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2012

Partie n°I : Connaissances techniques :


1- L’essai d’écrasement d’éprouvettes de béton permet de déterminer :
La résistance du béton à la traction
La résistance du béton à la compression
2- Avant le coulage d’un poteau, l’enrobage des aciers est assuré par : les calles.
3- L’équivalent du sable permet de déterminer : la propreté du sable
4- Les aciers tors ont l’avantage par rapport aux aciers doux : d’améliorer l’adhérence béton-
acier
L’acier doux : dont la teneur en carbone varie de 0.15% à 0.2% et dont la résistance à la traction est
l’ordre de 400 MPa.
5- La classe 35 du ciment CPJ 35 exprime : la résistance à la compression du ciment de 35 MPa, à
28 jours.
6- L’essai d’affaissement de béton au cône d’Abrams permet de déterminer : la plasticité du
béton.
7- Classer dans un ordre de préférence de qualité les trois catégories de sables utilisées dans la
construction : Sable d’Oued – Sable de carrière – Sable de mer
8- Qu’est ce qu’un sol gonflant, et quelles sont les dispositions constructives adoptées le cas échéant
pour un projet de construction :
Sol gonflant : il concerne les sols argileux ou riches en argile, où des constructions ont été faites
sans fondations adaptées à ce risque.
Les dispositions : Identifier la nature du sol, Adapter les fondations, Rigidifier la structure et
désolidariser les bâtiments accolés, éviter les variations localisées d’humidité, éloigner les
plantations d’arbres.
9- Doit-on faire toujours appel à un laboratoire agrée pour effectuer des études géotechniques de sol
dans tout projet et quel est le risque dans le cas contraire :
Étude géotechnique est une étape essentielle que l’on ne peut pas négliger, elle permet
principalement de garantir la solidité et la viabilité d’un projet de construction, et elle permet, en
effet, d’évaluer et de corriger les risques naturels liés au site de construction.
Au contraire, si on néglige l’étude géotechnique, alors dans le cercle de vie de l’ouvrage ils
apparaissent des problèmes au niveau du sol : tassement, gonflement, les fissurations,
déformations, …
10- Quel est l’utilité des aciers dans les ouvrages de béton armé :
Dans une structure en béton armé, les aciers principaux sont positionnés dans les parties tendues
du béton compenser la mauvaise résistance du béton en traction.
11- OPC : l’ordonnancement, le pilotage, et coordination des travaux sur chantier :
Est un professionnel intervenant sur les chantiers de construction et d’ingénierie. Il occupe un rôle
central dans l’exécution des projets, s’assurant que les travaux soient réalisés dans le temps et le
budget prévu. Ses missions touchent à l’optimisation des ressources, la communication entre les
intervenant et l’organisation des tâche, de la phase d’étude à la livraison du projet.
12- Les différents de contrôle effectués sur le béton :
Contrôle de fabrication en usine de béton prêt à l’emploi ou en usine de préfabrication
Contrôle du processus de fabrication et de transport
Contrôle à la mise en œuvre avant, pendant et après bétonnage
Contrôle du béton durci
Contrôle d’aspect des parements
Pour un bâtiment
Partie n° II : Étude de la structure porteuse : béton
Planchers et toiture
♦ Descente de charge :
Poutres et murs
Dans une première approche, on peut décomposer une structure en :
Murs et poteaux

Les porteurs horizontaux : Toiture, Planchers, Poutres, Tablier de pont


Fondations

Les porteurs verticaux : mur, poteaux, piles de pont Sols

- Les charges permanentes G :

Elles résultent du poids propre des éléments porteurs ou non porteurs.

- Les charges variables :

i. Les charges d’exploitation Q :


Elles résultent de l’utilisation et de l’exploitation de l’ouvrage
ii. Les charges climatiques :
La neige S : entraine une charge statique dirigée verticalement. Elle varie en fonction des
régions et de l’altitude.
Le vent V : a une action complexe sur les structures. Il entraine des effets statiques
dépressions et sur pression sur les éléments extérieures de la structure, mais aussi des effets
dynamiques qui peuvent se traduire par un phénomène de résonance.
iii. Les charges particulières :

Une structure peut être soumis à d’autre type de charge comme :

 Les charges thermiques : elles sont liées aux variations de température.


 Les charges sismiques : elles sont générées par les tremblements de terres.
 Autres charges : Vibration dues aux machines tournantes, explosion …

- Les pondérations :
Une structure est calculée pour 2 types d’utilisations :
֍ ELS : état limite de service : c’est l’utilisation « quotidienne » d’une structure ;
֍ ELU : état limite ultime : c’est la « ruine » de l’ouvrage ;
- Répartition des charges dans une structure :
Exemple de répartition des charges d’exploitation sur un bâtiment

Planchers toiture Charges surfaciques en kN/m²

Poutres, murs porteurs Charges linéiques en kN/m

Poteaux, Fondations Charges ponctuelles en kN

♦ Largeur de reprise : c’est la largeur de plancher que reprend la poutre. Cette largeur est
perpendiculaire à la longueur de la poutre.
2013 mai

I- Connaissances techniques :
1. Les dispositions à prévoir en construction sur sols gonflants :

Identifier la nature du sol :

 En cas de sols argileux, des essais de laboratoire permettent d’identifier leur sensibilité vis-à-vis
du phénomène de retrait-gonflement.

Adapter les fondations :

 Fondations continues armés et bétonnées à pleine fouille dimensionnées selon les préconisations
des documents technique Unifiés (DTU).
 Éviter toutes dissymétrie dans l’ancrage des fondations (Ancrage aval au moins aussi important
que l’ancrage amont, pas de sous-sol partiel).
 Préféré les sous-sols complets, les radiers ou les planchers sur vide sanitaire plutôt que les
dallages sur terre-plein.

Rigidifier la structure et désolidariser les bâtiments accolés :

 Prévoir des chaînage horizontaux et verticaux pour les murs porteurs


 Prévoir des joints de rupture

Éviter les variations localisées d’humidité :

 Réaliser un trottoir périmétrique anti-évaporation d’une largeur minimale de 1,50 m (terrasse ou


géomembrane)
 Éloigner les eaux de ruissellement des bâtiments (caniveau) et privilégier le rejet des eaux
pluviales et usées dans le réseau lorsque c’est possible.
 Assurer l’étanchéité des canalisations enterrées (joints souples au niveau des raccords)
 Éviter les drains à moins de 2m d’un bâtiment ainsi que les pompages (à usage domestique) à
moins de 10 m

Éloigner les plantations d’arbres :

 A défaut, mettre en place des écrans anti-racine d’une profondeur minimale de 2m.
2. Les différents types de joints dans le bâtiment et leur rôle :
 Joints de dilatation : concerne l’espacement entre deux parties d’un ouvrage et son rôle est de
permettre à chacune des parties d’avoir des mouvements indépendamment de l’autre.
Le joint de dilatation permet de réduire les effets de la dilatation en cas de fortes chaleurs, ou ceux
du retrait en cas de températures basses.
 Joints de retrait : ont pour rôle de faciliter le retrait du béton tout en contrôlant la position et les
effets d’une éventuelle fissuration.
Ces joints sont réalisés entre les joints de dilatation à la scie mécanique.
La profondeur des joints de retrait doit être comprise entre un quart et un tiers de l’épaisseur du
dallage.
 Joints de rupture : consiste à diviser les fondations, afin d’éviter les risques liés aux tassements
différentiels.
En effet, un risque de tassement différentiel est envisageable dés lors que l’ouvrage est constitué
de structure de poids différent, ou qu’une autre construction est accolée à la première.
 Joints de construction : sont réalisés lors d’un arrêt prolongé du bétonnage.
 Joints de fractionnement : est destiné à réduire les risques de fissuration et de compression des
revêtements.
 Joints de chaussée
 Joint de carrelage : est un revêtement durable à condition qu’il soit entretenu correctement.
 Joints parasismiques : sont destinés à éviter que deux construction ou blocs de construction
voisins ne se heurtent au cours de mouvement, leurs largeurs doit être au moins à 4m.
 Joint de tassement : destinés à éviter une fissuration indésirable. Cependant, ces joints servent à
compenser dilatation et retrait du matériau.
3. Les informations fournies par l’étude de sol et à quoi servent-elles :
L’étude de sol, discipline de la géotechnique, s’intéresse à la composition d’un terrain pour
pouvoir définir les principes de construction de votre projet et son type de fondation.
La normes NF P 94-500 définit les différentes missions d’étude de sol : Les missions d’études
préalables (G1), les missions d’études de projets (G2), les missions d’exécution (G3 et G4).

Une étude géotechnique est une étude des sols de votre terrain. Elle sert à deux choses, la première est de
déterminer les caractéristiques mécaniques des terrains qui vont être amenés à supporter une construction.
La deuxième est d’évaluer les risques naturels recensés dans l’environnement autour du terrain et les
impacts que cela pourrait avoir sur la future de construction.
Cette étude permettra d’obtenir :

 La géologie, c’est-à-dire les types de sols rencontrés


 Le niveau piézométrique, c’est-à-dire mesurer la ressource en eau (en termes de quantité) pour
obtenir la profondeur de la surface des nappes.
 Les premières caractéristiques des sols (résistance apparente).

Un fois les résultats interprétés, cela pourra aiguiller le maître d’ouvrage sur quel type de fondation il
faudra installer pour le projet.

4. Utilisation du chaînage et longrines :


- Le chaînage horizontal participe à la stabilité de la structure d’un bâtiment. Le chaînage horizontal
doit être continu pour ceinturer les façades à chaque étage et au niveau de chaque plancher. Il
ceinture également la tête des murs qui sont reliés au droit de chaque refend.
- La longrine : elles sont largement utilisées pour réaliser les fondations des bâtiments à structure
composée de poteaux et de poutres. Elles permettent alors de rigidifier la structure en assurant la
liaison transversale entre poteaux au niveau des massifs de fondation.
5. Quel élément de structure, la portance du sol est utilisée dans son dimensionnement et
comment :
La section de la semelle est calculée en fonction de la charge à reprendre et la portance du sol.
Condition de portance :
On doit avoir : σ sol < σ  = la contrainte limite admissible au sol
σ sol= Ps / B : la contrainte effectivement applique, Ps : la charge à ELS
En déduit la largeur de la semelle B : B > Ps / σ
6. Les différents types de sables utilisés dans la fabrication du béton :
Le sable fin, le gros sable et le sable graveleux. Il existe deux types de sables : les sables naturels et
les sables artificiels. Les sables naturels se composent de sable de rivière. Ils proviennent de l’eau des
roches, du sable de carrière extrait du sol en masse ou fabriqué à partir de roches de carrière.
7. Les performances qu’offre un béton maniable :

La maniabilité est une mesure de la facilité ou de la difficulté de mise en place, de consolidation et de


finition du béton.

La maniabilité du béton frais peut être définie comme :

 La consistance du béton frais, son aptitude à s’étaler


 L’énergie interne requise pour surmonter la friction interne (seuil d’écoulement) entre les
diverses particules dans le béton afin de s’assurer d’une consolidation complète
 La facilité de : * malaxage, transport, mise en place

* Consolidation et finition sans écoulement ni ségrégation

Les facteurs affectant la maniabilité :

 Temps : plus le temps passe, plus le matériau se solidifie, changements dans les interactions
des particules.
 Températures : diminution de la maniabilité avec l’augmentation de la température,
évaporation élevée.
 Perte de maniabilité : le taux de perte s’accroît dans les mélanges ayant de faibles teneurs en
eau.
 Caractéristiques du ciment : plus fin = plus rapide.

Moyens d’évaluer la maniabilité :

Essais d’affaissement et d’étalement ;

Étalement sous vibration (table d’écoulement DIN)

Temps d’écoulement, K-Slump, mesure de la maniabilité et de la rhéologie …

8. Assurer l’isolation thermique d’un bâtiment :

Pour garantir une isolation thermique de qualité, une paroi séparant l’intérieur de l’extérieur (ou une pièce
chaude d’une pièce plus froide) d’une habitation doit freiner les flux thermiques entre le milieu chaud et
le milieu froid.

Trois paramètres permettent de caractériser un matériau et une paroi isolante :

 Conductivité thermique [w/m. k]
 Résistance thermique : R = e / λ, e = l’épaisseur, λ = conductivité thermique
 Coefficient de transmission thermique d’une paroi

Les différentes solutions pour une isolation thermique du bâtiment efficace :

LES MATÉRIAUX ISOLANTS

Il existe cinq grandes catégories de matériaux isolants thermiques :

 Les isolants minéraux comme la laine de verre ou la laine de roche ;


 Les isolants naturels qui peuvent être issus de la végétation (chanvre, fibre de bois,…)

ou d’origine animale (laine de mouton, plumes de canard, etc.) ;

 Les isolants synthétiques tels que le polystyrène expansé ou extrudé ;

 Les isolants issus du recyclage à l’instar de la ouate de cellulose ou le textile recyclé ;

 Les isolants dits « nouvelle génération » comme le béton cellulaire, les panneaux

isolants comme Ecap Nano ou le monomur.

Quel que soit le matériau utilisé, pour que l’isolation thermique soit efficace, elle doit être

réalisée dans les règles de l’art c’est-à-dire conformément aux DTU applicables en la matière.

 LES TECHNIQUES D’ISOLATION THERMIQUE

Outre les différents matériaux isolants pouvant être utilisés pour améliorer la performance

thermique du bâtiment, trois techniques sont susceptibles d’être utilisées :

 L’ISOLATION THERMIQUE PAR L’EXTÉRIEUR

L’isolation thermique par l’extérieur ou ITE consiste à envelopper la construction d’un matériau

isolant en recouvrant les façades et éventuellement la toiture.

Ce procédé peut aussi bien être utilisé pour une construction neuve ou une rénovation.

L’ITE permet de supprimer une grande majorité des ponts thermiques sans réduire la surface

habitable.

Toutefois, son coût est assez élevé et il est nécessaire de demander une autorisation pour

réaliser les travaux.

 L’ISOLATION THERMIQUE PAR L’INTÉRIEUR

L’isolation thermique par l’intérieur (ITI) nécessite d’installer le matériau isolation contre

les murs intérieurs du bâtiment et/ou dans les combles.

L’isolation thermique est alors placée dans une cloison de doublage ou une contre-cloison.
Ainsi, l’ITI est la solution la plus facile à mettre en œuvre notamment dans une rénovation. Elle

est souvent considérée comme la plus économique.

Pourtant, il ne faut pas oublier qu’une fois l’isolation thermique installée, il faudra refaire toute

la décoration intérieure. De plus, elle empiète sur la surface à vivre.

 L’ISOLATION THERMIQUE RÉPARTIE

L’isolation thermique répartie (ITR) se distingue des deux autres techniques, car elle consiste à

utiliser un matériau aux propriétés isolantes pour construire le mur. Il ne s’agit donc plus

d’habiller le mur d’un matériau isolant, mais de faire en sorte que le mur soit lui-même isolant.

Cette technique est donc possible uniquement sur les projets de construction.

Pour ce qui est du matériau utilisé, il peut s’agir de briques isolantes ou de blocs de parpaings

isolants par exemple.

9. En appliquant la loi de dégression des charges d’exploitation dans un bâtiment en R+6 =,

déterminer la charge transmise à un poteau situé au RDC à l’état limite ultime, sachant

que les charges permanentes et d’exploitation sont, respectivement, Gt et Qt en terrasse et

Gc et Qc constantes à tous les autres niveaux :

Niveau des ∑ surcharge


∑ Surcharge
planchers [KN/m2]

6 ∑0 = Qt

5 ∑1 = Qt + Qc

4 ∑2 = Qt + 0,95 (Qc + Qc)

3 ∑3 = Qt + 0,9 (Qc + Qc +Qc)

2 ∑4 = Qt + 0,85 (Qc + Qc + Qc + Qc)

1 ∑5 = Qt + 0,8 (Qc + Qc + Qc + Qc + Qc)

RDC ∑6 = Qt + 0,75 (Qc + Qc + Qc + Qc + Qc + Qc)


10. Sans faire de calcul, dessiner les armatures principales longitudinales pour les cas des

poutres en béton armé suivantes et justifier votre choix :

1.

2.
Septembre 2013
I. Connaissances techniques :
1. Le rôle de l’enrobage dans une structure en béton armé et de quoi dépond son épaisseur :

L’enrobage : la distance entre le nu de l’armature et la surface de béton la plus proche.

L’enrobage doit être suffisant pour garantir : la bonne protection de l’acier contre la corrosion, la
bonne transmission des efforts d’adhérence, une résistance au feu convenable.

Épaisseur de l’enrobage est dépend la dimension du plus gros granulat contenu dans le béton.

2. Pour quel effort sont principalement dimensionnées les armatures transversales dans une
poutre en béton armé :

Détermination l’effort tranchant (ou cisaillement) à la rupture, dans les sections critiques.

3. Pour quelle condition sont-elles dimensionnées les armatures longitudinales des poteaux en
béton armé :

Des armatures longitudinales sont disposées en partie haute des poutres.

Condition de non fragilité As > As min.


4. Quels sont les coefficients à prendre en considération dans le dimensionnement de structures
selon le règlement de construction parasismique RPS 2000 applicable aux bâtiments :

Coefficients de ductilité Coefficients sismique

Coefficients d’amortissement Coefficients de correction topographique

Coefficients de sécurité

Coefficients de vitesse de zones

Coefficients du site

Coefficients de priorité

Coefficients de force horizontal

Coefficients dynamiques

Coefficients de comportement
5. Citer des types de bâtiments pour lesquels la loi de dégression des charges d’exploitation est
appliquée et préciser pour quelle raison :

Elle s’applique aux bâtiments a grand nombre de niveaux ou les occupations des divers niveaux peuvent
être considérées comme indépendants. C’est le cas des bâtiments à usage d’habitation ou d’hébergement.

Pour les bâtiments du bureau, on applique la loi de dégression de base à la fraction de la charge
d’exploitation égale à cette dernière diminuée de 1 KN/m2.

Dans les autres cas, les dégressions en fonction du nombre d’étages sont fixées par les DPM (documents
particuliers du marché).

En appliquant la loi de dégression des charges d’exploitation pour calcul la descente de charge.

6. Citer d’autre type de bâtiments pour lesquels cette loi n’est pas appliquée :

Cette loi n’est pas applicable lorsque les charges d’exploitation sont prises en compte pour leur partie de
longue durée dans une combinaison fondamentale, c’est-à-dire lorsque les valeurs définies ci-après sont
affectées de coefficients de pondération tenant compte d’une probabilité de simultanéité avec une autre
action considérée pour sa valeur caractéristique principale.

Lorsque des locaux industriels ou commerciaux occupent certains niveaux, ils sont pris en compte sans
abattement et non comptés dans le nombre d’étapes intervenant dans la loi de dégression.

7. Quels sont les différentes modes de soutènement préconisés pour assurer la stabilisation des
talus :
Murs de soutènement
Gabions
Tranchés et éperons drainants …
8. Quels sont les différents types d’efforts auxquels peut-il être dimensionné un mur de
soutènement :

Poids du béton, Poids du sols (Résistance du sol), Poussée sols, Poids de poussée, Poids du mur
9. Quels sont les différentes vérifications de stabilité à envisager pour le dimensionnement d’un
mur de soutènements :

Pour démontrer que la stabilité externe d’un mur de soutènement, est assurée avec une sécurité adéquate,
les ELU suivants doivent être vérifiés :

♦ La portance du sol (poinçonnement) sous le mur de soutènement ;


♦ La résistance au glissement du mur sur la base

10. Quels sont les paramètres à prendre en compte dans le calcul de la contrainte du sol lors
d’une étude géotechnique :

Le critère de Mohr-Coulomb : (résistance mécanique du sol) τ’ = σ ‘ tan ϕ ‘ + c’

Les paramètres mécaniques effectifs : l’angle de frottement effectif et la cohésion effective

σ ‘ : contraintes effectives

11. Dans quel but, il est procédé par le laboratoire à la réception des fouilles  :

12. Pour quels types de structures, les surcharges dues au vent sont-elles prépondérantes pour le
dimensionnement et pour quelle raison :

Lorsque l'inclinaison réelle de la bielle risque d'être sensiblement inférieure à 45°, il convient d'e n tenir compte ; ce
cas peut se produire en particulier lorsque les sollicitations prépondérantes d'une poutre sont dues à une charge
unique voisine du milieu de la poutre.

Le risque des pièces fragiles est essentiellement un mauvais comportement vis-à-vis de la fissuration qui
se traduit le plus souvent par des fissures très peu nombreuses (voire par une fissure unique) mais
d'ouverture très prononcée pouvant aller dans des cas extrêmes jusqu'à la rupture brutale. Ce risque est
effectif pour les pièces peu sollicitées par les actions dues au poids propre et aux charges d'exploitation,
pièces pour lesquelles le rôle du retrait et de la température ainsi que d'effets secondaires divers devient
prépondérant.

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