Histoire Des Communications - Académie Des Télécoms

Titre - Date
Histoire de la communication
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Titre
Préambule
Qu’est-ce que la communication ?
C'est la possibilité d'échanger

des idées ou des informations
entre plusieurs individus.
Quelques exemples de communication
les abeilles par
leur vol devant la
ruche indiquent à
l'ensemble de la
ruche où aller
pour trouver un
endroit abondant
en pollen.
Un chien qui a
les oreilles
couchées, la
queue serrée
et les crocs
découverts
indique qu'il
va passer à
l'attaque.
Un gorille avec
les épaules
remontées, la
tête en avant,
montre une
menace et sa
volonté de ne
pas se laisser
intimider.
Petite histoire de la
communication
Dans les tous premiers temps de l'humanité,
la communication se faisait uniquement par
des vocalises (grognements) et de la gestuelle
(postures)
Par la suite, grâce à l'évolution de l'espèce,

intervint le langage articulé, et par là même
les langues.
Mais ce mode de communication restait confiné à un
nombre d'individus assez restreint et relativement proches.
L'homme inventa donc des systèmes de communication à
distance : les bergers basques qui peuvent discuter par des
sifflements, codés bien entendu, plus exotique : tout le
monde a entendu parler des signaux de fumée des
amérindiens ou des tambours africains.
Tout cela, bien que très pratique, restait d'utilisation
restreinte, et surtout ne permettait pas de garder des traces
de ces informations. L'homme inventa donc un système
permettant à la fois de conserver une trace et de faire
voyager l'information au fin fond du monde connu à
l'époque : l'écriture.
Les égyptiens envoyaient régulièrement des
courriers transportant des textes en
hiéroglyphes écrits sur du papyrus de la
Méditerrannée au fin fond du Soudan
actuel.
De même les romains couvrirent leur
empire de tablettes écrites, les chinois qui
inventèrent le papier, les moines qui
copiaient la Bible et les Evangiles, etc...
Malgré tout, celà restait assez confidentiel,
puisque l'immense majorité des
populations ne savaient ni lire ni écrire, et
de surcroît les différents supports étaient
très chers.
Puis Guthenberg inventa
l'imprimerie, ce qui
révolutionna le monde : les
écritures devenaient
abordables pour un plus
grand nombre puisqu‘ils sont
écrits en grand nombre,
« industriellement" .
Cette simple invention
changea tout : la culture
devenait disponible pour
tout le monde !
Le transport de l'information restait quand même limité. Un coureur
à pied (eh oui ! Un homme à pied couvre une plus grande distance
par jour qu'un cavalier !),parcourt environ 50 km par jour, soit à peu
près 20 jours pour porter une lettre de Paris à Marseille! On pensa
donc à utiliser un autre moyen : la malle-poste. C’était une simple
diligence tirée par 4 chevaux, et on changeait les chevaux tous les 20
ou 30 km, ce qui permettait une vitesse moyenne de parcours de 15
km/h (par beau temps, parce que quand il avait plu, les routes
étaient vite impraticables), ce qui donnait à peu près 100 km/jour,
un record ! On confiait donc son "courrier" à la malle poste qui
assurait donc ainsi le transport et la distribution tout au long du
parcours, laissant dans les relais les courriers à distribuer dans les
environs, et prenant ceux qui devaient aller plus loin sur la "ligne".
Un progrès énorme !
Mais c'était quand même lent, on chercha donc un autre moyen : on
utilisa la capacité du pigeon dit "voyageur" à retourner à son domicile
d'origine (pigeonnier) à la vitesse fantastique de 60 km/h de moyenne !
Un courrier envoyé le soir de Paris arrivait le lendemain matin à
Marseille ! Petit souci quand même, le pigeon doit être "remonté" de
Marseille à Paris après un temps de "réadaptation" par la malle poste,
et renvoyé dans un délai inférieur à 10 jours, sinon il s'accoutume à son
nouveau "domicile". Le principe restait largement perfectible ! Juqu'à la
révolution, où un certain Monsieur CHAPPE inventa le sémaphore, qui
réalisa la première liaison optique(tiens?) entre Lille et Paris en 1794.
Le système était tellement
performant qu'un message
envoyé de Marseille à Paris
mettait moins d'une heure
pour parvenir à son
destinataire !
Bien sûr, il avait fallu
inventer un "code"
permettant de transposer un
message rédigé en caractères
latins (c'est notre alphabet
actuel) en signaux optiques
suffisamment différenciés
pour limiter les erreurs, et
inversement.
On peut déjà parler de
réseau.
Une importante étape était franchie
dans le domaine du transport de
l'information! Largement utilisé par
les journaux, le "télégraphe" connut
un succès retentissant et fut exploité
dans le monde entier. Mais le propre
de l'homme est d'être un éternel
insatisfait, on vient à peine de
marcher sur la Lune qu'on veut déjà
aller sur Mars, voire plus loin encore !
Il en va de même pour ce qui
concerne le transport d'informations.
Après l'invention de l'électricité vint
celle du télégraphe qui avait pour
base un alphabet inventé par
Monsieur Samuel MORSE, composé
d'impulsions électriques brèves ou
longues!
Monsieur Graham BELL
inventa le téléphone !
Puis vint la radio : le premier

message connu en morse
"radio" est le fameux
message du... Titanic : S O S
Ici, un poste de
Puis vint la radiophonie : on 1923
causait dans le poste en …
1895 !
Un moment crucial de la communication venait d'être franchi : on
savait transporter un information sans support physique : finis les
coursiers, fumées, tambours et autres pigeons! L'information, sous
forme d'ondulations radioélectriques, voyageait dans l'air et bientôt
dans l'espace ! Quand Neil ARMSTRONG a marché sur la Lune, il
pouvait communiquer par radiophonie avec la base de cap Canaveral !
Entre temps, on avait inventé et largement distribué un nouveau concept :
la télévision ! Si la radiophonie ne nécessitait pas de gros moyens de
transport au vu de la quantité d'informations transmises, il n'en allait pas
de même pour la télévision ! Il fallait absolument augmenter
considérablement les capacités des flux pour pouvoir faire passer une
image dans ... rien !(air) On commenca donc à utiliser des fréquences de
plus en plus élevées, avec des systèmes de modulation (une "porteuse"
contient plusieurs fréquence exploitables) , puis des systèmes
d'échantillonnage. Tout celà servi par une électronique somme toute assez
rudimentaire.
Une autre invention va encore tout révolutionner : le transistor !
Extrêmement réduit en encombrement, peu gourmand en énergie et facile
à fabriquer donc peu onéreux, il va rapidement évincer tous les systèmes à
lampes.
Cette invention permet aussi la découverte et l'exploitation des bascules
R/S : un composant électrique qui peut conserver un état sans être
alimenté électriquement, et change d'état à volonté à chaque changement:
alimenté/non alimenté. Cà commence à vous parler un peu ? Non ? On
continue...
Ces fameuses bascules R/S d'abord utilisées dans l'industrie
pour valider ou inhiber des circuits électriques, furent
miniaturisées à outrance ! On inventa ce qu'on appela le
séquenceur!
L'informatique avait été inventée dans les années 1930, très
compliquée, nécessitant des très grosses ressources
électriques et matérielles, donc financières, elle était très peu
utilisée, juste par quelques états ou administrations dans le
monde, à titre de comparaison, votre téléphone portable que
vous avez dans la poche a une puissance de calcul à peu près
10 millions de fois supérieure aux plus puissants ordinateurs
de l'époque qui occuperaient une place de l'ordre d'un grand
immeuble! On parlait encore de mécanographie, les fiches
perforées!
Grâce à la miniaturisation du transistor, on fut capable
également de miniaturiser l'électronique puis vint le micro-
processeur, donc l'ordinateur tel qu'on le connait actuellement,
ou à peu près.
Un ordinateur, il n'y a pas plus stupide : il ne connait que deux
choses : 0 et 1, c'est sa puissance d'assemblage et sa vitesse de
calcul qui lui permet ensuite d'exécuter les taches qu'on lui
assigne. 0 et 1 , oui/non, vrai/faux, çà vous rappelle quelque
chose ? Les bascules R/S ? Voilà, vous savez comment
fonctionne votre ordinateur, votre téléphone, votre chaine hi-fi,
votre téléviseur ...
Il suffit de transformer tout en 0 ou 1 (numérisation), et on
peut le stocker sur un support informatique. Mais pour le
faire passer de l'appareil qui va numériser une image, par
exemple (scanner) vers sa destination de stockage, il va falloir
le transporter ce 1 ou ce 0, donc au début c'est un transport
par fil qui se fait dans votre machine, soit en série, soit en
parallèlle. Mais si on sait le faire à l'intérieur, pourquoi pas à
l'extérieur ? Il suffisait d'inventer le MODEM
(modulateur/démodulateur) pour permettre la liaison entre 2
ordinateurs, ce fut chose faite, on venait d'inventer le réseau:
on pouvait faire "discuter" plusieurs ordinateurs ensembles.
Mais pourquoi se limiter à un seul petit réseau ? Un petit
bricolage et hop ! On peut maintenant faire passer les
informations sur un réseau déjà existant et qui a fait ses
preuves : le réseau téléphonique ! Lent, peu sûr parce que facile
à "pirater", il permet quand même d'initier les balbutiements
d'internet.
Mais les volumes d'information à transporter sont tels qu'on

voit très vite les limites de ce réseau, il faut trouver des
solutions.
Bien sur on a déjà utilisé les satellites, mais cela coute très cher
et ce n'est pas très facile à mettre en œuvre et entretenir, avec
une espérance de vie très limitée. Le cuivre se faisant rare, donc
onéreux, on se tourna vers une technologie, qui si elle n'est pas
vraiment récente, reste quand même confidentielle, bien que
pleine de promesses :
la fibre optique.
Et c'est là que nous

intervenons !
Histoire de la FIBRE OPTIQUE
Les Précurseurs
À l'époque des Grecs anciens, le phénomène du transport de la

lumière dans des cylindres de verre était déjà connu. Il était,
semble-t-il, mis à profit par les artisans du verre pour créer des
pièces décoratives. Plus tard, les techniques de fabrication
utilisées par les artisans vénitiens de la Renaissance pour
fabriquer les « millefiori » ressembleraient beaucoup aux
techniques actuelles de fabrication de la fibre optique.
L'utilisation du verre en conjonction avec la lumière n'est donc pas
récente.
La première démonstration scientifique du
principe de la réflexion totale interne fut faite
par les physiciens français Jean-Daniel
Colladon et Jacques Babinet à Paris au début
des années 1840[1]. L'irlandais John Tyndall
répéta l'expérience devant la Société Royale
Britannique en 1854. À l'époque, l'idée de
courber la trajectoire de la lumière, de
quelque façon que ce soit, était
révolutionnaire puisque les scientifiques
considéraient que la lumière voyageait
uniquement en ligne droite. Leur
démonstration consistait à guider la lumière
dans un jet d'eau déversé d'un trou à la base
d'un réservoir. En injectant de la lumière dans
ce jet, celle-ci suivait bien la courbure du jet
d'eau, démontrant ainsi qu'elle pouvait être
déviée de sa trajectoire rectiligne.
Avènement
Fibre optique pour réseaux métropolitains.
La possibilité de transporter de la lumière le long de fines fibres de verre
fut exploitée au cours de la première moitié du XXe siècle. En 1927, Baird
et Hansell tentèrent de mettre au point un dispositif d'images de
télévision à l'aide de fibres. Hansell put faire breveter son invention, mais
elle ne fut jamais vraiment utilisée. Quelques années plus tard, en 1930,
Heinrich Lamm réussit à transmettre l'image d'un filament de lampe
électrique grâce à un assemblage rudimentaire de fibres de quartz.
Cependant, il était encore difficile à cette époque de concevoir que ces
fibres de verre puissent trouver une application.
La première application fructueuse de la fibre optique eut lieu au début
des années 1950, lorsque le fibroscope flexible fut inventé par van Heel et
Hopkins. Cet appareil permettait la transmission d'une image le long de
fibres en verre. Il fut particulièrement utilisé en endoscopie, pour observer
l'intérieur du corps humain, et pour inspecter des soudures dans des
réacteurs d'avion.
Malheureusement, la transmission ne pouvait pas être faite sur une
grande distance étant donnée la piètre qualité des fibres utilisées. En
1957, le fibroscope (endoscope flexible médical) est inventé par Basil
Hirschowitz aux États-Unis.
Les télécommunications par fibre optique restèrent impossibles jusqu'à
l'invention du laser en 1960. Le laser offrit en effet la possibilité de
transmettre un signal sans pertes sur une grande distance. Dans sa
publication de 1964, Charles Kao, des Standard Telecommunications
Laboratories, décrivit un système de communication à longue distance et à
faible perte en mettant à profit l'utilisation conjointe du laser et de la fibre
optique. Peu après, soit en 1966, il démontra expérimentalement, avec la
collaboration de Georges Hockman, qu'il était possible de transporter de
l'information sur une grande distance sous forme de lumière grâce à la
fibre optique. Cette expérience est souvent considérée comme la première
transmission de données par fibre optique. Cependant, les pertes dans
cette fibre optique étaient telles que le signal disparaissait au bout de
quelques centimètres, non par perte de lumière, mais parce que les
différents chemins de réflexion du signal contre les parois finissaient par en
faire perdre la phase. Cela la rendait encore peu avantageuse par rapport
au fil de cuivre traditionnel. Les pertes de phase entrainées par l'usage
d'une fibre de verre homogène constituaient le principal obstacle à
l'utilisation courante de la fibre optique.
En 1970, trois scientifiques de la compagnie Corning Glass Works de New
York, Robert Maurer, Peter Schultz et Donald Keck, produisirent la
première fibre optique avec des pertes de phase suffisamment faibles
pour être utilisée dans les réseaux de télécommunications (20 décibels par
kilomètre ; aujourd'hui la fibre conventionnelle affiche des pertes de
moins de 0,35 décibel par kilomètre pour la longueur d'onde 1 550 nm.
utilisée dans les télécommunications). Leur fibre optique était en mesure
de transporter 65 000 fois plus d'informations qu'un simple câble de
cuivre, ce qui correspondait au rapport des longueurs d'onde utilisées.
Le premier système de communication téléphonique optique fut installé
au centre-ville de Chicago en 1977. En France, la DGT (Direction Générale
des Transmissions) a installé la première liaison optique à Paris entre les
centraux téléphoniques des Tuileries et Philippe-Auguste. On estime
qu'aujourd'hui plus de 80 % des communications à longue distance sont
transportées le long de plus de 25 millions de kilomètres de câbles à fibres
optiques partout dans le monde.
La fibre optique s'est, dans une première phase (1984 à 2000), limitée à
l'interconnexion des centraux téléphoniques, eux-seuls nécessitant de forts
débits. Cependant, avec la baisse des coûts entrainée par sa fabrication en
masse et les besoins croissants des particuliers en très haut débit(Internet,
Téléphone, Télévision, …), on envisage depuis 1994 son arrivée même chez
les particuliers : FTTH, FTTB, FTTC, FTLA
En trente ans, la longueur des câbles embarqués sur une automobile a plus
que décuplé, passant de près de 200 mètres à plus de 4000 mètres. Dans le
même temps le nombre de connexions est passé de deux cents à plus deux
mille : on comprend que le réseau d’interconnexion soit aujourd’hui
considéré par les constructeurs comme un maillon faible pour les véhicules
modernes. De plus, l'arrivée de la technologie "by wire" – c'est-à-dire le
remplacement des principaux éléments mécaniques et hydrauliques par
des systèmes électroniques programmés (direction, freinage, suspension,
etc.) – et du tout électrique lui donnera une importance cardinale, parce
que ce sera le lien unique entre le conducteur, ses actions, et le véhicule. La
fiabilité du câblage deviendra alors prépondérante.
Cette problématique est aussi présente dans l’aviation, où les
longueurs de câbles dépassent plusieurs centaines de
kilomètres dans les avions modernes (près de 40 km pour le
Dassault Rafale et de 400 km pour l'Airbus A380), domaine où
la fiabilité est un enjeu vital.
Pourquoi la Fibre Optique plutôt qu'une liaison Cuivre?
La fibre optique, dont on maitrise parfaitement la fabrication industrielle

est moins chère que le cuivre, matière en cours de raréfaction au niveau
mondial et qui coûte de plus en plus cher.
Une liaison en cuivre est sensible aux perturbations électriques ou

électromagnétique, il suffit de voir les problèmes d'une ligne de téléphone
passant près d'un groupe de néons ou d'une usine pour s'en rendre
compte, il faut une parfaite isolation pour que le système fonctionne.
Facile à mettre en œuvre, la fibre est bidirectionnelle, c’est-à-dire qu'on
peut sans problème faire passer des informations dans les deux sens avec
une seule fibre alors qu'il faut deux fils de cuivre pour établir une liaison.
Même le fameux câble coaxial (télévision, radio) doit disposer de deux
conducteurs : le coeur, véritable fil de cuivre, et le blindage ou tresse qui
est relié à la masse comme sur votre voiture.
De plus, le cuivre ne permet pas des débits très importants, contrairement

à la fibre. Quelques GigaHertz pour le cuivre contre 20 TéraHertz potentiels
pour la fibre. A ce jour, on ne connait pas encore les limites d'utilisation de
la fibre optique, le dernier record dont j'ai eu connaissance (et il date de
2011 !) est de 10 000 Km à 10 Térabits dans les deux sens pendant 24
heures sans une seule erreur !
Le principal intérêt de la fibre par rapport au cuivre, outre son faible
encombrement, est son très faible affaiblissement ou perte linéïque, ce
faible affaiblissement étant compensé par l'insertion de fibres dites
dopées (ajout de particules de terres rares dans le cœur) qui jouent le rôle
d'amplificateur. Il suffit de poser un tronçon de quelques kilomètres pour
"relever" le signal optique. Donc plus besoin de matériel électronique
pour nettoyer et amplifier un signal. Donc économie de matériel, et
d'énergie!
Quelques applications :
Merci pour votre attention
P. Labbé
Version du 02/05/2016
LOGIC Europe 47-49, rue Gutenberg 42100 SAINT-ETIENNE – France
Téléphone : +334.77.57.63.21 / Télécopie : +334.77.57.36.98 / Courriel : contact@cabinet-logic.com
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C'est la possibilité d'échanger

Par la suite, grâce à l'évolution de l'espèce,

Puis vint la radio : le premier

Mais les volumes d'information à transporter sont tels qu'on

Et c'est là que nous

À l'époque des Grecs anciens, le phénomène du transport de la

La fibre optique, dont on maitrise parfaitement la fabrication industrielle

Une liaison en cuivre est sensible aux perturbations électriques ou

De plus, le cuivre ne permet pas des débits très importants, contrairement

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