Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Israël 2 :25
DEDICACE
A nos parents Corneille POLELE et PITSHIAMSHI, pour votre tendre encouragement
et sacrifices, qui ont pu créer un climat affectueux et propice à la poursuite de nos études.
REMERCIEMENTS
Enfin que tous ceux qui n’ont pas été cités à travers ces quelques lignes, ne nous en
tiennent pas rigueur, car l’oubli n’est nullement pas l’ingratitude.
(MABELE POLELE)
SIGLES ET ABREVIATIONS
SI : Système d’Information
Rn : Règle de Gestion(n)
Fn : Flux (n)
LISTE DES FIGURES
Pour assurer une bonne gestion dans une organisation ou dans une entreprise, il est
nécessaire d’informatiser le système d’information, au moyen de l’outil informatique.
C’est dans cet ordre, d’idée que nous nous engageons dans cette recherche, qui
s’intitule «Mise en place d’une base de données pour la gestion de répartition des étudiants
dans les locaux des examens à l’ISC-ILEBO»
L’état de la question est une synthèse, critique des écrits existant, permet au
chercheur de tracer la ligne de démarcation entre ceux-ci, et la littérature qu’il se propose de
produire2.
Vu que le travail scientifique seul ne suffit pas, il doit s’appuyer sur les travaux
antérieurs, qui se sont effectués dans le même rayon ou domaine. Il convient de démontrer ce qui a
été fait par nos prédécesseurs, leurs problèmes de départ, et les résultats auxquels ils ont aboutis.
Dans ce cadre de la technique documentaire, avec le but d’enrichir notre étude, nous
avons lu le travail de KUDURA MIENDA.
Notre prédécesseur avait comme sujet d’étude : « Mise d’une base de données pour
la gestion d’attribution de numéro parcellaire direction des affaires foncière/IKELA »
Par rapport à son problème de départ, il s’était fixé les hypothèses suivantes :
0.3. PROBLEMATIQUE
Par sa définition, la problématique est un ensemble des questions précises et concises
posées dans un sujet précis dans le domaine scientifique, en vue d’une recherche des solutions.3
Les deux auteurs ajoutent que, la problématique ne peut que signifier le problème à
résoudre par des procédés scientifiques5.
- Le processus actuel de gestion de répartition des étudiants, dans des locaux des examens
au sein de l’ISC-ILEBO est-il fiable ?
- L’informatisation de cette gestion manuelle, résoudra-t-elle tous les problèmes de la gestion
manuelle cités-ci-haut ?
- Quels sont les avantages d’un tel système, dans le fonctionnement de l’ISC-ILEBO(Jury).
0.4. HYPOTHESE
Dans le langage courant, ce terme évoque la présomption que l’on peut construire
autour d’un problème donné.
A notre avis, pour que les problèmes énumérés dans notre problématique soient
résolus, nous proposons la mise en place d’une base de données au sein de l’ISC-Ilebo (Jury).
3
Petit Robert, Dictionnaire de langue française, nouvelle édition, revue, corrigée et mise à jour, Paris, 1987
4
KIYUNSA Bidum G. SHOMBA KINYAMBA S.Op.cit
5
Idem
6
Dictionnaire le Micro R. Montréal, Canada, 1988, P.545
Le nouveau système pourrait être une meilleure solution et elle permettrait:
- D’éviter la répartition des étudiants dans des locaux dont leurs noms ne se figurent pas ;
- D’éviter toutes les erreurs liées à la gestion manuelle
- D’établir les listes des étudiants selon les locaux
- D’obtenir les statistiques des tous les étudiants répartis dans des locaux.
Nous concevrons la base de données avec la méthode MERISE. Le SGBD utilisé est
le SQL server 2008, manipulé par le langage de programmation VB Studio.
Nous devons retenir que toute investigation part toujours d’une curiosité scientifique.
Notre objet d’étude est porté ainsi sur le thème intitulé : « Mise en place d’une base
de données pour la gestion de répartition des étudiants dans des locaux des examens à
l’ISC-ILEBO 2023 ».
Notre souci moyen est d’aider l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo, en dotant
d’outil efficace de gestion de répartition, des étudiants dans des locaux des examens.
Ainsi, l’intérêt dans cette étude est de décrire de façon, détailler et l’importance de la
gestion de répartition des étudiants dans des locaux, en faisant allusion à son rôle, pour une
bonne réussite des activités académiques.
Cette étude va nous rendre plus profond et expérimenté les connaissances acquises
durant notre premier cycle, en Informatique de gestion.
Enfin, cette étude sera pour le monde scientifique, un document de référence à toute
recherche ultérieure cadrant avec celle-ci.
Méthode veut dire poursuite, et que par conséquent effort pour atteindre une fin.
7
KIYUNSA BIDUM G. et SHOMBA KI NYAMBA S., Op.Cit. P.37
A ce qui concerne notre objet d’étude, nous avons utilisé la méthode suivante :
MERISE : qui est une méthode de réalisation de projet informatique ; la Méthode MERISE
est une de conception, qui consiste à séparer les données et les traitements en plusieurs
modèles et phases pour concevoir le système d’information dans une entreprise. Cette
méthode était accompagnée des approches suivantes :
Approche Analytique : cette approche consiste à analyser les procédures de traitement de
l’information, dans un Système d’Information ; elle nous a permis de découper notre travail,
en autant de domaines en vue de proposer un modèle adéquat de traitement des données.
Elle nous a aidées également, dans l’analyse de différents documents pour circonscrire le
cadre théorique de la recherche.
Approche structuro-fonctionnelle : elle nous a permis d’étudier la structure et le
fonctionnement, de divers organes de l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo, afin de
percevoir la partie faiblissante et d’en proposer des solutions pour son amélioration. Elle
nous a conduits à déceler les postes concernés, pour notre processus à informatiser.
Approche comparative : nous l’avons utilisé dans le choix de différents outils de conception
et de réalisation, utilisées pour la réalisation de cette Base de Données.
Pour arriver à réaliser ce travail, nous avons utilisés les techniques suivantes :
Dans l’espace, notre champ d’étude trouve sa place à l’Institut Supérieur de Commerce
d’Ilebo, précisément au bureau de jury
Dans le temps pour réaliser ce travail, nos recherches ont été menées au cours de la
période allant du 15 février au 7 septembre 2023 sur base du système d’information actuel au sein
de l’Institution.
8
Dictionnaire Universel 2e P. 165
Le premier chapitre : traite de l’étude d’opportunité ;
Deuxième chapitre : Modélisation du nouveau système avec la méthode MERISE
Troisième chapitre : Réalisation de l’application
Son agrément définitif n’interviendra qu’en date du 19 Avril 1996 en charge totale par le trésor public
sous l’arrêté ministériel n°ESURS/CABMIN/B4/062 Bis avec un comité de gestion comme suit :
De 1996-2001 :
De 2001-2004 :
De 2004-2010 :
De 2010-2011:
De 2011-2016 :
De 2016 -2018 :
- DG. Professeur Associé IYOLO PONGO BULONDO Rodolphe ;
- SGAC : Chef de travaux Ephrem BWANGA BWA PERO ;
- SGAD : Chef de travaux NZUNDU KWEY Floribert ;
- AB : Assistant Yvon MABONDJI PUNGA .
De 2018 -2021
DIRECTEUR GENERAL
PRESIDENT DU JURY
SECRETAIRE DE JURY
MEMBRE DU JURY
En cette qualité :
I.6. Infrastructures
L’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo dispose d’un important patrimoine de
plusieurs biens, dont des bâtiments, des matériels didactiques et des matériels informatiques.
La liste est un document qui répertorie l’effectif des étudiants dans des locaux.
Est un document que la section remet aux enseignants pour mettre les points annuels des étudiants
avant la délibération.
I.7.1. Description des documents utilisés
I.7.1.1.listes
Tableau n°3 : description de registre
Source : ISC-ILEBO
N° Code Rubrique Libellé Rubrique Nature Taille
1 Num etud N Num etud N 27
2 Nom Nom AN 15
3 Postnom Postnom AN 16
4 Sexe Sexe Booléenne 8
5 Promotion Promotion
6 Option Option
191 octets
Le surveillant reçoit l’élève, vérifie le numéro attribué par le président puis lui indique la
place.
b. Le diagramme de flux
Elle permet de déceler les causes, qui sont à la base de disfonctionnement ou son
alourdissement.
C’est ainsi que nous proposons aux responsables de l’ISC-ILEBO ce qui suit :
a. Avantage :
Contrôle assuré des informations ;
Faciliter dans la recherche, mise à jour et édition des informations, à une période bien
déterminée ;
Amélioration de la productivité ou du rendement, grâce à la performance et la rapidité du
traitement des informations ;
Fiabilité des résultats obtenus
b. Désavantage :
Charges à supporter pour l’acquisition des équipements informatiques et des logiciels ;
Charges à prendre en compte pour la formation du personnel, appelé à utiliser le
nouveau système ;
Coût de la maintenance des équipements informatiques à prendre en charge ;
Invasion des virus et autres logiciels malveillants…
2. Base de données: Une base de données (son abréviation est BD, en anglais DB, database)
est une entité dans laquelle, il est possible de stocker des données de façon structurée et
avec le moins de redondance possible. Ces données doivent pouvoir être utilisées par des
programmes, par des utilisateurs différents. Ainsi, la notion de base de données est
généralement couplée à celle de réseau ; afin de pouvoir mettre en commun ces
informations, d’où le nom de base9.
3. Gestion : La gestion est une organisation et actualisation (de quelque chose). Dans
l’administration, la gestion est une organisation et contrôle administratif d’une entreprise. Elle
a pour verbe « GERER » ; qui vient du latin « GERO »qui signifie à la fois, porter, administrer.
4. Répartition
5. Etudiants
6. Locaux
9
Comment ça marche.net
Chapitre II : Modélisation du nouveau système avec la méthode mérise
I.1.Dictionnaire de données
I.1.1. Définition
Le dictionnaire de données est un ensemble de propriétés, permettant d’élaborer le
modèle conceptuel de données (MCD). C’est un schéma qui regorge la structure de données, qui
sont constituées à partir d’un ensemble des définitions, de base constituées par les données
élémentaires de base qui sont des propriétés.
I.1.2.Présentation du dictionnaire de données
Tableau n°5 : Présentation de dictionnaire de données
Source : Nous même
54 Code local X AN
55 Nom enseignant X AN
56 Promotion X AN
57 Département X AN
58 Cours X AN
59 Année académique X AN
60 Nom étudiant X AN
61 Travaux annuels X AN
62 Date X AN
63 Signature X AN
64 #Matricule enseignant X AN
I.2.La dépendance fonctionnelle
I.2.1.Définition
La dépendance fonctionnelle est considérée comme étant une liaison, ou de liaisons
possibles entre les propriétés. Ces liaisons rendues possibles, grâces aux valeurs que prennent
chacune de propriété.10
10
CRESSOR, DETHOOR, JN BOILLOT ; Les principaux types d’organisation de fichiers informatique de gestion, éd.
Réalisation pratique décembre 1970
I.2.2.Présentation de la dépendance fonctionnelle
I.4.1.Démarche ascendante
C’est une démarche qui consiste à partir du schéma de circulation et des règles de
gestion à construire un schéma conceptuel entité-association après avoir conçue le dictionnaire de
données recherche de dépendances fonctionnelles entre propriété et après avoir appliquée les
règles de passage de dépendance fonctionnelle au modèle conceptuel de données (MCD).
C’est une démarche rigoureuse du fait qu’il assure le concepteur que sa présentation
conceptuelle de données du système d’information est le résultat d’un travail donné
systématique, cette démarche, ne se réalise pas pour le système d’information volumineuse.
I.4.2.Démarche descendante
C’est une démarche appelée empirique car son système est basé sur la recherche des
entités et associations puis les propriétés à leurs associations et afin l’indication des cardinalités.
Elle est plus globale car elle présente l’inconvénient de ne pas mettre en œuvre la
notion de dépendance fonctionnelle et donc de produire les schémas qui ne sont pas en
troisième forme normale.
I.4.3.Choix de la démarche
La qualité d’information à considérer n’est pas volumineuse, nous avons opté
pour une démarche ascendante pour faire la recherche de rubrique ‘entrée.
I.5.1.Définition
Le modèle conceptuel de données est une représentation statique au système
d’information de l’entreprise qui met en évidence sa sémantique.
I.5.2.Formalisme
ENTITE
ENTITE
ASSOCIATION
PROPRIETE
PROPRIETE
Cardinalité maximum
Figure N°3 : présentation du formalisme
Source : Nous même
I.5.7.1. Définition
Le modèle conceptuel de données brut (MCDB) est celui qui présente les entités avec
le verbe à l’infinitif, c’est-à-dire liens ou les associations qui réunissent les entités sont
conjuguées à l’infinitif. Dans ce modèle il n’y a pas encore de notion de dépendance fonctionnelle
entre les entités, il se conçoit de manière brute.
La moyenne n’est pas toujours facile, soit on fixe arbitrairement cette cardinalité soit à
partir de statistique possible pour la dernière façon plus précise.
Cette quantification des cardinalités multiples s’exprime par des éléments ci-dessous :
La cardinalité maximale ;
La cardinalité minimale ;
La cardinalité moyenne.
La quantification de cardinalité moyenne n’est pas toujours aisée. Elle peut être fixée
arbitrairement ou à partir de statistique sur la population d’entité concernée par la relation.
Il n’est alors possible de la déterminer de façon plus précise avec cette formule.
CM= (Min+2Mo+Max)4*P
CM : Cardinalité moyenne ;
Mo 32 Mo 17
P¿ = =0 , 2 P¿ = =0 , 6
N 136 N 27
CM= (Min+2*Mo + Max)/4*P CM= (Min+2*Mo + Max)/4*P
CM= 1+2(32 + 136)/4*0,2 CM= 1+2(17 + 27)/4*0,6
CM= 1+(64 + 136)/4*0,2 CM= 1+(18 + 27)/4*0,6
CM= (65 + 136)/4*0,2 CM= (19 + 27)/4*0,6
201 46
∗2 ∗6
CM = 4 402 = 10,5 CM = 4 276 = 6,9
I.5.8.Règle
= =
10 de passage
40 du modèle conceptuel de données
10 40 brut au modèle conceptuel de
données Valide (MCDV)
La règle de validité du modèle conceptuel de données brut ou la normalisation du
modèle conceptuel de données brut ne pouvant se limité seulement à résoudre les conflits
entretenus par la polysémie et la synonymie. Il fait veiller à ce que le modèle conceptuel de
données brut puisse vérifier les règles des normalisations suivantes.
Dans une entité, toutes propriétés sont élémentaires dans une entité, c’est-à-
dire les propriétés doivent être non décomposable, on doit voir une seule clé
caractérisant chaque occurrence (clé primaire) ;
L’entité père doit céder sa clé à l’entité fils pour assurer une relation entre deux
entités ;
Les verbes disparaissent encas de relations du type père et fils pour avoir le
contrainte d’intégrité fonctionnelle (CIF) appelé dépendance fonctionnelle ;
Pour les entités des couples de cardinalités fils et fils la relation tombe, et on
garde seulement les entités parce qu’ils sont en relation avec d’autres entités ;
Pour les entités des couples des cardinalités pères, pères les verbes demeurent
et ces verbes se conjuguent au temps présent, on choisit l’un parmi les deux
entités, qui sera considéré comme fils ;
Dans une relation des propriétés doivent dépendre fonctionnellement des
identifiants des entités concernées par la relation c’est-à-dire les propriétés
communes qui ne doivent pas être à un identifiant à deux entités ;
Si une entité a un identifiant, un des éléments composant cet identifiant ne doit
pas dépendre d’une autre entité ;
Chaque propriété de la relation doit dépendre fonctionnellement de l’ensemble
des identifiants et des entités qui participent à la relation, mais aucun sous
ensemble ne doit avoir une dépendance pleine de propriétés des relations par
rapports aux entités.
I.5.9.1.Définition
Le modèle conceptuel de données valide est celui qui s’élabore avec le verbe au
présent et tient compte de la migration de clé, c’est-à-dire la dépendance entre deux ou plusieurs
entités.
Supprimer les éléments qui ne seront pas modélisés informatiquement (il peut
s’agir de des objets, relations ou propriétés pour trois raisons :
Si l’objet ne présente pas d’intérêt pour votre application de ;
Lorsque l’objet ou relation est technique impossible d’être
informatisée ;
Si l’objet ne contient qu’un enregistrement.
Modifier certaines éléments aux besoins ;
Ajouter d’autres éléments s’il y a lieu pour garder la sémantique entre les
données : s’il n’y a pas suppression, modification, ajout le modèle global doit
être égal au modèle conceptuel de données.
I.2.1.Définition
Est une phase organisationnelle de données qui permet de contrôler la structure de
données à informatiser et le contrôle se passe au niveau de règle de passage.
3982 *2,5=9955 Mo
I.3.2.1. Définition
Le modèle logique de données brut est une transformation de MOD dans le langage qui n’est pas
compréhensible que par l’informaticien.
I.3.1.Définition
Elle consiste à partir d’un objet dit universitaire à faire éclater celle-ci en plusieurs
réduits aux formes normales, l’objet de la normalisation de limiter le nombre de redondances et
anomalies lord de la mise à jour de la base de données.
a. Vérification
Il y a quatre règles de vérification qui nous permettent de bien vérifier les tables à
savoir :
Une propriété par une occurrence de relation ou objet qui ne porte ni ne peut
être répétitive ni sa signification ;
Pour chaque objet, où doit exister obligatoirement un identifiant est toujours la
première propriété et, est précédée du signe « ≠ » ou soulignement ;
La dépendance pleine d’objet dans une relation c’est-à-dire si une relation porte
une propriété, celle-ci doit dépendre pleinement de tous les objets qui participent
dans la relation si non on transfère dans l’objet auquel il se rattache ;
Le respect des règles de gestion doit être réfléchit dans le modèle conceptuel de
données par la cardinalité.
b. Forme normale (FN ou NF)
1. Définition
En principe il existe cinq (5) formes normales, cependant deux dernières ne sont que
des cas particuliers, ainsi, chaque objet devra respecter les lois suivantes :
I.3.4.1.Définition
C’est un modèle qui se réalise qu’après avoir annoncé les principes de normalisation
et de modèle logique présentant encore des redondances.
I.4.2.1. Définition
Le modèle physique de données est celui qui est destiné à implanter sur le SGBDR de
données, c’est-à-dire il a pour but de transférer la base d²e données vers le SGBDR.
Est implémentation logée particulière du MLD. En d’autre terme, le MPD ne rien d’autre
qu’un résultat du MLD de sauvegarder sur le support (informatique) magnétique (CD, disque dur).
II.1.2. Formalisme
Le formalisme utilisé pour la conception du modèle conceptuel de donnée est le
suivant :
Evénement : C’est tout stimulus capable de déclencher une opération ou
chargement dans l’univers extérieur ou système d’information ;
Opération : C’est une suite d’action qui seront exécutées de manière interruptible
à l’intérieure du processus ou ensemble d’actions déclenchées pour réaliser un
événement ou plusieurs événements ;
Synchronisation : Opération consistant dans le système d’exploitation distribué
dans le temps, les accès d’une ressource partageable entre plusieurs processus ()
est une condition logique (condition booléenne) d’exécution de l’opération, lors de
l’apparition de l’événement, cette opération se traduite en réalisant une ou plusieurs
opération du type : ET, NON, -ET, NON-OU, ou encore A et (B ou C) ;
Résultat : Est une réponse de ce qui est produit par l’exécution de l’opération ou la
réponse d’un système à contrainte du traitement nouvel porté par l’événement ou
les événements ayant déclenchés ;
Règle d’émission : Est une condition traduisant les règles des gestions qui
permettent d’exprimer les conditions de sortie de résultat.
II.1.3.Présentation du formalisme
II.2.1. Définition
Le niveau conceptuel exprime de Quoi, le niveau d’organisation s’attache à décrire le
Si en répondant à la question, ou Quand ? au Plan de la description de traitement, ce mot intègre
les notions de temps et la durée du déroulement de ressources de lieu et de responsabilité de
poste de travail et de nature de traitement (manuel ou informatique).
Où ? Signifie, quel est le poste qui va recevoir la base de données, c’est un schéma
représentant les traitements en reposant aux événements à traiter.
II.2.2. Présentation du modèle organisationnel de traitement
Local
Local
Local
a) Modèle logique de traitements (MLT) Ce modèle définit comment les taches informatisables
décrites dans le Modèle organisationnel de traitement (MOT) sont conçues en termes de logiciel. Il
est composé des procédures logiques et ces dernières sont composées des unités de traitement,
ULT en sigle, comme il s’agit de la création d’une Application de gestion de base de données.
Il se préoccupe des versions avancées des équipements informatiques que l’informaticien utilise
pour construire cette application demandée. Il tient compte des ressources et contraintes
matérielles, logicielles ainsi que les principes généraux de l’ergonomie (étude scientifique des
conditions de travail et des relations entre
Résultat 8 : En attente
Supprimer le MOT toutes les tâches manuelles ; Les taches réelles deviennent des unités logiques
de traitement ; Les postes de travail deviennent des utilisateurs ; Les évènements disparaissent
car ils seront pris en charge par l’homme avec toutes ses actions (click, saisie,..) ; Les actions
d’une tache sont des menus ou des liens hypertextes et ces Actions des instructions à
programmer.
II.3.2.Présentation du modèle logique de traitement
Début
ULT01 LOGO
BIENVENUE
A DGRAD
FIN
O
Message U
Mot de passe Incorrecte
CREATION MODIFICATION
EDITION SUPPRIMER
RECHERCHE QUITTER
ULT04 CREATION
Fiche Listing
Local
Liste rectif
Surveillant
SUPPRIMER QUITTER
ULT04 EDITION
ETAT 5 ETAT 6
RETOUR A
ALLER A LA
RETOUR A L’AUTHENTIFICATION
RECHERCHE………………………
QUITTE
… R
Figure N°9 : Présentation du modèle logique de traitement
Source : nous même
II.4.. Modèle physique de traitement
Le modèle physique de traitement ce la forme finale qui sera vue après la réalisation de
l’application.
Début programme
Logo
Connexion
Menu principal
Table Agent
Liste surveillant
Table registre
Liste de locaux alignés
Table local
Liste fiche
Table Rapport
Un ordinateur
Marque : Dell HP
Format :Tower
Processeur :Pentium Intel Core 64 bits
Fréquence d’orloge : 4 Ghz ou plus
Mémoire RAM : 8 Go (DDR-5)
Disque dur : 2 To ou plus
Lecteur DVD/CD-ROM/RW : IDE 56’’
Interface Réseau : 10/100Mb
Ecran : LCD 17’’ ou plasma 19’’
Clavier : Qwerty
Souris : Microsoft PS2 ou USB
Proposition de logiciels
I.1.2.Aspect software
Est l’ensemble de de partie invisible, immatériel, partie intelligente ou non palpable ;
dans l’aspect software, cette partie comprend les programmes ou les instructions qui, lorsqu’ils
sont exécutées permettent à l’ordinateur d’effectuer des tâches spécifiques. En bref nous parlons
de la partie intelligente de l’ordinateur.
II.3.1. Caractéristique
Un système de gestion de base de données est caractérisé par :
IV.3.2 Programmation
Par contre un programme est une suite ordonné d’instructions enregistrées sur un
support et permettant d’executer une serie de tâches.
Nous voici au terme de travail qui a porté sur «Mise place d’une base de données
pour la gestion de répartition des étudiants dans les locaux des examens à l’ISC-ILEBO» du
12 Décembre 2020 au 12 Septembre 2023. Tout long de cette étude, nous avons relevé un certain
nombre de lacunes qui émaillent le déroulement du processus de répartition des étudiants dans les
locaux des examens à l’ISC-ILEBO. Rappelons toutefois que l’objectif principal que nous nous
sommes assigné était l’utilisation des technologies de l’information et de la communication
« NTIC » pour une meilleure gestion dudit processus.
A cet effet, pour mieux circonscrire le problème qui se pose dans cette gestion, nous
avons relevé les préoccupations suivantes :
- Le processus actuel de gestion de répartition des étudiants, dans des locaux des examens
au sein de l’ISC-ILEBO est-il fiable ?
- L’informatisation de cette gestion manuelle, résoudra-t-elle tous les problèmes de la gestion
manuelle cités-ci-haut ?
- Quels sont les avantages d’un tel système dans le fonctionnement de l’ISC-ILEBO(jury)
A travers la mise en œuvre d’une base de données qui serait implanté, l’outil
informatique « Ordinateur » apporterait à l’Institut Supérieur de Commerce
d’Ilebo et dans la gestion des répartitions une satisfaction réelle d’exécution
rapide du traitement et mémorisation des données
- D’éviter la des étudiants dans ils des locaux dont leurs noms se figurent pas ;
- D’éviter toutes les erreurs liées à la gestion manuelle
- D’établir une liste des étudiants selon les locaux
- D’obtenir les statistiques des tous les étudiants répartis dans des locaux.
Nous concevrons la base de données avec la méthode MERISE. Le SGBD utilisé est
le SQL server 2008, manipulé par le langage de programmation VB Studio.
Grace auxquels le gestionnaire pourrait avoir la main mise sur toute la situation au
moment opportun et prendre les décisions en temps utile.
Sur ce, deux solutions en lice, nous avons retenu objectivement la solution informatique
qui parait la plus efficace, précise et fiable.
Enfin, signalons également que la solution proposée tout au long de notre mise en
place, n’est pas unique, moins encore la plus commode ou définitive, en dépit de son unique
finalité ; les remarques et suggestions seront les bienvenues pour l’amélioration de ce travail.
BIBLIOGRAPHIE
Alfred AHO, Jeffrey ULLMAN (1993), Concepts fondamentaux de l’informatique, Dunod, Paris
Arnold Rochfeld, José Morejon (1989), La méthode Merise - Tome 3 Gamme opératoire, Editions
d'organisation,
Chris J. Date (1998), Introduction aux bases de données, 6è édition, Thomson International
Publishing, New-York,
Miranda Serge et BUSTA J. M (1986), l’Art de bases de données, Tome 1 : Introduction aux
bases de données, Tome 2 : Les bases de données relationnelles, éd. d’organisation, Paris, 1986–
1986.