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I

EPIGRAPHE

« A chaque ressource correspond une destination».

(Principe de la coptabilité)
II

DEDICACE

A nos parents bien-aimés Jean LOBO PIEMA et KENA PONGO Angel


pour leur amour et sacrifices.

=/BIDIAKA LOBO Alphonsine=/=


III

REMERCIEMENTS
Au complet achèvement de ce présent travail scientifique sanctionnant
la fin de nos études de graduat , nous mettons un accent particulier sur le fait
qu’il est le résultat (spirituel, intellectuel, matériel et moral) de plusieurs
personnes sans lesquelles, nous n’arriverons pas à ce terme.
Nos remerciements s’adressent au maitre du temps et de
circonstances, qui détient le souffle de vie et toute la force de se battre sans qui,
on n’arriverait pas à ce stade.
En effet, il est déraisonnable de méconnaitre le soutien des autorités
académiques de l’Institut Supérieur de Commerce d’Ilebo, les éminents
professeurs Associés, les Chefs de Travaux ainsi que les Assistant(e)s qui nous ont
fait bénéficier les enseignements malgré les caprices et faiblesses pour devenir ce
que nous sommes devenus aujourd’hui.
Ces mots de gratitudes s’adressent principalement à Monsieur
l’Assistant Don KABAMBA, qui en dépit de ses multiples occupations à bien voulu
accepter la direction de ce travail.
A ma codirectrice Madame l’Assistante KOYO NZUNDU Nathalie, pour
son soutien indispensable tout au long de ce travail.
A nos sœurs et frères, et cousines et cousins : Joël KWETE, Patrick
PONGO, Angel KENA, Eugénie INGAMA, Alice BULAPE, Ange, Jeannette
NDENGE..
A nos oncles tantes : BIDIAKA Meme, Mado MATSHINGI, Keta
MUSASA,..
Nous remercions tous nos camarades avec qui nous avions passé les
moments inoubliables : Anny KABUKANDU, Aimée PONGO, Germaine
MBULAMBULA, Gaël MBWENYANGE, Sabine MANYENGI, Natacha LAKWASA,
Aaron KOSO, Junior MINGU, François ILUNGA, Norbert KADIA, Merdy ILUNGA,
Nicolas MAKONTSHI,…
Que tous ceux qui ne sont pas repris sur cette liste trouvent notre
profonde reconnaissance pour leurs bienfaits.

=/BIDIAKA LOBO Alphonsine=/=


IV

LISTE DES ABREVIATIONS

DGRAD : Direction Générale des Recettes Administratives et


Domaniales
MCD : Modèle Conceptuel de Données
MOD : Modèle Organisationnel de Données
MCT : Modèle Conceptuel de Traitements
MOT : Modèle Organisationnel de Traitements
MLD : Modèle Logique de Données
MLT : Modèle Logique de Traitements
MPD : Modèle Physique de Données
MPT : Modèle Physique de Traitements

TIC : Technologies de l’Information et de la


Communication

MERISE : Méthode d’Etude et Réalisation


Informatique pour les Systèmes d’Entreprise

CIF : Contrainte d’Intégrité Fonctionnelle

ULT : Unité Logique de Traitements

SGBDR : Système de Gestion de Base de Données


Relationnelle

SQL : Structured Query Language


V

LISTE DES FIGURES

Figure n°1 : Organigramme générale......................................................................................................7


Figure 2 : Présentation de recensement des objets......................................................................11
Figure 3 : Formalisme........................................................................................................................................ 21
Figure 4 : Présentation de règle de gestion.......................................................................................22
Figure 5 : Présentation du MCDB............................................................................................................ 23
Figure 6 : Présentation du MOD...............................................................................................................25
Figure 7 : Présentation du MLD............................................................................................................... 27
Figure 8 : Présentation du MLD Valide.................................................................................................30
Figure 9 : Présentation de formalisme du MCT................................................................................33
Figure 10 : Présentation du MCT.............................................................................................................34
Figure 11 : Présentation de MLT..............................................................................................................38
Figure 12 : Présentation de MLT..............................................................................................................38
Figure 13 : Présentation du MPT............................................................................................................. 39
Figure 14: Formulaire de lancement......................................................................................................41
Figure 15 : Menu principal...........................................................................................................................41
Figure 16 : Formulaire ASSUJETTI....................................................................................................... 41
VI

LISTE DES TABLEAUX

Tableau 1 : Présentation du schéma de circulation des informations......................10


Tableau 2 : Présentation de la description du schéma de circulation.......................11
Tableau 3 : Présentation de dictionnaire de donées..............................................16
Tableau 4 : Présentation de la dépendance fonctionnelle......................................19
Tableau 5 : Calcul de volume théorique des tables................................................26
Tableau 6 : Calcul de volume théorique des indexes.............................................26
Tableau 7 : Présentation du MPD de la table registre............................................31
Tableau 8 : Présentation du MPD de la table agent...............................................31
Tableau 9 : Présentation du MPD de la table agent...............................................32
Tableau 10 : Présentation du MPD de la table rapport...........................................32
Tableau 11 : Présentation du MPD de la table service...........................................32
Tableau 12 : Présentation du MPD de la table service...........................................32
Tableau 13 : Présentation du MPD de la table note de perception..........................32
Tableau 14 : Présentation du modèle organisationnel...........................................36
1

0. INTRODUCTION GENERALE

0.1. Présentation du sujet


De nos jours, l’accroissement du volume de données dans les systèmes
d’informations est devenu une réalité à laquelle chaque entreprise doit faire face. Cet
accroissement permet aux responsables(manager) de déceler les informations
pertinentes et de rendre les activités plus efficaces en mettant en place un nouveau
système d’information informatisé, qui consiste { structurer et { gérer un ensemble
des données stockées dans les différents supports d’informations accessibles par les
utilisateurs dans le but de les organiser pour avoir des résultats attendus dans les
plus brefs délais.
Désormais, il ne fait plus aucun doute que l’informatique a apporté une
révolution, probablement la plus importante et la plus innovante qui a marqué la vie
de l’humanité moderne, depuis quelques années. En effet, les logiciels informatiques
proposent maintenant des solutions à tous les problèmes de la vie dans tous les
domaines, notamment la médecine, l’économie, la gestion, etc.
C’est dans ce cadre qu’intervient notre travail de fin de cycle qui
s’intitule : « Mise en place d’une base de données pour la gestion des
recettes non fiscales à la DGRAD/Ilebo ».

0.2. Etat de la question


L’état de la question est une synthèse critique des écrits existant
permet au chercheur de tracer la ligne de démarcation entre ceux-ci et la
littérature qu’il se propose de produire1.
Quant aux travaux, nous avons mis l’accent à un seul travail celui
de : NZIL’OLONG MABANSA qui a traité le sujet intitulé : « Mise en place d’une
base de données pour la gestion des recettes mensuelles à la DPP/Idiofa 2».
Son inquiétude majeure s’est basée autour des questions suivantes :
 Exist-il un système informatique au sein de la DPP/Idiofa ?
 Est-ce que l’apport de l’outil informatique pourrait-il améliorer la gestion des
recettes à la DPP/Idiofa ?
L’auteur a trouvé comme hypothèse aux problèmes soulevés:
 Il n’existerait pas un système informatique au sein de la DPP/Idiofa problème
lié à la gestion taxation des produits pétroliers à la DGDA/Ilebo.
 Oui, l’outil informatique apporterait une amélioration au sein de la DPP/Idiofa.
Entre autres : la rapidité de traitement, la fiabilité des données et la sécurité
de données.

1
KIYUNSA Bidum G. SHOMBA KINYAMBA S., Initiation aux méthodes de recherche en Sciences Sociales. éd. PUZ,
1995 P.41
2
NZIL’OLONG MABANSA : « Mise en place d’une base de données pour la gestion des recettes
mensuelles à la DPP/Idiofa, TFC, ISC-Idiofa, 2013-2014
2

Nous disons que notre travail se démarque à celui de notre


prédécesseur, du point de vue outil de modélisation, système de gestion de base de
données. Notre prédécesseur a utilisé les formes de word pour modéliser le nouveau
système, et l’Access pour concevoir la base de données. A ce concerne l’outils de
modélisation, nous avons utilisé l’AGL Win design pour la conception du nouveau
système et notre base de données sera conçue en SQL Serveur 2008 R2, connecté
au langage de programmation VB.net 2012.

0.3. PROBLEMATIQUE
La problématique est considérée comme ensemble des questions
précises et concises que le chercheur pose au sujet de sa recherche 3.
A présent, de nouveaux besoins sont apparus, toute organisation
automatisée souhaite stocker et échanger ses informations qui sont
géographiquement éloignées, ce qui rend la tâche de la collecte et du traitement
d'une grande quantité d'informations dispersées très délicate, de ce fait,
l'amélioration des systèmes d'informations est devenu une priorité pour les gérants
des entreprises.
Pour notre travail nous nous focalisons sur la mise en place d’une base
de données pour la gestion des recettes non fiscale à la DGRAD/Ilebo.
De manière spécifique, nous nous sommes posé des questions suivantes
sur la mise en place d’une base de données pour la gestion des recettes non-fiscale à
la DGRAD/Ilebo :

- Est-ce que la DGRAD/Ilebo tiendrait-elle compte des informations concernant


les recettes non-fiscales ?
- La mise en place de cette base de données permettrait-elle la bonne gestion
des recettes non-fiscales à la DGRAD ?

- Quels sont les avantages du nouveau système qui sera mis en place pour
ladite gestion ?

0.4. HYPOTHESES
L’hypothèse est une proposition que l’on avance soit comme point de
départ de la démonstration d’un théorème, soit comme donnée d’un problème 4.
Partant des différentes questions soulevées à la problématique, Nous
disons que la DGRAD/Ilebo tiendrait compte des informations concernant les recettes
fiscales.

3
KAPENGA, cours d’initiation à la recherche scientifique, inédite G2 info UPN 2015-2016
4
LOUBET dei bayl, introduction aux méthodes des sciences sociales, Toulouse, 1978, p20
3

La mise en place d’une base de données permettrait la bonne gestion,


parce que la DGRAD/Ilebo pourra suivre à temps réel le déroulement de toutes les
activités à travers la ville d’Ilebo, à l’aide de données qui seront répliquées.
Le nouveau système qui sera mis en place a comme avantage pour la
dite gestion :
- La fiabilité des informations lors de traitement ;
- La rapidité
- La sécurité des données
- La traçabilité de l’information
- La mise en jour

0.5. Choix et intérêt du sujet

0.5.1. Choix du sujet


Le choix de ce sujet n’est pas un fait du hasard, notre choix se justifie
par l’importance d’une base de données pour la gestion des recettes fiscales à la
DGRAD/Ilebo.

0.5.2. Intérêt du sujet


L’intérêt de ce présent travail se porte à trois à niveaux :
 Intérêt personnel : Il nous permet, nous en tant qu’étudiant, d’enrichir nos
connaissances acquises en analyse de système informatique et
développement d’une base de données.
 Intérêt social : Une fois cette base de données mises en place, la gestion
des recettes non fiscale à la DGRAD/Ilebo sera plus efficace.
 Intérêt scientifique : Ce travail sera une documentation de référence pour
tous chercheurs scientifiques dans le domaine de bases de données réparties.

0.6. Délimitation du sujet

0.6.1. Dans le temps


Nos recherches ont été menées dans la période allant de 2020-2023.

0.6.2. Dans l’espace


Le cadre spatial de notre travail se limite sur l’étude et la d’une base de
données pour apporter une solution aux problèmes que traverse la DGRAD dans le
cadre de gestion des recettes non fiscales. Nous allons considérer qu’une seule
direction pour ce travail dont le territoire d’Ilebo.
4

0.7. Méthodes et techniques utilisées

0.7.1. Méthodes utilisées


Une méthode est une démarche organisée et rationnelle de l’esprit pour
arriver à un certain résultat 5. Pour l’élaboration de notre travail, nous avons utilisé la
méthode MERISE appuyée des approches suivantes:

0.7.1.1. approche structuro-fonctionnelle


Cette approche permet à un chercheur de comprendre et de découvrir un
fait à travers la structure et le fonctionnement d’une institution. Elle nous a permis
non pas seulement de connaitre, mais également de comprendre la structure et le
fonctionnement du ministère de la Santé face à la vaccination afin d’expliquer le
déroulement et l’accomplissement des certaines tâches.

0.7.1.2. Approche analytique


Cette approche consiste à scinder le système en autant des services vue
la complexité du problème afin de les définir en résolvant séparément et d’en
dégager une solution globale. Elle nous a permis d’analyser en détail et le composent
du Système existant.

0.7.2. Techniques utilisées


Ce sont des instruments de bases dont se sert le chercheur en vue de
bien récolter les données relatives à l’objet de sa recherche. Conséquemment, les
techniques utilisées sont :
1. Technique documentaire : qui nous a permis de consulter les livres, TFC,
mémoires de licence, notes de cours en format papier, documents de la DGRAD,
etc. Nous avons également consulté différents sites web pour compléter la
documentation en format papier.
2. Technique d’interview : c’est une interrogation directe et individuelle qui
consiste en un dialogue ou une discussion, sur un problème spécifique entre le
chercheur (ou l’enquêteur) et l’enquêté. Nous avons profité avec cette technique
de nous entretenir avec les responsable de la DGRAD, les receveurs et aussi bien
les assujettis.
3. Technique d’observation : c’est ici que le chercheur est appelé à suivre
personnellement les phénomènes qui font l’objet de son étude. Fréquentant la
DGRAD, c’est à partir de l’observation que l’idée nous est venue pour proposer ce
sujet de recherche.

3.1. Subdivision du travail


Hormis l’introduction et la conclusion, notre travail se subdivise en trois
chapitres, à savoir :

5
LOUBET dei bayl, introduction aux méthodes des sciences sociales, Toulouse, 1978, p20
5

- Le premier chapitre parlera sur l’étude d’opportunité;


- Le deuxième chapitre aborde sur la modélisation avec la méthode mérise ;
- Le troisième chapitre s’intéresse à la réalisation de l’application
6

CHAPITRE PREMIER : ETUDE D’OPPORTUNITE

Section I : Présentation de la Direction Générale Recettes Administratives


et Domaniale

I.1. Aperçu Historique


La DGRAD a été créée par le décret n°0058 du 27 décembre 1995,
premier portant sa création, sa mission, l’ordonnancement et le recouvrement des
recettes administratives, judiciaires, domaniales et de participation émergeant au
budget général de l’Etat, conformément aux lois et règlements en vigueur.
Elle est placée sous l’autorité directe du Ministère des finances. Et le
second portant règlement d’administration relative aux personnels de la DGRAD.
La création de la DGRAD avait comme but primordial de relever le niveau
des recettes non fiscales qui ne franchissaient plus la barre de 2% du budget de
l’Etat et ceci leur a valu l’appellation péjorative des recettes résiduelles alors que
jusqu’au début de l’année 1970, ces recettes représentaient plus de 20% du budget
de l’Etat.
Parmi les principales causes de cette délinquance on notera :
- La consommation des recettes au détournement ;
- La gabegie financière ;
- La transformation de celles-ci à un deuxième salaire par les agents de
l’administration d’assiette ;
- La récalcitrante des assujettis liée au manque de culture fiscale, etc…

Conformément au décret n°0058 et 0059 portant création de la DGRAD,


celle-ci exerce dans le cadre des lois et règlements en vigueur, toutes les missions
prérogatives en matière d’ordonnancement et de recouvrement des recettes
administratives, judiciaires, domaniales et de participations émergeant au budget
général de l’Etat.
Collaboration avec les autres administrations, elle peut élaborer et
soumettre aux autorités compétentes des projets de loi, de décret, d’arrêté, de
circulaire et autres instructions. Elle exerce sa mission sur toute l’étendue du
territoire national. La création de la DGRAD a comme conséquence et surtout
l’importance des recettes non fiscales dans le monde de financement de l’Etat dans
notre pays. Ces recettes qui longtemps portés les qualificatifs péjoratifs de :
« recettes résiduelles » ou « autres recettes » occupant de plus en plus une place
non négligeable dans le budget de l’Etat sous la rubrique « recette DGRAD ».
a. Siège de la DGRAD au niveau national
La DGRAD a comme siège Kinshasa dans l’immeuble communément
appelée « site informatique des finances » situé sur le boulevard TSHATSHI
précisément dans la Commune de la Gombe à côté de de building administratif ou
7

immeuble de la fonction publique et en face de la Banque Centrale du Congo, BCC en


sigle.
b. Historique de la DGRAD au niveau local
Après sa création par le décret du 27 décembre 1995 la DGRAD a été
implantée au Kasaï-Occidental en 1997, le ressort de la DGRAD d’Ilebo a vu le jour le
29 Août 1999 ave²c le premier Chef de ressort : Monsieur José MUFILA, où le bureau
était implanté provisoirement à l’Hôtel de Palmes de 1999 à 2002, 2002 c’est le tour
de Godefroid KASALU jusqu’à 2004 et il est dans les secteurs entre autres : le
Secteur de Basongo, le Secteur de Mapangu, le Secteur de Malu-malu et le Secteur
de Su-Banga, le tour de troisième Chef de ressort Monsieur Donat KALALA dont le
bureau est parti pour l’Etat-major de la police national Congolaise , de 2005 à 2008 le
tour de quatrième Chef de ressort JIBIKILAYI TAMBWE le bureau est parti de l’Etat-
Major vers le bâtiment de l’Office de Route, OR en sigle, le cinquième Chef de ressort
Célé KANULAMBI de 2008-2009.
Actuellement le ressort d’Ilebo est situé au quartier commercial, avenue du
30 N) °05 sur le bâtiment de l’Honorable Jean-Baptiste IYOLO LA NDJONDO et ce
bureau est dirigé par le septième Chef de ressort Clément BEYA WA KABUYA jusqu’à
nos jours.

I.2.Situation géographique

La DGRAD ressort d’Ilebo se trouve dans l’immeuble de l’Honorable


Jean-Baptiste IYOLO LA NDJONDO sur l’Avenue du 30 juin, dans le quartier
commercial, cité d’Ilebo.
 A l’Est : par le marché central d’Ilebo;
 A l’Ouest : par la banque Centrale du Congo, agence d’Ilebo;
 Au Nord : par le bureau du territoire d’Ilebo ;
 Au Sud : par le cercle privé de la SNCC.

I.3.Objectifs et missions
La DGRAD a pour mission primordiale l’encadrement des recettes non
fiscales et son objectif est de canaliser ces dernières vers le trésor public (BCC).
D’après les principes de finances publiques d’ordonnance et de recouvrement qui les
dernières phases de l’exécution du budget de l’Etat. Les deux premières étant la
constations et la liquidation, chacune de l’exécution du budget constitue l’état de
contrôle de la bonne exécution decelle qui la précède.
Exemple des recettes non fiscales :
- Recettes administratives ;
- Recettes judiciaires ;
- Recettes domaniales et de participations.
7

I.4 Organigramme Général


CHEF DE RESSORT

SECRETARIAT

CELLULES ANTENNES

DOMANIALES
BASONGO
RAJUP
MALU-MALU
FINANCES
MAPANGU
IVA
SUD-BANGA
INSPECTION

SERVICES GENERAUX

ETUDE ET CONTENTIEUX

SERVICE DE
RECOUVREMENT
Figure n°1 : Organigramme générale
Source : Archives de la DGRAD ressort d’Ilebo
8

Section 2: Analyse de l’existant

2.1. Description des tâches

La description du fonctionnement de la DGRAD ressort d’Ilebo est faite


de la manière suivante:
1. Chef de ressort
Le Chef de ressort a pour rôle de superviser et de coordonner toutes les activités tant
administratives que techniques, d’assurer les relations avec l’extérieur et de
transmettre les rapports de gestion à la Direction Provinciale.
2. Secrétariat
C’est un bureau attaché exclusivement du Chef de ressort et assure les tâches ci-
dessous :
- La rédaction des correspondances ;
- La réception, l’expédition, l’enregistrement, la numérotation, la codification et
clarification des correspondances ;
Il assure l’audience des personnes étrangère auprès des différentes cellules, il oriente
les correspondances dans différents services selon les annotations du Chef.
3. Cellule domaniale
Cette cellule s’occupe de l’ordonnancement des recettes du domaine publique ou
privée de l’Etat telles que les recettes issues des services de l’environnement, mine,
des affaires foncières, de l’urbanisme et habitat.
4. Cellule rajup
Cette cellule joue le même rôle avec la cellule domaniale.
5. Cellule de finance
Cette cellule s’occupe des avantages sociaux des agents (salaires, primes
d’encadrement des recettes, primes des contentieux, primes bonus aux plus-values
ainsi que les redevances minières).
6. Services généraux
Cette cellule est chargée des informatiques des données au niveau de la Direction
Générale.
7. Cellule de recouvrement

- Elle a pour rôle d’organiser les recouvrements des recettes ordonnanciers sous
toutes ses formes au moment opportun et orienté les recettes vers la banque
centrale du Congo (BCC)
9

- Elle s’occupe aussi de recevoir les frais d’entérinement pour les institutions
publiques et les frais d’homologation pour les institutions privées de les
canaliser vers le trésor public (BCC).

2.2. Etude de la procédure

2.2.1. Schéma de circulation

2.2.1.1. Définition

Le schéma de circulation d’information est une représentation graphique


d’une suite des opérations dans laquelle les différents documents, postes des
travails, des décisions des responsabilités, d’opérations sont représentées par les
symboles les unes aux autres suivants le flux effectif de l’entreprise. Il permet de
désigner et de visualiser les procédures étudiées6.

Son élaboration permet pour celui qui l’établie :


 De mieux cerner les procédures dans les délais ;
 De donner une vie complète de l’articulation des opérations ;
 Des dégager les faiblesses et forcer la circulation d’information
En effet, le schéma de circulation n’est pas seulement un outil de
description mais aussi ; un outil de pré-analyse. Il est établi à l’aide des symboles
représentatif des documents, de leurs circulations ainsi que des opérations des
traitements et contrôle effectués.

6
KALEMA OKENDE A. Notes de cours inédites de la Méthode d’Analyse Informatique G2 Informatique de
gestion, ISC-ILEBO2013-2014
10

2.2.1.2. Présentation du schéma de circulation des informations

Tableau 1 : Présentation du schéma de circulation des informations


Sources : Par nous même

2.2.1.3.Description du schéma de circulation

N° Postes Taches Actes Commentaires


01 Assujetti 101 1 Présentation de l’assujetti à la réception
102 1 Réception de la note de perception
2 Se diriger vers la banque pour s’acquitter des
obligations de l’Etat
02 1 Réception de l’assujetti
2 Demande de motif
3 Orienter l’assujetti au service de l’ordonnancement
03 Réception de l’assujetti
Etablissement de la note de perception
Présentation de la note de perception à l’assujetti
Enregistrement de l’assujetti
Rédaction du rapport
Transmission du rapport au chef de service
11

04 Réception du rapport en provenance de service de


l’ordonnancement
Vérification et prise de connaissance
Classement du rapport
Tableau 2 : Présentation de la description du schéma de circulation
Source ; par nous même

2.2.1.4. Recensements des objets

Figure 2 : Présentation de recensement des objets


Source : Par nous même

Section 3 : Critique de l’existant, proposition de solution et choix de la meilleure


solution
3.1. Critique de l’existant
Elle consiste à porter un jugement positif ou négatif qui nous aidera à déceler les
difficultés dans notre système existant.
3.1.1. Aspect négatif
12

 Du point de vue moyen de traitement, nous avons décelé l’absence de


moyens matériels appropriés pour la multiplication des documents émis par le
système.
 Du point de vue exécution des tâches au niveau des postes, nous avons
relevé certaines répétitions au niveau de traitement effectués par certains
agents, ce qui laisse entrevoir l’écoulement de temps de traitement
considérable
 Du point de vue document, nous avons remarqué une mauvaise présentation
de certains documents du système ;
 Du point de vue de la durée de traitement, nous avons noté une lourdeur dans
le traitement de des informations.
Nous avons noté également l’absence d’un système de stockage sécurisé
des informations sur l’affichage publicitaire pour remplacer les cahiers registres.
3.1.2. Aspect positif
 Du point de vue organisation, la DGRAD est structurée ;
 Les limites de travail et autres tâches sont respectées au niveau de chaque
poste et se déroulent dans un climat de parfaite collaboration et sécurité.
3.2. Proposition des solutions
3.2.1. Solution manuelle réorganisée
La solution manuelle est basée sur l’activité de l’homme sans avoir à
recourir aux moyens de traitement automatique d’information.

a. Avantages

 Faible de coût de la maintenance ;


 Moins couteuse ;
 Facile à mettre en place ;
 Indépendante de l’électricité

b. Désavantages

 Perte d’informations ou de données


 Lenteur dans le traitement de l’information
 Source de beaucoup d’erreurs
 Insécurité dans la conservation des informations

3.2.2. Solution informatique


13

Elle repose sur l’utilisation de moyens informatiques notamment l’ordinateur pour le


traitement de données.
a. Avantages
 Accès rapide aux informations
 Rapidité de traitement des informations
 Sécurité et bonne conservation de l’information dans les supports de stockage
électronique appropriés.
b. désavantages
 Le coût lié à l’acquisition du matériel informatique ;
 Le coût d’achat des logiciels ;
 Le coût du recyclage des utilisateurs
 Le coût lié à la maintenance des matériels informatique et des logiciels
 La dépendance à l’électricité
3.3. Choix de la meilleure solution
Vu l’importance de la sécurité, nous préconisons pour la solution
informatique vu les avantages qu’il nous offre.

Section4 : Concepts de sujet

1. Mise en place : Action de mettre quelque chose, d’implanter un système qui


n’existe pas dans une entreprise. Ce qu’on met soit dans une société de
commerce, soit au jeu.

2. Base de données : La base est un ensemble de données structurées.


3. Gestion : vient du verbe Gérer qui veut, action de gérer quelque chose ou une
entreprise.
Selon le Dictionnaire Larousse Français, la gestion est l’ensemble des
connaissances, des technologies, des outils en rapport avec la gestion de données 7.
4. Recettes non fiscales : les recettes non fiscales sont définies par défaut, par
opposition aux recettes fiscales qui proviennent des impôts et taxes.

CHAPITRE II : MODELISATION DU NOUVEAU SYSTEME AVEC LA METHODE


MERISE

Section 1 : Modélisation des données

1.1. Etape conceptuelle de données


1.1.1. Dictionnaire
7
W.W.W laroussefr. Consulté 28/08/2023 à 19h30’
14

1.1.1.1. Définition
Le dictionnaire de données est un ensemble de propriétés permettant
d’élaborer le modèle conceptuel de données (MCD) c’est un schéma qui regorge la
structure de données qui sont constituées à partir d’un ensemble des définitions de
base constituées par les données élémentaires de base qui sont des propriétés 8.

8
KABAMBA Don, Cours inédit de Méthode de Recherche Scientifique en informatique II, G3 Info 2022-2023
15

1.1.1.2. Présentation du dictionnaire de données


N° Code rubrique Désignation assujetti Agent Service registre Noteper Rapport banque NATUR TYPE Taille Formule
E

E c N AN Date

01 Numassuj Numéro assujetti X X X 5


02 Nm Nom X X X 10
03 Pstnom Post nom X X X 11
X 7
04 Prenm Prénom X X
X 1
05 Sx Sexe X X
X 5
06 Adr Adresse X X X 8
07 Télép Téléphone X X X 10
08 Matrage Matricule agent X X X 5
09 Nm Nom X X X 10
10 Pstnm Post nom X X X 11
7
11 Prnm Prénom X X X
1
12 Sx Sexe X X X
5
13 Fonct Fonction X X X 8
14 Grad Grade X X X 4
15 Qualif Qualification X X X 6
16 Adr Adresse X X X 35
17 Télép Téléphone X X X 10

18 Codserv Code service X X X 5


19 Libserv Libellé service X X X 20
21 Codregis Code registre X X X 5
22 Nmassuj Nom assujetti X X X 10
23 Numborde Numéro bordereau X X X 5
5
22 Numnotpercep Numéro note de X X X
5
24 Mont Montant X X X
5
25 Dat Date X X X 8
26 Numnotperc Numéro note de p X X X 10
27 Articartnum Article X X X 11
28 Nmagord Nom agent ordonn X X X 7
12
29 Montenchiff Montant en chiffre X X X
5
16

30 Montenlett Montant en lettre X X X 8


31 Qualagtax Qualification tax X X X 4
32 Signat Signature X X X 23
8
33 Adress Adresse X X X
8
34 Datprev Date prévue X X X
36 Numrerapp Numéro rapport X X X 15
37 Librapp Libellé rapport X X 11
38 Codbanq Code banque X X X 5
39 Désignbanq Désignation X X 25
banque

Tableau 3 : Présentation de dictionnaire de donées


Source ; par nous même
17

1.1.2. Dépendance fonctionnelle


1.1.2.1. Définition
La dépendance fonctionnelle est considérée comme étant une liaison ou de
liaisons possibles entre les propriétés. Ces liaisons rendues, possibles grâces aux
valeurs que prennent chacune de propriété.9

9
CRESSOR, DETHOOR, JN BOILLOT ; Les principaux types d’organisation de fichiers informatique de gestion,
éd. Réalisation pratique décembre 1970
18

1.1.2.2.Présentation de la dépendance fonctionnelle


N Code Désignation propriétés sources
rubrique Numéro Matricule Code Code Numéro Num Code banque
°
assujetti agent service registre note de rapport
perception
01 Nm Nom X
02 Pstnom Post nom X
03 Prenm Prénom X
04 Sx Sexe X
05 Adr Adresse X
06 Télép Téléphone X
07 X
08 MNm Nom X
09 Pstnm Post nom X
10 Prnm Prénom X
11 Sx Sexe X
12 Fonct Fonction X
13 Grad Grade X
14 Qualif Qualification X
15 Adr Adresse X
16 Télép Téléphone X
18 CLibserv Code service X
21 Nmassuj Nom assujetti X
22 Numborde Numéro bordereau X
23 Numnotperc Numéro note de X
22 ep Montant X
24 Mont Date X
Dat
26 Articartnum Article X
27 Nmagord Nom agent ordonn X
28 Montenchiff Montant en chiffre X
19

29 Montenlett Montant en lettre X


30 Qualagtax Qualification tax X
31 Signat Signature X
32 Adress Adresse X
33 Datprev Date prévue X
37 Librapp Libellé rapport X
39 Désignbanq Désignation banque X

Tableau 4 : Présentation de la dépendance fonctionnelle


Source : Par nous même
20

1.1.3. Règle de passage de dépendance fonctionnelle au modèle conceptuel de


données

 Toute propriété à source de dépendance fonctionnelle devient des identifiants d’entité


dans le modèle conceptuel de données (MCD) ;
 Toute propriété but de dépendance fonctionnelle ayant une propriété à source devient
une propriété d’entité dans le modèle conceptuel de données ;
 Toute propriété à la fois dépendance fonctionnelle pour au moins une autres propriété
entraine la création d’une association binaire de cardinalité maximum égal à un.

1.1.4. Démarche à suivre dans l’élaboration du Modèle conceptuel de données


Partant de la définition, le modèle conceptuel de données (MCD) est une
représentation statique du système d’information de l’entreprise qui met en évidence sa
sémantique.
1.1.4.1. Démarche ascendante

C’est une démarche qui consiste à partir du schéma de circulation et des règles
de gestion à construire un schéma conceptuel entité-association après avoir conçue le
dictionnaire de données recherche de dépendances fonctionnelles entre propriété et après
avoir appliquée les règles de passage de dépendance fonctionnelle au modèle conceptuel
de données (MCD).
C’est une démarche rigoureuse du fait qu’il assure le concepteur que sa
présentation conceptuelle de données du système d’information est le résultat d’un travail
donné systématique, cette démarche, ne se réalise pas pour le système d’information
volumineuse.
1.1.4.2. Démarche descendante

C’est une démarche appelée empirique car son système est basé sur la recherche
des entités et associations puis les propriétés à leurs associations et afin l’indication des
cardinalités.
Elle est plus globale car elle présente l’inconvénient de ne pas mettre en œuvre la
notion de dépendance fonctionnelle et donc de produire les schémas qui ne sont pas en
troisième forme normale.
Elle comporte deux opérations :
 Le recensement de rubrique apparait dans le système d’information
existant ;
 Le recensement des nouveaux besoins exprimés en termes de fonction
par utilisateur.

1.1.4.3. Choix de la meilleure démarche

La qualité d’information à considérer n’est pas volumineuse, nous avons opté pour
une démarche ascendante pour faire la recherche de rubrique en entré.
21

1.1.5. Formalisme

Figure 3 : Formalisme
Source : Par nous même
1.1.6. Recensement des relations

a. Recevoir entre assujettis et agent


b. Recevoir 1 entre assujetti et note de perception
c. Diriger entre banque et assujetti
d. Elaborer entre agent et note de perception
e. Appartenir entre service et agent
f. Rédiger entre agent et rapport
g. Elaborer entre agent é registre
h. Enregistrer registre et notes de perceptions
22

1.1.7. Recensement des règles de gestion

Figure 4 : Présentation de règle de gestion


Source : Par nous même
1.1.7.1. Interprétation des règles de gestion

1. (1,1) un et un seul agent reçoit (1, n) un ou plusieurs assujettis


2. (1,n) un ou plusieurs assujettis sont reçus par (1, 1) un et un seul agent
3. (1,1) un et un seul assujetti reçoit (1, n) une ou plusieurs note de perception
4. (1,n) une ou plusieurs note de perception sont reçues par (1, 1) un et un seul
assujetti
5. A (1,1) une et une seule banque se dirige (1, n) un ou plusieurs assujettis
6. (1,n) un ou plusieurs assujettis se dirigent à (1, 1) une et une seule banque
7. (1,1) un et un seul agent élabore (1, n) une ou plusieurs note de perception
8. (1,n) une ou plusieurs note de perception sont élaborées par (1, 1) un et un seul
agent
9. A (1,1) un et un seul service appartiennent (1, n) un ou plusieurs agents
10.(1,n) un ou plusieurs agents appartiennent à (1, 1) un et un seul service
11.(1,1) un et un seul agent rédige (1, n) un ou plusieurs rapports
12.(1,n) un ou plusieurs rapports sont rédigés par (1, 1) un et un seul agent
13.(1,1) un et un seul agent élabore (1, n) un ou plusieurs registre
14.(1,n) un ou plusieurs registre sont élaborés par (1, 1) un et un seul agent
15.(1,1) un et un seul registre enregistre (1, n) une ou plusieurs notes de perceptions
23

16.(1,n) une ou plusieurs notes de perceptions sont enregistrées à (1, 1) un et un seul


registre

1.1.8. Modèle conceptuel de données


1.1.8.1. Définition

Le modèle conceptuel de données brut (MCDB) est celui qui présente les entités avec
le verbe à l’infinitif, c’est-à-dire liens ou les associations qui réunissent les entités sont
conjuguées à l’infinitif. Dans ce modèle il n’y a pas encore de notion de dépendance
fonctionnelle entre les entités, il se conçoit de manière brute.
Le MCD représente formellement la signification des informations sans contrainte
technique ou économique ; tout en se posant la question « quoi ? ».
1.1.8.2. Présentation du modèle conceptuel de données brut (MCDB)

Figure 5 : Présentation du MCDB


Source : Par nous même
24

1.1.9. Quantification de la multiplicité de cardinalité


La moyenne n’est pas toujours facile, soit on fixe arbitrairement cette
cardinalité soit à partir de statistique possible pour la dernière façon plus précise.
Cette quantification des cardinalités multiples s’exprime par des éléments ci-
dessous :
 La cardinalité maximale ;
 La cardinalité minimale ;
 La cardinalité moyenne.

Le choix de cette valorisation se fait selon l’intérêt dans le processus


d’optimisation. Dans tous les cas, au niveau organisationnel on définira la cardinalité
moyenne.
La quantification de cardinalité moyenne n’est pas toujours aisée. Elle peut être
fixée arbitrairement ou à partir de statistique sur la population d’entité concernée par la
relation.
Il n’est alors possible de la déterminer de façon plus précise avec cette formule.

CM= (Min+2Mo+Max)4*P

CM : Cardinalité moyenne ;
Min : Valeur minimale (fréquence d’apparition plus élevée) ;
N : Valeur Maximale de l’effectif
Max : valeur maximale
P : Taux de répartition à la relation

Note de perception Recevoir Registre


N =96 N = 86
Mo =23 Mo =10

Mo 10
P¿ = =0 , 1
Mo 23 N 86
P¿ = =0 ,2 CM= (Min+2*Mo + Max)/4*P
N 96
CM= 5+2(10 + 86)/4*0,1
CM= (Min+2*Mo + Max)/4*P CM= 1+(20 + 86)/4*0,
CM= 5+2(23 + 96)/4*0,2 CM= (21 + 86)/4*0,1
CM= 1+(46 + 96)/4*0,2 107
CM= (47+ 96)/4*0,2 ∗1
CM = 4 107 =2,6
143 =
∗2 10 40
CM = 4 286 = 7,15 CM=3
=
10 40
25

1.2. Etape organisationnel de données


1.2.2. Règle de passage du modèle conceptuel de données au modèle
organisationnel de données (MCD au MOD)

 Supprimer les éléments qui ne seront pas modélisés


informatiquement (il peut s’agir de des objets, relations ou
propriétés pour trois raisons :
 Si l’objet ne présente pas d’intérêt pour votre application
de ;
 Lorsque l’objet ou relation est technique impossible d’être
informatisée ;
 Si l’objet ne contient qu’un enregistrement.
 Modifier certaines éléments aux besoins ;
 Ajouter d’autres éléments s’il y a lieu pour garder la sémantique
entre les données : s’il n’y a pas suppression, modification, ajout le
modèle global doit être égal au modèle conceptuel de données.
1.2.3. Modèle organisationnel de données (MOD)
1.2.3.1. Définition
Est une phase organisationnelle de données qui permet de contrôler la
structure de données à informatiser et le contrôle se passe au niveau de règle de
passage.
1.2.3.2. Présentation du modèle organisationnel de données (MOD)

Figure 6 : Présentation du MOD


Source : Par nous même
26

1.2.3.3. Calcul de volume de la base de données


1.2.3.3.1. Calcul de volume théorique des tables

Tableau 5 : Calcul de volume théorique des tables


Source : Par nous même

Volume théorique des tables = somme de volume * coefficient


2961*2,5 = 7402,5 Mo
1.2.3.3.2. Calcul de volume théorique des indexes

Tableau 6 : Calcul de volume théorique des indexes


Source : Par nous même
Volume théorique des indexes =somme de volume *coefficient
190*2,5=475 Mo
Calcul de volume de base de données = Volume Théorique des tables +
volume théorique des indexes/1024 Mo
7402, 5+ 475
=7,6 ≅ 8 Mo
1024
27

1.3. Etape logique de données


1.3.2. Règle de passage du modèle organisationnel de données au
modèle de logique de données

 Toute association devient relation, l’identifiant de l’entité devient


clé primaire de la relation, les propriétés de l’entité devient des
attributs de la relation ;
 Toute association binaire de cardinalité maximum N devient une
table de l’identifiant de l’implicite dont association devient
association de l’attribut de la table à l’absence de propriété, la
relation a comme attribut que ceux qui constitue sa clé primaire.
Cette clé s’applique aussi à l’association réflexive, mais il est alors
nécessaire de préciser le rôle de chaque attribut constitutif de la
clé primaire ;
 Toute association binaire de cardinalité maximum égal à 1 induit la
création d’une clé étrangère. Une clé étrangère est ajoutée dans la
relation ayant pour origine l’entité dont la participation maximum
à l’association vaut un.
1.3.3. Modèle logique de données de brut (MLDB)
1.3.3.1. Définition
Le modèle logique de données brut est une transformation de MOD dans
le langage qui n’est pas compréhensible que par l’informaticien
1.3.3.2. Présentation du modèle logique de données brut (MLDB)

Figure 7 : Présentation du MLD


Source : par nous même
28

1.3.3.3. Schéma associé au modèle logique de données


1.3.3.3.1. Définition
C’est la réédification de chaque table au modèle logique de données
valide en ajoutant les tailles de chaque attribut.
1.3.3.3.2. Présentation du schéma logique associé au modèle logique de
données

1. Table assujetti : (#Numéro assujetti (5), nom (10), post nom (11), prénom (7),
sexe (1), adresse (35), téléphone (10), #matricule agent(5)) ;
2. Table agent : (# Matricule (5), nom (10), post nom (11), prénom (7), sexe (1),
fonction (5), grade (8), qualification (4), adresse (35), téléphone
(10), # code service (5)) ;
3. Table service : (# Code service (5), libellé service (20)) ;
4. Table registre : (# code registre (5), nom assujetti (10), numéro bordereau (5),
numéro note de perception (5), montant (), date (8), banque
(23)) ;
5. Table banque : (# code banque (5), libellé (25) ;
6. Table rapport : (# numéro rapport (5), libellé rapport (11)) ;
7. Table note de perception : (# numéro note de perception (5), # matricule agent
(5), # code service (5), artci (), nom agent ordonnanceur (10),
signature (23), adresse (35), montant en lettre (23), montant en
chiffre (10) date prévue (10), qualification taxateur (4)).

1.3.3.4. Normalisation et vérification des tables

Définition
Elle consiste à partir d’un objet dit universitaire à faire éclater celle-ci en
plusieurs réduits aux formes normales, l’objet de la normalisation de limiter le
nombre de redondances et anomalies lord de la mise à jour de la base de
données.
a. Vérification

Il y a quatre règles de vérification qui nous permettent de bien vérifier


les tables à savoir :
 Une propriété par une occurrence de relation ou objet qui ne porte
ni ne peut être répétitive ni sa signification ;
 Pour chaque objet, où doit exister obligatoirement un identifiant est
toujours la première propriété et, est précédée du signe « ≠ » ou
soulignement ;
 La dépendance pleine d’objet dans une relation c’est-à-dire si une
relation porte une propriété, celle-ci doit dépendre pleinement de
tous les objets qui participent dans la relation si non on transfère
dans l’objet auquel il se rattache ;
29

 Le respect des règles de gestion doit être réfléchit dans le modèle


conceptuel de données par la cardinalité.
b. Forme normale (FN ou NF)
1. Définition

En principe il existe cinq (5) formes normales, cependant deux dernières


ne sont que des cas particuliers, ainsi, chaque objet devra respecter les lois
suivantes :
Première forme normale : Toute propriété doit veiller au respect
du principe élémentaire c’est-à-dire si tous les attributs portés par
une table sont élémentaires, non décomposable, non répétitive et
dépendant de la clé primaire ;
 Deuxième forme normale : Etant déjà en première forme les
attributs portés dans une table doivent dépendre fonctionnellement
de la clé primaire (une pleine dépendance fonctionnellement face à
son identification) ;
 Troisième forme normale : Etant déjà en deuxième les attributs
portés dans une table doivent être en dépendance directe, c’est-à-
dire sortie de la table tous, les attributs, mots clés, qui dépendaient
transitivement de la clé primaire de la nouvelle, de la table initiale
en ajoutant à cette table la clé primaire de la nouvelle table.
1.3.3.5. Modèle logique de données valide
1.3.3.5.1. Définition
C’est un modèle qui se réalise qu’après avoir annoncé les principes de
normalisation et de modèle logique présentant encore des redondances.
30

1.3.3.5.2. Présentation du modèle logique de données valide (MLDV)

Figure 8 : Présentation du MLD Valide


Source : Par nous même

1.4. Etape physique de données


1.4.1. Règle de passage du modèle logique de données au modèle
physique de données
Le passage du modèle logique de données valide au modèle physique de
données exige que les différentes tables qui jusqu’alors sont externes à la base,
soient traduites en fichier faisant partie intégrante de la base de données.
 Les tables décrites au niveau associé au modèle physique
deviennent des fichiers des données communément appelées
« tables » et l’ensemble de tous ces fichiers ou tables forment un
seul fichier physique d’extension, modèle physique de données
représentant la base de données ;
31


Les identifiant deviennent des clés primaires indexés sans
doublons ;
 Les propriétés deviennent des champs ;
 Les clés deviennent des clés secondaires.
1.4.2. Modèle physique de données
1.4.2.1. Définition
Le MPD ne rien d’autre qu’un résultat du MLD de sauvegarder sur le
support (informatique) magnétique (CD, disque dur).
1.4.2.2. Présentation du modèle physique de données (MPD)

Registre
Clé Clé Valeur Valeur par
Code champ Type Taille primair étrangèr nulle défaut
e e
Coderegistre Varchar 5 OUI - - -
Nm assujetti Varchar 10 - - - -
Numéro bordereau Varchar 5 - - - -
Numéro de perception Vardchar 5 - - - -
Montant Varchar 5 - - - -
Banque Vardchar 55 - - - -
Dat Date 8 - - - -
Matrag Varchar 5 - OUI - -
Tableau n°7 : Présentation du MPD de la table registre
Source : nous-même
Table AGENT
Clé Clé Valeur Valeur par
Code champ Type Taille primair étrangèr nulle défaut
e e
Matrag Varchar 5 OUI - - -
Nm Varchar 10 - - - -
Pst nm Varchar 11 - - - -
Prnm varchar 7 - - - -
Sx Booléenne 1 - - - -
Fonct Varchar 8 - - - -
Quali Varchar 23 - - - -
Grad Varchar 4 - - - -
Codersev Vardchar 5 - OUI - -
Tableau n°8 : Présentation du MPD de la table agent
Source : nous-même
Table assujetti
Clé Clé Valeur Valeur par
Code champ Type Taille primair étrangèr nulle défaut
e e
Numéro assujetti Varchar 5 OUI - - -
Nm Varchar 10 - - - -
Pst nm Varchar 11 - - - -
Prnm varchar 7 - - - -
32

Sx Booléenne 1 - - - -
Téléphone Varchar 10 - - - -
Matricule agent Vardchar 5 - OUI - -
Tableau n°9 : Présentation du MPD de la table agent
Source : nous-même
Table rapport
Clé Clé Valeur Valeur par
Code champ Type Taille primair étrangèr nulle défaut
e e
Numéro rapport Varchar 5 OUI - - -
Libellé rapport Varchar 10 - - - -
Matricule agent Vardchar 5 - OUI - -
Tableau n°10 : Présentation du MPD de la table rapport
Source : nous-même
Table service
Clé Clé Valeur Valeur par
Code champ Type Taille primair étrangèr nulle défaut
e e
Numéro service Varchar 5 OUI - - -
Libellé service Varchar 20 - - - -
Matricule agent Vardchar 5 - OUI - -
Tableau n°11 : Présentation du MPD de la table service
Source : nous-même
Table banque
Clé Clé Valeur Valeur par
Code champ Type Taille primair étrangèr nulle défaut
e e
Numéro banque Varchar 5 OUI - - -
Libellé banque Varchar 25 - - - -
Matricule agent Vardchar 5 - OUI - -
Tableau n°12 : Présentation du MPD de la table service
Source : nous-même
Table note de
perception
Clé Clé Valeur Valeur par
Code champ Type Taille primair étrangèr nulle défaut
e e
Numéro note de Varchar 5 OUI - - -
percep
Article Varchar 10 - - - -
Nom agent ordonnna Varchar 10 - - - -
Adresse varchar 35 - - - -
Montant en lettre Varchar 23 - - - -
Montant en chiffre Varchar 8 - - - -
Qualification taxateur Varchar 4 - - - -
Date prévue Date 8 - - - -
Code service Varchar 5 - OUI - -
Matricule Vardchar 5 - OUI - -
33

Tableau n°13 : Présentation du MPD de la table note de perception


Source : nous-même

Section 2 : Modélisation de traitement

2.1. Etape conceptuel de traitement


2.1.1. Modèle conceptuel de traitement (MCT)
2.1.1.1. Définition
Le modèle conceptuel de traitement est un schéma qui représente le
traitement en réponse aux événements traités.
2.1.1.2. Concepts de base
Le formalisme utilisé pour la conception du modèle conceptuel de donnée
est le suivant :
 Evénement : C’est tout stimulus capable de déclencher une
opération ou chargement dans l’univers extérieur ou système
d’information ;
 Opération : C’est une suite d’action qui seront exécutées de
manière interruptible à l’intérieure du processus ou ensemble d’actions
déclenchées pour réaliser un événement ou plusieurs événements ;
 Synchronisation : Opération consistant dans le système d’exploitation
distribué dans le temps, les accès d’une ressource partageable entre
plusieurs processus () est une condition logique (condition booléenne)
d’exécution de l’opération, lors de l’apparition de l’événement, cette
opération se traduite en réalisant une ou plusieurs opération du
type : ET, NON, -ET, NON-OU, ou encore A et (B ou C) ;
 Résultat : Est une réponse de ce qui est produit par l’exécution de
l’opération ou la réponse d’un système à contrainte du traitement
nouvel porté par l’événement ou les événements ayant déclenchés ;
Règle d’émission : Est une condition traduisant les règles des gestions qui
permettent d’exprimer les conditions de sortie de résultat.
2.1.1.3. Formalisme

Figure 9 : Présentation de formalisme du MCT


Source : Par nous même
34

2.1.1.4. Présentation du modèle conceptuel de traitement (MCT)


35

Figure 10 : Présentation du MCT


Source : Par nous même

2.2. Etape organisationnelle de traitement


2.2.1. Règle de passage du modèle conceptuel de traitement au modèle
organisationnel de traitement
2.2.2. Modèle organisationnel de traitement
Le modèle organisationnel répond aux questions suivantes :
Qui ? Ce qui veut dire la nature de traitement, ici nous avons trois types
de traitement :
- S’il s’agit de l’homme le traitement est dit manuel ou TM
- S’il s’agit de la machine le traitement est dit Automatique ou T.A
- S’ils s’agissent de l’homme et la machine, la nature de traitement
est dite semi-automatique ou temps réels.
Quand ? Cette question précise le moment ou la durée que peut prendre
le traitement de l’information.
Où ? Avec cette question l’informaticien précise le lieu où sera traité les
données ou les informations.
36

2.2.2.2. Présentation du modèle organisationnel de traitement


Périodicité Procédure fonctionnelle Nature Poste

Réc

Tableau 14 : Présentation du modèle organisationnel


37

Source : Par nous même

2.3. Etape logique de traitement

Le modèle logique des traitements (MLT) va porter sur le domaine de


l’informaticien et de sa responsabilité. Il servira à construire une solution technique
répondant aux spécifications du modèle organisationnel des traitements. Cette
solution technique sera basée sur la description des unités logiques de traitement 10.

2.3.1. Règle de passage du modèle organisationnel de traitement au


modèle logique de traitement
Le passage du MOT au MLT concerne la réflexion et/ou l’imagination du
développeur de l’application, selon sa maitrise et/ou sa pensée dans laquelle il
appliquera sur la conception de ses interfaces graphiques.

Cependant, nous allons éliminer à partir du MOT les tâches qui ne seront
pas des traitements et les tâches restantes. Celles-ci détermineront l’unité logique de
traitement où les évènements fonctionnels disparaissent et cèdent la place aux
actions des utilisateurs notamment : clic, saisie, etc.

- Les tâches deviennent des unités logiques de traitement ;


- Les procédures fonctionnelles deviennent des procédures logiques ;
- L’ensemble des procédures logiques constitue le MLT ;
- Les postes de travail deviennent des sites.

2.3.2. Modèle logique de traitement


2.3.2.1. Définition

Le modèle logique des traitements (MLT) va porter sur le domaine de


l’informaticien et de sa responsabilité. Il servira à construire une solution technique
répondant aux spécifications du modèle organisationnel des traitements. Cette
solution technique sera basée sur la description des unités logiques de traitement 11.

10
G. Gardarin (2000), Base de données, objet et relationnel, éd. Eyrolles, 2è tirage, Paris, p.71
11
G. Gardarin (2000), Base de données, objet et relationnel, éd. Eyrolles, 2è tirage, Paris, p.71
38

2.3.2.2. Présentation du modèle logique de traitement


Début

ULT01 LOGO
BIENVENUE
A L’ISC-ILEBO

ULT02 MENU AUTHENTIFICATION


UTILISATEUR
MOT DE PASSE
CONNEXION QUITTER

FIN
O
Message U
Mot de passe Incorrecte

ULT03 MENU PRINCIPAL

CREATION MODIFICATION

EDITION SUPPRIMER

RECHERCHE QUITTER

ULT04 CREATION

ASSUJETTI BANQUE

AGENT REGISTRE

NOTE DE PERCEP RAPPORT

SERVICE

SUPPRIMER QUITTER

ULT04 EDITION

ETAT 1 ETAT 2 ETAT 3

ETAT 5 RETOUR A

ETAT 4 ALLER A LA

RETOUR AU MENU QUITTE


R
ULT04 RECHERCHE

RETOUR A L’AUTHENTIFICATION
Figure 11 : Présentation de MLT
RETOUR AU MENU PRINCIPAL
Source : Par nous même
RECHERCHE………………………
QUITTE
… R
39

Figure 12 : Présentation de MLT


Source : Par nous même

2.4. Etape physique de traitement


2.4.1. Modèle physique de traitement
2.4.2. Définition
Elle met en œuvre les techniques classiques d’optimisation l’algorithmique
et technique spécifiques liée au langage et compilateur utilisés.
2.4.3. Présentation du modèle physique de traitement

Début programme

Logo

Connexion

Menu principal

Création Recherche Edition Quitter

Table assujetti
APERçU IMPRIMER
Table note percep
Table agent
AJOUTER LISTE DE TOUS LES ASSUJETTIS EN
ORDRE
RECHERH
Table rapport
EMODIFIER LISTE DE TOUTES LES NOTES
PERCELIVREES
Table service
SUPPRIME
Table registre R

Table banque

Figure 13 : Présentation du MPT


Source : Par nous même
40

CHAPITRE III : REALISATION DE L’APPLICATION

Section 1 : DESCRIPTION DE L’ENVIRONNEMENT DE DEVELOPPEMENT

1.1 Présentation du Matériel


Étant donné que le choix est porté vers l’informatisation, l’utilisation de
l’outil informatique s’impose. Ainsi, La configuration matérielle de notre système
d’information présentera les caractéristiques suivantes :
a. Aspect hardware
1° Serveur non-dédié

Marque : Packard ou Dell


Format : Desk (tour)
Processeur : Pentium Intel i-Core9 64 Bits
Fréquence d’horloge : 8 Ghz ou plus
Mémoire RAM : 8 Go (DDR-4) ou plus
Disque dur : 2 To ou plus
Lecteur DVD/CD-ROM/RW : IDE 56’’
Interface réseau : 10/100 Mb
Ecran : LCD 17’’ ou plasma 19’’
Clavier : AZERTY ou QWERTY
Souris : Microsoft PS2 ou USB

2° Ordinateurs client

Marque : Packard ou Dell


Format : Tower (tour)
Processeur : Pentium Intel i-Core7 32 Bits
Fréquence d’horloge : 3.3 Ghz ou plus
Mémoire RAM : 4 Go (DDR-4) ou plus
Disque dur : 2 To ou plus
Lecteur DVD/CD-ROM/RW : IDE 56’’
Interface réseau : 10/100 Mb
Ecran : LCD 17’’ ou plasma 19’’
Clavier : AZERTY ou QWERTY
Souris : Microsoft PS2 ou USB

b. Aspect software
Cet aspect représente la partie intelligente de l’ordinateur. Il s’agit d’un
ensemble de logiciels permettant à l’ordinateur d’effectuer un traitement automatique
des informations.
La configuration logicielle de notre futur système informatisé
comprendra :
 Système d’exploitation client : Windows 10 professionnel avec licence
 SGBD : Microsoft SQL Server 2019 avec Licence
 Langage de programmation : Microsoft Visual studio 2019 avec licence
 Système d’exploitation Server: Windows Server 2019 avec licence
 Antivirus : Norton 2021 avec licence
 Logiciel d’application : Ms Office 2019 avec licence.
41

Section 2 : PRESENTATION DES INTERFACES DE L’APPLICATION


Formulaire de lancement

Figure 14 : Formulaire de lancement


Source : Par Nous-même
Menu principal

Figure 15 : Menu principal


Source : Par Nous-même

Formulaire ASSUJETTI

Figure 16 : Formulaire ASSUJETTI


42

Source : Par Nous-même

Section 3 : PRESENTATION DES CODES SOURCES

3.1 Implantation de la base des données


Les lignes des codes qui suivent, présentent brievement le
cheminement qui a permis l’implantation de la base de données sur un support
physique en fonction du SGBD choisi.
--Conceptrice: BIDIAKA LOBO
--BDD GESTION DES RECETTES NON FISCALES
------------------------------------------------
USE [Bddina]
GO
/****** Object: Table [dbo].[T_Assujetti] Script Date: 09/02/2023 08:02:39 ******/
SET ANSI_NULLS ON
GO
SET QUOTED_IDENTIFIER ON
GO
SET ANSI_PADDING ON
GO
CREATE TABLE [dbo].[T_Assujetti](
[numassujet] [varchar](10) NOT NULL,
[matrage] [varchar](10) NOT NULL,
[codbanqu] [varchar](10) NOT NULL,
[nom] [varchar](10) NOT NULL,
[postnom] [varchar](10) NOT NULL,
[prenom] [varchar](10) NOT NULL,
[sexe] [varchar](1) NOT NULL,
[adresse] [varchar](30) NOT NULL,
[telep] [varchar](10) NOT NULL,
CONSTRAINT [PK_T_Assujetti] PRIMARY KEY CLUSTERED
(
[numassujet] ASC
)WITH (PAD_INDEX = OFF, STATISTICS_NORECOMPUTE = OFF,
IGNORE_DUP_KEY = OFF, ALLOW_ROW_LOCKS = ON, ALLOW_PAGE_LOCKS
= ON) ON [PRIMARY]
) ON [PRIMARY]
GO
SET ANSI_PADDING OFF
GO
ALTER TABLE [dbo].[T_Assujetti] WITH CHECK ADD CONSTRAINT
[FK_T_Assujetti_T_Agent] FOREIGN KEY([matrage])
REFERENCES [dbo].[T_Agent] ([matrage])
GO
ALTER TABLE [dbo].[T_Assujetti] CHECK CONSTRAINT [FK_T_Assujetti_T_Agent]
GO
ALTER TABLE [dbo].[T_Assujetti] WITH CHECK ADD CONSTRAINT
[FK_T_Assujetti_T_Banque] FOREIGN KEY([codbanqu])
REFERENCES [dbo].[T_Banque] ([codbanqu])
43

GO
ALTER TABLE [dbo].[T_Assujetti] CHECK CONSTRAINT
[FK_T_Assujetti_T_Banque]
GO
3.2. Programmation
La programmation est un processus qui permet d’établir un programme
accessible sur la machine, c’est-à-dire la manière d’organiser et d’écrire les
instructions d’un programme de manière correcte et cohérente pour contraindre
l’ordinateur à exécuter une tâche spécifique. Elle transporte donc une réponse à la
question : « Comment résoudre un problème dans l’esprit informatique ?
Nonobstant un programme est une suite ordonné d’instructions
enregistrées sur un support et permettant d’executer une serie de tâches.
 Choix du langage de programmation
Un langage informatique est un langage destiné à décrire l’ensemble des
actions consécutives qu’un ordinateur doit executer pour résoudre un problème
donné. Il existe cependant une multitude de langages de programmation. Dans le
contexte de ce travail, nous avons porté le choix sur VB.Net de Microsoft Visual
Studio pour ses multiples avantages entre autres :

 Plus rapide à l’exécution ;


 S’exécute de façon autonome après compilation ;
 Garantit la sécurité du code source ;
 Evite des manipulations fastidieuses en simplifiant la programmation.

 Aperçu de la programmation faite


CODIFICATION DES FORMULAIRES
Public Class Form1

Private Sub Form1_Load(sender As Object, e As EventArgs) Handles


MyBase.Load
'TODO: cette ligne de code charge les données dans la table
'BddinaDataSet.T_Assujetti'. Vous pouvez la déplacer ou la supprimer selon vos
besoins.
Me.T_AssujettiTableAdapter.Fill(Me.BddinaDataSet.T_Assujetti)
End Sub
Private Sub INIT()
Textnumassujet.Text = ""
Textmatrage.Text = ""
Textnom.Text = ""
Textpostnom.Text = ""
Textprenom.Text = ""
Cmbsexe.Text = ""
Textadresse.Text = ""
Texttelep.Text = ""
End Sub
44

Private Sub Btnenregistrer_Click(sender As Object, e As EventArgs) Handles


Btnenregistrer.Click
If MessageBox.Show("voulez-vous enregistrer O/N?", "information",
MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Information) Then
Try
Dim Asuj As T_Assujetti = New T_Assujetti
Asuj.numassujet = Textnumassujet.Text
Asuj.matrage = Textmatrage.Text
Asuj.nom = Textnom.Text
Asuj.postnom = Textpostnom.Text
Asuj.prenom = Textprenom.Text
Asuj.sexe = Cmbsexe.Text
Asuj.adresse = Textadresse.Text
Asuj.telep = Texttelep.Text
BDD.T_Assujetti.Add(Asuj)
BDD.SaveChanges()
'actualisation de la datagridview
DataGridView1.DataSource = BDD.T_Assujetti.ToList
INIT()
Textnumassujet.Focus()
Catch ex As Exception
MessageBox.Show("l'enregistrement a échoué", "Erreur",
MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Error)
End Try
End If
End Sub
Private Sub Btnsupprimer_Click(sender As Object, e As EventArgs) Handles
Btnsupprimer.Click
If MessageBox.Show("voulez-vous supprimer O/N?", "information",
MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Information) Then
Try
Dim Asuj As T_Assujetti = BDD.T_Assujetti.Single(Function(s)
s.numassujet = Textnumassujet.Text)
BDD.T_Assujetti.Remove(Asuj)
BDD.SaveChanges()
'actualisation de la datagridview
DataGridView1.DataSource = BDD.T_Assujetti.ToList
INIT()
Textnumassujet.Focus()
Catch ex As Exception
MessageBox.Show("la suppression a échouée", "Erreur",
MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Error)
End Try
End If
End Sub
Private Sub BtnFermer_Click(sender As Object, e As EventArgs) Handles
BtnFermer.Click
Application.Exit()
End Sub
45

Private Sub Btnmodifier_Click(sender As Object, e As EventArgs) Handles


Btnmodifier.Click
If MessageBox.Show("voulez-vous modifier O/N?", "information",
MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Information) Then
Try
Dim Asuj As T_Assujetti = BDD.T_Assujetti.Single(Function(s)
s.numassujet = Textnumassujet.Text)
Asuj.numassujet = Textnumassujet.Text
Asuj.matrage = Textmatrage.Text
Asuj.nom = Textnom.Text
Asuj.postnom = Textpostnom.Text
Asuj.prenom = Textprenom.Text
Asuj.sexe = Cmbsexe.Text
Asuj.adresse = Textadresse.Text
Asuj.telep = Texttelep.Text
BDD.T_Assujetti.Add(Asuj)
BDD.SaveChanges()
'actualisation de la datagridview
DataGridView1.DataSource = BDD.T_Assujetti.ToList
INIT()
Textnumassujet.Focus()
Catch ex As Exception
MessageBox.Show("la modification a échoué", "Erreur",
MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Error)
End Try
End If
End Sub
End Class
46

CONCLUSION

Nous voici arrivé au terme notre travail intitulé « Mise en place d’une base de
données pour la gestion des recettes non fiscales à la DGRAD/Ilebo »
En élaborant ce travail, notre objectif majeur était de concevoir une base de
données qui permettrait à la DGRAD ressort d’Ilebo de bien géré les recettes non fiscales.
Pour y parvenir, nous sommes servis d’une problématique qui était composée de
trois questions à savoir :
- Est-ce que la DGRAD/Ilebo tiendrait-elle compte des informations concernant
les recettes non-fiscales ?
- Comment parvenir à rendre les informations sur les recettes non fiscales
disponibles lorsqu’on en a besoin ?
- La mise en place de cette base de données permettrait-elle la bonne gestion
des recettes non-fiscales à la DGRAD ?

Partant des questions soulevées, nous avons émis nos hypothèses de la manière suivante :
Nous disons que la DGRAD/Ilebo tiendrait compte des informations
concernant les recettes fiscales.
La mise en place d’une base de données permettrait la bonne gestion,
parce que la DGRAD/Ilebo pourra suivre à temps réel le déroulement de toutes les
activités à travers la ville d’Ilebo, à l’aide de données qui seront répliquées.
Le nouveau système qui sera mis en place a comme avantage pour la
dite gestion :
- La fiabilité des informations lors de traitement ;
- La rapidité
- La sécurité des données
- La traçabilité de l’information
- La mise en jour
Outre l’introduction et la conclusion générale, notre travail a été
subdivisé en trois chapitres :
- Le premier chapitre était axé sur l’étude d’opportunité;
- Le deuxième chapitre a abordé la modélisation du nouveau système avec la
méthode merise ;
- Le troisième chapitre s’est intéressé à la réalisation de l’application
Pour l’élaboration ce travail, nous avons utilisé la méthode merise appuyée par les
approches suivantes : L’approche structuro-fonctionnelle, l’approche analytique et les
techniques suivantes nous ont servis d’outils de récolte des données à savoir : La
technique documentaire, la technique d’observation directe, la technique d’interview
libre.
47

Eu égard à ce qui précède nous suggérons aux responsables de la


DGRAD/Ilebo ce qui suit :
- De remplacer le système manuel au système automatique en mettant une
base de données qui va gérer les recettes non fiscales;
- De procéder à un contrôle régulier pour éviter le manque à gagner dans le
trésor public.
La réalisation de l’application de notre objet d’étude, a atteint ses objectifs
parce que nos hypothèses ont été confirmées.
En effet, si nous avons eu le mérite d’avoir posés les jalons à travers la
solution proposée dans ce travail, d’autres chercheurs pourront s’en inspirer en vue
d’entreprendre d’autres recherches beaucoup plus enrichissantes et innovantes sur
les cas non-abordés dans le but de relancer gentiment la pérennité scientifique.
Enfin, signalons également que la solution proposée tout plus au long de
notre développement n’est unique, moins encore la plus commode ou définitive en
dépit de son ultime finalité ; les remarques et suggestions seront les bienvenues
pour l’amélioration de ce travail.
48

BIBLIOGRAPHIE

I. OUVRAGES

1. Alfred AHO, Jeffrey ULLMAN, Concepts fondamentaux de l’informatique,


Dunod, Paris, 1993
2. Arnold Rochfeld, José Morejon, La méthode Merise - Tome 3 Gamme
opératoire, Editions d'organisation, Paris, 1989.

3. Chris J. Date, Introduction aux bases de données, 6è édition, Thomson


International Publishing, New-York, 1998

4. Letouche, Merise/2 - Modèles et techniques avancées, Editions d'organisation,


Paris, 1994.
5. Georges Gardarin, Maîtriser les bases de données, éd. Eyrolles, Paris, 1993
6. G. Gardarin, Base de données, objet et relationnel, éd. Eyrolles, 2è tirage,
Paris, 2000
7. Graham, I., Object-Oriented Methods, Principles and Practice, Addison-
Wesley, Londres, 2001
8. Hubert Tardieu, Arnold Rochfeld, René Colletti, Georges Panet, Gérard Vahée,
La méthode Merise - Tome 2 Démarches et pratiques, Editions d'organisation,
Paris, 1985.
9. JL. HAINAUT, Bases de données: concepts, utilisation etdéveloppement,
Dunod, Paris, 2009
10. Jean-Luc Hainaut, Bases de données et modèles de calcul, outils et
méthodes pour l’utilisateur, Inter-Editions, Paris, 1994
11. Joseph GABAY et David GABAY, Mise en œuvre guidée avec étude des cas,
éd. Dunod, Paris, 2008
12. J. GABAY, Apprendre et pratiquer MERISE, Masson, Paris, 1993
13. José MOREJON, MERISE, vers une modélisation orientée objet, les Editions
d’Organisation, Paris, 1994

14. KIYUNGA G et SHOMBA Kinyama S, Initiation aux méthodes de recherche en


sciences sociales, Ed. PUZ, Kinshasa, 1995

15. Miranda Serge et BUSTA J. M, l’Art de bases de données, Tome 1 :


Introduction aux bases de données, Tome 2 : Les bases de données
relationnelles, éd. d’organisation, Paris, 1986–1986.

16. Pinto et Grawitz, Méthodes en sciences sociales, éd. Dalloz, Paris, 1969, p.51

17. TARDIEU, ROCHFELD, COLLETTI, La méthode MERISE, principes et outils


(Tome 1 & 2), Les éditions d'organisation, Paris, 1986

II. SUPPORTS ET NOTES DE COURS

1. KABAMBA Don, Notes de cours inédites de la Méthode d’Analyse Informatique


II G3 gestion informatique, ISC-ILEBO 2022-2023
49

2. KALEMA OKENDE A. Notes de cours inédites de la Méthode d’Analyse


Informatique G2 Informatique de gestion, ISC-ILEBO2013-2014
3. M BOKONGO (2015-2016), Notes du cours d’Initiation à la Recherche
Scientifique, Inédites, UPN, G1-GI,

III. WEBOGRAPHIE

http://www.commentcamarche.net
Http://www.uml.org
http://www.developpez.com
http://www.bestcours.com.

IV. DICTIONNAIRES

 38 Dictionnaires indispensables
 Microsoft Encarta Junior 2009 Collection
50

TABLE DES MATIERES


EPIGRAPHE......................................................................................................................................................... I

DEDICACE........................................................................................................................................................... II

REMERCIEMENTS....................................................................................................................................... III

LISTE DES ABREVIATIONS................................................................................................................ IV

LISTE DES FIGURES................................................................................................................................... V

LISTE DES TABLEAUX........................................................................................................................... VI

0. INTRODUCTION GENERALE......................................................................................1
0.2. Etat de la question.............................................................................................1
0.3. PROBLEMATIQUE..............................................................................................2
0.4. HYPOTHESES....................................................................................................2
0.5. Choix et intérêt du sujet.....................................................................................3
0.5.1. Choix du sujet.............................................................................................3
0.5.2. Intérêt du sujet...........................................................................................3
0.6. Délimitation du sujet..........................................................................................3
0.6.1. Dans le temps.............................................................................................3
0.6.2. Dans l’espace..............................................................................................3
0.7. Méthodes et techniques utilisées.........................................................................4
0.7.1. Méthodes utilisées.......................................................................................4
0.7.1.1. approche structuro-fonctionnelle...............................................................4
0.7.1.2. Approche analytique................................................................................4
0.7.2. Techniques utilisées....................................................................................4
0.8. Subdivision du travail.........................................................................................4
CHAPITRE PREMIER : ETUDE D’OPPORTUNITE.................................................................6
Section I : Présentation de la Direction Générale Recettes Administratives et Domaniale...6
I.1. Aperçu Historique..............................................................................................6
I.2.Situation géographique.......................................................................................7
I.3.Objectifs et missions...........................................................................................7
I.4 Organigramme Général.......................................................................................7
Section 2: Analyse de l’existant.....................................................................................8
2.1. Description des tâches.......................................................................................8
51

2.2. Etude de la procédure.......................................................................................9


2.2.1. Schéma de circulation.....................................................................................9
2.2.1.1. Définition....................................................................................................9
Section 3 : Critique de l’existant, proposition de solution et choix de la meilleure solution 11
Section4 : Concepts de sujet......................................................................................13
CHAPITRE II : MODELISATION DU NOUVEAU SYSTEME AVEC LA METHODE MERISE.........14
Section 1 : Modélisation des données..........................................................................14
1.1. Etape conceptuelle de données......................................................................14
1.1.3. Règle de passage de dépendance fonctionnelle au modèle conceptuel de
données 20
1.1.4. Démarche à suivre dans l’élaboration du Modèle conceptuel de données.......20
1.1.5. Formalisme...............................................................................................21
1.1.6. Recensement des relations.........................................................................21
1.1.7. Recensement des règles de gestion............................................................22
1.1.8. Modèle conceptuel de données...................................................................23
1.1.9. Quantification de la multiplicité de cardinalité..............................................24
1.2. Etape organisationnel de données.....................................................................25
1.3. Etape logique de données.............................................................................27
1.4. Etape physique de données...........................................................................30
Section 2 : Modélisation de traitement.........................................................................33
2.1. Etape conceptuel de traitement........................................................................33
2.2. Etape organisationnelle de traitement...............................................................35
2.3. Etape logique de traitement.............................................................................37
2.4. Etape physique de traitement..............................................................................39
CHAPITRE III : REALISATION DE L’APPLICATION............................................................40
Section 1 : DESCRIPTION DE L’ENVIRONNEMENT DE DEVELOPPEMENT........................40
1.1 Présentation du Matériel................................................................................40
Section 2 : PRESENTATION DES INTERFACES DE L’APPLICATION.................................41
Section 3 : PRESENTATION DES CODES SOURCES.......................................................42
3.1 Implantation de la base des données................................................................42
3.2. Programmation...............................................................................................43
CONCLUSION................................................................................................................46
BIBLIOGRAPHIE............................................................................................................48
TABLE DES MATIERRES………………………………………………………………………………………………50
52

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