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TP N°2 de MDS S G : 12 4ème année

1. Introduction…………………………………………………………..3
2. Quelques définitions…………………………………………………6

3. But de l’essai……………………………………………...…………..6

4. Appareillage ………………………..……………………….………..6

5. Mode opératoire...….………………………………………...………7

6. Calculs et résultas…………………..…………………………...……7

7. Interprétation des résultats et classification du sol…………...……8

8. Conclusion…….………………………………………………………9

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TP N°2 de MDS S G : 12 4ème année

Introduction :

Pour la stabilité des ouvrages et pour la sécurité des personnes et des biens,il
faut toujours s’assurer que le sol ou en veut construire est un sol capable de
supporter le poids de l’ouvrage considérer et de ces éléments annexes.
C’est pour cela, l’étude des tassements des sols est un des points les plus
importants de tous les projets de construction.
En effet, le plus souvent la charge ainsi transmise au sol est dirigée suivant la
verticale et les déformations qui en résultent sont en majeure partie dirigée suivant
cette direction.
Le calcul de tassement est extrêmement important pour les fondations
d’ouvrages d’arts (pont, mur de soutènement,….) et de constructions massive
(centrale hydraulique, barrage…) que pour les remblais en terre compactée (digue,
route….).
Le problème de la prévision des tassements repose d’une part sur l’évaluation
des caractéristiques de compressibilité des différentes couches et d’autre part sur la
connaissance de répartition des augmentations de contraintes au niveau de chacune
de ses couches.
Il est possible de déterminer expérimentalement les caractéristiques de
compressibilité au laboratoire (essai oedométrique, essai triaxial) et in situ
(pénétromètre ou perméamétrie) ou par des relations empiriques qui tiennent
compte des caractéristiques physiques du sol.

Dans notre cas, on s’intéresse à l’essai de compressibilité à l’odomètre.

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2. Quelques définitions :

Compressibilité : il s’agit de l’aptitude d’un corps à diminuer de volume


(à masse constante) sous l’effet d’une augmentation de pression. Elle se
manifeste instantanément et n’est pas nécessairement réversible.

Consolidation : on appel consolidation la diminution progressive de la


teneur en eau d’un sol saturé sous charge constante qui se traduit par une
diminution du volume apparent V.

Tassement : c’est un abaissement du niveau du terrain qui correspond


principalement à l’évaluation d’une partie de l’eau vers des zones de moindre
pression interstitielle (consolidation)

Odomètre : c’est un dispositif permettant la compression


unidirectionnelle d’un échantillon de sol saturé, soumis à des charges
verticales, drainé suivant cette direction et maintenu latéralement par une paroi
rigide. Un comparateur permet de suivre le tassement de l’échantillon.

Courbe oedométrique : Sur un échantillon donné, il est fait plusieurs essais.


On applique d’abord une première charge et on attend la fin de la consolidation
sous cette charge, puis on applique une deuxième charge double de la précédente et
on attend qu’il y ait eu consolidation, etc.…
En calculant pour chaque charge l’indice des vides en fin de consolidation on
peut tracer la courbe ( ) appelée courbe oedométrique.
Voir la courbe ci-après.

0
logσ

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Cette courbe rend compte en effet du comportement du squelette solide du


sol, puisque pour chaque point de la courbe on attend la fin de la consolidation de
l’échantillon sous la charge correspondante.

Classification des sols vis-à-vis de la compressibilité : Soit σc la pression de


consolidation, trois cas sont possibles, selon la valeur de σo’ la contrainte effective
véritable avant son extraction du sol.

Sol surconsolidé : σc > σo’

Un sol est dit surconsolidé s’il a subit au cours de son histoire une pression
supérieure à l’actuelle pression due au poids des terres, par exemple, certaines
couches de sol ayant subit le poids des glaciers aujourd’hui disparu.

Sol normalement consolidé : σc = σo’

C’est un sol qui a tassé sous son propre poids et qui n’a jamais subi d’autres
pressions supérieures à celles de l’actuelle.

Sol sous consolidé : σc < σo’

Ces sols sont en cours de consolidation sous leur poids propre, il s’agit de
récents remblais mal ou non compactés ou bien d’une vase.

Analogie mécanique

Quant le robinet est fermé, la charge est supportée par l’eau. A l’instant t=0, on
ouvre le robinet, l’eau commence à s’échapper. A un certain temps t, une partie
d’eau s’échappe et la charge est supportée par l’eau et le ressort. A la fin, l’eau ne
s’échappe plus et toute la charge est supportée par le ressort qui sera comprimé.

Ce phénomène que l’on appelle consolidation primaire, en pratique le temps


nécessaire à la consolidation primaire est le temps qui correspond au tassement final
du sol (tassement primaire) ; au delà de cette phase, toute charge Q est encaissée par
le ressort, c’est à dire par le squelette solide. La pression interstitielle dans le massif
est égale à la pression hydrostatique, la pression U induite par le chargement nulle.
Cette nouvelle phase de tassement s’appelle consolidation secondaire ; elle est
essentiellement due à des modifications dans l’arrangement des grains du squelette

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et dans les couches viscoélastiques d’eau absorbée. Le tassement dû à la


consolidation secondaire est faible dans la plupart des sols.

3. But de l’essai :
L’essai de compressibilité à l’oedomètre est un essai fondamental et une
application directe de la théorie de la consolidation. Il permet d’évaluer l’amplitude
des tassements des ouvrages et ainsi que leur évolution.

Les résultats de cet essai conduisent au calcul des caractéristiques de


compressibilité suivantes d’un sol ayant une compacité donnée :

 Cc : indice de compression.
 Cg : indice de gonflement.
 σc : pression de consolidation.
 E’ : module oedométriques.

L’indice de compression Cc est un coefficient de proportionnalité entre l’indice


des vides et aux variations du logarithme de la pression, et on le définit par la
formule :

Cc = - Δe / Δlogσ

L’indice de gonflement Cg représente la pente de la courbe sensiblement droite


dans la partie déchargement et on le définit par la formule.

Cg = - Δe / Δlogσ

La contrainte de consolidation σc est l’abscisse du point d’intersection de la


tangente à la première tranche et de la partie médiane. σc correspond à la plus forte
pression que l’échantillon de sol a subi au cours de son histoire.

Le module œdométrique noté E’ varie suivant les pressions de un à quelques


milliers de « Bar ». C’est une analogie du module de Young E . Ces valeurs sont
bien inférieures néanmoins à celles des modules de Young des aciers et des bétons.
Les argiles ont des modules oedométriques plus faibles encore. Mais là, il convient
de faire la distinction entre les argiles normalement consolidées et les argiles sur
consolidées et on le définit par la formule :

Année 2003/ 2004 E’ =[ ( 1 + e ) / Cc ]PAGE


. Δσ /5log ( 1 + Δσ / σ ) ENTP
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4. Appareillage:

 Le moule oedométrique :

 L’éprouvette est retenue latéralement par une paroi lisse indéformable. Elle est
comprise entre deux pierres poreuses ou entre deux disques en métal fritté , avec
possibilité pour l’eau de circuler .
 L’effort de compression s’exerce verticalement sur l’éprouvette par
l’intermédiaire d’un couvercle ou d’un piston rigide qui répartit l’effort.
 Les déformations de l’éprouvette sont lues sur un comparateur.

Piston

Comparateur
Eau

Échantillon de
Anneau ARGIL sol
(Trousse) E
hjhhg Pierre
poreuse

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L’appareil odomètre

 Le bâti de consolidation :

Comprenant essentiellement un levier qui permet de transmettre les charges, le


bâti de consolidation doit être rigide et doit appliquer les charges suivant l’axe du
piston. Ces exigences étant satisfaites, il admet de nombreuse s variantes de forme et
de gabarit.

 Les poids :
les poids nécessaires pour l’obtention des charges successives d’un essai
complet constituent une série , chaque bâti de consolidation doit avoir sa série
complète.
Ce sont des disques plats fendus, permettant leur centrage et leur superposition
sur le plateau de charge du bras de levier, pour nous les poids se constituent de :
0,25 – 0,5 – 1 – 2 – 4 (bars).
 Autres appareillages :

- une meule à découper les étuis contenant les éprouvettes.


- une balance précise à 0.1 g portée de 500 g au minimum, pour la mesure des
teneurs en eau.
- une étuve 105°C
- un calibre donnant les diamètres des éprouvettes.
- couteaux de différentes tailles pour tailler les éprouvettes.
- un comparateur au centième de millimètre ayant une course de 10 mm. Pour les
sols très compressibles des comparateurs de même précision ayant une course de 20
mm, environ.

5. Mode opératoire :

ce type de cellule oedométrique est munie d’une trousse coupante de forme


cylindrique qui portera l’éprouvette de sol par taillage. Pour cela on doit opérer de la
manière suivante: tout en s’appuyant légèrement sur la trousse coupante qui est
placée sur l’échantillon, on commence à tailler au couteau d’une façon tronconique
afin de conserver un diamètre toujours supérieur au diamètre final. Il s’agit là
d’obtenir une éprouvette :

 non remaniée par le taillage


 cylindrique aux dimensions exactes de la trousse coupante;
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 ayant deux faces planes et parallèles.

Ces critères dépendent de la nature du sol, de l’expérience et l’habilite de


l’opérateur. le taillage étant terminé , peser l’ensemble trousse coupante +
échantillon pour pouvoir calculer la teneur en eau exacte en fin d’essai et la densité
apparente.

- saturation de la cellule: il est nécessaire de saturer toutes les conduites qui


composent la cellule oedométrique, conduite de la contre pression, de la pression
interstitielle et de la chambre par laquelle est appliquée la pression verticale, afin
d’éviter la présence d’air; cette opération peut se faire avant la mise en place de
l’éprouvette dans la cellule.

- mise en place de l’éprouvette: mettre l’éprouvette de sol entre deux papiers


filtres et placer l’ensemble trousse + échantillon dans le logement prévu a cet effet,
au niveau de la partie supérieure de la cellule doit être assemblée a la partie
inférieure.

L’essai proprement dit consiste a soumettre l’échantillon à la série de charges


et mesurer le tassement de l’échantillon au cours du temps sous chacune de ces
charges et chacune d’elles sera maintenue 24h, mais dans notre cas, lorsqu’on
placera les charges, on attendra que l’échantillon commence à terminé de tasser et
commence à gonfler pour qu’on puisse noter le tassement, tout de suite après on
place une autre charge.

A partir des résultats de l’essai de consolidation, on trace une courbe avec en


ordonnée, sur une échelle arithmétique, les indices des vides en fin de palier de
chargement ou de déchargement, et en abscisse, sur une échelle logarithmique, les
pressions d’essai.

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S = 38,46 cm2
6. Calcul et résultats :

 Section de l’éprouvette : S
H0 = 1,91 cm
 Hauteur initiale : Ho

Teneur en eau w (%) Initiale Finale

Numéro de la tare 1 2 3
Poids de la tare 3,860 4,234 90,973
Poids total humide 38,593 33,970 233,149
Poids total sec 31,262 27,938 196,1
Poids de l’eau 7,331 6,032 37,049
Poids net sec Ps 27,402 23,704 105,127
Teneur en eau W (%) 26,75 25,45 35,24
Teneur en eau moyenne 30,67

 Teneur en eau initiale = 26,10


 Teneur en eau finale = 35,24

Densités initiales mesurées :

 Poids humide + tare W = 233,149 g


 Poids de la tare : Wt = 90,973 g
 Poids humide net : Ws = 142,176 g
 Volume de l’échantillon V = 73,1 cm3
 Densité de sol : γh = Ws / V =142,176/73,1=1,945 g / cm3
 Poids volumique humide : γd = γh / ( 1 + ωmoy ) = 1,945/ (1+0,3067)

γh = 1,945 g / cm3
γd = 1,488 g / cm3
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γs = 2,700 g / cm

 Hauteur des grains solides Hs = Ps / γs S =105,127 / (2,7.38,46)=1,012cm


Avec : Ps est le poids sec net de l’échantillon.

Hs = 1,012cm

Calcul de l’indice des vides ‘e’ :

Pour tracer la courbe de compressibilité , il faut déterminer d’abord


l’indice des vides pour chaque chargement et déchargement car il n’est pas possible
de le mesurer expérimentalement.

Avec : HS : hauteur du solide


HV : hauteur des vides.

Hv = Hep – Hs = (Ho – ΔH) – Hs

Avec : ΔH : le tassement total = ΣΔHi


ΔHi : le tassement à chaque intervalle de contrainte

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Hauteur de
Lecture sur le Tassement Hauteur des vides Indice des vides
Pression l’éprouvette
comparateur Hi (à 10 m)
-4
HV = Hep-Hs e = HV / Hs
Hep=H0-Hi
(bars) Chargement Déchargement Chargement Déchargement Chargement Déchargement Chargement Déchargement Chargement Déchargement

Sans 1,9000
0,012 500 - 0 - - 0,8880 - 0,8770 -
eau
0,012 500 635 0 135 1,9000 1,8865 0,8880 0,8745 0,8770 0,8641
0,262 529 690 29 190 1,8971 1,8810 0,8851 0,8690 0,8746 0,8587
Avec 0,762 567 729 67 229 1,8933 1,8771 0,8813 0,8651 0,8708 0,8548
eau 1,762 620 760 120 260 1,8880 1,8740 0,8760 0,8620 0,8656 0,8518
3,762 694 784 194 284 1,8806 1,8716 0,8686 0,8596 0,8583 0,8494
7,762 796 - 296 - 1,8704 - 0,8584 - 0,8482 -

Tableau des résultats

1. On trace la courbe :

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D’après la courbe on a :

1. la contrainte de consolidation :

σc= 1,4 bars (C’est l’intersection entre les deux branches de


la courbe de chargement)
2. la contrainte effective :

σo’ = γd . h
γd = 1,488 g / cm3

h = 4,80 m h : C’est la mi-profondeur de notre échantillon

Donc : σo’ = 1,488. 4,8.10-1


σo’= 0,71 bars

3. L’indice de compression :

Cc = - Δe / Δ logσ
= - (0,8482 -0,8583) / ( log (7,762 )– log (3,762 ))

Cc = 0,032

4. L’indice de gonflement :

Cg = -Δe / Δ logσ
= -(0,8518-0,8548) / ( log (1,762 )– log (0,762))

Cg = 0,0082

5. Le module œdomètrique :

E’= [ ( 1 + e ) / Cc ] . Δσ / log ( 1 + Δσ / σ )

E’= [ ( 1 + 0,877 ). 0,25 ] / 0,032.log ( 1 + ( 0,25 / 0,012) )

E’= 10,95 bars

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7. Interprétation des résultats et classification de sol:


1. L’allure de la courbe de compressibilité :

Dans les figures ci-dessous indiquent l’allure des courbes de compressibilité


pour trois types de sols différents : sable, argile et vase.

e e e

logσ log σ logσ


a) sable b) argile c) vase

D’après l’allure de notre courbe, on peut dire que c’est de l’argile.

2. L’état de consolidation :

 σc = 1,40 bars
 σo’ = 0,71 bars
σc > σo’

C’est un sol surconsolidé c'est à dire qui a subit au cours de son histoire une
pression supérieur à l’actuelle pression due au poids des terres.

3. la compressibilité :

L’ordre de grandeur de l’indice de compression de différents types de sols


figure dans le tableau ci-dessous :

Cc < 0,02 Sol incompressible


0,02 < Cc < 0,05 Sol très peu compressible
0,05 < Cc < 0,1 Sol peu compressible
0,1 < Cc < 0,2 Sol moyennement compressible
0,2 < Cc < 0,3 Sol assez fortement compressible
0,3 < Cc < 0,4 Sol très compressible
Cc > 0,5 Sol extrêmement compressible

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Dans notre cas :


0,02 < Cc = 0,032< 0,05 Alors c’est un sol très peu compressible.

4. Le gonflement :

Cg = 0,0082 > 0,005 Alors c’est un sol peu gonflant

5. le module oedométrique :

Le tableau ci-dessous donne les modules oedométrique E’ de différents types


de sols soumis à des contraintes inférieures à 10 Bar.

Module oedométrique E’
pour σ < 10 bar
100 – 3000 bars Sable
15 – 100 bars Argile raide
1 – 15 bars Argile molle

Dans notre cas :

1 bars < E’ = 10,95 bars < 15 bars donc, c’est de l’argile molle

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Conclusion :

La compressibilité est un phénomène de diminution de volume. Cela dépend


des contraintes effectives dues aux surcharges à différentes profondeurs.

Ainsi, l’essai œdométrique permet de suivre la consolidation au cours du


temps, de déterminer des propriétés caractéristiques du sol (tel que le coefficient de
compressibilité Cc, coefficient de gonflement Cg) et en fin de classer le sol.

Le sol utiliser dans notre essai est un sol surconsolidé c-à-d que la pression de
préconsolidation est supérieure à la pression effective existante

D’après le module oedométrique, la nature de notre sol est argile molle, qu’est
une agile extrêmement compressible, qu’on peux l’assimilé à une éponge, et qu’en
plus, elle gonfle en contact de l’eau, et d’un autre côté, et d’après l ‘indice de
compression, on a déduit que c’est un sol très peu compressible, plus proche des
sables.

Dans notre cas, on ne peux se permettre d’en tirer des conclusions définitives
sur notre sol, ces résultats très peu ou pas du tout représentatif du milieu et par
conséquent peut créer une mauvaise interprétation.

On peut justifier ces résultats par la durée de notre TP, nous nous sommes
limités, par manque de temps, à un essai oedométrique « modifié », car l’essai
oedométrique proprement dite peu durée jusqu’à 3 semaines d’application.

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