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ii
EPIGRAPHE
OUALIDI Habib
iii
DEDICACE
REMERCIEMENTS
C’est pour cette raison que nous rendons grâce à DIEU qui nous a
donné le souffle de vie tout au long de cette année académique.
Qu’il nous soit permis de remercier ceux qui, de loin ou de près ont
d’une manière ou d’une autre contribué à l’élaboration de ce travail.
Nous sommes redevables à tous les amis avec qui nous avons
partagé nos joies et peines :
Les noms peuvent ne pas se trouver dans ces écrits. Mais jamais
dans le cœur. Que tous ceux dont les noms ne figurent pas ici, trouent
l’expression de sentiments de gratitude pour leur soutien.
SIGLES ET ABREVIATIONS
INTRODUCTION GENERALE
1. Problématique
La communication et le marketing ne sont depuis longtemps plus de
simple émetteurs de messages mais reçoivent également des demandes de
clients, des commentaires et sont sujets d’évaluation en ligne.
2
T. O’REILLY, What is web 2.0, design patter and Business Models for Next Generation of Software, web 2.0
conference 2005, 30 septembre 2005
3
P. BOUQUILLION, J.T. MATTEWS, Le web collaboratif-mutations des industries de la culture et de la
communication, presses universitaires de noble, 2010
8
2. Hypothèse
REZSOHAZY estime que l’hypothèse cherche à étudier la vision
provisoire du problème soulevé en évoquant la relation supposée entre les faits
4
https://www.radiokapi.net/economie/e-commerceenrdc : moins cher, méconnu, parfois difficile d’accès, publié
18 octobre 2018, consulté le 14 octobre 2020
9
5
R. REZSOHAZY, Théories et critique des faits sociaux, la Renaissance du Livre, Bruxelles, 1971, p.69
10
Tous ce que nous venons de dire feront objet des vérifications dans
le cours du travail partant de la méthode et de la technique (toutes principales à
appliquer dans la présente recherche).
3. Méthodes et techniques
Méthode
6
LOSHAR et CHEVALIER, Cité par MANDWALA, Vers la théorie et pratique de la Révolution et Correspondance
Administrative, TFC en SPA, FSSAP, UNILU, 1986.
7
BERELSON, Content analysis in communication research in MUNGENGA F., Méthode des recherches en Sciences
sociales, cours inédit, UNIKIN/FLSH, 2018, p.31
11
Techniques
8
P. RONGERE., Méthodes des sciences sociales, Paris, Dalloz. 1976, p.18
9
M. GRAWITZ., Méthodes des sciences sociales, paris, Dalloz, 1981, p.517
10
J.-L. LOUBET, Initiation aux méthodes des sciences sociales, Paris-Montréal, le Harmattan, Paris 2002, p.91
12
Ainsi, notre intérêt pour cette étude se veut triple c'est-à-dire : sur le
plan personnel, scientifique et social.
5. Délimitation spatio-temporelle
Comme le reconnaisse plusieurs scientifiques, toute recherche se
doit d’avoir une délimitation spatio-temporelle. Cette double délimitation
permet d’éviter le débordement ou certains excès pouvant dénaturer la qualité du
travail. C’est ainsi nous parlons de E-commerce à Kinshasa, dans la période
initialement comprise entre novembre 2019 et juin 2020, mais pour cause de la
pandémie due à la Covid-19, et ses péripéties, la réelle délimitation de notre
recherche était modifiée et est désormais passée de novembre 2019 à août 2020.
13
6. Subdivision du travail
Pour ne pas livrer en seul morceau notre recherche, nous nous
devons de la repartir en différents strates enfin de rendre son contenu plus
compréhensible.
- Cadre conceptuel ;
- Cadre théorique ; et
- Cadre méthodologie
- Réseaux informatiques ;
- Web ;
- E-commerce
a) Définition
b) Infrastructures
1. Le réseau personnel
11
A.TANENBAUM, Les réseaux, interdiction, 3è édition, Dudoun, Paris, p.1
12
L. PUNGI, Nouveaux Médias, Notes de cours, Université de Kinshasa, L1 SIC, 2018-2019, p.15
16
d) Le réseau internet
I.1.2. Web
b. Web social14
Au début des années 1990, les idées associées à ce concept ont été
utilisées relative aux systèmes en ligne utilisés pour supporter les interactions
sociales telles que communautés virtuelles ou MUD (ou Multi-user dungeon, qui
sont les jeux de rôle en ligne multi-utilisateurs).
13
L. PUNGI, op.Cit, p.34
14
BOUQUILLION P., MATTEWS J.T., Le web collaboratif-mutations des industries de la culture et de la
communication, presses universitaires de noble, 2010
18
1. Blogs et wiki
2. L’art social
Les artistes utilisent le Web social pour partager leur art, qu’il
s’agisse d’art visuel sur des sites comme deviantART, l’art vidéo sur YouTube,
20
l’art musical sur YouTube ou iTunes, ou l’art physique, tel que l’affichage et la
vente d’objets artisanaux sur Craigslist. Les artistes choisissent de mettre en
ligne leur art de sorte qu’ils aient des critiques sur leur travail, ils ont ainsi la
satisfaction de savoir que d’autres peuvent découvrir et apprécier leur travail.
Avec cette nouvelle génération du web social, les étudiants passent plus de
temps en utilisant des outils sociaux comme les ordinateurs, jeux vidéo, caméras
vidéo et les téléphones cellulaires. Ces outils permettent à l’art de partager
facilement, et aident à la discussion.
3. Le crowdsourcing
I.1.3. E-commerce
Les avancées technologiques évoluent à une vitesse telle qu’il serait
bien mal avisé de ne pas en tenir compte. Face à cela, le commerce électronique
ou le e-commerce s’est imposé comme une nouvelle forme de commerce, cette
nouvelle forme a entrainée de nouvelles relations clients-fournisseurs, de
nouvelles méthodes de gestion et de nouvelles formes d’organisations ou de
seulement approprier les pratiques existantes à cette nouvelle forme.
22
16
R. LORENTZ (1999), cité par Alain RALLET dans Réseaux 2001/1 (n°106) p.p 17-76
17
BARUA A., PINELL, J., SHUTTER J. and WHINSTON A.B. (1999), Measuring the Internet Economy: An Exploratory
Study, Center for Research in Electronic Commerce, The University of Texas at Austin,
http://www.crec.bus.utexas.edu (traduit)
18
http://www.census.gov/econ/www/ebusinessC.pdf, consulté le 18 octobre 2020
19
Mémoire « LOGISTIQUE ET E-COMMERCE : Étude de cas Amazon », GUESMIA EL HADJ 2017-2018, UNIVERSITE
ABDELHAMID BENBADIS -MOSTAGANEM
23
20
A. RALLET dans Réseaux 2001/1 (n°106) p.p 17-76
24
c. Historique du e-commerce
21
https://www.twenga-solution.com , L’histoire de e-commerce : un marché en constante évolution, consulté le
14 novembre 2020
25
d. Types de e-commerce
numériques. Malgré la faible valeur de ses transactions, c’est lui qui a fait l’objet
de la plus grande attention, en partie parce que les décideurs se sont beaucoup
préoccupés de questions telles que la confiance des consommateurs et la
protection des données.
24
Organisation mondiale du commerce. Note d’information du secrétariat du 14/02/2013
25
« La France communication », https://www.lafrancecom.com, consulté le 22 octobre 2020
28
Dans ce genre, le site joue un rôle crucial (il classe les offres,
génère du trafic, fournit des garanties commerciales) et la vente elle-même reste
effectuée entre particuliers (du particulier à particulier)26.
26
Idem
29
27
A. LARAMEE et B. VALLEE, La recherche en communication. Elément de méthodologie, Québec, Télé Université,
2002, p.170.
28
J.G. BLUMLER & E. KATZ, Les utilisations de la communication de masse : perspectives actuelles sur la
recherche de gratification, Beverly Hills, CA : Sage, 1974
29
E. KATZ, La recherche en communication depuis Lazarsfeld, Hermes n°4, Paris, 1989, p.77
30
30
J.C. DANDOUAU, Recherche d’information sur internet et expérience de consultation, Recherche et application
en Marketing, Paris, 2001, p.9-23
31
R.K. KORGAONKAR & L.D. WOLIN, Une analyse multivariées de l’utilisation du web, Jounal of Advertising
Research, 1999, p.53-68
31
expériences. Selon les auteurs, ce facteur est le plus gratifiant pour les
consommateurs.
5. La motivation de socialisation : le Web facilite les communications
interpersonnelles et les échanges d’expériences et de connaissances. Les
consommateurs considèrent le Web comme un lieu d’interaction et de
socialisation autour d’intérêts communs.
6. Les inquiétudes liées au respect de la vie privées (hors transaction) :
ce facteur regroupe les effets pervers d’internet comme les messages
indésirables, publicités non désirées dans son courrier électronique et
l’absence de contrôle subi par les consommateurs.
7. La motivation économique : ce facteur indique que les consommateurs
collectent des informations pour apprendre ou pour se renseigner sur les
offres d’un produit ou d’un service.
Selon cette analyse, les motivations et freins à utiliser le média
internet sont multiples, d’ordre utilitaire ou hédonique. Dandouau s’est intéressé
plus particulièrement aux sources de gratifications et frustrations liées à la
recherche sur internet. A côté des motivations épistémiques et utilitaires dans
l’usage du média internet (acquisitions de connaissances générales, information
et aide au choix), ses travaux ont mis en évidence qu’au cours d’une recherche,
« la rapidité avec laquelle l’utilisateur l’a atteinte, et la faiblesse des ressources
cognitives mobilisées pour ce faire vont générer une valorisation positive de
l’expérience de la navigation »32.
32
J.C. DANDOUAU, Op.cit., p.18
32
33
D. ARIEL, Contrôle du flux d’informations : effets sur la prise de décision et les préférences des consommateurs
(traduit), Journal of Consumer research, 2000, p.233-248
34
J.C. DANDOUAU, Op.cit. , p.13
35
J. WIND & A. RANGASWAMY, Customisation : la prochaine révolution de la personnalisation de masse, Journal
of interactive Marketing, n°15, Vol. 1, 13-45
33
36
A. HELME-GUIZON, Le comportement du consommateur sur un site marchand est-il fondamentalement
différent de son comportement en magasin ?proposition d’un cadre d’appréhension de ses spécificités, Recherche
et Application en marketing, Vo. 1 n°3, 2001, p. 25-38
37
D.L. HOFFMAN & T.P. NOVAK, Marketing in Hypermedia computer-Mediated Environments : Conceptual
Foundations, Journal of Marketing, 1996, p. 50-68
38
M. CSIKSZENTMIHALYI, Finding flow, New York, Perseus Book, 1997
34
SECTION 3 : METHODOLOGIE
I.3.1. Méthodes
1. Analyse de contenu
a) Notion
39
G. THINES et LEMPEREUR, Dictionnaire général des Sciences Humaines, Louvain La Noeuve, 1984, p.861
40
J-B. MILALA, Cours de Philosophie, Notes de cours, Université de Kinshasa, Faculté de Sciences Sociales
Politique et Administrative, Premier graduat, 2014-2015, p.14
41
L. BARDIN, L’Analyse de contenu, France : PUF, 1977, p.2
42
R. MICHELLI, Analyse de documents et des communications, 5è édition, ESD, 1984, p.17
36
cependant que l’analyse de contenu étudie les contenus signifiés dans des textes
d’origine écrite ou orale.
43
BLANCHET, L’entretien dans les sciences sociales, Bordas, Paris, p.237
44
A.D. ROBERT & A. BOUILLAGUET, L’analse de contenu. Quel sais-je ? France : PUF, 1997, p.32
45
L. BARDIN, Op.Cit
46 ème
Y. CHIROUZE, Le marketing : Etudes et stratégies, 2 éd., Paris, 2007, pp.110-112
37
I.3.2. Techniques
C’est au moyen de quatre (4) techniques que la présente recherche
tente de vérifier ses hypothèses.
1. Technique d’observation
a) Notions
2. Technique documentaire
a. Notion
La technique documentaire nous a aidé au long de cette recherche à
pouvoir nous documenter sur support physique ou virtuel en rapport avec notre
thème de recherche. Cette documentation fait suite à ce que nous n’avons pas au
préalable toutes les connaissances pour construire ce travail.
48
Idem, p.23
49
Idem, p.39
50
GARNIER, Introduction à l’étude de la medecine expérimentale, Paris, 1966, p.52
40
3. Technique d’entretien
a. Notion
L’entretien dans les sciences sociales est un paradoxe : outil
irrecevable du point de vu de l’idéal scientifique, il s’avère être irremplaçable
pour accéder à des connaissances dont l’’intérêt scientifique est manifeste.
L’entretien permet d’étudier les faits dont la parole est le vecteur
principal (étude d’actions passées, de savoir sociaux, des systèmes de valeurs et
normes…) ou encore d’étudier le fait de parole lui-même (analyse des structures
discursives, des phénomènes de persuasion, argumentation, implication51 ).
Selon BEAUD, la question que se pose à l’usage de l’entretien en
sciences sociales consiste moins à établir des nouvelles typologies d’entretiens
qu’à parvenir à apprécier la valeur relative d’ajustement d’un instrument
d’enquête à un objet ou à une phase de la connaissance52.
Pour BLANCHET53, l’entretien de recherche est né en sociologie
pour la première fois en 1929 dans une étude sur les conditions des productivités
à la Western Electric, avec mise en évidence de l’importance des relations
interpersonnelles dans la motivation au travail. Il ne s’agit plus seulement
d’attendre les réponses des enquêtés aux questions des enquêteurs mais de
s’intéresser aux propos, aux questions des enquêtés.
b. Types d’entretien54
51
G. MIALARET dans Méthodes de recherche en sciences de l’éducation (2004), p.p. 52-58
52
S. BEAUD, L’usage de l’entretien en sciences sociales. Plaidoyer pour l’ «entretien ethnographique », Presse de
Sciences Po, Paris, 1996, p.p.226-257
53
A. BLANCHET, A. GOTMAN, L’enquête et ses méthodes : l’entretien, Paris : Nathan Université, 1992, p.2
54
J.-L. LOUBET, Op.Cit, p.78-80
41
a. Préparation de l’enquête
Questionnaire56
Cette phase de l’enquête est tout aussi importante que la précédente.
On considère même souvent que la validité des résultats d’un sondage d’opinion
est plus dépendante de la qualité du questionnaire que de celle de
l’échantillonnage.
55
LOUBET J-L., Op.Cit, p.92
56
Iidem, p.108
45
Type de question
Elle peut aider le sujet en lui fournissant des points de repère pour
formuler ses réponses. Enfin, elle facilite l’exploitation des réponses en
permettant de les classer dès l’enquête ; l’analyse et le dépouillement sont moins
longs et moins coûteux que pour les questions ouvertes. Néanmoins, ce type de
question présente deux inconvénients assez graves. Tout d’abord, les réponses
proposées risquent d’exercer une influence sur la réponse de l’enquêté en lui
suggérant peut-être des réponses auxquelles il n’aurait pas pensé spontanément.
D’autre part, lorsque la liste orale des réponses possibles est trop longue, le sujet
risque de choisir une réponse parmi les premières réponses proposées ou parmi
les dernières.
57
Idem, p.112
47
CONCLUSION PARTIELLE
a) Objectif
58
www.emart.cd
49
b) De la fourniture à la livraison
c) Mode de paiement
Ses enseignes sont les canaux par lequel l’entreprise eMart.cd a des coordonnées
pouvant faciliter la transaction d’avant livraison. Outre ce système de paiement
50
- Le paiement à la livraison.
d) Chiffre d’affaire
e) Organigramme
SCHEMATISATION
C.E.O
(Administrateur Général)
Fournisseurs
Designer -
Photographe
52
b) Sécurité60
L’e-commerce comporte des avantages pour les acheteurs. Ils
accèdent à une large gamme de produits et peuvent ainsi faire un choix éclairé.
Mais des potentiels acheteurs en ligne sont encore réticents. Ils craignent pour la
sécurité de leurs transactions. De nombreux sites frauduleux existent et il n’est
pas toujours facile aux novices de les démasquer, affirme Francis, jeune
entrepreneur congolais en ligne. Certaines personnes craignent aussi d’effectuer
des achats en ligne en l’absence d’une sécurité totale sur les moyens de
paiement. En plus, les services après ventes peuvent parfois prendre beaucoup
de temps. La RDC figure dans la zone rouge pour certains vendeurs en ligne
sérieux. C’est donc difficile d’acheter certains produits.
59
Ministère de Commerce Extérieure de la RDC, Secrétariat Général, Commerce électronique en RDC, Mai 2018,
par LOMA DJESA MUKANGA, Directeur du commerce de service, p.2
60
Idem
61
Idem
53
services électronique. Avec l'entrée à l'an 2000 sur le marché des opérateurs
GSM en RDC, le secteur des télécommunications et de l'offre d'accès à internet
a véritablement explosé.
d) E-commerce à Kinshasa
- Jaspetrading ;
- Banakpluriels Congo ;
- Jokissshop ;
- Lambanogroup.
f) Défis63
Il faut savoir en quoi l’électronique peut stimuler la compétitivité
d’une entreprise. Les technologies de l’information et de la communication
(TIC) sont importantes aussi bien pour l’agriculture que pour les produits
industriels, les biens de consommation ou les services professionnels. Les
entreprises peuvent s’en servir pour diminuer les coûts de la recherche de
marché, pour organiser les processus d’exportation ou pour gérer les paiements
et les relations avec les clients.
Reconnaître le potentiel des TIC est une chose, les appliquer pour
stimuler les résultats en est une autre. Face au choix déconcertant de solutions
apportées par le commerce électronique, les petits exportateurs doivent savoir
quelles sont les applications qui amélioreront leur visibilité, augmenteront leur
62
https://www.sortlist.com/fr/ecommerce/kinshasa-cd
63
Idem
55
64
G. MIALARET dans Méthodes de recherche en Sciences de l’Education, p.32, 2004
57
- Le fonctionnement de eMart.cd
Concernant le temps d’exercice en e-commerce, le responsable
de eMart.cd nous a fait savoir que le site est opérationnel depuis
4 ans ; ce site présente essentiellement un contenu alimentaire
58
Tableau 2 : Sexe
Sexe Effectif %
M 32 64
F 18 36
Total 50 100
Ce tableau montre que la majorité de nos enquêtés sont des hommes, 32 soit
64% ; contre 18 soit 36% de femmes.
Tableau 2 : Age
Age Effectif %
18 - 25 28 56
26 – 30 13 26
31 – 35 2 4
36 – 40 7 14
41 – 45 0 0
46 – 50 0 0
51 – 55 0 0
56 – 60 0 0
61 – 77 0 0
Total 50 100
Ce tableau ci-dessus montre que la grande partie de nos enquêtés se trouvent
dans la tranche d’âge de 18 à 25 ans, 28 individus soit 56% ; suivi de la tranche
d’âge de 26 à 30 ans, 13 soit 26% ; 7 dont l’âge varie entre 36 et 40 ans soit
14% ; afin celle de 31 à 35 ans, 2 individus soit 4% et la tranche de 41 ans et
plus n’a enregistré aucune personne.
61
Tableau 3 : District
District Effectif %
Tshangu 13 26
Lukunga 13 26
Mont-Amba 12 24
Funa 12 24
Total 50 100
Ce tableau montre que 26 individus soit 52% de nos enquêtés résident les
districts de la Tshangu et Lukunga ; et 24 personnes soit 48% de la Funa et
Mont-Amba.
Tableau 4 : Fonction
Fonction Effectif %
Etudiant 13 26
Fonctionnaire 17 34
A son compte 20 40
Total 50 100
Sur ce tableau, 20 individus soit 40% de nos enquêtés travaillent à leur propre
compte, 17 individus soit 34% sont fonctionnaire de l’Etat, et 13 individus soit
26% sont étudiant.
Tableau 5 : Connaissance du e-commerce (Commerce en ligne)
Connaissance Effectif %
Oui 41 82
Non 9 18
Total 50 100
Sur ce tableau, à la question de savoir si nos enquêtés connaissaient le e-
commerce, 41 personnes soit 82% ont répondues oui et les restent des personnes
soit 18% ont répondues non. Alors pour mieux poursuivre notre enquête,
l’effectif actif reste de 41 personnes qui connaissent e-commerce.
62
Non-utilisation Effectif %
Manque de confiance 18 36
Le coût 6 12
Qualité 5 10
Pas dans vos habitudes 2 4
Toutes ses occurrences 10 20
Non-pratiquant 9 18
Total 50 100
Ce tableau montre (18) soit 36% des enquêtés pense que cela est dû au manque
de confiance.
63
Support Effectif %
Application e-commerce 0 0
Site internet 10 20
Réseaux sociaux 31 62
Aucun 9 18
Total 50 100
Ce tableau montre que (31) soit 62% des enquêtés ayant effectué une opération
sur e-commerce l’ont fait via les réseaux sociaux, et (10) soit 20% sur un site
internet.
Tableau 9 : Récurrence d’achat par e-commerce
Récurrence Effectif %
Voiture ou véhicule 1 2
Vêtement et accessoires 12 24
Appareils électronique 9 18
mobiliers 2 4
Denrées alimentaires 2 4
Tout 4 8
Non-pratiquant 20 40
Total 50 100
Ce tableau montre que (12) soit 24% et (9) soit 18% des enquêtés ont souvent
l’habitude d’acheter les vêtements et accessoires, ou encore appareils
électroniques, 20 soit 40% personnes dont 9 qui ne connaissent pas le e-
commerce et 11 qui n’ont jamais eu à effectuer une opération e-commerce ne
sont pas concerné par cette question.
Tableau 10 : Jugement du e-commerce à Kinshasa
Total 50 100
Ce tableau montre que (29) soit 58% des enquêtés jugent douteux le service du
e-commerce, (8) soit 16% le jugent fiable, (4) soit 8% le jugent pas propice pour
notre société, 9 soit 18% n’ont aucune idée.
Tableau 11 : Solution pour le e-commerce
Solution Effectif %
Amélioration des offres 25 50
Livraison aux meilleurs délais 5 10
Des sites relais 11 22
Aucune idée 9 18
Total 50 100
Ce tableau montre que (25) soit 50% de nos enquêtés pensent que la solution
faire évoluer le e-commerce serait d’améliorer les offres ; et (11) soit 22%
souhaitent plutôt de planter des sites relais pour une livraison rapide et sûre, 9
soit 18% n’ont aucune idée.
Tableau 12 : Importance du e-commerce pour la zone de résidence
Opinion Effectif %
Oui 38 76
Non 12 24
Total 50 100
Ce tableau montre qu’à la question de savoir si le e-commerce était-il important
pour leur zone de résidence, (38) soit 76% ont répondues oui, (12) soit 24% ont
répondues par non.
Après être descendu sur terrain, nous avons des réalités issues du
terrain, fait des observations « scientifique » ; cette observation nous l’avons fait
en surpassant nos 5 sens, c’est ainsi que nous avons fait des remarques
pertinentes suivantes :
b) A propos du public
l’occident n’est pas vraiment une réalité jusque-là à Kinshasa. Ces indicateurs
sont :
Autre fait remarquant est les avis émis pour les personnes qui
connaissent le e-commerce; selon leurs avis, leurs motivations à ne pas souvent
utiliser le commerce électronique tient sur plusieurs raisons dont la plus
dominante est le manque de confiance (36% du total de 50 personnes
interrogées). C’est donc le panel qui constitue une part défaillante du e-
commerce à Kinshasa. Selon l’outil digital utilisé pour effectuer le e-commerce
Réseaux-sociaux (62% du total de 50 personnes interrogées), nous jugeons cet
outil comme genèse des conflits. Puisque cet outil n’a aucun fondement
crédible, car les agents y recourant peuvent usés des pseudonymes ou d’un faux
profil ; c’est donc à travers cet outil (le plus utilisé) que les répondantes (58% du
total de 50 personnes interrogées) ont jugées « douteux » le commerce
67
Tout ce que nous venons de dire, s’a rhume en quelque sorte avec
nos hypothèses tant de l’enquête, que de départ. C’est ainsi que nous en arrivons
à les confirmer, et cette confirmation nous amène à faire des nouvelles
propositions qui pourront mieux développer le secteur du e-commerce.
68
CONCLUSION PARTIELLE
65
G. BRESSOLLES, Le marketing digital, 3è édition, Dunod, Malakoff, 2020, p.67
70
66
https://www.definitions-marketing.com/definition/chatbot/, consulté le 19 janvier 2021 à 12h36
71
Par ailleurs, les chatbots n’ont pas seulement un rôle de conseil, ils
permettent également d’accueillir les visiteurs de manière automatique sur le site
et de créer un engagement rapide.
Image 1 : le Chatbot
67
https://blog.hubspot.fr/sales/upsell, consulté le 19 janvier 2021 à 13h08
72
Pour faire court, il vaut mieux travailler les textes pour y inclure
leurs propres mots et expressions clés afin de favoriser un référencement
efficace. Comme tout contenu du site, les descriptions des produits sont aussi
une opportunité formidable de capter l’attention du public cible.
Les outils ont une importance de plus en plus capitale dans les
choix des internautes et peuvent aider à booster les ventes et l’intéressement de
visiteurs tout au long de l’année68.
68
R. MARONNE & C. GALLIC, Le Grand livre du marketing digital, Dunod, Malakoff, 2018, p.48
69
R. MARONNE & C. GALLIC, ibidem, 2è 2d., Dunod, Malakoff, 2020, p.486
74
Les réseaux sociaux offrent une visibilité hors du commun, que cela
soit par les opportunités en termes publicitaires ou encore par la facilité des
partages qu’ils proposent aux internautes et aux entreprises. Mais l’on pense
moins souvent à créer des évènements.
CONCLUSION PARTIELLE
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
I. Dictionnaires
1. Dictionnaire la Rousse éd. Larousse, paris 2019
II. Ouvrages
1. ARIEL D., Contrôle du flux d’informations : effets sur la prise de
décision et les préférences des consommateurs (traduit), Journal of
Consumer research, 2000
2. BARDIN L., L’Analyse de contenu, France : PUF, 1977
3. BEAUD S., L’usage de l’entretien en sciences sociales. Plaidoyer
pour l’ «entretien ethnographique », Presse de Sciences Po, Paris,
1996
4. BLANCHET A., GOTMAN A., L’enquête et ses méthodes :
l’entretien, Paris : Nathan Université, 1992,
5. BLANCHET, L’entretien dans les sciences sociales, Bordas, Paris
6. BLUMLER J.G. & KATZ E., Les utilisations de la communication
de masse : perspectives actuelles sur la recherche de gratification,
Beverly Hills, CA : Sage, 1974
7. BOUQUILLION P., MATTEWS J.T., Le web collaboratif-
mutations des industries de la culture et de la communication,
presses universitaires de noble, 2010
8. BOUQUILLION P., MATTEWS J.T., Le web collaboratif-
mutations des industries de la culture et de la communication,
presses universitaires de noble, 2010
9. BRESSOLLES G., Le marketing digital, Dunod, 3è édition,
Malakoff, 2020
10.CAMPENHOUDT L.V. et R. QUIVY, Manuel de recherche en
Sciences sociales, 4è éd., Dunod, Paris, 1995
11. CHIROUZE Y., Le marketing : Etudes et stratégies, 2ème éd., Paris, 2007
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VI. Webographie
ANNEXES
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Logo de eMart.cd
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UNIVERSITE DE KINSHASA
FACULTE DES LETTRES ET SCIENCES HUMAINES
Département de Sciences de l’Information et de la Communication
N.B : Ce questionnaire entre dans le cadre de notre travail de fin d’étude portant
sur Le e-commerce à Kinshasa : étude critique des pratiques chez emart.cd
I. Questions d’identification
3. Vous habitez :
Tshangu Lukunga Mont-Amba Funa
4. Fonction ou occupations
Etudiant Fonctionnaire A son compte
II. Question d’enquête
1. Connaissez-vous le commerce en ligne (la vente des produits via
les réseaux sociaux) ?
2. Oui Non
3. Si non, pourquoi ?
Manque de confiance Le coût Qualité douteuse
Pas dans vos habitude Toutes ces occurences
4. Si oui, avez-vous déjà vendu ou acheté un produit par ce
canal ?
Oui Non
5. Quel est l’outil digital utilisé ?
Application Site internet Résaux sociaux
6. Comment jugez-vous le commerce électronique à Kinshasa ?
Fiable Douteux Pas propice pour notre société
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UNIVERSITE DE KINSHASA
FACULTE DES LETTRES ET SCIENCES HUMAINES
Département de Sciences de l’Information et de la Communication
N.B : Ce questionnaire entre dans le cadre de notre travail de fin d’étude portant
sur Le e-commerce à Kinshasa : étude critique des pratiques chez emart.cd
I. Questions d’identification
1. Sexe : …………………………………………………………………….
EPIGRAPHE ......................................................................................................... ii
DEDICACE .......................................................................................................... iii
REMERCIEMENTS ............................................................................................ iv
SIGLES ET ABREVIATIONS ............................................................................ vi
INTRODUCTION GENERALE .......................................................................... 6
1. Problématique ........................................................................................... 6
2. Hypothèse ...................................................................................................... 8
3. Méthodes et techniques ............................................................................... 10
Méthode ....................................................................................................... 10
Techniques................................................................................................... 11
4. Choix et intérêt du sujet .............................................................................. 11
5. Délimitation spatio-temporelle.................................................................... 12
6. Subdivision du travail.................................................................................. 13
CHAPITRE I : CONSIDERATION CONCEPTUELLE, THEORIQUE, ET
METHODOLOGIE ............................................................................................. 14
SECTION 1 : CADRE CONCEPTUEL ............................................................. 14
I.1.1. Réseaux informatique ............................................................................ 14
Définition..................................................................................................... 14
Infrastructures .............................................................................................. 15
Type des réseaux ......................................................................................... 15
Le réseau internet ........................................................................................ 16
I.1.2. Web ........................................................................................................ 16
a. Notions sur le Web .............................................................................. 16
b. Web social ........................................................................................... 17
c. L’évolution du web social ................................................................... 18
d. Les composantes du Web social .......................................................... 19
I.1.3. E-commerce ........................................................................................... 21
a. Diversité des définitions et des mesures.............................................. 22
b. Du commerce électronique à l’électronisation du commerce ............. 23
c. Historique du e-commerce .................................................................. 24
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