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Ex 18 :

1. La suite est arithmétique, donc sa raison r est r = u1 u0. On a donc r 135


On en déduit alors la relation de récurrence un 1 un 135 (pour tout entier naturel n )
On en déduit aussi la formule explicite de la suite : Pour tout entier n , un u0 nr = 2500 135 n
un 2500 135n
2. On utilise les fonctionnalités de la calculatrice (soit à l’aide de la formule de récurrence, soit à l’aide de la formule
explicite) et l’on obtient facilement la réponse (en faisant défiler les termes)
Autre méthode (à connaître)
La question posée se traduit par l’algèbre à l’aide de l’inéquation : un ≤ 0 (et n le plus petit possible)
On a intérêt de prendre la formule explicite : un ≤ 0 2500 135 n ≤ 0 135 n ≤ 2500
≥ ≥
Le plus petit entier vérifiant cette inégalité est 19.
Conclusion : Le premier terme négatif est u19 .

Conseil : Calculer directement u19 pour vérifier que ce terme est bien négatif (on peut aussi calculer u17 et u18 pour vérifier
que ces deux termes ne le sont pas)

Ex 22 : Les suites sont toutes géométriques : leur formule explicite est donc :

un = u0 q n (ou bien un u1 qn 1 ) q étant égal à la raison.


a. un 3 2n
n
1
b. un 10
()
2
n
(parenthèses obligatoires ! )

c. un ( 2) ( 3) (les deux dernières parenthèses sont obligatoires)


d. un 2 3n 1

Pour la représentation graphique, on peut au choix utiliser la formule explicite ou la formule de récurrence (la
formule de récurrence est en fait plus « prudente » puisque la formule explicite contient peut-être une erreur à moins
que l’on a fait des tests pour vérifier…)
Voici ce que donne Numworks pour la suite de la question d)
On voit clairement que les termes semblent augmenter avec une « accélération » de l’augmentation. On devine aussi que cette
suite a pour limite + (c’est-à-dire que ses termes semblent pouvoir dépasser n’importe quelle valeur pourvu que l’on choisisse
des indices suffisamment grand).

Voici un extrait du tableau de valeur :

On peut vérifier que cette suite est bien géométrique de raison 3 et que la calculatrice ne peut plus afficher de valeur exacte à
partir du rang 16. On peut par exemple écrire u16 2,9 107 (soit 30 millions environ en étant un peu moins précis)

Ex 23 : Les suites sont toutes définies de façon explicite. A l’aide de calculs des premiers termes, on prouve rapidement que les
suites de la question a) et de la question f) ne peuvent pas être géométriques. Pour les autres, on peut deviner qu’elles le sont mais
on se doit d’apporter la preuve (par l’algèbre).

Voici la preuve pour celle de la question e) où un 3n 2

un 1
Aucun terme de cette suite n’est égal à 0 : on peut donc calculer pour tout entier n.
un

un 1 3n 3
Pour tout entier naturel n, = n 2
= 3n 3 n 2
= 31 = 3
un 3

Voici une autre méthode pour ceux qui ont calculé les premiers termes. On observe vite que l’on a intérêt de
calculer 3 un afin de trouver un 1. 3 un = 3 3 n 2 = 31 n 2 = 3n 3 = un 1 cqfd

Les autres suites se traitent de la même façon (à faire pour s’entraîner à calculer avec les puissances)

1
Ex 24 : Les trois premières suites sont évidemment géométriques de raison respectives : qa 2 qb qc 1
5

La dernière suite ne l’est probablement pas mais il faut donner un contre-exemple pour justifier.

un 1
Remarque pour ceux qui veulent à tout prix calculer .
un
un 1 1
Après calculs simples, on trouve = 2
. Si l’on veut conclure que la suite n’est pas géométrique, il faut
un ( n)
u
vérifier que ce résultat n’est pas constant (et on y arrivera à l’aide …….d’un contre -exemple)

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