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- Les pondérations :
Une structure est calculée pour 2 types d’utilisations :
֍ ELS : état limite de service : c’est l’utilisation « quotidienne » d’une structure ;
֍ ELU : état limite ultime : c’est la « ruine » de l’ouvrage ;
- Répartition des charges dans une structure :
Exemple de répartition des charges d’exploitation sur un bâtiment
♦ Largeur de reprise : c’est la largeur de plancher que reprend la poutre. Cette largeur est
perpendiculaire à la longueur de la poutre.
2013 mai
I- Connaissances techniques :
1. Les dispositions à prévoir en construction sur sols gonflants :
En cas de sols argileux, des essais de laboratoire permettent d’identifier leur sensibilité vis-à-vis
du phénomène de retrait-gonflement.
Fondations continues armés et bétonnées à pleine fouille dimensionnées selon les préconisations
des documents technique Unifiés (DTU).
Éviter toutes dissymétrie dans l’ancrage des fondations (Ancrage aval au moins aussi important
que l’ancrage amont, pas de sous-sol partiel).
Préféré les sous-sols complets, les radiers ou les planchers sur vide sanitaire plutôt que les
dallages sur terre-plein.
A défaut, mettre en place des écrans anti-racine d’une profondeur minimale de 2m.
2. Les différents types de joints dans le bâtiment et leur rôle :
Joints de dilatation : concerne l’espacement entre deux parties d’un ouvrage et son rôle est de
permettre à chacune des parties d’avoir des mouvements indépendamment de l’autre.
Le joint de dilatation permet de réduire les effets de la dilatation en cas de fortes chaleurs, ou ceux
du retrait en cas de températures basses.
Joints de retrait : ont pour rôle de faciliter le retrait du béton tout en contrôlant la position et les
effets d’une éventuelle fissuration.
Ces joints sont réalisés entre les joints de dilatation à la scie mécanique.
La profondeur des joints de retrait doit être comprise entre un quart et un tiers de l’épaisseur du
dallage.
Joints de rupture : consiste à diviser les fondations, afin d’éviter les risques liés aux tassements
différentiels.
En effet, un risque de tassement différentiel est envisageable dés lors que l’ouvrage est constitué
de structure de poids différent, ou qu’une autre construction est accolée à la première.
Joints de construction : sont réalisés lors d’un arrêt prolongé du bétonnage.
Joints de fractionnement : est destiné à réduire les risques de fissuration et de compression des
revêtements.
Joints de chaussée
Joint de carrelage : est un revêtement durable à condition qu’il soit entretenu correctement.
Joints parasismiques : sont destinés à éviter que deux construction ou blocs de construction
voisins ne se heurtent au cours de mouvement, leurs largeurs doit être au moins à 4m.
Joint de tassement : destinés à éviter une fissuration indésirable. Cependant, ces joints servent à
compenser dilatation et retrait du matériau.
3. Les informations fournies par l’étude de sol et à quoi servent-elles :
L’étude de sol, discipline de la géotechnique, s’intéresse à la composition d’un terrain pour
pouvoir définir les principes de construction de votre projet et son type de fondation.
La normes NF P 94-500 définit les différentes missions d’étude de sol : Les missions d’études
préalables (G1), les missions d’études de projets (G2), les missions d’exécution (G3 et G4).
Une étude géotechnique est une étude des sols de votre terrain. Elle sert à deux choses, la première est de
déterminer les caractéristiques mécaniques des terrains qui vont être amenés à supporter une construction.
La deuxième est d’évaluer les risques naturels recensés dans l’environnement autour du terrain et les
impacts que cela pourrait avoir sur la future de construction.
Cette étude permettra d’obtenir :
Un fois les résultats interprétés, cela pourra aiguiller le maître d’ouvrage sur quel type de fondation il
faudra installer pour le projet.
Temps : plus le temps passe, plus le matériau se solidifie, changements dans les interactions
des particules.
Températures : diminution de la maniabilité avec l’augmentation de la température,
évaporation élevée.
Perte de maniabilité : le taux de perte s’accroît dans les mélanges ayant de faibles teneurs en
eau.
Caractéristiques du ciment : plus fin = plus rapide.
Pour garantir une isolation thermique de qualité, une paroi séparant l’intérieur de l’extérieur (ou une pièce
chaude d’une pièce plus froide) d’une habitation doit freiner les flux thermiques entre le milieu chaud et
le milieu froid.
Conductivité thermique [w/m. k]
Résistance thermique : R = e / λ, e = l’épaisseur, λ = conductivité thermique
Coefficient de transmission thermique d’une paroi
Les isolants dits « nouvelle génération » comme le béton cellulaire, les panneaux
Quel que soit le matériau utilisé, pour que l’isolation thermique soit efficace, elle doit être
réalisée dans les règles de l’art c’est-à-dire conformément aux DTU applicables en la matière.
Outre les différents matériaux isolants pouvant être utilisés pour améliorer la performance
L’isolation thermique par l’extérieur ou ITE consiste à envelopper la construction d’un matériau
Ce procédé peut aussi bien être utilisé pour une construction neuve ou une rénovation.
L’ITE permet de supprimer une grande majorité des ponts thermiques sans réduire la surface
habitable.
Toutefois, son coût est assez élevé et il est nécessaire de demander une autorisation pour
L’isolation thermique par l’intérieur (ITI) nécessite d’installer le matériau isolation contre
L’isolation thermique est alors placée dans une cloison de doublage ou une contre-cloison.
Ainsi, l’ITI est la solution la plus facile à mettre en œuvre notamment dans une rénovation. Elle
Pourtant, il ne faut pas oublier qu’une fois l’isolation thermique installée, il faudra refaire toute
L’isolation thermique répartie (ITR) se distingue des deux autres techniques, car elle consiste à
utiliser un matériau aux propriétés isolantes pour construire le mur. Il ne s’agit donc plus
d’habiller le mur d’un matériau isolant, mais de faire en sorte que le mur soit lui-même isolant.
Pour ce qui est du matériau utilisé, il peut s’agir de briques isolantes ou de blocs de parpaings
déterminer la charge transmise à un poteau situé au RDC à l’état limite ultime, sachant
6 ∑0 = Qt
5 ∑1 = Qt + Qc
1.
2.
Septembre 2013
I. Connaissances techniques :
1. Le rôle de l’enrobage dans une structure en béton armé et de quoi dépond son épaisseur :
L’enrobage doit être suffisant pour garantir : la bonne protection de l’acier contre la corrosion, la
bonne transmission des efforts d’adhérence, une résistance au feu convenable.
Épaisseur de l’enrobage est dépend la dimension du plus gros granulat contenu dans le béton.
2. Pour quel effort sont principalement dimensionnées les armatures transversales dans une
poutre en béton armé :
Détermination l’effort tranchant (ou cisaillement) à la rupture, dans les sections critiques.
3. Pour quelle condition sont-elles dimensionnées les armatures longitudinales des poteaux en
béton armé :
Coefficients de sécurité
Coefficients du site
Coefficients de priorité
Coefficients dynamiques
Coefficients de comportement
5. Citer des types de bâtiments pour lesquels la loi de dégression des charges d’exploitation est
appliquée et préciser pour quelle raison :
Elle s’applique aux bâtiments a grand nombre de niveaux ou les occupations des divers niveaux peuvent
être considérées comme indépendants. C’est le cas des bâtiments à usage d’habitation ou d’hébergement.
Pour les bâtiments du bureau, on applique la loi de dégression de base à la fraction de la charge
d’exploitation égale à cette dernière diminuée de 1 KN/m2.
Dans les autres cas, les dégressions en fonction du nombre d’étages sont fixées par les DPM (documents
particuliers du marché).
En appliquant la loi de dégression des charges d’exploitation pour calcul la descente de charge.
6. Citer d’autre type de bâtiments pour lesquels cette loi n’est pas appliquée :
Cette loi n’est pas applicable lorsque les charges d’exploitation sont prises en compte pour leur partie de
longue durée dans une combinaison fondamentale, c’est-à-dire lorsque les valeurs définies ci-après sont
affectées de coefficients de pondération tenant compte d’une probabilité de simultanéité avec une autre
action considérée pour sa valeur caractéristique principale.
Lorsque des locaux industriels ou commerciaux occupent certains niveaux, ils sont pris en compte sans
abattement et non comptés dans le nombre d’étapes intervenant dans la loi de dégression.
7. Quels sont les différentes modes de soutènement préconisés pour assurer la stabilisation des
talus :
Murs de soutènement
Gabions
Tranchés et éperons drainants …
8. Quels sont les différents types d’efforts auxquels peut-il être dimensionné un mur de
soutènement :
Poids du béton, Poids du sols (Résistance du sol), Poussée sols, Poids de poussée, Poids du mur
9. Quels sont les différentes vérifications de stabilité à envisager pour le dimensionnement d’un
mur de soutènements :
Pour démontrer que la stabilité externe d’un mur de soutènement, est assurée avec une sécurité adéquate,
les ELU suivants doivent être vérifiés :
10. Quels sont les paramètres à prendre en compte dans le calcul de la contrainte du sol lors
d’une étude géotechnique :
11. Dans quel but, il est procédé par le laboratoire à la réception des fouilles :
12. Pour quels types de structures, les surcharges dues au vent sont-elles prépondérantes pour le
dimensionnement et pour quelle raison :
Lorsque l'inclinaison réelle de la bielle risque d'être sensiblement inférieure à 45°, il convient d'e n tenir compte ; ce
cas peut se produire en particulier lorsque les sollicitations prépondérantes d'une poutre sont dues à une charge
unique voisine du milieu de la poutre.
Le risque des pièces fragiles est essentiellement un mauvais comportement vis-à-vis de la fissuration qui
se traduit le plus souvent par des fissures très peu nombreuses (voire par une fissure unique) mais
d'ouverture très prononcée pouvant aller dans des cas extrêmes jusqu'à la rupture brutale. Ce risque est
effectif pour les pièces peu sollicitées par les actions dues au poids propre et aux charges d'exploitation,
pièces pour lesquelles le rôle du retrait et de la température ainsi que d'effets secondaires divers devient
prépondérant.