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L'informatique en 1984

Microsoft vient ses origines


de sortir son remontent à 1969
premier OS

Unix était
payant

En 1984Richard
Stallman créa le
En 1991, Linus Torvalds créa projet GNU
son propre système (programmes libres)
d'exploitation = Linux,
= =

la création du "coeur" les programmes de base


d'un système d'exploitation (programme de copie de fichier
(le noyau). , suppression de fichier, éditeur de texte)
ont été
fusionnés
Un programme libre est un programme
dont on peut avoir le code source, c'est-
à-dire la "recette de fabrication". GNU/Linux

On dit "Open Source", car son code source est ouvert. Tout le monde peut le voir.
Les distributions de Linux
une distribution c'est un peu l'emballage de Linux. Le
coeur, lui, reste le même sur toutes les distributions.

Ce qui peut différer d'une distribution à l'autre :

• L'installation (elle peut être très simplifiée comme très


compliquée)
• La gestion de l'installation des programmes. Si elle est
bien faite et centralisée, elle peut rendre l'installation de
nouveaux logiciels plus simple que sous Windows
comme nous le verrons plus loin !
• Les programmes préinstallés sur l'ordinateur (par
exemple Windows est livré avec Internet Explorer et
Windows Media Player)
Systèmes de fichiers Linux

• Ext2 : c'est le système de fichiers qui a longtemps été


utilisé sous Linux. Il a été développé par un français
(Rémy Card) et présente la particularité de ne pas se
fragmenter. Ainsi, sous Linux et depuis longtemps, il n'y
a pas besoin de faire de défragmentation.
• Ext3 : l'ext3 est très proche de l'ext2, à une différence
majeure près, la journalisation. En effet, ext2 n'était pas
journalisé, et en cas de crash disque on risquait plus
facilement une perte de données. Ce n'est plus le cas
avec l'ext3.
A noter que l'ext2 et l'ext3 sont parfaitement compatibles
entre eux, dans un sens comme dans l'autre.
A propos du nom des disques

On va découvrir les noms des disques sous Linux avec un exemple :


hda

• h : la première lettre indique si le disque est de type IDE ou SCSI


(un type de connexion différent à la carte mère). Si c'est une IDE, la
lettre est un h, si c'est un SCSI (ou un S-ATA), la lettre est un s.
• d : cette lettre ne change pas.
• a : c'est cette lettre qui indique les différents disques durs. hda
représente le premier disque dur IDE, hdb le second, hdc le
troisième etc.
• Lorsqu'on crée des partitions, on ajoute généralement un chiffre
représentant le numéro de la partition. Ainsi, si on a 3 partitions sur
notre disque hda, elles seront nommées hda1, hda2, hda3...
Installation de Fedora
Les phases principales de l’installation d’une
machines Gnu/Linux sont les suivantes :

1. Amorçage de l’installation
2. Partitionnement du disque dur
3. Installation du chargeur de boot
4. Configuration du réseau
5. Détermination du fuseau horaire
6. Initialisation du mot de passe root
7. Choix et installations des logiciels
8. Paramétrages post-installation
Installation de Fedora
Amorcage du système

1. Vous commencer par insérer dans votre lecteur CD le premier CD de la


série des CDs fournis avec la distribution (au cas où vous êts munis du
DVD insérer le)
2. Vérifier dans le BIOS de votre machine si le lecteur CD ou DVD est choisi
comme premier périphériques de démarrage, sinon commencer par
ajuster ce paramètre.
3. Allumer votre poste
4. Une fois la machine allumée, le démarrage se fait depuis le CD ou DVD
et affiche un écran de démarrage avec un prompt « boot : »
5. Dans ce première phase d’initiation on ne va pas développer toutes les
options fournies à ce niveau, il suffit simplement de saisir la touche
« Entrée » ou attendre un petit moment pour que l’installation démarre.
Juste après une fenêtre apparaît vous offrant la possibilité de vérifier
l’intégralité des supports physiques (CDs ou DVD) que vous utilisez.
Si vous êtes sûr de vos supports vous pouvez sauter cette étape.
Installation de Fedora
Vérification du disque
Installation de Fedora
Choix du partitionnement
L’assistant vous propose le choix entre un partitionnement automatique et un
partitionnement manuel
Le partitionnement par défaut va adopter la structure suivante :
 /boot : partition sur laquelle sont installées les
informations nécessaires au démarrage,
 / : partition sur laquelle est installée le système,
 SWAP : partition dont le système se sert pour
décharger la mémoire (RAM) lorsqu'elle atteint un
certain niveau.
Installation de Fedora
Le partitionnement personnalisé, où vous pouvez choisir
les partitions que vous souhaitez créer/formater/supprimer.

 /boot partition sur laquelle va se lancer Fedora (pour une


taille d'environs 100Mo)
 / partition sur laquelle s'installe le système. Variez la
taille de cette partition en fonction de votre disque dur mais
sachez qu'une installation complète du DVD/CD prendra
environ 9 Go,
 SWAP partition qui permettra d’alléger la mémoire vive
son dimensionnement suit la règle 2n*RAM pour des
machines à taille mémoire jusqu’à 3Go
 /home Partition sur laquelle sont conservées les
données de l'ensemble des utilisateurs.
Installation de Fedora
Installation de GRUB
GRUB est ce qu'on appelle un chargeur de
démarrage, en d'autres termes un
programme qui permet de choisir et de
lancer un système d'exploitation. Si vous
n'avez qu'un seul disque, a priori, les
options par défauts conviennent.
Installation de Fedora
Configurer le réseau
• L’assistant d’installation détecte toutes les cartes réseau de la machine.
• Par défaut l’assistant propose une configuration par DHCP des
interfaces
Pour configurer manuellement
une interface il suffit de la
sélectionner et de cliquer sur le
bouton « Editer ».
Le nom de la machine est aussi
configurable manuellement ainsi
que La passerelle par défaut et les
serveurs DNS
Installation de Fedora
Configuration du fuseau horaire :
Il suffit tout simplement de pointer sur votre zone géographique sur carte du globe
présentée.

Une fois pointée dessus


Casablanca/Maroc est affiché sur le
rectangle
Installation de Fedora

Mot de passe root :

L’étape suivante permet d’attribuer un mot de passe à


l’utilisateur « root » de la machine d’au moins 6 caractères.
Sachez bien que l’utilisateur « root » (est un « super
utilisateur ») est le compte possédant tous les droits sur la machine
d’où la nécessité de lui attribuer un mot de passe difficile à
déchiffrer et à deviner.
 utiliser des combinaisons de majuscules, miniscules,
chiffres, caractères spéciaux
 N’utiliser pas des mots et des noms
Installation de Fedora
Sélectionner les logiciels à installer
la partie concernant la sélection des logiciels à installer. La sélection
des logiciels à installer a nettement évolué, elle se présente sous
forme de groupes de paquetages

Pour Fedora elle propose par


défaut une installation avec les
outils de production standard et
bureautique. Vous pouvez les 2
autres catégories avec l’option de
« Personnaliser maintenant » pour
avoir plus de choix de logiciels à
intégrer lors de l’installation
Installation de Fedora
Réaliser des opérations de Post-installation

Après la fin de l’installation et du redémarrage de la machine un assistant


De 1er démarrage apparaît pour ajuster certains paramètres

Licence : Demande la confirmation d’acceptation


des termes de licence du produit.
Pare-feu : Permet au root d’activer le firewall sur
certains services ( web, mail, ftp, nfs
SELinux : Il s’agit de l’activation d’un mécanisme de
renforcement de sécurité au niveau des accès aux
programmes et applications
Date et Heure : Permet de synchroniser votre
machine avec un serveur de temps
Ajouter un utilisateur : Jusqu’à présent le seul
utilisateur déclaré au niveau De la machine est le
« root », cette étape vous permet de rajouter d’autres
utilisateurs.
Carte son : Permet de configurer votre carte son
Connexion au système
Présentation de kde
KDE ("Kool" ou "Kommon" Desktop Environment) est un bureau graphique
basé sur X-Window.
􀂄 La 1ère version du KDE a été opérationnelle en juillet 1998.
􀂄 Il existe d'autres alternatives de bureaux graphiques comme GNOME (Gnu
Network Object Model
Environment) démarré en 1997.
􀂄 Les bureaux graphiques se sont largement inspiré de l'interface de Microsoft
Windows.
􀂄 Le KDE propose:
􀂅 Un bureau (Desktop).
􀂅 Une barre de tâches (tableau de bord, commande"kicker").
􀂅 Un gestionnaire de fichiers (commande "konqueror").
􀂅 Un gestionnaire de configuration (commande "kcontrol").
􀂄 konqueror permet une gestion de fichiers plus convivial que les lignes de
commandes et peut être
également utilisé comme navigateur internet.
Présentation de kde
L'invite de commandes
Les commandes en ligne peuvent être tapées dans l’outil « terminal »(console
sous KDE ou Terminal sous Gnome )
L'invite de commandes

mateo21 : le premier élément est votre pseudonyme.


mateo21-desktop : ça c'est le nom de l'ordinateur sur lequel vous êtes en train de
travailler.
La ligne d'invite de commandes se lit donc "mateo21 chez mateo21-desktop". En
d'autres termes, je suis identifié en tant que mateo21 sur la machine mateo21-
desktop.
: : c'est un séparateur.
~ :c'est le dossier dans lequel vous vous trouvez actuellement., le symbole ~
signifie que vous êtes dans votre dossier personnel, ce qu'on appelle le "Home"
sous Linux. C'est l'équivalent du dossier "Mes documents" de Windows.
$ : ce dernier symbole est très important, il indique votre niveau d'autorisation sur
la machine. Il peut prendre 2 formes différentes :

$ : signifie que vous êtes en train d'utiliser un compte utilisateur "normal",


# : signifie que vous êtes en mode super-utilisateur, l
L'invite de commandes

La première ligne contient l'invite de commandes suivie de la commande que


j'ai tapée.
La seconde ligne est la réponse de l'ordinateur à cette commande.
Les paramètres
• Les paramètres sont des options que l'on écrit à la suite
de la commande.
• Les paramètres les plus courants sont constitués d'une
seule lettre, précédée d'un tiret. Par exemple :

• Cela affiche tout le contenu du dossier, même les


fichiers cachés.
L'historique des commandes
• appuyez sur la flèche directionnelle vers le haut .Vous verrez
apparaître la dernière commande que vous avez tapée.

• Si vous appuyez sur la flèche vers le bas , vous reviendrez


vers les commandes les plus récentes.

• Il existe la commande "history" qui vous rappelle l'historique des


commandes :
Quelques raccourcis claviers
pratiques
• : efface le contenu de la console. = commande clear
• : envoie le message EOF (fin de fichier) à la console
=commande exit

• :supprime tout ce qui se trouve à gauche du curseur. Si


le curseur est situé à la fin de la ligne, toute la ligne sera donc
supprimée.

• : supprime tout ce qui se trouve à droite du curseur. Si le


curseur est situé au début de la ligne, toute la ligne sera donc
supprimée.
Organisation des dossiers
•La racine
un "gros dossier de base qui contient tous les autres dossiers et fichiers".

Sous Windows, il y a en fait plusieurs racines. "C:\" est la racine de votre


disque dur
Sous Linux, il n'y a qu'une et une seule racine : "/".

•Architecture des dossiers


Sous Windows, un dossier peut être représenté comme ceci : "C:\
Program Files\Winzip".
il n'y a pas de "C:" sous Linux, la racine (le début) s'appelant juste "/".
Schéma résumé de l'architecture
• On peut présenter l'organisation des dossiers de Linux de cette
manière :
Arrêt et redémarrage du système
• halt, qui permet d'arrêter le système.
• reboot, qui permet de le redémarrer.

1. L'arrêt du système est une opération qui est du


ressort de l'administrateur. On ne peut donc le
réaliser que sous le compte root.
2. Il est également possible que votre gestionnaire
de bureau vous donne le moyen d'arrêter
l'ordinateur par l'intermédiaire de l'interface
graphique
Opérations de base sur les répertoires
• La commande qui permet de lister le contenu d'un
répertoire (elle dispose d'un grand nombre d'options) :
ls [options] [fichier]
où fichier est le nom d'un fichier ou d'un répertoire que
l'on désire lister.
Si ce paramètre est absent, ls affichera tous les fichiers
du répertoire courant.
Les principales options sont
-l, qui permet d'afficher des informations étendues
(notamment les propriétaires, les groupes, les droits, la
taille et éventuellement les liens)
-a, qui permet d'afficher tous les fichiers, y compris les
fichiers cachés (ceux dont le nom commence par un
point).
Opérations de base sur les répertoires

Lister les fichiers d’un répertoire (List Sorted)


• Ls –l : Permet de lister les attributs des fichiers
• Ls –d : affiche uniquement les répertoires
• Ls –a : liste tous les fichiers du répertoire y
compris les fichiers cachés
• Ls –m : affiche les fichiers en les séparant par
une virgule
• Ls –t : affiche les fichier par date de dernière
modification
• Ls -h : afficher la taille en Ko, Mo, Go...
Opérations de base sur les répertoires
• La commande cd : permet de changer le répertoire courant ( "Change
Directory" (changer de dossier)).

pwd : afficher le dossier actuel


Opérations de base sur les répertoires

Pour revenir au dossier précédent, aussi appelé dossier parent, c'est-à-dire


"/usr".
Opérations de base sur les répertoires
• Les chemins relatifs :Un chemin relatif est un chemin qui dépend du
dossier dans lequel vous vous trouvez.
Opérations de base sur les répertoires
• Les chemins absolus :les chemins absolus fonctionnent quel que
soit le dossier dans lequel on se trouve.(il commence toujours par la
racine (/))

= le chemin relatif
Retour au répertoire home

=
Opérations de base sur les répertoires
La commande du :donne des informations sur la taille qu'occupe les
dossiers sur votre disque.
Placez-vous pour commencer dans /usr/games, et tapez "du" :

•-a : afficher la taille des dossiers ET des fichiers


•-h : afficher la taille en Ko, Mo, Go...
•-s : avoir juste le grand total

Le dossier home fait 81 Mo (rappel : le symbole point "." signifie "le dossier
actuel").
Opérations de base sur les répertoires

• La commande permet de créer un répertoire :


mkdir chemin
• où chemin est le chemin spécifiant le répertoire à
créer.
• Si le chemin ne contient que le nom du répertoire
à créer, celui-ci est créé dans le répertoire courant
et devient donc un sous-répertoire.
• Mkdir –p rep1/rep2/rep3 : crée un répertoire et ses
sous répertoires associés
Opérations de base sur les répertoires

La commande pour supprimer un répertoire


est la suivante : rmdir chemin
• Pour supprimer un répertoire, il faut qu'il
soit vide (c'est-à-dire qu'il ne contienne ni
fichier, ni répertoire).
• « rmdir » est l'abréviation de l'anglais
« ReMove DIRectory ».
Opérations de base sur les répertoires
• La commande qui permet d'afficher le répertoire
courant : pwd
• la commande pwd peut être utile lorsqu'on
désire obtenir un chemin absolu sur le répertoire
courant.
• « pwd » est l'abréviation de l'anglais « Print
Working Directory ».
• Cette commande est également utilisée par les
scripts pour déterminer le répertoire à partir
duquel ils sont exécutés.
Commandes de gestion de fichiers
• touch nom_fichier : créer un ficher texte vide
• rm nom_fichier : supprimer un ficher (rm pour remove)
• rm -i nom_ficher : supprimer un fichier avec demande de
confirmation (i pour interactive)
• rm -r nom_répertoire : supprimer un répertoire et tout ce
qu'il contient (r pour recursive)
• mv fichier_source fichier_destination : renommer ou
déplacer un fichier (mv pour move)
• mv -i fichier_source fichier_destination : renommer ou
déplacer un fichier avec demande de confirmation si un
fichier porte déjà le nom du fichier destination (i pour
interactive)
Commandes de gestion de fichiers
• cp fichier_source fichier_destination : copier un fichier
(cp pour copy)
• cp -i fichier_source fichier_destination : copier un fichier
avec demande de confirmation si un fichier porte déjà le
nom du fichier destination (i pour interactive)
• cp -p fichier_source fichier_destination : copier un fichier
en préservant tous les attributs du fichier initial (p pour
preserve)
• cp -r repertoire_source repertoire_destination : copier de
manière récursive un répertoire et tout ce qu'il contient,
fichiers, sous-répertoires, ... (r pour recursive)
Commandes de consultation de fichiers
• cat nom_fichier : afficher le contenu d'un fichier
texte à l'écran (sans pouvoir arrêter le
défilement)
• more nom_fichier : afficher le contenu d'un
fichier texte à l'écran en arrêtant le défilement à
chaque page (espace pour descendre d'une
page, entrée pour descendre d'une ligne, q pour
quitter)
• less nom_fichier : pareil que more, mais dispose
d'un peu plus d'options (entre autre peut revenir
en arrière : b pour revenir d'une page, y pour
revenir d'une ligne, il est aussi possible de se
déplacer vers le haut ou vers le bas avec les
flèches de direction)
Commandes de consultation de fichiers

• head nom_fichier : afficher uniquement le début du


fichier
-n suivi d'un nombre: permet d'afficher le nombre de lignes
que vous voulez. Par exemple, si vous ne voulez que les
3 premières lignes, tapez :
head –n 3 nom fichier

• tail nom_fichier : afficher uniquement la fin du fichier


Opérations de base sur les fichiers
L'éditeur vi
• Lançons Vi :
[root@mistra /root]# vi
• vi comprend deux modes : un mode "commande" et un
mode "insertion", après le lancement de vi nous sommes
en mode commande : appuyez sur la touche "Echap"
puis sur "a". Vous voyez en bas de l'écran apparaître la
ligne "-- INSERT --". Nous pouvons commencer notre
texte :

• Nous sortons du mode texte en appuyant à nouveau sur


la touche "Echap". La mention "-- INSERT --" disparaît,
nous sommes en mode commande
• Tapez maintenant " :w linux-test"
• Si vous souhaitez quitter sans enregistrez les dernières
modifications, il vous faudra passer en mode commande
et taper " : q!".
L'éditeur vi
• D'autres commandes vi.
A permet d'ajouter du texte à la fin de la ligne.
i   permet d'ajouter du texte avant le curseur.
o  permet d'ajouter une ligne en dessous du curseur.
O permet d'ajouter une ligne au dessus du curseur.
le retour chariot permet d'aller à la ligne suivante.
dd permet de supprimer la ligne courante.
X permet de supprimer le caractère avant le curseur.
u permet d'annuler la dernière commande effectuée
Commandes de gestion de fichiers
• ln : créer des liens entre fichiers
• on peut créer 2 types de liens :
Des liens physiques
Des liens symboliques
• Le stockage des fichiers
Sur le disque dur, chaque fichier est séparé en 2 parties :
Son nom
Son contenu
la liste des noms de fichiers est stockée à un autre endroit que leur
contenu.
Chaque contenu de fichier se voit attribuer un numéro d'identification
appelé inode.
Commandes de gestion de fichiers
Un lien physique permet d'avoir 2 noms de fichiers qui partagent exactement le
même contenu, c'est-à-dire le même inode :

•La seconde colonne de la liste correspond au nombre de fichiers qui partagent le même inode. C'est le seul
indice qui vous permet de savoir que quelqu'un a fait un lien physique, mais vous ne pouvez pas savoir lequel.
•ls -i pour afficher les numéros d'inode correspondants et de vérifier que ces 2 fichiers sont associés au même
inode.
Un lien dur
Commandes de gestion de fichiers
• lien symbolique
on crée des liens symboliques sous Linux pour faire un raccourci
on pointe vers le nom de fichier
et non vers l'inode directement :
Commandes de gestion de fichiers
• ln fichier_existant lien : créer un lien dur entre
les deux fichiers (ln pour link)
• ln -d répertoire_existant lien : créer un lien dur
entre les deux répertoires (d pour directory)
• ln -s fichier_existant lien : créer un lien
symbolique entre deux fichiers (s pour symbolic)
• cp -l fichier_source fichier_destination : copier
un fichier et faire un lien dur entre la copie et sa
source (l pour link)
• cp -s fichier_source fichier_destination : copier
un fichier et faire un lien symbolique entre la
copie et sa source (s pour symbolic link)

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