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BOUKRIA Hocine
Promotion : 2009/2010
REMERCIEMENTS
accordé.
HICHAM, Karim.
BOUKRIA
HOCINE
DEDICACES
accordé.
Belgacem….
KAOUACHE
AISSA
Sommaire
Chapitre I
L’énergie solaire
Chapitre II
Microcontrôleur 16F877
Chapitre III
Simulation et réalisation pratique
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Chapitre I L’énergie solaire
I.1 Introduction :
continu (DC). La circulation de ce courant donne alors naissance à une force électromotrice
(FEM) aux bornes du semi-conducteur correspondant ainsi au phénomène physique appelé
effet photovoltaïque. La figure I.1 (a) illustre la constitution d’une cellule photovoltaïque en
silicium [3].
La figure I.1 (b) illustre la structure d’une cellule PV typique. On voit clairement
qu’elle est réalisée à partir de deux couches de semi-conducteurs : une dopée P (dopée au
bore) et l’autre couche dopée N (dopée au phosphore) créant ainsi une jonction PN avec une
barrière de potentiel.
(a) (b)
Fig. I.1 : Structure d’une cellule photovoltaïque.
Le courant délivré sur une charge par une cellule solaire éclairée s’écrit :
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Chapitre I L’énergie solaire
Pour une cellule solaire idéale, l’équation (1 .1) peut être écrite sous la forme suivante :
qV
I (V ) I ph I s exp 1 ………………………………………………………….(1. 2)
KT
Avec :
q : charge élémentaire
K : constante de Boltzmann
T : la température.
Pour une cellule réelle, l’expression (1. 2) est alors remplacée par :
q(V Rs I ) V Rs I
I I ph I s exp 1 ………………………………………… (1. 3)
nKT Rp
V I .Rs
Ip : Le courant dérivé par la résistance parallèle
Rp
q V I .R S
I d I s exp 1 : Le courant traversant la diode.
nKT
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Chapitre I L’énergie solaire
Puissance
utile
Fig. 1.3 caractéristiques I (V) sous obscurité et sous éclairement d’une cellule
photovoltaïque [7].
Sur la figure (I.4), nous reportons les caractéristiques courant-tension pour différentes
températures, sous un ensoleillement donné (E=1000W/m2).
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Chapitre I L’énergie solaire
Fig. I.5 : Evolutions de la caractéristique courant- tension avec l'énergie reçue [6].
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Chapitre I L’énergie solaire
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Chapitre I L’énergie solaire
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Chapitre I L’énergie solaire
I.6.1 Généralités :
Les lois de commandes spécifiques existent pour amener des dispositifs à fonctionner
à des points maximums de leurs caractéristiques sans qu’a priori ces points soient connus à
l’avance, ni sans que l’on sache à quel moment ils ont été modifiés ni qu’elles sont les raisons
de ce changement. Pour le cas de sources énergétiques, cela se traduit par des points de
puissance maximum. Ce type de commande est souvent nommé dans la littérature «
Recherche du Point de Puissance Maximum » ou bien « Maximum Power Point Tracking » en
anglo-saxon (MPPT). Le principe de ces commandes est d’effectuer une recherche du point
de puissance maximal (PPM) tout en assurant une parfaite adaptation entre le générateur et sa
charge de façon à transférer le maximum de puissance.
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Chapitre I L’énergie solaire
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Chapitre I L’énergie solaire
Les tensions et courants du panneau sont monitors, de telle manière que le contrôleur
peut calculer la conductance et la conductance incrémentale, et décider de son de son
comportement.
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Chapitre I L’énergie solaire
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Chapitre I L’énergie solaire
Puissance (W)
dP/d 0
dP/d 0
Rapport cyclique
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Chapitre I L’énergie solaire
Lire Vn et In
Pn=Pn-1 Oui
No
Pn>Pn-1 Non
Oui
Pn-1= Pn
I.7 Conclusion :
Dans ce chapitre nous avons donne une description sur la cellule photovoltaïque,
panneau solaire et les différentes influences des conditions climatiques (température,
rayonnement et de la résistance série). Aussi que les différents algorithmes de la recherche
MPPT.
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Chapitre II Microcontrôleur 16F877
II.1 Introduction :
Les microcontrôleurs envahissent notre environnement sans que nous le sachions. Ces
petits composants se retrouvent de plus en plus dans tous les matériels que nous utilisons
quotidiennement, machine à laver, mulot, ordinateur, téléviseur.
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Chapitre II Microcontrôleur 16F877
Exemple :
Avec un quartz de 4MHZ, on obtient 1 000 000 cycles seconds. Comme le PIC
exécute pratiquement une instruction par cycle, hormis les sauts, cela vous offre une
puissance de l’ordre de 1MIPS (1 Million d’instructions par seconde).
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Chapitre II Microcontrôleur 16F877
II.4.4 Réinitialisation :
La broche MCLR (pour MASTER CLEAR) est une broche de contrôle, elle a l’effet
de provoquer la réinitialisation du microprocesseur lorsqu’elle est activée par l’application
d’un niveau bas, ce qui interrompe le programme en cours et oblige le système de redémarrer
aussi les registres du microcontrôleur vont par ailleurs être également à leur valeur de
démarrage, et pour activer cette broche il faut la maintenir à un niveau haut [2].
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Chapitre II Microcontrôleur 16F877
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Chapitre II Microcontrôleur 16F877
II.6.3 EEPROM :
Le PIC 16F877 contient également une mémoire EEPROM de capacité 256 octets.
Elle peut être utilisée comme une mémoire de données statiques qui ne changent pas durant le
contrôle d’un processus donné. Toutefois, elle peut être exploitée comme une mémoire de
sauvegarde d’état du processeur et du processus contrôlés lors évènement inattendu.
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Chapitre II Microcontrôleur 16F877
II.7 Timers :
Un Timer est un registre interne au microcontrôleur, celui-ci s’incrémente aux grés
d’une horloge. Ce registre peut servir par exemple pour réaliser des temporisations ou bien
encore pour faire du comptage. Le PIC 16F877 possède trois Timers configurables par
logiciel :
Timer 0 :
Timer 1 :
Le timer 1 est un compteur de 16 bits qui peut aller de 0 à 65535. Son déclenchement
peut être fait soit :
Le timer 2 est timer couple au module dit CCP (capture compara PWM), nous
utilisons essentiellement pour la génération des impulsions à largeur ajustable (PWM) [2].
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Chapitre II Microcontrôleur 16F877
Les afficheurs à cristaux liquides sont des modules compacts intelligents et nécessitent
peu de composants externes pour un bon fonctionnement. Ils consomment relativement peu
(de 1 à 5mA). Ils sont relativement bons marchés et s’utilisent avec beaucoup de facilité [2].
II.9.3 Connexions :
Les connexions à réaliser sont simples puisque l’afficheur LCD dispose de peu de
broches. Il faut, évidement, l’alimenter, le connecter à un bus de donnée (4 ou 8 bits) d’un
microprocesseur, et connecter les broches Enable (validation), Read/Write (écriture/lecture) et
Register Select (instruction/commande) [2].
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Chapitre II Microcontrôleur 16F877
Dans ce mode, les données sont envoyées à l’afficheur sur les broches D0 à D7. On
place la ligne RS à 0 ou à 1 selon que l’on désire transmettre une commande ou une donnée. Il
faut aussi placer la ligne R/W à 0 pour indiquer à l’afficheur que l’on désire effectuer une
écriture.
On désire au contraire effectuer une lecture, la procédure est identique, mais on place
cette fois la ligne R/W à 1 pour demander une lecture. Les données seront valides sur les
lignes D0 à D7 lors de l’état haut de la ligne E [2].
Il peut, dans certain cas, être nécessaire de diminuer le nombre de fils utilisés pour
commander l’afficheur, comme, par exemple lorsqu’on dispose de très peu de broches
d’entrées/sorties disponible sur un microcontrôleur. Dans ce cas, on peut utiliser ce mode.
Dans ce mode, seuls les 4 bits de poids fort (D4 à D7) de l’afficheur sont utilisées pour
transmettre les données et les lire. Les 4 bits de poids faible (D0 à D3) sont alors connectés à
la masse.
Les données sont alors écrites ou lues en envoyant séquentiellement les 4 bits de poids
fort suivi des 4 bits de poids faible [2].
II.10 Conclusion :
Dans ce deuxième chapitre nous avons donné une description globale du
microcontrôleur 16F877 de son brochage, de ses périphériques analogiques, ce qui nous
facilitera son utilisation lors de la réalisation de notre système. Nous avons aussi détaillé le
principe de fonctionnement et le contrôle d’un afficheur à cristaux liquide LCD 2 lignes 16
caractères.
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Chapitre III Simulation et réalisation pratique
III.1.Introduction :
Puissance (W)
dP/d 0
dP/d 0
Rapport cyclique
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Chapitre III Simulation et réalisation pratique
Lire Vn et In
Pn=Pn-1 Oui
No
Pn>Pn-1 Non
Oui
αn+1= αn+d αn+1= αn-d
Pn-1= Pn
Explication de l’organigramme :
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Chapitre III Simulation et réalisation pratique
Le pic 16F877 peut se programmer dans divers langages (micro C, micro BASIC,…) et pour
chaque langage il y a plusieurs compilateurs, pour nous avons choisi le langage C et nous
avons utilisé le compilateur PIC C.
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Chapitre III Simulation et réalisation pratique
Après la simulation de programme, ce programme sera implanté sur le pic 16F877 par
l’utilisation d’un programmateur type rs232 on utilisant le logiciel WinPic800.
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Chapitre III Simulation et réalisation pratique
A. Principe de fonctionnement :
Le capteur de courant à effet Hall est un type de capteur de courant exploitant l'effet
Hall pour produire une tension qui est l'image exacte (avec un facteur de proportionnalité
connu) du courant à mesurer ou à visualiser.
Effet hall
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Chapitre III Simulation et réalisation pratique
Mais les non-linéarités et les phénomènes d'hystérésis empêchent d'obtenir une mesure très
précise dans une large gamme d'intensité. Aussi le montage est-il modifié : un système de
contre réaction impose au transformateur ci-dessous de fonctionner à flux nul, et c'est le
courant d'annulation du flux Is qui est converti en tension à l'aide d'un convertisseur à
Amplificateur Opérationnel :
On a : Is = 1/m · IP
B. Avantages de ce capteur :
La chute de tension introduite dans le montage est très faible : vs étant limitée à
quelques volts la tension vP est inférieure à quelques mV.
L'isolation galvanique entre la mesure et le circuit est un élément appréciable de
sécurité et permet d'éliminer l'influence du mode commun sur la mesure.
La bande passante est relativement large : du continu à couramment 100kHz (500 kHz
pour certains modèles), elle est souvent supérieure à celle du voltmètre mesurant la
tension Vm.
La grandeur de sortie des capteurs de courant à effet Hall industriels étant
généralement un courant, ceci permet en plaçant la résistance de mise à l'échelle de la
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Chapitre III Simulation et réalisation pratique
mesure à distance, une meilleure immunité contre les parasites, dans les applications
de conversion de l'énergie. .
Ils sont aussi largement utilisés comme éléments de mesure dans les boucles de
régulation d'intensité des convertisseurs électroniques comme les hacheurs, onduleurs,
variateurs de vitesse, cycloconvertisseurs.
C. Inconvénients de ce capteur :
A. Principe de fonctionnement :
Cette technologie permet de mesurer des tensions alternatives ou continues avec une
isolation électrique entre les circuits primaires et secondaires. La tension primaire à mesurer
est appliquée directement aux bornes du capteur. Cette tension passe par un amplificateur
d’isolement et est convertie en un courant secondaire de sortie. Ce courant secondaire est
isolé électriquement de la tension primaire et lui est exactement proportionnel. Le capteur de
tension mesure des valeurs instantanées.
Capteur
+v
+v
Entrée 0 Sortie
-v
-v
B. Avantages de ce capteur :
Les principaux avantages de cette technologie intégralement électronique sont les suivants :
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Chapitre III Simulation et réalisation pratique
Mesure possible de toutes les formes d’ondes : tension continue, tension alternative,
impulsions, etc.….
Excellente précision ;
Hautes performances dynamiques ;
Excellente fiabilité.
C. Inconvénients de ce capteur :
U=RI U = 00.5*I
U : tension en (volt).
R : résistance (ohm).
I : courant en (ampère).
Lorsque la valeur du courant de sortie de capteur de courant est faible, nous avons obligé
d’utiliser un amplificateur de type UA741 pour amplifier cette valeur.
, ,
, : résistances ( Ω)
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Chapitre III Simulation et réalisation pratique
R1
Ue PIC
R2 Us
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Chapitre III Simulation et réalisation pratique
R1
R2
Us
Ue
Vin
Vout
Fig. III.10 : Un filtre passe-bas analogique d’ordre 1 réalisé avec un circuit RC.
RC = 10*T T : la période.
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Chapitre III Simulation et réalisation pratique
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Chapitre III Simulation et réalisation pratique
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Chapitre III Simulation et réalisation pratique
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Chapitre III Simulation et réalisation pratique
III.3.13 Conclusion :
Dans ce chapitre nous avons présenté la technique de HILL CLIMBING, leur
organigramme que nous avons utilisé dans notre programme, logiciel de simulation,
également nous avons présenté la réalisation pratique, les différents entrées sorties de
microcontrôleur pic et le schéma électrique d’alimentation et global.
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Conclusion Générale
Espérons que notre travail apportera une aide précieuse pour les étudiants futurs voulant
approfondir leurs connaissances en matière de Microcontrôleurs et aussi viendra enrichir
considérable la bibliothèque du département d’électrotechnique de l’université de BATNA.
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Bibliographique
(7)RA5/AN4/SS : entrée/sortie l’esclave choisi pour le port d’une série synchrone 5 ièreentrée
analogique.
(11,23)VDD : les positifs fournissent pour les logiques et les épingles de l’input/output.
(18) RC3/SCK/SCL : (entré/sortie) l’entrée de l’horloge d’une série synchrone/ sortie pour
les deux modes SPI et I2C.
(23) RC4/SDI/SDA : (entré/sortie) les données SPI dans le mode SPI/ entré /sortie des
données en mode I2C.
(26) RC7/RX/DT : (entré/sortie) les USART asynchrone recevez/ les données synchrone.
(36) RB3/PGM : (entré/sortie)/ être aussi le bas voltage qui programme l’entrée.