Vous êtes sur la page 1sur 61

i

EPIGRAPHE

« Fait de l’éternel tes délices et il te donnera ce que ton cœur désire »

(Psaume 37 : 4)
ii

DEDICACE

A ma mère BOSEMO-BIBICHE qui m'a toujours encouragé


dans mes études, et m'a toujours apporté son amour et son soutien
infaillible.
En termes de reconnaissance pour leurs sacrifices et en
témoignage de mes profonds sentiments à leur égard, à Mon papa que
j’aime beaucoup ILOKI-MPILOS et pour avoir faire de moi ce que je suis
aujourd’hui.
A mes tantes paternel MPISOMIE-ATON et NKOMO-METHE
source des conseils et soutient
A mes grandes sœurs ILOKI-PRISCA et RUTH-EBENGO,
source d’encouragement pour la réussite de mes études.
A toute la Famille ILOKI et HIBANDA, pour leurs précieux
conseils à mes études.

ILOKI-TIKOKEDI
iii

AVANT- PROPOS
Nous voici arrive au terme de notre premier cycle
universitaire, étape pendant laquelle nous avons bénéficié de l’appui et
de l’encadrement de plusieurs chercheures scientifiques que nous
remercions sincèrement pour leur contribution et soutien tant que moral
que matériel dans la réalisation de ce travail.
Aucun mot ne serait exprimer notre profonde gratitude envers
le chef de travaux MINZOZA BANTIKO DIOR qui accepté de diriger ce
travail avec rigueur scientifique, nonobstant ses multiples occupations.
Au-delà d’un simple directeur de travail de fin de cycle, il a
été pour moi un véritable père et un guide sans lequel ce travail n’aurait
connu l’aboutissement heureux.
Nous sommes aussi reconnaissants envers C.T NGYLA
ROMAINS, et notre chef de section Mme ZINGA VIRGINIE, Assistant
BALUMANGANA, assistant JUNIOR LIENDI et Assistante MERLINE qui
avec dévouements nous a accompagné avec rigueur tout au long de
l’élaboration de notre travail.
Nous pesons aussi à tous nos amis de lutte : ILOKI
NABOTH, Roland MIELUNZEYI, MOPI GIGUEL, BENJAMIN LIEDI,
CHADRACK KINGOLO, TUZEYIDIO BAVUIDIKIO Nathan, TSHIBANGU
HIDRISS pour leurs encouragements.
Que tous ceux d’une manière ou d’une autre a contribué à
l’élaboration de ce travail mais dont les noms ne figurent pas sur cette
liste, qu’ils trouvent à travers ces lignes l’expression de notre profonde
reconnaissance.

ILOKI-TIKOKEDI
iv

SIGLES DES ABREVIATIONS

- AD : active directory
- ASN : Abstract syntaxe notation
- CMIP : Common management information protocole.
- CRC : cyclique redondance check.
- DHCP : dynamique host configurions protocole
- DNS : Domain Name system
- FTMA: File Transfer management and Access.
- ISO : organisation infernale de normalisation
- IP : internet protocole
- LAN : local area network
- MIB : management information base
- NLA : network levé authentiquassions
- NMS : network management station
- OID : open identifier
- OSI : open system interconnections
- PDU : protocole data unit
- RFC : requetés for comment
- SMI : structure of management information
- SMFA : spécifique management fonctionna areas.
- SNMP : simple network management protocole
- TCP : transport control Protocol
- UDP : user datagramme Protocol
- LAN : (Local Area Network)
- MAN : (Métropolitain Area Network)
- WAN : (Wide Area Network)
- FDDI : (fiber Distributid Data interface)
- TCP/IP : (transmission control Protocol, Internet Protocol)
- OSI : (open système interconnections),
- PDG : Le Président Délégué Général
- DGA : Le Délégué Général Adjoint
1

INTRODUCTION GENERALE
Les nouvelles technologies de l’information et de la
communication (NTIC) ont évolué de façon exponentielle
Surtout de nos jours, cette révolution a eu un l’impact non
négligeable sur les entreprises, soit dans le secteur public et ou privé,
l’utilisation des systèmes d’informations est devenue très important dans
tous les domaines de la société humaine.
La plupart des organisations possèdent aujourd’hui un
réseau d'ordinateurs privé.
Au travers de ce réseau, les postes échangent des fichiers,
partagent des matériels et parfois utilisent des logiciels en commun.
Avec le développement de l’utilisation d’internet, de plus en
plus l’entreprise ouvrent leur parc informatique à leurs partenaires ou à
leurs fournisseurs.
Afin d’assurer le bon fonctionnement du système
d’information dans une entreprise il faut avoir une bonne gestion et suivi
des ressources matérielles et logicielles, ces derniers consistent d’une
part à lister et localiser les équipements de l’entreprise, d’autre part à
effectuer des tâches de maintenance et d’assistance aux utilisateurs.
Tout au long de notre développement, dans la descriptive du
réseau informatique il a été pour nous nécessaire de mettre en place des
matériels performent de réseau informatique.
Dans cet objectif notre travail consiste à faire l’étude descriptive du
réseau informatique d’une entreprise publique qui est OGEFREM

1. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE1
1.1. Problématique
La problématique est l’ensemble des questions précises
que se pose un chercheur à propos d’un sujet ou d’une recherche.2 En

1
Prof SIMON PIERE, cour de l’initiation à la recherche scientifique, G2 R.T.M ISS/ KIN – 2017-2018
2
IYANANIO SIMON PIERRE, Cours de l’initiation à la Recherche Scientifique, 2éme Graduat RTM, 2017-2018
ISS/KIN, P .19.
2

d’autres termes, c’est une série des problèmes et questions posées en


vue d’y répondre par la suite.
Loin de nous d’avoir éradiqué la préoccupation de la
descriptive du réseau informatique d’une entreprise publique mais il faut
reconnaitre qu’avec l’avènement de l’informatique et ses applications
dans le domaine d’administration ont vu des questions autour de réseau
informatique d’une entreprise publique qui se posaient avec atrocité
devenir de simple questions de routine.
Notons que les équipements des réseaux informatiques dans
une entreprise publique, en prenant l’Office de Gestion du Fret
Multimodal, OGEFREM en sigle, comme une illustration, reste une
question essentielle en raison de :
- La lenteur dans le traitement des informations ;
- Les résultats obtenus sont parfois erronés du traitement ;
- La difficulté de communication entre l’administrateur, le respon-
sable d’exploitation, le responsable de maintenance ainsi que
l’équipe des techniques ;
- Volume des informations par rapport aux matériels ;
- Difficulté liée à l’histoire de l’information ;
- Le non sécurité des informations traitées ;
- La mauvaise conservation des informations traitées.
- L’inexistence d’une vraie base de données de gestion de parc in-
formatique.
Ainsi les éléments que nous avons observés peuvent se
traduire par des différentes questions que nous nous sommes posées
pouvant éclaircir nos lecteurs dont voici quelques-unes :
- Pourquoi doit-on étudier le réseau de l’OGEFREM ?
- Comment se présente les matériels des réseaux informatiques au
sein l’Office de Gestion du Fret Multimodal, OGEFREM en sigle ?
C’est donc autour de ces interrogations que sera focalisé
notre travail de fin cycle.
3

1.2 HYPOTHESE
L’hypothèse se défini comme étant une réponse qui permet
de prédire la vérité Vraisemblable au regard des questions soulevées
par la problématique et dont la recherche vérifie le bien-fondé ou le
mauvais côté de la recherche effectuée.3 L’hypothèse est une opération
intellectuelle par laquelle une discipline cherche à atteindre les vérités
quelle poursuit, les démontre et les vérifie.4
Acheminant dans le même sens, R. REZSOHAZY nous
parait plus explicite. Pour lui, l’hypothèse cherche à établir une vision
provisoire du problème soulevé en évoquant la relation supposée entre
les faits sociaux dont le rapport constitue le problème et en indiquant
la nature de ce rapport.5 En vue de remédier aux inquiétudes soulevée
au travers des questions posées dans la problématique nous
n’estimons que les système actuels de système d’administration des
réseau informatique au sein de l’Office de Gestion du Fret Multimodal,
OGEFREM en sigle, a besoin d’un réaménagement.
2. CHOIX ET INTERET DU SUJET
2.1. INTERET DU SUJET
En effet, et ce travail recouvre un double intérêt à savoir :
- D’une part, pour nous même d’abord en ce sens qu’il constitue une
entreprise indispensable à la clôture de notre premier cycle et une
démonstration des aptitudes appréciables que nous avons acquis
en informatique plus particulièrement en Réseau suivant les prin-
cipes et méthodes étudiés ;
- D’autre part, pour l’Office de Gestion du Fret Multimodal, OGEFREM en
sigle, institution de notre recherche, dans la mesure où cette étude nous
permettre de connaitre la composition de son réseau et de découvrir ses
failles.
L’intérêt sera perçu au niveau :
- Social et Economique : auxquels nous mettrons à la disposition
des responsables de l’Office de Gestion du Fret Multimodale,
3
IYANANIO SIMON PIERRE, Op. Cité, P .22.
4
Idem
5
REZSOHAZI, théorie et critique des faits sociaux, Ed. La Renaissance du livre, Bruxelles 1997, P.69.
4

OGEFREM sigle, les équipements (outil rentable qu’il faut mettre


en œuvre) ;
- Intellectuel et Scientifique : ce travail se prêtera aisément en mo-
dèle si pas comme une référence pour des approfondissements
dans les équipements des réseaux informatiques que nous allons
mettre à la disposition des évènements chercheurs de science.
2.2. CHOIX DU SUJET
Le choix du sujet ne peut être un hasard car toute
construction théologique part toujours d’une difficulté, d’une alternative
embarrassante et parfois sans issue.
La recherche scientifique n’a jamais été un fruit du hasard.
ILUNGA KABONGO affirme que « la motivation qui pousse un
chercheur à se choisir un sujet d’étude ou de recherche tient
principalement à une sorte d’angoisse existentielle, c’est-à-dire qu’à la
suite de l’observation de fait, il se produit chez le recherche »6.
Aujourd’hui, outil rentable des réseau l’informatique dans le monde
moderne constitue une exigence de qualité et de performance des
entreprises qui se veulent compétitive et organisées et dans cet élan,
nous avons circonscrit notre travail de fin de cycle autour du thème
« ETUDE DESCRIPTIVE DU RESEAU INFORMATIQUE D’UNE
ENTREPRISE « cas de l’OGEFREM ».
En prenant un cas typique l’Office de gestion du fret
multimodal, OGEFREM en sigle, qui du reste, durant notre passage
dans le cadre de nos recherches, nous ont permis d’observer des
problèmes auxquels est confronté le personnel de la Direction de
l’informatique dans la gestion de de parc informatique.
Sur le plan théorique, notre étude nous permet d’élever le
niveau de connaissance sur le système informatique, les bases de
données ainsi que l’architecture réseau par les diverses documentations

6
ILUNGA KABONGO, La recherche scientifique dans une société bloquée, In zaïre Afrique, Nombre 84 Avril
1991.
5

mise à notre possession afin de suppléer la carence des cours


théoriques7.
Sur le plan pratique, notre étude est une contribution capitale
et inoubliable car elle permet au gestionnaire et/ou responsable de
l’Office de Gestion du fret multimodal, OGEGREM en sigle, d’obtenir de
notre part une proposition idéale pour mieux gérer les équipements de
réseau informatique.
Quant à nous, sommes convaincus que ces types des
équipements de réseau informatique qui sera mis en application
apportera des innovations pour la gestion et diminuera les erreurs.
3. DELIMITATION DU SUJET
La délimitation d’un sujet de travail scientifique se fait saisir
plus clairement le temps et l’espace de l’étude concernée. Vu la
complexité du sujet, il est avéré nécessaire de se fixer les idées en le
limitant dans le temps et dans l’espace pour la pertinence de l’analyse.
- Dans le temps, nos recherches couvrent la période allant du mois
d’octobre 2018 jusqu’à juin 2019 ;
- Dans l’espace, notre étude ou le cadre de notre recherche se situe
dans la description du réseau informatique de l’Office de Gestion
de Fret Multimodale, OGEFREM en sigle
4. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES
Pour arriver à un bon résultat tout travail scientifique doit
utiliser des méthodes de recherche appropriées afin de certifier les
réponses aux conclusions dont il met à la disposition de la science et
ainsi le choix des méthodes et techniques s’avère donc important pour la
démonstration, la recherche, l’analyse et la vérification des vérités
poursuivies et dépend du chercheur lui-même, de la nature et de
l’importance du problème qu’il veut résoudre8.

7
MVIBULUKU KALUYIT & KUTANGILA M.D. Importance de la Modélisation d’un logiciel de gestion des travaux
scientifique dans les universités congolaise, cas de GESTEMO in Revue de la Face, 4émé année, nombre, 200,
P .196.
8
MPALA NDAYWEL, impact de la banque à distance dans une banque commerciale, cas de la RAWBANK, TFC
ESMICOM 2012-2013, P. 5.
6

Malgré que toutes les sciences se distinguent ders autres par


le volume des contraintes qu’elles imposent aux chercheurs en
additionnant toutes les contraintes communes à toutes les autres
disciplines scientifiques.9 Pour ce qui nous concerne, il s’agit de
l’informatique et réseaux.
Raison pour laquelle nous aurons recours à certaines
méthodes et techniques pour l’aboutissement heureux de notre travail de
fin de cycle.
4.1. METHODES
La méthode est définie par Madeleine GRAWITZ comme
étant l’ensemble des opérations intellectuelles par lesquelles une
discipline cherche à atteindre les vérités qu’elle poursuit, les démontre,
les vérifie.10
Elle pourrait être comprise comme l’ensemble des règles ou
de procédés pour atteindre dans les meilleures conditions (temps,
argent, homme…,), un objectif : vérité, expérience, apprentissage.
Toutes les recherches en sciences informatiques comme
dans toutes les sciences en général doivent tenir compte de méthode qui
sont des procèdes opératoires. Comme on peut le remarquer, le choix
d’une méthode s’inscrit dans la stratégie de recherche. On ne peut isoler
les méthodes, les abstraire, ni des voies ouvertes par les intérêts du
chercheur (question, valeur, idéologie ou théories et ses objectifs) ni des
caractéristiques de l’information accessible une méthode, guide pour la
route, éclaire mais ne décide pas la route ; assurer la pertinence d’une
méthode, c’est l’ajuster aux questions posées et aux informations
accessibles. Autrement dit ; c’est l’ajustement des méthodes aux
questions et hypothèse de la recherche.
Nous aurons donc davantage appel à notre jugement et à la
finesse de l’observation dans la compréhension du phénomène.
Au sein de notre travail de fin de cycle, nous avons jugé
d’utiliser quatre méthodes scientifiques :

9
MPALA NDAWEL, idem
10
M.GRAWITZ, Méthodes de recherche en science sociales, 11é Edition, Ed Dalloz, paris, 2001, P .181.
7

4.1.1. Méthode historique


Elle nous a permis de montrer dans le temps pour avoir un
aperçu général de notre terrain de recherche qui est l’Office de gestion
du Fret Multimodal, OGEFREM en sigle, et de mieux comprendre à
travers cela le fonctionnement du réseau informatique.
La méthode historique nous a aidés à retracer l’évolution de
l’office de gestion du Fret Multimodal, OGEFREM en sigle, depuis sa
création jusqu’à nos jours, pour saisir les évènements essentiels qui ont
influencé son développement.
4.1.2. Méthode analytique
Au moyen de cette méthode, nous sommes parvenus à
décomposer différents éléments du système dans le but de définir et
d’en dégager les spécificités.
La méthode analytique nous a permis de connaitre le
contenu de l’information afin d’aboutir à des conclusions appropriées.
4.1.3. Méthode structure-fonctionnelle
Le mérite de cette méthode aura été celui de nous permettre
de procéder à l’analyse et à l’étude de la structure et des postes de
travail au sein de l’Office de Gestion du Fert Multimodal, OGEFREM en
sigle.
Elle nous a facilité la tâche de comprendre les difficultés
actuelles en analysant la structure et les fonctions actuelles de l’Office
de Gestion du Fret Multimodal, OGEFREM en sigle.
4.2. TECHNIQUES
Les techniques, le Professeur MULUMA note qu’elles sont
des instruments, des Définissant procédés opératoires pour la récolte
des données sur terrain.11
Les techniques peuvent être considérées comme un
ensemble d’instruments qui nous aident à appréhender la réalité sociale,
à récolter les données y relatives.12

11
MULUMA MUNANGA, cours de l’initiation à la recherche scientifique et méthodes de recherches en sciences
sociales, 1ér et 2éme graduat, UPC,2003-2004, P.45 Inédit.
8

GOODE J. WILLIAM définit la technique comme l’ensemble


des outils utilisées dans la collecte des informations (chiffrées ou non)
qui devront plus tard être soumises l’interprétation et à l’exploitation
grâce aux méthodes.13 Pour l’élaboration de notre travail de fin d’étude
nous avons utilisées trois techniques.
4.2.1. Technique d’interview
La technique d’interview est restée à principale technique de
récolte des données familières dans les investigations compte tenu de la
spécificité des postes de travail et de la complicité des tâches à
accomplir.
Cette technique consistera à avoir des entrevues en tête à
tête avec des agents de l’Office de Gestion du Fret Multimodal,
OGERFEM en sigle, ainsi que toute personne susceptible de fournir une
information utile à notre étude en vie de pouvoir soutirer davantage
d’information sur les enjeux de la nouvelle technologie de l’information et
de la communication (NTIC) dans la gestion dans la recette d’une
entreprise pétrolière.
4.2.2. Technique d’observation
La technique d’observation aura compté pour beaucoup dans
la réalisation de cette œuvre que nous voulons de très haute portée
intellectuelle. Elle aura été l’une des meilleures façons d’obtenir les
informations utiles à notre recherche.
4.2.3. Technique documentaire
La technique documentaire nous aura permis de récolter les
données nécessaires à la rédaction de ce travail de fin de cycle à travers
les différents documentant à notre disposition et ouvrages relatives aux
systèmes sous étude.
Grâce à cette technique, nous aurons à consulter et à
exploiter différents ouvrages et supports tels que : les dictionnaires, les
livres, les revues, l’Internet, les CD audio et visuels, … afin d’y soustraire

12
PINTO R. et GRAWITZ M, les méthodes de recherche en science sociales, 4éme Edition, Ed. DOLLAZ, Paris
1971, P. 287.
13
GOODE J. WILLAM, Cité par le professeur SHOMBA KINYAMBA, Méthodologie de recherche science, Ed. MES,
Kinshasa – RDC 2001, P.60.
9

des éléments et de s’imprégner des différentes informations en rapport


avec notre travail de fin de cycle.
5. DIFFICULTES RENCONTREES
Comme l’on pouvait s’y attendre, nous avons rencontré
certaines difficultés, qui du reste n’étaient pas de nature à compromettre
notre travail que nous avons cependant su gérer dans l’intérêt de notre
recherche.
En effet, nous avons été butés au problème de temps car il
ne nous a pas été toujours facile d’arracher un rendez-vous de plus
trente minutes avec nos interviewés compte de leurs occupations
journalières, à quelques écueils relatifs au décryptage des données du
fait que, à l’origine, toutes les tâches étaient exécutées pratiquement au
même poste de travail.
Il nous a fallu donc une gymnastique assez ardue afin de
ressortir un organigramme adéquat et un schéma de circulation des
informations qui reflète à suffisance la réalité observée.
Nous avons également rencontré des difficultés
d’appréhension de la part d’interviewé qui, d’emblée, ne saisissaient pas
le sens notre recherche, le confondant tout au plus à une évaluation
financière sur l’entreprise plus précisément sur direction de ressources
humaines, cela motivé également par notre background de gestionnaire.
Après entretien et échange de vues, nous sommes arrivés à accordés
nos violons, ce qui nous aura permis d’avancer et d’en arriver à ce point
d’achèvement.
6. Subdivision du travail
Hormis l’introduction et la conclusion Générale, le travail s’articule
comme suit :
Chapitre 1 : Généralités sur le réseau informatique
Chapitre 2 : Etude du site
Chapitre 3 : Etude descriptive du réseau de l’OGEFREM
10

CHAPITRE I : GENERALITES SUR RESEAU INFORMATIQUE


I.1. INTRODUCTION
Le réseau informatique en tant que système est constitué des
plusieurs éléments (tant physique que logique) qui sont obligés de
collaborer afin d’établir et expliquer les mécanismes du fonctionnement
général du réseau informatique.
I.2. HISTOIRE
Au début des années 1970, les premiers grands systèmes
informatiques se composent des ordinateurs centraux, volumineux
passifs, c’est-à-dire des postes de travail avec clavier et écran mais sans
puissance de calcul. Ces systèmes constituent en quelque sorte les
premiers réseaux informatiques, mais les communications réalisées
demeurent élémentaires.
Au cours des années 1980, l’adoption en masse des micro-
ordinateurs et d’une manière plus générale, la « démocratisation » de la
puissance de calcul bouleverse complètement le monde informatique.
Les grands systèmes sont alors massivement décentralisés,
si bien que l’importance des réseaux informatiques s’en trouve
multipliée, de par le nombre de machine connectées, les quantités de
données échangées et la diversité de nature des communications.
Aujourd’hui, ces réseaux sont d’un usage courant dans notre société,
notamment grâce à la popularité du réseau télématique internet.
I.3. DEFINITION DU RESEAU INFORMQTIQUE
Un réseau informatique est un ensemble d’ordinateurs et
d’équipements informatiques qui sont interconnectés entre eux envie de
partager les données grâce aux supports de transmission14.
I.4. TYPE DES RESEAUX INFORMATIQUES
Le réseau informatique peut être catégorisé sur le plan.
Géographique et sur le plan fonctionnel. Par là nous citons :
LAN ; MAN et WAN.

14
Mizonza Dior, cours de réseau informatique1, rtm3/A, iss–KIN, 2018-2019, P5.
11

I.4.1. Le RESEAU LAN (Local Area Network)


C’est un réseau qui est utilisé dans un site ; bâtiment ; entre
deux ou plusieurs sites qui sont distant de plus ou moins 10km.
I.4.2. Le RESEAU MAN (Métropolitain Area Network)
Ce type de réseau relie le différent réseau LAN se trouve
dans une même ville ou région. Pour relié ce réseau on fait appel à
d’autres équipements réseau (routeur ; fibre optique). Ce type de réseau
ne peut pas dépasser 200km.
I.4.3. LE RESEAU WAN (Wide Area Network)
C’est un ensemble des réseaux locaux interconnectés les uns aux
autres sur un étendu national ou international. Ce réseau peut être
prouvé public a des grandes distances qui couvrent des millions de
kilomètre.
I.5. TOPOLOGIE DE RESEAU
Il existe deux sortes de topologies : la topologie physique et la
topologie logique.
I.5.1. Topologie physique
C’est la : manière dont les équipements sont connectés ou reliés
entre eux. Il en existe 4sortes : topologie en bus ; la topologie en étoile ;
la topologie en anneau et la topologie en hybride.
I.5.1.1. La Topologie en bus
C’est l’organisation simple d’un réseau c’est-à-dire les ordinateurs
sont reliés sur une même ligne de transfert de données grâce à un câble
coaxial.

Fig.I.1. Topologie en bus.


12

I.5.1.2. La Topologie en étoile


C’est un réseau qui chaque ordinateur est relié à un point
central qui peut être un commutateur(Switch) ou un concentrateur (hub).

Fig.I.2. Topologie en étoile

I.5.1.3. La Topologie en anneau


C’est un réseau où les ordinateurs sont reliés en boucle et
reliés à un répartiteur.

Fig.I.3 Topologies en ANNEAU

I.5.1.4. La Topologie hybride


C’est un mélange de différentes topologies de réseau
(Comme star ; bus et ring).
I.6. LA TOPOLOGIE LOGIQUE
Elle représente la manière dont les données Transitent dans
les câbles. Les topologies les plus courantes sont : le réseau Ethernet ;
le réseau Token-ring et le réseau F.D.D.I.15
I.6.1. Le réseau Ethernet
En Ethernet la vitesse d’échange entre différentes stations
n’importune pas peu de 64kbits par seconde et il contient deux méthodes
CSMA/CA et CSMA/CD mais là plus adaptée est le CSMA/CD il établit

15
P.Atelien . Réseaux informatique notion fondamentale ,3ém Edition , emi édition , 2009.
C.T : DIOR MIZONZA. Cour de réseaux informatique ; G2 R.T.M, I.S.S / KIN. 2017-2018
Mizonza Dior, cours de réseau informatique, G2 R.T.M, iss–KIN, 2018-2019, P5.
13

une interconnexion des divers matériels avec une grande facilité


d’extension ; elle varie en fonction de câble et de la topologie utilisé.
I.6.2. Le Token-Ring
Token-Ring repose sur une topologie en anneau(Ring) il
utilise la méthode d’accès par jetons (Token). Dans cette technologie,
seul le poste ayant le jeton au droit de transmettre. Dans un réseau
Token Ring, chaque du réseau comprend un MAU (Milti station accès
unit) qui peut recevoir les connexions des postes. Le signal qui circule et
régénère par chaque MAU reconnaissants cep adent que la panne d’une
station MAU provoque. Le disfonctionnement du réseau.
I.6.3. Le FDDI
La technologie LAN FDDI (fiber Distributid Data interface) est
une technologie’ accès réseau qui utilise des câbles fibre optiques. Le
FDDI est constitué de deux anneaux primaires et un anneau à jeton qui
sert à détecter et à corriger les erreurs, ce qui lui permet d’avoir
l’avantage. De fonctionner même si une station MAU tombe en panne.
I.7. L‘architecture
L’architecture d’un réseau est une représentation structurée
et fonctionnelle d’un réseau. Il existe deux types d’architecture réseau :
poste à poste et client-serveur.
I.7.1. Poste à Poste
C’est une architecture qui a un réseau sans serveur constitué
de deux ou plusieurs ordinateurs. Ici tout ordinateur est maitre de
ressources, elle présente les avantages tels que : un cout réduit, la
simplicité et la rapidité d’installation. Les inconvénients sont assez
nombreux en ce qui concerne le poste à poste, on cite : une sécurité
parfois très faible, la maintenance de réseau est difficile.
I.7.2. Client–serveur
L’architecture du client-serveur s’appuie sur un poste central.
Le serveur qui gère ce réseau a une disposition qui entraine une
meilleure sécurité. Les serveurs peuvent être spécialisés : serveur des
fichiers, d’application, d’impression et de communication.
14

I.8. PROTOCOLES
Un protocole correspond à un ensemble formel de règles et
de convention régissant le mode de communication des unités réseau
entre elle. Les connexions à internet font appel à plusieurs protocoles, IP
parmi lesquels nous trouvons les TCP/IP (transmission control Protocol,
Internet Protocol) qui sont les plus largement utilisés.
I.8.1. Modèle de référence OSI
Le modèle OSI (open système interconnection), crée en 1977
par ISO (international standard organisation), définit les différent s
niveaux pour le transfert des données ces niveaux sont appelés couches
ce dernières sont au nombre de sept dont quatre inferieures et trois
supérieure. Elles autorisent toujours un transfert rapide, voire instantané,
de l’information. Ce transfert au cette transaction suit un schéma qui
permet de diminuer les distances entre les systèmes en liaison. Ces
différentes étapes de flux d’informations dans un réseau sont les
suivantes
Couche 1 : Physique
Est chargée pour offrir un support de transmission pour la
communication. Son service est typiquement limité à l’émission et la
réception d’un bit ou d’un train de débit continu (notamment pour le
support synchrones).
Couche 2 : Liaison de données
Elle gère la communication entre deux machines adjacentes,
directement reliées entre elles par un support physique ; cette couche
reçoit les données butes de la couche physique, les organises en
trames, gère les erreurs, retransmet les trames erronées, gère les
acquittements qui indiquent si les données ont bien été transmises pour
transmettre les données formatées à de couche réseau supérieure. En
bref la couche de liaison sert à connecter les machines entre elles sur un
réseau local.
Couche 3 : Réseau
La couche réseau est chargée de la communication de
proche en proche, généralement entre deux machines, ou interconnecter
15

les réseaux entre eux. Elle gère l’adresse, le routage, le contrôle de flux
et la correction d’erreur non réglés par la couche 2. A ce niveau il s’agit
de faire l’envoie d’une formation complète (exemple : programme).
Elle permet donc de transmettre les trames reçues de la
couche 2 en trouvant un chemin vers les destinataires.
Couche 4 : transport
La couche transport donne la garantie que le message est
remis sans erreur, dans l’ordre et sans perte ou duplication. Elle permet
le maintien ainsi que la rupture de connexion. Elle détecte les erreurs de
transmission et vérifie le bon acheminement.
Couche 5 : Session
La couche session gère les connexions tout en déterminant
comment les ordinateurs configurés en réseau doivent communiquer ;
elle assure l’organisation et la synchronisation du dialogue.
Elle permet aussi aux utilisateurs travaillant sur différentes
d’établir entre eux un type de connexion appelée « session ». Une
session offre divers services parmi lesquels nous citons la gestion du
dialogue (suivi de 16la transmission). La gestion du jeton (empêchant
deux participants de tenter la même opération critique au même
moment) et la synchronisation.
Couche présentation
La couche présentation met en forme les données à
présenter à la couche application.
Elle peut être considérée comme le traducteur du réseau.
Cette couche peut convertir un format utilisé par la couche application
dans un format courant au niveau de la station émettrice. Elle convertir
également le format commun dans un format connu pour la couche
application au niveau de la station réceptrice.

16
P.Atelien . Réseaux informatique notion fondamentale ,3ém Edition , emi édition , 2009.
C.T : DIOR MIZONZA. Cour de réseaux informatique ; G2 R.T.M, I.S.S / KIN. 2017-2018
16

Couche application
Cette couche est le point de contact entre l’utilisateur et le
réseau. C’est donc elle qui apporte à l’utilisateur les services de base
offerts par le réseau. Comme par exemple le transfert des fichiers, la
messagerie, etc.
I.8.2. TCP/IP (transmission control Protocol/internet Protocol)
TCP/IP désigne communément une architecture réseau,
mais cet acronyme désigne en fait deux protocoles étroitement liés : un
protocole de transport. TCP (transmission control Protocol) et un
protocole réseau, IP (Internet Protocol).
Le mode TCP/IP s’inspire du modèle OSI auquel il reprend
l’approche modulaire en réduisant le nombre à quatre. Les trois couches
supérieures du modèle OSI sont souvent utilisées par une même
application. Ce modelé utilise l’IP comme adresse d’identification unique
pour un hôte sur un réseau IP. Une adresse est un nombre d’une valeur
de 32 bits représenté par 4 valeurs décimales pointées pour la version 4
(IPV4) et 128 bits pour la version 6 (IPV6). Chacune a un point pour
l’IPV4 et par deux points pour l’IPV6.Autrement dit, il est le protocole de
communication standard sur le réseau internet. Il a la particularité d’être
routable3.
I.8.3. IPV4
Est une adresse IP dans la version 4 du protocole IP (IPV4).
Cette adresse permet d’identifier chaque machine connectée sur un
réseau informatique utilisant le protocole IP version 4. Cette adresse est
composée de quatre octets chacun ayant leur valeur décimale comprise
entre 0 et 255 séparés par point.
Exemple : 112.825.156.133
I.8.3.1. IP Privées
Qui sont destinées aux réseaux privées. Elles ne sont pas
routables à l’internet.
Voici les plages d’adresse IP privées.
 Classe A : de 10.0.0.0 à 10.25.255.255;
17

 Classe B : de 172.16.0.0 à 172 .31.255.255 ;


 Classe C : de 192.168.0.0 à 192.168.255.255.
I.8.3.2. IP publique
Lorsqu’on parle d’IP publique, ce sont des adresses
réservées uniquement à l’internet. Elles sont constituées pour traiter les
autres adresses respectivement afin de router les informations sur
internet.
I.9. Le service de partage de fichiers
Permet aux utilisateurs de travailler sur des fichiers situés sur
des serveurs différents comme s’ils étaient locaux. Ce partage est
transparent pour les utilisateurs. A la différence d’un accès via le
protocole FTP. Le fichier n’existe que sur le serveur, il n’est pas
dupliqué. Un serveur donne la possibilité à de client, via une liste
d’accès, de partager des répertoires et donc de faire des copies
virtuelles de ses contenus. Ce service peut permettre de gérer des
stations sans disque. Le disque contenant les informations et alors une
image de celui contenu sur le serveur.
I.9. Equipements réseau4
Le réseau dans son ensemble constitue un système à
plusieurs matériels physiques qui lui fait fonctionner. Nous allons
présenter les déferait matériel nécessaires pour un réseau informatique.
I.9.1. Répéteur
Il sert à raccorder deux segments de câble ou deux réseaux
identiques qui constituent alors un seul réseau logique.
I.9.2.HUB (concentrateur)
Il permet d’assurer la liaison entre ordinateur dans un réseau
en Etoile. Avec un hub, tous les ports connectés se partagent le débit
maximal c’est-à-dire, un informatique envoyé par un ordinateur est
transmis à tous les restes du réseau.
18

I.9.3. SWITCH (commutateur)


Le commutateur (en anglais Switch) est pont multiports,
c’est-à-dire qu’il s’agit d’un élément actif agissant au niveau 2 du modèle
OSI.il permet d’allier les propriétés du port en matière de filtrage et du
concentrateur en matière de connectivité.

Fig.I.4. Commutateur(SWITCH)

I.9.4. Routeur
Un équipement d’interconnexion des réseaux informatique
permettant d’assurer le routage des paquets entre deux réseaux ou plus
afin de déterminer le chemin qu’un paquet de données vas emprunter.

Fig. I.5. Routeur

I.9.5. LA CARTE RESEAU


La carte réseau encore appelé network interface card (NIC)
en anglais elle constitue l’interface entre l’ordinateur et le câble réseau.
Elle possède généralement deux témoins lumineux (LED) verte et
orange :
 -La LED Verte indique l’alimentation de la carte réseau :
 La LED orange indique l’activité du réseau (éveil ou réception des
données).

Fig. I.6.carte réseau


19

I.9.6. PONT
Est un dispositif matériel ou logiciel permettant de relier deux
réseaux travaillant sur un même protocole.

Fig. I.7. Pont

I.9.7. MODEM
C’est un équipement électronique permettant la conversion
des signaux digitaux dits numérique en des signaux analogiques adaptés
au réseau. Il est plus utilisé pour l’interconnexion de réseau.

Fig.I.8. Modem

I.9.8. IMPRIMANTE RESEAU


C’est une imprimante conçue avec un port Rj45 lui
permettant de fonctionner dans un réseau comme un poste de travail.

Fig.I.9 Imprimante

I.9.9. SERVEUR
C’est un ordinateur puissant choisit pour coordonner,
contrôler et gérer les ressources d’un réseau. On distingue le serveur
dédiés et non dédiés.
20

 Serveur dédié : c’est un serveur qui est conçu spécialement pour


fonctionner comme serveur dans un réseau ;
 Serveur non dédié : c’est un ordinateur dans son environnement
poste à poste peut à la fois être utilisé comme client ou comme
serveur.17
I.10. Supports de transmission
Ils permettent de véhiculer l’information dans le réseau.
I.10.1. Câble coaxial
Le câble coaxial est composé d’un fil de cuivre à l’intérieure
appelé âme entouré d’une couche isolante, d’une couche conductrice
des filets tressés et isolante d’une gaine en plastique.

Fig.I.10 câble coaxial

I.10.2. Câble à paire torsadée


C’est un câble à double paire torsadées (twisted Pair Câble)
ou tout simplement la paire torsadée, décrit un modèle de câble ou une
ligne de transmission qui est constituée de deux brins de cuivre
entrelacés en torsade et recouverts d’isolants.
I.10.2.1. UTP (Paire torsadée non blindée)
La paire torsadée non blindée n’est entourée d’aucun
blindage protecteur. On utilise de connecteur RJ45.

Fig.I.11 câble UTP

17
P.Atelien . Réseaux informatique notion fondamentale ,3ém Edition , emi édition , 2009.
C.T : DIOR MIZONZA. Cour de réseaux informatique ; G2 R.T.M, I.S.S / KIN. 2017-2018
21

I.10.2.2. STP (Paire Torsadée blindée)


Chaque paire torsadée blindée et entourée d’une couche
d’isolant supplémentaire de blindage. Cela permet un meilleur protocole
contre les intempéries (interférence).

Fig.I.12. Câble STP

I.10.2.3. Fibre optique


La fibre optique est un fil en cuivre ou verre ou en plastique
très fin qui a la propriété d’être un conducteur de la lumière et sert
également dans la transmission de données. Elle offre un débit
d’information nettement supérieur à celui des autres supports de
transmission et supporte un réseau large bande par lequel peuvent
transiter aussi bien la télévision, le téléphone, la vidéoconférence les
données informations.

Fig.I.13 Fibre optique

I.11. IPV4
Est une adresse IP dans la version 4 du protocole IP (IPV4).
Cette adresse permet d’identifier chaque machine connectée sur un
réseau informatique utilisant le protocole IP version 4. Cette adresse est
composée de quatre octets chacun ayant leur valeur décimale comprise
entre 0 et 255 séparés par point.
I.11.1. IP Privées
Qui sont destinées aux réseaux privées. Elles ne sont pas
routables à l’internet.
Voici les plages d’adresse IP privées :
 Classe A : de 10.0.0.0 à 10.25.255.255;
 Classe B : de 172.16.0.0 à 172. 31.255.255;
 Classe C : de 192.168.0. À 192.168.255.255.
22

I.11.2. IP publiques
Lorsqu’on parle d’IP publique, ce sont des adresses
réservées uniquement à l’internet. Elles sont constituées pour traiter les
autres adresses respectivement afin de router les informations sur
internet.
I.12. Méthodes d’accès
Les méthodes d’accès permettent de règlementer la
circulation des informations dans un réseau et partage les informations
entre les ordinateurs du réseau. Il existe plusieurs méthodes d’accès,
mais nous ne parlerons que de trois.
I.12.1. CSMA/CD
C’est la méthode la plus simple par sa logique de
fonctionnement. Cette possibilité d’accès multiple impose à chaque
station l’écoute et la détection du signal sur le réseau informatique.
I.12.2. Méthode à Jeton
Elle est utilisée normalement dans la topologie en anneau et
en bus. Elle consiste donc à ce que le jeton passe devant une station
pour lui donner la permission de parler. Elles s’arrangent pour éviter les
conflits en donnant à l’avance une autorisation d’émettre (coopération
entre machines) il y a un délai d’attente pour obtenir le jeton, mais il n’y a
pas de collisions c’est-à-dire pas de délais de retransmission.
I.12.3. TDMA
Dans cette méthode, le temps est divisé en tranche attribuée
à chaque nœud, c’est-à-dire qu’une station peut émettre des messages
pendant le temps qui lui est donné. La priorité serra données aux poste
privilège, ici il n’existe pas des collisions.
I.13. INTERNET
L’internet est un réseau informatique publique mondial qui
rend accès au publique des services comme le courrier électronique et
world Wide Web.
23

I.14. Conclusion
Ce chapitre nous a permis de parler et expliquer le
fonctionnement général d'un réseau, de définir quelques concepts
beaucoup plus utilisés en réseaux informations et les services.
24

CHAPITRE 2. ETUDE DU SITE


2.1. INTRODUCTION
L’analyse préalable est une étape importante dans le cycle
de vie d’un système, il s’agit de connaitre la situation actuelle de
l’organisation pour pouvoir porter un jugement juste. Ainsi, l’analyse du
système existant doit nous fournir toute l’information nécessaire, afin
d’établir une bonne conception et de proposer de bonnes solutions.
2.2. DEFINITION ET BUT
2.2.1. Définition
L’analyse préalable, appelé aussi d’opportunité ,C’est l’étude
qui permet à un informaticien de préparer la décision relative à la nésite
d’informatiser ou de n’est pas informatiser le traitement de l’information,
le changement de l’ordinateur ou l’achat de l’ordinateur 18.
2.2.2. But
Cette étude a pour but essentiel de fournir les informations
nécessaires pour la prise de décision relative au changement ou non du
système d’information. Ces décisions concernent la modification des
objets, des moyens et des méthodes du système pour améliorer les
performances ou réduit les Coûts.
L’analyse préalable s’impose de la situation telle que :
- Informatisation des applications ou nouvelles applications dans le
cas des entreprises ou il existe le service informatique ;
- Introduction d’un système informatique ;
- Achat d’ordinateur ;
- Changement d’ordinateur.
2.3. Missions
Inscrit dans la dynamique imprimée par les conseils des
chargeurs à l’heure de leur création, dynamique dictée par le souci
d’infléchir le système maritime, L’office de Gestion du Fret Multimodal,
OGEFREM en sigle, à l’instar des autres conseils des chargeurs
18
MIZONZA DIOR B. Notes de cours de séminaire informatique, Troisièmes graduat, Réseau et technique de
maintenance, ISS/KIN, 2018-2019.
25

africains des pays à littoral avait focalisé en priorité ses interventions sur
le maillon maritime de la chaîne des transports.
Aujourd’hui et conformément aux recommandations issues
du consensus de Washington, les missions de l’office de Gestion du fret
Multimodal, OGEFREM en sigle, se recentrent sur la chaîne multimodale
de transport ainsi que l’a consacré le décret no O9/63 du O3 décembre
2009 fixant ses statuts.19
En exécution de sa mission définie ci-haut, l’Office de
Gestion du fret multimodal, OGEFREM en sigle, à la charge notamment :
- D’assurer la régulation de l’accès au fret multimodal sur toute
l’étendue de la République démocratique du Congo ;
- D’engager les consultations et les négociations avec les
transporteurs, les organismes impliqués dans les opérations
d’import-export ou toute autorité intervenant dans le secteur du
transport multimodal en vue notamment, de la détermination des
prix de transport ;
- De faire appliquer et de contrôler l’application effective des prix de
transport intervenant toutes les catégories de marchandises à
l’entrée et à la sortie des frontières congolaises et d’établir la
balance actuelle de fret.
L’office de Gestion du fret Multimodal, OGEFREM en sigle ,
a donc compétence pour gérer sur le territoire national et dans les
principaux corridors de désenclavement , l’ensemble de charge qui
consistent le fret national à l’import et à l’exportation .
2.4. HISTORIQUE
Créé, par ordonnance n° 80/256 du 12 novembre 1980
comme « entreprise publique », l’Office de Gestion du Fret
Maritime (« OGEFREM » en sigle), a été transformé par le décret n°
09/63 du 03 décembre 2009 fixant ses Statuts, en « Etablissement
Public » à caractère administratif et technique, doté de la personnalité
juridique, appelé « Office de Gestion du fret Multimodal ».

Direction de ressources humaines de L’OGEFREM


19
26

L’OGEFREM est né de la volonté de l’Etat congolais à se


conformer aux recommandations et dispositions des instances
Internationales relatives à un nouvel ordre maritime que celles-ci
venaient d’institue.
En effet, les pays en voie de développement bien que
générateurs de 90% du trafic maritime, ont longtemps été marginalisés
de l’industrie de transport maritime, qui pourtant devait leur profiter
pleinement du fait de leur large contribution à la production du fret
transporté.
Dans le souci de réglementer le commerce international de la
manière à assurer l’équilibre entre les intérêts des fournisseurs et ceux
des utilisateurs des services réguliers de transports maritimes et de
supprimer les discriminations à l’endroit des armateurs, des chargeurs
ou de tout intervenant dans le commerce extérieur du pays , le groupe
de « 77 » au travers de la 2ème et la 3ème réunions tenue respectivement
en 1968 et 1972 à NEW Delhi, s’est attelé à recommander notamment la
création des Conseils de chargeurs au sein des pays en développement
afin qu’ils puissent également bénéficier des avantages découlant des
transactions générées par leurs économies.
C’est en 1974 que la CNUCED adoptera la Convention des
Nations Unies Relative à un Code de Conduite des Conférences
Maritimes, connu sous l’appellation du « code de la CNUCED ». Ce
dernier intègre la recommandation du groupe des « 77 » relative à la
création des conseils des chargeurs, aux fins entre autres de négocier le
taux de fret, de répartir les cargaisons selon une clé nouvellement
instituée appelée « clé 40- 40- 20 » et de faciliter les opérations de
transport de la marchandise de bout en bout (C’est-à-dire du producteur
jusqu’au consommateur).
Dans la perspective d’une meilleure exploitation de ce code,
près de 25 Etats d’Afrique de l’Ouest et Centre se sont regroupés au
sein de la C.E.M.A.O.C.T.M (Conférence Ministérielle des Etats de
l’Afrique de l’Ouest et Centre sur le Transport Maritime) et ont en adopté
27

en mai 1975, une charte de transport Maritime en Afrique de l’Ouest et


Centre, appelée « Charte d’Abidjan ».20.
Cette charte qui fixait les grandes lignes de la politique
maritime sous régionale, s’est appropriée la recommandation issue de la
CNUCED relative à la création des conseils Nationaux des Chargeurs ou
organismes similaires dans les pays où ils n’existaient pas.
Les bouleversements intervenus à la fin des années 1980 et
au début des années 1990 au sein de l’industrie du transport maritime,
notamment l’éclatement du système des conférences maritimes,
l’avènement du container comme moyen de conditionnement et de
transport des marchandises et l’introduction des méga transporteurs
ainsi que le libéralisme économique ont conduit à la remise en cause
des missions des Conseils des chargeurs et à repenser leur
fonctionnement. Il leur fallait donc se restructurer pour plus d’efficacité
sur toute la chaîne des transports de bout en bout.
Le consensus qui est dégagé à ce propos entre l’Union des
Conseils des chargeurs Africains (UCCA) et la Banque Mondiale, le 28
Septembre 1995 à Washington, appelé communément « consensus de
Washington », a redéfini les missions clé des Conseils des chargeurs, en
les centrant sur la facilitation des transports à l’assistance aux chargeurs
sur toute la chaîne des transports.
Il s’agit de contribuer à promouvoir la compétitivité des
exportations et des importations et défendre les intérêts des chargeurs
grâce au moyen ci-après mis en œuvre :
- Relation entre les intervenants dans la chaîne des transports ;
- Suivi des marchandises ;
- Information et formation des chargeurs ;
- Gestion d’une banque de données sur les transports nationaux et
internationaux (observation) ;
- Erection et gestion des infrastructures des transports (gare de fret,
entrepôts, ports secs, parcs à véhicules, parcs à bois, terminaux à
conteneur, et...

20
Office de Gestion de Fret Multi Modal (OGEFREM).
28

2.5. SITUATION GEOGRAPHIQUE


L’OGEFREM a son siège à Kinshasa dans la commune de
Gombe au numéro 9 de l’avenue TSF, non loin du boulevard du 30 juin,
district de LUKUNGA, dans la ville province de Kinshasa, capital de la
République Démocratique du Congo.
Il existe des directions régionales reparties dans les grandes
régions du pays afin d’assurer la bonne gestion et la couverture totale de
la grande étendue de la République Démocratique du Congo dont la
Direction Régionales Sud (DRS).
La DRS est située au n°802, Chaussée L.D. KABILA, au
deuxième niveau du bâtiment Lac, à Lubumbashi, dans la province du
Katanga.
2.6. OBJECTIF
L’objectif poursuivi par l’office de Gestion de Fret Multimodal
réside dans son fondement avec le souci de la communauté de
réglementer le commerce international de sorte que les pays en voie de
développement autrement victimes des décisions unilatérales des pays
de vieille tradition maritime, puissent bénéficier des avantages de la
haute transaction internationale en ayant le droit de fixer le taux du fret.
2.7. STRUCTURE ORGANISATIONNELLE
Le département administratif de l’entreprise regorge en son
sein les directions suivantes :
 Le Conseil d’Administration ;
 La Direction Générale ;
 La Direction de négociation des taux de fret multimodal ;
 Direction administrative ;
 Direction financière et planification ;
 La Direction du fret ;
 La Direction des applications de la nouvelle technologie de
l’information ;
 La Direction des facilitations et d’Assistance aux chargeurs ;
 La Direction de plates-formes logistiques ;
 La Direction de Ressources Humaines ;
29

 La Direction de finance ;
 La Direction chargée de mission ;
 La Direction technique
 La Direction de marketing ;
 La Direction Contrôle de Gestion ;
 La Direction de Recouvrement
31

2.8. ORGANIGRAMME DE L’OGEFREM

CONSEIL D’ADMINISTRATION

DIRECTION GENERALE
SECRETARIAT DG

Assistant chargé des Assistant chargé des Collège des Conseillers Chargé de
questions administratives questions techniques
Juridiques Mission

Service Com. Service relations


et Marketing Publiques

DFM DTF DFAC DANTI DPM DEP DRH DSG DFIN DOCG DAI DPO DRKK DRSKM DPNK DREP
M

S S S
o o o
S S S S S S S S S S S S S S S S Sous S S S S us u S S S S S S S S u S S S S S S S S S
o o o o o o o o o o o o o o o o - o o o o -
s- o o o o o o o o s- o o o o o o o o o
u u u u u u u u u u u u u u u u Dire u u u u Di u u u u u u u u u u u u u u u u u
D D
s- s- s- s- s- s- s- re s- s- s-
s- s- s- s- s- s- s- s- s- ction s- s- s- s- ir s- s- s- s- s- s- s- ir s- s- s- s- s- s- s-
cti
Di Di Di Di Di Di Di di Di Di Di Di Di Di Di Di For Di Di Di Di e Di Di Di Di Di Di Di Di e Di Di Di Di Di Di Di Di Di
o
re re re re re re re re re re re re re re re re mati re re re re n ct re re re re re re re re ct re re re re re re re re re
cti cti cti cti cti cti cti cti cti cti cti cti cti cti cti cti on et cti cti cti cti C io cti cti cti cti cti cti cti cti io cti cti cti cti cti cti cti cti cti
o o o o o o o o o o o o o o o o Orie o o o o o n o o o o o o o o n o o o o o o o o o
n n n n n n n n n n n n n n n n ntati n n n n nt
O n n n n n n n n A n n n n n n n n n
R d d N C F A O d In P P P Et A d on d L Fi R rô A A A A E A A A G B Z B R M D D G
r d
é é o ar ar or u le cti O U
u u a ss b e fo ss u du u o n e g u u cti d x cti d m O E A O A U E
d
g Fr Fr g nt cil ist s F r c c ts d ist P pers P gi a c a di di vit m pl vit m vit in M NI N NI N M R R N
e
ul et et o rô it a er E m à à S e a er onne at sti n o G ni t t é ini oi é ini é is A G A B - B E
at m A ci le at n v RI at v b e s nt s l ri q ci u es s C d s st ta s st s tr O A E A S
io ar ér at et io c at - iq é oi cs Pl o m u èr vr tio at o e T ra ti T ra T at S S- N
n iti ie io F n e oi F u hi s a n oi e e e n
io m s e tiv o e tiv e iv A S
m n n a a re E e c ni n n m n pt F c e n c e c e A
e, et ct u N R ul fic el e e M a o h et P h et h et L
Fl S ur x at E e at nt ét bl n ni Fi or ni Fi ni Fi A
h n

Source : Secrétariat administratif de l’OGEFREM


32

2.9. DESCRIPTION DES POSTES


2.9.1. Définition
C’est une étape qui consiste à décrire ou à décortiquer
l’entreprise ou l’entité telle qu’elle fonctionne à moment précis21.
2.9.3. Le conseil d’administration
Le conseil d’administration est l’organe de conception
d’orientation, de contrôle et de décision de l’office. Il définit la politique
générale, détermine le programme de l’office, arrête le budget et
approuve les états financiers de fin d’exercice.
Il fixe l’organigramme de l’office et le soumet pour
approbation au ministre de tutelle. Le conseil d’administration est
composé de cinq membres au maximum, le directeur général y’compris.
Les membres du conseil d’administration sont nommés,
relevés de leurs fonctions et, le cas échéant, révoqués par ordonnance
du Président de la république, sur proposition du gouvernement délibéré
en conseil des ministres.
Le mandat des membres du conseil d’administration est de
cinq ans renouvelable une fois.
Le Président de la république nomme, parmi les membres du
conseil d’administration, un président autre qu’un membre de la direction
Générale.
2.9.4 Direction générale
La direction générale de l’office est assurée par un directeur
général, assisté d’un directeur général adjoint, nommés, relevés de leurs
fonctions et, le cas échéant, révoqués par ordonnance du Président de
la république sur proposition du gouvernement délibérée en conseil des
ministres.
Le directeur général et le directeur général adjoint sont
nommés pour un mandat de cinq ans renouvelable une fois. Ils ne
peuvent être suspendus à titre conservatoire que par arrêté du ministre
de tutelle qui en informe le gouvernement.
21
Dido MBUYAMBA MULUMA, Op.cit. P.15
33

La direction générale exécute la décision du conseil d’administration et


assure la gestion journalière de l’office. Elle exécute le budget, élabore
les états financiers et dirige l’ensemble des services.
Elle représente l’office vis-à-vis des tiers. Elle a tous les
pouvoirs nécessaires pour assurer la bonne marche de l’office et pour
agir en toute circonstance en son nom.
En exécution de la mission de l’office et en raison de ses
spécificités, la direction générale peut créer au sein de l’office, des
comités nationaux de facilitation et / ou de transport.
Elle désigne les membres desdits comités et en détermine
les modalités de fonctionnement, les missions ainsi que le règlement
intérieur.
En cas d’absence ou d’empêchement, l’intérim du directeur
général est assumé par le directeur général adjoint ou, à défaut, sur
proposition de la direction générale.
2.9.5 Collège des Commissaires aux comptes
Le contrôle de l’opération financière de l’office est assuré par
un collège des commissaires aux comptes. Celui-ci est composé de
deux personnes issues des structures professionnelles distinctes et
justifiant des connaissances techniques et professionnelles éprouvées.
Les commissaires aux comptes sont nommés par décret du
premier ministre délibéré en conseil des ministres, sur proposition du
ministre de tutelle, pour un mandat de cinq ans non renouvelable.
Les commissaires aux comptes ont, en collège ou
séparément, un droit illimite de surveillance et de contrôle sur toutes les
opérations de l’office. A cet égard, ils ont mandan de vérifier les livres, le
portefeuille et les valeurs de l’office, de contrôler la régularité et la
sincérité des inventaires et des états financiers, ainsi que l’exactitude
des informations données sur les comptes de l’office dans les rapports
du conseil d’administration.
Les commissaires aux comptes reçoivent, à charge de
l’office, une allocation fixe dont le montant est déterminé par décret du
Premier ministre délibéré en conseil des ministres
34

2.9.6. Ressources
2.9.6.1 Ressources humaines
Ici, nous présentons deux sortes des ressources :
a) Ressources internes
De façon idéale, le personnel chargé de la gestion des
archives doit être qualifié. Les membres du personnel responsables d’un
service d’archives doivent être titulaires d’un diplôme universitaire de
premier cycle comportant un certificat en archivistique ou d’une maîtrise
en histoire ou en sciences de l’information avec une spécialisation en
archivistique.
En général, l’archiviste doit être appuyé dans ses tâches par
un ou des techniciens en documentation et par un ou des commis.
Pour assurer la gestion adéquate de ses documents et de ses archives,
l’organisme doit disposer de ressources de qualité et en quantité
suffisantes. En conséquence, il est recommandé d’investir dans la
gestion des archives en tenant compte de l’équilibre entre les besoins
établis et les ressources disponibles.
b) Ressources externes
L’entreprise pourra aussi choisir d’engager des firmes de
consultants pour réaliser certaines activités liées à la gestion des
archives, par exemple l’élaboration d’un calendrier de conservation.
Les firmes de consultants ont l’avantage de posséder une
bonne connaissance des milieux administratifs.
Aussi, le recours à ces ressources externes peut s’avérer
judicieux quand le personnel en place n’a ni la formation ni l’expérience
nécessaire.
Le service d’archives de l’organisme devra de s’assurer de la
formation continue afin d’aider les usagers à mettre les outils
documentaires en application.
Les recommandations suivantes sont destinées à faciliter
l'adaptation aux changements :
35

 Participation du personnel aux changements proposés ;


 Intégration des changements proposés dans la culture interne de
l’organisme ;
 Diffusion intensive, continuelle et individuelle d’information à
propos des changements proposés ;
 Recours à des incitatifs, si possible ;
 Travail en harmonie avec la culture interne de l’organisme ;
 L’une des activités fondamentales de la gestion des archives d’un
organisme.
L’utilisation d’un plan de classification offre plusieurs
avantages et permet notamment d’atteindre les objectifs suivants :
 Améliorer le classement des dossiers, quels que soient leur nature
ou leur support ;
 Favoriser l’accès à l’information en accélérant l’identification et le
repérage des documents et des renseignements qu’ils
contiennent ;
 Favoriser la prise de décision et la mise en œuvre d’actions de
manière plus rapide et plus efficace ;
 Assurer la sécurité des documents, notamment en protégeant les
données à caractère personnel qu’ils contiennent ;
 Diminuer l’impact de la mobilité du personnel au sein de
l’organisme en permettant la poursuite des activités ;
 Accroître l’efficacité administrative de l’organisme dans
l’accomplissement de ses activités.
2.9.7. Le comité de gestion
Il veille à l’exécution des décisions du conseil
d’administration, assure dans les limites ; les pouvoirs qui lui ont été
délégués des affaires courantes de l’office.
Les attributions et la composition du comité de gestion sont
définies dans les articles 11-23 de la loi no 78-002 du 06 janvier 1978
portant dispositions générales applicables aux entreprises publiques. Il
comprend :
- Le Président Délégué Général (PDG), (ADG) ;
- Le Délégué Général Adjoint (DGA) ;
36

- Deux Administrateurs ;
- Deux directeurs ;
- Un représentant du personnel de l’entreprise.
Toutes fois, avec l’avènement de L’alliance des Forces
Démocratiques pour la libération en mai 1997, le comité de gestion a
connu une légère restructuration par laquelle la fonction de DGA a été
provisoirement établir.
Ce comité prépare les comptes économiques et financiers de
l’office.
Il divise et surveille l’ensemble des services et peut à son
tour conférer des délégations de pouvoirs à un ou plusieurs agentes de
l’entreprise.
Le comité de gestion propose, au conseil d’administration, le
cadre et le statut du personnel qui sont soumis à l’approbation des
ministères de tutelle.
2.9.8. La délégation générale
Elle est composée de l’ADG et de son cabinet. Elle constitue
la tête du comité de gestion et demeure le cerveau-moteur de l’office.
Elle a pour mission d’assurer la coordination politique et la gestion
administrative, technique et financière de L’OGEFREM, en appliquant
des instructions et directives des instances supérieures à savoir :
- Le Gouvernement ;
- Le Ministères de tutelle ;
- Le Conseil d’administration ;
- Le Comité de gestion.
La délégation générale organise, à des intervalles réguliers,
des sessions d’évaluation des activités de L’Office.
Dans la gestion journalière, la délégation générale se fait
assister par les départements centraux et provinciaux, lesquels sont
subdivisés, le cas échéant en agences, services, bureaux et postes.
Parmi eux, on note notamment à Kinshasa, siège de
L’OGEFREM, les départements centraux ci-après :
37

2.9.9. Présentation de La Direction Informatique de L’OGEFREM


(Danti)
La Direction des Applications de Nouvelles technologies de
l’Information est subdivisée en trois sous-directions dont :
1. La sous-direction Informatique ;
2. La sous-direction Observatoire ;
3. La sous-direction FERI.
2.9.9.1. Présentation de la sous-direction informatique
Placé sous l’autorité du Directeur, le sous-directeur de
l’Informatique supervise les activités de deux services à savoir :
1. Service Analyse, Développement et Applications ;
2. Service système et Télécom ;
3. Sous-directeur informatique : supervise les activités de trois
services.
Le service Système et Télécom comprend trois bureaux à savoir :
1. Bureau Maintenance ;
2. Bureau Télécom ;
3. Bureau Système d’exploitation.
Bureau de maintenance est chargé de :
 Elaborer, mettre en application et assurer le suivi du plan Directeur
informatique ;
 Assurer la maintenance des réseaux informatiques et
photocopieuses ;
 Gérer les dossiers relatifs aux équipements ;
Bureau système d’exploitation est chargé de :
 Participer à l’élaboration des réseaux informatiques ;
 Assurer l’administration des systèmes ;
 Installer et maintenir les systèmes ;
 Assurer l’arrêt et le démarrage des serveurs ;
 Assurer et organiser la sauvegarde des données.
38

Bureau Télécoms est chargé de :


 Assurer la maintenance et l’administration des réseaux
téléphoniques ;
 Mettre à jour les différents répertoires téléphoniques ;
 Assurer la liaison avec l’administration postale, fournisseurs de
services Internet de télécommunication.
Bureau d’analyse et programmation est chargé de :
 Concevoir et réaliser les applications P.D.I ;
 Mener les études sur les différentes applications du P.D.I et
effectuer les analyses D’opportunité qui s’y rapportent ;
 Collecter les informations pour la constitution du PDI de l’office ;
 Participer aux études analyses des systèmes informatiques.
Bureau Application et Formation
 Procéder à la formation des utilisateurs internes et assurer leurs
sensibilisations ;
 Assurer la liaison entre les utilisateurs internes, les organismes et
centres informatiques ;
2.9.10. Département Administrative et Financier
On retrouve au sein de ce département deux directions à savoir :
- La direction Financière ;
- La direction Administrative.
2.9.11 . Ressources financières
L’OGEFREM est une grande entreprise installée en
République Démocratique du Congo (RDC) et qui fonctionne sur fond
propre.
41

2.10. ANALYSE DE MOYENS UTILISES


Pour atteindre notre objectif, il sera nécessaire de ressortir en
détail tous les moyens humains opérationnels, d’une part, dans
l’entreprise et dans le système en particulier ainsi que tous les moyens
matériels utilisés d’autre part.
2.10.1. INVENTAIRE DE MOYENS HUMAINS EXISTANT
L’analyse des moyens humains est nécessaire pour mieux
comprendre toutes personnes sensées de travailler au sein de
l’entreprise.22

Tableau n°1 : Effectif du personnel de l’OGEFREM


N° Direction Sexe Effectif %
M F
01 Conseil d’administration 5 2 7 3 ,04
02 Direction Générale 8 8 16 6,95
03 Direction de négociation des taux 12 3 15 6,52
de fret multimodal
04 Direction du fret 15 5 20 8,70
05 Direction des applications de la 8 2 10 4,34
nouvelle technologie de
l’information
06 Direction des facilitations et 10 16 26 11,30
d’assistance aux chargeurs
07 Direction de plates-formes 18 4 22 9,56
logistiques
08 Direction de Ressources 15 2 17 7,39
Humaines
09 Direction de Finance 2 10 12 5,21
10 Direction chargé de mission 12 1 13 5,65
11 Direction Technique 20 0 20 8,70

22
Direction de Ressources Humaines de l’OGEFREM, 2019
42

12 Direction de marketing 3 7 10 4,4


13 Direction Contrôle de Gestion 14 6 20 8,69
14 Direction de recouvrement 8 2 10 4,34
15 Direction de facilitation 8 4 12 5,21
Total 158 70 230 100
Source : Direction de Ressources Humaines de l’OGEFREM, 2019
2.11. CONCLUSION
Il a été question dans ce chapitre de savoir l’évolution de
l’office du fret multimodal, en sigle OGEFREM. D’examiner les matériels
du parc information et enfin de le proposé un nouveau système du parc
informatique pour améliorer l’entreprise.
Nous avons donc parlé de manière descriptive de cette
entreprise, dans le chapitre qui suit, nous allons déployer le nouveau
système.
43

CHAPITRE 3. ETUDE DESCRIPTIVE DU RESEAU DE L’OGEFREM


3.1 INTRODUTIN
L’évolution de la science a un rythme tel que les technologies
des siècles derniers sont devenues un peu dépasser, cela nous ramené
à avoir l’importance de l’informatique dans le présent siècle, qui est
appliquée presque dans tous les domaines.
C’est une étape qui consiste à décrire ou à décortiquer
l’entreprise ou l’entité telle qu’elle fonctionne à moment précis23.
L’élément le plus extrême dans les processus de gestion d’un
entreprises « l’information » qui est le résultat fournir par le traitement de
données qui implique les opérations d’acquisition, de mémorisation et de
communication.
3.2 EXPLICATION DU TRAVAIL
Nous Allons développer et faire l’inventaire du système
informatique et la qualité du réseau informatique qui se trouvent à
l’Office de Gestion du fret multimodal, OGEFREM en sigle, et retrouve
les faillis
3.3 INVENTAIRE DES MATERIELS INFORMATIQUE
3.3.1 Moyen Matériel
Cet inventaire concerne à recenser les différents matériels au
sein de l’entreprise ou de l’organisation pour traiter les informations
(données) des logiciels et réseau existant.
Pour ceux qui concernent les biens : Les biens meubles et
immeubles (bâtiments) sont disponibles, à l’OGEFREM.
L’entreprise a un beau bâtiment de dix (10) niveaux, un
parking souterrain, un rez-de-chaussée, une mezzanine et 5 salles de
réunion, un réservoir d’eau de 25m, un groupe électrogène de 450 KVA,
une cabine électrique moyenne tension d’air moins 500 KVA. Le service
d’Archives se trouve au rez-de-chaussée du bâtiment de l’entreprise.

23
Dido MBUYAMBA MULUMA, Op.cit. P.15
44

En ce qui concerne les meubles, chaque bureau dispose de


5 tables et de 5 chaises, de 3 armoires métalliques et d’un
conditionnement d’air.
3.3.2. a. DEP : DIRECTION DES ETUDES ET PLANIFICATION
OGEFREM Fiche de moyens Etude fait par : ILOKI TIKOKEDI
matériels Le 05 Avril 2019
No Type de Nbre. Marque Caractéristiques LOGICIEL ANTI-
matériels Machine VIRUS
1 Ordinateur 6 Dell Cpu : i5 3,5 GHZ MS Office Smadav
Capacité Ram 2007, super
4GO copier,
Capacité du HDD Google
500GO chrome
Lecture optique
RW
2 Imprimante 1 HP
3 Photocopieuse 1 Xerox
3.3.3.b. DRH : DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES
OGEFREM Fiche de moyens Etude fait par : ILOKI TIKOKEDI
matériels Le 05 Avril 2019
No Type de Nbre. Marque Caractéristiques LOGICIEL ANTI-
matériels Machine VIRUS
1 Ordinateur 10 HP Cpu : i3 2,16 GHZ MS Office Avaste
Capacité Ram 4GO 2007, super
Capacité du HDD copié,
500GO 3,5 GO
Lecture optique RW
2 Imprimante HP
3 Photocopieuse 2 Xerox
45

3.3.4.c. DFIN : DIRECTION FINANCIERE


OGEFREM Fiche de moyens Etude fait par : ILOKI TIKOKEDI
matériels Le 05 Avril 2019
No Type de Nbre. Marque Caractéristiques LOGICIEL ANTI-
matériels Machine VIRUS
1 Ordinateur 6 Dell Cpu : i3 2,16 GHZ MS Office AVIRA
Capacité Ram 2007,
4GO
Capacité du HDD
500GO
Lecture optique
RW
2 Imprimante 1 HP
3 Photocopieuse 3 Xerox
3.3.5.d. DFAC : DIRECTION DE FACILITATION ET ASSISTANCE AUX
CHARGEURS
OGEFREM Fiche de moyens Etude fait par : ILOKI TIKOKEDI
matériels Le 05 Avril 2019
No Type de Nbre. Marque Caractéristiques LOGICIEL ANTI-
matériels Machine VIRUS
1 Ordinateur 5 HP Cpu : i5 3,5 GHZ MS Office AVG
Capacité Ram 4GO 2007, super
Capacité du HDD copier,
500GO Google
Lecture optique RW chrome
OUAPI
2 Imprimante 1 HP
3 Photocopieuse 1 Xerox
3.3.6. e. DOCG : DIRECTION D’ORGANISATION ET CONTROLE DE
GESTION
OGEFREM Fiche de moyens Etude fait par : ILOKI TIKOKEDI
matériels Le 05 Avril 2019
No Type de Nbre. Marque Caractéristiques LOGICIEL ANTI-
matériels Machine VIRUS
1 Ordinateur 10 HP Cpu : i5 3,5 GHZ MS Office Smadav
Capacité Ram 4GO 2007, super
Capacité du HDD copier.
500GO
Lecture optique RW
2 Imprimante 2 HP
3 Photocopieuse 1 Xerox
46

3.3.7. f. DAI : DIRECTION D’AUDIT INTERNE


OGEFREM Fiche de moyens Etude fait par : ILOKI TIKOKEDI
matériels Le 05 Avril 2019
No Type de Nbre. Marque Caractéristiques LOGICIEL ANTI-
matériels Machine VIRUS
1 Ordinateur 3 HP Cpu : i3 2,16 GHZ MS Office Norton
Capacité Ram 2007, super
4GO copié,
Capacité du HDD
500GO
Lecture optique
RW
2 Imprimante 0 HP
3 Photocopieuse 2 Xerox
3.3.8. g. DFM : DIRECTION DE FRET MARITIME
OGEFREM Fiche de moyens Etude fait par : ILOKI TIKOKEDI
matériels Le 05 Avril 2019
No Type de Nbre. Marque Caractéristiques LOGICIEL ANTI-
matériels Machine VIRUS
1 Ordinateur 8 HP Cpu : i3 2,16 GHZ MS Office Smadav
Capacité Ram 2007,
4GO Google
Capacité du HDD chrome
500GO
Lecture optique
RW
2 Imprimante 1 HP
3 Photocopieuse 1 Xerox
47

3.3.9.h. DTEM : DIRECTION DU TAUX DU FRET MULTIMODALE


OGEFREM Fiche de moyens Etude fait par : ILOKI TIKOKEDI
matériels Le 05 Avril 2019
No Type de Nbre. Marque Caractéristique LOGICIEL ANTI-
matériels Machine s VIRUS
1 Ordinateur 2 HP Cpu : i3 2,16 MS Office Smadav
GHZ 2007, super
Capacité Ram copier, Google
4GO chrome
Capacité du
HDD 500GO
Lecture optique
RW
2 Imprimante 0 HP
3 Photocopieuse 1 Xerox
3..3.10. i. DSG : DIRECTION DE SERVICE GENERAUX
OGEFREM Fiche de moyens Etude fait par : ILOKI TIKOKEDI
matériels Le 05 Avril 2019
No Type de Nbre. Marque Caractéristiques LOGICIEL ANTI-
matériels Machine VIRUS
1 Ordinateur 2 HP Cpu : i5 3,5 GHZ MS Office Rising
Capacité Ram 2007, super
4GO copier, Google
Capacité du HDD chrome
500GO
Lecture optique
RW
2 Imprimante 1 HP
3 Photocopieuse 1 Xerox
48

3.3.11. j. DANTI : DIRECTION DES APPLICATIONS DE NOUVELLES


TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION
OGEFREM Fiche de moyens Etude fait par : ILOKI TIKOKEDI
matériels Le 05 Avril 2019
No Type de Nbre. Marque Caractéristiques LOGICIEL ANTI-
matériels Machine VIRUS
1 Ordinateur 8 HP Cpu: i3 3,16 GHZ MS Office Avast
Capacité Ram 2007, super
4GO copier, Google
Capacité du HDD chrome, Adobe
500GO Raeder, H-
Lecture optique inventory
RW
2 Imprimante 1 HP
3 Photocopieuse 1 Xerox
3.3.12.k. DPN : DIRECTION DE PLATEFORME MULTIMODALES
OGEFREM Fiche de moyens Etude fait par : ILOKI TIKOKEDI
matériels Le 05 Avril 2019
No Type de Nbre. Marque Caractéristiques LOGICIEL ANTI-
matériels Machine VIRUS
1 Ordinateur 6 HP :Cpu i5 3,5 GHZ MS Office Avast
Capacité Ram 2007, copier,
4GO Google
Capacité du HDD chrome
500GO 4,7 GO
Lecture optique
RW
2 Imprimante 1 HP
3 Photocopieuse 1 Xerox
49

3.4 MATERIELES RESEAUX

3.4.1. Matériels réseau existant


N° Type des Nbres Caractéristiques
matériels
01 Point d’Accès 1 Marque : Dlink
Portée : 20m
02 Modem 1 Marque : w8960N-TP-Link Belkin
Nbres de ports: 4
Bande passante : 5 Mo/s

03 Routeur 4 Marque : LDLC (Cisco RV325)


Nbres de Ports : 16
Bande passante : 200 à 300 Mo/s
04 Serveur dédié 1 Marque : Huawei
5 Cpu i7

05 Switch 13 Marque : TP-Link


Nbres de ports : 24
Bande passante : 50 à 400 Mo/s
06 Répéteur 2 Marque : TP-Link
Nbres des ports : 1
07 Passerelle 2 Marque : TP-Link
Nbres de ports : 2
08 RTC 1 Marque : Mikrotik
Bureau d’administrateur réseau
3.5 PLAN D’ADRESSAGE IP
L’OGEFREM, étant une organisation publique à ses services
dans le tendu de la République Démocratique du Congo dans les
différentes provinces, l’entreprise procède un serveur DHCP : Qui
signifie (Dynamics Host Configuration Protocol). Comme l’acronymie
l’indique, il s'agit d'un protocole qui permet d’attribuer automatiquement
les adresses IP à des machines connectés dans un réseau.
Adresse fixe serveur 192.168.0.3.
 Adresse du masque de sous réseau 255.255.255.0
 Adresse DHCP passerelle 192.168.0.1
50

3.6 SCHEMA DU RESEAUX EXISTANT

3.7. FAIBLESSE DU RESEAU EXISTANT


La critique de l’existant est appelé aussi Bilan de l’existant24.
Dans cette étude, nous comptons établir un diagnostic sur les
procédures utilisées afin de découvrir les problèmes posés au sein de
service concerné.
L’OGEFREM possède un parc informatique assez
décentralisé parce que la plupart de ces sites ne sont pas interconnectés

24
MIZONZA DIOR, Notes de Cours de séminaire informatique, G3 RTM, ISS/KIN 2018-2019.
51

entre eux, n’y a pas des logiciels de gestion du parc informatique et la


gestion se fait par des administrateurs affectés à chaque lieu.
En ce qui concerne les besoins d’équipements informatiques
(ordinateur, imprimantes et périphériques), L’OGEFREM a souscrit un
contrat avec la firme HP (Hewlett Packard) pour l’acquisition et le service
après-vente pour tout équipement basé sur celui-ci.25
Pour les équipements d’interconnexion, vu que l’entreprise
n’a pas souscrit un contrat pour l’acquisition auprès d’une firme, elle
possède plusieurs équipements de constructeur différents (Mikrotik,
Dlink, Huawei mais surtout TPLINK), cette diversité d’équipement n’est
pas conseillée dans la mesure où chaque fabricant à sa manière, ces
avantages et ces inconvénients en fonction des diverses difficultés qui
peuvent être rencontrées dans un réseau.
La plupart des autres équipements (serveurs central) sont
concentrés à Kinshasa, selon nos sources, voici un aperçu des
matériaux logiques et indispensables au travail dans l’entreprise.
3.8. Aspects positifs
3.8.1. OS Clients
Le parc informatique est constitué d’ordinateurs fonctionnant
sur deux versions différentes de Windows (win7, win8). Or, l’utilisation
d’une même version du système d’exploitation pour tous les utilisateurs
facilite le dépannage et la gestion du parc en cas de défaillances et
d’erreurs.
Les ordinateurs ont des capacités moins et leurs mémoires
ram c’est tellement lente
3.8.2. OS Serveur
Au niveau de Kinshasa, il y’a 4 principaux serveurs au niveau
de la DANTI qui gère les clients ainsi que leurs redondant ou leurs
copies pour éviter une rupture ou indisponibilité des services.

25
Source : Bureau d’Administration réseau
52

Les serveurs tournent sous Windows server 2003 et le style


de partitionnements utilisé est le RAID5 (Système de stockage de
grande capacité utilisant le diskmirroring).
Le nombre de serveurs est assez moyen étant donné le
nombre d’applications utilisés et le personnel employés au sein de
l’entreprise.
La sauvegarde des données se fait quotidiennement mais
peut être de temps à autre lente. Mais comme le disent les scientifiques,
que l’évolution d’un domaine ou parc réseau doit tenir compte de
l’évolution de la technologie.
D’une manière spécifique, nous pouvons dire que L’office de
gestion du fret Multimodal, OGEFREM en sigle, dispose d’un certain
nombre d’agent qui accomplissent bien leurs tâches malgré les
mauvaises conditions de travail d’où les points forts du système existant
seraient :
- Disponibilité des Agents ;
- Volonté de travail.
3.9. Aspects négatifs
Dans le cas des aspects négatif, il convient de signaler que : En
analysant celui de notre existant, nous avons pu découvrir que les OS
utilisé dans des serveurs sont de vieilles versions qui risquent de tomber
en faille l’entreprise lors d’un arrêt soudain.
Ce pourquoi nous conseillons à l’existant de mettre à niveau
leurs OS ou de les changer complètement pour éviter des dépits qui
pourront se présentés à la longue dont ils ne seront pas en mesure de
les réparer en temps réel et d’améliorer des machines dans les différents
bureaux, les ordinateurs et comme portable.
3.9.1.Système d’exploitation existant
L’étude du mode de fonctionnement du parc informatique de
l’OGEFREM ainsi ces équipements nous a permis de détecter les
éléments qui fragilisent l’entreprise :
 Les systèmes d’exploitation des serveurs sont obsolètes ;
 Manque du serveur proxy ;
53

 Manque de la sécurité (pare-feu)


 4 Leur prestataire de l’internet n’est pas fiable dans l’entreprise ;
 Les sites distants ne sont pas interconnectés ;
 Manque des logiciels de gestion du parc informatique ;
 Les collisions importantes dans le réseau par la présence de
tempête de diffusion.
 Manque de place pour localiser les documents de la gestion du
parc informatique ;
 Le parc informatique possède des matériels mais déjà en faillite, et
qui ne gère pas les documents de la gestion du parc informatique
et les licences des logiciels,
 Manque de bonnes quelques machines en bonne état
 Ajouter les photocopieuses ainsi les imprimantes en réseau dans
de différentes directions du bureau.
 Négligence de former et d’ajouter les agents dans la gestion du
parc informatique.
 Achat de produits (dératisation, désinfectant, détergeant …) pour
bien protéger les documents relatifs à la gestion du parc
informatique contre l’insecte.
3.10. FORCE DU RESEAU
Pour mieux adapter la gestion de recettes pétrolières de
l’Office de Gestion du Fret Multimodal, OGEFREM en sigle, nous
proposons de mettre en place un nouveau système d’exploitation
serveur en utilisant l’ordinateur comme outil de base.de bonne matériel
du Réseau-t-elle que :
 Répéteur ;
 HUB (concentrateur) ;
 Switch (commutateur multi fonction) ;
 Routeur ;
 Carte réseau ;
 Pont ;
 Modem ;
 Imprimante réseau ;
 Serveur.
54

Suite aux remarquent émise cités ci- haut, c’est pour rendre
la gestion du parc informatique comme un système informatisé pour une
gestion saine, efficace et efficiente en temps record.
3.11. Conclusion
Il a été question dans ce chapitre de savoir l’évolution de
l’office du fret multimodal, en sigle OGEFREM. D’examiner les matériels
du parc information et enfin de le proposé un nouveau système
informatique pour améliorer l’entreprise.
Nous avons donc parlé de manière descriptive de cette
entreprise.
55

CONCLUSION GENERALE
Aujourd’hui, les équipements du réseau informatique pour
une entreprise sont devenus indispensable.
Car création des matériels de réseau informatique au sein
d'une entreprise a pour but d'apporter une efficacité et une performance
de toute l'activité de l'entreprise et ce afin d'augmenter la productivité du
personnel, d'accroître le chiffre d'affaire et de multiplier le profit.
Ceci n'est possible que si on assure un bon fonctionnement
de tout le système informatique. C'est le Centre Informatique qui en est
le premier responsable devant la Direction Générale de l’entreprise.
Notre travail, nous pouvons affirmer que les services offerts
par le nouveau système de communication répondront bien aux attentes
de l’Office de Gestion du Fret Multimodal, OGEFREM en sigle, qui n’a
pas cessée de souhaiter que ses transactions s’effectuent en toute
fiabilité, rapidité et sécurité.
Ainsi, l’informatique étant sans cesse en évolution, la solution
que nous venons de proposer reste ouverte au perfectionnement de la
technologie informatique, le souhait étant toujours l’obtention de la
meilleure solution possible qui puisse s’adapter aux possibilités
financières de l’entreprise.
Pour finir, Bien gérer système informatique c’est aussi bien
gérer le capital informatique de la société et ainsi réduire les coûts,
satisfaire les utilisateurs, optimiser les ressources internes, imposer une
certaine démarche qualité.
56

BIBLIOGRAPHIE
OUVRAGE
1 GOODE J. WILLAM, Cité par le professeur SHOMBA KINYAMBA,
Méthodologie de recherche science, Ed. MES, Kinshasa – RDC
2001.
2 ILUNGA KABONGO, La recherche scientifique dans une société
bloquée, In zaïre Afrique, Nombre 84 Avril 1991.
3 ILUNGA KABONGO, La recherche scientifique dans une société
bloquée, In zaïre Afrique, Nombre 84 Avril 1991.
4 M. GRAWITZ, Méthodes de recherche en science sociales, 11é
Edition, Ed Dalloz, Paris, 2001.
5 MVIBULUKU KALUYIT & KUTANGILA M.D. Importance de la
Modélisation d’un logiciel de gestion des travaux scientifique dans
les universités congolaise, cas de GESTEMO in Revue de la Face,
4émé année, nombre, 2000.
6 PINTO R. et GRAWITZ M, les méthodes de recherche en science
sociales, 4éme Edition, Ed. DOLLAZ, Paris 1971.
7 REZSOHAZI, théorie et critique des faits sociaux, Ed. La
Renaissance du livre, Bruxelles 1997.
NOTE DE COURS
1. DIDO MBUYAMBA MULUMA, Cours de Méthode d’analyse
informatique, 2éme Graduat informatique, ISC GOMBE, 2015.
2. MABELA ROSTIN & ZINGA BILA V., Cours d’informatique générale,
1ére Graduat Réseaux et technique de maintenance, ISS/KIN,
2016-2017, inédit.
3. MBANZA JACKSON, Cours de Télécommunication, 2éme Graduat
Réseaux et technique de maintenance, ISS/KIN,2017-2018, Inédit.
4. MIZONZA BANTIKO D. Notes de cours de séminaire informatique,
Troisièmes graduat, Réseau et technique de maintenance, ISS/KIN,
2018-2019.
5. MULUMA MUNANGA, Cours de l’initiation à la recherche
scientifique et méthodes de recherches en sciences sociales, 1ér et
2éme graduat, UPC,2003-2004, P.45 Inédit.
6. SIMON PIERE, Cour de l’initiation à la recherche scientifique, G2
R.T.M ISS/ KIN – 2017-2018
57

Table des matières


EPIGRAPHE ....................................................................................................... I
DEDICACE ........................................................................................................ II
AVANT- PROPOS ........................................................................................... III
SIGLES DES ABREVIATIONS ......................................................................... IV
INTRODUCTION GENERALE .......................................................................... 1
1. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE ........................................................... 1
1.1. PROBLEMATIQUE ..................................................................................... 1
1.2 HYPOTHESE............................................................................................... 3
2. CHOIX ET INTERET DU SUJET ................................................................... 3
2.1. INTERET DU SUJET .................................................................................. 3
2.2. CHOIX DU SUJET ...................................................................................... 4
3. DELIMITATION DU SUJET ........................................................................... 5
4. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES ................................................. 5
4.1. METHODES ............................................................................................... 6
4.1.1. METHODE HISTORIQUE ....................................................................... 7
4.1.2. METHODE ANALYTIQUE ....................................................................... 7
4.1.3. METHODE STRUCTURE-FONCTIONNELLE ........................................ 7
4.2. TECHNIQUES ............................................................................................ 7
4.2.1. TECHNIQUE D’INTERVIEW ................................................................... 8
4.2.2. TECHNIQUE D’OBSERVATION ............................................................. 8
4.2.3. TECHNIQUE DOCUMENTAIRE ............................................................. 8
5. DIFFICULTES RENCONTREES ................................................................... 9
CHAPITRE I : GENERALITES SUR RESEAU INFORMATIQUE ................... 10
I.1. INTRODUCTION ....................................................................................... 10
I.2. HISTOIRE .................................................................................................. 10
I.3. DEFINITION DU RESEAU INFORMQTIQUE ........................................... 10
I.4. TYPE DES RESEAUX INFORMATIQUES ................................................ 10
I.4.1. LE RESEAU LAN (LOCAL AREA NETWORK) ...................................... 11
I.4.2. LE RESEAU MAN (METROPOLITAIN AREA NETWORK) ................... 11
I.4.3. LE RESEAU WAN (WIDE AREA NETWORK) ....................................... 11
I.5. TOPOLOGIE DE RESEAU ........................................................................ 11
I.5.1. TOPOLOGIE PHYSIQUE ....................................................................... 11
I.5.1.1. LA TOPOLOGIE EN BUS .................................................................... 11
I.5.1.2. LA TOPOLOGIE EN ETOILE .............................................................. 12
I.5.1.3. LA TOPOLOGIE EN ANNEAU ............................................................ 12
I.5.1.4. LA TOPOLOGIE HYBRIDE ................................................................. 12
I.6. LA TOPOLOGIE LOGIQUE ....................................................................... 12
I.6.1. LE RESEAU ETHERNET ....................................................................... 12
I.6.2. LE TOKEN-RING .................................................................................... 13
58

I.6.3. LE FDDI .................................................................................................. 13


I.7. L‘ARCHITECTURE .................................................................................... 13
I.7.1. POSTE A POSTE ................................................................................... 13
I.7.2. CLIENT–SERVEUR ............................................................................... 13
I.8. PROTOCOLES .......................................................................................... 14
I.8.1. MODELE DE REFERENCE OSI ............................................................ 14
COUCHE 1 : PHYSIQUE................................................................................. 14
COUCHE 2 : LIAISON DE DONNEES ............................................................ 14
COUCHE 3 : RESEAU .................................................................................... 14
COUCHE 4 : TRANSPORT ............................................................................. 15
COUCHE 5 : SESSION ................................................................................... 15
COUCHE PRESENTATION ............................................................................ 15
COUCHE APPLICATION ................................................................................ 16
I.8.2. TCP/IP (TRANSMISSION CONTROL PROTOCOL/INTERNET
PROTOCOL) ................................................................................................... 16
I.8.3. IPV4 ........................................................................................................ 16
I.8.3.1. IP PRIVEES ......................................................................................... 16
I.8.3.2. IP PUBLIQUE ...................................................................................... 17
I.9. LE SERVICE DE PARTAGE DE FICHIERS ............................................. 17
I.9. EQUIPEMENTS RESEAU4 ....................................................................... 17
I.9.1. REPETEUR ............................................................................................ 17
I.9.2.HUB (CONCENTRATEUR) ..................................................................... 17
I.9.3. SWITCH (COMMUTATEUR) .................................................................. 18
I.9.4. ROUTEUR .............................................................................................. 18
I.9.5. LA CARTE RESEAU .............................................................................. 18
I.9.6. PONT ...................................................................................................... 19
I.9.7. MODEM .................................................................................................. 19
I.9.8. IMPRIMANTE RESEAU ......................................................................... 19
I.9.9. SERVEUR .............................................................................................. 19
I.10. SUPPORTS DE TRANSMISSION .......................................................... 20
I.10.1. CABLE COAXIAL ................................................................................. 20
I.10.2. CABLE A PAIRE TORSADEE .............................................................. 20
I.10.2.1. UTP (PAIRE TORSADEE NON BLINDEE) ....................................... 20
I.10.2.2. STP (PAIRE TORSADEE BLINDEE) ................................................ 21
I.10.2.3. FIBRE OPTIQUE ............................................................................... 21
I.11. IPV4 ......................................................................................................... 21
I.11.1. IP PRIVEES .......................................................................................... 21
I.11.2. IP PUBLIQUES ..................................................................................... 22
I.12. METHODES D’ACCES............................................................................ 22
I.12.1. CSMA/CD ............................................................................................. 22
59

I.12.2. METHODE A JETON............................................................................ 22


I.12.3. TDMA .................................................................................................... 22
I.13. INTERNET ............................................................................................... 22
I.14. CONCLUSION ......................................................................................... 23
CHAPITRE 2. ETUDE DU SITE ...................................................................... 24
2.1. INTRODUCTION .................................................................................... 24
2.2. DEFINITION ET BUT............................................................................... 24
2.2.1. DEFINITION .......................................................................................... 24
2.2.2. BUT....................................................................................................... 24
2.3. MISSIONS ................................................................................................ 24
2.4. HISTORIQUE ........................................................................................... 25
2.5. SITUATION GEOGRAPHIQUE ................................................................ 28
2.6. OBJECTIF ................................................................................................ 28
2.7. STRUCTURE ORGANISATIONNELLE ................................................... 28
2.8. ORGANIGRAMME DE L’OGEFREM ....................................................... 31
2.9. DESCRIPTION DES POSTES ................................................................. 32
2.9.1. DEFINITION .......................................................................................... 32
2.9.6. RESSOURCES...................................................................................... 34
2.9.7. LE COMITE DE GESTION .................................................................... 35
2.9.8. LA DELEGATION GENERALE ............................................................. 36
2.9.9. PRESENTATION DE LA DIRECTION INFORMATIQUE DE
L’OGEFREM (DANTI)...................................................................................... 37
2.9.9.1. PRESENTATION DE LA SOUS-DIRECTION INFORMATIQUE ....... 37
2.9.10. DEPARTEMENT ADMINISTRATIVE ET FINANCIER ........................ 38
2.10. ANALYSE DE MOYENS UTILISES ....................................................... 41
2.10.1. INVENTAIRE DE MOYENS HUMAINS EXISTANT ............................ 41
2.11. CONCLUSION ........................................................................................ 42
CHAPITRE 3. ETUDE DESCRIPTIVE DU RESEAU DE L’OGEFREM .......... 43
3.1 INTRODUTIN............................................................................................. 43
3.2 EXPLICATION DU TRAVAIL ..................................................................... 43
3.3 INVENTAIRE DES MATERIELS INFORMATIQUE ................................... 43
3.3.1 MOYEN MATERIEL................................................................................ 43
3.3.2. A. DEP : DIRECTION DES ETUDES ET PLANIFICATION .................. 44
3.3.3.B. DRH : DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES ...................... 44
3.3.4.C. DFIN : DIRECTION FINANCIERE ..................................................... 45
3.3.5.D. DFAC : DIRECTION DE FACILITATION ET ASSISTANCE AUX
CHARGEURS .................................................................................................. 45
3.3.6. E. DOCG : DIRECTION D’ORGANISATION ET CONTROLE DE
GESTION......................................................................................................... 45
3.3.7. F. DAI : DIRECTION D’AUDIT INTERNE .............................................. 46
60

3.3.8. G. DFM : DIRECTION DE FRET MARITIME ........................................ 46


3.3.9.H. DTEM : DIRECTION DU TAUX DU FRET MULTIMODALE.............. 47
3..3.10. I. DSG : DIRECTION DE SERVICE GENERAUX .............................. 47
3.3.11. J. DANTI : DIRECTION DES APPLICATIONS DE NOUVELLES
TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ......................................................... 48
3.3.12.K. DPN : DIRECTION DE PLATEFORME MULTIMODALES .............. 48
3.4.1. MATERIELS RESEAU EXISTANT ........................................................ 49
3.7. FAIBLESSE DU RESEAU EXISTANT ..................................................... 50
3.8. ASPECTS POSITIFS ............................................................................... 51
3.9. ASPECTS NEGATIFS .............................................................................. 52
3.11. CONCLUSION ....................................................................................... 54
CONCLUSION GENERALE ............................................................................ 55
BIBLIOGRAPHIE ............................................................................................. 56
TABLE DES MATIERES.................................................................................. 57

Vous aimerez peut-être aussi