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EPIGRAPHE
(Psaume 37 : 4)
ii
DEDICACE
ILOKI-TIKOKEDI
iii
AVANT- PROPOS
Nous voici arrive au terme de notre premier cycle
universitaire, étape pendant laquelle nous avons bénéficié de l’appui et
de l’encadrement de plusieurs chercheures scientifiques que nous
remercions sincèrement pour leur contribution et soutien tant que moral
que matériel dans la réalisation de ce travail.
Aucun mot ne serait exprimer notre profonde gratitude envers
le chef de travaux MINZOZA BANTIKO DIOR qui accepté de diriger ce
travail avec rigueur scientifique, nonobstant ses multiples occupations.
Au-delà d’un simple directeur de travail de fin de cycle, il a
été pour moi un véritable père et un guide sans lequel ce travail n’aurait
connu l’aboutissement heureux.
Nous sommes aussi reconnaissants envers C.T NGYLA
ROMAINS, et notre chef de section Mme ZINGA VIRGINIE, Assistant
BALUMANGANA, assistant JUNIOR LIENDI et Assistante MERLINE qui
avec dévouements nous a accompagné avec rigueur tout au long de
l’élaboration de notre travail.
Nous pesons aussi à tous nos amis de lutte : ILOKI
NABOTH, Roland MIELUNZEYI, MOPI GIGUEL, BENJAMIN LIEDI,
CHADRACK KINGOLO, TUZEYIDIO BAVUIDIKIO Nathan, TSHIBANGU
HIDRISS pour leurs encouragements.
Que tous ceux d’une manière ou d’une autre a contribué à
l’élaboration de ce travail mais dont les noms ne figurent pas sur cette
liste, qu’ils trouvent à travers ces lignes l’expression de notre profonde
reconnaissance.
ILOKI-TIKOKEDI
iv
- AD : active directory
- ASN : Abstract syntaxe notation
- CMIP : Common management information protocole.
- CRC : cyclique redondance check.
- DHCP : dynamique host configurions protocole
- DNS : Domain Name system
- FTMA: File Transfer management and Access.
- ISO : organisation infernale de normalisation
- IP : internet protocole
- LAN : local area network
- MIB : management information base
- NLA : network levé authentiquassions
- NMS : network management station
- OID : open identifier
- OSI : open system interconnections
- PDU : protocole data unit
- RFC : requetés for comment
- SMI : structure of management information
- SMFA : spécifique management fonctionna areas.
- SNMP : simple network management protocole
- TCP : transport control Protocol
- UDP : user datagramme Protocol
- LAN : (Local Area Network)
- MAN : (Métropolitain Area Network)
- WAN : (Wide Area Network)
- FDDI : (fiber Distributid Data interface)
- TCP/IP : (transmission control Protocol, Internet Protocol)
- OSI : (open système interconnections),
- PDG : Le Président Délégué Général
- DGA : Le Délégué Général Adjoint
1
INTRODUCTION GENERALE
Les nouvelles technologies de l’information et de la
communication (NTIC) ont évolué de façon exponentielle
Surtout de nos jours, cette révolution a eu un l’impact non
négligeable sur les entreprises, soit dans le secteur public et ou privé,
l’utilisation des systèmes d’informations est devenue très important dans
tous les domaines de la société humaine.
La plupart des organisations possèdent aujourd’hui un
réseau d'ordinateurs privé.
Au travers de ce réseau, les postes échangent des fichiers,
partagent des matériels et parfois utilisent des logiciels en commun.
Avec le développement de l’utilisation d’internet, de plus en
plus l’entreprise ouvrent leur parc informatique à leurs partenaires ou à
leurs fournisseurs.
Afin d’assurer le bon fonctionnement du système
d’information dans une entreprise il faut avoir une bonne gestion et suivi
des ressources matérielles et logicielles, ces derniers consistent d’une
part à lister et localiser les équipements de l’entreprise, d’autre part à
effectuer des tâches de maintenance et d’assistance aux utilisateurs.
Tout au long de notre développement, dans la descriptive du
réseau informatique il a été pour nous nécessaire de mettre en place des
matériels performent de réseau informatique.
Dans cet objectif notre travail consiste à faire l’étude descriptive du
réseau informatique d’une entreprise publique qui est OGEFREM
1. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE1
1.1. Problématique
La problématique est l’ensemble des questions précises
que se pose un chercheur à propos d’un sujet ou d’une recherche.2 En
1
Prof SIMON PIERE, cour de l’initiation à la recherche scientifique, G2 R.T.M ISS/ KIN – 2017-2018
2
IYANANIO SIMON PIERRE, Cours de l’initiation à la Recherche Scientifique, 2éme Graduat RTM, 2017-2018
ISS/KIN, P .19.
2
1.2 HYPOTHESE
L’hypothèse se défini comme étant une réponse qui permet
de prédire la vérité Vraisemblable au regard des questions soulevées
par la problématique et dont la recherche vérifie le bien-fondé ou le
mauvais côté de la recherche effectuée.3 L’hypothèse est une opération
intellectuelle par laquelle une discipline cherche à atteindre les vérités
quelle poursuit, les démontre et les vérifie.4
Acheminant dans le même sens, R. REZSOHAZY nous
parait plus explicite. Pour lui, l’hypothèse cherche à établir une vision
provisoire du problème soulevé en évoquant la relation supposée entre
les faits sociaux dont le rapport constitue le problème et en indiquant
la nature de ce rapport.5 En vue de remédier aux inquiétudes soulevée
au travers des questions posées dans la problématique nous
n’estimons que les système actuels de système d’administration des
réseau informatique au sein de l’Office de Gestion du Fret Multimodal,
OGEFREM en sigle, a besoin d’un réaménagement.
2. CHOIX ET INTERET DU SUJET
2.1. INTERET DU SUJET
En effet, et ce travail recouvre un double intérêt à savoir :
- D’une part, pour nous même d’abord en ce sens qu’il constitue une
entreprise indispensable à la clôture de notre premier cycle et une
démonstration des aptitudes appréciables que nous avons acquis
en informatique plus particulièrement en Réseau suivant les prin-
cipes et méthodes étudiés ;
- D’autre part, pour l’Office de Gestion du Fret Multimodal, OGEFREM en
sigle, institution de notre recherche, dans la mesure où cette étude nous
permettre de connaitre la composition de son réseau et de découvrir ses
failles.
L’intérêt sera perçu au niveau :
- Social et Economique : auxquels nous mettrons à la disposition
des responsables de l’Office de Gestion du Fret Multimodale,
3
IYANANIO SIMON PIERRE, Op. Cité, P .22.
4
Idem
5
REZSOHAZI, théorie et critique des faits sociaux, Ed. La Renaissance du livre, Bruxelles 1997, P.69.
4
6
ILUNGA KABONGO, La recherche scientifique dans une société bloquée, In zaïre Afrique, Nombre 84 Avril
1991.
5
7
MVIBULUKU KALUYIT & KUTANGILA M.D. Importance de la Modélisation d’un logiciel de gestion des travaux
scientifique dans les universités congolaise, cas de GESTEMO in Revue de la Face, 4émé année, nombre, 200,
P .196.
8
MPALA NDAYWEL, impact de la banque à distance dans une banque commerciale, cas de la RAWBANK, TFC
ESMICOM 2012-2013, P. 5.
6
9
MPALA NDAWEL, idem
10
M.GRAWITZ, Méthodes de recherche en science sociales, 11é Edition, Ed Dalloz, paris, 2001, P .181.
7
11
MULUMA MUNANGA, cours de l’initiation à la recherche scientifique et méthodes de recherches en sciences
sociales, 1ér et 2éme graduat, UPC,2003-2004, P.45 Inédit.
8
12
PINTO R. et GRAWITZ M, les méthodes de recherche en science sociales, 4éme Edition, Ed. DOLLAZ, Paris
1971, P. 287.
13
GOODE J. WILLAM, Cité par le professeur SHOMBA KINYAMBA, Méthodologie de recherche science, Ed. MES,
Kinshasa – RDC 2001, P.60.
9
14
Mizonza Dior, cours de réseau informatique1, rtm3/A, iss–KIN, 2018-2019, P5.
11
15
P.Atelien . Réseaux informatique notion fondamentale ,3ém Edition , emi édition , 2009.
C.T : DIOR MIZONZA. Cour de réseaux informatique ; G2 R.T.M, I.S.S / KIN. 2017-2018
Mizonza Dior, cours de réseau informatique, G2 R.T.M, iss–KIN, 2018-2019, P5.
13
I.8. PROTOCOLES
Un protocole correspond à un ensemble formel de règles et
de convention régissant le mode de communication des unités réseau
entre elle. Les connexions à internet font appel à plusieurs protocoles, IP
parmi lesquels nous trouvons les TCP/IP (transmission control Protocol,
Internet Protocol) qui sont les plus largement utilisés.
I.8.1. Modèle de référence OSI
Le modèle OSI (open système interconnection), crée en 1977
par ISO (international standard organisation), définit les différent s
niveaux pour le transfert des données ces niveaux sont appelés couches
ce dernières sont au nombre de sept dont quatre inferieures et trois
supérieure. Elles autorisent toujours un transfert rapide, voire instantané,
de l’information. Ce transfert au cette transaction suit un schéma qui
permet de diminuer les distances entre les systèmes en liaison. Ces
différentes étapes de flux d’informations dans un réseau sont les
suivantes
Couche 1 : Physique
Est chargée pour offrir un support de transmission pour la
communication. Son service est typiquement limité à l’émission et la
réception d’un bit ou d’un train de débit continu (notamment pour le
support synchrones).
Couche 2 : Liaison de données
Elle gère la communication entre deux machines adjacentes,
directement reliées entre elles par un support physique ; cette couche
reçoit les données butes de la couche physique, les organises en
trames, gère les erreurs, retransmet les trames erronées, gère les
acquittements qui indiquent si les données ont bien été transmises pour
transmettre les données formatées à de couche réseau supérieure. En
bref la couche de liaison sert à connecter les machines entre elles sur un
réseau local.
Couche 3 : Réseau
La couche réseau est chargée de la communication de
proche en proche, généralement entre deux machines, ou interconnecter
15
les réseaux entre eux. Elle gère l’adresse, le routage, le contrôle de flux
et la correction d’erreur non réglés par la couche 2. A ce niveau il s’agit
de faire l’envoie d’une formation complète (exemple : programme).
Elle permet donc de transmettre les trames reçues de la
couche 2 en trouvant un chemin vers les destinataires.
Couche 4 : transport
La couche transport donne la garantie que le message est
remis sans erreur, dans l’ordre et sans perte ou duplication. Elle permet
le maintien ainsi que la rupture de connexion. Elle détecte les erreurs de
transmission et vérifie le bon acheminement.
Couche 5 : Session
La couche session gère les connexions tout en déterminant
comment les ordinateurs configurés en réseau doivent communiquer ;
elle assure l’organisation et la synchronisation du dialogue.
Elle permet aussi aux utilisateurs travaillant sur différentes
d’établir entre eux un type de connexion appelée « session ». Une
session offre divers services parmi lesquels nous citons la gestion du
dialogue (suivi de 16la transmission). La gestion du jeton (empêchant
deux participants de tenter la même opération critique au même
moment) et la synchronisation.
Couche présentation
La couche présentation met en forme les données à
présenter à la couche application.
Elle peut être considérée comme le traducteur du réseau.
Cette couche peut convertir un format utilisé par la couche application
dans un format courant au niveau de la station émettrice. Elle convertir
également le format commun dans un format connu pour la couche
application au niveau de la station réceptrice.
16
P.Atelien . Réseaux informatique notion fondamentale ,3ém Edition , emi édition , 2009.
C.T : DIOR MIZONZA. Cour de réseaux informatique ; G2 R.T.M, I.S.S / KIN. 2017-2018
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Couche application
Cette couche est le point de contact entre l’utilisateur et le
réseau. C’est donc elle qui apporte à l’utilisateur les services de base
offerts par le réseau. Comme par exemple le transfert des fichiers, la
messagerie, etc.
I.8.2. TCP/IP (transmission control Protocol/internet Protocol)
TCP/IP désigne communément une architecture réseau,
mais cet acronyme désigne en fait deux protocoles étroitement liés : un
protocole de transport. TCP (transmission control Protocol) et un
protocole réseau, IP (Internet Protocol).
Le mode TCP/IP s’inspire du modèle OSI auquel il reprend
l’approche modulaire en réduisant le nombre à quatre. Les trois couches
supérieures du modèle OSI sont souvent utilisées par une même
application. Ce modelé utilise l’IP comme adresse d’identification unique
pour un hôte sur un réseau IP. Une adresse est un nombre d’une valeur
de 32 bits représenté par 4 valeurs décimales pointées pour la version 4
(IPV4) et 128 bits pour la version 6 (IPV6). Chacune a un point pour
l’IPV4 et par deux points pour l’IPV6.Autrement dit, il est le protocole de
communication standard sur le réseau internet. Il a la particularité d’être
routable3.
I.8.3. IPV4
Est une adresse IP dans la version 4 du protocole IP (IPV4).
Cette adresse permet d’identifier chaque machine connectée sur un
réseau informatique utilisant le protocole IP version 4. Cette adresse est
composée de quatre octets chacun ayant leur valeur décimale comprise
entre 0 et 255 séparés par point.
Exemple : 112.825.156.133
I.8.3.1. IP Privées
Qui sont destinées aux réseaux privées. Elles ne sont pas
routables à l’internet.
Voici les plages d’adresse IP privées.
Classe A : de 10.0.0.0 à 10.25.255.255;
17
Fig.I.4. Commutateur(SWITCH)
I.9.4. Routeur
Un équipement d’interconnexion des réseaux informatique
permettant d’assurer le routage des paquets entre deux réseaux ou plus
afin de déterminer le chemin qu’un paquet de données vas emprunter.
I.9.6. PONT
Est un dispositif matériel ou logiciel permettant de relier deux
réseaux travaillant sur un même protocole.
I.9.7. MODEM
C’est un équipement électronique permettant la conversion
des signaux digitaux dits numérique en des signaux analogiques adaptés
au réseau. Il est plus utilisé pour l’interconnexion de réseau.
Fig.I.8. Modem
Fig.I.9 Imprimante
I.9.9. SERVEUR
C’est un ordinateur puissant choisit pour coordonner,
contrôler et gérer les ressources d’un réseau. On distingue le serveur
dédiés et non dédiés.
20
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P.Atelien . Réseaux informatique notion fondamentale ,3ém Edition , emi édition , 2009.
C.T : DIOR MIZONZA. Cour de réseaux informatique ; G2 R.T.M, I.S.S / KIN. 2017-2018
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I.11. IPV4
Est une adresse IP dans la version 4 du protocole IP (IPV4).
Cette adresse permet d’identifier chaque machine connectée sur un
réseau informatique utilisant le protocole IP version 4. Cette adresse est
composée de quatre octets chacun ayant leur valeur décimale comprise
entre 0 et 255 séparés par point.
I.11.1. IP Privées
Qui sont destinées aux réseaux privées. Elles ne sont pas
routables à l’internet.
Voici les plages d’adresse IP privées :
Classe A : de 10.0.0.0 à 10.25.255.255;
Classe B : de 172.16.0.0 à 172. 31.255.255;
Classe C : de 192.168.0. À 192.168.255.255.
22
I.11.2. IP publiques
Lorsqu’on parle d’IP publique, ce sont des adresses
réservées uniquement à l’internet. Elles sont constituées pour traiter les
autres adresses respectivement afin de router les informations sur
internet.
I.12. Méthodes d’accès
Les méthodes d’accès permettent de règlementer la
circulation des informations dans un réseau et partage les informations
entre les ordinateurs du réseau. Il existe plusieurs méthodes d’accès,
mais nous ne parlerons que de trois.
I.12.1. CSMA/CD
C’est la méthode la plus simple par sa logique de
fonctionnement. Cette possibilité d’accès multiple impose à chaque
station l’écoute et la détection du signal sur le réseau informatique.
I.12.2. Méthode à Jeton
Elle est utilisée normalement dans la topologie en anneau et
en bus. Elle consiste donc à ce que le jeton passe devant une station
pour lui donner la permission de parler. Elles s’arrangent pour éviter les
conflits en donnant à l’avance une autorisation d’émettre (coopération
entre machines) il y a un délai d’attente pour obtenir le jeton, mais il n’y a
pas de collisions c’est-à-dire pas de délais de retransmission.
I.12.3. TDMA
Dans cette méthode, le temps est divisé en tranche attribuée
à chaque nœud, c’est-à-dire qu’une station peut émettre des messages
pendant le temps qui lui est donné. La priorité serra données aux poste
privilège, ici il n’existe pas des collisions.
I.13. INTERNET
L’internet est un réseau informatique publique mondial qui
rend accès au publique des services comme le courrier électronique et
world Wide Web.
23
I.14. Conclusion
Ce chapitre nous a permis de parler et expliquer le
fonctionnement général d'un réseau, de définir quelques concepts
beaucoup plus utilisés en réseaux informations et les services.
24
africains des pays à littoral avait focalisé en priorité ses interventions sur
le maillon maritime de la chaîne des transports.
Aujourd’hui et conformément aux recommandations issues
du consensus de Washington, les missions de l’office de Gestion du fret
Multimodal, OGEFREM en sigle, se recentrent sur la chaîne multimodale
de transport ainsi que l’a consacré le décret no O9/63 du O3 décembre
2009 fixant ses statuts.19
En exécution de sa mission définie ci-haut, l’Office de
Gestion du fret multimodal, OGEFREM en sigle, à la charge notamment :
- D’assurer la régulation de l’accès au fret multimodal sur toute
l’étendue de la République démocratique du Congo ;
- D’engager les consultations et les négociations avec les
transporteurs, les organismes impliqués dans les opérations
d’import-export ou toute autorité intervenant dans le secteur du
transport multimodal en vue notamment, de la détermination des
prix de transport ;
- De faire appliquer et de contrôler l’application effective des prix de
transport intervenant toutes les catégories de marchandises à
l’entrée et à la sortie des frontières congolaises et d’établir la
balance actuelle de fret.
L’office de Gestion du fret Multimodal, OGEFREM en sigle ,
a donc compétence pour gérer sur le territoire national et dans les
principaux corridors de désenclavement , l’ensemble de charge qui
consistent le fret national à l’import et à l’exportation .
2.4. HISTORIQUE
Créé, par ordonnance n° 80/256 du 12 novembre 1980
comme « entreprise publique », l’Office de Gestion du Fret
Maritime (« OGEFREM » en sigle), a été transformé par le décret n°
09/63 du 03 décembre 2009 fixant ses Statuts, en « Etablissement
Public » à caractère administratif et technique, doté de la personnalité
juridique, appelé « Office de Gestion du fret Multimodal ».
20
Office de Gestion de Fret Multi Modal (OGEFREM).
28
La Direction de finance ;
La Direction chargée de mission ;
La Direction technique
La Direction de marketing ;
La Direction Contrôle de Gestion ;
La Direction de Recouvrement
31
CONSEIL D’ADMINISTRATION
DIRECTION GENERALE
SECRETARIAT DG
Assistant chargé des Assistant chargé des Collège des Conseillers Chargé de
questions administratives questions techniques
Juridiques Mission
DFM DTF DFAC DANTI DPM DEP DRH DSG DFIN DOCG DAI DPO DRKK DRSKM DPNK DREP
M
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ul et et o rô it a er E m à à S e a er onne at sti n o G ni t t é ini oi é ini é is A G A B - B E
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2.9.6. Ressources
2.9.6.1 Ressources humaines
Ici, nous présentons deux sortes des ressources :
a) Ressources internes
De façon idéale, le personnel chargé de la gestion des
archives doit être qualifié. Les membres du personnel responsables d’un
service d’archives doivent être titulaires d’un diplôme universitaire de
premier cycle comportant un certificat en archivistique ou d’une maîtrise
en histoire ou en sciences de l’information avec une spécialisation en
archivistique.
En général, l’archiviste doit être appuyé dans ses tâches par
un ou des techniciens en documentation et par un ou des commis.
Pour assurer la gestion adéquate de ses documents et de ses archives,
l’organisme doit disposer de ressources de qualité et en quantité
suffisantes. En conséquence, il est recommandé d’investir dans la
gestion des archives en tenant compte de l’équilibre entre les besoins
établis et les ressources disponibles.
b) Ressources externes
L’entreprise pourra aussi choisir d’engager des firmes de
consultants pour réaliser certaines activités liées à la gestion des
archives, par exemple l’élaboration d’un calendrier de conservation.
Les firmes de consultants ont l’avantage de posséder une
bonne connaissance des milieux administratifs.
Aussi, le recours à ces ressources externes peut s’avérer
judicieux quand le personnel en place n’a ni la formation ni l’expérience
nécessaire.
Le service d’archives de l’organisme devra de s’assurer de la
formation continue afin d’aider les usagers à mettre les outils
documentaires en application.
Les recommandations suivantes sont destinées à faciliter
l'adaptation aux changements :
35
- Deux Administrateurs ;
- Deux directeurs ;
- Un représentant du personnel de l’entreprise.
Toutes fois, avec l’avènement de L’alliance des Forces
Démocratiques pour la libération en mai 1997, le comité de gestion a
connu une légère restructuration par laquelle la fonction de DGA a été
provisoirement établir.
Ce comité prépare les comptes économiques et financiers de
l’office.
Il divise et surveille l’ensemble des services et peut à son
tour conférer des délégations de pouvoirs à un ou plusieurs agentes de
l’entreprise.
Le comité de gestion propose, au conseil d’administration, le
cadre et le statut du personnel qui sont soumis à l’approbation des
ministères de tutelle.
2.9.8. La délégation générale
Elle est composée de l’ADG et de son cabinet. Elle constitue
la tête du comité de gestion et demeure le cerveau-moteur de l’office.
Elle a pour mission d’assurer la coordination politique et la gestion
administrative, technique et financière de L’OGEFREM, en appliquant
des instructions et directives des instances supérieures à savoir :
- Le Gouvernement ;
- Le Ministères de tutelle ;
- Le Conseil d’administration ;
- Le Comité de gestion.
La délégation générale organise, à des intervalles réguliers,
des sessions d’évaluation des activités de L’Office.
Dans la gestion journalière, la délégation générale se fait
assister par les départements centraux et provinciaux, lesquels sont
subdivisés, le cas échéant en agences, services, bureaux et postes.
Parmi eux, on note notamment à Kinshasa, siège de
L’OGEFREM, les départements centraux ci-après :
37
22
Direction de Ressources Humaines de l’OGEFREM, 2019
42
23
Dido MBUYAMBA MULUMA, Op.cit. P.15
44
24
MIZONZA DIOR, Notes de Cours de séminaire informatique, G3 RTM, ISS/KIN 2018-2019.
51
25
Source : Bureau d’Administration réseau
52
Suite aux remarquent émise cités ci- haut, c’est pour rendre
la gestion du parc informatique comme un système informatisé pour une
gestion saine, efficace et efficiente en temps record.
3.11. Conclusion
Il a été question dans ce chapitre de savoir l’évolution de
l’office du fret multimodal, en sigle OGEFREM. D’examiner les matériels
du parc information et enfin de le proposé un nouveau système
informatique pour améliorer l’entreprise.
Nous avons donc parlé de manière descriptive de cette
entreprise.
55
CONCLUSION GENERALE
Aujourd’hui, les équipements du réseau informatique pour
une entreprise sont devenus indispensable.
Car création des matériels de réseau informatique au sein
d'une entreprise a pour but d'apporter une efficacité et une performance
de toute l'activité de l'entreprise et ce afin d'augmenter la productivité du
personnel, d'accroître le chiffre d'affaire et de multiplier le profit.
Ceci n'est possible que si on assure un bon fonctionnement
de tout le système informatique. C'est le Centre Informatique qui en est
le premier responsable devant la Direction Générale de l’entreprise.
Notre travail, nous pouvons affirmer que les services offerts
par le nouveau système de communication répondront bien aux attentes
de l’Office de Gestion du Fret Multimodal, OGEFREM en sigle, qui n’a
pas cessée de souhaiter que ses transactions s’effectuent en toute
fiabilité, rapidité et sécurité.
Ainsi, l’informatique étant sans cesse en évolution, la solution
que nous venons de proposer reste ouverte au perfectionnement de la
technologie informatique, le souhait étant toujours l’obtention de la
meilleure solution possible qui puisse s’adapter aux possibilités
financières de l’entreprise.
Pour finir, Bien gérer système informatique c’est aussi bien
gérer le capital informatique de la société et ainsi réduire les coûts,
satisfaire les utilisateurs, optimiser les ressources internes, imposer une
certaine démarche qualité.
56
BIBLIOGRAPHIE
OUVRAGE
1 GOODE J. WILLAM, Cité par le professeur SHOMBA KINYAMBA,
Méthodologie de recherche science, Ed. MES, Kinshasa – RDC
2001.
2 ILUNGA KABONGO, La recherche scientifique dans une société
bloquée, In zaïre Afrique, Nombre 84 Avril 1991.
3 ILUNGA KABONGO, La recherche scientifique dans une société
bloquée, In zaïre Afrique, Nombre 84 Avril 1991.
4 M. GRAWITZ, Méthodes de recherche en science sociales, 11é
Edition, Ed Dalloz, Paris, 2001.
5 MVIBULUKU KALUYIT & KUTANGILA M.D. Importance de la
Modélisation d’un logiciel de gestion des travaux scientifique dans
les universités congolaise, cas de GESTEMO in Revue de la Face,
4émé année, nombre, 2000.
6 PINTO R. et GRAWITZ M, les méthodes de recherche en science
sociales, 4éme Edition, Ed. DOLLAZ, Paris 1971.
7 REZSOHAZI, théorie et critique des faits sociaux, Ed. La
Renaissance du livre, Bruxelles 1997.
NOTE DE COURS
1. DIDO MBUYAMBA MULUMA, Cours de Méthode d’analyse
informatique, 2éme Graduat informatique, ISC GOMBE, 2015.
2. MABELA ROSTIN & ZINGA BILA V., Cours d’informatique générale,
1ére Graduat Réseaux et technique de maintenance, ISS/KIN,
2016-2017, inédit.
3. MBANZA JACKSON, Cours de Télécommunication, 2éme Graduat
Réseaux et technique de maintenance, ISS/KIN,2017-2018, Inédit.
4. MIZONZA BANTIKO D. Notes de cours de séminaire informatique,
Troisièmes graduat, Réseau et technique de maintenance, ISS/KIN,
2018-2019.
5. MULUMA MUNANGA, Cours de l’initiation à la recherche
scientifique et méthodes de recherches en sciences sociales, 1ér et
2éme graduat, UPC,2003-2004, P.45 Inédit.
6. SIMON PIERE, Cour de l’initiation à la recherche scientifique, G2
R.T.M ISS/ KIN – 2017-2018
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