UNIVERSITÉ CATHOLIQUE DU CONGO

FACULTÉ DES SCIENCES INFORMATIQUES

B.P. 1534
KINSHASA /LIMETE

CREATION D’UNE APPLICATION POUR LA GESTION

DES ATTESTATIONS DE DROIT DE PROPRIETE
« Cas de la maison communale de Kalamu »

Par

NZANZU KOLONGO Franck

Travail de fin de cycle présenté en vue de l’obtention du

Diplôme de Licence en Gestion informatique

Directeur : Prof. Dr. Efrem MBAKI LUZAYISU

Année académique : 2022 - 2023

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i. Dédicace

A mes très chers et respectueux parents KASEREKA MULEWA Delliance et SANGALA

KATSEMIRE Furaha, nulles dédicaces ne peuvent exprimer ce que je leur dois, par leurs prières,
leurs patiences en moi, ils ont tous faits pour mon bonheur et ma réussite. Qu’ils veuillent trouver
dans ce travail le fruit de leurs sacrifices illimités, la preuve de mon amour envers eux et ma
gratitude éternelle.
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ii. Remerciements

J’aimerai exprimer une absolue gratitude à Dieu, Père de tout et généreux Maitre pour le don de
Vie, la grâce reçue d’arriver jusqu’à ce stade de mon cursus universitaire. Les mots ne sauraient
exprimer la quasi-totalité de ma reconnaissance.

Je tiens à remercier aussi mon directeur, le professeur Efrem MBAKI LUZAYISU pour sa
disponibilité et sa dévotion. Il a été pour moi un bon guide pour la rédaction de ce travail.

A mon père, KASEREKA MULEWA Delliance, je dis un grand merci, lui qui a toujours été
une source d’inspiration en ce qui concerne le don de soi au travail acharné et la quête de la
meilleure version de soi-même. Merci de m’avoir souvent poussé à ressortir le meilleur de moi.

Merci à mon altruiste maman, SANGALA KATSEMIRE Furaha, pour avoir toujours été là pour
moi, merci de toujours croire en moi et de me soutenir, cela m’a toujours donné confiance en moi.

A mes frères et sœurs : KAPAKASI Trésor, KAKURUSI Inès, KAMBALE Deogracias,

KAHINDO Deborah et MUYISA David pour leurs encouragement et soutien inconditionnel.

Merci également aux membres de ma famille : mes oncles, tantes, cousins, cousines… Tous
vous avez votre apport auprès de moi, Je vous en suis reconnaissante.

A mes très chers amis : KIKO Johnny, MBU Voldi, LUZOLO Prince, MISELE Bob,
KAJIBALE Rombaut, NSONGI Louange, MASANGA Chancelvie, LUSAVANA Heloïme,
UMBA Dieuleveut et ATANGA Dieudonné tant à dire de vous, mais le papier est petit, Soyez béni.

Je voudrais remercier mes collègues, ma base, celles qui ont chacune une place spéciale dans ma
vie : ISSA Laurel, ISSA Miriam, ISSA Nathalie, NDOVYA Wilson, DIANGANA Davina,
BIKENGE Tina, AMURI David, KAPUYA Franck. Votre soutien m’a toujours été vital et
important.

A tous ceux dont les noms n’ont pas été cités qu’ils trouvent ici l’expression de notre profonde
reconnaissance.
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iii. Résumé

Une attestation de droit de propriété atteste de l’appartenance d’un bien à une personne ou à une
entreprise. En d’autres termes, il est important de posséder une attestation de droit de propriété
pour pouvoir prouver l’appartenance d’un bien en cas de litige ou de contestation.
Parmi ces attestations, nous pouvons citer : un acte de vente, un titre de propriété, un contrat de
location, etc. Une bonne gestion de ces attestations suppose une maîtrise de quelques activités dont
la conservation des documents, la gestion des dossiers et la communication des informations.
Il s’agit dans ce travail de construire une solution informatique comme support à la bonne gestion
numérique de ces droits de propriété.
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iv. Mots-clés

Création ;
Application ;
Gestion ;
Attestation ;
Droit ;
Propriété
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v. Sigles et abréviations

ACP : Attestation de Confirmation Parcellaire ;

ADP : Attestation de Droit de Propriété ;
ANR : Agence Nationale de Renseignement ;
BDD : Base De Données ;
CSS : Cascading Style Sheets ;
DGM : Direction Générale de Migration ;
FP : Fiche Parcellaire ;
HTML : Hyper Text Markup Language ;
LAN : Local Area Network ;
LMD : Langage de Manipulation de Données ;
MCD : Modèle Conceptuel des Données ;
MCT : Modèle Conceptuel des Traitements ;
MLD : Modèle Logique des Données ;
MLT : Modèle Logique des Traitements ;
MOD : Modèle Organisationnel des Données ;
MOT : Modèle Organisationnel des Traitements ;
MPD : Modèle Physique des Données ;
MPT : Modèle Physique des Traitements ;
MERISE : Méthode d’Etude et de Réalisation Informatique pour les Systèmes d’Entreprise ;
PNC : Police Nationale Congolaise ;
RDC : République Démocratique du Congo ;
SGBD : Système de Gestion de Base de Données ;
SI : Système d’information ;
SQL : Structured Query Language ;
ULT : Unité Logique de Traitement
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vi. Liste des figures

Figure 1 : Organigrammes générale ;

Figure 2 : Organigramme spécifique ;
Figure 3 : Modèle conceptuel des données ;
Figure 4 : Modèle conceptuel de traitement ;
Figure 5 : Modèle logique de données ;
Figure 6 : Modèle logique de traitement ;
Figure 7 : Modèle physique de traitement ;
Figure 8 : Présentation page d’ouverture Xampp ;
Figure 9 : Interface de connexion ;
Figure 10 : Interface d’utilisation ;
Figure 11 : Interface de propriétaires ;
Figure 12 : Interface de paiements ;
Figure 13 : Interface de parcelles ;
Figure 14 : Interface des attestations de droit de propriété ;
Figure 15 : Interface d’impression des attestations de droit de propriété ;
Figure 16 : Modification ;
Figure 17 : Suppression
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vii. Liste des tableaux

Tableau 1 : description d’une attestation de droit de propriété ;

Tableau 2 : description d’une attestation de confirmation parcellaire ;
Tableau 3 : description d’une fiche parcellaire ;
Tableau 4 : Schéma de circulation de l’information ;
Tableau 5 : Modèle organisationnel de données ;
Tableau 6 : Modèle organisationnel de traitement ;
Tableau 7 : Table attestation ;
Tableau 8 : Table propriétaire ;
Tableau 9 : Table posséder_2 ;
Tableau 10 : Table nationalité ;
Tableau 11 : Table paiement ;
Tableau 12 : Table parcelle ;
Tableau 13 : Table catégorie ;
Tableau 14 : Table fonction AG ;
Tableau 15 : Table téléphone ;
Tableau 16 : Table agent.
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1. INTRODUCTION

Depuis la découverte des ordinateurs, de nombreuses activités quotidiennes ont été simplifiées.
Aujourd'hui, les individus peuvent facilement traiter l'information à l'aide de logiciels
informatiques et d'Internet.
Compte tenu de son évolution, ce système est caractéristique de la plupart des grandes entreprises,
quel que soit leur domaine d'activité.
En fait, les informaticiens visent à étendre cette technologie à tous les domaines de la vie des gens.
L'informatique utilise de nombreux outils pour transférer des informations. En fait, l'informatique
est un outil de recherche qui permet d'accéder facilement et rapidement à des informations dans
divers domaines.
1.1 Contexte de la recherche

Le contexte de la recherche est un élément essentiel, en particulier lors de la formulation des

questions de recherche scientifique. Dans notre cas, le parcours constitue une sorte de miroir dans
le cadre des travaux de fin de cycle en informatique. En d'autres termes, un contexte est un objet
bien poli dans lequel nous formons, par réflexion, une image de l'idée sous-jacente. L'étude de
gestion des certificats de titre a pour objectif de fournir des outils pour faciliter et gérer plus
efficacement la preuve et le titre des actifs corporels et incorporels. La recherche sur la gestion
des preuves de propriété traite de la manière d'appliquer des méthodes et des technologies pour
rendre les processus de gestion des preuves et des droits de propriété plus efficaces, sécurisés et
légaux.
Elle s'intéresse aux technologies de pointe qui peuvent être utilisées pour automatiser les
processus et à l'utilisation de systèmes informatiques et informatiques distribués pour protéger les
preuves et les biens. Nous examinons également diverses autres technologies telles que la
blockchain et les réseaux sans fil qui peuvent être utilisées pour sécuriser la propriété d'actifs
corporels et incorporels.

1.2 Problématique

Un problème fait référence à toute question que la science ou un scientifique pose dans un domaine
particulier1. On peut dire que la problématique est un ensemble d'idées qui déterminent la situation
du problème causé par l'objet de recherche.
Après être entré dans le domaine de la recherche, nous avons constaté que les problèmes suivants
ne sont pas propices à une gestion rationnelle des titres dans le système actuel :

1
Rey, A. – Rey-Debove, J., Le petit Robert de la langue française. Paris, Normandie Roto, 2021, p.2880
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- Absence de preuve de paiement

- Manque de sécurité et de centralisation des informations liées à la gestion des titres.
Après ces quelques difficultés évoquées plus haut, nous nous sommes posé la question suivante :
Quelle solution mettre à la disposition des décideurs pour optimiser la gestion des certificats de
propriété ?
Comment sécuriser et centraliser toutes les données de soins hospitaliers pour les partager et les
connecter ?

1.3 État de la question

Le travail que nous présentons n’est pas à sa première exploitation. Certains auteurs avant, ont eu
à traiter des sujets similaires :
C’est ainsi que dans son travail intitulé « création d’une application pour la gestion des attestations
de droit de propriété », cas de la maison communale de Kalamu, l'étudiant KAPULA MUKEBA
Arnold2 s’est posé la question suivante :
Comment aider le service de la population à gérer rationnellement les données des attestations de
droit de propriété ?
Pour répondre à son interrogation, il a poussé l’argument suivant : la création d’une application
pour la gestion des attestations de droit de propriété permettrait de mettre fin aux différents
problèmes que rencontre l’existant.
Dans son travail intitulé « conception et réalisation d’une application de gestion de l’octroi de titres
parcellaires » cas du cadastre de la ville de Kisangani, l’étudiant HEMEDI KAPELE Nathan3 s’est
interrogé :
Existe-t-il un système informatique pour stocker les données liées aux fichiers batch ?
Quels sont les avantages et les inconvénients du système de gestion d'allocation de blocs
actuellement utilisé ?
Comment pouvons-nous contribuer à améliorer et améliorer le système actuel ?
Comme hypothèse, il a proposé la conception et réalisation d’une application de gestion de l’octroi
des titres parcellaires qui serait une meilleure solution.

2
KAPULA. A, Création d’une application pour la gestion des attestations de droit de propriété, cas de la maison
communale de Kalamu, ISC-Kin, 2014-2015. p.20, TFC inédit.
3
HEMEDI. N, Conception et réalisation d’une application de gestion de l’octroi de titres parcellaires, cas de cadastre
de la ville de Kisangani, ISC-Kisangani, 2016-2017. P.16, TFC inédit.
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Le point convergeant entre le travail et ceux des autres précités est le recours aux techniques
informatiques pour résoudre les failles de nos existants respectifs.
La démarcation avec les auteurs précités se trouve au niveau de la structure utilisée par la base de
données. Contrairement aux leurs, la base de données est partagée dans une structure réseau de la
classe LAN afin de centraliser et d’unifier les données de gestion d’attestations de droit de
propriété.
1.4 Objectif et intérêt du travail

1.4.1 Objectif

L’objectif de ce travail est d’amener une amélioration dans la gestion des attestations de droit de
propriété, cas de la maison communale de Kalamu par la mise en place d’une base de données qui
serait en mesure de répondre aux besoins des utilisateurs.

1.4.2 Intérêt du travail

Ce sujet présente un intérêt à trois dimensions, à savoir :

1. Intérêt personnel

Ce sujet est d’un intérêt personnel immense pour l’étudiant finaliste que nous sommes, ainsi, il
nous permet d’évaluer nos capacités acquises durant ces trois années de formation, en les mettant
en pratique dans un environnement autre que l’université.

2. Intérêt professionnel

Ce sujet est d’une grande importance du point de vue professionnel, non seulement pour les
informaticiens, mais plus particulièrement pour la maison communale de KALAMU car il lui
permettra de gérer efficacement les données relatives la gestion des attestations de droit de
propriété.
3. Intérêt scientifique

Ce sujet devra constituer une source d’inspiration et un outil de consultation enfin de faire évoluer
la recherche dans le domaine de la gestion des attestations de droit de propriété.
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1.5 Hypothèse (s)

Au regard de la question posée au niveau de la problématique, nous pensons qu’il serait

souhaitable de mettre en place une application informatique qui répondrait automatiquement aux
préoccupations soulevées dans la problématique.
Cette application serait installée sur un poste faisant office de serveur dans une structure de
réseau LAN afin de résoudre les problèmes posés à la problématique.

1.6 Méthodologie

1.6.1 Méthode

Pour notre travail, nous avons opté pour les méthodes suivantes :
▪ Méthode structuro-fonctionnelle
Imaginée entre-autre par le sociologue américain Talcott PARSONS, cette méthode vise à
imprimer dans l’esprit de l’enquêteur des impératifs fonctionnels et structurels, Indispensables au
maintien de tout système.
Cette méthode nous a été d’un grand intérêt, car elle nous a permis d’analyser l’existant et de
comprendre son fonctionnement.
▪ Méthode analytique
Elle nous a permis de décomposer l’objet de notre étude en ses éléments constitués, afin de mieux
les étudier.

1.6.2 Technique (s)

Pour le cas de notre travail, nous avons fait usage aux techniques suivantes :
▪ Technique documentaire
Elle nous a permis de consulter certains ouvrages, publications et documents officiels en rapport
avec notre sujet.

▪ Technique d’interview
La technique d’interview est un jeu de questions réponses auquel nous nous sommes livrés avec
les personnels permanents de la maison communale en vue de connaitre l’existant et d’en tirer les
réponses recherchées.
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▪ Technique d’observation directe

Nous avons été très nécessaires, car grâce à elle, nous avons pu obtenir des réponses favorables à
nos différentes interrogations et préoccupations grâce à notre présence sur terrain.

1.7 Subdivision du travail

Hormis l’introduction et la conclusion, ce travail est subdivisé en trois chapitres :

Chapitre 1 : Notions fondamentales et théoriques
Chapitre 2 : Cadre méthodologique
Chapitre 3 : Production du logiciel et interprétation des résultats
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2. CADRE THEORIQUE ET CONCEPTUEL

Dans ce présent chapitre, nous allons donner les idées pour une compréhension générale aux
concepts et généralités en rapport avec notre étude, à savoir : la théorie sur la gestion des
attestations et les concepts-clés.

2.1 Théories

La gestion des attestations de droit de propriété fait référence à la procédure pour enregistrer et
gérer les preuves de la propriété légale d’un bien immobilier. Cela peut inclure la collecte et la
vérification des documents pertinents, la mise à jour des enregistrements de propriété et de la
communication avec les parties intéressées, telles que les autorités fiscales et les acheteurs
potentiels. Il est important de gérer efficacement les attestations de propriété sont correctement
enregistrés et protégés.

2.2 Concepts-clés

2.2.1 Création

La création c’est l’action de donner l’existence, de créer4.

2.2.2 Application

L’application c’est un programme assez important, vu sous l’angle de la tâche qu’il est censé
mener à bien5.
L'application est le fait d'appliquer, de placer, d'étendre quelque chose à un autre, pour qu'il y
adhère6.

4
https://dictionnaire.lerobert.com/definition/creation
5
Jargon informatique, version électronique
6
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/application
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2.2.3 Gestion

Le terme gestion peut être défini comme science de l'action utilisant des méthodes et des résultats
de sciences pour conduire les organisations, c'est-à-dire pour les rapprocher de leurs objectifs7.

2.2.4 Attestation

Les attestations sont des documents légaux ou officiels qui certifient ou confirment un fait, une
situation ou une qualification8.

2.2.5 Droit

Le droit est un ensemble de règlements ou de directives interprétatives qui régissent le statut des
personnes et des biens, ainsi que les relations entre personnes publiques ou privées, à un moment
donné et dans un pays9.

2.2.6 Propriété

La propriété est le droit légal et exclusif de posséder, contrôler et disposer d'un bien, qu'il s'agisse
d'un bien matériel ou immatériel10.

7
DOBARD J.P., Gregory P., Gestion, ed. Dalloz, Paris 1995, p.4
8
https:// www.larousse.fr/definition/attestation
9
https://www.dictionnaire-juridique.com/definition/droit.php/
10
https://dictionnaire.lerobert.com/definition/propriete
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2.3 Conclusion partielle

Dans cette première partie de notre travail, il était question de donné un aperçu global sur la notion
fondamentale à notre objet d’étude. Ainsi, nous l’avons divisé en deux parties : la première à abordé
sur la théorie sur la gestion des attestations et le deuxième se pencher sur le concepts-clés.
Nous pouvons dire que la gestion des attestations dépend de nombreux facteurs, tels que le type
d’attestation, le but pour lequel elle est utilisée et les réglementations en vigueur. Il est important
de gérer les attestations de manière efficace et organisée, en veillant à ce qu’elles soient exactes, à
jour et accessible aux parties appropriées. La technologie peut aider à simplifier le processus de
gestion des attestations, en permettant un stockage centralisé et une vérification facile. Il est
également important de veiller à la sécurité des attestations et à la protection des données
personnelles impliquées.
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3. ANALYSE DE L’EXISTANT

3.1 Analyse préalable

3.1.1 Historique

La commune de Kalamu fut reconnue en tant qu’entité administrative par l’arrêté n° 21/429 du 12
octobre 1957 portant fixation des noms et des limites des Communes et des Zones annexes de la
Ville de Léopoldville (Kinshasa).

3.1.2 Situation géographique

La commune de Kalamu est limitée à :

• Au nord : près des communes de Kinshasa et Barumbu, à travers le canal Kasa-vubu
(anciennement Pont Cabu) et la rivière Funa ;
• Au sud : par la commune de Makala par les rues Luanza et Kikwit ;
• Est : la commune de Limete, où elle borde le boulevard Lumumba et l'avenue de l'université ;
• A l'ouest : Kasa-vubu et rue Ngiri-ngiri Kasa-vubu et rue Elengesa.

3.1.3 Cadre légal

Elle est actuellement régie en partie par : le décret- loi n ° 081 du 2 juillet 1998 portant
organisation territoriale et exécutive de la République démocratique du Congo, tel que
modifié et complété par le décret n °081/2001 du 28 septembre 2001 ; Règlement n ° 081 du
2 juillet 1998 portant statut des autorités chargées de l’administration des circonscriptions
régionales.
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3.1.4 Structure organisationnelle

BOURGMESTRE
SERVICES SPECIAUX

ANR BOURGMESTRE ADJOINT

POLICE
CHEF DE BUREAU
DGM
SECRETARIAT COMMUNAL SERVICES TECHNIQUES

ANTENNE. FONCT.P/Actifs

PERSONNEL CENTRE D’ORDONNACEMENT :

- FINANCES ET COMPTABLES ANTENNE. FONCT.P/Retraite
CONTENTIEUX - BUDGET ET CONTOLE

ETAT- CIVIL

POPULATION

SUBDIVISION ADMINISTRATIVE

Q/Matonge I Q/Kauka III Q/Yolo Sud III Economie Aff. sociale Urbanisme

Q/Matonge II Q/Yolo Nord I Q/Yolo Sud IV I.P.M.E Culture & Art Habitat

Q/Matonge III Q/Yolo Nord II Q/Pinzi Commerce et Ext Genre Fem. &Enf Tourisme

Q/Immocongo Q/Yolo Nord III Q/Kimbangu I Energie Jeunesse Travaux Publics

Q/Kauka I Q/Yolo Sud I Q/Kimbangu II Environnement Sport & Loisir Transports

Q/Kauka II Q/Yolo Sud II Q/Kimbangu III Dévelop. Rural Hygiène Agri- veter.

Figure 1 : Organigramme générale

Source de Provenance : Secrétariat de la commune de KALAMU 2020
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A. Description des taches de l’organigramme générale

Il est divisé en trois parties :

1. LE COLLEGE EXECUTIF COMMUNAL

a) Le Bourgmestre : Première personnalité de l’organe de commandement de la

Commune, il est chargé de l’exécution des lois, décrets, règlements et arrêtés de
l’Etat, de la Région, de la Communauté, du Conseil provincial ou du Collège
provincial, à moins qu’elle ne soit formellement attribuée au Collège Communal ou
au Conseil communal (documentation disponible sans déplacement à
l’Administration communale pendant les heures d'ouverture des bureaux). Il détient
aussi autorité en matière de police administrative sur le territoire de la commune. Il
dispose, sur requête motivée du Président du Conseil de l’Action sociale, d’un droit
de réquisition de tout immeuble abandonné depuis plus de 6 mois en vue de le mettre
à la disposition de personnes sans abri.

b) Le Bourgmestre adjoint : Seconde personnalité de l’organe de commandement

de la Commune, il est le bourgmestre faisant fonction, en absence du Bourgmestre
principal, et ce, par délégation des pouvoirs par ce dernier. Lorsqu’il fait usage
d’une délégation de signature, il signe sous la mention : « Pour le bourgmestre et
par délégation, le bourgmestre adjoint ».

c) Chef du Bureau : Il est troisième autorité communale, il remplace deux

précédentes en cas d’empêchement ou d’absence ; il est responsable de
l’administration communale ; il coordonne tous les services de la commune.

2. LES BRANCHES SPECIALES (SERVICES SPECIALES)

Nous avons 3 branches spécialisées à la commune qui sont :

- Agence Nationale de Renseignement (ANR) : Elle est un service de sécurité qui opère dans
l’ombre.
- Direction Générale de Migration (DGM) : Elle gère les mouvements de la population en
termes d’entrée et sortie du territoire national.
- La Police Nationale Congolaise (PNC) : Elle veille au maintien et rétablissement de l’ordre
public. Elle est à la disposition du bourgmestre.
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3. SERVICES A VOCATION ADMINISTRATIVE ET JURIDIQUE

a) Secrétaire : remplace le chef de bureau en cas d’empêchement. Réceptionne les courriers

mis à la disposition du bourgmestre, et expédie toutes les correspondances de la
municipalité.
b) Le service du personnel : Autrement appelé Collectif de travail, ce service gère
l’ensemble des ressources humaines du bâtiment administratif, en définissant la politique
d’embauche et s’occupant de la paie des agents de la Maison communale.
c) Le service des contentieux : C'est un service administratif qui s'occupe de l'arbitrage des
conflits ou des litiges entre les administrés.
d) Le service de l’état-civil : Elle renforce la place des personnes dans la société en assurant,
d'une certaine manière, que les grands événements de la vie citoyenne soient interpellés et
médiatisés. Il enregistre les documents prouvant l'état civil, notamment les actes de
naissance, de décès, de mariage et de divorce, ainsi que les extraits d'actes de naissance et
les actes des personnes non mariées.
e) Le service des petites et moyennes entreprises et artisanales (PMEA) : Ce service
s'occupe du recensement, de l'activité économique et du suivi de leurs activités (boulangerie,
magasin, chambre froide, etc.).
f) Service Urbanisme : urbanisme veille aux normes urbanistique de la population de la
commune ; en dehors de cette mission, le service d’urbanisme délivre des documents ci-
après :
- Les attestations de propriétés ;
- Le PV de constant de Lieu ;
- Les autorisations de débuter des travaux ;
- L’enregistrement de dives autorisations de bâtir et occupation délivrée par la Division
Urbaine de l’Urbanisme et Habitat ;
- Exécution du plan local d’aménagement ;
- Protection des sites en prises de l’Etat et espaces vert (terrain).
g) Service d’habitat : ce service a pour rôle de régler les conflits locatifs, en l’occurrence
ceux ayant trait à la coexistence des rapports entre d’une part les bailleurs de et d’autre part
les locataires, suivant instructions et coutumes de la ville publiée par l’autorité Urbaine
conformément aux lois règlements en vigueur.
h) Le service d’environnement et d’assainissement : Le service d'environnement
s'occupe de la protection de la nature, des sites touristiques, des parcs nationaux, etc. Le
service d'assainissement est responsable des eaux usées dans toute la commune.
i) Le service des affaires sociales : Ce service s'occupe des problèmes sociaux des
étrangers et des administrateurs de la commune. Il s'occupe de la surveillance des cas
d'enfants abandonnés et oisifs, des cas pauvres, des cas de décès, des personnes âgées et des
analphabètes. Il autorise également les écoles privées, les églises, les associations, divers
événements et autres installations.
j) Service des travaux publics Aménagement du Territoire : S’occupe de l’entretien
de l’étendue de la commune.
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k) Le service du tourisme : Ce service s'occupe de la gestion de la mobilité des habitants

de la commune.
l) Le service d’hygiène et de santé publique : C'est un service qui s'occupe de la
surveillance et de l'examen des employés dans les établissements commerciaux classés, à
savoir ; Hôtels, bars, boulangeries, formation médicale et manipulation des aliments dans
les marchés et boucheries de la ville.
m) Le service des sports et loisirs : Il a pour mission : promouvoir l’éducation civique et
sports.

B. Quartiers

▪ Matonge I, II et III ;
▪ Kauka I, II et III ;
▪ Kimbangu I, II et III ;
▪ Pinzi ;
▪ Immo-Congo ;
▪ Yolo :
• Yolo-Nord I, II, III ;
• Yolo-sud I, II, III et IV

3.1.5 Mission de l’entreprise

La mission de la commune de Kalamu est la suivante :

• Veiller à l’appellation des lois, arrêtés, règlements, décisions ;
• Définir les conditions de mise en œuvre de l’action communale au-delà de procédures
fixées par la population vis-à-vis de la structure de l’Etat par un service de qualité, fiable,
efficient, et contenu.
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3.2 Etude détaillée

3.2.1 Postes de service et organigramme

3.2.1.1 Poste de service

- Chef de service : Il est l’autorité administrative numéro une du Service de la Population,

s’occupant du bon déroulement des activités au sein du Service, faisant le pont entre le
Secrétariat communale et le Service de la Population. Il décide de la continuité ou la rupture
de circulation d’un document, par des annotations, sa signature, et son visa d’approbation.
- Chef de service adjoint : Il s’agit de l’autorité administrative qui supplée le Chef du
Service de la population, dans l’exercice et l’accomplissement des fonctions de ce dernier.
- Chef de cellule du fichier central : Ces postes sont impliquées dans la gestion du
mouvement démographique au niveau d’une Commune donnée, mais aussi dans l’octroi ou
le refus d’octroi de certains documents, dont les attestations de bonne vie, mœurs, et
civisme, les attestations de droit de propriété, les attestations de confirmation parcellaire,
etc.
- Codificateurs recenseurs de la population : Il s’agit des postes chargées des
statistiques descriptives du nombre de la population dans une commune, en attribuant des
codes d’identification à chaque citoyen(ne).
- Rédacteurs des divers documents : Il s’agit des postes qui s’occupent de la rédaction
des divers documents ayant à la gestion de la population, dont les actes dits, les rapports de
faits, les procès-verbaux, les dépositions ou témoignages, etc.
- Chef de cellule d’archives : Ces postes impliquent les personnes chargées de conserver
en archives divers documents provenant du reste des postes du Service de la population,
dont en particulier, les exemplaires de documents produits en double, ou en triple.
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3.2.1.2 Organigramme

Chef de service de la
population

Chef de service Adjoint

Chef de cellule du Codificateurs

fichier central recenseurs

Chef de cellule Rédacteurs des

d’archives divers documents

Figure 2 : Organigramme spécifique

Source de Provenance : Secrétaire du service de la population

3.2.2 Documents utilisés dans différents services

La tenue de la gestion des attestations de droit de propriété ne peut se faire sans la tenue de certains
documents dont l’importance n’est pas à démontrer.
Les documents récences ci-après sont ceux utilisés dans la gestion quotidienne de gestion des
attestations de droit de propriété à la maison communale de Kalamu. Il s’agit de:
➢ Attestation de droit de propriété
➢ Attestation de confirmation parcellaire
➢ Fiche parcellaire
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1. Attestation de Droit de Propriété (ADP)

A. Définition

L’attestation de droit de propriété est un document qui permet au certificat qu’une parcelle
appartient à un propriétaire.
B. Tableau descriptif du document

Code Rubrique Nature Taille Observation

Dat Date AN 10
Serv Service AN 40
NumADP Numéro AN 20
attestation de
droit de
propriété
NumCP Numéro AN 20
confirmation
parcellaire
Identité de l’agent
Nom Nom AN 20
Post Post-nom AN 20
Pren Prénom AN 20
Fonct Fonction AN 25
Identité du propriétaire
Nom Nom AN 20
Post Post-nom AN 20
Pren Prénom AN 20
Adr Adresse AN 30

Tableau 1 : Description d’une attestation de droit de propriété

C. Présentation : confère annexes

2. Attestation de Confirmation Parcellaire (ACP)

A. Définition

L’attestations de confirmation parcellaire sont des documents officiels qui attestent de la propriété
d’un terrain ou d’une parcelle. Elle confirme la propriété revient au propriétaire est joue un rôle
majeur pour l’obtention de l’attestation de droit de propriété.
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B. Tableau descriptif du document

Code Rubrique Nature Taille Observation

Dat Date AN 10
Serv Service AN 40
NumCP Numéro AN 35
confirmation
parcellaire
Identité de l’agent
Nom Nom AN 20
Post Post-nom AN 20
Pren Prénom AN 20
Fonct Fonction AN 20
Identité du propriétaire
Nom Nom AN 20
Post Post-nom AN 20
Pren Prénom AN 20
Quart Quartier AN 25
Av Avenue AN 25
№ Numéro AN 3

Tableau 2 : Description d’une attestation de confirmation parcellaire

C. Présentation : confère annexes

3. Fiche Parcellaire (FP)

A. Définition

La fiche parcellaire est un document utilisé par les services du ministère de l'intérieur pour recenser
les habitants d'une municipalité. Ce document joue un rôle de plus en plus important dans
l'acquisition d'un terrain, car il identifie l'ancien propriétaire de la parcelle.
B. Tableau descriptif du document

Code Désignation Nature Taille Identifiant

Mat Matricule AN 5
Nom Nom AN 20
Post Post-nom AN 20
 P a g e | 27

Pren Prénom AN 20
Sign Signature AN 10
Av Avenue AN 20
Quart Quartier AN 20
Com Commune AN 20
Dat Date AN 10
Prof Profession AN 25
Org Origine AN 30
Dest Destination AN 20

Tableau 3 : Description d’une fiche parcellaire

C. Présentation : confère annexes

.
3.2.3 Schéma de circulation de l’information

Le schéma de circulation des informations est un modèle qui représente la manière dont les
informations circulent à travers différents systèmes, départements ou acteurs au sein d'une
organisation. Certes, un schéma de rotation sert à décrire la façon dont les informations circulent
entre les services concernés, comment elles sont traitées et gardées.
 P a g e | 28

100 Propriétaire 200 Agent récepteur 300 Chef du service 400 Secrétaire 500 Service 600 Bourgmestre
communale d’hologramme
101 copies d’attestation 201 Vérification de 401 authentifie et 601 Consulte et
et fiche parcellaire document 203 envoie le document 403 authentifie le document

301 authentifie et 501 Enregistre,

envoie le document imprime et les envoie
202
301 501 403

202 récupérations, 402 prépare et

202 déposent le document 402
authentifie et envoie

601
401

403 consultes le
203 Conserve et le remet document
au propriétaire

203
101

Tableau 4 : Schéma de circulation de l’information

 P a g e | 29

3.2.4 Narration

La procédure de la demande de l’obtention de l’attestation de droit de parcellaire jusqu’à son

octroie se présente de la manière suivante :
• Le propriétaire de la parcelle remet une copie de son attestation de confirmation parcellaire,
ainsi que la copie de fiche parcellaire et une somme de 100$ à l’agent récepteur.
• Après réception, ce dernier vérifie les documents ci-haut cite et informe le propriétaire de
la date de disponibilité de l’attestation de droit de propriété. A la fin des heures de service,
l’agent récepteur prépare les documents de propriétaires et les envoie auprès du chef du
service de la population et la somme perçue au chef de cellule de fichier central.
• Après réception, le chef de service de la population authentifie lesdits documents et les
remet à l’agent récepteur.
• Après récupération des documents, ce dernier les prépare et les envoie au secrétaire
communal. Après réception des documents, ce dernier consulte les documents et les envoie
au responsable du service d’hologramme.
• Après réception, ce dernier enregistre les documents, imprime les attestations de droit de
propriété et les envoie au secrétaire communal. Après réception, ce dernier les prépare et
les déposent chez le bourgmestre.
• Une fois que celui-ci reçoit les documents, il les consulte, les authentifie et les renvoie au
secrétariat communal.
• Après récupération, ce dernier les consulte, les envois auprès du chef de cellule de fichier
central. Après réception, ce dernier les conserve et les remet aux propriétaires au jour du
retrait.

3.3 Critique de l’existant

3.3.1 Présentation des points positifs

Du point de vue organisationnel, le service de la population s’organise pour qu’il ait une bonne
circulation des informations entre ses agents. Par rapport à la gestion des attestations de droit de
propriété, il suit très clairement les étapes pour que ce travail soit bien fait, les agents respectent le
processus de traitement de l’information du début jusqu’à la fin du travail, chacun sait de quoi il
doit s’occuper et tient à ce que ce travail soit fait comme il se doit.
Il s’écoule généralement un court laps de temps entre la réception de la demande du certificat de
droit de propriété et la date de la disponibilité de ceci, à savoir 48 heures.
 P a g e | 30

3.3.2 Présentation des points négatifs

Le fait que les informations soient traitées manuellement, nous pouvons relever plusieurs
défaillances liées au système de traitement de l’information au sein de ce service. Sur quelques
défaillances au traitement manuel de l’information, nous pouvons en relever quelques telles que :
• Facilité de perdre les informations importantes ;
• Le manque de l’ordinateur portable ;
• Le manque de preuve de paiement ;

3.4 Propositions de solutions et recommandations

3.4.1 Propositions de solutions

Après avoir décelé quelques faiblesses du système, il est à présent question de supprimer les
insuffisances en proposant des remèdes efficaces.

3.4.1.1 Solution manuelle

Pour remédier aux aspects négatifs évoqués au niveau de la Critique de l’Existant, et au sein du
Service afférant à notre étude, nous nous avanceront avec les recommandations suivantes :
• Pour la mauvaise conservation des documents et la perte d’information, nous proposons à
la maison communale l’achat des meubles de qualité, tels que des armoires, en lieu et place
de gros cartons, pour une conservation optimale des documents, mais aussi des chaises et
tables de qualité pour le minimum en confort des agents, acteurs impliqués dans le circuit
d’informations lié à la gestion des attestations de droit de propriété, en particulier.
• Pour la mauvaise conservation des documents et la perte d’information, nous proposons à
la maison communale l’achat des meubles de qualité, tels que des armoires, en lieu et place
de gros cartons, pour une conservation optimale des documents, mais aussi des chaises et
tables de qualité pour le minimum en confort des agents, acteurs impliqués dans le circuit
d’informations lié à la gestion des attestations de droit de propriété, en particulier.
• Pour le manque de preuve de paiement, nous proposons aux décideurs de doter à l’agent
récepteur un carnet de perception des frais payés pour le compte de l’octroi de l’attestation
de droit de propriété.

Avantages:
- Solution réalisable à faible coût et en temps réduit.

Désavantages:
 P a g e | 31

- La recherche des documents va prendre beaucoup de temps ;

- Moins de sécurité de conservation des documents.

3.4.1.2 Solution informatique

Elle consiste à la création d’une base de données renferment les informations sur les attestations
de droit de propriété, laquelle la base de données serait partagé en réseau de type LAN pour
permettre aux postes concernés par l’étude d’accéder aux données se trouvant dans la base.
Avantages :
- Une nurser sécurité et conservation des données ;
- Centralisation des informations ;
- Traitement rapide des données ;
- Fiabilité des résultats ;
- Mise à jour de données.

Désavantage :
- Le coût de la réalisation du projet ;
- La non-permanence du courant électrique ;
- Perte des données en cas de coupures brusque de courant électrique.

3.4.2 Recommandation

Pour remédier aux aspects négatifs évoqués au niveau de la critique de l’existant et au sein du
service afférant à notre étude, nous avanceront avec les recommandations suivantes :
• Pour la mauvaise conservation des documents et la perte d’information, nous
proposons à la maison communale l’achat des ordinateur portable, l’achat des
meubles de qualité, tels que des armoires, en lieu et place de gros cartons, pour une
conservation optimale des documents, mais aussi des chaises et tables de qualité
pour le minimum en confort des agents, acteurs impliqués dans le circuit
d’informations lié à la gestion des attestations de droit de propriété, en particulier.
• La lenteur de traitement des informations ne peut être résolue qu’en augmentent les
nombres d’agents intervenant dans le processus de traitement des informations sur
les attestations de droit de propriété.
• Pour le manque de preuve de paiement, nous proposons aux décideurs de doter à
l’agent récepteur un carnet de perception des frais payés pour le compte de l’octroi
de l’attestation de droit de propriété.
 P a g e | 32

4. APPORT DE LA RECHERCHE

4.1 Méthode d’analyse

La méthode d’analyse permet de recueillir des informations importantes sur le sujet ou le

phénomène étudié. De plus, cette méthode est supportée par la méthode merise11.
Elle se définit comme une approche de la planification, du développement et de la mise en œuvre
de projets informatiques12. La méthode se concentre sur la planification des systèmes d'information
de gestion. Elle repose sur l'extraction de données et leur traitement dans plusieurs modèles
conceptuels et physiques.

4.2 Conception du système

4.2.1 Modèles conceptuels

Le modèle conceptuel consiste à concevoir un SI (système d'information) en ignorant les limites

techniques ou organisationnelles des données et des traitements13.

11
https://www.scribbr.fr/methodologie/methode-analyse.
12
https://www.web.maths.unsw.edu.fr.
13
BAPTISTE J-L, Merise guide pratique : Modélisation des données et des traitements, manipulation avec le langage
SQL, (Eni-ressources informatiques).2Edition., ENI-édition,22 mai 2009, p.262.
 P a g e | 33

4.2.1.1 Le Modèle Conceptuel des Données (MCD)

1. Définition

Un modèle conceptuel de données est utilisé pour décrire formellement les informations utilisées
dans un système d'information. Par conséquent, il s'agit d'une représentation d'informations facile
à comprendre par laquelle le système d'information peut être décrit à l'aide d'entités14.

2. Schéma MCD

Figure 3 : Modèle conceptuel des données

14
https://web.maths.unsw.edu.au/~lafaye/CCM/merise/mcd.htm#.
 P a g e | 34

4.2.1.2 Le Modèle Conceptuel des Traitements (MCT)

1. Définition

Le modèle conceptuel des traitements est une représentation abstraite des processus et des
opérations impliqués dans le traitement de l'information au sein d'un système d'information.

2. Formalisme15

a. Une opération : C’est une tache ou un ensemble des tâches accomplies par le
processus d’informations en réaction à un événement ou des événements synchronisés.
b. Une tâche : C’est un travail déterminé à être réalisé par un système.
c. Un évènement : C’est tout élément déclencheur du processus ou qui amène le
domaine à réagir par une opération.
d. Processus : Constitue un sous-ensemble des activités d’une entreprise dont les points
d’entrée et de sortie sont stables et indépendants du choix de l’organisation.
e. Synchronisation des évènements : Elle est une jonction ou combinaison des
événements par un connecteur logique : et, ou, non etc…
f. Règle d’émission des résultats : Elle se présente comme une condition à être
remplie pour que les résultats soient émis.

15
SANGUPAMBA., O. Cours de méthode d’analyse informatique, deuxième licence en science informatique –
université catholique de Kinshasa, 2021-2022., p126-130.
 P a g e | 35

3. Schéma MCT
P a g e | 36
P a g e | 37
 P a g e | 38

Figure 4 : Modèle conceptuel de traitement

 P a g e | 39

4.2.2 Modèles organisationnels

Les modèles organisationnels mettent l'accent sur le rôle des routines organisationnelles dans
les processus de prise de décision. Elle prend en compte le fonctionnement réel des entreprises
et le rôle des différentes entités dans la prise de décision. L'alliance puissante exerce le pouvoir
de manière coordonnée et stable16.

4.2.2.1 Modèle organisationnel des données (MOD)

1. Définition

Le MOD est une représentation exprimée par le formalisme entité-association d'informations à

mémoriser dans un ordinateur, en tenant compte du nombre d'emplacements et des droits d'accès,
sans tenir compte de la structure de stockage et des conditions de performances associées à la
technologie de mémoire informatique utilisée17.
2. Présentation du MOD

Acteurs Lire Ecrire Modifier Supprimer

Propriétaire Ok Ok Ok Ok

Agent récepteur Ok Ok Ok Ok

Chef du service Ok Non Non Non

Secrétaire communal Ok Ok Non Non

Responsable du service
d’hologramme Ok Ok Non Non
Bourgmestre Ok Ok Ok Non

Tableau 5 : Modèle organisationnel de données

16
https://www.google.com/amp/s/business.lesechos.fr/amp/61/300461.php
17
SANGUPAMBA., O., Op.cit., p.132
 P a g e | 40

4.2.2.2 Modèle organisationnel de traitement (MOT)

1. Définition

Le Modèle Organisationnel de Traitement (MOT) est un concept utilisé dans le domaine de la

gestion de l'information et des systèmes d'information. Il décrit la manière dont une organisation
traite, organise et gère les données et les informations au sein de ses différents départements,
équipes et processus. Au niveau de MCT, le concepteur se concentre sur le quoi et le pourquoi. Au
niveau du MOT cependant, il se concentre sur le comment18.
2. Schéma

18
SANGUPAMBA., O., Op.cit., p142
P a g e | 41
 P a g e | 42

Tableau 6 : Modèle organisationnel de traitement

E1 : Etat 1_Reçu de paiement

E2 : Etat 2_Attestation de droit de propriété
E3 : Etat 3_Rapport journalier des attestations de droit de propriété
PF1 : Vérification des documents et l’impression E1
PF2 : Enregistrement et impression E2
PF3 : Impression E3
TAgt : Table Agent
TAttest : Table Attestation
 P a g e | 43

TFonct : Table Fonction

TPaie : Table Paiement
TPar : Table Parcelle
TProp : Table Propriétaire

4.2.3 Modèles logiques

Les modèles logiques représentent visuellement les ressources, les fonctions et les résultats
attendus d'un programme19. Dans le même ordre d’idée nous pouvons dire que, le modèle logique
est un outil couramment utilisé pour clarifier et décrire une intervention au sein d’une organisation.

4.2.3.1 Modèle logique des données (MLD)

1. Définition

Le Modèle Logique de Données (MLD) est une extension courante du processus Merise. Son but
est de nous rapprocher le plus possible du modèle physique. Pour ce faire, nous partons d'un modèle
conceptuel de données et en supprimons les relations20.

19
SANGUPAMBA., O., Op.cit., p105.
20
BAPTISTE J-L, Op.cit., p.44-45
 P a g e | 44

2. Schéma

Figure 5 : Modèle logique de données

 P a g e | 45

4.2.3.2 Modèle logique de traitement (MLT)

1. Définition

Le modèle logique de traitement fait référence à la représentation abstraite des processus et des
opérations impliqués dans le traitement des données au sein d'un système d'information. Cela inclut
les fonctions exécutées par le poste de travail. Toute activité organisée est associée à un ou plusieurs
outils informatiques. Le modèle logique de traitement comprend la partie visible, la définition
externe des événements informatiques, les chemins possibles d'un écran à l'autre après le menu
principal, et la partie interne invisible, les fonctions de lecture et d'écriture des données dans le
modèle logique de données. Il est composé de processus logiques, et qu'ils sont composés d'unités
de logique de traitement (ULT), il s'agit de créer une opération de gestion des stocks. Il fait
référence à une interprétation avancée de l'équipement informatique que les informaticiens utilisent
pour créer des opérations aussi exigeantes.
 P a g e | 46

2. Construction du modèle logique des traitements (MLT)

Figure 6 : Modèle logique de traitement

 P a g e | 47

4.2.4 Modèles physiques

Le niveau physique prépare le SGBD et présente la solution technique de construction du logiciel21.

Partant de ce modèle nous allons modéliser deux types de modèle physique qui nous permettrons
de démontrer nos solutions apportées sur la gestion des attestations de droit de propriété (commune
de Kalamu).

4.2.4.1 Modèle physique de données (MPD)

1. Définition

Le modèle physique de données inclut l'optimisation de la gestion des données 22. Un modèle
physique de traitement est une représentation graphique ou mieux arborescente qui met en évidence
les différentes structures d'une application.
Le modèle physique des données est la dernière étape du processus de gestion des données de la
méthode Merise. Toute l'analyse a été faite en amont, l'essentiel du travail de réflexion a consisté
en modèle conceptuel, et le passage au modèle physique n'est qu'une formalité. Le programmeur
peut créer une base de données correspondante sur n'importe quel serveur de base de données
contenant :
- La définition de l'espace nécessaire pour chaque table ;
- Déterminez l'emplacement physique de la BDD (base de données) sur le disque, les
serveurs disponibles, etc.

2. Règle de Passage de MLDR au MPD

• Les noms des tables deviennent les noms des fichiers ;

• Toutes les tables se transforment en fichiers avec l’extension DBF, ceci est généré par le
SGBD lui-même lors de la création des tables ;
• Chaque fichier possède une clé d'accès23.

21
SANGUPAMBA., O., Op.cit., p174.

22
SANGUPAMBA., O., Op.cit., p119.

23
SANGUPAMBA., O., Op.cit., p120.
 P a g e | 48

3. Présentation du MPD

A. Table attestation

N° champ Champ Type Taille

01 NumAtt AN 20
02 CodeParc AN 5
03 MatAg AN 5
04 JourEd AN 10
05 MoisEd AN 10
06 AnnéeEd AN 4
07 Jourem AN 10
08 MoisRem AN 10
09 AnnéeRem AN 4
10 PX N 10

Tableau 7 : Table attestation

B. Table propriétaire

N° champ Champ Type Taille

01 Nump AN 5
02 Nomp AN 20
03 Postp AN 20
04 Prep AN 20
05 Numparcp AN 3
06 Avp AN 20
07 Quartp AN 20
08 Commp AN 20

Tableau 8 : Table propriétaire

 P a g e | 49

C. Table posséder_2

N° champ Champ Type Taille

01 Nump AN 5
02 Codenat AN 5

Tableau 9 : Table posséder_2

D. Table nationalité

N° champ Champ Type Taille

01 Codenat AN 5
02 Nat AN 25

Tableau 10 : Table nationalité

E. Table paiement

N° champ Champ Type Taille

01 Numpaie AN 5
02 Nump AN 5
03 Nombex N 4
04 Jourpaie AN 10
05 Moispaie AN 10
06 Annéepaie AN 10

Tableau 11 : Table paiement

 P a g e | 50

F. Table parcelle

N° champ Champ Type Taille

01 Codepar AN 5
02 Nump AN 5
03 Codecat AN 5
04 Numparcp AN 4
05 Av AN 20
06 Quart AN 20
07 Superf N 16
08 Numacp AN 20
09 Joured_acp AN 10
10 Moised_acp AN 10
11 Annéed_acp AN 4

Tableau 12 : Table parcelle

G. Table catégorie

N° champ Champ Type Taille

01 Codecat AN 5
02 Cat AN 15

Tableau 13 : Table catégorie

H. Table fonction AG

N° champ Champ Type Taille

01 Codefonct AN 5
02 MatAG AN 5
03 Fonct AN 20

Tableau 14 : Table fonction AG

 P a g e | 51

I. Table téléphone

N° champ Champ Type Taille

01 Numtel AN 15
02 MatAG AN 5

Tableau 15 : Table téléphone

J. Table agent

N° champ Champ Type Taille

01 MatAG AN 5
02 NomAG AN 20
03 PostAG AN 20
04 PréAG AN 20

Tableau 16 : Table agent

 P a g e | 52

4.2.4.2 Modèle physique de traitement (MPT)

1. Définition

C’est l’architecture des programmes, il représente la structure du programme sous une forme
arborescente24.

2. Présentation du MPT

ECRAN D’ACCUEIL

CONNEXION

MENU PRINCIPAL

QUITTER
SAISIR ET MISE A JOUR EDITION ET IMPRESSION

- Agents - Rapport
- Fonctions journalier des
- Nationalités délivrances des
- Catégories ADP
- Propriétaires - Reçu de paiement
- Parcelles - Attestation de
- Paiements droit de propriété
- Attestation

Figure 7 : Modèle physique de traitement

24
SANGUPAMBA., O., Op.cit., p.181
 P a g e | 53

4.3 Implémentation

4.3.1 Choix du langage

La programmation désigne l'ensemble des activités qui permet d'écrire des programmes
informatiques. Donc programmer signifie ici écrire le code source du logiciel. Le terme
développement est plutôt utilisé pour désigner toutes les activités impliquées dans la création de
logiciels et les programmes qui les composent. Il s'agit de définir un logiciel, de le concevoir, puis
de le mettre en œuvre, c'est-à-dire écrire des programmes dans un langage de programmation bien
défini et vérifier son exactitude, etc25.
Pour notre part, nous avons utilisé le langage de programmation PHP, HTML, CSS, Bootstrap,
JavaScript.
A. HTML

En savoir, HTML (pour Hyper Text Markup Language, qu’on peut traduire en « langage de
balisage hypertexte ») est le langage utilisé pour structurer une page web et son contenu26.
HTML utilise une syntaxe composée de balises pour décrire les éléments de la page. Les balises
sont des éléments entourés de chevrons (« < » et « > ») et sont généralement utilisées par paires
avec une balise ouvrante et une balise fermante pour délimiter le contenu. Par exemple, la balise
« <h1> » est utilisée pour représenter un titre de niveau 1, et elle est suivie de la balise « </h1> »
pour indiquer la fin du titre. Les éléments HTML peuvent être utilisés pour structurer le contenu
de la page, tels que les titres, les paragraphes, les listes, les images et les liens. Ils peuvent
également être utilisés pour créer des formulaires interactifs, des tableaux de données, des vidéos
et bien plus encore.
Outre les éléments, HTML permet également des attributs aux balises pour spécifier des
informations supplémentaires. Par exemple, l’attribut « src » est utilisé pour spécifier
l’emplacement d’une image, et l’attribut « href » est utilisé pour définir la cible d’un lien
hypertexte.
Une fois que vous avez créé une page HTML, vous pouvez l’afficher dans un navigateur Web
pour voir le rendu final. Les navigateurs interprètent le code HTML et utilisent les styles CSS
associés pour afficher le contenu de manière visuelle.
HTML est un langage de base essentiel pour le développement Web, et il est souvent combiné
avec d’autres technologies telles que CSS (Cascading Style Sheets) pour améliorer l’apparence et
la mise en page des pages, et JavaScript pour ajouter des fonctionnalités interactives et
dynamiques.

25
https://fr.wikipedia.org/wiki/Programmation_informatique
26
https://developer.mozilla.org
 P a g e | 54

B. CSS

CSS est l’acronyme de « Cascading Style Sheets » ce qui signifie « feuille de style en cascade ».
CSS est un langage informatique utilisé pour concevoir des pages Web (HTML ou XML). C'est
pourquoi ce langage est constitué des fameuses "feuilles de style en cascade", aussi appelées
fichiers CSS27.
Avec CSS nous pouvons contrôler des aspects tels que les couleurs, les polices, les marges, les
arrière-plans, les tailles et les positions des éléments sur une page. Il nous permet de créer des mises
en pages attrayantes et cohérentes pour nos sites Web. Voici quelques concepts CSS tels que :
-Les sélecteurs : les sélecteurs CSS permettent d’identifier les éléments HTML auxquels
nous souhaitons appliquer des styles. Ils peuvent être basés sur les balises HTML, les
classes, les identifiants et d’autres attributs.
- Les propriétés : les propriétés CSS sont utilisées pour définir les styles des éléments. Elles
contrôlent les aspects tels que la couleur du texte, les marges, l’arrière-plan, la taille de la
police, etc. il existe une large gamme de propriétés CSS disponibles pour personnaliser
l’apparence des éléments.
- Les valeurs : les valeurs CSS sont utilisées pour spécifier les différentes options pour les
propriétés. Par exemple, pour la propriété de couleur, nous pouvons utiliser des valeurs
telles que des noms de couleur prédéfinis, des codes hexadécimaux ou des valeurs RVB.
- Les classes et les identifiants : les classes et les identifiants sont des attributs utilisés pour
cibler spécifiquement certains éléments HTML. Les classes sont généralement utilisés pour
regrouper plusieurs éléments ayant des styles similaires, tandis que les identifiants sont
utilisés pour cibler un élément unique.
- Les feuille s de styles externes : nous pouvons lier une feuille de style CSS externe à nous
page HTML à l’aide de la balise. Cela nous permet de définir les styles dans un fichier
séparé, ce qui facilite la réutilisation des styles sur plusieurs pages. CSS offre également les
fonctionnalités avancées telles que les sélecteurs avancés, les transitions, les animations et
les media queries, qui nous permettent de créer des effets plus dynamiques et d’optimiser
l’apparence de notre site pour différents appareils et résolutions d’écran.
En résumé, CSS est un outil puissant pour styliser nos pages Web et offrir une expérience visuelle
attrayante aux utilisateurs. Avec une connaissance de base des sélecteurs, des propriétés et des
valeurs CSS, nous pouvons personnaliser l’apparence de nos sites web de manière créative et
professionnelle.

27
https://www.atinternet.com
 P a g e | 55

C. JavaScript

JavaScript est un langage de programmation utilisé principalement pour créer des sites Web
interactifs. Il s'agit d'un langage de script côté client, ce qui signifie qu'il est exécuté dans le
navigateur Web de l'utilisateur plutôt que sur le serveur. JavaScript est polyvalent et peut être utilisé
pour ajouter des fonctionnalités dynamiques aux pages Web, interagir avec les utilisateurs,
manipuler et modifier le contenu HTML et CSS, effectuer des calculs, valider des formulaires, et
bien plus encore. En résumé, JavaScript est essentiellement utilisé pour rendre les sites Web plus
interactifs et dynamiques.

D. Bootstrap

Bootstrap est un ensemble d'outils utiles à la conception de sites Web. Il s'agit d'un ensemble de
codes HTML et CSS, de formulaires, de boutons, d'outils de navigation et d'autres éléments
interactifs avec des plugins JavaScript en option. C'est l'un des projets les plus populaires sur la
plateforme de gestion de développement de GitHub28.

E. PHP

PHP est un acronyme récursif qui signifie "PHP : Hypertext Preprocessor". Il est largement utilisé
pour générer du contenu dynamique, interagir avec des bases de données, traiter des formulaires,
créer des sessions utilisateur, gérer des fichiers, et bien plus encore. PHP est compatible avec la
plupart des serveurs web et peut être intégré directement dans le code HTML. Il est également
open-source, ce qui signifie qu'il est gratuit et dispose d'une communauté de développeurs active
qui contribue à son évolution et à son amélioration continue. En résumé, PHP est un langage de
programmation populaire et puissant pour le développement web côté serveur.

4.3.2 Choix du système de gestion d’une base de données

a. La base de données

Une base de données (BDD) c’est l’ensemble des données relatives à un domaine bien précis,
stocké avec peu de redondance possible et avec exhaustivité dans un support accessible par
l’ordinateur en vue de satisfaire le besoin de plusieurs utilisateurs. C’est la pièce centrale du

28
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bootstrap_(framework)
 P a g e | 56

système d’information qui régit la collecte, le retraitement et l’utilisation des données. Il sert aussi
de support de stockage aux application29.

b. Le système de gestion de base de données

Un SGBD est un logiciel qui définit un modèle de système de base de données et est donc un
composant nécessaire dans la création, la gestion et l'utilisation d'une base de données.
Évidemment, cette base de données sert à stocker, manipuler ou gérer et partager des données,
garantissant la qualité, la robustesse et la confidentialité des données tout en masquant la
complexité des opérations30.
Le but principal d'un SGBD est d'agir comme un intermédiaire entre l'utilisateur et la base de
données.
4.3.2.1 Les éléments constitutifs d’un SGBD

Un SGBD est divisé en trois éléments :

- Dictionnaire de données : Le dictionnaire de données est constitué d'un ensemble de
métadonnées. Ces métadonnées contiennent des informations sur le contenu des différentes
données du magasin de données. D'autre part, ils fournissent des informations sur
l'autorisation d'utiliser les matériaux et la représentation physique.
- Langage de définition de données : le langage de définition de données (LDD) ou Data
Definition Language (DDL) vise à structurer le contenu d'une base de données. Ce langage
peut être utilisé pour créer, modifier et supprimer divers objets tels que des références, des
associations ou des permissions.
- Langage de manipulation de données : Le langage de manipulation de données (DML) vous
permet d'ajouter, de supprimer, de modifier et de lire des ensembles de données contenus
dans une base de données. De plus, ce langage permet la compression et la décompression
des données.

4.3.2.2 Les systèmes de gestion de base de données

Il permet notamment :
- La sécurité des données : les bases de données doivent être protégées afin que les personnes
non autorisées ne puissent pas accéder aux données stockées ;
- Intégrité des données : l'intégrité des données exige que les données d'une base de données
suivent certaines règles pour garantir l'exactitude des données ;

29
Gradarin. G, Bases de données, eyrolles, Paris, 2003, p.826
30
https://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_de_gestion_de_base_de_donn%C3%A9es
 P a g e | 57

- Fonctionnements multi-utilisateurs : les applications de base de données permettent

d'accéder à la base de données sur différents Dans les activités de nombreux utilisateurs,
les droits de partage et la sécurité des données sont essentiels ;
- Optimisation des requêtes : D'un point de vue technique, la base de données doit pouvoir
traiter chaque requête de la manière la plus optimale possible pour garantir de bonnes
performances.

4.3.2.3 Avantages d'un système de gestion de données

- Gestion simple de grandes quantités de données ;

- Un accès simple et efficace aux données stockées ;
- Grande flexibilité ;
- Intégrité et continuité des données ;
- Contrôle d'accès des utilisateurs (sécurité et protection des données) ;
- La haute disponibilité.

Ainsi donc notre choix est tombé sur SGBD appelé « MYSQL » comme notre SGBD.

➢ MYSQL

MySQL est un système de gestion de base de données populaire et fiable, utilisé pour stocker et
gérer des données dans les applications web et d'autres environnements.

➢ Le fonctionnement de MYSQL

MySQL suit le fonctionnement de l’architecture client-serveur. Ce modèle est conçu pour que les
utilisateurs finaux appelés client accèdent aux ressources à partir d’un ordinateur central appelé
serveur à l’aide de services réseau. Ici, les clients font des demandes via une interface utilisateur
graphique (GUI) et le serveur donnera la sortie souhaitée dès que les instructions correspondent.
Le processus de l’environnement MySQL est le même que le modèle client-serveur.

Pour manipuler notre base de données, nous avons utilisé XAMPP.

Voici le démarrage de XAMPP sur Windows :
 P a g e | 58

Figure 8 : Présentation page d’ouverture Xampp

 P a g e | 59

4.3.3 Interfaces d’utilisation

• Interface de connexion

Figure 9 : Interface de connexion

 P a g e | 60

• Interface d’utilisation

Figure 10 : Interface d’utilisation

• Interface de propriétaires

Figure 11 : Interface de propriétaires

 P a g e | 61

• Interface de paiements

Figure 12 : Interface de paiements

• Interface de parcelles

Figure 13 : Interface de parcelles

 P a g e | 62

• Interface des attestations de droit de propriété

Figure 14 : Interface des attestations de droit de propriété

• Interface d’impression des attestations de droit de propriété

Figure 15 : Interface d’impression des attestations de droit de propriété

 P a g e | 63

4.3.4 Codes-sources

- Modification

Figure 16 : Modification

- Suppression

Figure 15 : Suppression
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5. CONCLUSION GÉNÉRALE

Nous voici la fin de notre travail qui porte sur la gestion des attestations de droit de propriété au
sein de la maison communale de Kalamu.
En effet, la maison communale rencontre quelques problèmes récurrents dans la Gestion des
attestations de droit de propriété.
Dans ces entrefaites, nous nous sommes posés quelques questions notamment :
➢ Quelle solution mettre à la disposition des décideurs pour améliorer la gestion des
attestations de droit de propriété ? ;
➢ Cette solution peut-t-elle permettre la sécurisation et la centralisation des informations
relatives aux attestations de droit de propriété ?
Au regard des questions soulevées, nous avons émis les hypothèses selon lesquelles, nous
proposons une solution informatique consistant au développement d’un logiciel partagé en réseau
permettant une gestion efficiente des données des attestations de droit de propriété.
En entreprenant, ce travail, nous nous sommes fixé l’objectif de concevoir une base de données en
MYSQL pour ladite tâche, qui aura pour tâche de découvrir automatiquement toutes les attestations
délivrées ou non, qui sera aussi capable d’empêcher le doublon de numéro des arrestations.
Cette réalisation peut bien servir à stocker toutes les informations sur la gestion des attestations de
droit de propriété à la maison communale de Kalamu.
Voilà brièvement de quoi est tissé ce travail de recherche qui n’est certes pas le premier et encore
moins le dernier de ce genre.
L’œuvre humaine n’étant jamais parfaite, vos critiques et suggestions pouvant améliorer
d’avantages notre savoir-faire sont les bienvenues.
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6. BIBLIOGRAPHIE

A. Ouvrage de référence : encyclopédies et dictionnaire

1) Rey, A. - Rey-Debove, J., Le petit robert de la langue française. Paris, Normandie

Roto, 2021, p2880.

B. Ouvrage

1) Ouvrages généraux

- BAPTISTE J-L, Merise guide pratique : Modélisation des données et des

traitements, manipulation avec le langage SQL, (Eni-ressources informatiques).
2Edition., ENI-édition, 22 mai 2009, p.262.
- DOBARD J.P., Gregory P., Gestion, ed. Dalloz, Paris 1995, p.4.
- Gradarin. G, Bases de données, eyrolles, Paris, 2003, p.826.

2) Ouvrages spécifiques

- SANGUPAMBA., O., Op.cit., p.132

- SANGUPAMBA., O., Op.cit., p142
- SANGUPAMBA., O., Op.cit., p105
- BAPTISTE J-L, Op.cit., p.44-45
- SANGUPAMBA., O., Op.cit., p174
- SANGUPAMBA., O., Op.cit., p119.
- SANGUPAMBA., O., Op.cit., p.181

3) Thèses doctorales

- KAPULA. A, Création d’une application pour la gestion des attestations de droit

de propriété, cas de la maison communale de Kalamu, ISC-Kin, 2014-2015. p.20,
TFC inédit.
- HEMEDI. N, Conception et réalisation d’une application de gestion de l’octroi de
titres parcellaires, cas du cadastre, ISC-Kisangani, 2016-2017. P.16, TFC inédit.
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4) Notes de cours et syllabus

- SANGUPAMBA., O. Cours de méthode d’analyse informatique, deuxième licence

en science informatique – université catholique de Kinshasa, 2021-2022., p126-130.

5) Webographie

- https://dictionnaire.lerobert.com/definition/creation.
- https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/application.
- https:// www.larousse.fr/definition/attestation.
- https://www.dictionnaire-juridique.com/definition/droit.php/.
- https://dictionnaire.lerobert.com/definition/propriete.
- https://www.scribbr.fr/methodologie/methode-analyse.
- https://www.web.maths.unsw.edu.fr.
- https://web.maths.unsw.edu.au/~lafaye/CCM/merise/mcd.htm#.
- https://www.google.com/amp/s/business.lesechos.fr/amp/61/300461.php.
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Programmation_informatique.
- https://developer.mozilla.org.
- https://www.atinternet.com.
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Bootstrap_(framework).
- https://www.petite-entreprise.net/P-2648-85-G1-definition-des bases
données.html.
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7. ANNEXES

Annexe 1 : Attestation de droit de propriété

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Annexe 2 : Attestation de confirmation parcellaire

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Annexe 3 : Fiche parcellaire

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8. TABLE DES MATIÈRES

i. Dédicace .................................................................................................................................... 2
ii. Remerciements ...................................................................................................................... 4
iii. Résumé ............................................................................................................................. 5
iv. Mots-clés .......................................................................................................................... 6
v. Sigles et abréviations ........................................................................................................ 7
vi. Liste des figures ............................................................................................................... 8
vii. Liste des tableaux ............................................................................................................. 9
1. INTRODUCTION .................................................................................................................. 10
1.1 Contexte de la recherche.................................................................................................. 10
1.2 Problématique .................................................................................................................. 10
1.3 État de la question ........................................................................................................... 11
1.4 Objectif et intérêt du travail ............................................................................................. 12
1.4.1 Objectif .......................................................................................................................... 12
1.4.2 Intérêt du travail ............................................................................................................. 12
1.5 Hypothèse (s) ................................................................................................................... 13
1.6 Méthodologie ................................................................................................................... 13
1.6.1 Méthode ....................................................................................................................... 13
1.6.2 Technique (s) .................................................................................................................. 13
1.7 Subdivision du travail ...................................................................................................... 14
2. CADRE THEORIQUE ET CONCEPTUEL .......................................................................... 15
2.1 Théories ........................................................................................................................... 15
2.2 Concepts-clés ................................................................................................................... 15
2.2.1 Création .......................................................................................................................... 15
2.2.2 Application ..................................................................................................................... 15
2.2.3 Gestion ......................................................................................................................... 16
2.2.4 Attestation ...................................................................................................................... 16
2.2.5 Droit .................................................................................................................. 16
2.2.6 Propriété ............................................................................................................... 16
2.3 Conclusion partielle ......................................................................................................... 17
3. ANALYSE DE L’EXISTANT............................................................................................. 18
3.1 Analyse préalable ............................................................................................................ 18
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3.1.1 Historique ....................................................................................................................... 18

3.1.2 Situation géographique ................................................................................................... 18
3.1.3 Cadre légal ...................................................................................................................... 18
3.1.4 Structure organisationnelle ............................................................................................. 19
3.1.5 Mission de l’entreprise ................................................................................................... 22
3.2 Etude détaillée ................................................................................................................. 23
3.2.1 Postes de service et organigramme ................................................................................ 23
3.2.1.1 Poste de service .............................................................................................................. 23
3.2.1.2 Organigramme ................................................................................................................ 24
3.2.2 Documents utilisés dans différents services ................................................................... 24
3.2.3 Schéma de circulation de l’information ......................................................................... 27
3.2.4 Narration ................................................................................................................... 29
3.3 Critique de l’existant ....................................................................................................... 29
3.3.1 Présentation des points positifs ...................................................................................... 29
3.3.2 Présentation des points négatifs ..................................................................................... 30
3.4 Propositions de solutions et recommandations ................................................................... 30
3.4.1 Propositions de solutions ................................................................................................ 30
3.4.1.1 Solution manuelle ........................................................................................................... 30
3.4.1.2 Solution informatique ..................................................................................................... 31
3.4.2 Recommandation ............................................................................................................ 31
4. APPORT DE LA RECHERCHE ............................................................................................ 32
4.1 Méthode d’analyse ........................................................................................................... 32
4.2 Conception du système .................................................................................................... 32
4.2.1 Modèles conceptuels ...................................................................................................... 32
4.2.1.1 Le Modèle Conceptuel des Données (MCD) ................................................................. 33
4.2.1.2 Le Modèle Conceptuel des Traitements (MCT)............................................................. 34
4.2.2 Modèles organisationnels ............................................................................................... 39
4.2.2.1 Modèle organisationnel des données (MOD) ................................................................. 39
4.2.2.2 Modèle organisationnel de traitement (MOT) ............................................................... 40
4.2.3 Modèles logiques ............................................................................................................. 43
4.2.3.1 Modèle logique des données (MLD) .............................................................................. 43
4.2.3.2 Modèle logique de traitement (MLT) ............................................................................. 45
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4.2.4 Modèles physiques ......................................................................................................... 47

4.2.4.1 Modèle physique de données (MPD) ............................................................................. 47
4.2.4.2 Modèle physique de traitement (MPT) .......................................................................... 52
4.3 Implémentation.................................................................................................................... 53
4.3.1 Choix du langage ............................................................................................................ 53
4.3.2 Choix du système de gestion d’une base de données ..................................................... 55
4.3.2.1 Les éléments constitutifs d’un SGBD ............................................................................ 56
4.3.2.2 Les systèmes de gestion de base de données .................................................................. 56
4.3.2.3 Avantages d'un système de gestion de données ............................................................. 57
4.3.3 Interfaces d’utilisation .................................................................................................... 59
4.3.4 Codes-sources ................................................................................................................. 63
5. CONCLUSION GÉNÉRALE ................................................................................................. 64
6. BIBLIOGRAPHIE ............................................................................................................... 65
7. ANNEXES ........................................................................................................................... 67
8. TABLE DES MATIÈRES ................................................................................................... 70