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I38. Étude d'une pompe à chaleur destinée au chauffage d'une habitation(ESIM 1992).
T2 T3
T2 T1
Une pompe à chaleur à fréon 22 (CHF2Cl : difluorochlorométhane) prélève de la chaleur à un circuit d'eau froide et
cède de la chaleur à de l'eau chaude qui circule dans le sol de l'habitation.
Tous les calculs seront réalisés pour une masse m = 1 kg de fréon et on pose :
– Lv (T) : chaleur latente de vaporisation du fréon ;
– cL : capacité thermique massique du fréon liquide, supposée indépendante de T et de p ;
– le fréon gazeux est assimilé à un gaz parfait de masse moléculaire molaire M, et pour lequel γ = 1, 20 ;
– l'énergie cinétique macroscopique ainsi que l'énergie potentielle de pesanteur seront négligées dans tout le
problème ;
– le volume massique vL du fréon liquide est indépendant de la pression et de la température ;
– l'installation fonctionne en régime permanent.
Données :
T2 = 273 K; T1 = 305 K; Lv (T2 ) = 205 kJ.kg−1 ; Lv (T1 ) = 175 kJ.kg−1 ;
cL = 1, 38 kJ. kg−1 .K−1 ; p2 = 5.105 Pa; p1 = 12, 65.105 Pa;
vL = 0, 75 dm 3 .kg−1 ; R = 8, 31J.mol−1 .K−1;
masse molaire du fréon : M = 86, 5.10−3 kg. mol−1 .
0. Préliminaire.
γR
0.1. Montrer que la capacité thermique massique à pression constante du fréon gazeux est cp =
(γ − 1)M
0.2. La calculer numériquement.
0.3. Un fluide traverse une machine stationnaire. Par unité de masse de fluide transvasé, la machine reçoit un travail
w ′ et une chaleur q . Montrer qu’avec les approximations du problème définies précédemment la différence d’enthalpie
massique h entre la sortie et l’entrée, représentées par des indices s et e , obéit à hs − he = w ′ + q
1. Étude de la compression.
1.1. La compression est adiabatique et réversible ; en déduire T3, puis le travail w ′ en fonction des données.
1.2. Quelle est la variation d'entropie massique du fréon ?
5. Efficacité.
Le compresseur est entraîné par un moteur électrique de rendement électro-mécanique r = 0,8.
Définir l'efficacité e de cette pompe à chaleur et l'évaluer.
Si on peut faire varier Tl et T2, pour quelles valeurs de ces paramètres l’efficacité est-elle la meilleure ? Quel
avantage présente ce chauffage par rapport au chauffage électrique ?
6.Étude du cycle.
6. 1. Vérifier le bilan énergétique du cycle.
6.2. Vérifier le bilan entropique du cycle.
6.3. Utilisation d'un diagramme entropique.
Déterminer l'équation d'une isobare dans la partie correspondant à l’état gazeux du diagramme entropique ( s en
abscisse, T en ordonnée).
Tracer qualitativement l'isobare p1.
Par quel déplacement la courbe isobare correspondant à p2 se déduit-elle de celle correspondant à p1 ?
Comment sont représentées la vaporisation et la condensation à pression constante dans le diagramme entropique ?
Comment est représentée la détente de Joule-Thomson dans ce diagramme ?
Représenter qualitativement sur le diagramme précédent le cycle.
Montrer que le travail w ′ reçu par le fréon est supérieur à l'aire du cycle.
7. Fonctionnement de l’installation.
Cette pompe à chaleur sert à compenser les pertes de chaleur de l'habitation maintenue à la température T4 = 293 K,
alors que la température extérieure est Te = 273 K.
7.1. Dans le but d'évaluer ces pertes, on coupe le chauffage ; la température de l'habitation passe alors en une durée
∆t = 4 heures de T4 = 293 K à T5 = 283 K. On admet que la quantité de chaleur perdue pendant la durée d t petite
s'écrit δQ = −ak (T − Te ) dt , où k = 2.107 J. K−1 désigne la capacité thermique de l'habitation, T sa température à
l'instant t, et a une constante dépendant de l'isolation.
Donner une équation différentielle décrivant l'évolution T (t) ; en déduire a.
7.2. Calculer la puissance électrique consommée Pe pour maintenir la température de l'habitation à la valeur
constante T4.
7.3. L'eau qui alimente la source froide subit une chute de température ∆T = 4 degrés centésimaux durant la
traversée de l'échangeur. En déduire son débit massique.
Capacité thermique massique de l'eau froide utilisée : c f = 4,18 kJ. kg−1 .K−1 .
Une pompe à chaleur permet de maintenir constante la température de l'eau de la piscine ; on se placera donc en
régime permanent. La machine thermique fonctionne avec deux sources de chaleur (thermostats) : l'air extérieur de
température Text = 283 K et l'eau de la piscine de température Teau = 299 K. Le fonctionnement de la pompe à chaleur est
basé sur le cycle d'un fluide caloporteur ayant une température d'ébullition basse. Le fluide caloporteur, initialement
sous forme d’un mélange liquide-vapeur au point 1, traverse l'évaporateur où l'air extérieur lui permet de subir une
vaporisation complète et de se transformer en vapeur saturante (trajet 1-2). Le compresseur comprime ensuite cette
vapeur (trajet 2-3), de façon adiabatique et réversible. Au niveau du condenseur, la vapeur surchauffée voit d'abord sa
température descendre jusqu'à Teau en suivant une transformation isobare (trajet 3-4). Le fluide caloporteur, toujours
comprimé, redevient ensuite liquide saturé (trajet 4-5). La soupape de détente réduit la pression du fluide caloporteur
(trajet 5-1), transformation au cours de laquelle la température du fluide s'abaisse fortement le rendant prêt pour un
nouveau cycle.
1) Pour un point i (compris entre 1 et 5) du cycle, on note Pi, Ti et Vi la pression, la température et le volume du
fluide caloporteur.
a. Calculer la variation d’entropie ∆S de la vapeur assimilée à un gaz parfait pour une transformation isobare entre
les températures T3 et T4.
b. Le dessin de la figure 1 donne l'allure de la courbe d'équilibre liquide-vapeur du fluide considéré dans le
diagramme (T,S). On y a repéré le point 1 correspondant au début du cycle (en fait, ce point n’est placé
qu’approximativement). Reproduire le schéma sur votre feuille et placer les points 2, 3, 4 et 5. Pour chacune des cinq
étapes, justifier rapidement l’allure des courbes ainsi obtenues.
2) Reproduire le diagramme de la figure 2 et indiquer par des flèches les sens réels des flux thermiques et du travail.
Indiquer dans quelles étapes du cycle ces flux ont lieu.
3) Quel est l'intérêt, pour une pompe à chaleur, d’utiliser un changement d’état ? Quel est l'intérêt d'utiliser un fluide
caloporteur de température d'ébullition basse ?
4) Donner la définition de l'efficacité thermodynamique η de la pompe à chaleur. Montrer que l'efficacité réelle de
toute pompe à chaleur est inférieure à l’efficacité obtenue dans le cas d’un fonctionnement réversible utilisant des
sources de même températures et calculer cette dernière efficacité. On a ici η = 5.
5) Les pertes de la piscine sont essentiellement dues à l'évaporation de l'eau dans l'air. Dans les conditions précisées
plus haut, le taux d'évaporation par heure et par mètre carré de surface d'eau est de α = 150 g.h–1.m–2. En déduire
l'énergie perdue pendant une heure par l'eau de la piscine, de surface S = 250 m2.
6) Quel doit être le travail que l'on doit fournir au fluide pour que la pompe à chaleur puisse maintenir la température
de la piscine constante pendant une heure ? Comparer ce travail à l'énergie qu'il aurait fallu fournir si on chauffait l'eau
de la piscine avec une simple résistance électrique.
IV32. Réfrigérateur (d’après X-Cachan PSI 2004).
On modélise un congélateur par une machine où circule un fluide, le tetrafluoroéthane R134a, dont le diagramme
pression-enthalpie massique P,h est joint. Dans ce diagramme sont représentées les isothermes, les isochores, les
isentropiques et la courbe de saturation qui délimite les régions du liquide, de la vapeur et du mélange liquide-vapeur.
DS : machines thermiques avec changements d’état, page 5
Cette machine ditherme fonctionne en régime permanent ; par unité de masse de tetrafluoroéthane ayant subi un
cycle, elle reçoit les quantités de chaleur qc d’une source chaude, le milieu ambiant à 20°C, q f d’une source froide
l’intérieur du congélateur à –18°C, et le travail w .
On note T la température absolue et θ la température Celsius.
Le cycle décrit par le fluide est constitué de
quatre transformations successives qui ont les
propriétés suivantes :
– la compression de 1 à 2 est adiabatique et
réversible ;
– les passages dans les deux échangeurs
thermiques, condenseur de 2 à 3 et évaporateur
de 4 à 1, sont isobares ;
– la vanne, un tuyau très fin et
indéformable, ne reçoit pas de chaleur ;
– l'état du fluide n'est pas modifié par les
tuyauteries de liaison entre éléments
consécutifs
–les énergies cinétiques sont négligeables.
1) Un écoulement stationnaire et lent de
fluide traverse un organe stationnaire qui reçoit de l’extérieur le travail w’ et la chaleur q pendant le temps de passage
de l’unité de masse de fluide ; soit h1 et h2 l’enthalpie massique du fluide à l’entrée et à la sortie de cet organe. Montrer
que le premier principe s’écrit ∆h = w' +q.
2) Montrer que la détente est isenthalpique dans la vanne de 3 à 4.
3) Quelle propriété remarquable lie les isothermes et les isobares dans la zone mélange liquide-vapeur ?
4) On donne les indications suivantes :
– La température du fluide lors de la vaporisation dans l'évaporateur est – 30°C.
– La pression à la sortie du compresseur P2 = 8 bars = 0,8 MPa.
– Le point 3 est du liquide saturé.
– La quantité de chaleur échangée dans l'évaporateur avec l'extérieur permet une vaporisation complète du fluide
venant de 4 et conduit la vapeur de façon isobare jusqu'à l’état 1 de vapeur saturante.
Placer les 4 points du cycle 1, 2, 3, 4 sur le diagramme joint, y représenter le cycle (diagramme à rendre avec la
copie) et déterminer, par lecture et interpolation linéaire sur ce même diagramme, les valeurs de P, θ, h, s en ces
différents points. Regrouper les résultats dans un tableau.
5) Si le compresseur était adiabatique mais non réversible, comment se situerait sa température de sortie sous la
même pression P2 par rapport à la température θ2 ?
6) Pour une pression de 8 bars, quelle est la température d’équilibre liquide-vapeur ? Calculer de deux façons
différentes à l’aide du diagramme la valeur de la chaleur latente massique L de vaporisation à cette température.
7) Quelle est la valeur de la chaleur latente massique L de vaporisation au point critique représenté sur le diagramme
par le sommet de la courbe de saturation ?
8) Calculer le titre x en vapeur au point 4.
9) Calculer les chaleurs massique qc fournie au condenseur par le milieu ambiant et q f fournie à l’évaporateur par
l’intérieur du congélateur.
10) Calculer de même le travail w'1→2 fourni au compresseur et le travail total w reçu par la machine.
11) Pourquoi définit-on l'efficacité de la machine frigorifique étudiée par η = q f / w ? La calculer numériquement.
12) En réalité, la consommation électrique du congélateur est de 0,70 kWh par jour, tandis que la puissance de ses
pertes thermiques (rapport de la chaleur traversant les parois au temps) est de 60 watts.Quelle est son efficacité η ′ ?
Expliquer pourquoi elle diffère de η et dans quel sens.
13) Comment ce diagramme permet-il de discuter si le gaz se comporte ou non comme un gaz parfait ? Dans quel
domaine de pression ce comportement est-il éloigné d’un gaz parfait ?
14) Comment ce diagramme permet-il de discuter si le liquide se comporte ou non comme un fluide incompressible
et indilatable ? Dans quel domaine ce comportement en est-il éloigné ?
5) Echangeur thermique E.
5.a) Ecrire une relation entre h2 , h3 , h6 , h1 et y .
5.b) Calculer littéralement, puis numériquement y .
5.c) Calculer le travail par kg d’azote liquide produit.
6) Second principe.
6.a) Placer les points 3 et 4 sur le diagramme et donner leurs enthalpies et entropies massiques.
6.b) Calculer la différence entre l’entropie à la sortie et celle à l’entrée pour le détendeur. Commenter avec précision.
6.c) Calculer la différence entre l’entropie à la sortie et celle à l’entrée pour le séparateur. Commenter avec précision.
Q345
4
5
Q12
2
W23
T4 −Q345 1
III. 1.a) S 4 − S 3 = C p ln ; 3) voir corrigé ; 4) η = ≤ ; 5) −Q345 = 1, 05.108 J/h ; 6)
T3 W23 Text
1−
Teau
−Q345
W23 = = 2,1.107 J/h ;au lieu de W = 1, 05.108 J/h .
η
IV. 1) et 2)voir cours ou corrigé ; 3) isothermes et isobares confondues ;4)
1 2 3 4
vapeur saturante vapeur sèche liquide saturé liquide + vapeur
θ en °C –30 42 32 –30
P en bar 0,84 8 8 0,84
h en kJ/kg 380 430 245 245
s en kJ.kg–1.K–1 1,75 1,75 1,15 1,18
5) la température en 2 serait supérieure ; 6) 32°C ; L = 430 − 245 = 165 kJ. kg−1 ou bien
L = T ( s2 − s 3 ) = 305 ( 1, 75 − 1,15 ) = 181, 5 kJ. kg−1 ; 7) L = 0 ; 8) x 4 = 0, 37 ; 9)
qc = h3 − h2 = −185 kJ/kg q f = h1 − h4 = 135 kJ/kg ; 10) w = w ′ = h2 − h1 = 50 kJ. kg−1 ; 11) η = 2,7 ;
12) η ′ = 2, 06 ; 13) dans la mesure où les isothermes sont verticales, soit P < 10 bars ; 14) isochores verticales et
très écartées,.
V. 1.a) hs − he = w ′ + q ; 1.b) si réversible, ss − se = q /T , sinon ss − se > q /T ; 1.c)
ms hs + ms′hs′ − me he + me′he′ = W ′ + Q ; ms ss + ms′ss′ − mese + me′se′ ≥ Q /T ; 2.a)
h1 = 452 kJ. kg−1 ; s1 = 4, 40 kJ. kg−1 . K−1 ; h2 = 417 kJ. kg−1 ; s2 = 2, 72 kJ. kg−1 . K−1 ; 2.b) non ;
2.c) q = T ( s2 − s1 ) = −487 kJ. kg−1 ; 2.d) w = h2 − h1 − q = 4452 kJ. kg−1 ; 3) h3 = h4 ; 4.a)
h6 = 228 kJ. kg−1 ; s6 = 3 kJ. kg−1 . K−1 ; h5 = 32 kJ. kg−1 ; s5 = 0, 4 kJ. kg−1 . K−1 ; 4.b)
h6 − h5 228 − 32
T = = = 75, 4 alors qu’on lit sur le diagramme T = 76 K ; 4.c) yh5 + ( 1 − y ) h6 = h4 ; 5.a)
s6 − s5 3 − 0, 4
h − h2
h3 − h2 + ( 1 − y )( h1 − h6 ) = 0 ; 5.b) y = 1 = 0, 0833 ; 5.c) W = w / y = 5420 kJ. kg−1 ; 6.a)
h1 − h5
h4 = yh5 + ( 1 − y ) h6 = 212 kJ. kg−1 ; s4 = ys5 + ( 1 − y )s6 = 2, 78 kJ. kg−1 ;
h3 = 212 kJ. kg−1 ; s3 = 1, 72 kJ. kg−1 . K−1 ; 6.b) s4 − s3 = 1, 06 kJ. kg−1 . K−1 ; 6.c)
ys5 + ( 1 − y )s6 − s4 = 0 ; 6.d) s3 − s2 + ( 1 − y )( s1 − s6 ) = 0, 28 kJ. kg−1 . K−1 .
Une isobare est donc une courbe croissante. La vaporisation et la condensation sont représentés par des segments
horizontaux. La détente de Joule -Thomson est une courbe décroissante ( s augmente, tandis que T diminue), d’où le
dessin ci-dessous du cycle, la compression étant le segment vertical :
Pour un cycle w ′ = w et w + q = 0 . Si le cycle était réversible, q = ∫v Tds , donc w ′ serait égal à l’aire du
cycle ; mais en réalité, le passage dans le détendeur est irréversible, donc q < ∫v Tds et w ′ est supérieur à l’aire du
cycle.
II.
1.1) Un détendeur est un orifice très étroit qui freine le passage d’un fluide. La transformation du fluide est la détente
de Joule-Thomson.
1.2) Le remplacement de u par h est dû au travail de la pression exercée par le fluide en amont et en aval du fluide
considéré.
III.
T4
1.a) S 4 − S 3 = C p ln .
T3
1.b) Le cycle est dessiné ci-contre. Le point 1 est
mal positionné dans l’énoncé, il est nécessaire de 3
considérer qu’il est plus à droite :
• transformation 1-2 : isotherme T = Text et 4
isobare avec changement d’état, donc horizontale ; 5
• transformation 2-3 : isentropique, donc
verticale ;
• transformation 3-4 : isobare d’un gaz parfait,
donc obéit à S = C p lnT + cste (voir question
1a) ; la courbe est une exponentielle croissante ; 2
• transformation 4-5 : isotherme T = Teau et
isobare avec changement d’état, donc horizontale ;
Q345
IV.
1) Appliquons le premier principe à un système formé de l’organe, du fluide qui est dedans et de l’unité de fluide qui
dans l’état initial 1 s’apprête à y entrer et dans l’état final 2 vient d’en sortir.
Comme l’organe est stationnaire et l’énergie cinétique négligeable, la variation d’énergie de ce système est u2 − u1 .
Le travail reçu est w ′ + p1v1 − p2v2 et la chaleur reçue est q . D’où :
u2 − u1 = w ′ + p1v1 − p2v2 + q
h2 − h1 = w ′ + q
2) La vanne ne reçoit ni travail, ni chaleur, donc l’énoncé du premier principe pour les transvasements stationnaires
montre que l’enthalpie massique est la même à l’entrée et à la sortie.
3) Les isothermes et les isobares sont confondues dans la zone mélange liquide-vapeur, car à l’équilibre entre deux
états d’un corps pur la pression est une fonction de la température.
4)
1 2 3 4
vapeur saturante vapeur sèche liquide saturé liquide + vapeur
θ en °C –30 42 32 –30
P en bar 0,84 8 8 0,84
h en kJ/kg 380 430 245 245
s en kJ.kg–1.K–1 1,75 1,75 1,15 1,18
5) Alors, s2 > s1 , donc la température en 2 serait supérieure.
6) Sous 8 bars, l’équilibre liquide vapeur a lieu à 32°C. L = 430 − 245 = 165 kJ.kg−1 ou bien
L = T ( s2 − s 3 ) = 305 ( 1, 75 − 1,15 ) = 181, 5 kJ.kg−1
7) Le graphe et le raisonnement précédent montre que L = 0 .
8) x 4 = 0, 37 par lecture directe.
9) qc = h3 − h2 = 245 − 430 = −185 kJ/kg q f = h1 − h4 = 380 − 245 = 135 kJ/kg .
10) w = w ′ = h2 − h1 = 430 − 380 = 50 kJ. kg−1
11) Le gain est q f et la dépense w , le milieu ambiant étant gratuit ; η = 135/50=2,7.
12) η ′ = 60 / ( 700 / 24 ) = 2, 06 qui est inférieur à η , à cause de l’irréversibilité de la machine réelle.
13) Le gaz est parfait dans la mesure où h = h (T ) , donc dans la mesure où les isothermes sont verticales, ce qui est
approximativement vérifié si P < 10 bars .
14) Le liquide est incompressible si les isochores sont verticales et très écartées, ce qui n’est pas vrai près du point
critique.
5 4 6