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>INFORFEB
[ 2 OCTOBRE 2009 – N° 32 ]
La prospérité de nos enfants
se joue maintenant
Ce mardi, nous avons eu l'honneur
d'accueillir le Premier ministre et les
ministres et secrétaires d'État du gouverne-
ment fédéral à l'occasion de notre 10e ren-
contre Gouvernement-Entreprises. Nous y
avons présenté nos priorités et propositions
concrètes, étayées par les résultats d'un son-
dage mené par la FEB auprès de 250 chefs
d'entreprise.
La FEB estime que nous avons probablement
touché le fond après le ralentissement brutal
de l'activité économique dans notre pays,
mais que nous ne sommes pas pour autant
sortis de l'ornière. Seul un cinquième des
entreprises interrogées tablent sur une dimi-
nution de leurs activités durant les 6 pro-
chains mois. Toutefois, les perspectives en
matière d'emploi restent préoccupantes. En
effet, 25% des sondés prévoient encore une
diminution des effectifs. De ce fait, une pro-
longation de la mesure relative au chômage
temporaire des employés nous apparaît tout à
fait opportune tant que la crise perdure.
A EPINGLER
SÉCURITÉ SOCIALE > Pour des réformes structurelles
> SOCIÉTÉS COTÉES > Vers un renforcement du
gouvernement d’entreprise
CONJONCTURE > La relance économique sera laborieuse
HEBDOMADAIRE — BUREAU DE DÉPÔT : SINT-NIKLAAS — P409959
La newsletter pour décideurs
En pleines discussions budgétaires, les auto-
rités ont pour délicate mission de définir une
politique visant à atteindre trois objectifs : la
concrétisation de la relance, le retour à des
finances publiques saines et la constitution
d’une perspective d’avenir durable pour la
prochaine génération.
Pour atteindre le premier objectif – asseoir la
relance –, la FEB peut accepter l'idée que le
gouvernement n'impose pas de mesures
d'économie drastiques d'ici à 2011, pour ne
pas miner la confiance des entreprises com-
me des particuliers. Toutefois, pour espérer
atteindre le deuxième objectif –
l'assainissement structurel de nos finances
publiques –, il est urgent de s'attaquer dès
aujourd'hui à l'écrémage du superflu qui s'est
accumulé pendant les années fastes. Nous
réitérons ici notre appel à rendre plus effi-
cientes les administrations à tous les niveaux
et à mieux maîtriser la croissance de nos
dépenses de soins de santé.
Enfin, pour atteindre le troisième objectif –
jeter les bases de la prospérité des généra-
tions futures –, le gouvernement va devoir
sans tarder procéder à des réformes en pro-
fondeur pour pouvoir financer le vieillisse-
ment de la population. Un enjeu-clé est celui
du taux d'emploi des travailleurs plus âgés.
Les entreprises sont conscientes qu’il s’agit
LE CHIFFRE DE LA SEMAINE
0,4
point
encore extrêmement précaire et qu’il en faut peu pour miner l’actuelle et laborieuse relance.
www.feb.be > publications > chiffres et faitsa
là de thèmes délicats. Mais les choses doi-
vent évoluer. Ainsi, si le recours aux prépen-
sions était monnaie courante dans le passé,
90% des chefs d’entreprise interrogés dans
notre enquête estiment à présent qu’il est
indispensable d’en relever l’âge en cas de
restructuration.
“L’importance des défis qui se
présentent à notre économie
rend indispensable le lancement,
sous cette législature, de
réformes structurelles”
Si l'on veut préserver une sécurité sociale qui
reste payable pour nos enfants et petits-
enfants, on ne peut malheureusement pas à
la fois vivre plus longtemps et travailler
moins longtemps.
L’importance des défis qui se présentent à
notre économie, à court et moyen terme,
rend indispensable le lancement, sous cette
législature, de réformes structurelles dépas-
sant de loin la confection de budgets annuels
et une série d’avancées sur le plan commu-
nautaire. Le Gouvernement n’a pas encore
lancé pareils signaux. Espérons que ce sera
le cas dans les toutes prochaines semaines.
THOMAS LEYSEN, PRÉSIDENT DE LA FEB
L’économie est encore très vulnérable
En septembre, la confiance des chefs d’entreprise a crû de 0,4 point en
Belgique. En comparaison avec la forte croissance enregistrée depuis le
mois d’avril, cette hausse s’avère plutôt faible. Dans les secteurs de
l’industrie manufacturière et de la construction, on a même assisté à
une baisse de confiance. Cela démontre que la situation économique est
[ INFOR FEB 32 — 2 OCTOBRE 2009 ]

> SOCIÉTÉS COTÉES Dans le cadre de la transposition d’une direc- en raison de la crise financière et de la volon-
tive européenne, le texte impose aux sociétés té du gouvernement, la FEB comprend le sou-
Vers un renforcement cotées de rédiger dans leur rapport annuel une ci d’encadrer, dans une loi, certaines
du gouvernement déclaration de gouvernement d’entreprise. pratiques, déjà consacrées en grande partie

d’entreprise Celle-ci contient la désignation du Code que la
société applique et dans le cas où elle ne suit
Le Conseil des ministres vient d’approuver un pas certaines dispositions du Code, elle doit le
projet de loi visant à introduire des nouvelles justifier (principe « comply or explain »). Un
règles en matière de gouvernement projet d’arrêté royal désigne le Code belge de
d’entreprise. gouvernance d’entreprise comme code de réfé-
rence pour les sociétés cotées.
En outre, le projet de loi impose la rédac-
tion d’un rapport de rémunération, entre
autres, sur la politique de rémunération
des dirigeants ou encore les compo-
santes de leur rémunération…
En ce qui concerne les indemnités de
par le Code belge de gouvernance d’entreprise.
Quant au rôle du conseil d’entreprise, la FEB
n’est pas opposée à une communication audit
conseil de la clause prévoyant une indemnité
supérieure à celle retenue par le Code.
Toutefois, elle émet de très vives réserves sur
l’octroi éventuel d’un pouvoir d’avis au conseil
d’entreprise, car on s’oriente vers un système
de cogestion.
Christine Darville – cda@vbo-feb.be
> CONJONCTURE

départ, le projet de loi reprend le conte- La relance économique

nu du Code belge de gouvernance
d’entreprise (12 à 18 mois de la rému-
nération fixe et variable). Dans le cas où
la société octroie une indemnité de
départ supérieure au montant prévu par
le Code, cette clause doit être approuvée
par l’assemblée générale.
La FEB a toujours plaidé pour une
approche non réglementaire en matière
de gouvernance d’entreprise. Toutefois,
sera laborieuse
Maintenant que nous avons atteint le point le
plus bas de la crise, tout le monde s’interroge
au sujet de la nature de la relance économique.
La réponse à cette question déterminera la
vitesse à laquelle nous pourrons à nouveau
réduire le chômage et le déficit budgétaire.
Une étude récemment réalisée par le FMI pré-
voit des perspectives peu florissantes. Sur la >

ACTION FEB

> Enterprize 2009 pensé au total onze jeunes entreprises dans

La 7e édition du concours de plans d'affaires
Enterprize a confirmé une fois de plus son suc-
cès auprès des candidats entrepreneurs, avec
un record absolu de dossiers reçus (874 can-
didats). Le succès de cette initiative démontre
que de plus en plus de candidats à la création
d'entreprise apprécient et demandent à être
activement accompagnés. Grand vainqueur de
cette année, la société néo-louvaniste
Babelway, spécialisée dans les solutions
d'interaction commerciales (no¬tamment la
facturation électronique) entre fournisseurs,
clients et partenaires. Le concours a récom-
De g. à dr.: Vincent Struye (PR Officer, Skoda
Import), François Van Uffelen (Managing Director,
Babelway), Mathieu Pasture (Technical Director
Babelway) et Laurent Weerts (Partner, Deloitte)
diverses catégories. La FEB soutient active-
ment cette initiative depuis ses débuts.
> Dixième Rencontre
Gouvernement –
Entreprises : un succès
À l’occasion de la rentrée politique, la FEB a
l’habitude de réunir le monde des entreprises Plus de 350 CEO, responsables politiques et décideurs
ont participé à la dixième Rencontre Gouvernement –
et le gouvernement fédéral. C’est ainsi que Entreprises de la FEB.
Thomas Leysen, président de la Fédération des
entreprises de Belgique, a présenté, au nou-
veau centre de congrès Square en présence de
CEO, de responsables politiques et de
l’ensemble du gouvernement fédéral, ses prio-
rités pour l’année politique qui commence.
Dans les prochains jours, le gouvernement
devra prendre une série de décisions capitales
concernant les dépenses et les recettes pour le
budget 2010-2011.
Après l’allocution du président de la FEB, le
Premier ministre Herman Van Rompuy a com-
menté la vision politique et les orientations
budgétaires du gouvernement fédéral. Dans son allocution, le président de la FEB Thomas
Leysen a demandé que, lors de la préparation du bud-
Les nombreux participants ont ensuite lon- get 2010-2011 et à la lumière de la prochaine concer-
guement discuté entre eux au cours du tation interprofessionnelle, le gouvernement définisse
une politique transparente concernant le rétablisse-
networking cocktail. ment de notre compétitivité.
 [ INFOR FEB 32 — 2 OCTOBRE 2009 ]
> SÉCURITÉ SOCIALE

Pour des réformes structurelles

Les chiffres du budget de la sécurité sociale sont passés au rouge, com- soins de santé ont été adaptés, reportant cette charge toujours plus lour-
me l’a constaté le Comité de gestion de la sécurité sociale ce mardi : de sur l’État fédéral.
le déficit pour 2009 est de 2,7 milliards EUR, tandis qu’en 2010 et L’État fédéral n’a pas les moyens de boucher tous les trous budgétaires.
2011, il dépasse 4,6 milliards EUR. Le graphique ci-dessous montre Il est grand temps de s’attaquer aux mécanismes structurels de
l’évolution depuis 1999. Hormis un léger déficit en 2003-2004, expli- dépenses, avec un impact limité en début de période mais croissant en
qué par le ralentissement de la conjoncture, la sécurité sociale n’avait vitesse de croisière. Poser maintenant les jalons de réformes structu-
plus connu de difficultés financières majeures. En 2004, l’équilibre du relles permet de préparer notre pays à la sortie de crise et à affronter
compte de la sécurité sociale avait été réglé via une augmentation du le défi du vieillissement, dont on sait qu’il pèsera lourd sur la protec-
financement alternatif, c’est-à-dire une ponction sur les recettes fiscales tion sociale. En particulier, des réformes doivent être mises en place en
(+1,9 milliard). Une telle opération ne peut se répéter actuellement. ce qui concerne :
D’une part, parce que l’ampleur du déficit est nettement plus impor- • l’adaptation des paramètres auxquels sont liées actuellement les
tante et d’autre part, parce que les mécanismes de financement des dépenses aux hypothèses du Comité d’étude sur le vieillissement
(productivité et taux de croissance des soins
Après une décennie de surplus en sécurité sociale... (source ONSS)
de santé) ;
3000 • la réforme des régimes de pension, en ce
2000 Le labyrinthe du compris la problématique de la fin de carrière ;
1000 financement de la • la nécessité de renforcer et d’élargir
0
1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
-1000
sécurité sociale l’activation du comportement de recherche
appelle une d’emploi des chômeurs (Dispo) pour éviter
-2000
une mésutilisation du régime de chômage.
-3000 réflexion
En millions EUR

L’emploi, par le biais d’entreprises com-

-4000
approfondie. pétitives et moyennant un marché du travail
-5000

-6000 dynamique, doit redevenir notre préoccupation

Solde préfiguration Solde (résultats)
Le Premier ministre
Herman Van Rompuy
a défendu la politique
du gouvernement
fédéral.
essentielle ; plus d’emplois, c’est plus de cohé-
sion sociale.
Le labyrinthe du financement de la sécurité
sociale appelle également une réflexion appro-
fondie, tout comme les risques toujours plus
nombreux qu’est censée prendre en charge la
sécurité sociale.
Bernadette Adnet – ba@vbo-feb.be

> base de 88 crises bancaires du passé, le FMI

Outre le gouvernement
fédéral, la FEB a
accueilli une série
d’hôtes de marque,
comme le Ministre-
Président du gouver-
nement wallon Rudy
Demotte et le ministre
des Finances turc
Mehmet Simsek.
(de g. à dr.)
Steven Vanackere,
Vice-premier ministre et
ministre de la Fonction
publique, des Entrepri-
ses publiques et des
Réformes institutionnel-
les, Annemie Turtelboom,
ministre de l’Intérieur, et
Photos © Dann
a élaboré le graphique ci-après. Celui-ci
indique l’évolution moyenne de l’output, de la
consommation et des investissements dans les
7 années suivant le début d’une crise bancai-
re (en temps = 0). L’évolution est chaque fois
représentée par rapport à une situation où il n’y
aurait pas eu de crise et où l’économie aurait
donc continué de croître normalement.
Le graphique montre que la perte de prospéri-
té occasionnée par une crise bancaire n’est
généralement pas comblée. Pis encore, après
7 ans, l’output, la consommation et les inves-
tissements sont toujours de respectivement
10%, 13,6% et 27,8% inférieurs au niveau
qu’ils auraient atteint en l’absence de crise. En
outre, c’est après 4 ans seulement (c’est-à-

Marianne Thyssen, dire lorsque la courbe redevient parallèle à

présidente du CD&V,
écoutent attentivement
l’axe horizontal) que la croissance économique
l’allocution de président retrouve son niveau d’avant la crise. Quant à la
de la FEB Thomas
Leysen. croissance de la consommation, elle n’est >
[ INFOR FEB 32 — 2 OCTOBRE 2009 ]

AGENDA 2e édition de la FEB Social Academy 20 OCTOBRE 2009,

de 14h00 à 17h00
LIEU : FEB, Bruxelles
INFO: Nathalie Petit
Vu le succès de la première édition de la FEB Social Academy, la FEB a le plaisir T 02 515 09 64
de vous annoncer le lancement d'une deuxième édition de cette formation en F 02 515 09 15
concertation sociale. Elle se déroulera d’octobre 2009 à mai 2010. Cette nouvel- np@vbo-feb.be
le édition offrira, en sept après-midi, un aperçu des fondements de base et de
toute l’actualité en matière de concertation sociale. Plus d’infos > www.feb.be > Manifestations

> même pas totale- Evolution de la relance économique après une crise bancaire (Source : FMI) remboursement de la TVA étrangère fera
ment rétablie à l’objet d’un arrêté royal distinct.
0
l’issue d’une pério- -1 0 1 2 3 4 5 6 7 La FEB appelle le Parlement à approu-
-5
de de 7 ans. ver rapidement le projet de loi TVA. Les entre-
Geert Vancronenburg
-10 prises belges vivent depuis plus d’un an et
— gva@vbo-feb.be -15 demi déjà dans l’incertitude concernant les
-20
nouvelles règles qui entreront en vigueur dans
3 mois à peine.
-25
Alain Lecocq – ale@vbo-feb.be
-30

-35

output consommation investissements

> DROIT COMPTABLE

Nécessité d’une simplifi-

> FISCALITÉ ment de la TVA étrangère et les obligations en
matière de déclaration et de listing TVA. Le cation harmonisée
Le projet de loi TVA projet de loi qui doit introduire ces nouvelles
Le Parlement européen et le Conseil de
déposé au Parlement règles dans notre législation nationale a été
l’Union européenne poursuivent les discus-
déposé au Parlement le 11 septembre 2009.
sions en vue de simplifier les obligations
Le 1er janvier 2010, la législation en matiè- Il peut être consulté sur www.lachambre.be >
comptables et de rapport des entreprises. La
re de TVA changera radicalement en applica- Projets et propositions de loi > Document
volonté européenne d’assouplir les directives
tion d’une directive européenne du 8 février 52K2157. Le projet de loi doit à présent être
comptables s’inscrit dans le cadre du pro-
2008. Les changements concerneront notam- discuté à la Commission des Finances et du
gramme général destiné à faire baisser les
ment les règles sur le lieu des prestations de Budget avant de pouvoir être approuvé en
charges administratives de 25% d’ici à 2012.
service, l’exigibilité de la TVA, le rembourse- séance plénière. La procédure précise pour le
La consultation européenne d’avril 2009 sur
la simplification des quatrième et septième
directives relatives aux comptes annuels doit
Ce mois-ci dans Forward, le magazine de la FEB encore déboucher sur plusieurs recommanda-
tions concrètes. Les avis restent partagés au
sujet de la proposition visant à donner aux
• Emploi au-delà des 55 ans États membres l’option de dispenser les
micro-entreprises de la rédaction et de la
• Alain Beyens démystifie l’empire
publication de comptes annuels. Certains
Anheuser-Busch InBev
États membres veulent supprimer cette obli-
• S’attaquer au tabou de l’alcool au travail gation, d’autres pas. Le fonctionnement du
• How to make Britain great again? marché intérieur risque de s’en trouver per-
turbé.
• Special Ports maritimes
La FEB estime que les micro-entre-
Graphisme et production : The Mailshop – tél. 03 771 12 30 – mail@themailshop.be

Plus d’info : www.feb.be (publications > Forward) prises belges subiraient un préjudice concur-
rentiel si elles restaient tenues à la rédaction
et à la publication de comptes annuels, alors
que leurs concurrentes étrangères ne le
seraient pas. Dans un tel cas, les entreprises
FEB – Fédération des Entreprises de Belgique ASBL étrangères auraient accès à des informations
rue Ravenstein 4 – 1000 Bruxelles – tél. 02 515 08 11 – fax 02 515 09 15

RÉDACTION : Anne Michiels – tél. 02 515 09 44 – am@vbo-feb.be

sur les entreprises belges concernées, alors
Thérèse Franckx – tél. 02 515 09 50 – tf@vbo-feb.be que le contraire serait impossible. La FEB
ÉDITEUR RESPONSABLE : Olivier Joris – rue du Wolvenberg 17 – 1180 Bruxelles
PUBLICATION MANAGER: Stefan Maes – tél. 02 515 08 43 – sm@vbo-feb.be souhaite donc qu’un cadre comptable euro-
ANNEXES PUBLICITAIRES : ADeMar bvba – tél. 03 448 07 57 – nele.brauers@ademaronline.com
CHANGEMENTS D’ADRESSE : FEB – Service mailing – tél. 02 515 09 06 – fax 02 515 09 55 – mailing@vbo-feb.be
péen soit maintenu pour toutes les entreprises
COPYRIGHT : Reproduction autorisée moyennant mention de la source et que des mesures alternatives de simplifi-
L’Infor est imprimé sur du papier issu de la gestion durable des forêts. La gestion durable des forêts tient compte de
l'écosystème forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indigènes et des travailleurs forestiers*) et est cation soient prises.
responsable d'un point de vue économique.
Stefaan Verhamme – sv@vbo-feb.be