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Réalité : Letachancelle42@gmail.

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Seule dans la chambre, je repense à toute ces fois où j’ai souhaitée en finir. La vie est-ce juste injuste
envers moi où comme le disent les mondaines je n’ai pas de chance. Je repense à ceux qui m’ont
promis oreille et épaule, asile et soutien, amour et attention. J’ai trop cru aux autres même lorsque je
me sentais ridicule en racontant ma vie

Je désire une personne peu importe le sexe, j’ai besoin d’une personne qui m’écoutera sans me
juger. Quelqu’un qui m’aimera malgré la connaissance de mes échecs et défauts.
Je me souviens de cet ami toujours dispos dont l’heure n’intéressait guère lorsque je lui disais que je
n’étais pas bien ; cette personne qui, dans l’ordre de priorité, me classé juste après ses sœurs.
Il ne se souciait pas de ce que les autres pouvaient penser de lui. Déterminer et très affectueux, il a
laissé ses sentiments prendre le dessus sur cette belle amitié qui m’étais précieux.

Je ne sais pas trop où j’en suis, sachant que l’histoire allait loin je fus contrainte de jouer la dure de
lui repousser de la pire de manière. Parfois lorsque j’ai mal je pense à mon ami et je pleure cette
personne unique. Oui ! J’ai perdu un grand ami, un confident, quelqu’un de confiance.
Finalement il avait raison de dire qu’à part lui je ne trouverai pas mieux. Pourquoi je lui qualifie
d’unique ? C’est un monsieur pas très beau ni charisme mais était sincère, honnête et vrai.

J’ai eu des brèves histoires d’amitié, la première que j’appellerai α on s’est connue lors d’une fête
sure de trouver une bonne amie spirituelle et qui semblait avoir un amour désintéressé à ma
personne euh bun je m’étais tromper sur toute la ligne. Je n’étais qu’un livre d’histoire pour la
personne ; je ne pensais pas que j’allais vivre la pire histoire d’amitié avec elle. Utiliser comme un
enfant et mise de côté comme une loc. par la même personne, c’est manque de respect continuelle
et cette hypocrisie m’a handicapée. Faire confiance de nouveau ainsi que se confier laisse place à
une amertume et cette fille méfiante et peu accessible que je deviens. Est-ce que j’exagère en disant
cela ? Non ! Elle m’invitait souvent chez elle où elle taillait toute nos proches en commun en me
sortant sa phrase d’assurance « toi t’es ma sweatheart je ne peux pas parler de toi » genre elle était
incapable de casser du sucre derrière mon dos.

Pourquoi cette amitié était brève ? Tout simplement que la supercherie à prie fin un moment donné.
Ce moment où j’ai compris la mascarade qui se caché derrière ses phrases.

Ce n’était pas la seule histoire non non ! Dans mon cercle d’amies tout le monde connait tout le
monde et donc α n’a pas était la seule. Il y a eu une autre avec qui on se connu lors de du
confinement 2020 celle-ci je l’appellerai β.

Une gentille fille, extravertie sociable résidaient à deux pâté de maison. Au paravent on sympathisait
seulement avec β et sa famille car elles venaient charger chez nous mais avec le temps et le projet de
rénovation de notre lieu de culte nous sommes devenues plus ou moins proches. C’était une bonne
camarade au début mais après lors qu’on a commencée de s’intégrer petit à petit dans
l’environnement de l’autre, de mon côté ça passait fluide mais à l’inverse je commençais à
remarquer de signe d’agacement avec le temps j’en ai déduis qu’il s’agissait peut-être de la jalousie

Mais tout est devenu plus claire lorsque mon amie α s’en est mêlé. Indirectement elle m’a rendue un
grand service en mettant à l’évidence cette jalousie mais le problème, elle ne s’arrêta pas là. Se
retrouvant entre nous deux elle avait pris gout d’alimenter le feu dont l’origine reste inconnue
jusqu’à ce jour. Elle venait me raconter l’histoire de son cousin qui sortait avec son amie β. Elle me
racontait des trucs comme « je la supporte, elle est possessive » ou « d’ailleurs c’est pour mon frère
que je la cause toujours » ou encore « elle a mauvaise caractère… » Que je prenais soin de répondre
avec désintéressement ayant déjà compris ses jeux je m’étais promis de ne pas me mêler de leurs
vies personnelles. Vu que je ne pouvais pas subitement couper le pont, je l’écoutais et rigolais si
c’était nécessaire

Pourquoi je raconte tout ça même ?

Parce que, fut un jour le père de β tira malheureusement la révérence. Bien que déjà mal aimée par
cette dernière je m’étais dit la soutenir et je m’étais rendu au deuil avec α pour éviter le gène ou
autre réaction d’insignifiance ; ce qui est drôle j’étais zappé et c’est à peine si j’étais invité à prendre
parole. Dans un moment pareil j’espérais qu’elle soit moins indifférente. Alors après l’enterrement,
je lui ai envoyé un long message d’encouragement auquel elle avait répondu par « merci beaucoup »
c’était rien mais j’avais appréciée.

Pour la présentation et prédote je ne lui avais pas parlée. C’était pas fait expressément mais je ne
sais plus à l’aise à sa compagnie alors je ne préférais plus la fréquenté
chose qu’elle avait surement mal prise. Le soir où les choses ont éclatés, je rigolais avec des amies et
proches et je défilais également les statuts des gens sur mon portable et alors pour des ami(e)s qui
partagent ma foi qui suivaient et soutenait la RDC lors du foot, je les avais envoyés des sms leurs
rappela leurs neutralité et par erreur le message ce message tomba, lors du partage en groupe, chez
β qui, ensemble avec sa mère et ses sœurs m’ont carrément fait la peau. Il n’est pas important de
dire tout ce qui a été dites mais vraiment elle avait libéré la rage qui était en eux. Aujourd’hui j’en
suis contente car ils n’y a plus d’hypocrite à me coté mais n’empêche que les choses sont telle
qu’elles ont préfère couper le pont

Au début j’avais très mal appris après je fais de cette situation un stimulus. Suivant les conseils de
mes sœurs j’avais réussi à économiser pour me payer un téléphone (un iPhone), des nouveaux
vêtements et sacs je m’étais aussi laisser tenter au maquillage qui a étonné plus d’une.
Mes notes en ont payés le prix fort
A chaque fois que j’ai surmontée des difficultés j’étais seule. Toute les fois où je me confie à
quelqu’un je me sens encore plus mal qu’avant parce que je me dis que cette personne peut passer
que je me lamente trop ou que je suis en train de pleurnicher ou encore j’exagère le fait. En 2022 je
me suis formé une carapace où j’ai appris à dire moins sur moi et de régler mon problème avec mon
mode la détresse.

Très souvent je me sens rejeter des gens ma famille en premier mais si j’en parle eux tous dirons que
c’est faux, j’exagère c’est elles les malaimés ou c’est x qui doit se sentir ainsi mais pas moi ou encore
j’aime faire la victime. C’est pour toutes ces raisons que j’avais pris cette ferme décision n’est plus
parler de mes sentiments à qui que ce soit sauf Jéhovah ! c’est le seul qui était là quand je sombré,
quand je e réveillait tard le soir avec une douleur à la poitrine après avoir tout ressasser en pleurant
sans aucun retenue et se réveiller les yeux gonfler et le corps fatigué ! C’est lui qui me rassurer afin
que je me lève et que je ne cesse pas de me battre malgré que tout en moi me lâchait en particulier
mon cœur qui avec le temps s’est calcifié

Lorsque j’étais petite j’avais des amies qui étaient toutes les ainées de famille ou tout simplement
des enfants qui la vie leurs a enseigné très tôt la maturité et l’indépendance émotionnelle. Pendant
cette période je luttais contre mes défauts et mendiait l’amour et l’attention des gens surtout celui
de mon père.

Mon père ne nous aime pas toutes, mais je ne sais pas pourquoi j’ai l’impression qu’il me supporte.
Pour moi je suis plutôt une responsabilité qu’une fille et une fois à l’université je me suis battue pour
être parmi les excellent afin qu’il ne se plaint pas de moi et malgré tout rien ne change. J’espère
qu’un jour il sera il me considéra comme tel.

Ma mère c’est ma raison de me battre. Elle a tellement soufrèrent que la vie à son égard a toujours
était injuste mais malgré elle sa maladie et l’infidélité de mon père, je sens qu’elle peut vraiment
aller loin pour nous, elle se bat et nous protège du mieux qu’elle peut. Elle nous aime toutes. Comme
tout parent, elle aussi a ses filles favoris, elle aime beaucoup les deux sœurs dont je suis le centre la
grande avant moi et la petite après moi du coup je constate que je n’ai que moi pour m’aimer
comme un père qui aime son enfant préféré et comme une mère qui aime sa fille favori.

Finalement on se sent un peu toute pareil. La différence est que chacun se base sur sa vision mais pas
la réalité. Qui dit vrai je ne sais pas ? Qu’à moi j’ai appris très tôt à m’aimer chose qui fait que je ne
pouvais pas avoir les mêmes souvenirs que mes sœurs car j’étais dans mon bulle au moment que les
autres étaient ensemble. J’ai toujours été différente de tout le monde.

Mes meilleurs amies m’ont laissé sans réelle raison et j’étais la raison pour certaine la dure était de
les voir me montré qu’elles étaient heureux sans moi. Pour les filles de mon espèces on est comme
condamné a resté seule sans amie ni appuis. J’exagère toujours je me donne toujours à 200% dans
des relations mais au finale je prends les choses en pleine face et très souvent je ne suis pas très
sainte dans l’histoire

Mon père m’a une fois dit sans raison valable je cite pour mots : « okozala kaka na sima ba ndeko
n’o » Regardez-moi aujourd’hui je suis là financièrement en train de demander constamment mes
sœurs de prêter, m’offrir et une fois ma petite sœur m’a traité de voleuse parce que je manquais de
l’argent et j’avais pris son sac et déplacé ses affaires
Je désire parfois mourir que vivre cette vie. Je rêve d’avoir une amie qui m’aimera vraiment et sera
capable de défendre de face comme de dos mais c’est trop demander ; je rêve également avoir pour
mari un homme qui participera activement à mon épanouissement personnel sans attendre en
retour quelque chose ou sera lâche au point de me le rappeler à chaque désaccords.

J’aimerai devenir médecin et sauver des vies mais j’aimerai également être très active au ministère

J’aime beaucoup mon Dieu Jéhovah, je suis capable de tout sacrifier pour lui mais parfois je sens
comme s’il se soucie peu de moi peut-être parce que je ne tiens pas à jour mon vœux ou peut-être
parce que je suis une idiote qui pèche tout le temps et refais les bêtises et revenir demander son
esprit saint pour faire face à mes défauts ou encore parce que je ne suis pas une bonne ouvrière. En
dépit tout je le sens dans a vie je sais que ce que je ressens est faux mais comment faire moi je veux
une raison un motif

Je fais du mal à ceux que j’aime.

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