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Immunologie

1/ Immunité est l’ensemble des mécanismes qui visent :

A. Reconnaître le soi
B. Rejeter le soi
C. Rejeter le non soi
D. Tolérer le non soi

2/ Le système Immunitaire est formé de :

A. Tissus et organes uniquement


B. Cellules uniquement
C. Molécules uniquement
D. Les trois propositions à la fois

3/ Les organes lymphoïdes peuvent être :

A. Primaires ou centraux
B. Primaires ou périphériques
C. Secondaires ou centraux
D. Secondaires ou périphériques

4/ Les organes lymphoïdes centraux sont le lieu de :

A. Production des cellules immunes


B. Rencontre entre antigène et cellules immunes
C. Maturation des cellules immunes
D. Activation des cellules immunes

5/ les organes lymphoïdes secondaires sont le lieu de :

A. Maturation des cellules immunes


B. Différenciation des cellules immunes
C. Activation des cellules immunes
D. Rencontre entre antigènes et cellules immunes
6/ les organes lymphoïdes secondaires sont représentés :

A. Moelle osseuse
B. Ganglion lymphatique
C. MALT
D. Thymus

7/ les organes lymphoïdes primaires sont représentés :

A. Moelle osseuse
B. Ganglion lymphatique
C. Rate
D. Thymus

8/ Les différents types d’immunité sont :

A. L’immunité normale
B. L’immunité acquise
C. L’immunité adaptative
D. L’immunité innée

9/ L’immunité naturelle est :

A. Appelée aussi innée


B. Appelée aussi adaptative
C. Appelée aussi secondaire
D. Appelée aussi tertiaire

10/ L’immunité naturelle est responsable de la protection par :

A. Barrières physiques
B. Barrières chimiques
C. Barrières cellulaires
D. Aucune des propositions
11/ L’immunité innée est :

A. Très spécifique
B. Moins spécifique
C. Très rapide
D. Très lente

12/ L’immunité innée est :

A. Permanente
B. Transitoire
C. Pourvue de mémoire immunitaire
D. Dépourvue de mémoire immunitaire

13/ L’immunité adaptative est :

A. Très spécifique
B. Moins spécifique
C. Très rapide
D. Moins rapide

14/ L’immunité adaptative est :

A. Permanente
B. Transitoire
C. Pourvue de mémoire immunitaire
D. Dépourvue de mémoire immunitaire

15/ L’immunité adaptative agit par une :

A. Réponse humorale par production des anticorps


B. Réponse humorale par action cytotoxique
C. Réponse cellulaire par production des anticorps
D. Réponse cellulaire par action cytotoxique
16/ Un antigène est doué de propriété :

A. Immunogénicité seule
B. Antigénicité seule
C. Les 2 propriétés à la fois
D. Aucune des propositions

17/ Un haptène est doué de propriété :

A. Immunogénicité seule
B. Antigénicité seule
C. Les 2 propriétés à la fois
D. Aucune des propositions

18/ Pour un antigène, l’immunogénicité est sa capacité à :

A. Se lier avec un produit de la réaction immunitaire


B. Induire une réponse immunitaire
C. Bloquer la réponse immunitaire
D. Etre reconnu par les effecteurs du système immunitaire

19/ Pour un antigène, l’antigénicité est sa capacité à :

A. Se lier avec un produit de la réaction immunitaire


B. Induire une réponse immunitaire
C. Bloquer la réponse immunitaire
D. Etre reconnu par les effecteurs du système immunitaire

20/ Pour un antigène, l’épitope est :

A. Le déterminant antigénique
B. La région moléculaire immunologiquement active
C. La région moléculaire immunologiquement inactive
D. La région moléculaire qui peut se lier aux BCR
21/ Un antigène peut disposer d’épitope:

A. Un ou plusieurs
B. Différents ou répétitifs
C. Détermine sa valence
D. 5 à 6 oses pour un épitope protéique

22/ Un antigène est caractérisé par sa :

A. Nature
B. Taille
C. Composition chimique
D. Masse

23/ Un antigène est caractérisé par :

A. Caractère étranger
B. Dose d’administration
C. Voie d’administration
D. Aucune des propositions

24/ La nature de l’antigène :

A. Détermine son pouvoir immunogène


B. Protéines sont les moins immunogènes
C. Les sucres sont plus immunogènes que les protéines
D. Les protéines sont les plus immunogènes

25/ Le caractère étranger de l’antigène :

A. Détermine son pouvoir immunogène


B. Immunogénicité est liée à la distance phylogénique
C. Allo- antigène est plus immunogène que l’auto-antigène
D. Allo- antigène est plus immunogène que le xéno-antigène
26/ Le caractère étranger de l’antigène :

A. Auto-antigène est un antigène d’une espèce différente


B. Allo-antigène est un antigène d’une espèce différente
C. Auto-antigène est un antigène du soi
D. Xéno-antigène est un antigène du soi

27/ La taille de l’antigène :

A. Masse moléculaire n’intervient pas dans l’immunogénicité


B. Masse moléculaire intervient dans l’immunogénicité
C. Plus la masse est importante plus on a une immunogénicité importante
D. Plus la masse est peu importante plus on a une immunogénicité importante

28/ La composition chimique de l’antigène :

A. Plus l’antigène est complexe plus son immunogénicité est importante


B. Les molécules solubles sont très immunogènes
C. Les molécules insolubles sont de bons immunogènes
D. Les macromolécules sont de bons immunogènes

29/ La dose d’administration de l’antigène :

A. Une dose insuffisante de l’antigène donne une très bonne réponse


B. Une dose très importante de l’antigène donne une très bonne réponse
C. Une dose optimale de l’antigène donne une très bonne réponse
D. Une dose optimale de l’antigène donne une tolérance

30/ La voie d’administration de l’antigène :

A. Un antigène donne des réponses similaires si les voies sont différentes


B. Un antigène donne des réponses différentes si les voies sont différentes
C. Un antigène administré par voie veineuse passe par la rate
D. Un antigène administré par voie veineuse passe par les ganglions locaux
31/ Les antigènes thymo-dépendants :

A. Leur interaction avec les lymphocytes B est suffisante pour donner des anticorps
B. Leur interaction nécessite la coopération des lymphocytes T
C. Leur interaction ne nécessite pas la coopération des lymphocytes T
D. Leur interaction avec les lymphocytes B est insuffisante pour donner des
anticorps

32/ Les antigènes thymo-indépendants :

A. Leur interaction avec les lymphocytes B est suffisante pour donner des anticorps
B. Leur interaction nécessite la coopération des lymphocytes T
C. Leur interaction ne nécessite pas la coopération des lymphocytes T
D. Leur interaction avec les lymphocytes B est insuffisante pour donner des
anticorps

33/ Les applications des antigènes en pratique médicale sont :

A. La vaccination
B. L’induction de la tolérance
C. Le diagnostic au laboratoire : les tests sérologiques
D. La sérothérapie

34/ Les organes du système immunitaire sont:

A. Les organes lymphoïdes primaires ou centraux


B. Les organes lymphoïdes primaires ou périphériques
C. Les organes lymphoïdes secondaires ou centraux
D. Les organes lymphoïdes secondaires ou périphériques

35/ Parmi les organes du système immunitaire centraux ont trouve :

A. La moelle osseuse
B. La rate
C. Le thymus
D. Les ganglions lymphatiques
36/ Parmi les organes du système immunitaire périphériques on trouve :

A. La moelle osseuse
B. La rate
C. Le thymus
D. Les ganglions lymphatiques

37/ Les organes du système immunitaire primaires sont des:

A. Organes de production des cellules immunes


B. Organes de maturation des cellules immunes
C. Lieux de rencontre des lymphocytes avec l’antigène
D. Lieux de différenciation des lymphocytes

38/ Les organes du système immunitaire secondaire sont des:

A. Organes de production des cellules immunes


B. Organes de maturation des cellules immunes
C. Lieux de rencontre des lymphocytes avec l’antigène
D. Lieux de différenciation des lymphocytes

39/ La moelle osseuse est un:

A. Organe de production des cellules immunes


B. Organe de maturation des cellules immunes
C. Organe constitué d’un tissu hématopoïétique : moelle jaune
D. Organe constitué d’un tissu hématopoïétique : moelle rouge

40/ Le tissu hématopoïétique de la moelle osseuse comprend normalement un :

A. Tissu érythroïde isolé


B. Tissu myéloïde isolé
C. Tissu lymphoïde diffus isolé
D. Les trois ensembles
41/ La cellule souche hématopoïétique est une cellule douée d’une:

A. Totipotence uniquement
B. Auto renouvellement uniquement
C. Totipotence et auto renouvellement
D. Différenciation cytokine dépendant

42/ La cellule souche hématopoïétique se différencie :

A. Sans influence de cytokines


B. Sous l’influence de cytokines
C. En cellules souches Lymphoïdes
D. En cellules souches Myéloïdes

43/ Le thymus est un:

A. Organe lymphoïde central rétro-sternal


B. Organe bilobé encapsulé
C. Organe avec une zone corticale riche en cellules T immatures
D. Organe avec une zone corticale pauvre en cellules T immatures

44/ Le thymus dispose d’une zone médullaire:

A. Riche en thymocytes
B. Pauvre en thymocytes
C. Contient des macrophages
D. Contient des cellules dendritiques

45/ Le thymus, dans sa fonction de maturation des lymphocytes T:

A. Accueille des Lymphocyte T mature provenant de la moelle osseuse


B. Accueille des Lymphocyte T immature provenant de la moelle osseuse
C. 95% des Lymphocytes T arrivent à maturité et quittent le thymus
D. 5% des Lymphocytes T arrivent à maturité et quittent le thymus
46/ Au niveau du thymus, la fonction de maturation des lymphocytes T:

A. Se fait grâce au microenvironnement et hormones thymiques


B. A pour objectif la maturation des Lymphocytes T
C. A pour objectif la multiplication des Lymphocytes T
D. 95% des Lymphocytes T meurent par apoptose sur place

47/ Les organes lymphoïdes secondaires sont représentés par:

A. Le thymus
B. Les ganglions lymphatiques
C. La rate
D. Les MALT

48/ Les ganglions lymphatiques sont des organes lymphoïdes :

A. Secondaires superficiels
B. Secondaires profonds
C. Branchés sur la circulation sanguine
D. Branchés sur la circulation lymphatique

49/ Les ganglions lymphatiques sont des organes lymphoïdes :

A. Structure globuleuse et réniforme


B. Lieu de déroulement de la maturation des Lymphocytes T
C. Lieu de déroulement de la réaction immunitaire
D. Branchés sur la circulation veineuse

50/ Les ganglions lymphatiques sont des organes lymphoïdes :

A. Comprenant 3 zones : corticale, para-corticale et médullaire


B. Composés d’une corticale riche en Lymphocytes B
C. Composés d’une para-corticale riche en Lymphocytes T
D. Composés d’une corticale riche en Lymphocytes T
51/ au niveau du ganglion Lymphatique :

A. La circulation est double Lymphatique et sanguine


B. La corticale est le lieu de la captation de l’antigène
C. La para-corticale joue un rôle dans la recirculation des Lymphocytes
D. La médullaire est le siège des veinules endothéliales hautes

52/ La rate est un organe lymphoïde :

A. Situé en intra thoracique


B. Situé au niveau de l’hypochondre gauche
C. Ovoïde à bord antérieur crénelé palpable en situation physiologique
D. Le plus volumineux du système immunitaire

53/ La rate est un organe Lymphoïde est organe hémo-lymphatique

A. Branché sur la circulation sanguine et lymphatique


B. Branché sur la circulation sanguine exclusivement
C. Branché sur la circulation Lymphatique exclusivement
D. Très vascularisé avec une artère provenant directement de l’aorte

54/ La rate est un organe lymphoïde :

A. Situé entre l’estomac et le diaphragme


B. Permet la filtration des antigènes venant du sang
C. Permet la filtration des antigènes venant de la lymphe
D. Ovoïde à bord crénelé

55/ La rate est un organe Lymphoïde dont la structure est comme suit:

A. Parenchyme composé de 3 zones


B. Pulpe rouge peuplée par des hématies
C. Pulpe rouge peuplée par des macrophages
D. Pulpe blanche peuplée de cellule dendritiques et de Lymphocyte B
56/ La rate est un organe lymphoïde dont la structure est comme suit :

A. Capsule délimitant des lobules


B. Zone marginale contenant des Lymphocytes B et T
C. Zone marginale contenant des Lymphocytes B et des cellules dendritiques
D. Zone marginale contenant des Lymphocytes B et des macrophages

57/ Au niveau de la rate les antigènes microbiens entrent en contact avec :

A. Les cellules dendritiques interdigitées pour les présenter au Lymphocytes B


B. Les cellules dendritiques interdigitées pour les présenter au Lymphocytes T
C. Les cellules dendritiques folliculaires pour les présenter au Lymphocytes B
D. Les cellules dendritiques folliculaires pour les présenter au Lymphocytes T

58/ Les tissus Lymphoïdes associé aux muqueuses MALT sont présents au niveau du :

A. Tube digestif c’est le cas des plaques de Peyer et de l’appendice vermiculaire


B. Tractus respiratoire et sont appelés DALT
C. Tractus respiratoire et sont appelés BALT
D. Tube digestif sont appelé GALT

59/ les cellules du système immunitaire :

A. Naissent toutes au niveau de la moelle osseuses


B. Naissent toutes au niveau du thymus
C. Subissent toutes leur maturité au niveau de la moelle osseuse
D. Subissent toutes leur maturité au niveau du thymus

60/ les cellules du système immunitaire :

A. Sont classées en cellules de l’immunité innée et adaptative


B. Certaines peuvent avoir une fonction à cheval entre les 2 immunités
C. Proviennent toutes des cellules souches hématopoïétiques
D. Proviennent toutes des cellules souches Lymphoïdes
61/ Un marqueur cellulaire peut être un :

A. Antigènes ou Classe de différenciation (CD)


B. Récepteurs de surface
C. Anticorps produit ou réponse proliférative
D. Aucune réponse

62 / Un marqueur cellulaire permet de :

A. Distinguer entre 2 populations cellulaires


B. Connaitre le stade de maturation cellulaire
C. Connaitre le stade d’activation cellulaire
D. Aucune réponse

63/ Le Natural killer est:

A. Appelé encore LGL comme Large Granular Lymphocyte


B. Appelé aussi cellule tueuse
C. Issu de la cellule souche Myéloïde
D. Issu de la cellule souche Lymphoïde

64/ Le Natural killer est composé de:

A. Récepteur activateur de lyse KIR


B. Récepteur inhibiteur de lyse KAR
C. Récepteur activateur de lyse KAR
D. Récepteur inhibiteur KIR

65/ Le Natural killer est une cellule qui s’attaque aux:

A. Cellules saines de l’organisme


B. Cellules stressées de l’organisme
C. Cellules infectées
D. Cellules tumorales
66/ Le Natural killer dispose de:

A. Récepteur du Lymphocyte T (TCR)


B. Classes de différenciation (CD)
C. Récepteurs activateurs de lyse
D. Récepteurs inhibiteurs de lyse

67/ Les phagocytes mononuclées ont pour principales fonctions:

A. La phagocytose
B. La sécrétion de cytokines
C. La présentation de l’antigène aux cellules immunes
D. La présentation de l’antigène aux cellules non immunes

68/ Les phagocytes mononuclées sont des cellules qui se trouvent au niveau:

A. Foie : cellules mésangiales


B. Rein : cellules mésangiales
C. Tissu : macrophages
D. Sang : monocytes

69/ Les cellules granulocytaires comprennent :

A. Les polynucléaires neutrophiles qui sont les plus représentatifs dans le sang
B. Les polynucléaires neutrophiles qui ont pour rôle la phagocytose
C. Les polynucléaires basophiles qui secrètent des médiateurs de l’inflammation
D. Les polynucléaires éosinophiles sont les plus représentés dans le sang

70/ Les cellules dendritiques sont des cellules qui sont :

A. Plus présentes dans le sang que dans la lymphe


B. Présentes dans tous les tissus
C. Plus présentes dans la lymphe que dans le sang
D. Apprêtent les antigènes tissulaires
71/ Les cellules dendritiques sont des cellules qui sont :

A. Phagocytent les antigènes


B. Responsable de la capture de l’antigène
C. Responsable de la présentation de l’antigène au Lymphocyte B
D. Expriment à leur surface des molécules CMH classe II

72/ Les Lymphocytes B et T sont des cellules de:

A. L’Immunité naturelle
B. L’Immunité adaptative
C. L’Immunité innée
D. L’Immunité acquise

73/ Les Lymphocytes sont des:

A. Cellules qui exercent leurs fonctions en périphérie


B. Cellules qui représentent 99% des cellules de la lymphe
C. Petites cellules à noyau dense et rapport noyau /chromatine élevé
D. Petites cellules à noyau dense et rapport noyau /chromatine bas

74/ Les Lymphocytes B et T sont des cellules :

A. Issues des cellules souches hématopoïétiques


B. Subissant le même parcours de maturation dans la moelle osseuse
C. Subissant le même parcours de maturation dans le thymus
D. Subissant des parcours de maturation différents

75/ Les Lymphocytes B et T sont des cellules :

A. Distinguables au repos
B. Différenciable après stimulation en cellules effectrices uniquement
C. Différenciable après stimulation en cellules mémoires uniquement
D. Différenciable après stimulation en cellules effectrices et mémoires
76/ La maturation des Lymphocytes T passe par plusieurs stades elle s’effectue :

A. Au niveau de la Rate
B. Au niveau de la moelle osseuse
C. Au niveau des ganglions
D. Au niveau du thymus

77/ La maturation des Lymphocytes T passe par plusieurs stades :

A. Thymocytes précoces double positif


B. Thymocytes précoces double négatif
C. Thymocytes intermédiaires double positif
D. Thymocytes intermédiaires double négatif

78/ Au cours de la maturation des thymocytes, la sélection positive est que :

A. Thymocytes dont le TCR reconnait le CMH du soi survit


B. Thymocytes dont le TCR reconnait le CMH du soi ne survit pas
C. Thymocytes dont le BCR reconnait le CMH du soi survit
D. Thymocytes dont le BCR reconnait le CMH du soi ne survit pas

79/ Au cours de la maturation des thymocytes , la sélection négative est que :

A. Thymocytes qui réagit excessivement avec le CMH est maintenu


B. Thymocytes qui réagit excessivement avec le CMH est détruit
C. Thymocytes qui réagit normalement avec le CMH est maintenu
D. Thymocytes qui réagit normalement avec le CMH est détruit

80/ En fin de maturation des thymocytes il reste 5% des thymocytes matures ou LT :

A. Lymphocytes LT CD4 dit auxiliaires ou encore Helper plus nombreux


B. Lymphocytes LT CD8 dit cytotoxiques plus nombreux
C. Lymphocytes LT CD4 dit auxiliaires ou encore Helper moins nombreux
D. Lymphocytes LT CD8 dit auxiliaires ou encore Helper plus nombreux
81/ Immunoglobulines

A. Molécules synthétisées par les Lymphocytes B


B. Molécules sécrétées par les Lymphocytes B
C. Molécules synthétisées par les plasmocytes
D. Molécules sécrétées par les plasmocytes

82/ Immunoglobuline est une glycoprotéine:

A. Appelée encore anticorps


B. Effecteur majeur de l’Immunité Humorale
C. Appelée encore gamma-globuline
D. Appelé encore béta-globuline

83/ Immunoglobuline est une glycoprotéine qui dispose de:

A. 5 classes
B. Effecteur majeur de l’Immunité adaptative
C. 4 chaines lourdes
D. 4 chaines légères

84/ Immunoglobuline est formée par :

A. 4 chaines polypeptidiques
B. 4 chaines identiques 2à 2
C. 2 chaines légères de 5 classes
D. 2 chaines lourdes de 2 types

85/ Immunoglobuline dispose de :

A. 4 chaines identiques dans une même molécule


B. Les chaines lourdes et légères sont identiques dans une même molécule
C. Les chaines lourdes et légères sont différentes dans une même molécule
D. Les chaines lourdes et légères sont stabilisées par des ponts disulfures
86/ Immunoglobuline dispose d’une chaine lourde formée par :
A. Domaine unique
B. Plusieurs domaines identiques
C. Domaine constant et plusieurs domaines variables
D. Domaine variable et plusieurs domaines constants

87/ Immunoglobuline dispose d’une chaine légère formée par :


A. Domaine unique
B. Plusieurs domaines identiques
C. Domaine constant et plusieurs domaines variables
D. Domaine variable et d’un domaine constant

88/ Immunoglobuline dispose de domaines variables formées par :


A. Régions variables
B. Régions hypervariables
C. Régions déterminant la complémentarité
D. Site anticorps

89/ Immunoglobuline dispose de domaines constants formées par

A. Régions variables
B. Régions hypervariables
C. Régions déterminant la complémentarité
D. Assure des fonctions effectrices de la réponse immunitaire

90/ Le domaine d’une chaine d’immunoglobuline peut être :

A. Variable constitué de plusieurs acides aminés


B. Variable constitué de quelques acides aminés
C. Constant constitué de quelques acides aminés
D. Constant constitué de plusieurs acides aminés
91/ Immunoglobuline est formée de :

A. 2 fragments identiques
B. 2 fragments différents
C. 1 fragment de reconnaissance unique
D. 1 fragment effecteur et 1 fragment de reconnaissance

92/ Le fragment de reconnaissance d’une Immunoglobuline est composé de :

A. 1 domaine constant et 1 domaine variable


B. 1 domaine constant et 2 domaines variables
C. 2 domaines constants et 2 domaines variables
D. 4 domaines constants et 4 domaines variables

93/ Le fragment effecteur d’une immunoglobuline est :

A. Appelé aussi antigen binding


B. Appelé aussi cristallisable
C. Composé d’1 domaine variable
D. Composé de plusieurs domaines constants

94/ Immunoglobuline G est :

A. La plus représentée des immunoglobulines


B. À l’état de traces dans le sang
C. Monomérique le plus souvent
D. Monomérique uniquement

95/ Immunoglobuline G :

A. Traverse le placenta sous forme dimérique


B. Ne traverse pas le placenta sous forme dimérique
C. Traverse le placenta sous forme monomérique
D. Aucune proposition
96/ Immunoglobuline M se présente sous forme :

A. Monomérique uniquement
B. Dimérique uniquement
C. Pentamérique uniquement
D. Pentamérique et monomérique membranaire

97/Immunoglobuline M pentamérique est :

A. Secrétée en premier au cours d’une infection


B. Présente chez l’adulte et absente chez le nouveau né
C. Présente chez l’adulte et le nouveau né
D. Traverse le placenta

98/ Immunoglobuline A est :

A. Sous forme pentamérique et dimérique


B. Sous forme monomérique et dimérique
C. Sous forme sécrétoire dans le lait maternel
D. Sous forme monomérique dans le lait maternel

99/ Immunoglobuline E est :

A. Composée d’une chaine lourde delta


B. Composée d’une chaine lourde epsilon
C. Responsable de la lutte anti-bacterienne
D. Responsable de la lutte anti-parasitaire

100/ ImmunoglobuIine D est :

A. Composée d’une chaine lourde delta


B. Composée d’une chaine lourde epsilon
C. Participe au BCR
D. Participe au TCR
101/ Le déterminant isotypique signifient que :

A. Caractère présent chez un groupe d’individus d’une espèce


B. Caractère présent chez tous les individus d’une espèce
C. Caractère propre a chaque individu d’une espèce
D. Toutes les propositions précédentes

102/ Le déterminant allotypique signifient que :

A. Caractère présent chez un groupe d’individus d’une espèce


B. Caractère présent chez tous les individus d’une espèce
C. Caractère propre a chaque individu d’une espèce
D. Aucune des propositions

103/ Le déterminant idiotypique signifient que :

A. Caractère présent chez un groupe d’individus d’une espèce


B. Caractère présent chez tous les individus d’une espèce
C. Caractère propre a chaque individu d’une espèce
D. Aucune des propositions

104/ La génétique des Immunoglobulines (Ig) on parle exclusion allélique :

A. Les Ig sont codées par les 2 gènes homologues sur les 2 chromosomes
B. Les Ig sont codées par 1 des 2 gènes homologues sur 1 des 2 chromosomes
C. Les 2 gènes homologues sur les 2 chromosomes ne s’expriment guère
D. Une inhibition programmée de l’expression d’1 gène sur 1 Chromosome

105/ La diversité des Immunoglobulines (Ig):

A. C’est l’incapacité des Igs à réagir avec un très grand nombre d’antigènes
B. Plusieurs gènes sont impliqés dans la synthèse des Igs
C. Plusieurs Chromosomes sont impliqés dans la synthèse des Igs
D. Plusieurs familles multigéniques codent pour differents parties des Igs
106/ Les fonctions des Immunoglobulines sont:

A. La reconnaissance des antigènes qui se fait par le fragment Fab


B. La reconnaissance des antigènes qui se fait par le fragment Fc
C. La neutralisation des toxines et virus qui se fait par le fragment Fab
D. La neutralisation des toxines et virus qui se fait par le fragment Fc

107/ Les fonctions des Immunoglobulines sont:

A. Opsonisation qui est une facilitation à la phagocytose


B. Formation du Complexe d’attaque membranaire par le complément
C. Cytotoxicité cellulaire dépendante des anticorps via les macrophages
D. Cytotoxicité cellulaire dépendante des anticorps via le Natural Killer

108/ Les fonctions des Immunoglobulines sont:

A. Dégranulation des PN Neutrophiles


B. Dégranulation des PN Eosinophiles
C. Dégranulation des PN Basophiles
D. Dégranulation des Mastocytes

109/ Les Immunoglobulines sont utilisés dans différents domaines:

A. Le diagnostic biologique de grossesse


B. Les sérologies virales et bactériennes
C. Biothérapie par l’usage des anticorps monoclonaux
D. Biothérapie par l’usage des anticorps polyclonaux

110/ L’exploration des Immunoglobulines se fait par différentes techniques:

A. Quantitative : Electrophorèse des protéines sériques


B. Qualitative : Electrophorèse des protéines sériques
C. Quantitative : Dosage pondéral des Igs
D. Qualitative : Dosage pondéral des Igs
110/ L’exploration des Immunoglobulines se fait par différentes techniques:

A. Quantitative : Electrophorèse des protéines sériques


B. Qualitative : Electrophorèse des protéines sériques
C. Quantitative : Dosage pondéral des Immunoglobulines
D. Qualitative : Dosage pondéral des Immunoglobulines

111/ Le système du Complément est un:

A. Ensemble de protéines sériques actives dans la circulation


B. Ensemble de protéines sériques inactives dans la circulation
C. Effecteur majeur de l’Immunité Innée
D. Effecteur majeur de l’Immunité Adaptative humorale

112/ Le système du Complément s’active selon:

A. 01 mode : voie classique


B. 02 modes : voies classique et alterne
C. 03 modes : voies des lectines , classique et alterne
D. Une cascade d’activation

113/ Le système du Complément voit ses voies d’activation:

A. Evoluées chacune dans un sens propre à elle


B. Evoluées pour converger vers une voie commune
C. Evoluées sans système de régulation
D. Evoluées sous l’action de protéines régulatrice

114/ Le système du Complément aboutit après son activation:

A. A une voie commune finale


B. A la formation d’un complexe d’attaque membranaire
C. A une lyse de la cellule cible
D. Sans effet sur les cellules cibles
115/ Les composants de la voie classique du système du Complément

A. Au nombre de 11 pour les voies classique et commune


B. Désignés par la lettre C suivie d’un numéro allant de 1 à 11
C. Désignés par la lettre C suivie d’un numéro allant de 1 à 9
D. Appelés aussi facteurs pour la voie classique

116/ Les composants de la voie alterne du système du Complément

A. Appelés aussi facteurs


B. Désignés par la lettre C
C. Désignés par la lettre B ou D
D. Les facteurs de cette voie n’aboutissent jamais à la voie commune

117/ Les composants de la voie des lectines du système du Complément sont

A. Lectine , protéine de l’inflammation


B. Mannose Binding Lectin : MBL (lectine liant mannose)
C. MASP 1 et 2 équivalents du C1s et C1s
D. Les facteurs de cette voie n’aboutissent jamais à la voie commune

118/ Les composants du système du Complément sont synthétisés par :

A. Les cellules du foie, hépatocytes, uniquement


B. Les cellules du foie, hépatocytes, essentiellement
C. Les macrophages et les monocytes
D. Les adipocytes

119/ Les récepteurs du système du Complément sont :

A. Présent sur la surface de nombreuses cellules sanguines


B. Absents sur la surface de tous les tissus
C. Absents sur la surface de toutes les cellules sanguines
D. Présents sur la surface de certains tissus
120/ Les caractéristiques du système du Complément sont :

A. Clivage de la protéine en 2 fragments identiques inactifs


B. Clivage de la protéine en 2 fragments différents actifs
C. Clivage de la protéine en 3 fragments différents actifs
D. Clivage de la protéine en 3 fragments différents inactifs

121/ Le clivage de la protéine du système du Complément donne :

A. 1 gros fragment se fixant sur la cellule cible


B. 1 petit fragment restant libre à effet pro-inflammatoire
C. 1 gros fragment restant libre à effet anti-inflammatoire
D. 1 petit fragment se fixant sur la cellule cible

122/ La cascade enzymatique du système du Complément signifie :

A. Chaque fragment activé, active à son tour la protéine suivante


B. Chaque fragment activé, active à son tour une voie différente
C. Chaque voie activée, active à son tour une voie différente
D. Chaque voie activée, active à son tour la protéine suivante

123/ La voie classique du système du Complément est activée par :

A. Complexe antigène –anticorps IgM essentiellement


B. Complexe antigène –anticorps IgG essentiellement
C. Agents pathogènes
D. Protéine inflammatoire telle la CRP

124/ La voie alterne du système du Complément est activée par :

A. Protéine inflammatoire telle la CRP


B. Cellules tumorales et infectées par des virus
C. Complexe antigène –anticorps IgM essentiellement
D. Constituants de la paroi bactérienne
124/ La voie des lectines du système du Complément est activée par :

A. Le Complexe antigène –anticorps IgM


B. Le Complexe antigène –anticorps IgG
C. La lectine reconnaissant le glucose des microbes
D. La lectine reconnaissant le mannose des microbes

125/ Le Complexe d’Attaque Membranaire est formé par:

A. La fixation des C6, C7, C8 et les C9 sur le C5a de la membrane cellulaire


B. La fixation des C6, C7, C8 et les C9 sur le C5b de la membrane cellulaire
C. La fixation des C6, C7, C8 et les C9 sur le C3a de la membrane cellulaire
D. La fixation des C6, C7, C8 et les C9 sur le C3b de la membrane cellulaire

126/ Le Complexe d’Attaque Membranaire lyse la cellule cible par:

A. Provocation d’un déséquilibre ionique cellulaire


B. La formation d’un canal transmembranaire
C. Action inflammatoire des anaphylatoxines
D. Action inflammatoire des chimiokines

127/ La régulation de l’activation du système du complément est secondaire à:

A. La stabilité des composants activés


B. La labilité des composants activés
C. L’action des facteurs inhibiteurs
D. La perte rapide de l’activité protéolytique des composants loin des cibles

128/ Les fonctions du complément:

A. Opsonisation par le C3a, opsonine Majeure


B. Opsonisation par le C3b, opsonine Majeure
C. Lyse cellulaire
D. Réaction inflammatoire par les C3a ,C4a et C5a
129/ Les cytokines sont des molécules:

A. Responsables de la communication inter cellulaire


B. Responsables de la Coopération entre différentes populations de cellules
C. Ne dépasse pas une dizaine actuellement identifiées
D. N’ont aucune action sur la réponse immunitaire

130/ Les cytokines sont des glycoprotéines appartenant à plusieurs familles:

A. Hématopoïétines
B. Interleukines
C. Chimiokines
D. Immunoglobulines

131/ Les cytokines ont plusieurs origines cellulaires:

A. Natural Killer
B. Lymphocytes T
C. Cellules dendritiques
D. Lymphocytes B

132/ Les cytokines ont plusieurs origines:

A. Différentes cellules sécrètent une même cytokine


B. Différentes cytokines sont issues d’une même cellule
C. Une cellule ne peut sécrèter qu’une seule cytokine
D. Toutes les propositions fausses

133/ Concernant les cytokines:

A. Leur synthèse est uniquement induite


B. Leur synthèse peut être spontanée avec une demi- vie courte
C. Non stockées dans les cellules au repos
D. Les cytokines se trouvent stockées dans les cellules au repos
134/ Concernant la sécrétion des cytokines elle se fait en:

A. Grande quantité et de façon permanente


B. Très faible quantité et de façon permanente
C. Très faible quantité et de façon transitoire
D. Grande quantité et de façon transitoire

135/ Les cytokines ont des modes d’action qui diffèrent en:

A. Fonction de la distance entre cellules source et cible


B. Indépendant de la distance entre cellules source et cible
C. Fonction de l’intensité de la stimulation de la cellule source
D. Indépendant de l’intensité de la stimulation de la cellule source

136/ Les cytokines ont des modes d’action différents:

A. Exocrine, dans un environnement immédiat


B. Endocrine, à distance par voie sanguine
C. Paracrine, dans un environnement immédiat
D. Autocrine, sur la cellule elle même

137/ Les cytokines ont des propriétés, la redondance signifie que:


A. Plusieurs cytokines peuvent avoir le même effet sur une même cible
cellulaire
B. Une même cytokine a des effets différents avec des cellules cibles
différentes
C. Effet combiné de 2 cytokines peut donner un signal particulier
D. 2 cytokines peuvent avoir des effets opposés

138/ Les cytokines ont des propriétés, la pléiotropie signifie que:


A. Plusieurs cytokines peuvent avoir le même effet sur une même cible
cellulaire
B. Une même cytokine a des effets différents avec des cellules cibles
différentes
C. Effet combiné de 2 cytokines peut donner un signal particulier
D. 2 cytokines peuvent avoir des effets opposés
139/ Les cytokines ont des propriétés, la synergie signifie que:

A. Plusieurs cytokines peuvent avoir le même effet sur une même cible
cellulaire
B. Une même cytokine a des effets différents avec des cellules cibles
différentes
C. Effet combiné de 2 cytokines peut donner un signal particulier
D. 2 cytokines peuvent avoir des effets opposés

140/ Les cytokines ont des propriétés, l’antagonisme signifie que:

A. Differentes cytokines ont le même effet sur une même cible cellulaire
B. Une cytokine a des effets différents avec des cellules cibles différentes
C. Effet combiné de 2 cytokines peut donner un signal particulier
D. 2 cytokines peuvent avoir des effets opposés

141/ L’activité en cascade des cytokines signifie que:

A. Une cellule activée par une cytokine active à son tour une autre cellule
B. Une cellule activée par une cytokine peut donner un effet biologique
C. Une cellule activée par une cytokine1 cause la sécrétion d’une cytokine2
D. Une cellule activée par une cytokine n’a aucun effet sur une autre cellule

142/ Parmi les récepteurs des cytokines on trouve:

A. Récepteurs des chimiokines


B. Récepteurs des hématopïétines
C. Récepteurs des Interférons et des Tumor Necrosis Factor (TNF)
D. Récepteurs du complément

143/ Les cytokines sont classées en:

A. Fonction de leur activité biologique


B. Cytokines de l’hématopoïèse
C. Cytokines de l’Immunité Innée uniquement
D. Cytokines de l’Immunité adaptative et innée
144/ Le Complexe Majeur d’Histo-compatibilé est un système qui permet :

A. Déclenchement de la réponse immunitaire


B. Régulation de la réponse immunitaire
C. Permet de distinguer le soi et le non soi
D. Ensemble de gènes séparés codant pour des protéines nucléaires

145/ Le Complexe Majeur d’Histo-compatibilé est un système :

A. Polymorphe
B. De reconnaissance
C. Rapidement réactif
D. Localisé au niveau du chromosome 16

146/ Le Complexe Majeur d’Histo-compatibilé se caractérise par :

A. 4 régions appelées domaines


B. 3 régions appelées classes
C. Des régions formées par plusieurs gènes étroitement liés
D. Des régions formées par plusieurs gènes séparés

147/ Le Complexe Majeur d’Histo-compatibilé se caractérise par :

A. Une transmission en diplotype


B. Une transmission en haplotype
C. Une transmission en bloc
D. Une transmission fragmentée

148/ La transmission du Complexe Majeur d’Histo-compatibilé :

A. Chaque descendant hérite du seul haplotype du géniteur


B. Chaque descendant hérite du seul haplotype de la génitrice
C. Chaque descendant hérite du seul haplotype du géniteur ou de la génitrice
D. Chaque descendant hérite des 2 haplotypes du géniteur et de la génitrice
149/ le polymorphisme du Complexe Majeur d’Histo-compatibilé est du au :

A. Grand nombre de formes alléliques appelé diversité immunitaire


B. Grand nombre de formes alléliques appelé exclusion allélique
C. Petit nombre de formes alléliques appelé diversité immunitaire
D. Petit nombre de formes alléliques appelé exclusion allélique

150/ Le Complexe Majeur d’Histo-compatibilé est caractérisé par :

A. Une expression dominante des molécules codées par un haplotype


B. Une expression récessive des molécules codées par un haplotype
C. Une expression codominante des molécules codées par chaque haplotype
D. Une co-expression des 2 haplotypes sur les membranes cellulaires

151/ Les molécules HLA sont des:

A. Glycoprotéines intra-cytoplasmiques dans toutes les cellules nucléées


B. Glycoprotéines nucléaires dans toutes les cellules nucléées
C. Glycoprotéines trans-membranaires sur toutes les cellules nucléées
D. Glycoprotéines trans-membranaires uniquement sur les cellules Immunes

152/ Les molécules HLA sont des:

A. Glycoprotéines intra-cytoplasmiques dans toutes les cellules nucléées


B. Glycoprotéines nucléaires dans toutes les cellules nucléées
C. Glycoprotéines trans-membranaires sur toutes les cellules nucléées
D. Glycoprotéines trans-membranaires uniquement sur les cellules Immunes

153/ La molécule HLA Classe I est:

A. Exprimée sur toutes les cellules de l’organisme


B. Exprimée sur presque toutes les cellules nucléées de l’organisme
C. Exprimée sur toutes que sur les cellules immunes de l’organisme
D. Toutes les propositions sont justes
154/ La structure de la molécule HLA Classe I est la suivante:

A. Hétérodimère formé de 2 chaines identiques (α)


B. Hétérodimère formé de 2 chaines différentes (α et β2 microglobuline)
C. Hétérodimère formé de 2 chaines différentes (α1 et β2 microglobuline)
D. Hétérodimère formé de 2 chaines différentes (α2 et β2 microglobuline)

155/ La cavité de liaison à l’antigène de la molécule HLA Classe I est formée par :

A. Les domaines α1 et α2 très variables


B. Les domaines α1 et α3 très variables
C. Les domaines α2 et α3 très variables
D. Les domaines α1 et β2 très variables

156/ La structure de la molécule HLA Classe I comporte un:

A. Domaine α1 qui interagit avec la molécule CD4 des LT helper


B. Domaine α2 qui interagit avec la molécule CD8 des LT Cytotoxiques
C. Domaine α3 qui interagit avec la molécule CD4 des LT helper
D. Domaine α3 qui interagit avec la molécule CD8 des LT Cytotoxiques

157/ La structure de la molécule HLA Classe II est la suivante:

A. Hétérodimère formé de 4 chaines identiques (β)


B. Hétérodimère formé de 2 chaines différentes (α et β2 microglobuline)
C. Hétérodimère formé de 4 chaines différentes (2α et 2β)
D. Hétérodimère formé de 4 chaines différentes (2α2 et 2β2)

158/ La cavité de liaison à l’antigène de la molécule HLA Classe II est formée par :

A. Les domaines α1 et α2 très variables


B. Les domaines α1 et α3 très variables
C. Les domaines α2 et α3 très variables
D. Les domaines α1 et β1 très variables
159/ La structure de la molécule HLA Classe II comporte un:

A. Domaine α1 qui interagit avec la molécule CD4 des LT helper


B. Domaine α2 qui interagit avec la molécule CD8 des LT Cytotoxiques
C. Domaine β2 qui interagit avec la molécule CD4 des LT helper
D. Domaine α3 qui interagit avec la molécule CD8 des LT Cytotoxiques

160/ Les fonctions des molécules HLA sont:

A. Présentation de l’anticorps
B. Présentation de l’antigène
C. Orchestration de la double sélection du LT en cours de sa maturation
D. Intervention dans le mécanisme d’activation du Naturel Killer

161/ La présentation de l’antigène des molécules HLA I se fait comme suit :

A. La protéine endogène est présentée par HLA au LT CD4


B. La protéine endogène est présentée par HLA au LT CD4
C. La protéine exogène est présentée par HLA au LT CD4
D. La protéine exogène est présentée par HLA au LT CD4

162/ La présentation de l’antigène des molécules HLA II se fait comme suit :

A. La protéine endogène est présentée par HLA au LT CD8


B. La protéine endogène est présentée par HLA au LT CD8
C. La protéine exogène est présentée par HLA au LT CD8
D. La protéine exogène est présentée par HLA au LT CD8

163/ L’Immunité Innée est un ensemble de défenses :

A. Activé tardivement après une invasion par un agent pathogène


B. Activé immédiatement après une invasion par un agent pathogène
C. Précoce et puissant
D. Capable de bloquer la plupart des micro-organisme
164/ L’Immunité Innée est un ensemble de défenses :

A. Dont la première est représentée par les barrières cellulaires


B. Dont la première est représentée par les barrières épithéliales
C. Les défenses épithéliales sont représentées par la peau et les muqueuses
D. Les défenses cellulaires sont représentées par les phagocytes

165/ Les barrières épithéliales de l’Immunité Innée sont :

A. Barrières physico-chimiques avec le milieu extérieur


B. La peau saine est une barrière vivante étanche
C. La peau lésée est une véritable barrière étanche
D. La muqueuse se défend par des sécrétions, par le pH et la présence de cil

166/ Les barrières épithéliales de l’Immunité Innée sont :

A. Barrières physico-chimiques avec le milieu extérieur


B. La peau saine est une barrière vivante étanche
C. La peau lésée est une véritable barrière étanche
D. La muqueuse se défend par des sécrétions, par le pH et la présence de cil

167/ Les cellules de l’Immunité Innée sont :

A. Les Lymphocytes B
B. Les Macrophages
C. Les Cellules Dendritiques
D. Le Natural Killer

168/ Les Molécules de l’Immunité Innée sont :

A. Les peptides antimicrobiens


B. Les composants du complément
C. Les Cellules Dendritiques
D. Le Natural Killer
168/ Les peptides antimicrobiens est une molécule de l’immunité Innée :

A. Sécrétée principalement par les PNN


B. Action rapide
C. Détruisent une grande variété d’agents pathogènes
D. Action lente

169/ Les mécanismes d’action des peptides anti-microbiens :

A. Activation d’enzymes antimicrobiennes


B. Déstabilisation des membranes d’agents pathogènes
C. Détruisent une grande variété d’agents pathogènes
D. Stimulation de la synthèse d’ADN et d’ARN viral

170/ Les mécanismes d’action des composants du complément :

A. Formation d’un complexe d’attaque membranaire


B. Opsonisation de L’agent pathogène
C. Activation de la réaction inflammatoire
D. Inhibition de la synthèse de l’ARN viral

171/ Les récepteurs (PRR) de l’immunité Innée sont les :

A. Toll-like Receptor (TLR)


B. Récepteurs Scavengers
C. Protéines NOD
D. T Cell Réceptor(TCR)

172/ Les Toll-like Receptor sont :

A. Exprimés sur la membrane des cellules uniquement


B. Exprimés en intra-cytoplasmique uniquement
C. Les propositions A et B
D. Au nombre de 11
173/ Le déroulement de la réponse innée passe les phases suivantes :

A. Reconnaissance de l’agent pathogène


B. Phagocytose et la dégradation
C. La réaction inflammatoire
D. L’immunité adaptative prend toujours le relais

174/ La reconnaissance phase, de la réponse innée, se fait par les cellules :

A. Les macrophages
B. Les cellules dendritiques
C. Les polynucléaires Neutrophiles PNN
D. Les polynucléaires Eosinophiles PNE

175/ La reconnaissance, phase de la réponse innée, se fait par les cellules :

A. Directement par les T-like receptor


B. Directement par les récépteurs Scavengers
C. Indirectement par les récepteurs du complément
D. Directement par les récépteurs du fragment Fc des Immunoglobulines

176/Dans la phagocytose, phase de la réponse innée :

A. Le phagosome qui s’associe au lysosome pour donner le phagolysosome


B. Le lysosome qui s’associe au phagosome pour donner le phagolysosome
C. Le lysosome est le conteneur des enzymes
D. Le phagosme est le conteneur des enzymes

177/ La dégradation, phase de la réponse innée utilise :

A. 2 types de dégradations oxygène dépendant


B. 2 types de dégradations nitrate dépendant
C. Des dérivés de l’oxygène
D. Des dérivés nitrés
178/ La réaction inflammatoire, phase de la réponse innée :

A. Induite par des cytokines


B. Induit la coagulation locale
C. Donne une hyper-perméabilité vasculaire
D. Inhibe l’expression des molécules d’adhésion endo-vasculaire (ICAM)

179/ Les phagocytes activés, phase de la réponse innée, sécrètent:

A. Les prostaglandines, protéines anti- inflammatoire


B. Les leucotriènes , protéine de l’inflammation
C. Les leucotriènes protéines anti- inflammatoire
D. Les prostaglandines, protéine de l’inflammation

180/ au cours de la réponse innée, les cellules quittent le sang pour la lésion:

A. Adhésion faible, adhésion forte et diapédèse


B. Adhésion faible, adhésion forte et extravasation
C. Adhésion forte, adhésion faible et diapédèse
D. Adhésion forte et diapédèse

181/ La réponse immunitaire adaptative:

A. 1er bouclier protecteur


B. 2nd bouclier protecteur
C. Prolongement de l’immunité naturelle
D. Prolongement de l’immunité acquise

182/ La réponse immunitaire adaptative fait appel à différents types cellulaires:

A. Les Cellules Dendritiques


B. Les Macrophages
C. Les lymphocytes T et B
D. Les Polynucléaires neutrophiles
182/ La réponse immunitaire adaptative comprend différentes étapes:

A. Captation de l’antigène par la cellule présentatrice de l’antigène (CPA)


B. Coopération CPA et LT Helper
C. Coopération CPA et LT Cytotoxique
D. Activation des cellules effectrices

183/ Lymphocytes T helper activés activent à leur tour des cellules effectrices:

A. Les lymphocytes B
B. Les plasmocytes
C. Les lymphocytes T cytotoxiques
D. Les macrophages

184/ Lymphocytes T helper est :

A. Capable de reconnaitre des antigènes natifs présentés par une CPA


B. Incapable de reconnaitre des antigènes natifs présentés par une CPA
C. Capable de reconnaitre des antigènes apprêtés par une CPA
D. Incapable de reconnaitre des antigènes apprêtés par une CPA

185/ Les Cellules présentatrices de l’antigène CPA apprête l’antigène et le:

A. Présente par sa molécule CMH Classe II au TCR du LTH CD 4


B. Présente par sa molécule CMH Classe II au TCR du LTH CD 8
C. Présente par sa molécule CMH Classe I au TCR du LTH CD 4
D. Présente par sa molécule CMH Classe I au TCR du LTH CD 4

186/ Les Cellules présentatrices de l’antigène CPA professionnelles sont:

A. Les cellules endothéliales


B. Les macrophages
C. Les cellules dendritiques
D. Les lymphocytes B
187/ Le TCR ou récepteur du LT à l’antigène est:

A. Une molécule effectrice


B. Une molécule de reconnaissance
C. Une molécule sous forme soluble généralement
D. Une molécule membranaire

188/ Le TCR ou récepteur du LT à l’antigène est un hétérodimère formé de chaines:

A. Dont toutes les régions sont extra-cellulaires


B. Dont certaines régions sont cytoplasmiques
C. Dont certaines régions sont extra-cellulaires
D. Dont certaines régions sont transmembranaires

189/ Le TCR ou récepteur du LT à l’antigène dispose d’une région extracellulaire :

A. Composée de 2 domaines variables et 2 domaines constants


B. Composée de 2 domaines variables
C. Composée de 2 domaines constants
D. Composée de 1 domaine variable et 1 domaine constant

190/ Le TCR ou récepteur du LT à l’antigène dispose d’une région extracellulaire :

A. Composée d’1 domaine constant comprenant 3 régions hypervariables


B. Composée d’1 domaine variable comprenant 3 régions hypervariables
C. Composée d’1 domaine constant comprenant 1 site de liaison avec antigène
D. Composée d’1 domaine variable comprenant 1 site de liaison avec antigène

191/ Le complexe TCR-CD3 a pour rôle :

A. Reconnaissance du peptide présenté par le CMH


B. Activation du Lymphocyte T Helper par transduction du signal par le CD3
C. Activation du Lymphocyte T CD8 par transduction du signal par le CD3
D. Activation du Lymphocyte B par transduction du signal via le CD3
192/ La réponse Cellulaire des LT Helper passe par :

A. Activation et prolifération du LT Helper


B. 4 signaux conduisant à la formation de clone de LT Helper effecteurs
C. 4 signaux conduisant à la formation de clone de LT Helper mémoires
D. Activation et prolifération du LT Cytotoxique

193/ La réponse Cellulaire des LT Helper passe par 4 signaux:

A. Signal 1 : interaction de la Cellule Dendritique et Lymphocyte T Helper


B. Signal 2 : consolidation du signal 1 par des molécules de co-stimulation
C. Signal 3 : initiation de la multiplication cellulaire
D. Signal 4 : duplication et synthèse d’acides nucléiques

194/ La prolifération des LT Helper a pour objectif la différenciation des :

A. Cellules effectrices Lymphocytes T Helper en LT Helper 1


B. Cellules effectrices Lymphocytes T Helper en LT Helper 2
C. Cellules effectrices Lymphocytes T Helper en LT Helper 3
D. Cellules effectrices Lymphocytes T Helper en LT régulateurs

195/ La différenciation des LT Helper se fait:

A. Sous l’action de cytokines


B. Sans l’action de cytokines
C. Pour aboutir à 4 sous populations
D. Pour aboutir à 5 sous populations

196/ La population des LTH1 a pour rôle dans l’immunité adaptative:

A. Désactiver les macrophages


B. Induire les phénomènes inflammatoires
C. Induire les phénomènes d’hypersensibilité retardée
D. Différenciation des LT Cytotoxiques CD8
197/ La population des LTH2 a pour rôle dans l’immunité adaptative:

A. Activer les macrophages


B. Favorise la prolifération des Lymphocytes B
C. Favorise la différenciation des Lymphocytes B
D. Différenciation des LT Helper CD4

198/ La population des LTH17 dans son rôle dans l’immunité adaptative:

A. Sécrète de l’IL 17
B. Responsable d’une activité pro-inflammatoire
C. Responsable d’une activité anti-inflammatoire
D. Différenciation des LT Helper

199/ La population des LT reg dans son rôle dans l’immunité adaptative:

A. Régule l’activation des LT effecteurs


B. Responsable d’une activité pro-inflammatoire
C. Responsable d’une activité anti-inflammatoire
D. Induit la tolérance

200/ La population des LT H1 dans son rôle dans l’immunité adaptative:

A. Lutte contre les virus et les agents pathogènes intracellulaires


B. Lutte contre les infections parasitaires helminthes
C. Lutte contre les bactéries extracellulaires et les mycoses
D. Lutte contre les cellules tumorales

201/ La population des LT H2 dans son rôle dans l’immunité adaptative:

A. Lutte contre les virus et les agents pathogènes intracellulaires


B. Lutte contre les infections parasitaires helminthes
C. Lutte contre les bactéries extracellulaires et les mycoses
D. Lutte contre les cellules tumorales
201/ La population des LT H17 dans son rôle dans l’immunité adaptative:

A. Lutte contre les virus et les agents pathogènes intracellulaires


B. Lutte contre les infections parasitaires helminthes
C. Lutte contre les bactéries extracellulaires et les mycoses
D. Lutte contre les cellules tumorales

202/ La population des LT reg dans son rôle dans l’immunité adaptative:

A. Lutte contre les virus et les agents pathogènes intracellulaires


B. Lutte contre les infections parasitaires helminthes
C. Lutte contre les bactéries extracellulaires et les mycoses
D. Induit la tolérance

203/ L’immunité adaptative Humorale est une Immunité:

A. Spécifique médiée par le Lymphocyte T


B. Spécifique médiée par le Lymphocyte B
C. Non spécifique médiée par le Lymphocyte T
D. Non spécifique médiée par le Lymphocyte B

204/ Dans l’immunité adaptative humorale le Lymphocyte B naïf qui :

A. Ne rencontre pas d’antigène prolifère


B. Ne rencontre pas d’antigène se différencie
C. Rencontre un antigène prolifère et se différencie en plasmocyte
D. Rencontre un antigène a une durée de vie courte

205/ La réaction immunitaire humorale (RIH) dépend de la nature de l’antigène :

A. Les Ag (activateurs polyclonaux) provoquent une RIH Thymo-indépendante


B. Les Ag (molécules répétitives) provoquent une RIH Thymo-indépendante
C. Les Ag Thymo-indépendant induisent directement la sécrétion des Igs
D. Les Ag Thymo-indépendant induisent indirectement la sécrétion des Igs
206/ La réaction immunitaire humorale (RIH) à Ag protéique provoque :

A. Réaction immunitaire humorale Thymo-indépendante


B. Réaction immunitaire humorale Thymo-dépendante
C. Sollicite une coopération Lymphocyte T Helper-B
D. Une Différenciation du LTHelper en LTH2

207/ La réaction immunitaire humorale (RIH) se déroule en réponse :

A. Primaire induite par un 1er contact avec un antigène déterminé


B. Secondaire induite par un 1er contact avec l’antigène déterminé
C. Primaire induite par un 2nd contact avec l’antigène déterminé
D. Secondaire induite par un 2nd contact avec l’antigène déterminé

208/ La réaction immunitaire humorale (RIH) primaire :

A. Se déroule en 2 phases
B. Se déroule en 3 phases
C. Faites d’IgG surtout
D. Faites d’IgM surtout et peu d’IgG

209/ La réaction immunitaire humorale (RIH) secondaire :

A. Se déroule en 2 phases
B. Se déroule en 3 phases
C. Faites d’IgG surtout
D. Faites d’IgM surtout et peu d’IgG

210/ La Sérothérapie est:

A. Immunisation active
B. Immunisation passive
C. Apporte une immunité rapide et de longue durée
D. Apporte une immunité rapide et de courte durée
211/ La vaccination est:

A. Immunisation active
B. Immunisation passive
C. Apporte une immunité spécifique et de longue durée
D. Apporte une immunité rapide et de courte durée

212/ La réaction immunitaire cellulaire (RIC) :

A. Spécifique
B. Donne des Lymphocytes T cytotoxiques comme élément effecteur
C. Donne des Lymphocytes T cytotoxiques comme élément mémoire
D. Non spécifique

213/ La réaction immunitaire cellulaire (RIC), à la phase effectrice on a:

A. Lyse des cellules cibles par le LT cytotoxique


B. Lyse des cellules cibles par le LB cytotoxique
C. LT cytotoxique devient Serial Killer
D. LT cytotoxique se contente de lyser une seule cellule cible

214/ Les techniques immunologiques permettent :

A. La recherche des différentes molécules de l’organisme


B. Le dosage des différentes molécules de l’organisme
C. Le dosage et la recherche d’un antigène ou un anticorps de l’organisme
D. Le dosage des antigènes de l’organisme uniquement

215/ Les techniques immunologiques peuvent être des :

A. Réactions directes où le résultat est visible sans artifice


B. Réactions directes où le résultat est visible avec artifice
C. Réactions avec marquage par corps radio actif
D. Réactions avec marquage enzymatique
216/ Les techniques immunologiques utilisant une interaction Ag-Ac :

A. Réaction bi-moléculaire
B. Réaction réversible
C. Résulte de la complémentarité spatiale entre l’Ag-Ac
D. Résulte entre le Site antigène-Epitope de l’anticorps

217/ Les techniques immunologiques utilisant une liaison Ag-Ac sont:

A. Faibles et non covalentes


B. Complémentaires
C. Adaptés spatialement entre épitope et paratope
D. Résulte entre le Site antigène-Epitope de l’anticorps

218/ Les liaisons du couple Ag-Ac peut être:

A. Liaisons hydrogènes
B. Forces électrostatiques
C. Liaisons hydrophobes
D. Liaisons hydrophiles

219/ L’interaction entre l’antigène-anticorps se caractérise par l’affinité qui est :

A. Interaction totale entre 1 seul paratope et 1 seul épitope


B. Réversible
C. Variable en fonction de la nature des groupes, de la température et du pH
D. Indépendant de la température et du pH

220/ L’interaction entre l’antigène-anticorps se caractérise par l’avidité qui est :

A. Force multiple entre 1 antigène multivalent et 1 anticorps multivalent


B. Interaction totale entre 1 seul paratope et 1 seul épitope
C. Dépendante de la valence de l’anticorps et de l’antigène
D. Indépendante de la valence de l’anticorps et de l’antigène
221/ Les réactions croisées sont le résultat d’une interaction Ag-Ac où :

A. 2 antigènes portent le même épitopes


B. 2 épitopes sont très ressemblants
C. L’anticorps produit par le 1er contact antigénique se trompe cible
D. 2 antigènes portent des épitopes différents

222/ Les réactions Ag-Ac sont des techniques qui peuvent avoir comme principe :

A. Une précipitation
B. Une agglutination
C. Un immuno-marquage
D. Une agrégation

223/ Les réactions Ag-Ac : La Précipitation

A. L ‘antigène doit être soluble


B. L ‘antigène doit être insoluble
C. Le complexe Ag et Ac formé devient visible
D. Le complexe Ag et Ac formé devient invisible

224/ Les réactions Ag-Ac : La Précipitation peut se faire sur

A. Milieu Liquide
B. Milieu Solide
C. Milieu gélifié
D. Milieu gazeux

225/ Les réactions Ag-Ac : La Précipitation en milieu liquide est

A. Réaction quantitative
B. Peu coûteuse
C. Peu sensible
D. Réaction qualitative
226/ Dans les réactions Ag-Ac :

A. Un excès d’Ag par rapport aux Ac se traduit par un précipité


B. Un excès d’Ac par rapport aux Ag se traduit par un précipité
C. Un rapport Ag et Ac optimal se traduit par un précipité
D. Un rapport Ag et Ac optimal correspond à une zone d’équvalence

227/ L’immuno-néphélémétrie est une réaction Ag-Ac où :

A. Le mélange réactionnel est soumis à une lumière


B. L’intensité de la lumière est proportionnelle aux complexes
C. L’intensité de la lumière est inversement proportionnelle aux complexes
D. Le mélange réactionnel est soumis à une source radio-active

228/ L’immuno-turbidimétrie est une réaction Ag-Ac où :

A. Le mélange réactionnel est soumis à une lumière


B. L’intensité de la lumière est proportionnelle aux complexes
C. L’intensité de la lumière est inversement proportionnelle aux complexes
D. Le mélange réactionnel est soumis à une source radioactive

229/ L’immuno-fixation est une réaction Ag-Ac où :

A. Les antigènes du mélange sont séparés sur le gel par sédimentation


B. Les antigènes du mélange sont séparés sur le gel par électrophorèse
C. Les complexes Ag-Ac sont révélés par coloration
D. La lecture est facile et le résultat est rapide

230 / Les réactions Ag-Ac , L’Agglutination est une technique où :

A. L’Ag particulaire de grande taille rencontre un Ac multivalent spécifique


B. L’Ag particulaire de grande taille rencontre un Ac monovalent spécifique
C. Le résultat peut être qualitatif
D. Le résultat peut être semi-quantitatif
231/ Les réactions Ag-Ac , L’Agglutination est une technique qui peut être :

A. Agglutination Directe Active


B. Agglutination Directe Passive
C. Agglutination Indirecte
D. Fixation du complément

232/ Les réactions Ag-Ac , La Réaction de Fixation du Complément :

A. Permet d’activer le complément


B. Permet la formation du complexe d’attaque membranaire
C. Permet d’inactiver le complément
D. Est mis en évidence par une réaction Lyse cellulaire

233/ Les réactions Ag-Ac , Les méthodes d’immuno-marquage permet de :

A. Fixer un marqueur sur un des réactifs


B. Analyser les Ag en très faible quantité dans le sérum
C. Analyser les Ag en très grande quantité dans le sérum
D. Permet d’étudier un complexe immun ni précipitant ni agglutinant

234/ Les réactions Ag-Ac , Les marqueurs utilisés en immuno-marquage sont des:

A. Radio-isotopes
B. Enzymes
C. Fluorochromes
D. Très peu sensible

235/ Les méthodes immuno-enzymatiques ELISA sont des techniques:

A. Qualitatives
B. Quantitatives
C. Indirectes
D. Compétitives
236/ La méthode immuno-enzymatiques ELISA indirecte nécessite la présence de:

A. Cible qui sera un antigène ou anticorps


B. Anti-globuline (anticorps anti-anticorps) isolée
C. Anti-globuline (anticorps anti-anticorps) conjuguée à une enzyme
D. Substrat d’emblée coloré pour révéler la réaction

237/ La méthode immuno-enzymatiques Western-Blot nécessite :

A. Séparation des protéines par électrophorèse sur gel


B. Transfert des bandes de protéines sur membrane cellulosique
C. Addition d’anticorps anti-immunoglobuline conjuguée à 1 enzyme
D. Addition d’anticorps anti-immunoglobuline non conjuguée

238/ La méthode d’ immuno-fluorescence est une technique qui:

A. Permet la recherche des antigènes ou des anticorps


B. Se fait sur coupe, frottis ou même sérum
C. Peut être directe par anticorps marqué
D. Peut être indirecte par anti anticorps non marqué

239/ La Cytométrie en Flux est une technique d’analyse :

A. Qualitative et quantitative
B. Multiparamétrique
C. Rapide
D. Lente et peu performante

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