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01 Mars 2006

Présenté par: M. BENHAMOUCHE Toufik,


Ingénieur Agence Projets AADL
I. GÉNÉRALITÉS.

II. LES DIFFÉRENTS PARAMÈTRES INFLUENTS SUR LA


CONCEPTION DES MURS ENTERRÉS DE SOUS SOLS.

III. LE DRAINAGE.

IV. CANALISATIONS THERMOPLASTIQUES POUR LA


COLLECTE DES EAUX.
Conception de la partie enterrée des
maçonneries de soubassement.

catégorie I catégorie II catégorie III


locaux utilisés où locaux pour lesquels Le mur n'a à assurer
aucune trace d'humidité l'étanchéité de la paroi aucune fonction autre
n'est acceptée sur sa n'est pas obligatoire et que la résistance
face intérieure. (murs où notamment des mécanique, le cas des
limitant des locaux infiltrations limitées murs de vides sanitaires
habitables en sous-sol). peuvent être acceptées et des murs
par le Maître d'ouvrage. périphériques de terre-
C'est, ( murs bordant plein.
des locaux utilisés
comme chaufferie,
garage ou certaines
caves).
Prescriptions particulières aux murs
enterrés de sous-sols.

Il est rappelé que la constitution des murs de sous-sol est fonction, en


sus des exigences d'utilisation de celui-ci, de différents paramètres touchant à
l'environnement de la construction et à l'écoulement des eaux de pluies ; ces
paramètres seront explicités ultérieurement dans ce présent document (nature
du terrain de fondation, nature du remblai entre la fouille et le bâtiment,
présence éventuelle d'un drainage, ouvrages étanches en bordure du
bâtiment, importance du ruissellement, présence d'une nappe phréatique,...).
Prescriptions particulières aux murs
enterrés de sous-sols.

Choix du revêtement de la paroi enterrée :

Il est rappelé aussi que les dispositions définies dans le présent article
ne sont valables que dans le cas où il ne risque pas d'y avoir accumulation
prolongée de l'eau le long des murs périphériques. Cela signifie que les
dispositions prévues par le présent article pour le choix du revêtement du mur
ne peuvent être efficaces que dans les deux seuls cas ci-après :

•ou bien le drainage n'est pas nécessaire,


•ou bien le drainage est nécessaire et prévu.

En effet, si aucun drainage n'est prévu alors qu'il s'avérerait


nécessaire, la mise en oeuvre d'un revêtement sur le mur enterré est
insuffisante, l'eau pouvant alors passer par le sol sous la fondation ou traverser
le mur par la moindre fissure. A moins de revenir à la solution du drainage, le
seul choix possible est donc celui du cuvelage.
Prescriptions particulières aux murs
enterrés de sous-sols.

Choix du revêtement de la paroi enterrée :

Premier cas, l'étude conduit à l'inutilité d'un drainage


catégorie I catégorie II murs en blocs de
béton cellulaire
autoclavé
Il doivent être compte tenu des divers facteurs, y Il doivent recevoir
revêtus compris les prescriptions du maître obligatoirement un
extérieurement d'ouvrage, il appartient au maître revêtement extérieur (voir
d'oeuvre de décider si le mur doit ou non cahier des clauses
être revêtu d'un enduit ; lorsque les techniques DTU n° 20.1).
conditions d'utilisation du local conduisent
à prévoir un enduit, celui-ci doit être
appliqué de préférence sur la face
extérieure du mur.
Prescriptions particulières aux murs
enterrés de sous-sols.

Choix du revêtement de la paroi enterrée :

Premier cas, l'étude conduit à l'inutilité d'un drainage

Le revêtement peut être soit un enduit traditionnel à base de liants


hydrauliques conforme aux spécifications du DTU n° 26.1, soit un
enduit d'imperméabilisation de façade à base de liants hydrauliques
bénéficiant d'un Avis Technique concluant favorablement à son
emploi sur des maçonneries enterrées, éventuellement complétés par
un produit noir appliqué en une ou deux couches.

Note: Dans tous les cas, les locaux de catégorie 1 doivent être aérés et
ventilés.
Prescriptions particulières aux murs
enterrés de sous-sols.

Choix du revêtement de la paroi enterrée :


Deuxième cas, un drainage est prévu
catégorie I
Soit une membrane à base de produits hydrocarbonés appliquée sur un enduit
de dressage. Elle est constituée au moins des éléments suivants :
-un enduit d'imprégnation à -un enduit d'imprégnation à froid des feuilles
froid (EIF), (EIF), élasto-
-un enduit d'application à -une chape souple de bitume armé à plastiques,
chaud (EAC), armature tissu de verre type 50 (50 suivant Avis
-une chape souple de bitume TV), autoprotégée par une feuille Technique, y
armé à armature tissu de d'aluminium soudée, ou une chape compris la colle
verre type 40 (40 TV), souple de bitume armé à haute correspondante
autoprotégé par feuille résistance double armature en tissu d'assemblage
d'aluminium de verre (50 TV-W-HR) autoprotégée de ces feuilles
par une feuille d'aluminium soudée
Prescriptions particulières aux murs
enterrés de sous-sols.

Choix du revêtement de la paroi enterrée :


Deuxième cas, un drainage est prévu
catégorie I
Soit par des drains verticaux en liaison avec le drainage horizontal. Ces
systèmes de conceptions très diverses (blocs drainants, nappes filtrantes,...) ne
peuvent être définis dans le présent document, leur emploi est donc à examiner
cas par cas, au vu de références locales satisfaisantes et d'une étude
particulière, notamment concernant la nécessité ou non d'associer à ces
systèmes un revêtement adhérent sur la maçonnerie.

catégorie II
La partie enterrée de la face extérieure des murs de soubassement doit recevoir
un revêtement imperméable à l'eau.
Prescriptions particulières aux murs
enterrés de sous-sols.

Choix du revêtement de la paroi enterrée :

Une étude particulière doit être


effectuée pour le raccordement
de ce revêtement avec les points
singuliers (semelle de fondations,
mur en retour, …etc
1- LES EXIGENCES D'UTILISATION :

La conception des murs périphériques de sous-sol est


tributaire des exigences d'utilisation qui détermine la nécessité ou
non d’une certaine étanchéité à l'humidité de ces murs, tel que
précisé dans la première partie.
2- LA NATURE DU TERRAIN DE
FONDATION :

Si le terrain de fondation est Par contre, si le terrain de fondation


perméable (sables, graviers,...) et non est peu perméable (argile, limon...), les
immergé, les eaux de ruissellement eaux d'infiltration peuvent venir
s'infiltrent rapidement sans soumettre s'accumuler le long du mur enterré.
le mur périphérique à une importante
humidité permanente.
3- LA NATURE DU REMBLAI ENTRE
LA FOUILLE ET LE BÂTIMENT :

La nature du remblai entre la fouille et le bâtiment n'a que


peu d'influence lorsque le terrain de fondation est perméable ; par
contre, si le sol dans lequel a été ouverte la fouille est peu
perméable et si aucun drainage n'a été prévu, il est dangereux de
remblayer la tranchée de fouille avec des matériaux très
perméables (le DTU n° 1.2 relatif aux travaux de terrassement
interdit, entre autres, le remblaiement avec les gravois du
chantier).
4- LA PRÉSENCE ÉVENTUELLE D'UN
DRAINAGE :

Il est difficile d'indiquer les cas où un réseau de drainage est


nécessaire. Il s'agit en effet de cas d'espèce. On peut cependant conseiller
de drainer chaque fois que le bâtiment est fondé sur une couche peu
perméable surmontée par un sol perméable, les eaux de ruissellement
peuvent alors venir au contact des murs du sous-sol suffisamment
longtemps pour pénétrer dans le bâtiment à travers le mur ou même en
cheminant sous la fondation.

Cependant, un réseau de drainage, même le mieux conçu et


réalisé, est inutile et même nuisible s'il n'est pas possible d'évacuer d'une
manière efficace et satisfaisante les eaux collectées. Dans ce cas, non
seulement le drainage est inutile, mais encore, quelles que soient les
précautions prises pour étancher le mur, l'eau risque d'entrer par le sol. Il y a
donc lieu de recourir à une solution de cuvelage telle qu'elle est définie par le
DTU n° 14.1.
5- PRÉSENCE D’OUVRAGE EN
BORDURE DU BÂTIMENT :

La présence d'ouvrages relativement étanches en bordure


du bâtiment (dallages, trottoirs, etc.) ou la protection des abords
du mur périphérique par des ouvrages en saillie (toitures
débordantes, auvents, balcons, etc.).
6- LES EAUX DE RUISSELLEMENT :

L'importance des eaux de ruissellement pouvant venir en


contact avec les murs périphériques du bâtiment. Le relief - naturel
ou artificiel - du terrain environnant joue à cet égard un rôle
important. C'est ainsi que, dans les terrains peu perméables, il est
dangereux, en l'absence d'un réseau périphérique de drainage, de
prévoir des mouvements de terre tels qu'ils créent une cuvette
dont le centre serait occupé par le bâtiment.
7- LA PRÉSENCE ÉVENTUELLE D'UNE
NAPPE PHRÉATIQUE :

Même lorsque la remontée de cette nappe ne provoque


pas l'inondation du sous-sol (ce qui nécessiterait des dispositions
conformes au DTU n° 14.1), la présence d'une nappe voisine du
niveau des fondations perturbe l'écoulement des eaux de
ruissellement.
1- DÉFINITION ET DOMAINE DE
VALIDITÉ :

On appelle réseau de drainage un ouvrage destiné à


collecter et à évacuer les eaux du sol. Le présent document
concerne uniquement les drainages destinés à protéger les parties
enterrées des bâtiments contre les venues d'eaux, dans les limites
fixées à l'article 6.1 du DTU 20.1« Règles de calcul et dispositions
constructives minimales ».Il existe d'autres types de drainages,
par exemple les drainages agricoles, les drainages de stabilisation
des pentes, les drainages sous certains radiers, etc.
2- CONCEPTION GLOBALE D'UN
RÉSEAU DE DRAINAGE :

La conception globale d’un réseau de drainage dépend à


la fois de la surface, du relief et de la nature du terrain à assainir,
du nombre et de la densité des bâtiments implantés sur le terrain,
de la profondeur de leur encastrement, ….etc.
2- CONCEPTION GLOBALE D'UN
RÉSEAU DE DRAINAGE :

Lorsqu'il faut assainir des


bâtiments isolés, le réseau de
drainage peut en général être
constitué par des drains
périphériques reliés à un
collecteur.
2- CONCEPTION GLOBALE D'UN
RÉSEAU DE DRAINAGE :

Sur un terrain sensiblement plats,


le drainage ceinture totalement le
bâtiment.

Sur un terrain en pente notable, le


drainage n'est en général pas
nécessaire sur la façade aval
2- CONCEPTION GLOBALE D'UN
RÉSEAU DE DRAINAGE :

Lorsque le terrain comporte un


grand nombre de bâtiments, il
peut être plus simple et plus
économique de réaliser un
réseau général de drainage.
Surtout si le terrain à drainer est
sensiblement plat.
2- CONCEPTION GLOBALE D'UN
RÉSEAU DE DRAINAGE :

Une solution mixte peut être


envisagée en fonction du
nombre de bâtiments et de
la configuration du terrain, ce
dernier pouvant imposer une
solution plutôt qu'une autre,
surtout s'il est en pente.
3- CONCEPTION DE LA TRANCHEE
DRAINANTE :

Elle constituée de :
La zone de collecte et d’évacuation des
eaux;
Des matériaux filtrants.
Lorsque la quantité d'eau à évacuer est importante, un tuyau
doit être mis en place dans la zone de collecte. Ce tuyau doit être
réalisé en matériaux non corrodables et imputrescibles. Le diamètre
du drain se détermine en fonction de la quantité d'eau à évacuer et
la pente du tuyau est comprise entre 3 et 10 mm par mètre.

Les tuyaux de drainage sont, la plupart du temps, soit en


terre cuite, soit en béton (poreux ou perforé), soit en PVC perforé.

Pour des drainages périphériques, le diamètre minimal


intérieur du tuyau est de l'ordre de 100 mm ; pour des drainages en
épi, ce diamètre peut être plus faible (60 à 80 mm) selon la distance
entre 2 drains voisins.
La tranchée drainante doit être remplie de matériaux
perméables. Ce remplissage doit être obligatoirement réalisé selon
l'un des deux procédés suivants:

• Un remplissage avec des matériaux granuleux ;


• Utilisation de non-tissés synthétiques.
Exemple d’un remplissage avec
des matériaux granuleux dont les
granulométries des différentes
couches successives respectent
une certaine loi dite « loi des
filtres ».
Présence d’une couche La tranchée drainante est creusée
perméable dans la partie basse dans un terrain constitué de
de la tranchée => risque matériaux sableux à grains fins ou
d'entraînement des éléments fins. limon sableux => risque
d'entraînement des éléments fins.
L'élément filtrant est constitué par un non-tissé synthétique imputrescible
d'au moins 200 g/m2 en contact sur une face avec le terrain, et
enveloppant complètement ou partiellement un remplissage en cailloux.
4- PRESCRIPTIONS COMPLÉMENTAIRES
RELATIVES AUX DRAINAGES PÉRIPHÉRIQUES
DE BÂTIMENTS :

Le drainage est exécuté à une Le drainage est situé immédiatement


certaine distance des murs le long des fondations superficielles.
extérieurs.
4- PRESCRIPTIONS COMPLÉMENTAIRES
RELATIVES AUX DRAINAGES
PÉRIPHÉRIQUES DE BÂTIMENTS :

Pente maximale conseillée dans Pente maximale conseillée en terrain


les sables fins. argileux.
5- IMPLANTATION DES REGARDS:

Des regards doivent être implantés :


• au point haut du drain,
• à chaque changement important de direction du tuyau,
• au raccordement de deux drains.

Leur diamètre doit être suffisant pour permettre un tringlage


éventuel ; ces regards doivent, à leur extrémité supérieure, être munis d'un
bouchon de visite conçu et placé de telle sorte qu'il évite l'introduction, dans
le regard, de terre, gravois ou autres corps étrangers.

Dans les terrains argileux, ces regards peuvent, en général être


constitués par des tuyaux en PVC ayant un diamètre intérieur de l'ordre de
150 mm. Dans les terrains à grains fins peu perméables, où les risques de
colmatage sont plus importants, on peut utiliser des regards à décantation.
6- DISTANCE ENTRE DRAINS :

La distance entre deux drains voisins est à déterminer en


fonction de la perméabilité du sol. Si l'on s'en réfère aux habitudes
en matière d'assainissement des terrains agricoles, on peut
pratiquement envisager, selon la nature des sols, les distances
suivantes entre drains :

• 8 à 12 m dans les terrains compacts argileux,


• 12 à 16 m dans les terrains limoneux,
• 16 à 20 m dans les terrains sableux ou sablo-graveleux.les
risques de colmatage sont plus importants, on peut utiliser des regards à
décantation.
7- PROFONDEUR DE LA TRANCHÉE
DRAINANTE :

La profondeur à laquelle doivent être descendues les


tranchées drainantes dépend à la fois de la nature du terrain et de la
qualité d'eau à évacuer. En dehors du cas où le terrain est baigné
par une nappe phréatique - cas qui, ainsi qu'il a été indiqué
précédemment, pose un problème ne pouvant être résolu par le
drainage - l'on peut rencontrer plusieurs cas, parmi lesquels les deux
ci-après :
7- PROFONDEUR DE LA TRANCHÉE
DRAINANTE :

Le terrain est moyennement perméable (sable à grains fins) et soumis à des


écoulements d'eau. Dans ce cas, les tranchées drainantes doivent être
descendues à un niveau plus bas que les fondations de façon à éviter des
accumulations prolongées d'eau le long des murs des sous-sols.
7- PROFONDEUR DE LA TRANCHÉE
DRAINANTE :

Le terrain superficiel est perméable (sables et graviers d'alluvions anciennes) et


surmonte un terrain très peu perméable situé cependant à un niveau inférieur à
celui des sous-sols. Pour que le drain puisse recueillir les eaux d'infiltration
circulant à la surface de la couche peu perméable, il doit être implanté plus bas
que le niveau du sous-sol.
8- COLLECTE ET EVACUATION DES
EAUX DRAINEES:

Les eaux collectées par les tranchées drainantes peuvent


être évacuées :

• soit par déversement naturel ; Ce peut être le cas dans les


terrains en pente.

• soit par l'intermédiaire d'un collecteur.


8- COLLECTE ET EVACUATION DES
EAUX DRAINEES:

Un tuyau de plus gros diamètre. un caniveau.


8- COLLECTE ET EVACUATION DES
EAUX DRAINEES:

Hormis les cas où il est possible d'évacuer les eaux collectées grâce à la
pente du terrain, l'évacuation peut s'effectuer, après autorisation des services
compétents :

• soit dans un égout d'eaux pluviales ;


• soit dans un cours d'eau, etc.

En dehors des solutions d'évacuation indiquées ci-dessus, il en existe


d'autres, mais aucune d'entre elles ne peut donner des garanties équivalentes. Parmi
ces autres solutions, on peut citer :

• la bâche étanche qui recueille les eaux du drain et les évacue à un niveau
supérieur, grâce à une ou plusieurs pompes de relevage.

• le puisard absorbant creusé dans le terrain peu perméable. Ce système ne peut


convenir que dans le cas rarissime où le drainage ne débite qu'à des intervalles
éloignés et lorsque les eaux à évacuer sont peu abondantes.
IV. CANALISATIONS THERMOPLASTIQUES
POUR LA COLLECTE DES EAUX:

La matière constituant le système de canalisations doit


être, soit du poly (chlorure de vinyle) non plastifié (PVC-U), soit du
polyéthylène (PE), qui ne peut contenir que les additifs
nécessaires pour faciliter la fabrication du système de
canalisations, dont la résistance mécanique et les performances
sont conformes aux spécifications normatives.
1- LES DIFFERENTS TYPES DE
TUBES:

tube de drainage cylindrique, à paroi


type R 1
les drains interne annelée
cylindriques
(symbole R) type R 2
tube de drainage cylindrique, à paroi
interne lisse

drain à cunette, à paroi interne


type C 1
les drains à cunette annelée et à fond plat

(symbole C).
drain à cunette, à paroi interne lisse
type C 2 et à fond plat
1- LES DIFFERENTS TYPES DE
TUBES:

Les drains cylindriques (symbole R)

type R 2
type R 1
1- LES DIFFERENTS TYPES DE
TUBES:

les drains à cunette (symbole C)

type C 2
type C 1
2- TYPES DE REPARTITION DES
PERFORATIONS DES TUBES:

tube pour drainage enterré, totalement perforé, dont les perforations


type TP sont réparties uniformément sur toute la circonférence

tube pour drainage enterré, localement perforé, dont les perforations


type LP sont réparties sur une partie de la circonférence et dont le fond n'est
pas perforé
tube collecteur drainant, dont les perforations sont réparties au sommet
de la circonférence du tube et dont la jonction est étanche. La partie
type MP inférieure d'un tube MP peut fonctionner partiellement comme tube de
transport pour les eaux collectées par ce système de drainage.

type UP tube de drainage non perforé


2- TYPES DE REPARTITIUON DES
PERFORATIONS DES TUBES:
3- LES DIFFERENTS TYPES DE
RACCORDS:

TÉ Á 90°
TÉ Á 45°

COUDE
COUDE
Á 65°
Á 90°

EMBOITURE
MANCHON INTEGRÉ

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