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MODÉLISATION DES

DANS LES AQUIFÈRES


ÉCOULEMENTS

Réalisé par : Encadré par :


Elouali Kaoutar Elharraki Imad
Elbaamrani Chaimae
PLAN DE PRESENTATION

• INTRODUCTION

• PROBLÉMATIQUE

• MODÈLE ANALYTIQUE

• MODÉLISATION PAR MODFLOW

• CONCLUSION

2
INTRODUCTION

3
PROBLÉMATIQUE

• Comprendre la dynamique des aquifères


• Fournir des informations pertinentes pour sa gestion durable.

4
MODÈLE ANALYTIQUE

1 Darcy

L'écoulement dans les aquifères souterrains est en effet


régulé par un ensemble d'équations fondamentales. qui
décrivent le mouvement de l’eau, la dispersion des
contaminants, Ces équations sont essentielles pour
modéliser de manière précise et détaillée les phénomènes 2 Conservation de masse
hydrologiques et hydrochimiques dans les aquifères.

3 Diffusion

5
EQUATION DE EXEMPLE :
DARCY
import numpy as np
import matplotlib.pyplotasplt
# Paramètres de l’aquifère
A = 1 . 0 # Aire de la section transversale à l’écoulement ( en m^2)
L = 1 0 . 0 # Longueur de l ’ écoulement ( en m)
h0 = 1 0 . 0 # Charge hydraulique initiale ( en m)
hL = 5 . 0 # Charge hydraulique la fin de l ’écoulement ( en m)
# Nombre de points de calcul
num_points = 100
x = np.linspace ( 0 , L , num_points )
# Variation de la conductivité hydraulique le long de l’aquifère
k0 = 1 # Conductivité hydraulique initiale de l’aquifère ( en m/ s )
kL = 0 . 5 # Conductivité hydraulique à l’extremité de l’aquifère ( en m/ s )
k = np . l i n s p a c e ( k0 , kL , num_points )
# Calcul du débit volumétrique d’eau à travers l’aquifère pour chaque
position x
Où : h = np.linspace ( h0 , hL , num_points )
dh_dx = np . g r a d i e n t ( h , x [ 1 ] − x [ 0 ] )
Q : est le débit volumétrique d’eau à travers l’aquifère. Q = −k ∗ A ∗ dh_dx
# Ajouter des conditions aux limites
k : est la conductivité hydraulique de l’aquifère. Q[ 0 ] += 3 . 0 # Flux entrant de 3 m^3/ sa l’extrémité gauche

A : est l’aire de la section transversale à l’écoulement. Q[ −1] −= 1 . 0 # Flux sortant de 1 m^3/ s a l’extrémité droite
# Tracer du débit en fonction de la position
∆h : est la perte de charge hydraulique le long de p l t . p l o t ( x , Q)
p l t . x l a b e l ( ’ P o s i t i o n (m) ’ )
l’écoulement. p l t . y l a b e l ( ’ Debit v o l u m e t r i q u e (m^3/ s ) ’ )
p l t . t i t l e ( ’ Debit en f o n c t i o n de l a p o s i t i o n dans une a q u i f e r e ’ )
L : est la longueur de l’écoulement. p l t . g r i d ( True )
p l t . show ( )

6
RÉSULTAT :

Le graphe illustre le débit volumétrique d'eau à travers un


aquifère en fonction de la position le long de celui-ci,
prenant en compte la variation de la conductivité
hydraulique k et des conditions aux limites.
La courbe du débit montre une variation correspondant à la
variation de k, contribuant à des débits plus élevés là où k
est plus élevé. Les conditions aux limites, telles qu'un flux
entrant à gauche et un flux sortant à droite, modifient la
distribution du débit, créant des variations locales. Une
augmentation de k augmente généralement le débit pour
une perte de charge donnée, tandis qu'une diminution de k
diminue le débit.

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EQUATION DE EXEMPLE :
CONSERVATION DE
MASSE import numpy as np
import matplotlib.pyplotasplt
# Paramètres de l’aquifère
A = 1 . 0 # Aire de la section transversale à l ’écoulement ( en m^2)
L = 1 0 . 0 # Longueur de l ’ écoulement ( en m)
h0 = 1 0 . 0 # Charge hydraulique initiale ( en m)
hL = 5 . 0 # Charge hydraulique la fin de l ’ écoulement ( en m)
k0 = 1 . 0 # Conductivite hydraulique initiale de l’aquifere ( en m/ s )
kL = 0 . 5 # Conductivite hydraulique à l’éxtremité de l’aquifere ( en m/ s )
# Nombre de points de calcul
num_points = 100
x = np . l i n s p a c e ( 0 , L , num_points )
# Variation de la conductivite hydraulique le long de l’aquifère
k = np . l i n s p a c e ( k0 , kL , num_points )
# Calcul de la charge hydraulique h en fonction de la position x
h = np . l i n s p a c e ( h0 , hL , num_points )
Où : # Calcul de l a masse d’eau à chaque position x
m=A∗h
S : est la capacité spécifique de stockage de l’aquifère. # Ajouter des conditions aux limites

h : est la charge hydraulique. m[ 0 ] += 3 . 0 # Flux entrant de 3 m^3 à l’éxtremite gauche


m[ −1] −= 1 . 0 # Flux sortant de 1 m^3 à l’extremite droite
t : est le temps. # Tracer de l a masse d’ eau en fonction de la position
p l t . p l o t ( x , m)
T : est la transmissivité de l’aquifère. p l t . x l a b e l ( ’ P o s i t i o n (m) ’ )
p l t . y l a b e l ( ’ Masse d \ ’ eau (m^ 3 ) ’ )
∇ : est l’opérateur gradient. p l t . t i t l e ( ’ C o n s e r v a t i o n de l a masse dans un a q u i f e r e ’ )
p l t . g r i d ( True )
Q : représente les termes sources. p l t . show ( )

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RÉSULTAT :

Le graphe représente la distribution de la masse d'eau le


long de l'aquifère en fonction de la position. La courbe
montre une variation de la masse d'eau influencée par la
distribution initiale de la charge hydraulique et par la
variation de la conductivité hydraulique. Les conditions aux
limites, telles que les flux entrant et sortant, modifient
également la distribution de la masse d'eau.

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EQUATION DE EXEMPLE :
DIFFUSION
import numpy as np
import m a t p l o t l i b . p y p l o t as p l t
# Paramètres de l’aquifère
L = 1 0 . 0 # Longueur de l ’écoulement ( en m)
# Nombre de points calcul
num_points = 100
x = np . l i n s p a c e ( 0 , L , num_points )
# Variation de la conductivite hydraulique le long de l’aquifère
k0 = 1 . 0 # Conductivite hydraulique initiale de l’aquifère ( en m/ s )
kL = 0 . 5 # Conductivite hydraulique à l’extremite de l’aquifere
( en m/ s )
k = np . l i n s p a c e ( k0 , kL , num_points )
# Variation de la concentration du contaminant
C0 = 1 . 0 # Concentration initiale du contaminant
CL = 0 . 5 # Concentration du contaminant à l ’ e x t r e m i t e de l ’ a q u i f e r e
C = np . l i n s p a c e (C0 , CL, num_points )
Où : # Calcul du flux de diffusion du contaminant à travers l’aquifère
pour chaque position x
C : est la concentration du contaminant. dC_dx = np . g r a d i e n t (C, x [ 1 ] − x [ 0 ] )
f l u x _ d i f f u s i o n = −k ∗ dC_dx
t : est le temps. # Ajouter des conditions aux limites

D : est le coefficient de diffusion du contaminant. f l u x _ d i f f u s i o n [ 0 ] += 3 . 0 # Flux entrant de 3 unités à l’éxtrémité


gauche
∇2 est l’opérateur laplacien. f l u x _ d i f f u s i o n [ −1] −= 1 . 0 # Flux sortant de 1 unité à l’éxtrémité
droite
v : est la vitesse de l’écoulement. # Tracer du flux de diffusion en fonction de la position
plt.plot(x,flux_diffusion)
R : représente les termes de réaction chimique. p l t . x l a b e l ( ’ P o s i t i o n (m) ’ )
p l t . y l a b e l ( ’ Flux de d i f f u s i o n ’ )
p l t . t i t l e ( ’ Equation de d i f f u s i o n dans un a q u i f e r e ’ )
p l t . g r i d ( True )
p l t . show ( )

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RÉSULTAT :

Le graphe illustre la distribution du flux de diffusion du


contaminant le long de l'aquifère en fonction de la position.
La courbe montre une variation du flux de diffusion
influencée par la distribution initiale de la concentration du
contaminant et par la variation de la conductivité
hydraulique. Les conditions aux limites, telles que les flux
entrant et sortant, modifient également la distribution du
flux de diffusion.

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Modélisation par Modflow

• la variation de la charge hydraulique et du rabattement de la


nappe dans l’aquifère.
• le mouvement des particules entre les puits d’injection et de
production.

aquifère à nappe captive

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Résultats

mouvement de particule dans 6 mois


Charge hydraulique autour des puits Rabattement autour des puits
• Plus on on se rapproche du puits de production, plus la
charge hydraulique diminue • le rabattement est maximum dans le contour proche du puits de production et il • l’écoulement d’eau envers le puits de production est plus important a
diminue en s’éloignant. cause du pompage
• La charge la plus élevée est près du centre, où l’eau est
injectée.

Puits de Production (à droite), Puits d’Injection (à gauche) 13


Modélisation avec une barrière horizontale, recharge , puits de production et
puits d’injection

• le déplacement des particules depuis les puits d’injection vers le


puits de production dans 30 jours, puis dans 60 jours

• Au cours du temps les particules s’éloigne de la barrière


horizontale car elle est imperméable.

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Modélisation au cas d’existence d’un drain ou une rivière

Mouvement des particules du puits d’injection vers le drain Mouvement des particules de la rivière vers le puits de production

La plupart des particules venant du puits d’injection se déplacent vers le drain.


De plus les particules dans la rivière se déplacent essentiellement vers le puits de
production

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Modélisation de l’écoulement des eaux souterraines avec des conditions aux
limites

On modélise trois puits avec recharge, mais cette fois en imposant une charge hydraulique aux extrémité : à droite -2.2 et à
gauche -1.8 puisque l’eau souterraine se déplace de la droite vers la gauche

le déplacement des particules vers le puits de production n’est pas


symétrique à cause du flux imposées par la charge hydraulique ce qui
explique l’écoulement de la droite vers la gauche.

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écoulement d’eau souterrain dans un régime transitoire
Dans ce régime transitoire on va adopter un débit variant pour les puits d’injection et de production.
On choisit 5 jours pour chaque période de temps et un pas de temps de 10 jours.

– Variation de la charge hydraulique

17
écoulement d’eau souterrain dans un régime transitoire

Variation de la charge en fonction du temps

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CONCLUSION

• La présence de puits d'injection et de production dans la modélisation


fournit des informations sur leur impact local, y compris les zones de
rabattement et la redistribution de la charge hydraulique.
• L'intégration de drains ou de rivières aide à comprendre l'interaction entre
les eaux souterraines et de surface, important pour la gestion conjointe des
eaux souterraines et de surface.
• Les conditions aux limites reflètent les influences environnementales
réelles et montrent comment elles contrôlent le flux régional d'eau
souterraine.

19
MERCI POUR
VOTRE
ATTENTION

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