Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
EPIGRAPHE
« C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, s’attachera à sa femme et ils
deviendront une seule chair »
Genèse 2 :24
ii
DEDICACE
A mes très chers parents que j’aime beaucoup APPOLINAIRE IMBOYO et BRIGITTE
NGWAMA pour leur soutien tant moral que spirituel et pour leur amour inconditionnel, leurs
encouragements tout au long de mon cursus estudiantin.
Je dédie ce travail
REMERCIEMENTS
Nous remercions mes compagnons de vie frères et sœurs pour leur amour et
assistance : André BULAMBA, Héritier MAWUNGA.
Que tous les héros dans l’ombre dont les noms ne sont pas cités dans ce travail
trouvent ici l’expression de notre gratitude.
INTRODUCTION
C’est ainsi que nous avons voulu mener notre enquête dans la commune de Lemba et
voir comment sont gérés les mariages et divorces dans cette commune, afin de porter notre
aide.
1. PROBLEMATIQUE
Ayant constaté ce problème, nous avons pris l’initiative de nous rendre dans la
commune de Lemba et vivre la situation en face.
Qu’est – ce – qui donne la possibilité à une personne de se marier plusieurs fois, tout en
étant pas détectée ?
vii
En rapport avec la problématique posée ci – haut, nous pouvons situer les hypothèses
suivantes :
2. HYPOTHESE
L’hypothèse est une proposition visant à fournir une explication vraisemblable d’un
ensemble de faits, et qui doit être soumise au contrôle de l’expérience ou vérifiée dans ses
conséquences ou encore c’est une proposition reçue, indépendamment de sa valeur de vérité
de laquelle on défaut un ensemble donnée de propositions.
Ce qui donne la possibilité à une personne de se marier plusieurs fois est causé par le
manque d’un outil de gestion capable d’interconnectés toutes les maisons communales
congolais, et deuxième par le manque d’un système de détection automatique des personnes
même –ci ce dernier changeaient les identités.
Notre choix porté sur ce sujet se justifie sur le désir de nos connaissances sur les
notions de Base de données qui ne cesse de prendre de l’ampleur dans la révolution
technologique actuelle en vue d’assimiler les détails de gestion dans une institution de l’Etat
qui s’inscrit au slogan de notre chef de l’Etat le peuple d’abord.
.
Le choix porté sur ce sujet se justifie également par le constat que nous avons sur les
mariages civils où nous remarquons tout autour de nous, ou nous voyons des personnes se
marier officiellement plusieurs fois sans pour autant être détecté par le système.
Au regard de cette situation, nous sommes décidés de porter notre contribution, étant
que informaticiens.
viii
Tout travail scientifique a toujours eu des techniques et méthodes qui permettront aux
chercheurs de collecter les données.
Il existe plusieurs méthodes mais dans le cadre de notre travail nous avons eu à mettre
en œuvre les méthodes ci- après :
b. Les techniques
La technique d’interview : Etant que des chercheurs cette technique nous a permis de
récolter quelques informations nécessaires par la mise en œuvre d’une série des
questions orales.
La technique documentaire : Etant que des chercheurs, cette technique est important.
Elle nous a permis de procéder à la lecture des notes de cours et les travaux de fin de
cycle, pour la rédaction du présent travail scientifique.
Pour mieux réaliser un travail scientifique, nous sommes mis dans l’obligation de le
délimiter dans le temps et du point de vue matériel.
a. Dans l’espace : nos recherches ses sont réalisées à la commune de lemba au sein du
service de l’Etat-civil.
Chapitre 1. Généralités sur le système distribué : Dans ce chapitre, nous commençons par
expliciter brièvement le concept système distribué et en dégageant quelques différences rapports par
rapport aux concepts relatifs ou très proche de ces concepts et nous donnons également quelques
caractéristiques et apport d’un système distribué, en suite nous présentons l’aperçu générale de
l’architecture d’un système distribué ; puis nous présentons quelques illustrations et quelques
contraintes de ce dernier.
x
Chapitre.2 la Base de données reparties : Dans ce chapitre ou nous abordons les différentes
notions liées à la base de données notamment : la Base de données réparties, la Base de données
centralisées, la Base de données fédérées ; les systèmes de gestion de base de données et quelques
notions y relatives. Nous parlons ainsi la notion relative aux transactions réparties notamment : la
réplication, la fragmentation, l’allocation etc.
Chapitre. .3 L’analyse préalable : Dans ce chapitre, nous avons commencé par présenter, tout en
donnant son historique, sa situation géographique, ses missions, son organisation, les services et les
postes de travail impliqué, Et deuxième lieu nous avons analysés les documents utilisés et matériels.
Nous avons aussi analysé le flux d’information et en fin nous avons eu critiqué le système existant.
Pour viser la bonne marche du système nous avons proposé un bon nombre des solutions afin
d’optimiser ce système.
Avant de définir le système distribué il est bénéfique pour nous d’expliciter ces deux termes :
1
Dans son travail de Fin de cycle de licence, LINGOLE (2018) essaya de clarifier la différence entre
le système « Distribué » et « répartie » qui amènent des difficultés à une minorité des gens. Par
rapport aux définitions que nous présentent les dictionnaires, nous pouvons dire qu’il n’existe pas
de différence entre les termes « distribué » et « répartie ». Également qu’il n’existe pas la
différence entre, « système distribué » et « système répartie », mais d’une autre façon, au niveau
de base de données, il en existe certaines nuances, du fait que le terme « base de données
distribuées » est un terme beaucoup plus large et générique, ce pendant que « la base de données
réparties », « la base de données parallèles », « la base de données fédérées » ne sont les cas
inclus dans les bases de données distribués. Ces notions seront abordées plus dans le deuxième
chapitre de ce travail.
1.1.1. Système :
2
Un système est un ensemble d’élément interagissant entre eux selon certains principes ou règles,
c’est un ensemble d’éléments en interaction dynamique poursuivant un but commun [JOEL DE
ROSNAY].
Un système peut aussi être défini comme un ensemble d’éléments matériels et immatériels
(hommes, machines, procédures) en interaction, transformant par un processus des éléments en
entrée pour avoir d’autres en sortie. Les trois éléments recensés, à savoir les entrées, les
traitements et les sorties forment les trois composants interactifs du système. [JEAN PATRICK
MATHERON]
3
Système peut être définie comme un étant ensemble d’éléments interagissant entre eux suivant un
certain nombre de principes et des règles dans le but de réaliser un objectif. [KUYUNSA MAYU
ALAIN].
1
LINGOLE MBEMBO Justin Righobert : « Mise en place d’une Base de données Réparties pour la gestion des
casiers judiciaires avec authentification et Identification par empreintes Digitales », AIA/FLSH/ UNIKIN,2018,
inédit.
2
KUTANGILA MAYOYA David Sanctus : « Notes de cours de Méthodes d’Analyse Informatique », UNIKIN, 2022,
inédit
3
KUYUNSA MAYU Alain : « Notes de cours de Génie Logiciel », UNIKIN, 2021-2022, inédit.
xii
Est un ensemble de programmes informatiques qui utilisent des ressources informatiques sur
plusieurs nœuds de calcul distincts pour atteindre un objectif commun et partagé.
Un système distribué : est une application qui coordonne les actions de plusieurs ordinateurs pour
réaliser une tache particulière. Le calcul distribué à une composante importante de gestion de
données :
Un système distribué est basé sur les principes de partage et de conquête. En répartissant les
responsabilités et en réduisant la portée, nous obtiendrons un bon rapport performances, une
fiabilité accrue, une croissance incrémentielle et une forte tolérance aux pannes.
Pour mieux comprendre ce qu’un système distribué, nous devons examiner les
tendances actuelles de la croissance du volume des données, dont les enjeux fondamentaux
peuvent être résumés comme suit : la quantité croissante de données personnelles, de données
I OT, de données industrielles, etc.
Avec un tel volume de données, la réduction des couts de stockage devient un problème
fondamental.
Un système distribué peut être défini comme étant l’ensemble d’ordinateurs interconnectés en réseau,
et équipés d’un logiciel dédié à la coordination des activités du système ainsi qu’au partage de ses
ressources. [Frank SINGHOFF]
4
Selon [Andrew Tanenbaum], un système distribué ou répartie est un ensemble d’ordinateurs (ou
processus) indépendants qui apparaît à un utilisateur comme un seul système cohérent ou homogène.
Donc un système distribué est un ensemble d’ordinateurs indépendants connectés en réseau et
communiquant à travers ce réseau.
Alors Un système distribué n’est qu’une collection de processus informatiques qui communiquent
mutuellement par passage des messages.
Bref, les définitions données ci-dessus ne se contredisent pas, mais au contraire dans chacune d’elles
nous avons une idée basée sur la vision globale d’un système distribué.
Alors en rapport avec les définitions données ci-dessus, les aspects que nous pouvons retenir pour un
système distribué sont les suivants :
Les ordinateurs du système sont autonomes, chacun des ordinateurs peut exécuter une tâche
indépendamment des autres et deux ou plusieurs processus peuvent se réaliser au même
moment.
4
https://www.goffi.org/blog/view/goffi@goffi.org, consulté le 12.12.2020
- Un système centralisé se concentre sur le niveau de la gestion, ce qui lui donne plus d’autorité pour
prendre des décisions et de les relayer aux employés.
Les systèmes centralisés peuvent donc devenir autocratique, car ils découragent l’innovation par
d’autres employés.
- Système distribué ou décentralisé en revanche sont plus ouverts à la délégation, ils se partagent le
pouvoir et les capacités de prise des décisions plus uniquement dans toute l’organisation.
Un système distribué tourne autour des objectifs suivants et ces derniers qui le caractérisent.
Le partage de ressources : l’un des objectifs pour lesquels un système distribué est
construit est le partage de ressources tant matériel (hardware) que logiciel (software)
mais aussi les données.
La notion de la concurrence : Avec le système distribué il y a la garantie du bon
fonctionnement des composants dans un environnement concurrent (pendant que deux
ou plusieurs processus sont simultanément utilisés).
etc.) Alors le système distribué établie la cohérence entre ces applications des natures
différentes.
Transparence : nous disons que le système distribué est transparent parce qu’il masque
sa grande complexité du système et l’utilisateur aperçoit en face de lui un unique système
sans se rendre compte du fait qu’il s’agisse de plusieurs composants repartis sur le réseau.
Architecture client-serveur
Architecture pair- à –pair (Peer-to- Peer)
Architecture Hybrides
Le serveur reçoit la demande et répond à l’aide de l’adresse de la machine cliente et son port, un
système client / serveur fonctionne selon le schéma suivant :
xvi
Selon les différentes couches reparties entre le client et le serveur on distingue les variantes
suivantes de l’architecture client-serveur.
Dans une architecture deux tiers, encore appelée client- serveur de première génération ou
client- serveur de données, le poste client se contente de déléguer la gestion des données à un
service spécialisé. Le cas typique cette architecture est une application de gestion fonctionnant sous
Windows ou linux et exploitant un SGBD centralisé.
Ce type d’application permet de tirer parti de la puissance des ordinateurs déployés en réseau
pour fournir à l’utilisateur une interface riche, tout en garantissant la cohérence des données, qui
restent gérées de façon centralisée.
La gestion des données est prise en charge par un SGBD centralisée, s’exécutant le plus
souvent sur un serveur dédié. Ce dernier est interrogé en utilisant un langage de requête qui, le plus
souvent, est SQL. Le dialogue entre client et serveur se résume donc à l’envoi de requête et au
retour les données correspondant aux requête.
Couche présentation
Couche métier
Couche accès aux données
L’architecture 3 tiers (de l’anglais tiers signifiant étage ou niveau) est un modèle logique
d’architecture applicative qui vise à séparer très nettement trois couches logicielles au sein d’une
même application ou système, à modéliser et présenter cette application comme un empilement de
trois couches, étages, niveaux ou strates dont le rôle est clairement défini :
xvii
Le traitement métier des données : correspondant à la mise en œuvre de l’ensemble des règles de
gestion et de la logique applicative ;
Et en fin l’accès aux données persistantes : correspondant aux données qui sont destinées à être
conservées sur la durée, voire de manière définitive.
I.4.1.3. MIDDLEWARE
Un middleware est un logiciel qui fournit aux applications des fonctionnalités et des
services communs que le système d’exploitation n’offre pas. La gestion des données, les services
d’application, la messagerie, l’authentification et la gestion des API sont des services
communément gérés par les solutions de middleware.
L’architecture hybride c’est la combinaison du modèle client- serveur et celui de pair à- pair
au sein d’un système qui est l’une des approches employées dans la conception des systèmes
distribués. Le schéma suivant est un exemple concret d’une architecture hybride.
Une base de données est un ensemble d’informations qui est organisé de manière à
être facilement accessible, géré et mis à jour. Elle est utilisée par les organisations comme méthode
de stockage, de gestion et de récupération de l’information.
Selon BENEDICTE BROSSAULT Une base de données, BBD ou encore data base
en anglais, regroupe un ensemble d’informations qui est organisé pour être accessible, géré et mis
à jour facilement par ses utilisateurs. Les données sont organisées en lignes, colonnes et tableaux et
indexées
Pour faciliter les recherches. Les entreprises utilisent les données pour stocker,
gérer et récupérer des informations.
Selon Elisabetta De Maria Une base de données est une collection partagée de
données en relation logique et une description des données, conçues pour satisfaire les besoins
d’information d’une organisation.
xxi
Dans son support du cours d’analyse informatique, KUTANGILA David nous dis
qu’une base de données se caractérisent par :
La non – redondance : Dans une base de données il n’existe pas des données répétitives. Cela
veut dire que chaque information doit se figurer une et une seule fois dans la base de données,
ce qui permet d’économiser de la place sur le support informatique.
La structure : les données doivent être structurés dans la base de données en fin de permettre
une recherche rapide.
L’exhaustivité : la base de données doit contenir tous les renseignements, absolument tous, sur
le sujet concerné.
L’indépendance : Une base de données doit être indépendante des programmes et données,
elle doit permettre la prise en compte facile de nouvelles applications.
Accès interactif à la base et partage simultanée des données entre plusieurs programmes
7
d’applications.
En fin la confidentialité de toutes ou certaines données de la base de données.
Les modèles de base de données sont les suivants :
Le modèle hiérarchique
Le modèle réseau
Le modèle relationnel
Le modèle objet
Le modèle déductif
Le modèle hiérarchique : organise les données dans une structure hiérarchique,
selon une arborescence descendante.
7
https://fr.read Kong. Com /page /cours-de-base- de-données- cours-n-1-6985491 Consulté le 12/12/2020
xxii
Le modèle réseau : Le modèle réseau est une extension du modèle hiérarchique qui
autorise des relations plusieurs-à-plusieurs entre des enregistrements liés, ce qui implique
plusieurs enregistrements descendants.
. Le modèle relationnel (SGBDR) : Le modèle le plus courant, appelé modèle relationnel, trie les
données dans des tables, que l’on appelle aussi des relations, dont chacune se compose de colonnes
et de lignes, c’est dans ce modèle que les SGBD tels que MS ACCESS, SQL SERVEUR, ORACLE
sont utilisés.
Le modèle objet : saisit la structure statique du système, en montrant les classes d’objets,
leurs attributs, leurs opérations et les relations entre les classes.
xxiv
Le modèle déductif : dans ce modèle, les données sont représentées sous forme de
table, mais leur manipulation se fait par le calcul de prédicats.
Pour conclure, la base de données contient les éléments suivants ou qui les regroupent :
Ces données sont gérées moyennant un SGBD (système de gestion de base de données),
Ces informations doivent être liées à un sujet données,
Ces données sont enregistrées sur des supports accessibles par l’ordinateur,
Ces données sont gérées pour satisfaire les utilisateurs au moment opportun.
Lancer longtemps focalisé sur la structure centralisée de donnée, alors ces dernières ne
faisant augmenter dans les entreprises subissent une autre manière d’être présenté pour distribué.
Dans la même optique, cela relève des objectifs assignés par l’entreprise et surtout que lorsque ce
dernier est de grande envergure. (De grande quantité).
Raison pour laquelle les entreprises sont poussées à créer différent sites issues de la
centrale pour faciliter la tâche à leur humble clientèle.
Pour appréhender sous une autre dimension ces concepts de base de données répartie nous
allons se servir des définitions formulées par certains auteurs expérimentés en la matière.
Sans oublier ses caractéristiques.
xxv
II..3.1 Définition
Une base de données réparties peut aussi être vue comme une collection de base de
données logiquement reliées, distribuée à un réseau et apparaissant à l’utilisateur comme une base
unique
Une base de donnée répartie est un ensemble de différentes bases de données mise en
relation les uns avec les autres à travers un réseau.
Selon ISLEM TAHARI, Une base de donnée répartie c’est un ensemble de bases
localisées sur différents sites (géographiquement distants), perçues par l’utilisateur comme une
base unique.
Chaque site contient des données de la base, peut exécuter des transactions locales et
participer à l’exécution de transactions globales.
On peut imaginer une entreprise qui dispose trois sites, dans le siège, un site de fabrication et un site
de vente.
xxvi
1. Une structure de contrôle hiérarchique basée sur un administrateur de base de données global, qui a
la responsabilité centrale sur la base de données réparties entière et sur les administrateurs des bases
de données locales, qui ont la responsabilité de leurs bases de données locales respectives.
2. À l’indépendance des données est ajoutée la transparence de répartition qui signifie que les
programmes peuvent être écrits comme si les données n’étaient pas réparties.
3. La redondance des données est une caractéristique désirable pour croître l’autonomie des
applications et la disponibilité du système (fiabilité) du système en cas de panne.
4. Dans une base de données réparties, la confidentialité ou la protection des données sont assurées
par les administrateurs locaux.
5. Un système de bases de données réparties ne doit être confondu avec un système multi base. Un
système de BDR est complet pour décharger les utilisateurs de tous les problèmes de concurrence,
fiabilité, optimisation de requêtes ou transaction sur des données gérées par différents SGBD sur
plusieurs sites.
xxvii
Il est évident que certaines personnes puissent se poser la question : Pourquoi une base
de données réparties ?
Nous faisons appel aux bases de données réparties pour des raisons ci-après :
La disponibilité en raison de l’existence de plusieurs copies ;
Le maintien d’une vision unique de la base de données malgré la répartition ;
Plus de fiabilité : les bases de données réparties ont souvent des données
répliquées. La panne d’un site n’est pas très importante pour l’utilisateur, qui
s’adressera à autre site ;
Meilleures performances : réduire le trafic sur le réseau est une possibilité d’accroître
les performances. Le but de la répartition des données est de les rapprocher de l’endroit où
elles sont accédées.
Répartir une base de données sur plusieurs sites permet de répartir la charge sur les
processeurs et sur les entrées/ sorties ;
Faciliter l’accroissement: l’accroissement se fait par l’ajout de machines sur le réseau ;
Limiter le transfert d’information (nombre et volume) ;
Répartition de charge ;
Augmenter la fiabilité (duplication) ;
Fusionner des systèmes d’informations ;
Parce que les Sites sont distants alors il faut qu’il ait les BDR pour localiser les accès
aux données ;
Comme il y a une forte charge alors il question de multiplier les points d’accès.
Est essentiellement un type de base de données qui est stockée, localisée et maintenue à un
seul endroit. Ce type de base de données est modifié et géré à partir de cet emplacement lui –même.
Cet emplacement est donc principalement tout système de base de données ou un système
informatique centralisé. L’emplacement centralisé est accessible via une connexion internet (LAN,
WAN, etc.). Cette base de données centralisée est principalement utilisée par des institutions ou des
organisations.
Etant donné que toutes les données sont stockées à un seul endroit, il est donc plus facile
d’accéder aux données et de les coordonner.
La base de données centralisée à une redondance de données très minimale puisque toutes les
données sont stockées en un seul endroit.
C’est moins cher par rapport à toutes les autres bases de données disponibles.
Désavantages :
Le trafic de données dans le cas d’une base de données centralisée, est plus.
Si une défaillance du système se produit dans le Système centralisé, toutes les données seront
détruites.
Selon le prof BATUBENGA, une base de données fédérées est une base de données
fédérées à Plusieurs bases de données hétérogènes accèdent comme une seule via une vue commune
(un modèle commun).
Fédération : Donner aux utilisateurs une vue unique des données implémentées sur plusieurs systèmes a priori
-
hétérogènes, c.-à-d. des plates formes, des SGBD et des modèles de données différents.
La base de données parallèles exploite le parallélisme à l’intérieur d’un même site et peuvent
utiliser plusieurs processeurs ou disques.
Selon J.D BATUBENGA, les données sont distribuées sur plusieurs disques d’un même site
et l’exécution des requêtes peut être parallélisée sur les différentes unités de traitement(CPU) du
site.
Est un ensemble de plusieurs bases de données (hétérogènes ou non) inter opérant avec une
application via un langage commun et sans modèle commun.
2. À l’indépendance des données est ajoutée la transparence de répartition qui signifie que
les programmes peuvent être écrits comme si les données n’étaient pas réparties.
xxxi
3. La redondance des données est une caractéristique désirable pour croître l’autonomie
des applications et la disponibilité du système (fiabilité) du système en cas de panne.
4. Un plan d’accès réparti peut être écrit par un programmeur ou produit automatiquement
par un optimiseur. La conception d’un optimiseur est un problème qui peut être
subdivisé en deux catégories.
a) L’optimisation globale : qui consiste à déterminer les données à mettre dans les sites,
et celles qu’il faut transmettre entre les sites.
b) L’optimisation locale : qui consiste à décider comment développer les accès aux
bases de données locales à chaque site.
5. Dans une base de données répartie, la confidentialité ou la protection des données est
assurée par les administrateurs locaux.
6. Un système de bases de données réparties ne doit être confondu avec un système multibase. Un
système de BDR est complet pour décharger les utilisateurs de tous les problèmes de
concurrence, fiabilité, optimisation de requêtes ou transaction sur des données gérées par
différents SGBD sur plusieurs sites.
Il est important que les gens puissent se poser la question de savoir pourquoi : la base
de données réparties ?
Nous recourons aux bases de données réparties pour des raisons ci – après :
Meilleures performances : réduire le trafic sur le réseau est une possibilité d’accroître
les performances. Le but de la répartition des données est de les rapprocher de l’endroit où
elles sont accédées.
Répartir une base de données sur plusieurs sites permet de répartir la charge sur les
processeurs et sur les entrées/ sorties ;
xxxii
Comme il y a une forte charge alors il question de multiplier les points d’accès ;
Concernant cette étude qui se base sur la mise en place d’une Base de données
réparties avec réplication asymétrique synchrone pour la gestion de mariages civil et de
divorce en RDC, la notion de système de gestion de base de données réparties (SGBDR) en
sigle est très bénéfique car ce dernier qui nous permet de gérer une base de données
réparties. Mais avant tout nous commençons d’abord par définir un système de gestion de
base de données.
Un SGBD est un logiciel complexe qui permet de gérer et d’utiliser les données que
l’on stocke en utilisant les modèles cités précédemment. La première partie de la section
permet de comprendre le mécanisme d’abstraction à partir duquel se fait le passage du
simple fichier informatique à la gestion de l’information qui se fonde sur l’utilisation d’un
SGBD. Une seconde partie détaille le modèle en couches des SGBD ainsi que leurs
fonctionnalités de base (ERICK INNONCENTI).
Il héberge généralement plusieurs bases de données, qui sont destinées à des logiciels
ou des thématiques différentes.
Dans son support de cours BATUBENGA, définit Un système de gestion des bases de
données réparties est un ensemble de logiciels qui gère des collections de bases de données
xxxiii
Un SGBD-R permet de gérer une base de données répartie en faisant appel à des
SGBD locaux, il fournit un mécanisme d'accès qui rend la répartition transparente aux
utilisateurs : Dictionnaire de données réparties, Traitement des requêtes réparties, Gestion
des transactions réparties (pannes !) » Communication de données inter-sites, Gestion de
cohérence et de sécurité.
Client de SGBDR : C’est une application qui accède aux informations distribuées par
des interfaces du SGBDR.
Serveur SGBDR : SGBD gérant une base de données locale intégrée dans une base de
donnée répartie.
Le SGBD (Système de Gestion des Bases de Données) est l'outil principal de gestion
d'une base de données. Il permet d'insérer, de modifier et de rechercher efficacement des
données spécifiques dans une grande masse d'informations. C'est une interface entre les
utilisateurs et la mémoire de masse. Il facilite ainsi le travail des utilisateurs en leur donnant
l'impression que l'information est organisée comme ils le souhaitent. Le SGBD est composé
de plusieurs couches :
Le SGBD externe (User Interface handler). Sa tâche est d'interpréter les commandes
utilisateurs.
Le contrôleur sémantique des données (sémantic data controler). Il utilise les
différentes contraintes définies sur la base de données afin de vérifier qu'une requête
d'un utilisateur peut être effectuée.
Le processeur de requêtes (query processor). Il détermine une stratégie afin de
minimiser le temps d'exécution d'une requête.
Le gestionnaire de transactions (transaction manager). Il assure la coordination des
différentes demandes des utilisateurs.
De nos jours, la plupart des SGBD fonctionnent selon un mode client/serveur. Le serveur
(sous-entendu la machine qui stocke les données) reçoit des requêtes de plusieurs clients et
ceci de manière concurrente. Le serveur analyse la requête, la traite et retourne le résultat au
client.
Assumer l’indépendance physique des données : la façon de définir les données doit être
indépendante des structures utilisées pour leur stockage ;
Assumer la manipulation aisée des données par des non informaticiens, ce qui
suppose des langages "naturels" ;
Assumer la non- redondance : chaque donnée ne doit être présente qu'une seule fois
dans la base afin d'éviter les problèmes lors des mises à jour ;
Assurer la sécurité des données: robustesse vis-à-vis des pannes (il faut pouvoir
retrouver une base "saine" en cas de plantage au cours de modifications) et protection par
des droits contre les accès non autorisés. Donc il assume le contrôle d’accès.
Des objectifs cités ci-dessus découlent les propriétés fondamentales d'un SGBDR :
Il existe plusieurs systèmes de gestion de bases de données, dont les plus utilisé sont
les suivants :
Prenant en charge leur consultation et leur modification de façon optimisée, ainsi que les
aspects de sécurité. Le langage de manipulation de données donne les priorités suivantes :
(SELECT, INSERT, UPDATE, DELETE).
Ce langage nous permet de gérer les accès(autorisations) aux données, aux objets SQL,
aux transactions et aux configurations générales de la base, dans ce langage nous trouvons les
privilèges suivants : : (GRANT, REVOKE, DENY).
Comme dans tous les mécanismes, la phase de conception est la plus importante et
déterminante dans la mise en place d'une base de données reparties. Le rôle du concepteur est
xxxvii
de définir les différents fragments de la base et, leurs localisations ; d'évaluer les différents
coûts de stockage et de transfert, et les priorités à respecter. On distingue deux principaux
types de conception : la conception ascendante et la conception descendante.
a. Conception descendante
Elle est utilisée lors de la constitution de nouvelles BDR. La démarche consiste à partir
du schéma global, de construire des schémas locaux, c.à.d. qu’un schéma conceptuel global
est tout d’abord élaboré, puis les diverses entités de ce schéma sont distribuées sur les sites, ce
qui conduit à, la définition des schémas locaux.
Ces différentes entités du schéma conceptuel global distribuées sur les différents sites
sont appelées les fragments.
b. Conception ascendante
Elle permet l'intégration de bases de données locales existantes dans une base
distribuée. Il s'agit cette fois de construire un schéma global à partir de schéma locaux,
généralement existants.
Cette démarche est la plus difficile puisqu'en plus des problèmes techniques identiques
à ceux inhérent à une conception descendante, il faudra résoudre des problèmes
d'hétérogénéité des systèmes ou même sémantiques de l'information. Cette approche nécessite
plus souvent une réconciliation sémantique des schémas participants.
xxxviii
La réplication est d’une importance capitale dans le cadre de la gestion d’une base de
données réparties car elle permet de mettre les informations à jour.
Dans son support Pierre KAFUNDA définit la réplication comme étant un processus
qui consiste à copier et à mettre à jour les objets (tables, information, index…) entre différents
sites qui peuvent être éloigné géographiquement. Cette mise à jour peut s’enclencher
automatiquement ou manuellement.
II.13. FRAGMENTATION
a. Fragmentation vertical
xxxix
Tableau II.2 Exemple d’une fragmentation verticale sur la gestion des commandes.
Commande
1 1 51 10
2 2 62 12
3 5 64 25
4 4 18 51
b. La fragmentation horizontale
Chaque fragment est défini comme une opération de sélection sur une relation globale.
La relation initiale sera obtenue par union des fragments.
8
fr.slideshare.net » base-de-données- Reparties
https://fr.slideshare.net/sabriabdou/base -de-données reparties consulté le 6/6/2022
xl
Client
1 Héritier Katanga
2 Rachel Kinshasa
Client 1
Client 2
2 Irène Kinshasa
3 Brunette Kinshasa
A. La fragmentation mixte
II.15 Allocation
Lorsque le concepteur arrive au terme de fragmenter sa base, il lui faut en deuxième lieu
allouer chaque fragment sur son site correspondant. Cette phase est appelée Allocation.
L'affectation des fragments sur les sites est décidée en fonction de l'origine prévue des
requêtes qui ont servi à la fragmentation. Le but est de placer les fragments sur les sites où ils
sont les plus utilisés, et ce pour minimiser les transferts de données entre les sites.
L’allocation peut se faire avec réplication ou sans réplication. Sachant que la réplication
favorise les performances des requêtes et la disponibilité des données, mais est coûteuse en
considérant les mises à jour des fragments répliqués. (Rim Moussa, 2006)
Il est à savoir que l’allocation c’est une étape qui vient après la fragmentation parce que
on doit d’abord décomposer la base de données en plusieurs sites ce qui permettra d’allouer
ces sites aux différents fragments.
SYMETRIQUE ET ASYMETRIQUE
1. Réplication Symétrique
xlii
2. Réplication asymétrique
- Réplication symétrique asynchrone : Dans ce cas, la mise à jour des tables répliquées est
différée. Cette technique risque de provoquer des incohérences de données.
-
xliii
III.0. Introduction
C’est dans ce contexte qu’un groupe d’hommes appelés HUMBU, venus du Kongo dia
Ntotila, une zone intermédiaire entre la République Démocratique du Congo et l’Angola,
s’installèrent au sud –est de la ville de Léopoldville, dans l’actuel District de mont-Amba qui
est composé des communes ci –après : lemba, matete, kinsenso mont-Ngafula, Makala, Ngaba
et limete, et un autre vers la commune de barumbu et
Kinshasa.
Ce peuple HUMBU, après avoir chassé les pygmées autochtones et premiers occupants
du Congo, ils ont récupéré les territoires ci – haut énumérés, et le chef Humbu installa son
siège à Mbaza- lemba, qui signifie : le village de lemba, au niveau de l’église catholique,
Notre dame de la sagesse à côté du bâtiment administratif de l’université de Kinshasa, ex
lovanium, avec influence sur les restes des agglomérations environnâtes.
xliv
III.1.1.2. DE LA CREATION
Parmi les anciennes zones annexes à l’époque devenues communes urbaines par
l’ordonnance- loi n 68-24 du 20 janvier 1968, nous citons : Bumbu, Kimbaseke, Kisenso lemba,
Makala, Maluku, Masina, Mont –ngafula, Ngaba, N’sele et selembao.
Les 11 zones annexes ont rejoint les 13anciennes communes existantes qui sont :
Barumbu, Bandalungwa, Gombe, Kalamu, Kasa-vubu, Kinshasa, kintambo, limete, lingwala,
matete, N’djili, Ngaliema et Ngiri-Ngiri.
De 1950 à 1955, la localité LEMBA sera placée sous le statut juridique du territoire
annexe de la ville de Kinshasa, et dirigée par un administrateur du territoire. Mais dépourvu de
la personnalité civile et juridique et moins l’autonomie financière.
Selon l’arrêté n° 211 /429 du mois d’octobre 1957, fixant les noms et les limites des
communes de la ville de Léopoldville ; ces communes firent complétées en 1959 par deux
autres à savoir : MATETE et NGABA.
Les dispositions générales contenues dans les arrêtés royaux du juillet 1937, relèvent
l’organisation territoriale de la province de Léopoldville.
L’ordonnance loi du 12 février 1913 fut l’un des textes légaux les plus importants qui
imposant aux africains résidents dans les circonscriptions urbaines de se constituer en
quartiers distincts.
En effet, compte tenu de l’importance de sa population, LEMBA eut le privilège
d’héberger les jeunes élites intellectuelles et devient zone urbaine aujourd’hui commune par
l’ordonnance- loi n°68-24 du 20 janvier 1968.
A l’Est : par la commune de Matete et celle de kinsenso par la rivière Matete, de l’axe
du Boulevard Lumumba jusqu’en aval de sa source, une ligne droite de la vallée et du
prolongement du ravin sur l’avenue kisantu jusqu’à la rivière kwambila ;
Au sud : par la commune de Mont –ngafula à la hauteur du plateau des résidents des
professeurs de L’UNIKIN.
Au sud-Est par la commune de kisenso.
Latitude et longitude
La commune de lemba se situe sur la latitude de 15°C et la longitude est de 13°C.
Cette commune est constitué administrativement de 13 quartiers plus les deux camps
l’un policier et l’autre Militaire notamment : Echangeur, Ecole, commercial, salongo, camp
Kabila et camp O.S.O. (Officiers et sous-officiers) et 34 services, dont 6 services relevant du
Ministère de l’intérieur, il s’agit de : Secrétariat, personnel, population, Etat-civil, contentieux,
transport et engins sans moteur et les trois services relèvent des différents Ministères appelés
communément services techniques , mis à la disposition de l’autorité municipale et les marchés
municipaux : Makongo, Manzeku, Mbanza- lemba, livulu et Mbila.
xlvii
Démographie
La commune de LEMBA est une agglomération urbaine qui regroupe en son sein, des
hommes et des femmes des certaines tribus de la République Démocratique du Congo,
partageant entre eux des différentes cultures et exerçant une certain nombre d’activités
diverses. Les Ethnies et les tribus dominantes dans ladite commune sont les suivants : Yaka,
Mbala, yansi, pour la province de Bandundu ; Yombe, Tandu pour la province de Bas-Congo ;
Mongo, Ngombe pour la province de l’Equateur ; luba pour les deux provinces de Kasaï.
ORGANISATION FONCTIONNELLE
CONSEIL COMMUNAL
a) La composition
Le Bureau de l’organe délibérant est composé des membres du conseil élus au second
degré pour exercer respectivement les fonctions de :
- Président du conseil ;
- 2 vice-présidents du conseil ;
- 1 Secrétaire permanant du conseil ;
- 1 Secrétaire rapporteur du conseil ;
- 1 Questeur ;
- 1 Questeur Adjoint.
c) Personnel Administratif
xlviii
L’Exécutif communal
Le Bourgmestre
Il contrôle les actions policières et prend l’autorité sur cette dernière en cas de violation
de règlements militaires en collaboration avec les autorités policières.
Il préside les réunions de sécurité dans sa juridiction et fait le suivi des dispositions
prises pour leurs applications en collaboration avec son adjoint.
Le chef de Bureau
Il existe naturellement trois sortes de services : les services administratifs, les services
techniques et les services spéciaux.
Sont les services qui dépendent du ministère de l’intérieur par exemple le service de
l’Etat-civil, le service de la population, le service du personnel, le secrétariat, etc.
BOURGMESTRE
BOURGMESTRE ADJOINT
CHEF DE BUREAU
SECRETARIAT
ANR DGM PNC
ANT.FONC. P/A
ECOLE
BUDJET
FOIRE PERSONNEL
ORDONNANCEMENT
COMMERCIAL POPULATION COMPTABILITE
MASANO ETAT CIVIL ECONOMIE
ECHANGEUR TOURISME
SALONGO HABITAT
GOMBELE ENERGIE
li
DROITS HUMAINS
CAMP BUMBA
TRANSPORT ET
CAMP KABILA
TRAV.PUBL. INFRA.
AFFAIRES SOCIALES
JEUNESSE
III.3. Analyse de l’existant
SPORTS ET LOISIRS
Dans cette analyse, nous allons présenter les différents documents qui circulent pendant
le processus de mariage.
1. La fiche de renseignement
A/ Rôle : C’est un document qui explique aux mariés les différentes formes des régimes
matrimoniaux du mariage pour leur permettre d’opter pour l’un des régimes, à travers leurs
signatures sur l’acte de mariage.
B) Modèle :
COMMUNE DE LEMBA
Nom: Nom:
Post-nom: Post-nom:
Né à: Né à:
Le: Le:
Profession: Profession:
Adresse: Adresse:
4 Témoins (Couple)
Nom : Nom :
Post-nom : Post-nom :
Né à: Né à:
Le: Le:
Profession: Profession:
Adresse: Adresse:
5 Ayant droit Règles : (cocher la mention utile)
2. Note de perception
A/Rôle : C’est une note qui permet aux mariés de demander le projet de mariage au service de
l’état-civil après paiement à la caisse.
B) Modèle :
VILLE DE KINSHASA
COMMUNE DE LEMBA
Note de perception
Service de l’Etat-civil
C) DESCRIPTION
3. Registre spécifique
A) Rôle : c’est le document utilisé pour enregistrer tous les actes de mariages après
codification en numéro et volume.
B) Description
CODE DESRIPTION TYPE TAILLE
NumCpte Numéro de compte N 10
Couple Couple AN 30
Datelivr Date de livraison Date 15
3. Registre spécifique
lvi
A) Rôle : c’est le document utilisé pour enregistrer tous les actes de mariages après
codification en numéro et volume.
B) Modèle :
VILLE DE KINSHASA
COMMUNE DE LEMBA
REGISTRE SPECIFIQUE
Identité
Nom……………………………………………………………………………………
Post nom………………………………………………………………………………
Prénom ……………………………………………………………………………….
Adresse………………………………………………………………………………….
Numéro d’acte………………………………………………………….
Volume numéro………………………………………………………………………
COMMUNE DE KASAVUBU
ETAT-CIVIL
Acte n°…… /….
Folio n°……
Volume n °….
ACTE DE MARIAGE
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………..
KINSHASA LEMBA…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………Date…/…/………………………………………………………………….
Mr……………………………… Et Mme……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………….
Officier Civil
(Sceau et Signature)
Figure III.7 Acte de mariage
C) DESCRIPTION
1. Bourgmestre 2 Licencié -
Licencié
2. Préposé 1 Licencié -
3. Percepteur 1 Gradué 1 an
6. Rédacteur 2 D6 4 ans
7. Huissier 3 - 5 ans
2 ans
1 an
5. Calculatrice 2 - 1 an Bon
6. Chaises 5 - 1 an Bon
Attestations : pour avoir l’attestation de mariage les couples doivent payer une somme
d’argent demandé ;
Actes : concernant l’acte de mariage, il est demandé aux couples de payer une somme
de ;
Certificats : ainsi que le certificat est payable dans la commune de Lemba ;
A. Narration
lx
Les différents processus qui entrent en jeu pour l’enregistrement du mariage dans la
commune de LEMBA sont les suivants :
Renseigné auprès du futur couple sur le versement de la dot, il remet au futur couple
la fiche de renseignement sur le futur couple.
Après avoir rempli la fiche, l’agent le conduit auprès du percepteur pour le paiement
des frais administratifs, qu’il remettra à la fin de la journée au caissier communal avec une
note de perception.
Après toutes ces formalités, l’officier de l’état-civil publiera à la valve la liste des
mariages quinze jours avant la cérémonie officielle.
Après quinze jours, s’il n’y a aucun recours opposable au mariage, on enregistre le
futur couple dans le registre spécifique et on passe à la cérémonie solennelle devant l’officier
de l’état-civil.
Enfin, l’acte est établi en bonne et due forme en deux exemplaires par le service puis
paraphé par le préposé à l’état-civil avant d’être transmis pour recevoir la sanction ou la
signature du bourgmestre en sa qualité de l’officier de l’état-civil.
Après la signature de l’officier, un exemplaire sera remis aux mariés et un autre sera
classé par le commis classeur.
(1)
(3) (5) (6)
(4) Agent
(12) (7) C.E.M.C Percepteur Caissier
(9) (8)
(11) (10)(13)
(2)
O.E.C Valve
Commis
classeur P.E.C
61
301
2 - Réceptio - Réception 103 401 -104 Etablissement
n fiche fiche remplie acte
- Rempliss - Transmission - Enregistrement
age pour paiement - signature
- fiche
: Demande du mariage civil par le couple ;
: Remise de la fiche de renseignement au couple ;
: Récupération de la fiche par l’agent C. E.M.C ;
: payement des frais ;
62
: remise de la preuve de payement ;
: Rapport des perceptrons des frais administratifs ;
: Envoie de la fiche de renseignement sur le couple ;
: Affichage de la liste des couples ;
: Recours opposables (constatations) ;
: Envoie de la liste des couples enregistrés au proposé à l’état civil (P.E.C) ;
: Envoi de l’acte de mariage à l’officier Etat civil ;
: Remise de l’acte au couple ;
: Remise d’une copie de l’acte de mariage au commis classeur pour le classement.
Dictionnaire de données
C.E.M.C : Chargé d’enregistrement des mariages ;
O.E.C : Officier Etat Civil ;
F.R.F.C : Fiche de renseignement sur le futur couple ;
P.E.C : proposé à l’Etat Civil ;
A.M : Acte de Mariage.
63
30 10 60
20
3 Réception reçu
50
Réception Liste
LISTE 50
2
Reception acte
ACTE
64
A. Aspects positifs
Il existe une bonne collaboration entre les agents et une bonne conservation des
documents par le service concerné.
B. Aspects négatifs
Solutions manuelles
Les solutions manuelles sont celle qui se font sans intervention de l’ordinateur. Voici
les solutions manuelles que nous pouvons suggérer à la commune de Lemba.
Ajouter plusieurs endroits d’enregistrement qui vont permettre aux nouveaux mariés de
s’enregistrer plus rapidement possible.
Solutions informatiques
A l’inverse, les solutions informatiques, elles vont intervenir l’ordinateur pour sa
réalisation. Pour nous, nous proposons au gouvernement congolais l’informatisation de
toutes les communes de pouvoir mettre en place un système d’information informatisé.
Elle aura pour avantages, entre autres :
- La détection rapide des personnes ayant marié
- La mise en place d’une base de données Réparties pouvant enregistré les différentes
informations sur les mariages et les divorces.
- L’impossibilité pour une personne de se marier à une femme ou à un homme
pendant qu’il n’est pas encore divorcé.
D. Avantages
65
Authentification ;
Gérer les utilisateurs ;
Listing ;
Valider le mariage;
Valider un divorce
Mettre à jour ;
IV.1.2.3. Les associations
a) Inclusion :
1. Administrateur
- Authentifier
- Gérer les utilisateurs
- Listing
2. Bourgmestre (Officier d’Etat civil)
- Authentification
- Listing
- Valider le mariage
- Valider le divorce
- Authentification
- Listing
- Mettre à jour
69
En rapport avec ce qui précède, notre diagramme de cas d’utilisation se présente comme suit :
Utilisateur
Protocole TCP/IP
Requêtes SQL
Serveur de Base
de données
Server Client
d’application
Interface Java Protocole TCP/IP
Base de
Requêtes SQL
données SQL-
SQQLJDBC
server
USE BD_Gestion_Mariages
GO
CREATE USER CHEF_SVC_ETAT_CIVIL
INTERFACE DE DEMARRAGE
INTERFACE DE CONNEXION
Cette interface enregistre le couple témoin qui assiste à une cérémonie du mariage civil D’un
couple.
INTERFACE D’OFFICIER
Cette interface permet l’enregistrement de l’officier d’Etat civil qui a autoriser un mariage
civil ?
CONCLUSION
Après 5 années d’études à l’UNIKIN, comme il est de coutume dans toutes les
de fin de cycle, en ce qui nous concerne, notre travail parle sur la Mise en place d’une
base des données Réparties avec Réplication asymétrique synchrone pour la gestion des
Alors il a été constaté qu’il se pose un problème dans la gestion fiable des mariages et
Sur ce, c’est ainsi que nous avons pensé à la mise en place d’une base de données
pouvant gérer les processus de mariages et divorces avec la possibilité de stocker les
données de celui d’une base de données qui va non seulement bien structurer les données,
Le présent travail tourne autour de quatre chapitres : dont le premier parle sur les
Base de données reparties, le troisième sur analyse préalable, et le dernier chapitre porte
sur la conception et implémentation de l’application. Ces points sont très importants dans
notre travail car le nouveau système que nous avons mis en place dépend de la fusion de
Nous ne prétendons pas d’avoir réalisé un travail parfait, néanmoins nous croyons que ce
travail pourra apporter une nouvelle vision dans la gestion des mariages et des divorces
BIBLIOGRAPHIE
I. Ouvrages
1) BENEDICTE BROSSAULT
2) THIERRY LECROQ
3) Elisabetta De Maria
4) ISLEM TAHARI,