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EPIGRAPHE
(Principe de la coptabilité)
II
DEDICACE
REMERCIEMENTS
Au complet achèvement de ce présent travail scientifique sanctionnant
la fin de nos études de graduat , nous mettons un accent particulier sur le fait
qu’il est le résultat (spirituel, intellectuel, matériel et moral) de plusieurs
personnes sans lesquelles, nous n’arriverons pas à ce terme.
Nos remerciements s’adressent au maitre du temps et de
circonstances, qui détient le souffle de vie et toute la force de se battre sans qui,
on n’arriverait pas à ce stade.
En effet, il est déraisonnable de méconnaitre le soutien des autorités
académiques de l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo, les éminents
professeurs Associés, les Chefs de Travaux ainsi que les Assistant(e)s qui nous ont
fait bénéficier les enseignements malgré les caprices et faiblesses pour devenir ce
que nous sommes devenus aujourd’hui.
Ces mots de gratitudes s’adressent principalement à Monsieur
l’Assistant Don KABAMBA, qui en dépit de ses multiples occupations à bien voulu
accepter la direction de ce travail.
A ma codirectrice Madame l’Assistante KOYO NZUNDU Nathalie, pour
son soutien indispensable tout au long de ce travail.
A nos sœurs et frères, et cousines et cousins : Joël KWETE, Patrick
PONGO, Angel KENA, Eugénie INGAMA, Alice BULAPE, Ange, Jeannette
NDENGE..
A nos oncles tantes : BIDIAKA Meme, Mado MATSHINGI, Keta
MUSASA,..
Nous remercions tous nos camarades avec qui nous avions passé les
moments inoubliables : Anny KABUKANDU, Aimée PONGO, Germaine
MBULAMBULA, Gaël MBWENYANGE, Sabine MANYENGI, Natacha LAKWASA,
Aaron KOSO, Junior MINGU, François ILUNGA, Norbert KADIA, Merdy ILUNGA,
Nicolas MAKONTSHI,…
Que tous ceux qui ne sont pas repris sur cette liste trouvent notre
profonde reconnaissance pour leurs bienfaits.
0. INTRODUCTION GENERALE
1
KIYUNSA Bidum G. SHOMBA KINYAMBA S., Initiation aux méthodes de recherche en Sciences Sociales. éd. PUZ,
1995 P.41
2
NZIL’OLONG MABANSA : « Mise en place d’une base de données pour la gestion des recettes
mensuelles à la DPP/Idiofa, TFC, ISC-Idiofa, 2013-2014
2
0.3. PROBLEMATIQUE
La problématique est considérée comme ensemble des questions
précises et concises que le chercheur pose au sujet de sa recherche 3.
A présent, de nouveaux besoins sont apparus, toute organisation
automatisée souhaite stocker et échanger ses informations qui sont
géographiquement éloignées, ce qui rend la tâche de la collecte et du traitement
d'une grande quantité d'informations dispersées très délicate, de ce fait,
l'amélioration des systèmes d'informations est devenu une priorité pour les gérants
des entreprises.
Pour notre travail nous nous focalisons sur la mise en place d’une base
de données pour la gestion des recettes non fiscale à la DGRAD/Ilebo.
De manière spécifique, nous nous sommes posé des questions suivantes
sur la mise en place d’une base de données pour la gestion des recettes non-fiscale à
la DGRAD/Ilebo :
- Quels sont les avantages du nouveau système qui sera mis en place pour
ladite gestion ?
0.4. HYPOTHESES
L’hypothèse est une proposition que l’on avance soit comme point de
départ de la démonstration d’un théorème, soit comme donnée d’un problème 4.
Partant des différentes questions soulevées à la problématique, Nous
disons que la DGRAD/Ilebo tiendrait compte des informations concernant les recettes
fiscales.
3
KAPENGA, cours d’initiation à la recherche scientifique, inédite G2 info UPN 2015-2016
4
LOUBET dei bayl, introduction aux méthodes des sciences sociales, Toulouse, 1978, p20
3
5
LOUBET dei bayl, introduction aux méthodes des sciences sociales, Toulouse, 1978, p20
5
I.2.Situation géographique
I.3.Objectifs et missions
La DGRAD a pour mission primordiale l’encadrement des recettes non
fiscales et son objectif est de canaliser ces dernières vers le trésor public (BCC).
D’après les principes de finances publiques d’ordonnance et de recouvrement qui les
dernières phases de l’exécution du budget de l’Etat. Les deux premières étant la
constations et la liquidation, chacune de l’exécution du budget constitue l’état de
contrôle de la bonne exécution decelle qui la précède.
Exemple des recettes non fiscales :
- Recettes administratives ;
- Recettes judiciaires ;
- Recettes domaniales et de participations.
7
SECRETARIAT
CELLULES ANTENNES
DOMANIALES
BASONGO
RAJUP
MALU-MALU
FINANCES
MAPANGU
IVA
SUD-BANGA
INSPECTION
SERVICES GENERAUX
ETUDE ET CONTENTIEUX
SERVICE DE
RECOUVREMENT
Figure n°1 : Organigramme générale
Source : Archives de la DGRAD ressort d’Ilebo
8
- Elle a pour rôle d’organiser les recouvrements des recettes ordonnanciers sous
toutes ses formes au moment opportun et orienté les recettes vers la banque
centrale du Congo (BCC)
9
- Elle s’occupe aussi de recevoir les frais d’entérinement pour les institutions
publiques et les frais d’homologation pour les institutions privées de les
canaliser vers le trésor public (BCC).
2.2.1.1. Définition
6
KALEMA OKENDE A. Notes de cours inédites de la Méthode d’Analyse Informatique G2 Informatique de
gestion, ISC-ILEBO2013-2014
10
a. Avantages
b. Désavantages
1.1.1.1. Définition
Le dictionnaire de données est un ensemble de propriétés permettant
d’élaborer le modèle conceptuel de données (MCD) c’est un schéma qui regorge la
structure de données qui sont constituées à partir d’un ensemble des définitions de
base constituées par les données élémentaires de base qui sont des propriétés 8.
8
KABAMBA Don, Cours inédit de Méthode de Recherche Scientifique en informatique II, G3 Info 2022-2023
15
E c N AN Date
9
CRESSOR, DETHOOR, JN BOILLOT ; Les principaux types d’organisation de fichiers informatique de gestion,
éd. Réalisation pratique décembre 1970
18
C’est une démarche qui consiste à partir du schéma de circulation et des règles
de gestion à construire un schéma conceptuel entité-association après avoir conçue le
dictionnaire de données recherche de dépendances fonctionnelles entre propriété et après
avoir appliquée les règles de passage de dépendance fonctionnelle au modèle conceptuel
de données (MCD).
C’est une démarche rigoureuse du fait qu’il assure le concepteur que sa
présentation conceptuelle de données du système d’information est le résultat d’un travail
donné systématique, cette démarche, ne se réalise pas pour le système d’information
volumineuse.
1.1.4.2. Démarche descendante
C’est une démarche appelée empirique car son système est basé sur la recherche
des entités et associations puis les propriétés à leurs associations et afin l’indication des
cardinalités.
Elle est plus globale car elle présente l’inconvénient de ne pas mettre en œuvre la
notion de dépendance fonctionnelle et donc de produire les schémas qui ne sont pas en
troisième forme normale.
Elle comporte deux opérations :
Le recensement de rubrique apparait dans le système d’information
existant ;
Le recensement des nouveaux besoins exprimés en termes de fonction
par utilisateur.
La qualité d’information à considérer n’est pas volumineuse, nous avons opté pour
une démarche ascendante pour faire la recherche de rubrique en entré.
21
1.1.5. Formalisme
Figure 3 : Formalisme
Source : Par nous même
1.1.6. Recensement des relations
Le modèle conceptuel de données brut (MCDB) est celui qui présente les entités avec
le verbe à l’infinitif, c’est-à-dire liens ou les associations qui réunissent les entités sont
conjuguées à l’infinitif. Dans ce modèle il n’y a pas encore de notion de dépendance
fonctionnelle entre les entités, il se conçoit de manière brute.
Le MCD représente formellement la signification des informations sans contrainte
technique ou économique ; tout en se posant la question « quoi ? ».
1.1.8.2. Présentation du modèle conceptuel de données brut (MCDB)
CM= (Min+2Mo+Max)4*P
CM : Cardinalité moyenne ;
Min : Valeur minimale (fréquence d’apparition plus élevée) ;
N : Valeur Maximale de l’effectif
Max : valeur maximale
P : Taux de répartition à la relation
Mo 10
P¿ = =0 , 1
Mo 23 N 86
P¿ = =0 ,2 CM= (Min+2*Mo + Max)/4*P
N 96
CM= 5+2(10 + 86)/4*0,1
CM= (Min+2*Mo + Max)/4*P CM= 1+(20 + 86)/4*0,
CM= 5+2(23 + 96)/4*0,2 CM= (21 + 86)/4*0,1
CM= 1+(46 + 96)/4*0,2 107
CM= (47+ 96)/4*0,2 ∗1
CM = 4 107 =2,6
143 =
∗2 10 40
CM = 4 286 = 7,15 CM=3
=
10 40
25
1. Table assujetti : (#Numéro assujetti (5), nom (10), post nom (11), prénom (7),
sexe (1), adresse (35), téléphone (10), #matricule agent(5)) ;
2. Table agent : (# Matricule (5), nom (10), post nom (11), prénom (7), sexe (1),
fonction (5), grade (8), qualification (4), adresse (35), téléphone
(10), # code service (5)) ;
3. Table service : (# Code service (5), libellé service (20)) ;
4. Table registre : (# code registre (5), nom assujetti (10), numéro bordereau (5),
numéro note de perception (5), montant (), date (8), banque
(23)) ;
5. Table banque : (# code banque (5), libellé (25) ;
6. Table rapport : (# numéro rapport (5), libellé rapport (11)) ;
7. Table note de perception : (# numéro note de perception (5), # matricule agent
(5), # code service (5), artci (), nom agent ordonnanceur (10),
signature (23), adresse (35), montant en lettre (23), montant en
chiffre (10) date prévue (10), qualification taxateur (4)).
Définition
Elle consiste à partir d’un objet dit universitaire à faire éclater celle-ci en
plusieurs réduits aux formes normales, l’objet de la normalisation de limiter le
nombre de redondances et anomalies lord de la mise à jour de la base de
données.
a. Vérification
Les identifiant deviennent des clés primaires indexés sans
doublons ;
Les propriétés deviennent des champs ;
Les clés deviennent des clés secondaires.
1.4.2. Modèle physique de données
1.4.2.1. Définition
Le MPD ne rien d’autre qu’un résultat du MLD de sauvegarder sur le
support (informatique) magnétique (CD, disque dur).
1.4.2.2. Présentation du modèle physique de données (MPD)
Registre
Clé Clé Valeur Valeur par
Code champ Type Taille primair étrangèr nulle défaut
e e
Coderegistre Varchar 5 OUI - - -
Nm assujetti Varchar 10 - - - -
Numéro bordereau Varchar 5 - - - -
Numéro de perception Vardchar 5 - - - -
Montant Varchar 5 - - - -
Banque Vardchar 55 - - - -
Dat Date 8 - - - -
Matrag Varchar 5 - OUI - -
Tableau n°7 : Présentation du MPD de la table registre
Source : nous-même
Table AGENT
Clé Clé Valeur Valeur par
Code champ Type Taille primair étrangèr nulle défaut
e e
Matrag Varchar 5 OUI - - -
Nm Varchar 10 - - - -
Pst nm Varchar 11 - - - -
Prnm varchar 7 - - - -
Sx Booléenne 1 - - - -
Fonct Varchar 8 - - - -
Quali Varchar 23 - - - -
Grad Varchar 4 - - - -
Codersev Vardchar 5 - OUI - -
Tableau n°8 : Présentation du MPD de la table agent
Source : nous-même
Table assujetti
Clé Clé Valeur Valeur par
Code champ Type Taille primair étrangèr nulle défaut
e e
Numéro assujetti Varchar 5 OUI - - -
Nm Varchar 10 - - - -
Pst nm Varchar 11 - - - -
Prnm varchar 7 - - - -
32
Sx Booléenne 1 - - - -
Téléphone Varchar 10 - - - -
Matricule agent Vardchar 5 - OUI - -
Tableau n°9 : Présentation du MPD de la table agent
Source : nous-même
Table rapport
Clé Clé Valeur Valeur par
Code champ Type Taille primair étrangèr nulle défaut
e e
Numéro rapport Varchar 5 OUI - - -
Libellé rapport Varchar 10 - - - -
Matricule agent Vardchar 5 - OUI - -
Tableau n°10 : Présentation du MPD de la table rapport
Source : nous-même
Table service
Clé Clé Valeur Valeur par
Code champ Type Taille primair étrangèr nulle défaut
e e
Numéro service Varchar 5 OUI - - -
Libellé service Varchar 20 - - - -
Matricule agent Vardchar 5 - OUI - -
Tableau n°11 : Présentation du MPD de la table service
Source : nous-même
Table banque
Clé Clé Valeur Valeur par
Code champ Type Taille primair étrangèr nulle défaut
e e
Numéro banque Varchar 5 OUI - - -
Libellé banque Varchar 25 - - - -
Matricule agent Vardchar 5 - OUI - -
Tableau n°12 : Présentation du MPD de la table service
Source : nous-même
Table note de
perception
Clé Clé Valeur Valeur par
Code champ Type Taille primair étrangèr nulle défaut
e e
Numéro note de Varchar 5 OUI - - -
percep
Article Varchar 10 - - - -
Nom agent ordonnna Varchar 10 - - - -
Adresse varchar 35 - - - -
Montant en lettre Varchar 23 - - - -
Montant en chiffre Varchar 8 - - - -
Qualification taxateur Varchar 4 - - - -
Date prévue Date 8 - - - -
Code service Varchar 5 - OUI - -
Matricule Vardchar 5 - OUI - -
33
Réc
Cependant, nous allons éliminer à partir du MOT les tâches qui ne seront
pas des traitements et les tâches restantes. Celles-ci détermineront l’unité logique de
traitement où les évènements fonctionnels disparaissent et cèdent la place aux
actions des utilisateurs notamment : clic, saisie, etc.
10
G. Gardarin (2000), Base de données, objet et relationnel, éd. Eyrolles, 2è tirage, Paris, p.71
11
G. Gardarin (2000), Base de données, objet et relationnel, éd. Eyrolles, 2è tirage, Paris, p.71
38
ULT01 LOGO
BIENVENUE
A L’ISC-ILEBO
FIN
O
Message U
Mot de passe Incorrecte
CREATION MODIFICATION
EDITION SUPPRIMER
RECHERCHE QUITTER
ULT04 CREATION
ASSUJETTI BANQUE
AGENT REGISTRE
SERVICE
SUPPRIMER QUITTER
ULT04 EDITION
ETAT 5 RETOUR A
ETAT 4 ALLER A LA
RETOUR A L’AUTHENTIFICATION
Figure 11 : Présentation de MLT
RETOUR AU MENU PRINCIPAL
Source : Par nous même
RECHERCHE………………………
QUITTE
… R
39
Début programme
Logo
Connexion
Menu principal
Table assujetti
APERçU IMPRIMER
Table note percep
Table agent
AJOUTER LISTE DE TOUS LES ASSUJETTIS EN
ORDRE
RECHERH
Table rapport
EMODIFIER LISTE DE TOUTES LES NOTES
PERCELIVREES
Table service
SUPPRIME
Table registre R
Table banque
2° Ordinateurs client
b. Aspect software
Cet aspect représente la partie intelligente de l’ordinateur. Il s’agit d’un
ensemble de logiciels permettant à l’ordinateur d’effectuer un traitement automatique
des informations.
La configuration logicielle de notre futur système informatisé
comprendra :
Système d’exploitation client : Windows 10 professionnel avec licence
SGBD : Microsoft SQL Server 2019 avec Licence
Langage de programmation : Microsoft Visual studio 2019 avec licence
Système d’exploitation Server: Windows Server 2019 avec licence
Antivirus : Norton 2021 avec licence
Logiciel d’application : Ms Office 2019 avec licence.
41
Formulaire ASSUJETTI
GO
ALTER TABLE [dbo].[T_Assujetti] CHECK CONSTRAINT
[FK_T_Assujetti_T_Banque]
GO
3.2. Programmation
La programmation est un processus qui permet d’établir un programme
accessible sur la machine, c’est-à-dire la manière d’organiser et d’écrire les
instructions d’un programme de manière correcte et cohérente pour contraindre
l’ordinateur à exécuter une tâche spécifique. Elle transporte donc une réponse à la
question : « Comment résoudre un problème dans l’esprit informatique ?
Nonobstant un programme est une suite ordonné d’instructions
enregistrées sur un support et permettant d’executer une serie de tâches.
Choix du langage de programmation
Un langage informatique est un langage destiné à décrire l’ensemble des
actions consécutives qu’un ordinateur doit executer pour résoudre un problème
donné. Il existe cependant une multitude de langages de programmation. Dans le
contexte de ce travail, nous avons porté le choix sur VB.Net de Microsoft Visual
Studio pour ses multiples avantages entre autres :
CONCLUSION
Nous voici arrivé au terme notre travail intitulé « Mise en place d’une base de
données pour la gestion des recettes non fiscales à la DGRAD/Ilebo »
En élaborant ce travail, notre objectif majeur était de concevoir une base de
données qui permettrait à la DGRAD ressort d’Ilebo de bien géré les recettes non fiscales.
Pour y parvenir, nous sommes servis d’une problématique qui était composée de
trois questions à savoir :
- Est-ce que la DGRAD/Ilebo tiendrait-elle compte des informations concernant
les recettes non-fiscales ?
- Comment parvenir à rendre les informations sur les recettes non fiscales
disponibles lorsqu’on en a besoin ?
- La mise en place de cette base de données permettrait-elle la bonne gestion
des recettes non-fiscales à la DGRAD ?
Partant des questions soulevées, nous avons émis nos hypothèses de la manière suivante :
Nous disons que la DGRAD/Ilebo tiendrait compte des informations
concernant les recettes fiscales.
La mise en place d’une base de données permettrait la bonne gestion,
parce que la DGRAD/Ilebo pourra suivre à temps réel le déroulement de toutes les
activités à travers la ville d’Ilebo, à l’aide de données qui seront répliquées.
Le nouveau système qui sera mis en place a comme avantage pour la
dite gestion :
- La fiabilité des informations lors de traitement ;
- La rapidité
- La sécurité des données
- La traçabilité de l’information
- La mise en jour
Outre l’introduction et la conclusion générale, notre travail a été
subdivisé en trois chapitres :
- Le premier chapitre était axé sur l’étude d’opportunité;
- Le deuxième chapitre a abordé la modélisation du nouveau système avec la
méthode merise ;
- Le troisième chapitre s’est intéressé à la réalisation de l’application
Pour l’élaboration ce travail, nous avons utilisé la méthode merise appuyée par les
approches suivantes : L’approche structuro-fonctionnelle, l’approche analytique et les
techniques suivantes nous ont servis d’outils de récolte des données à savoir : La
technique documentaire, la technique d’observation directe, la technique d’interview
libre.
47
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
16. Pinto et Grawitz, Méthodes en sciences sociales, éd. Dalloz, Paris, 1969, p.51
III. WEBOGRAPHIE
http://www.commentcamarche.net
Http://www.uml.org
http://www.developpez.com
http://www.bestcours.com.
IV. DICTIONNAIRES
38 Dictionnaires indispensables
Microsoft Encarta Junior 2009 Collection
50
DEDICACE........................................................................................................................................................... II
REMERCIEMENTS....................................................................................................................................... III
0. INTRODUCTION GENERALE......................................................................................1
0.2. Etat de la question.............................................................................................1
0.3. PROBLEMATIQUE..............................................................................................2
0.4. HYPOTHESES....................................................................................................2
0.5. Choix et intérêt du sujet.....................................................................................3
0.5.1. Choix du sujet.............................................................................................3
0.5.2. Intérêt du sujet...........................................................................................3
0.6. Délimitation du sujet..........................................................................................3
0.6.1. Dans le temps.............................................................................................3
0.6.2. Dans l’espace..............................................................................................3
0.7. Méthodes et techniques utilisées.........................................................................4
0.7.1. Méthodes utilisées.......................................................................................4
0.7.1.1. approche structuro-fonctionnelle...............................................................4
0.7.1.2. Approche analytique................................................................................4
0.7.2. Techniques utilisées....................................................................................4
0.8. Subdivision du travail.........................................................................................4
CHAPITRE PREMIER : ETUDE D’OPPORTUNITE.................................................................6
Section I : Présentation de la Direction Générale Recettes Administratives et Domaniale...6
I.1. Aperçu Historique..............................................................................................6
I.2.Situation géographique.......................................................................................7
I.3.Objectifs et missions...........................................................................................7
I.4 Organigramme Général.......................................................................................7
Section 2: Analyse de l’existant.....................................................................................8
2.1. Description des tâches.......................................................................................8
51