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MAGUETTE MBAYE

Réseau
Madame
Opérateur Diène
I-RTC
II-Réseau de transport SDH et PDH
III-Ethernet classe opérateur
Plan IV-Réseau de transport optique WDM et DWDM
V-Réseau ATM
VI-Frame Relay
VII-La technologie MPLS
Comme son nom l’indique, le RTC est un réseau
téléphonique analogique. C’est une technologie qui
ne date pas d’aujourd’hui : en effet, il a été mis en
RTC place dès les années 70. Le RTC, mis en place pour
la communication par téléphone fixe, est aujourd’hui
encore utilisé pour accéder à internet. Comme ce
n’est pas son but premier, il fait preuve de limitations
qui fait qu’il va être progressivement remplacé par
de nouvelles technologies numériques.
La technologie RTC a parfois des impacts négatifs sur le déploiement des
projets IoT/M2M En effet, avec le RTC, un poste de supervision ne peut
qu'effectuer un appel à la fois vers les équipements connectés. Résultats :
les temps de télérelève sont élevés et les équipements nécessitent
d’importants besoins hardware. Voilà pourquoi, il peut être intéressant pour
les entreprises ou collectivités, de se tourner vers l’alternative de la
connexion via IP.

Au programme, de nombreux avantages :

RTC Bénéficier d’un transfert de données facturées au volume consommé et non


à la minute, entraînant des économies en matière de coûts de
fonctionnement ;
Améliorations techniques et fonctionnelles des projets M2M avec un
monitoring et un accès à distance en temps réel 24/7 ;
Possibilité d’initier plusieurs communications en même temps de manière
sécurisée ;
Dans le secteur des ascenseurs, il faut savoir que la
plupart des équipements reposent sur la technologie du
RTC pour gérer les systèmes de communication. Cela
permet notamment, aux usagers, de donner l’alerte en cas
de panne ou de blocage cabine. Aussi, il apparaît
indispensable que les sociétés qui gèrent ce type
d’équipements vont devoir s’adapter. Comment ? En
RTC basculant, par exemple, vers la technologie GSM, dans
laquelle il sera plus facile de lier une ligne analogique
avec une connexion par IP. Pour autant, ce n’est pas le
seul secteur concerné. En France, de nombreuses
entreprises font encore appel au RTC, comme le secteur
de la sécurité des biens et des personnes avec les alarmes
et la télésurveillance (12%), les ascenceurs (12%) ou
encore les terminaux de paiement (17%).*
La hiérarchie numérique plésiochrone (PDH) est née au
début des années 70 avec la numérisation du téléphone.
Elle définissait, entre les points du réseau de
l’opérateur, des jonctions Mic à 2Mbit/s accueillant
trente-deux circuits à 64 kbit/s par multiplexage
temporel. C’est à partir de ce multiplexage successif
des circuits sur plusieurs niveaux que la hiérarchie des
débits a été créée en Europe : 2 (E1), 8 (E2), 34 (E3),
Réseau de 140 (E4) et 565 Mbit/s (E5). Le réseau de transmission
existant est constitué pour l'essentiel par juxtaposition
transport de deux technologies (PDH et SDH), sur des supports
SDH et PDH principalement optiques. Il existe cependant des liens
hertziens dans certaines zones géographiques peu
adaptées aux conduites enterrées. La structure de ces
réseaux est soit du type réseau maillé comme c'est le
cas aujourd'hui pour de nombreux réseaux interurbains
en Europe, soit du type réseau en anneau, structure qui
s'est beaucoup répandue avec la SDH dans les réseaux
urbains et régionaux, et dans les réseaux longue
distance en Amérique puis en Europe.
Le transfert de données est basé sur un flux à 2 048
kbit/s. Pour la transmission de la voix, ce flux est
séparé en 30 canaux de 64 kbit/s et 2 canaux de 64
kbit/s utilisés pour lasignalisation et la
synchronisation. On peut également utiliser
Réseau de l'intégralité du flux pour de la transmission de
donnée dont le protocole s'occupera du contrôle. Afin
transport d'amener plusieurs flux de 2 Mbit/s d'un point à un
PDH autre, ils sont combinés par multiplexage en groupes
de quatre. Cette opération consiste à prendre 1 bit du
flux #1 suivi d'un bit du #2, puis le #3 et enfin le #4.
L'équipement émetteur ajoute également des
informations permettant de décoder le flux
multiplexé
La combinaison du multiplexage décrit permet un
débit de 8 Mbit/s. Des techniques similaires
permettent d'agréger quatre de ces flux pour former
des conduits de 34 Mbit/s puis 140 Mbit/s et enfin
565 Mbit/s. Ces débits en Europe sont nommés Ei
Réseau de avec E1 correspondant à 2 048 kbit/s, E2
correspondant à 8 Mbit/s, E3 correspondant à 34
transport Mbit/s, E4 correspondant à 140 Mbit/s (le plus haut
débit normalisé) et E5 correspondant à 560 Mbit/s
PDH mais n'ayant jamais été normalisé. L'utilisation du
PDH se limite le plus souvent à 140 Mbit/s après
quoi on lui préfère la SDH. Les débits PDH aux
Etats-Unis sont nommés Ti avec T1 à 1,544 Mbit/s,
T2 à 6,312 Mbit/s, T3 à 44,736 Mbit/s et T4
fonctionnant à 274,176 Mbit/s.
Réseau de
transport
PDH
Les sigles "SONET" et "SDH" sont mis pour
"Synchronous Optical NETwork" et pour
"Synchronous Digital Hierarchy". Ces termes
désignent des ensembles de protocoles reliés à
l'utilisation de la fibre optique dans les réseaux. La
Réseau de hiérarchie numérique synchrone (SDH) est la version
européenne (c’est à dire répondant aux attentes des
transport européens) du réseau optique synchrone (SONET)
qui est un protocole d'origine américaine. Pour la
SDH norme SONET, les niveaux sont classés en OC :
Optical Contener. Pour la norme SDH, les niveaux
sont organisés hiérarchiquement en STM - n
(Synchronous Transport Module, niveau n). La
hiérarchie de la norme SDH correspond à celle de
SONET
Le niveau 1 de SDH (155,52 Mb/s) est le niveau 3 de
SONET et le niveau 2 de SDH (622,08 Mb/s) est le
niveau 12 de SONET. Les réseaux SDH les plus déployés
sont aujourd'hui des réseaux combinant les niveaux STM
1 (155 Mbit/s), STM 4 (622 Mbit/s) et STM 16 (2,5
Réseau de Gbit/s). La technologie SONET/SDH utilise un
multiplexage temporel à travers des multiplexeurs appelés
transport ADM (Add/Drop Multiplexeur) ou MIE (Multiplexeur à
Insertion/Extraction) Le multiplexeur terminal (TM,
SDH Terminal Multiplexer) permet le multiplexage de signaux
affluents plésiochrones (PDH) dans un signal de ligne
STM-1 résultant. Les répéteurs-régénérateurs sont des
équipements qui permettent, dans une transmission
longue distance, d’amplifier et de remettre en forme le
signal optique.
Réseau de
transport
SDH
Depuis de nombreuses années, on utilise le protocole
Ethernet dans les réseaux locaux. Au départ, le but de
ce protocole était de définir une manière simple et
peu coûteuse pour échanger des informations entre
machines. Il est inventé au milieu des années 1970
Ethernet au Xerox Parc Center. Ses principaux avantages sont
sa simplicité et son prix faible. Ethernet s’adapte
classe aussi à la demande de débit toujours croissante, on
est passé de 10Mb/s à 100Gb/s. Sa facilité à monter
opérateur en débit et ses coûts faibles font que c'est devenu un
standard pour le réseau local (LAN), le réseau local
radio (WLAN), mais aussi pour les réseaux
opérateurs (WAN). Tous les ordinateurs actuels
utilisent Ethernet, que ce soit en filaire via une prise
RJ45, ou en radio en utilisant le WiFi
A sa création le protocole Ethernet était destiné à être
utilisé dans des réseaux locaux, et en raison de sa
simplicité et de son adaptation aux nouvelles
exigences en terme débit, Ethernet peut aujourd’hui
être utilisé dans les réseaux opérateur. L’utilisation de
Ethernet ce protocole dans le réseau de transport réclame
l’ajout de fonctionnalités de supervision, de mesure
classe de performances et de gestion de protection efficace.
Ces fonctionnalités ajoutées, Ethernet est devenu
opérateur Carrier Ethernet. Avec l’évolution des usages dans
l'utilisation d’Internet notamment avec la consultation
de vidéo, les abonnés consomment de plus en plus de
bande passante. Le réseau doit donc pouvoir monter
facilement en débit. Pour cela les opérateurs utilisent
de nouvelles technologies comme le multiplexage
Carrier Ethernet propose deux types d'interface
Ethernet d'entrée pour un service Ethernet : les User Network
Interfaces (UNI) et les External Network Interfaces
classe (NNI). Les premières sont les interfaces de
démarcation entre le réseau d'un opérateur ou d'un
opérateur client, et le réseau de son client. Les deuxièmes sont
des interfaces entre deux parties du réseau opérateur
Ethernet
classe
opérateur
Les reseaux de transport optiques sont composes de nœuds
interconnectes par des fibres optiques. Les nœuds assurent les
fonctionnalites de multiplexage/demultiplexage, emission,
reception et brassage des flux de trafic. Les fibres optiques
permettent le transport des flux entre les noeuds d’interconnexion
Réseau de sous forme d’un signal optique. Les reseaux SDH n’envoient qu’un
seul canal optique, transportant la trame STM-N, sur chaque fibre.
Cela oblige parfois `a multiplier les fibres entre deux noeuds pour
transport obtenir la capacite necessaire au transport de nouvelles demandes.
Le progres technologique a permis l’emergence de la technique de
optique multiplexage en longueur d’onde (Wavelength Division
Multiplexing ou WDM), qui permet de combiner plusieurs canaux
WDM sur le meme signal optique, chaque canal utilisant une longueur
d’onde differente. La bande passante disponible dans une fibre peut
etre alors considerablement etendue: chaque longueur d’onde
permet un debit de plusieurs Gbps et des dizaines de longueurs
d’onde sont utilisables. Cette evolution permet d’exploiter une plus
large bande passante de la fibre optique que celle qu’utilise un seul
emetteur optique dans le cas de SDH.
Principe de multiplexage en longueur d’onde
Le multiplexage en longueur d’onde consiste `a
Réseau de juxtaposer plusieurs signaux de longueurs d’onde
transport differentes sur la meme fibre optique. Afin de mettre
en œuvre cette technique, un systeme WDM utilise
optique deux terminaux interconnectes par une liaison
optique. Le premier terminal est un multiplexeur et
WDM le second terminal est un demultiplexeur. La Figure
1.7 illustre le modele d’une liaison WDM entre deux
terminaux.
Réseau de
transport
optique
WDM
Pour des raisons historiques de standardisation, les
reseaux de telecommunications ont une architecture
en plusieurs couches technologiques. Chaque couche
a une fonction particuliere et offre un service `a la
Réseau de couche sus-jacente en utilisant la couche sous-
jacente. Le modele de reference OSI (Open System
transport Interconnection) de l’ISO (International
optique Standardization Organisation) represente le modele
d’architecture en sept couches qui permet de definir
DWDM toutes les fonctions assurant le fonctionnement d’un
reseau et les principes d’interconnexion entre les
couches. Il reste toutefois un modele theorique car
dans la pratique une couche peut assurer plusieurs
fonctionnalites.
Les architectures les plus courantes associent les
fonctionnalites de differents protocoles. Nous citons
`a titre d’exemple les architectures basees sur une
couche de transport optique tel que IP sur ATM sur
Réseau de SDH, IP/MPLS sur SDH sur DWDM, IP/MPLS sur
OTN sur DWDM, IP/MPLS sur DWDM, etc. Notre
transport etude considere le cas des reseaux de nouvelle
generation IP/MPLS sur OTN sur DWDM. Cette
optique etude est principalement motivee par l’apparition de
la nouvelle technologie OTN (Optical Transport
DWDM Network), qui est entrain de devenir de plus en plus
prometteuse pour les reseaux de transport de
nouvelle generation grace `a ses grandes capacites de
transmission et sa gestion efficace des reseaux
optiques.
Les architectures les plus courantes associent les
fonctionnalites de differents protocoles. Nous citons
`a titre d’exemple les architectures basees sur une
couche de transport optique tel que IP sur ATM sur
SDH, IP/MPLS sur SDH sur DWDM, IP/MPLS sur
OTN sur DWDM, IP/MPLS sur DWDM, etc. Notre
etude considere le cas des reseaux de nouvelle
Réseau ATM generation IP/MPLS sur OTN sur DWDM. Cette
etude est principalement motivee par l’apparition de
la nouvelle technologie OTN (Optical Transport
Network), qui est entrain de devenir de plus en plus
prometteuse pour les reseaux de transport de
nouvelle generation grace `a ses grandes capacites de
transmission et sa gestion efficace des reseaux
optiques.
L'ATM a été mis au point au CNET. Contrairement
aux réseaux synchrones (comme les réseaux
téléphoniques)
où les données sont émises de façon synchrone c'est-
à-dire que la bande passante est répartie
(multiplexée) entre les utilisateurs selon un
découpage temporel, le réseau ATM
Réseau ATM transfère les données de façon asynchrone, ce qui
signife qu'il transmet dès qu'il le peut. Alors
que les réseaux synchrones n'émettent rien lorsqu'un
utilisateur n'a rien à émettre, le réseau
ATM va utiliser ces blancs pour transmettre d'autres
données, garantissant ainsi une meilleure bande
passante !
Le Frame Relay (ou relais de trames) est un service
de télécommunication à commutation
Frame relay de paquets conçu pour assurer à faible coût la
transmission de données pour un trafic intermittent
entre réseaux locaux (LAN), et entre points de
terminaison sur les réseaux étendus (WAN).
Ce service, largement généralisé et implémenté, est
progressivement abandonné par les principaux fournisseurs de
services Internet. Sprint a mis fin au service de relais de trames
en 2007. Verizon avait planifié la fin du service pour 2015.
AT&T a arrêté le service en 2012, mais souhaitait assurer le
support à ses clients jusqu'en 2016.
Le relais de trames encapsule les données dans une unité de
taille variable appelée trame et laisse les points de terminaison
Frame relay se charger des corrections d'erreurs (la retransmission de
données), ce qui accélère globalement la transmission des
données. Pour la plupart des services, le réseau fournit un
circuit virtuel permanent (PVC) : le client voit une connexion
dédiée continue sans payer une ligne louée à plein temps,
tandis que le fournisseur de services identifie le chemin de
chaque trame jusqu'à sa destination et peut facturer à
l'utilisation. Les circuits virtuels commutés (SVC), en
revanche, sont des connexions temporaires détruites après le
transfert complet des données.
Une entreprise peut choisir un niveau de qualité de
service et privilégier certaines trames au détriment
d'autres. Un certain nombre de fournisseurs de
services, dont AT&T, proposent le relais de trames,
disponible sur des lignes T-1 fractionnées ou sur des
réseaux T-carrier complets. Le relais de trames
Frame relay complète le RNIS et fournit un service de milieu de
gamme entre ce dernier, qui offre une bande passante
à 128 Kbit/s, et l'ATM (Asynchronous Transfer
Mode), qui fonctionne à peu près comme le relais de
trames, mais à un débit de 155,520 Mbit/s ou
622,080 Mbit/s.
CONCLUSI MERCI aux sources.
ON

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