S7-1 - Calcul Des Tassements

Nicolas UTTER
• Calcul du tassement
Calcul du tassement 1
Mécanique des sols
CALCUL DU TASSEMENT
• 1 : Généralités
• 2 : Sols peu compressibles
• 3 : Sol compressibles
• 4 : Théorie de l’élasticité linéaire
• 5 : Méthode œdométrique
• 6 : consolidation
• 7 : exemple
CALCUL DU TASSEMENT
• 7 : exemple
Remblai 1-3
(1-3) l
Niv. initial
Eo
Tassement
E déchargement
0

tassement soulèvement
Si on ne s’intéresse qu’au
tassement, on peut
Profil initial
supposer
que le comportement du
sol est élastique et
…si comportement élastique linéaire (utilisation d’un
module « sécant »).
MODULES DE DÉFORMATION : ordres de grandeur
Constituants du sol Squelette

Grains : 104 MPa Sable: 100 MPa
Eau : 2,2 . 103 MPa Argile raide : 10 à 1 MPa
Argile molle, tourbe, vase : 1 à 0,1 MPa

Tassement d’une couche de 5 m chargée à 100 kPa :
Sable => 100 . 5 / 100.000 m = 5 mm
Argile => 100 . 5 / 1000 m = 0,50 m
La déformabilité des « grains » est en général négligeable
0
Temps
Sol grenu (sable)
Sol fin
( argile)
Tassements
CALCUL DU TASSEMENT
• 7 : exemple
SOLS GRENUS : PERMÉABLES
SOLS FINS : PEU PERMÉABLES
Le tassement varie comme 1/(E.K)
RAPPEL
n = 0.48 n = 0.26
Densité relative
Dr = (emax – e) / (emax – emin)
e = n / (1-n)
d = (1 - n) . s
Dr = dmax / d . (d – dmin) / (dmax – dmin)
Dr : 0 0,3 0,7 1
Sable : < lâche >< moyen >< dense >
SABLE DENSE => TASSEMENTS NÉGLIGEABLES
SABLE LÂCHE => cf SOLS COMPRESSIBLES
CALCUL DU TASSEMENT
• 7 : exemple
• 3 : Sols compressibles
= .h
h
Que se passe Modèle de

t-il quand on Terzaghi L’eau circule
appuie sur une d’autant mieux
argile? que les vides
Squelette
sont grands
Mesure de la contrainte dans le squelette

État initial
’0
Application d’un poids à t=0

L’eau n’a pas le temps de s’évacuer,
elle supporte toute la charge,
Rien ne passe dans le squelette
P u0=P/S/w
’0 ’ 0 =0
À t quelconque Une partie de l’eau s’évacue par les

pores
La pression d’eau diminue
Une partie de la charge passe dans
le squelette
P ut=(1-)P/S/w
’t
’ t =P/S
À t infini Toute l’eau en excédent s’est

évacuée par les pores
Pas de sur-pression interstitielle
Toute la charge est passée dans le
squelette
P u0∞=0 ’∞
’ ∞ =’∞-’0
=P/S
Temps  ’ u
t=0 0+ ’0 u0+
t 0+ ’0 + u0+(1-)
t=∞ 0+ ’0 + u0
K
Poids P(  ) P
S w
Piston (1- )P
S w
Ressort ( ') F=0

Que vaut ?
S F=P
Eau (u)
F=0 F=P
Le pore F
t=0 t t
8
(t)= ' (t)=0 (t)  (t)=1

= P P P P
S S S S
' = F 0  P P
S S S
u= P-F P (1- ) P 0
S S S
u(t) 0 1  ut 1 21
 u0
Logt
si
Consolidation
sI primaire
sII Consolidation
secondaire
s
si = tassement initial
sI = tassement de consolidation primaire : souvent le terme prépondérant
s II = tassement de consolidation secondaire => sols à forte teneur en matière

organique
Tassement total s = si + sI + s II 22
CALCUL DU TASSEMENT
• 7 : exemple
Modules de déformation
Module de déformation déviatoire :

x = - (1+)/E . x
y = - (1+)/E . y = - x
x.ds
 y.ds Ed = - d / d = E / (1+)
 y= -x Module de cisaillement :
G = E / [2.(1+)]
Formules de Boussinesq
r Q
Sol = milieu continu homogène
s Loi de comportement = élasticité
linéaire et isotrope
=> s = (1-2)/E . Q / r
r q Cas d’une semelle circulaire

parfaitement souple
s
=> scentre = (1-2)/E . 2.q.r
=> sbord = (1-2)/E . 4/.q.r
=> smoyen = (1-2)/E . .q.r
r Q
Cas d’une semelle circulaire
parfaitement rigide
s
q => qmoyen = Q / r2
=> s = (1-2)/E . .q.r
=> qmoyen / smoyen = E/(1-2) . 2/r
indépendant de la rigidité
Surface rectangulaire chargée uniformément

L
B
P
Surface rectangulaire BxL chargée par « q » :
Tassement au point « P » :
sP = (1-2 )/ E . q . B . (L/B)
 est coefficient qui ne dépend que du rapport L/B.

 0,56 0,77 0,89 1,05 1,29
L/B 1 2 3 5 10
Le Principe de superposition permet d’en déduire par exemple
le tassement au centre « O » d’un rectangle uniformément chargé
L L/2 L/2
B B/2
O O

B/2
P
sO = 4[(1-2) / E . q . B/2 . ((L/2)/(B/2))]
Or (L/2)/(B/2)=L/B donc ((L/2)/(B/2)) = (L/B)

sO = 2.(1-2) / E . q . B . (L/B)
Or sP = (1-2 )/ E . q . B . (L/B)
=> tassement sous le centre = 2 . tassement sous un coin
Pour traiter les cas les plus généraux, il convient de s’intéresser

d’abord à la distribution des contraintes induites par le chargement
dans le massif : on procèdera ensuite à un calcul « indirect » du
tassement engendré par le chargement.
Incrément de contrainte en un point quelconque d’un massif uniforme
z = 3Q / 2z2 . cos5 = 3Q / 2R2 . cos3

Q
 z
 z

 t

 r
Incrément de contrainte en un point quelconque d’un massif uniforme
z = 3Q / 2z2 . cos5 = 3Q / 2R2 . cos3
z
Le tassement dépend du rapport (z)/(z)

(z)/(z) fort
(z)/(z) faible
Le tassement est en général le fait des couches superficielles
z = 3Q / 2z2 . cos5 = 3Q / 2R2 . cos3

Q=qs
Terzaghi => « bulbe de pressions »
q=Q/S 1
1/2  z
z / q = 0,1 q =cte
1/4
Isobares 1/8
1/16
Bâtiments
Bulbe de pression Pieux
Rocher Rocher
Tassement modéré Tassement sensible

q q q
Sable
Bulbes de pression Argile molle
Surface chargée quelconque
d(z) = 3 / 2z2 . q(x,y) . cos5(x,y) . d q(x,y)
z = 3 / 2z2 . q(x,y).cos5(x,y).d
=> Résolution sous formes d’abaques : d

. Tables de Giroud

. Abaque de Newmark R
z
. ...
 z
Par intégration :
Surface rectangulaire
chargée uniformément :
Distribution de
l’incrément des
contraintes dans l’angle
d’une surface chargée en
fonction de la profondeur
z=I.q
I dépend de m=B/z et
n=L/Z
(m& n sont
interchangeables)
Là aussi, le Principe de superposition permet de traiter des cas plus
généraux
Exemple :on veut calculer le tassement au point B induit par la

surface uniformément chargée A1
A1 = A2 - A3
B B B
À l’aide de l’abaque précédent (ou un autre) on calcule les

tassements s2 et s3 induits par les surfaces chargées A2 et A3.
Par superposition, le tassement induit par la surface A1 est:
s1=s2-s3
Là aussi, le Principe de superposition permet de traiter des cas plus
généraux
Pour calculer le tassement
A1 Est égal à :
au point « B » :
- - +
B B B
Exemple : abaque de Newmark

Calcul à une profondeur quelconque du tassement induit par une
surface chargée « quelconque »
La longueur AB est la profondeur z du
point sous lequel on cherche la contrainte
On dessine l’ouvrage à partir de cette

échelle AB.
Centre de l'abaque : point sous lequel
on cherche la contrainte
La contrainte est proportionnelle au
nombre de carreaux dans la surface
chargée :
=(facteur d’échelle) x (q) x (nombre de
carreaux)
Exemple : abaque de Newmark
Sol stratifié
q
1
z
2
=
Hi 'i
=
i 'i=f(q,z)
 ' M
Hi = i . Hi / Ei
s = i=1 n (i . Hi / Ei)
Calcul
Sol indirect
stratifié : endu tassement
réalité…
Calcul indirect du tassement
Répartition réelle des contraintes sous les semelles
(en raison de la plastification du sol)
TYPE PRESSIONS DE CONTACT TASSEMENTS
EXEMPLES
DE
TYPES
FONDATION SABLE ARGILE SABLE ARGILE
REMBLAIS
SOUPLE
OU
OU
FOND DE RESERVOIR
MENBRANE
METALLIQUE
SEMELLE MASSIVE
OU
RIGIDE SEMELLE FILANTE

SOUS VOILE
CALCUL DU TASSEMENT
• 7 : exemple
ESSAI ŒDOMETRIQUE
ESSAI ŒDOMÉTRIQUE
œdomètre
Remblai de grandes dimensions

=> application privilégiée :
tassement sous le centre d’un
remblai de grande largeur Couche compressible de faible épaisseur
reposant sur une couche mince Substratum peu compressible
…ou recherche d’un minorant

du tassement réel
=> utilisation de coefficients
correcteurs pour approcher le
tassement réel
Oedomètre (Terzaghi)
ESSAI ŒDOMÉTRIQUE
O t O log t
u0=i0
:e0
'i0=0
 Hi ('i)
(s i)
u 0 :ei
'i i0
H H
e0
Hi
Variation de volume :
ei H / H = e / (1+e)
H
1 1
=> Courbe de chargement
à l ’oedomètre :
Avant charge Après charge
O 0 1 2 ( ') O Log0 Log1 Log2 Log(')
=> Indice de
compression : eO eO
Cc = e / Log’ e1 e1
e2 e2
e e Diagramme
oedométrique
1
z
=
Hi 'i 2
=
i 'i=f(q,z)
 ' M
Hi = i . Hi / Ei
s = i=1 n (i . Hi / Ei)
Hi / Hi = ei / (1+ei)
=> s = i=1 n [Cc/(1+ei) . Log’i . Hi] = Cc . Log’ / (1+ei)
Ordres de grandeur de Cc :
Sable : 0,01 à 0,1
Argile raide (kaolinites) : 0,1 à 0,25
Argile moyenne : 0,25 à 0,8
Argile molle : 0,8 à 2,5
Relation de Skempton :
Cc = 0,009 . (WL – 10)
Relation entre Cc et E’oed:

H / H = e / (1+e)
Cc = e / log’
E’oed = ’ / (H/H) = ’ / e . (1+e)
= ’ . (1+e) / (Cc.log’)
log’ = Ln’ / 2,3 = [Ln(’+’)-Ln(’)] / 2,3
= [Ln(1+’/’)] / 2,3
# (’/’) / 2,3
E’oed = ’ . (1+e) . 2,3 . ’ / ’ / Cc
E’oed = 2,3 . ’ . (1+e) / Cc
ARGILES : GONFLEMENT
Une argile gonflante ??
Ce à quoi tout le monde pense…
ÇA PEUT ÊTRE ÇA AUSSI : déchargement mécanique
Profil initial
• « Argile » ne veut pas dire « gonflant »
• Gonflant peut vouloir dire plusieurs choses
• Plusieurs essais permettent de caractériser le gonflement

• La « pression de gonflement » dépend de la procédure d’essai
utilisé
• Il est fondamental d’utiliser un essai représentatif de ce que va

subir le matériau
• Différents types d’essai :

• Gonflement libre
h (%)
• Sous charge constante ho
I
• À volume constant H
s
• Huder Amberg G
F
P a
• Etc, ! Q c
E
D
b D' A
 I H G F E D A log 
• Ce qui se passe sous un radier dans des argiles au fond d’une

fouille à 50 m de profondeur n’a rien à voir avec ce qui se passe
sous un pavillon de banlieue.
• Calculer les efforts sur un radier soumis à du gonflement sans

prendre en compte la souplesse du radier est absurde, et sur-
dimensionne les ouvrages
Gonflement
P
Avant decharg. Après decharg.
 + P 0
S
F  ' + P + P
S w S S
u 0 - P
S
F=-P
Log G Log(')
Soulevement du
fond de fouille
Argile
Echantillon
remanié
Gonflement
e Eau interstitielle
CALCUL DU TASSEMENT
• 7 : exemple
. B : pression de consolidation
Cc : indice de de compression
Cs : indice de recompression << Cc
Niveau ancien Niveau actuel
Frange érodée Remblai récent
'c '0 Niveau ancien

Niveau actuel
'0 'c
Echantillon Echantillon
Sol sur-consolidé Sol sous-consolidé
Sol sur-consolidé : a connu dans son histoire une contrainte plus élevée
OCR = Over consolidation Ratio = ’c/’v0 .

Sol sur-consolidé : a connu dans son histoire une contrainte plus élevée
OCR = ’c/’v0 > 1
Sol normalement consolidé : OCR = ’c/’v0 = 1
Sol sous-consolidé : Sol dont la consolidation est en cours
OCR = ’c/’v0 < 1
Sol sur-consolidé : 1er cas
Sol sur-consolidé : 2ème cas
Sol sous-consolidé
Quelques ordres de grandeur
VITESSE DE CONSOLIDATION
théorie de TERZAGHI
Calcul du tassement 6. CONSOLIDATION
Consolidation des argiles

Consolidation primaire : théorie de Terzaghi
Hypothèses :
. Matériau saturé
Sable
Eau
. Eau et grains incompressibles
H=2h q== u0 Argile
. Consolidation à une dimension Eau Sable
. Loi de Darcy valable
. k = constante
. Elasticité linéaire
. Surcharge uniforme et constante, donc  = q quelque soit z

v+dv
z+dz
dz u
z h à une constante près
v w
1 h 1 u
i  
z  w z
k u
Darcy  q   
 w z

v+dv
z+dz
dz Eau expulsée entre t et t+dt :
z
v q
dv  dq  dt   dz  dt
1 z
k u
or q   
 w z
k  2
u
 dv    2  dz  dt (1)
 w z

v+dv
z+dz
Diminution par tassement du volume :
dz
z
v d ' 1  '
 dz    dt  dz
1 E' E ' t
 
   'u  0
t t
d ' 1 u
  dz     dt  dz (2)
E' E ' t

v+dv
z+dz
k u
2
dz (1) : dq  dt    2  dz  dt
z  w z
v
1 d ' 1 u
(2) :  dz     dt  dz
E' E ' t
(1)  (2)
u  2u kE '
  cv  2 avec cv 
t z w
Sable
Eau
t1
8
t t3>t2
H=2h 
t2>t1 q  =  u0 Argile
0
Eau Sable
Isochrones = courbes u = f(z) à t donné
Degré de
consolidation : U(t) = s(t) / s
U(t) = 2 . 0h ’(z,t).dz/E’oed / [2.q.h/E’oed]

U(t)= [aire(iso(0))-aire(isochrone(t))] / aire(iso(0))
Terzaghi => Cv . d2u/dz2 = du/dt

u(z,t) =  . 4/ . 1oo ( 1/(2m-1) . e-(2m-1)2.2.Cv/4h2 . t . sin((2m-1).z/2h) )
U(t) = 1 -  0h u(z,t).dz / q.h
U(t) = 1 – 8/2 . 1oo ( 1/(2m-1)2 . e-(2m-1)2.2.Cv/4h2 . t
Tv = Cv . t / h2
U = f( Tv ) 1.0
U
0.994
0.931
0.8 0.856
0.697
0.6
0.504
0.4
Surface de charge
0.356
0.2 rectangulaire
Tv = 2
Tv
0 0.1 0.2 0.4 0.7 1.0 2.0
z z
t1
t t3>t2
8
t2>t1 t u '  t=0
8
 
0 0 0
u u u
Drainé 2 faces Drainé 2 faces Drainé 1 face
Sable
Eau
H=h Argile
v=0 Rocher étanche
CALCUL DU TASSEMENT
• 7 : exemple
EXEMPLE DE CALCUL DE TASSEMENT
s=20 kPa
REMBLAI (épaisseur 3 m) Quel va être le tassement de la

couche d’argile?
En combien de temps se
ARGILE saturée (ép. 4 m.) produira-t-il?
On suppose que l’argile est sous-

consolidée.
SABLE
Ici , au milieu de la couche d’argile,

’v0 = ’.2m = (sat-w)x2m=(16-10)x2m = 12 kPa
 =20 kPa + hx3m=20 + 18x3= 74 kPa
H0 =4m
Cc/(1+e0)=0.25/(1+1.5)
D’où le tassement
s=4mx0.25/(1+1.5)xlog[(12+74)/12] = 0.34 m
Au bout de combien de temps le tassement se produira-t-il?
L’argile étant encadrée par des terrains perméables, la distance de

drainage est H0/2 = 2 m
1.0
U
0.931
0.994
Le tassement est « pratiquement
0.8 0.856
0.697
atteint pour Tv=2
0.6
0.504
0.4
Surface de charge Tv = Cv . t / h2
0.356
0.2 rectangulaire
Tv
0 0.1 0.2 0.4 0.7 1.0 2.0 2 = 1.210-7.t/2²
=> T = 770 jours
LES NOTIONS À RETENIR
Dualité sols compressibles / sols peu compressibles
Consolidation : sols sur-, sous- ou normalement consolidé
Vitesse de consolidation
Les formules de Boussinesq sont-elles obsolètes?
Notions sur les modules de déformation
Calcul des tassements 91

Calcul des tassements 92

résistance au cisaillement 93

S7-1 - Calcul Des Tassements

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Nicolas UTTER

Constituants du sol Squelette

Argile molle, tourbe, vase : 1 à 0,1 MPa

La déformabilité des « grains » est en général négligeable

Sol grenu (sable)

SOLS GRENUS : PERMÉABLES

SOLS FINS : PEU PERMÉABLES

Le tassement varie comme 1/(E.K)

Dr = dmax / d . (d – dmin) / (dmax – dmin)

Sable : < lâche >< moyen >< dense >

SABLE DENSE => TASSEMENTS NÉGLIGEABLES

SABLE LÂCHE => cf SOLS COMPRESSIBLES

Que se passe Modèle de

Mesure de la contrainte dans le squelette

Application d’un poids à t=0

À t quelconque Une partie de l’eau s’évacue par les

À t infini Toute l’eau en excédent s’est

t=0 0+ ’0 u0+

t 0+ ’0 + u0+(1-)

t=∞ 0+ ’0 + u0

Ressort ( ') F=0

sI = tassement de consolidation primaire : souvent le terme prépondérant

s II = tassement de consolidation secondaire => sols à forte teneur en matière

Module de déformation déviatoire :

=> s = (1-2)/E . Q / r

r q Cas d’une semelle circulaire

=> smoyen = (1-2)/E . .q.r

Surface rectangulaire chargée uniformément

 est coefficient qui ne dépend que du rapport L/B.

sO = 4[(1-2) / E . q . B/2 . ((L/2)/(B/2))]

Or (L/2)/(B/2)=L/B donc ((L/2)/(B/2)) = (L/B)

Pour traiter les cas les plus généraux, il convient de s’intéresser

z = 3Q / 2z2 . cos5 = 3Q / 2R2 . cos3

Le tassement dépend du rapport (z)/(z)

Le tassement est en général le fait des couches superficielles

z = 3Q / 2z2 . cos5 = 3Q / 2R2 . cos3

Bulbe de pression Pieux

Tassement modéré Tassement sensible

Bulbes de pression Argile molle

d(z) = 3 / 2z2 . q(x,y) . cos5(x,y) . d q(x,y)

z = 3 / 2z2 . q(x,y).cos5(x,y).d

=> Résolution sous formes d’abaques : d

Exemple :on veut calculer le tassement au point B induit par la

À l’aide de l’abaque précédent (ou un autre) on calcule les

Exemple : abaque de Newmark

On dessine l’ouvrage à partir de cette

Exemple : abaque de Newmark

RIGIDE SEMELLE FILANTE

Remblai de grandes dimensions

reposant sur une couche mince Substratum peu compressible

…ou recherche d’un minorant

Relation entre Cc et E’oed:

Une argile gonflante ??

Ce à quoi tout le monde pense…

ÇA PEUT ÊTRE ÇA AUSSI : déchargement mécanique

• « Argile » ne veut pas dire « gonflant »

• Gonflant peut vouloir dire plusieurs choses

• Plusieurs essais permettent de caractériser le gonflement

• Il est fondamental d’utiliser un essai représentatif de ce que va

• Différents types d’essai :

 I H G F E D A log 

• Ce qui se passe sous un radier dans des argiles au fond d’une

• Calculer les efforts sur un radier soumis à du gonflement sans