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Propriété de Bodart Gabriel

Synthèse examen de Math


Comment réussir l’examen de Math ?
Étapes :
- S’assurer que son cours est en ordre
- Faire une synthèse
- Étudier les définitions
- Refaire des exercices
- S’assurer de tout comprendre
- Prier ou tricher le jour de l’examen

Analyse combinatoire Chapitre 1


Ou = +
Et = .
Dans le principe du dénombrement on retrouve 2 principes :
- Le principe de la somme avec comme exemple si je tire une carte dans
un jeu de 52 carte combien y a-t-il de façon de tirer un as OU un roi :
4+4 = 8 possibilité
- Le principe du produit avec comme exemple si je tire successivement
deux cartes, combien y a-t-il de façons de tirer un as ET PUIS un roi :
4.4= 16 possibilité
Exemple : Un restaurant propose 5 entrée, 8 plats et 6 desserts. Combien
de menus différents de 3 services peut-on composer ? 5.8.6 = 240

Il existe 2 types d’arrangement, le simple et avec répétition


- L’arrangement simple : un arrangement simple de n éléments est un
groupement de p éléments distincts choisis parmi n. c’est une liste de p
élément où l’ordre importe et les répétitions sont exclues. Le nombre de
possibilités est noté Apn et est donné par
Apn = n.(n-1)…(n-(p-1))
Propriété de Bodart Gabriel

Exemple : nombre de possibilité d'élire un comité composé d'un


président, d'un secrétaire et d'un trésorier parmi 25 personnes
P,S,T A253= 25.(25-1).(25-2)
N=25 = 25.24.23
P=3 = 13 800 poss

- L’arrangement avec répétition : un arrangement avec répétition de n


éléments est un groupement de p éléments pris parmi les n éléments.
C’est une liste de p éléments, distincts ou non, où l’ordre importe et les
répétition sont permises. Le nombre de possibilités est noté B pn et est
donné par
Bpn = np

Exemple : Nombre de possibilités de jouer au Joker (7 chiffres parmi les


10)
P=7 B107= 107= 10 000 000
N=10

Il existe 2 types de permutations, la simple et avec répétition

- La permutation simple : une permutation simple de n élément distincts


est une numérotation de TOUS les éléments de l’ensemble ; l’ordre
importe et les répétitions sont exclues. Le nombre de possibilités est
noté Pn et est donné par
Pn=n.(n-1).(n-2)…2.1 // utiliser factorielle = ! (optn ;f6 ;f3 ;f1)

Exemple : Nombre de possibilités de placer 8 convives autour d’une table


8! = 40320

- La permutation avec répétitions : une permutation avec répétitions de n


éléments est une numérotation de TOUS les éléments de l’ensemble ;
l’ordre importe et les répétitions sont admises. Le nombre de possibilités
est noté Pnn1,n2…np et est donné par
Pnn1,n2…np = n!/n1!n2!...np!
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Exemples : combien de mots peut-on former en permutant les lettres du


mots COMMISSION
Résumé :
Arr simple : Anp= n.(n-1)… (n-(p-1))
- P<n
- Ordre importe
- Pas de répétition
Arr avec répétition : Pnp= np
- P<N
- Ordre importe
- Répétition permises
Permutation simple : Pn = n!
- N
- Ordre importe
- Pas de répétition
Permutation avec répétition : n!/n1!n2!...np!
- N
- Ordre importe
- Répétition permises

Combinaison simple : une combinaison simple de p éléments choisi parmi n est


une liste de p éléments. Le nombre de possibilités est noté C np est donné par
Cnp = N!/p!(n-p)!
Exemple : nombre de possibilité de jouer au loto (6 numéros parmi 42)
P= 6 C426 =5245786
N=42

Tirage de ordre Type de répé Nombre de


groupement tition groupement
P objets (p<n) Important Arrangement sans Anp =n!/(n-p)!
P objets (p<n) Important Arrangement avec Bnp=np
P objets (p<n) Pas importan Combinaison sans Cnp=n!/p!(n-p)!
N objets tous Important Permutation sans Pn=n!
N objets tous important permutation avec Pni,j….,k=n!/i!j!...k!
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Probab
ilités chapitre 2-3
Probabilités statistiques (2)
Lois de probabilités
- Une expérience aléatoire est une expérience dont le résultat ne peut
être prévu et dont on connaît à l’avance l’ensemble des résultats
possibles
Exemple : jouer à la roulette

- La catégorie d’épreuve d’une expérience aléatoire est l’ensemble des


résultats possibles de cette expérience et est noté Ώ (oméga)
Exemple : Ώ = (0,1,…36)

- Un évènement d’une expérience aléatoire est un sous ensemble de


l’ensemble Ώ des résultats possibles
Exemple : « tomber sur le 0 »

- L’évènement impossible est un évènement qui ne se réalise jamais. C’est


l’ensemble vide θ
Exemple : « obtenir 1 et 3 au dé »
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- L’évènement certain est l’évènement qui se réalise toujours. C’est


l’ensemble Ώ
Exemple : « obtenir 1,2,3,4,5 ou 6 au dé

- Un évènement élémentaire est un évènement qu’on ne peut réaliser


que d’une seule manière
Exemple : « obtenir 1 au dé »

- AUB est l’évènement qui se réalise si A ou B est réalisé


Exemple : A= obtenir 1 au dé / B= obtenir 2 au dé / AUB= obtenir 1 ou 2
au dé

- A∩B : est l’évènement qui se réalise si A et B sont réalisés


Exemple : A= obtenir un pair au dé / B= obtenir 2 au dé / obtenir un pair
et 2 au dé

- A et B sont des évènements incompatibles si A∩B= θ ( ils ne peuvent pas


se réaliser en même temps)
Exemple : A= obtenir 1 au dé / B= obtenir un pair au dé

- L’évènement complémentaire de A est noté A. il se réalise si A n’est pas


réalisé. On dit alors qu’A et A sont des évènements contraires (ils se
partagent tous les résultats possibles d’une même expérience)
Exemple : A= obtenir 1 au dé / B= obtenir 2,3,4,5 ou 6 au dé

Deux évènements sont équiprobables lorsqu’ils ont la même probabilité de se


produire
Si tous les évènements élémentaires sont équiprobables alors
P(A)= Nombre de cas favorables/Nombre de cas possibles

Axiomes de Kolmogorov :
On considère une expérience aléatoire de catégorie d’épreuve Ώ
- La probabilité d’un évènement A, notée P(A), est un nombre compris
entre 0 et 1
- Seul l’évènement certain a une probabilité égale à 1
- Si A et B sont deux évènement incompatibles (c-a-d A∩B=θ ) de Ώ alors
P(AUB) = P(A) + P(B)
Propriété de Bodart Gabriel

Propriété :
1) P(A) = 1-P(A)
2) L’évènement impossible a une probabilité nulle : P(θ) = 0
3) Si A et B sont deux évènement quelconques, alors
P(AUB) = P(A) + P(B) – P(A∩B)
4) Si A1.A2.A3…..An est une suite d’évènement qui s’excluent
mutuellement, alors
P(A1UA2UA3U….UAn)= P(A1) + P(A2) + P(A3) +…+ P(An)
Conséquence : puisque les évènements A1,A2,A3…. An sont
incompatibles deux à deux et que A1UA2UA3U….UAn = Ώ, alors
P(A1) + P(A2) + P(A3)+ … + P(An) = 1

Probabilités conditionnelles (3)


Probabilités et indépendance
Probabilité conditionnelles : P(A|B) = P(A∩B)/P(B)
Exemple : Dans une population de 100 personnes composée de 30 hommes et
70 femmes, on sait que 18 hommes et 35 femmes ont les cheveux blonds. Si on
choisit une personne au hasard, quelle est la probabilité que cette personne
soit blond sachant que c’est un homme
P(Blond|Homme)= P(Blond∩Homme)/P(Homme)= 18/30= 3 ; p/5
Indépendance : A et B sont indépendants <=> P(A∩B) = P(A).P(B)
Exemple : lors d’un montage d’une voiture, il y a une probabilité de 3% d’un
défaut à la transmission une proba de 4% d’un défaut à la carrosserie et une
proba de 6% d’un défaut au moteur. On suppose que les défauts ne sont pas
interactifs. Quelle est la proba que le contrôle à la sortie de la chaîne de
montage s’exerce sur une voiture qui a les 3 défauts ?
3/100 . 4/100 . 6/100 = 72/1 000 000 = 9/125000

Probabilités d’évènement composés


Évènement indépendants et équiprobables
(a) Déterminer la proba d’avoir 3 fois pile en lançant trois fois une pièce de
monnaie bien équilibrée. On peut modéliser la situation par un
diagramme en arbre (voir p4)
P(PPP) = ½. ½ . ½ = 1/8
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Évènement indépendants et non équiprobables


(a) Selon les stats belge, la proba d’avoir une fille est de 0,4877. Quelles sont
les proba, pour une famille de 2 gosses, d’avoir 2 filles, d’avoir 2 garçon,
d’avoir une fille puis un garçon et d’avoir un garçon puis une fille ?
Construire un arbre (voir p5)
P(FF)= 0,4877.0,4877 = 0,238
P(GG)= 0,5123.0,5123 = 0,262
P(FG)= 0,4877.0,5123 = 0,25
P(GF)= ‘’ ‘’ ‘’

Évènement dépendants et non équiprobables


(a) Dans une classe de physique qui comporte 13 garçon et 9 filles, le
professeur tire au sort deux élèves qui devront ranger le laboratoire. Il
écrit le nom de chaque élève sur un carton, il place les cartons dans une
boîte et tire 2 noms l’un après l’autre. Construire un arbre (voir p5)
Quelles est la proba que sur les 2 cartons tirés figurent des noms de filles
P(FF)= 9/21.8/21 =8/49

En résumé :
Utilisation des définitions et propriétés des probabilités
Si on connait la proba de certains évènements : Au jeu de fléchettes, Adrien est
plus habile que Bertrand. Sa proba d’atteindre la cible est 1/2, tandis que celle
de Bertrand n’est que de 1/3. Chacun joue une fois. Quelle est la proba que
Bertrand n’atteigne pas la cible ? Quelle est la proba qu’ils atteignent tous les 2
la cible
P(B) = 1-1/3 = 2/3
P(A∩B) = ½ . 1/3 = 1/6 (ind)
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Par dénombrement
Si les évènements élémentaires sont équiprobables : on tire une carte d’un jeu
de 32 carte.
Quelle est la proba d’avoir :
- Un as ? : 4/32 = 1/8
- Un cœur ou un roi ? : P(CUR) = P(C) + P(R) – P(C∩R) = 8/32+4/32-1/32 =
11/32
- Une figure de symbole noir ? : 6/32 = 3/16

En disposant les données en arbre :


Si l’évènement se produit en phases successives et qu’à chaque phase, on a un
nombre raisonnable de possibilités : si à chaque naissance, la probabilité que le
bébé soit un garçon est de 0,48. Quelle composition de famille de 3 enfants
sera la plus probable ? pour l’arbre (voir p8)
P(FFF) = 0,523 = 0,14
P(GGG) = 0,483 = 0,11
P(1G;2F) = 3.0,48.0,522 = 0,39
P(2G ;1F) = 3.0,52.0,482 = 0,36

En disposant les données dans un tableau :


Si les objets dont on parle ont 2 caractéristique différentes dont il faut tenir
compte en même temps
migrateurs sédentaires total
aquatique 13 20 33
Non aquatique 37 30 67
total 50 50 100
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Quelle est la proba qu’un oiseau soit pris au hasard


A) Soit sédentaire : 50/100 = ½
B) Ne soit ni migrateur, ni aquatique : 30/100 = 3/10
C) Soit migrateur sachant qu’il s’agit d’un oiseau aquatique : 13/50
D) Soit aquatique sachant qu’il s’agit d’un oiseau migrateur : 13/50
En disposant les données dans des ensembles (voir la page 9) :
Si les objets dont on parle ont plusieurs caractéristiques différentes dont il faut
tenir compte en même temps : dans un groupe de 40 élèves, 18 ont choisi
l’option math 6h, 23 l’option sciences 6h et 11 ont choisi les 2 options
- Suive l’option math 6h : 18/40 = 9/20
- Suive l’option sciences 6h : 23/40
- Suive les deux options : 11/40
- Suive l’option sciences 6h mais pas math 6h : 12/40 = 3/10
- Ne suive ni l’option sciences 6h ni math 6h : 10/40 = ¼

Primitives chapitre 4 :
Les dérivées :
F(x) F’(x)
k 0
x 1
a.x a
a.x+b a
X² 2x
Xn Nxn-1
1/x -1/x²
√x 1/2√ x
Sin(x) Cos(x)
Cos(x) -sin(x)
Tan(x) 1/cos²(x)
Cotan(x) -1/sin²(x)
Ex Ex
Ax Axln(a)
Ln x 1/x
Logax 1/xln(a)
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Les primitives
Les primitives : Soit f une fonction continue sur l’intervalle [a,b], une primitive
de f sur [a,b] est une fonction F telle que F’(x) = f(x), ∀ x ɛ[a,b]

Propriété :
1) Soient f,g deux fonctions continues. On a ∫ f(x) + g(x) dx =∫ f(x) dx+∫g(x)dx
2) Soient f une fonction continue et c ɛ R. On a ∫ c.f(x) dx = c. ∫f(x) dx

0 k
1 X+k
A Ax+k
Xn Xn+1/n+1 + K
1/x Ln(x) +K
Ex E(x) +K
Ax A(x)/ln(a) + K
Cos x Sin(x) +K
Sin x -cos(x) +K
1/cos²x Tan(x)+k
-1/sin²x Cotan(x) +K

Théorème d’existence :
On considère x Аɛ [a ;b] et h>a tel que x+h ɛ [a ;b] et f est strictement
croissante sur (x ; x+h). On note A (x) l’aire comprise entre les droites verticales
passant par (a ; 0) et (x ; 0), l’axe des abscisses et le graphique f. Montrons que
A est une primitive de f, c-a-d A’(x) = f(x)
Par encadrement, on a :
h.f(x)aire du rectangle intérieur< a (x+h) – A(x)< f (x+h)aire entre x et x+h
F(x) < a(x+h)-a(x)/h< f(x+h)

lim f (x )=f ( x) < lim a ( x +h)−a ( x ) =A’(x)< lim f (x +h)=f(x)


h→ 0 h→ 0
h h→ 0

Donc A’(x) = f(x) ∀ x ɛ [a ;b]


Donc A est une primitive de f
Propriété de Bodart Gabriel

Théorème fondamental :
Démontrons que ∫ ba f(x) dx = f(b) – f(a)
Par le théorème d’existence, A et F sont des primitives de f, donc par le
théorème de structure , ∃ kɛ R tel que A(x) = F(x) +k
En x=a , on a A (a) = F (a) + k
c-a-d 0=f(a) + K
En x=b, on a A(b) = F(b) + k
F(b)-F(a)
Et A(b) exprime l’aire comprise entre les droites x=a, x=b, l’axe des abscisses et
le graphique de f donc
A(b) = ∫ ab f(x) dx = F(b) – F(a)

Méthodes :
- Soit on primitive normalement ∫ f(x) + g(x) dx = ∫ f(x) dx + ∫ g(x) dx

- Soit on substitue : rappel [g(f(x))]’= g’(f(x)).f’(x)


- ∫ g(f(x)).f’(x) dx = ( ∫ g(y) dy) (y=f(x))
Pour passer du membre de gauche au membre de droite, on a pris y = f(x) et
dy = f’(x) dx

- Soit on primitive par partie


- ∫ f(x)g’(x) dx = f(x)g(x) - ∫ f’(x)g(x) dx + K
Propriété de Bodart Gabriel

Les intégrales

Une intégrale est notée : ∫ f ( x ) dx=F ( b ) −F (a)


a

Propriété :
1) Soient f,g deux fonctions continues sur [a,b] on a
b b b

- ∫ f ( x )+ g ( x ) dx=∫ f ( x ) dx +∫ g ( x ) dx
a a a

2) Soient f une fonction continue sur [a,b] et c ɛ R. On a


b b

- ∫ c . f ( x ) dx=c .∫ f ( x ) dx
a a

Soient :
- F est une fonction continue sur [a,b]
- X0,…, Xn tels que a = X0 <X1<X2<…<Xn = b
- ∆x= Xi – Xi-1, Vi ɛ {1,…,n}
b n

L’intégrale est définie de f sur [a,b] est ∫ f ( x ) dx= lim ∑ ∆ x . f ( Xi)


a n→+ ∞ i=1

Méthode :

- Soit on primitive normalement l’intégrale et on remplace la fin du calcul


par les bornes
3 4 2 4 2
3 3.3 (−3 ) (−3 )(−3 )
Exemple : ∫ x −3 x dx=F ( 3 )−F (−3 )= −
( 2
) − .
−3 2 2 2 2
Primitive : f(x) = ∫ x −3 x dx
3

=∫ x dx−∫ 3 x dx
3

=x4/4 – 3x²/2 + K
Propriété de Bodart Gabriel

b f ( b)

- Soit on substitue ∫ g ( f ( x ) ) . f ( x ) dx = ∫ g ( y ) dy
'

a f ( a)
6
4
Exemple : ∫ 3
=F ( 6 )−F (1)*
1 ( 2−5 x ) dx
−5 4
Primitive : F(x) = ∫ 5 . dx
( 2−5 x )3
Posons y= 2-5x = f(x)
Dy = f’(x) dx = -5 dx
−4 1
- 5
∫ 4 3 dy
−2
−4
- 5 ∫ 4−3 dy =−4 .
5 −2
4 2 −2
+k = ( 2−5 x ) + K
5
*F(6) – F(1) = (2/5 . (2-30)-2 )-(2/5.(2-5)-2) = -0,044
b b

- Soit on intégrale par parties ∫ f ( x ) g ( x ) dx=f ( x ) . g ( x ) −∫ f ' ( x ) g ( x ) dx


'

a a
2 ln ( x )
dx=F ( 2 )−F ( 1 ) ¿
Exemple : ∫ x 2 *
1
¿
Primitive : F(x) = ln(x) . x-2
PP : f(x) = ln(x) -> f’(x) = 1/x
−1
x
g’(x) = x-2 -> g(x) = ∫ x −2 dx= +K
−1
−1
1 x
= ln (x) . x-1/-1 - ∫ . dx+ K
x −1
= -ln(x) . 1/x + 1 ∫ x dx + K
−2

*(-ln(2). ½ + 2-1/-1) – (-ln(1). 1-1/-1) = 0,153

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