La notion de vie, elle peut être bonne ou mauvaise, triste ou heureuse.

Mais en fait est ce

qu’on choisit vraiment le style de vie que l’on va avoir. Quand le temps passe je me dis
qu’avec beaucoup de chance un jour je serais peut être heureuse… Mais le bonheur le
vrai peut il exister…

J’ai vécu dans une famille « spéciale » mes parents se sont séparés à ma naissance.
Ma mère m’a abandonnée et laissé dans une famille d’accueil. J’ai la chance de ne pas
avoir changer de famille. D’ailleurs ma famille d’accueil a toujours été une famille
formidable. Une belle mère très aimante qui m’a élevé comme sa propre fille. Son mari,
un peu plus réservé est un homme formidable qui m’a apprit énormément de choses. Et
pourtant j’ai toujours voulus connaître ma véritable famille. Celle qui n’a pas hésitée à
m’abandonner dés ma naissance. C’est à 14 ans que j’ai voulus savoir la vérité sur mon
passé. A cet â ge je n’étais soit disant pas assez grande pour tout savoir. C’est alors que se
qu’on me caché est devenu mon obsession. A 15ans je découvris où vivait ma mère. Elle
habitait dans une ville à plusieurs kilomètres de chez moi. Pour lui rendre visite le seul
moyen que j’avais était de prendre le train pendant plusieurs heures. Or là où elle vivait
je ne connaissais personne. C’est alors qu’une idée me vint : aller sur internet et
rencontrer quelqu’un qui pourrait me servir d’excuse. Je ne savais pas à ce moment là
que je ferais la connaissance d’un homme formidable pour qui tout me serais possible…
Je suis tombé amoureuse de cet inconnu qui devint ma première raison de vivre. Mais
pour voir ma mère et cet homme mon histoire devait être sérieuse et pour cela il me
fallait attendre un an de couple virtuel.
Un an plus tard je prenais le train pour voir ma mère ainsi que mon copain. J’avais
une folle envie de présenter mon copain à ma mère mais je ne connaissais rien de l’un où
de l’autre. J’avais décidé de passer mes premiers jours chez mon petit ami. Je ne l’avais
jamais vue mais l’image que je me faisais de lui fut exactement celle que je vis à mon
arrivé. Il était magnifique et d’une tendresse inégalable. J’étais déjà amoureuse mais le
voir et l’embrasser consolidèrent encore plus les sentiments que j’éprouvé pour lui. Je
passais mes journées à l’embrasser et à lui parler. Nous passions tout notre temps
ensemble il me parler de lui, de ses histoires amoureuses, de sa famille et je lui raconter
ma vie au collège et chez moi. Un jour je décida de lui parler de ma mère pensant que
nous étions désormais assez proche pour que je lui dise la vérité sur se qui m’avait
poussé à me mettre avec lui. Il n’apprécia pas ma sincérité et me frappa violement. Je le
comprenais parfaitement pourtant sa réaction me blessa et je me laissa sombrait dans la
déprime. Je me détestais d’avoir agit comme sa et pour me punir je me mutila. Pourtant
les jours qui suivirent tout redevenu normal avec lui il avait recommencé à m’embrasser
comme si l’incident qui s’était produit entre nous n’avait pas eu lieu et cela m’aida à
tenir. Mais un jour pourtant prit dans un passionnel baiser il commença à me déshabiller
se n’était pas la première fois que je lui faisais l’amour mais cette fois si il me caresser les
bras et toucha mes cicatrices. Quand il comprit se que je m’étais fais il me jeta violement
comme il l’avait autrefois fait. Je me mise alors à pleurer le suppliant de me pardonner
lui promettant d’arrêter mais il ne voulut rien entendre et me mit dehors. J’eu juste le
temps de me rhabiller de ranger mes affaires et de partir. Le cœur lourd je me retrouvé à
la rue. Je n’arriver même pas à le détester pour moi tout cela était uniquement de ma
faute alors je sombra plusieurs heures dans les rues à pleurer hésitant à me suicider.
Mais ma première raison d’être ici me revint à l’esprit. Voir ma mère quel meilleur
moment que celui ci pour aller enfin a sa rencontre ?
Sa faisait déjà deux semaines que j’avais quitté la maison où logé mes parents
adoptifs… Sa faisait deux jours que je resté dehors à tourné dans cette ville pour essayer
d’oublier mon copain et de trouver quoi dire à ma mère. Puis un jour je me sentis enfin
prête à aller la voir. Je ne serais pas l’expliquer mais l’envie de la voir me vint vraiment
du jour au lendemain. Je trouva très rapidement sa maison pour l’avoir vue plus d’une
fois en faisant la route sur google map. C’était une maison simple mais très jolie. Quand
je me retrouva devant sa porte mon cœur se mit à battre plus rapidement. J’ai donc
toqué avec la même rapidité. Il y avait un interphone alors le dialogue commença par
une brève présentation faite à l’interphone. On m’invita à entrer et je me dis que mes
efforts n’étaient pas vint je verrais enfin ma mère. Une fois entré à l’intérieur j’eu
l’impression d’entrer dans un nouveau monde. La femme qui m’avait mise au monde me
regarder à peine comme si après tout le temps qui était passé elle ne m’accepter
toujours pas. Je lui expliqua tout de même la raison de ma venu. Malheureusement pour
moi elle ne voulait pas m’écouter ni m’accepter. Au bout d’une heure je sortis lassé de
parler pour rien et d’essayer de justifier ma présence alors que de toute évidence tout se
que je lui disais ne servait à rien. Ma venue ici serait donc un échec total tant cô té couple
que du cô té familiale… C’est se dont je pensais quand la porte que je venais de refermer
derrière moi s’ouvrit. J’hésita à me retourner puis me dis que de toute manière cela ne
servirait surement à rien. Mais alors que je faisais quelques pas pour m’écarter de cette
maison je sentis quelqu’un me retenir par le bras. Il me prit tout d’abord le bras puis
doucement hésitant à me lâ cher il me tint la main et me demanda de me retourner. Et
c’est à ce moment là que je compris qu’il y avait autre chose d’important pour moi ici. Un
double un faux jumeau, appelé sa comme vous le souhaité mais pour moi ce fut tout
simplement la vérité que j’avais toujours voulu savoir. La chose la plus importante pour
moi… Et maintenant je le savais très bien je me battrais pour rester dans cette ville où
mon copain et ma mère m’avaient rejeté, pour lui. <3

Mes yeux se baissèrent sans que je ne le veuille réellement. Je n’oser tout

simplement pas le regarder les larmes me vinrent presque immédiatement après.
Pourtant malgré mon apparence désemparée il ne partit pas. Il resta devant moi à me
regarder. Il s’approcha un peu plus de moi et de sa main gauche il essuya mes larmes. Sa
peau était chaude et douce si délicate. Je leva la tête comme pour l’interroger du regard
mais il n’oser pas me parler. Nous avions pourtant tant de choses à nous dire… Tant de
choses qui pourtant ne pouvait être abordées sur ce trottoir. Il me sourit et s’avançant
encore un peu plus de moi me prit contre lui serrant ses bras dans mon dos. J’étais si
heureuse de le voir de savoir qu’il exister… Une lumière dans toute cette ombre que
pouvait être ma vie. J’avais fermé les yeux laissant mes larmes s’échouées en silence. Ce
moment magique, cet instant de chaleur et de réconfort ne dura malheureusement pas.
Sa mère, notre mère si je puis dire, ouvrit la porte et l’appela d’une voix sévère lui disant
qu’elle ne voulait pas qu’il tombe malade une fois encore. Il mit donc fin à notre étreinte
et prenant un peu de recule me regarda. Son regard était doux et réconfortant il me
disait d’avoir confiance en lui.

- Nous nous reverrons…

- Je… Quand ?

Il me passa un bout de papier dessus il avait écrit un numéro de téléphone. Je leva

les yeux pour le remercier après avoir mit le bout de papier dans ma poche mais déjà
étais-je seule.