Adresse, Niveau d’étude, Fonction) ;
3. Etudiant : (Matricule membre du jury, Nom, Post-nom, Prénom, Sexe, Lieu de naissance, Date de
naissance Adresse, Niveau d’étude, Fonction);

I.3.Normalisation et vérification des tables

I.3.1.Définition
Elle consiste à partir d’un objet dit universitaire à faire éclater celle-ci en plusieurs
réduits aux formes normales, l’objet de la normalisation de limiter le nombre de redondances et
anomalies lord de la mise à jour de la base de données.

a. Vérification

Il y a quatre règles de vérification qui nous permettent de bien vérifier les tables à
savoir :


Une propriété par une occurrence de relation ou objet qui ne porte ni ne peut
être répétitive ni sa signification ;
 Pour chaque objet, où doit exister obligatoirement un identifiant est toujours la
première propriété et, est précédée du signe « ≠ » ou soulignement ;
 La dépendance pleine d’objet dans une relation c’est-à-dire si une relation porte
une propriété, celle-ci doit dépendre pleinement de tous les objets qui participent
dans la relation si non on transfère dans l’objet auquel il se rattache ;
 Le respect des règles de gestion doit être réfléchit dans le modèle conceptuel de
données par la cardinalité.
b. Forme normale (FN ou NF)
1. Définition
En principe il existe cinq (5) formes normales, cependant deux dernières ne sont que
des cas particuliers, ainsi, chaque objet devra respecter les lois suivantes :

 Première forme normale : Toute propriété doit veiller au respect du principe


élémentaire c’est-à-dire si tous les attributs portés par une table sont élémentaires,
non décomposable, non répétitive et dépendant de la clé primaire ;
 Deuxième forme normale : Etant déjà en première forme les attributs portés dans
une table doivent dépendre fonctionnellement de la clé primaire (une pleine
dépendance fonctionnellement face à son identification) ;
 Troisième forme normale : Etant déjà en deuxième les attributs portés dans une
table doivent être en dépendance directe, c’est-à-dire sortie de la table tous, les
attributs, mots clés, qui dépendaient transitivement de la clé primaire de la
nouvelle, de la table initiale en ajoutant à cette table la clé primaire de la nouvelle
table.

I.3.4. Modèle logique de données valides

I.3.4.1.Définition
C’est un modèle qui se réalise qu’après avoir annoncé les principes de normalisation
et de modèle logique présentant encore des redondances.

I.3.4.2.Présentation modèle logique de données valides (MDLV)

Figure N°6 : Présentation du modèle logique de données de données valide


Source : nous même
I.4. Etape physique de données

I.4.1. Règle de de passage du modèle de données au modèle physique de données

Le passage du modèle logique de données valide au modèle physique de données


exige que les différentes tables qui jusqu’alors sont externes à la base, soient traduites en fichier
faisant partie intégrante de la base de données.
 Les tables décrites au niveau associé au modèle physique deviennent des
fichiers des données communément appelées « tables » et l’ensemble de tous
ces fichiers ou tables forment un seul fichier physique d’extension, modèle
physique de données représentant la base de données ;
 Les identifiant deviennent des clés primaires indexés sans doublons ;
 Les propriétés deviennent des champs ;
 Les clés deviennent des clés secondaires.

I.4.2. Modèle physique de données

I.4.2.1. Définition

Le modèle physique de données est celui qui est destiné à implanter sur le SGBDR de
données, c’est-à-dire il a pour but de transférer la base d²e données vers le SGBDR.
Est implémentation logée particulière du MLD. En d’autre terme, le MPD ne rien d’autre
qu’un résultat du MLD de sauvegarder sur le support (informatique) magnétique (CD, disque dur).

V.2.2.Présentation du modèle physique de données


N° Tables Code Rubrique Désignation Nature Taille Index
01 Engnant #Matrsurv Matricule surveillant N 5 OUI
nm Nom AN 12 NON
Pst nm Postnom AN 10 NON
Prenm Prénom AN 1 NON
Sexe Sexe AN 13 NON
Lieu De Naiss Lieu de naissance AN 8 NON
Date De Naiss Date de naissance AN 12 NON
Adr Adresse AN 32 NON
NiveauEtu Niveau d’étude AN 12 NON
Fonct Fonction AN 16 NON
Grad Grade AN 5 NON
02 Fiche de Codpetigril* Code petite grille AN 10 OUI
présence Nmenseign Nom enseignant AN 10 NON
Promot Promotion AN 6 NON
Départ Département AN 35 NON
Crs Cours AN 15 NON
Annacad Année académique AN 9 NON
Nmétud Nom étudiant AN 10 NON
Ta Travaux annuels AN 2 NON
Dt Date Date 8 NON
Signat Signature AN 15 NON
#Matrenseign #Matricule enseignant AN 10 NON
03 Membre jury #Codmembr #Code membre encodage AN 10 OUI
matriculmeb Matricule encodage AN 10 NON
nm Nom AN 10 NON
Pst nm Post-nom AN 15 NON
Prenm Prénom AN 12 NON
Sexe Sexe AN 1 NON
Lieu De Naiss Lieu De Naissance AN 12 NON
Date De Naiss Date De Naissance AN 8 NON
Adr Adresse AN 35 NON
NiveauEtu Niveau d’étude AN 6 NON
Fonct Fonction AN 25 NON
Grad Grade AN 32 NON
04 #Codmembr #Code membre jury AN 10 OUI
matriculmeb Matricule jury AN 10 NON
nm Nom AN 10 NON
Pst nm Post-nom AN 15 NON
Prenm Prénom AN 12 NON
Sexe Sexe AN 1 NON
Lieu De Naiss Lieu De Naissance AN 12 NON
Date De Naiss Date De Naissance AN 8 NON
Adr Adresse AN 35 NON
NiveauEtu Niveau d’étude AN 6 NON
Fonct Fonction AN 25 NON
Grad Grade AN 32 NON
05 Local Codlocal Code local AN 10 OUI
Moti Motif AN 50 NON
Nms memb Noms membres du jury AN 10 NON
Signat Signature AN 8 NON
#Matrautoriacad #Matricule surveillant AN 10 NON
#Matrmem #Matricule membre du jury AN 10 NON
dat Date Date 8 NON

Tableau n°9 : Présentation du modèle physique de données


Source : nous même
Section II: Modélisation de traitement
II.1. Etape conceptuelle de traitement
II.1.1. Définition
Le modèle conceptuel de traitement est un schéma qui représente le traitement en
réponse aux événements traités.

II.1.2. Formalisme
Le formalisme utilisé pour la conception du modèle conceptuel de donnée est le
suivant :
 Evénement : C’est tout stimulus capable de déclencher une opération ou
chargement dans l’univers extérieur ou système d’information ;
 Opération : C’est une suite d’action qui seront exécutées de manière interruptible
à l’intérieure du processus ou ensemble d’actions déclenchées pour réaliser un
événement ou plusieurs événements ;
 Synchronisation : Opération consistant dans le système d’exploitation distribué
dans le temps, les accès d’une ressource partageable entre plusieurs processus ()
est une condition logique (condition booléenne) d’exécution de l’opération, lors de
l’apparition de l’événement, cette opération se traduite en réalisant une ou plusieurs
opération du type : ET, NON, -ET, NON-OU, ou encore A et (B ou C) ;
 Résultat : Est une réponse de ce qui est produit par l’exécution de l’opération ou la
réponse d’un système à contrainte du traitement nouvel porté par l’événement ou
les événements ayant déclenchés ;
 Règle d’émission : Est une condition traduisant les règles des gestions qui
permettent d’exprimer les conditions de sortie de résultat.

II.1.3.Présentation du formalisme

Figure N°7 : Présentation du Formalisme


Source : nous même
II.1.4. Présentation du modèle Conceptuel de traitement

Figure N°8 : Présentation du modèle conceptuel de traitement


Source : nous même

II.2. Etape organisationnelle de traitement

II.2.1. Définition
Le niveau conceptuel exprime de Quoi, le niveau d’organisation s’attache à décrire le
Si en répondant à la question, ou Quand ? au Plan de la description de traitement, ce mot intègre
les notions de temps et la durée du déroulement de ressources de lieu et de responsabilité de
poste de travail et de nature de traitement (manuel ou informatique).

Comme nous l’avons dit au point précédent, le niveau organisationnel s’attache à


décrire le système informatique répondant aux questions suivantes : Qui ? Quand ? Où ?

Au plan de description de traitement, le modèle organisationnel de traitement (MOT)


intègre les notions de temps et la durée du déroulement des ressources de lieu et des
responsabilité de (poste de travail) et de nature de traitement (manuel ou informatique)

Qui ? C’est-à-dire on voit l’homme on voit l’homme et la machine à ce niveau, c’est


l’homme qui va réaliser les tâches manuelles, si c’est la machine, on va parler des tâches
informatisées. Dans le cas où il s’agit de l’homme et de la machine, au nombre des tâches réelles ;
Quand ? On voit la période, c’est-à-dire on va consulter la base de données ;

Où ? Signifie, quel est le poste qui va recevoir la base de données, c’est un schéma
représentant les traitements en reposant aux événements à traiter.
II.2.2. Présentation du modèle organisationnel de traitement

PERIODE PROCEDURE FONCTIONNELLE NATURE POSTE

Local

Local

Local

Tableau n°10 : Présentation du modèle organisationnel de traitement


Source : nous même
II.3. Etape logique de traitement

a) Modèle logique de traitements (MLT) Ce modèle définit comment les taches informatisables
décrites dans le Modèle organisationnel de traitement (MOT) sont conçues en termes de logiciel. Il
est composé des procédures logiques et ces dernières sont composées des unités de traitement,
ULT en sigle, comme il s’agit de la création d’une Application de gestion de base de données.

Il se préoccupe des versions avancées des équipements informatiques que l’informaticien utilise
pour construire cette application demandée. Il tient compte des ressources et contraintes
matérielles, logicielles ainsi que les principes généraux de l’ergonomie (étude scientifique des
conditions de travail et des relations entre

Résultat 6 : en attente Résultat 7 : Transmission des documents

Résultat 8 : En attente

Résultat 9 : contrôle des élèves

l’homme et la machine). C’est ici ou l’informaticien se demande comment il va concevoir son


logiciel par rapport aux fonctionnalités.

b) Règles de passage du MOT au MLT Pour passer du modèle organisationnel de données au


modèle logique de données, il faut respecter les règles suivantes :

Supprimer le MOT toutes les tâches manuelles ; Les taches réelles deviennent des unités logiques
de traitement ; Les postes de travail deviennent des utilisateurs ; Les évènements disparaissent
car ils seront pris en charge par l’homme avec toutes ses actions (click, saisie,..) ; Les actions
d’une tache sont des menus ou des liens hypertextes et ces Actions des instructions à
programmer.
II.3.2.Présentation du modèle logique de traitement

Début

ULT01 LOGO
BIENVENUE
A DGRAD

ULT02 MENU AUTHENTIFICATION


UTILISATEUR
MOT DE PASSE
CONNEXION QUITTER

FIN
O
Message U
Mot de passe Incorrecte

ULT03 MENU PRINCIPAL

CREATION MODIFICATION

EDITION SUPPRIMER

RECHERCHE QUITTER

ULT04 CREATION

Etudiant Membre jury

Fiche Listing

Local
Liste rectif
Surveillant

SUPPRIMER QUITTER

ULT04 EDITION

ETAT 1 ETAT 2 ETAT 3 ETAT 4

ETAT 5 ETAT 6
RETOUR A

ALLER A LA

RETOUR AU MENU QUITTE


R
ULT04 RECHERCHE

RETOUR A L’AUTHENTIFICATION

RETOUR AU MENU PRINCIPAL

RECHERCHE………………………
QUITTE
… R
Figure N°9 : Présentation du modèle logique de traitement
Source : nous même
II.4.. Modèle physique de traitement

Le modèle physique de traitement ce la forme finale qui sera vue après la réalisation de
l’application.

II.4.2.Présentation du modèle physique de traitement (MPT)

Début programme

Logo

Connexion

Menu principal

Quitter Recherche Edition Création/tables

Impression Aperçue Supprimer Ajouter Modifier

Liste étudiant Table étudiant

Liste membre de jury Table membre de jury

Table Agent
Liste surveillant
Table registre
Liste de locaux alignés
Table local
Liste fiche

Table Rapport

Figure N°10 : Présentation du modèle physique de traitement


Source : nous même
CHAPITRE III : REALISATION DE L’APPLICATION

Section I : Description de l’environnement

I.1. Présentation du matériel


Etant donné que le choix est porté vers l’informatisation, l’utilisation de l’outil
informatique s’impose. Ainsi, la configuration matérielle de notre système d’information présentera
les caractéristiques suivantes :

I.1.1. Aspect Hardware


L’aspect hardware est l’ensemble des éléments physique, visible partie matériel ou
palpable constituant la machine à savoir :

Un ordinateur
 Marque : Dell HP
 Format :Tower
 Processeur :Pentium Intel Core 64 bits
 Fréquence d’orloge : 4 Ghz ou plus
 Mémoire RAM : 8 Go (DDR-5)
 Disque dur : 2 To ou plus
 Lecteur DVD/CD-ROM/RW : IDE 56’’
 Interface Réseau : 10/100Mb
 Ecran : LCD 17’’ ou plasma 19’’
 Clavier : Qwerty
 Souris : Microsoft PS2 ou USB

Proposition de logiciels

I.1.2.Aspect software
Est l’ensemble de de partie invisible, immatériel, partie intelligente ou non palpable ;
dans l’aspect software, cette partie comprend les programmes ou les instructions qui, lorsqu’ils
sont exécutées permettent à l’ordinateur d’effectuer des tâches spécifiques. En bref nous parlons
de la partie intelligente de l’ordinateur.

 Le système d’exploitation ou logiciels de bases : Windows XP, 7, 8, 10,


 Le langage de programmation : Visuel Studio
 Microsoft office
 Le type de système de gestion de base de données.

II.3. Le système de gestion de base de données


Le système de gestion de base de données (SGBD) est un ensemble des logiciels ou
programmes généraux dont le rôle est de service d’interface entre l’utilisateur (informaticien) et une
base de données

II.3.1. Caractéristique
Un système de gestion de base de données est caractérisé par :

 Permettre l’accès de données de façon simple ;


 Automatiser un accès aux informaticiens à des multi utilisateurs ;
 Manipuler les données présentées dans la base de données (insertions, suppression,
modification).

II.3.2. Quelques Systèmes de gestion de base de données


 Access ;
 Borland paradoxe ;
 Sqlserver ;
 Sybase interbase ;
 IbmDB12 ;
 Oracle ;

II.4. Choix de système de base de données


Notre choix est porté sur le système de gestion de base de données SQLSERVER
version 2008 qui est l’outil de développement de la base de données relationnelle. Nous

Formulaire de lancement (accueil)

Figure n°11 : Présentation du formulaire de lancement


Source : Nous même
FORMULAIRE MENU GENERAL

Figure n°12 : Présentation menu général


Source : Nous même
FORMULAIRE LISTE DE PRESENCE

Figure n°13 : Présentation du formulaire liste de présence


Source : Nous même

IV.3 : PRESENTATION DES CODES SOURCES

IV.3.1 Implantation de la base des données


Les lignes des codes qui suivent, présentent brievement le cheminement qui a permis
l’implantation de la base de données sur un support physique en fonction du SGBD choisi.

IV.3.2 Programmation

La programmation est un processus qui permet d’établir un programme exécutable


sur la machine, c’est-à-dire la manière d’organiser et d’écrire les instructions d’un programme de
manière correcte et cohérente pour contraindre l’ordinateur à exécuter une tâche spécifique. Elle
apporte donc une réponse à la question : « Comment résoudre un problème dans l’esprit
informatique ? »

Par contre un programme est une suite ordonné d’instructions enregistrées sur un
support et permettant d’executer une serie de tâches.

 Choix du langage de programmation


Un langage informatique est un langage destiné à décrire l’ensemble des actions
consécutives qu’un ordinateur doit executer pour résoudre un problème donné. Il existe cependant
une multitude de langages de programmation. Dans le contexte de ce travail, nous avons porté le
choix sur VB.Net de Microsoft Visual Studio pour ses multiples avantages entre autres :

 Plus rapide à l’exécution ;


 S’exécute de façon autonome après compilation ;
 Garantit la sécurité du code source ;
 Evite des manipulations fastidieuses en simplifiant la programmation.

 Esquisse de la programmation faite

Public Class FormETUDIANT

Private Sub FormETUDIANT_Load(sender As Object, e As EventArgs) Handles


MyBase.Load
'TODO: cette ligne de code charge les données dans la table
'BdMabeleDataSet1.T_Etudiant'. Vous pouvez la déplacer ou la supprimer selon vos
besoins.
Me.T_EtudiantTableAdapter.Fill(Me.BdMabeleDataSet1.T_Etudiant)
End Sub
Private Sub INIT()
Textmatretud.Text = ""
Textmatmembrjur.Text = ""
Textcodloc.Text = ""
Textnom.Text = ""
Textpostnom.Text = ""
Textprenom.Text = ""
Cmbsexe.Text = ""
Textsection.Text = ""
Textoption.Text = ""
Textpromotion.Text = ""
End Sub
Private Sub Btnenregistrer_Click(sender As Object, e As EventArgs) Handles
Btnenregistrer.Click
If MessageBox.Show("voulez-vous enregistrer O/N?", "Information",
MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Information) Then
Try
Dim ET As T_Etudiant = New T_Etudiant
ET.matretud = Textmatretud.Text
ET.matrmembrjur = Textmatmembrjur.Text
ET.codloc = Textcodloc.Text
ET.nom = Textnom.Text
ET.postnom = Textpostnom.Text
ET.prenom = Textprenom.Text
ET.sexe = Cmbsexe.Text
ET.section = Textsection.Text
ET.option = Textoption.Text
ET.promotion = Textpromotion.Text
BDD.T_Etudiant.Add(ET)
BDD.SaveChanges()
'actualisation de la datagridview
DataGridView1.DataSource = BDD.T_Etudiant.ToList
INIT()
Textmatretud.Focus()
Catch ex As Exception
MessageBox.Show("l'enregistrement a échoué", "Erreur",
MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Error)
End Try
End If
End Sub
Private Sub Btnsupprimer_Click(sender As Object, e As EventArgs) Handles
Btnsupprimer.Click
If MessageBox.Show("voulez-vous supprimer O/N", "Information",
MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Information) Then
Try
Dim ET As T_Etudiant = BDD.T_Etudiant.Single(Function(s) s.matretud =
Textmatretud.Text)
BDD.T_Etudiant.Remove(ET)
BDD.SaveChanges()
'actualisation de la datagridview
DataGridView1.DataSource = BDD.T_Etudiant.ToList
INIT()
Textmatretud.Focus()
Catch ex As Exception
MessageBox.Show("la suppression a échouée", "Erreur",
MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Error)
End Try
End If
End Sub
Private Sub Btnfermer_Click(sender As Object, e As EventArgs) Handles
Btnfermer.Click
Application.Exit()
End Sub
Private Sub Btnmodifier_Click(sender As Object, e As EventArgs) Handles
Btnmodifier.Click
If MessageBox.Show("voulez-vous modifier O/N", "Information",
MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Information) Then
Try
Dim ET As T_Etudiant = BDD.T_Etudiant.Single(Function(s) s.matretud =
Textmatretud.Text)
ET.matretud = Textmatretud.Text
ET.matrmembrjur = Textmatmembrjur.Text
ET.codloc = Textcodloc.Text
ET.nom = Textnom.Text
ET.postnom = Textpostnom.Text
ET.prenom = Textprenom.Text
ET.sexe = Cmbsexe.Text
ET.section = Textsection.Text
ET.option = Textoption.Text
ET.promotion = Textpromotion.Text
BDD.T_Etudiant.Add(ET)
BDD.SaveChanges()
'actualisation de la datagridview
DataGridView1.DataSource = BDD.T_Etudiant.ToList
INIT()
Textmatretud.Focus()
Catch ex As Exception
MessageBox.Show("la modification a échouée", "Erreur",
MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Error)
End Try
End If
End Sub
End Class
CONCLUSION

Nous voici au terme de travail qui a porté sur «Mise place d’une base de données
pour la gestion de répartition des étudiants dans les locaux des examens à l’ISC-ILEBO» du
12 Décembre 2020 au 12 Septembre 2023. Tout long de cette étude, nous avons relevé un certain
nombre de lacunes qui émaillent le déroulement du processus de répartition des étudiants dans les
locaux des examens à l’ISC-ILEBO. Rappelons toutefois que l’objectif principal que nous nous
sommes assigné était l’utilisation des technologies de l’information et de la communication
« NTIC » pour une meilleure gestion dudit processus.

A cet effet, pour mieux circonscrire le problème qui se pose dans cette gestion, nous
avons relevé les préoccupations suivantes :

- Le processus actuel de gestion de répartition des étudiants, dans des locaux des examens
au sein de l’ISC-ILEBO est-il fiable ?
- L’informatisation de cette gestion manuelle, résoudra-t-elle tous les problèmes de la gestion
manuelle cités-ci-haut ?
- Quels sont les avantages d’un tel système dans le fonctionnement de l’ISC-ILEBO(jury)

En effet, nous confirmons nos hypothèses de la manière suivante :

 A travers la mise en œuvre d’une base de données qui serait implanté, l’outil
informatique « Ordinateur » apporterait à l’Institut Supérieur de Commerce
d’Ilebo et dans la gestion des répartitions une satisfaction réelle d’exécution
rapide du traitement et mémorisation des données

Oui, l’apport de l’outil informatique « Ordinateur » améliorerait la qualité concernant


la gestion des répartitions dans cet établissement ; cela grâce à la mise en œuvre d’une base de
données ; A notre avis, pour que les problèmes énumérés dans notre problématique soient résolus,
nous proposons la mise en place d’une base de données au sein de l’ISC-Ilebo/Jury.

Le nouveau système pourrait être une meilleure solution et elle permettrait :

- D’éviter la des étudiants dans ils des locaux dont leurs noms se figurent pas ;
- D’éviter toutes les erreurs liées à la gestion manuelle
- D’établir une liste des étudiants selon les locaux
- D’obtenir les statistiques des tous les étudiants répartis dans des locaux.

En performance du système informatisé que nous proposons, constituerait également


une garantie pour la gestion de répartition des étudiants dans des locaux.

Nous concevrons la base de données avec la méthode MERISE. Le SGBD utilisé est
le SQL server 2008, manipulé par le langage de programmation VB Studio.

Grace auxquels le gestionnaire pourrait avoir la main mise sur toute la situation au
moment opportun et prendre les décisions en temps utile.

Sur ce, deux solutions en lice, nous avons retenu objectivement la solution informatique
qui parait la plus efficace, précise et fiable.
Enfin, signalons également que la solution proposée tout au long de notre mise en
place, n’est pas unique, moins encore la plus commode ou définitive, en dépit de son unique
finalité ; les remarques et suggestions seront les bienvenues pour l’amélioration de ce travail.

BIBLIOGRAPHIE

Alfred AHO, Jeffrey ULLMAN (1993), Concepts fondamentaux de l’informatique, Dunod, Paris
Arnold Rochfeld, José Morejon (1989), La méthode Merise - Tome 3 Gamme opératoire, Editions
d'organisation,

Chris J. Date (1998), Introduction aux bases de données, 6è édition, Thomson International
Publishing, New-York,

Galacsi (1989), Conception de bases de données : du schéma conceptuel au


physique, Dunod, Paris,

Georges Panet, Raymond Letouche (1994), Merise/2 - Modèles et techniques


avancées, Editions d'organisation, Paris,

Miranda Serge et BUSTA J. M (1986), l’Art de bases de données, Tome 1 : Introduction aux
bases de données, Tome 2 : Les bases de données relationnelles, éd. d’organisation, Paris, 1986–
1986.

Pinto et Grawitz (969), Méthodes en sciences sociales, éd. Dalloz, Paris,


TARDIEU, ROCHFELD, COLLETTI (1986), La méthode MERISE, principes et outils (Tome 1 & 2),
Les éditions d'organisation, Paris,

TABLE DES MATIERES


EPIGRAPHE......................................................................................................................................................I
DEDICACE........................................................................................................................................................II
REMERCIEMENTS........................................................................................................................................III
SIGLES ET ABREVIATIONS........................................................................................................................IV
LISTE DES FIGURES.....................................................................................................................................V
LISTE DES TABLEAUX.................................................................................................................................VI
0. INTRODUCTION GENERALE................................................................................................................1
0.1. PRESENTATION DU SUJET.........................................................................................................1
0.2. ETAT DE LA QUESTION................................................................................................................1
0.3. PROBLEMATIQUE..........................................................................................................................2
0.4. HYPOTHESE....................................................................................................................................2
0.5. CHOIX ET INTERET DU SUJET....................................................................................................3
0.5.1. CHOIX DU SUJET....................................................................................................................3
0.5.2. INTERET DU SUJET...............................................................................................................3
0.6. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES................................................................................3
0.6.1. METHODES UTILISEES.........................................................................................................3
0.6.2. TECHNIQUES UTILISEES.....................................................................................................4
0.7. DELIMITATION DU SUJET............................................................................................................4
0.8. SUBDIVISION DU TRAVAIL...........................................................................................................4
0.9. DIFFICULTES RENCONREES......................................................................................................5
CHAPITRE PREMIER : L’ETUDE DE L’OPPORTUNITE..........................................................................5
Section1 : Présentation de l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo...................................................6
I.1. Aperçu historique..............................................................................................................................6
I.3. Objectif de l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo....................................................................7
I.4. Situation géographique.....................................................................................................................7
I.5. Organigramme général.....................................................................................................................8
I.4.2. Description des postes...................................................................................................................9
I.5. Etude des moyens utilisés................................................................................................................9
I.5.1. Moyens humains.............................................................................................................................9
I.5.2. Moyens financiers.........................................................................................................................10
I.6. Infrastructures..................................................................................................................................10
I.7. Etude des documents utilises........................................................................................................10
I.7.1. Description des documents utilisés............................................................................................11
I.8. Etude de la procédure.....................................................................................................................11
Section II : Critique de l’existant...............................................................................................................12
II.1. Aspects négatifs..............................................................................................................................12
II.2. Aspects positifs...............................................................................................................................12
Section III : Proposition des solutions......................................................................................................12
III.1. Solution manuelle réorganisée....................................................................................................12
III.2. Solution informatique....................................................................................................................13
III.3. Le choix d’une solution.................................................................................................................13
Section IV : Définition de concept de base du sujet.............................................................................14
Chapitre II : Modélisation du nouveau système avec la méthode mérise..............................................15
Section I : Modélisation de données........................................................................................................15
I.1.Dictionnaire de données..................................................................................................................15
I.1.1. Définition........................................................................................................................................15
I.2.La dépendance fonctionnelle..........................................................................................................18
I.2.1.Définition.........................................................................................................................................18
I.2.2.Présentation de la dépendance fonctionnelle...........................................................................19
I.3. Règle de passage de dépendance fonctionnelle au modèle conceptuelle de données
(MCD).......................................................................................................................................................21
I.4.Démarche à suivre dans l’élaboration du modèle conceptuel de données (MCD).................21
I.4.1.Démarche ascendante..................................................................................................................21
I.4.2.Démarche descendante................................................................................................................21
I.4.3.Choix de la démarche...................................................................................................................21
I.5. Etape Conceptuelle.............................................................................................................................21
I.5.1.Définition.........................................................................................................................................21
I.5.2.Formalism.......................................................................................................................................22
I.5.3. Recensement des associations ou des relations.....................................................................22
I.5.4. Recensement de règle de gestion..............................................................................................22
I.5.6. Interprétation de règle de gestion...............................................................................................23
I.5.7.Modèle conceptuel de données brut...........................................................................................23
I.5.7.1. Définition.....................................................................................................................................23
II.7.2. Présentation du Modèle conceptuel de données bru.............................................................23
I.5.8.Règle de passage du modèle conceptuel de données brut au modèle conceptuel de
données Valide (MCDV)........................................................................................................................24
I.5.9.Modèle conceptuel de de données valides (MCDV).................................................................25
I.5.9.1.Définition......................................................................................................................................25
I.5.10. Règle de passage du modèle conceptuel de données au modèle organisationnelle de
données globales..................................................................................................................................25
I.2. Etape organisationnelle de données globales............................................................................25
I.2.1.Définition.........................................................................................................................................25
ICalcul de la base de données.............................................................................................................26
I.3.1. Règle de passage de modèle de conceptuel de données valide au modèle logique de
données...................................................................................................................................................26
I.3.2. Modèle logique de données........................................................................................................27
I.3.2.1. Définition.....................................................................................................................................27
I.3.2.2.Présentation de modèle logique de données brut.................................................................27
I.3.Normalisation et vérification des tables........................................................................................27
I.3.4. Modèle logique de données valides...........................................................................................28
I.3.4.1.Définition......................................................................................................................................28
I.3.4.2.Présentation modèle logique de données valides (MDLV)...................................................28
I.4. Etape physique de données...............................................................................................................29
I.4.1. Règle de de passage du modèle de données au modèle physique de données................29
I.4.2. Modèle physique de données.....................................................................................................29
I.4.2.1. Définition.....................................................................................................................................29
V.2.2.Présentation du modèle physique de données........................................................................29
Section II: Modélisation de traitement.....................................................................................................31
II.1. Etape conceptuelle de traitement.....................................................................................................31
II.1.1. Définition.......................................................................................................................................31
II.1.2. Formalisme...................................................................................................................................31
II.1.3.Présentation du formalisme........................................................................................................31
II.1.4. Présentation du modèle Conceptuel de traitement.................................................................32
II.2. Etape organisationnelle de traitement.........................................................................................32
II.2.1. Définition.......................................................................................................................................32
II.2.2. Présentation du modèle organisationnel de traitement.........................................................34
II.3. Etape logique de traitement..........................................................................................................35
II.3.2.........................................................................................................................................................36
II.4.. Modèle physique de traitement....................................................................................................37
II.4.2.Présentation du modèle physique de traitement (MPT...........................................................37
CHAPITRE III : REALISATION DE L’APPLICATION...............................................................................38
Section I : Description de l’environnement............................................................................................38
I.1. Présentation du matériel.................................................................................................................38
I.1.1. Aspect Hardware..........................................................................................................................38
I.1.2.Aspect software.............................................................................................................................38
II.3. Le système de gestion de base de données..............................................................................38
II.3.1. Caractéristique.............................................................................................................................38
II.3.2. Quelques Systèmes de gestion de base de données............................................................39
II.4. Choix de système de base de données.......................................................................................39
IV.3 : PRESENTATION DES CODES SOURCES................................................................................40
IV.3.1 Implantation de la base des données.....................................................................................40
IV.3.2 Programmation............................................................................................................................40
CONCLUSION................................................................................................................................................44
BIBLIOGRAPHIE............................................................................................................................................45
TABLE DES MATIERES.........................................................................................Erreur ! Signet non défini.

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