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Techniques :
-manuelles : essentiellement, car on a le contact et contrôle
-orthèses et contentions : rare qu’il n’y en est pas. Amovible ce sont généralement les corsés. Pas
amovible ce sont des corsés plâtrés, cad c’est médicale
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Limite :
-sévérité atteinte : on ne peut pas tout soigner. Pieds bots sévères chez spina bifida, on ne le soigne pas
en premier, on s’occupe de ce qui est d’ordre vital. On essaie de réduire un maximum pour que l’acte
chirurgical soit le plus petit possible
-état général : ex avec spina bifida
-phases aigues-cicatrisation : plâtre peut faire escarres
Complications :
-escarres-blessures-blessures : on est dans douleur 0 mais c’est dangereux. Les kinés traitent la cause
de la douleur. Donc certains pb passent inaperçue
-décollement épiphysaire : dans un os on a des cartilages de croissance. On a souvent des glissements
au niveau des épiphyses, glissement de la tête sous le col qui peut nécroser. En mobilisant on peut
provoquer des pathologies comme ca
-atteinte cartilagineuse : talus ou os crânien qui sont malléable, prend la forme de la contrainte
Généralités rachis
C’est un empilement de vertèbres, c’est un ensemble d’étage qu’on devra prendre en compte. Avec
une zone très mobile (C1, L5) et jonction (L5-S1) est compliqué. Tout ce qui est sacral est soudé. En
haut on a la cage thor qui est un élément vital avec une grosse composante respiratoire. Ceinture scap
attaché au MS, les ¾ des gymnastiques pour rééduquer rachis se fait par les MS, c’est un bras de
levier intéressant facilitant mais à risque. Attention à la position de la tête
Vertèbre type
Vue latérale : notion de corps avec un mur antérieur, os assez spongieux. Le pb avec la croissance est
les contraintes qui s’appliquent dessus. Chez un enfant avec cyphose, on a des vertèbres cunéiformes
(en forme de pointes). Le pédicule qui amène aux articulaires qui doivent s’articuler. On regarde les
épineuses pour voir la position des vertèbres sus et sous-jacentes
Vue de dessus : corps vertébral réniforme. A la naissance on a trois éléments différencié dans le temps,
et des jonctions peuvent ne pas se faire (pédicule qui ne relie pas arc ant de arc post). Elément
essentiel est le canal médullaire
Unité fonctionnelle vertébrale : on doit tenir compte du sus ou sous-jacent. On a des réactions
complètement différentes selon les vertèbres et étages. Le nucleus est très solide au départ par rapport
aux éléments osseux (hernie : peut s’impacter dans la vertèbre). On étire des éléments péri-osseux
pour faire redressement vertébral
Augmentation de taille demande des placements dans l’espace, modification architectural qui doit être
en corrélation avec adaptation mécanique permanent. On fait un rapport entre prise de taille globale et
pris de taille du rachis, et on fait un rapport entre les deux. Les 2/3 de la croissance se fait dans les MI
et 1/3 dans le rachis. La puberté est de plus en plus précoce chez les jeunes. Apparition de la puberté
signe une croissance de rachis : période d’alarme
Ce qui faut prendre en compte c’est l’âge osseux et Age civil : officiellement c’est la date de
naissance, officieusement on prend la date à laquelle il aurait dû naitre. Age osseux : apparition de
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noyau osseux, pour connaitre la capitale croissance de la personne. La calcification de la crête iliaque :
fin puberté un noyau va se fixer sur la crête iliaque et signe la fin de croissance.
Ossification vertébrale
A. Naissance
B.2 à 3 ans
C. de 6 à 12 ans
D. de 15 à 18 ans
Haubans vertébraux
La stabilité est importante. On a souvent un système triangulé cad un hauban, on prend en compte les
muscles. Il faut remettre ça dans un schéma corporel, notamment pour la proprioception
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Kinésithérapie
Bilans : (1/10 de ces patients vont voir le kiné, il faut être fiable)
-interrogatoire : essentiel, souvent fait à travers la famille (attention au référent), état civil, âge,
antécédents de prise en charge, traitement mis en place, comment la patho a été découverte (visite
médicale, douleur pour 1/3, phénomène esthétique), antécédents familiaux (tare familiale ou
idiopathique), contexte psychologique, loisirs (séance hors de la vie active)
-examen :
Subjectif : positionnement de la sangle abdominal, regarder dans tous les plans
Objectif : mesure tout ce qu’on voit en subjectif, et inclue dedans la mobilité des ceintures, scapulaire
(petit pectoral), pelvienne (droit fémoral). Les capacités musculaires
Fait synthèse des deux bilans
-répercussions fonctionnelles : la douleur, la fatigabilité (passif comme actif) en tient compte dans la
gymnastique, un périmètre de marche, répercussion dans la vie courante
-contexte psychologique : du a la pathologie, contexte esthétiques. Pathologie visible, stigmatisation
par rapport à l’autre, ce n’est pas un handicap un corset. Période d’adolescence est compliquée avec
les conflits parentaux. Le traitement par lui-même, on traite des gens sur le temps, on doit être fiable.
Evolution incertaine, ne pas se mouiller. Déculpabiliser les parents, anticiper l’évolution avec les
parents, ne pas hésiter au prescripteur initial. Parents acteurs du traitement : en font de trop ou pas
assez (corset à gérer). Enfant devient dépendant d’un système et dépendant au niveau de sa patho
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Photo : on a un sacrum presque hor donc un promontoire presque vertical. Pour compenser se met en
lordose et fait un déjettement postérieur. On a un pincement intervertébral. Déjettement post amène
une grande cyphose avec conséquences sur les épaules
Hypercyphose dorsale
Concavité ant> 40°, sommet en T6
Etiologies :
-constitutionnelles : famille cyphotique cad manque de capacité musculaire. Provoque algie
interscapulaire
-congénitales : pas courant
-symptomatiques : plus courant, va de pair avec iatrogène. C’est plus la patho elle-même dans sa
clinique. La tuberculose, tumeur entraine des faiblesses osseuses
-iatrogènes : conséquences de traitement
Bilans :
-examen clinique : debout, les regarder dans une position spontanée, assis, couché. Observer les MI,
on note ce qui est patho, on essaie de corriger. Regarder ce qui se passe au niveau de la tête. Regarde à
quelle niveau on a une inversion de courbure, peut provoquer des cassures. Le fait e la cyphose va
provoquer un écrasement du thorax, avec capacité ventilatoire moindre donc un syndrome restrictif.
Une cyphose entraine une antépulsion des épaules avec pectoraux en positon raccourci. On a des
saggitalisations de la scapula. On fait un Schober, distance doigts sol, savoir quelle est l’harmonie du
rachis. Indépendance des hanches : bassin par rapport au tronc sans répercussions immédiat. Observer
les zones prépondérantes des épineuses qui peut signer des cassures.
En position assise, on est en grande cyphose, quand il n’y a pas de dosseret il y a une inversion de
courbure, ce qu’on doit palper. On choisit donc une position qui ne va pas l’aggraver.
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Malposition : segment qui n’a pas des normes morphologiques mais l’anatomie est bonne (pieds bots),
capacité à revenir à une norme, correctible
Malformation : soit malposition pas récupérer en temps voulu (pieds bots resté trop longtemps dans
position pathologique). Il ne faut pas que malpo devienne malfo. Pour les médecins les malfo sont des
déformations anatomiques pures