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Introduction générale

INTRODUCTION GENERALE
Construire a toujours été l'un des premiers soucis de l’homme, et l'une de ses
occupations privilégiées. De nos jours également, la construction connaît un grand
essor dans la plus part des pays, et très nombreux sont les professionnels qui se
livrent à l'activité de bâtir dans le domaine du bâtiment ou des travaux publics.

Cependant, si le métier de construire peut être considérer comme le plus ancien


exercé par l'homme, il faut reconnaître qu'il leur a fallu au cours des dernières
décades, s'adapter pour tenir compte de l'évolution des goûts et des mœurs, mais
surtout aux nouvelles techniques de constructions qui permettent une fiabilité
maximum de la structure vis-à-vis des aléas naturels tel que les séismes.
Une structure doit être calculée et conçue de telle manière à ce :
 Qu'elle reste apte à l'utilisation pour laquelle elle a été prévue, compte tenu
de sa durée de vie envisagée et de son coût.
 Elle ne doit pas être endommagé par des événements, tels que : Explosion,
choc ou conséquences d'erreurs humaines.
 Elle doit résister à toutes les actions et autres influences susceptibles de
s'exercer aussi bien pendent l'exécution que durant son exploitation et qu'elle
ait une durabilité convenable au regard des coûts d'entretien.
 Joints : les joints sismiques peuvent coïncider avec les joints de dilatation
ou de rupture. Ils doivent assurer l'indépendance des blocs et en pécher leur
entrechoquement. Ils doivent être plans, sans décrochements et débarrasses
de tout corps étranger, limiter la longueur de bâtiment trop importante,
séparer les blocs de géométries et / ou de rigidité et de masse inégales,
simplifier les formes en plan des configurations complexe (T, U, L, H...)

Pour satisfaire aux exigences énoncées ci-dessus, on doit choisir convenablement


les matériaux, définir une conception, un dimensionnement et des détails
constructifs appropriés. Spécifier les procédures de contrôles adaptées au projet
considéré, au stade de la production, de la construction et de l'exploitation. Pour ce
faire il faut impérativement se munir des règlements propres à chaque pays
(RPA99/version 2003 pour le cas de l'Algérie).

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Présentation de l'ouvrage: Ce projet consiste a l'étude d'un bâtiment (R+2)


qui est implante dans la wilaya de Tébessa classée dans le zone "1" de moyenne
séismicité selon RPA 99 version 2003. L’objet de ce projet que nous présentons, se
propose l’étude d’une structure en béton arme .qui constituant les éléments
résistance très important
Description de l'ouvrage:
Ce bâtiment posé dans un jeu de niveau est composé d'un : R.D.C +2 étage
Tel que :
 R.D.C de type (F.3 - F.3)
 2 étages courants de type (F.3 - F.3)
 Une terrasse inaccessible sauf pour l'entretien

Les murs de façade en brique creux, ont pour épaisseur 25 cm en double parois
espacées d'un vide de 5 cm.
Dimension en plan:
 La hauteur total = 09.98 m
 La longueur suivant :
 l'axe (X-X): 17.4 m
 l'axe (Y-Y): 12m
 la hauteur de chaque étage : 3.06 m

Caractéristiques géométriques :
Notre bâtiment a une ossature auto - stable en béton armé composé de portiques
longitudinaux et transversaux avec les poteaux et poutres assurant la stabilité de
l'ensemble dans les (02) directions.

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Description structurale :
a) - Infrastructure : elle est constituée des fondations superficielles en semelles
isolées sous poteaux et de longrines.
b) - Superstructure :
*L’ossature :(portique) est en béton armé, constituée des cadres et des voiles. Le
rôle de l’ossature est d’assurer la stabilité de l’ensemble sous l’effet des actions
verticales.
* Planchers : Les planchers sont considérés comme des diaphragmes rigides
d’épaisseur relative faible par rapport aux autres dimensions de la structure Notre
maison comporte un type de plancher : à corps creux en partie courante.
* Maçonnerie : La maçonnerie la plus utilisée en Algérie est en briques creuses.
Pour cet ouvrage, nous avons deux types de murs :
1-Murs extérieurs : constitués en double parois de briques (15cm et 10cm
d’épaisseur) séparés par une lame d’air de 5cm d’épaisseur.
2-Murs intérieurs : sont constitués d’une seule paroi de briques d’épaisseur
10cm.
* Revêtement : Le revêtement de la structure est constitué :
-Pour le sol, carrelage 2 cm pour les chambres, les couloirs et les escaliers.
-Céramique recouvrant tous les murs dans les salles de bain.
-Enduit de plâtre pour les murs intérieurs et les plafonds.
-Mortier de ciment pour crépissages des façades extérieures.
* Acrotère : Comme la terrasse est inaccessible, le dernier niveau du maison est
entouré d'un acrotère en béton armé. L'acrotère a pour rôle d'assurer la sécurité et
d'empêcher l'écoulement des eaux pluviales stagnées dans la terrasse sur la façade.

Hauteur 60cm
Epaisseur 10cm

* Les escaliers : Les escaliers utilisés dans cette maison sont des escaliers droits
avec deux volées et palier de repos entre étage.

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Règlement et hypothèses de calcul


a) Le règlement BAEL 91: (Béton Armé aux Etats Limites) : basé sur la théorie
des états limites.
 Etats limites ultimes (ELU): correspondent à la valeur maximale de la capacité
portante de la construction, soit :- Equilibre statique.

- Résistance de l’un des matériaux de la structure.


- Stabilité de forme.
Hypothèses :
-Les sections droites et planes avant déformation, restent droites et planes après
déformation.
-Pas de glissement relatif entre le béton et l’acier.
-Le béton tendu est négligé dans les calculs.
-L’allongement unitaire de l’acier est limité à 10 ‰et le raccourcissement unitaire
du béton est limité à 3.5 ‰dans le cas de la flexion simple ou composée et à 2
‰dans le cas de la compression simple, par conséquent, le diagramme des
déformations passe par l’un des trois pivots (A, B, C).
 Etats limites de service (ELS) : constituent les frontières aux de là desquelles
les conditions normales d’exploitation et de durabilité de la construction ou de
ses éléments ne sont plus satisfaites soient : - Ouverture des fissures.

- Déformation des éléments porteurs


- Compression dans le béton
Hypothèses :
-Les sections droites et planes avant déformation, restent droites et planes après
déformation.
-Pas de glissement relatif entre le béton et l’acier.
-Le béton tendu est négligé dans les calculs.
-Le béton et l’acier sont considérés comme des matériaux linéaires élastiques et il
est fait abstraction du retrait et du fluage du béton.
-Le module d’élasticité longitudinal de l’acier est par convention 15 fois plus grand
que celui du béton (ES=15Eb ; n =15).

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b)- Règles parasismique algérienne (R.P.A 99):


Le but de ce règlement est de prévoir des mesures a la conception et a l'exécution
des constructions soit :
 Une classification selon les zones sismique, les groupes d'usage ainsi que
les caractéristiques et les conditions de sol devant servir d'assiette au
projet.
 Une conception de système convenable de contreventement.
 Des metteuses de calcul des charges horizontale dans les éléments de
contreventement.
 Des dimensions des étés monts structuraux.

c)- Document technique république(D.T.R) :


Le présent document technique réglementaire D.T.R.B.C.2.41 ‘’Règles de
conception et de calcule des structures en béton armé’’, en abrégé’ ’C.B.A.93’’, a
pour objet de spécifier les principes et les méthodes les plus actuels devant précisée
et servir a la conception et au calcules de vérification des structures et ouvrages en
béton armé, et s’appliquée plus spécialement aux bâtiments courants.

Caractéristiques mécaniques des matériaux


I. Introduction :

Les matériaux entrant dans la composition de la structure jouent incontestablement


un rôle important dans la résistance des constructions aux séismes. Leur choix est
souvent le fruit d'un compromis entre divers critères tel que; Le coût, la
disponibilité sur place et la facilité de mise en œuvre du matériau prévalant
généralement sur le critère de la résistance mécanique. Ce dernier est en revanche
décisif pour les constructions de grandes dimensions.
II. Le béton:

Le béton de ciment présente une résistance à la compression assez élevée, de l’ordre


de 25 à 40MPa ; mais sa résistance à la traction est faible et est de l’ordre de 1/10
de sa résistance à la compression.

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a. Les matériaux composant le béton :


On appelle béton un matériau constitué par un mélange, dans des proportions
convenables de ciment, de granulats (sable et graviers) et d'eau.
1- ciment : est une matière pulvérulente, formant avec l’eau ou avec une solution
saline une pâte plastique liante, capable d’agglomérer, en durcissant, des substances
variées. Il désigne également, dans un sens plus large, tout matériau interposé entre
deux corps durs pour les lier.
C'est une gangue hydraulique durcissant rapidement et atteignant en peu de jours
son maximum de résistance. Après durcissement, cette pâte conserve sa résistance
et sa stabilité, même sous l’eau. Son emploi le plus fréquent est sous forme de
poudre, mélangée à de l'eau, pour agréger du sable fin, pour produire du mortier, ou
des graviers (granulats), pour produire du béton.
2- Granulats:

Les granulats comprennent les sables et les pierrailles

 Sable :
Le sable, est un matériau granulaire constitué de petites particules provenant de la
désagrégation d'autres roches dont la dimension est comprise entre 0,063 (silt) et 2
mm selon la définition des matériaux granulaires en géologie. Sa composition peut
révéler jusqu'à 180 minéraux différents (quartz, micas, feldspaths) ainsi que des
débris calcaires de coquillage et de corail.
Un bon sable contient des grains de tout calibre, mais doit avoir d’avantage de gros
grains que de petits.

 graviers :
Elles sont constituées par des grains rocheux dont la grosseur est généralement
comprise entre 5 et 25 à30 mm .Elles doivent être dures, propres et non gélives.
Elles peuvent être extraites du lit de rivière (matériaux roulés) ou obtenues par
concassage de roches dures (matériaux concassés).

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 L'eau:

Est un composé chimique ubiquitaire sur la Terre, essentiel pour tous les
organismes vivants connus. C'est le milieu de vie de la plupart des êtres vivants.
Elle se trouve en général dans son état liquide et possède à température ambiante
des propriétés uniques : c’est notamment un solvant efficace pour beaucoup de
corps solides trouvés sur Terre — l’eau est quelquefois désignée sous le nom de
« solvant universel ».
b. Dosage du béton :

Le dosage du béton est lie au poids du liant employé pour réaliser un mètre cube
de béton. Pour mener cette étude, le béton est dosé à 350Kg de ciment par m3. Ce
dosage est destine à offrir les garanties de résistance escomptées et à présenter une
protection efficace de l’armature.
c. Résistances mécaniques du béton :
 Résistance à la compression :

Dans le cas courant, le béton est défini par sa résistance a la compression a 28


jours d'âge, elle est notée Fc28 cette résistance est mesurée par l'essai
d'écrasement des éprouvettes cylindriques en béton. (Φ=16cm, h=32cm).
D'après le BAEL 91 pour j ≤ 28 la résistance du béton non traite
thermiquement suit approximativement les lois suivante:

j
 fcj = 4.76+0.83j ∗ fc28 si fc28 ≤ 40MPa

 j
fcj = 1.40+.95j ∗ fc28 si fc28 > 40MP

 Résistance du béton à la traction:

Les règles du BAEL 91 stipulent que la résistance caractéristique du béton à j


jours notée ftj est conventionnellement définie par la relation:
ftj =0,6 + 0,06 fcj (unité : MPa)
Cette formule étant valable pour les valeurs de fcj au plus égales à 60 MPa
fcj = fc28 = 25 MPa
ft28 = 0,6 + 0,06 (25) = 2,1 MPa

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f tj = 0,6 + 0,06fcj si fc28 ≤ 60Mpa.


ftj = 0,275(fcj) 2/3 si fc28 > 60Mpa.

Figure I-2 : Evolution de la résistance du béton à la traction ftj en fonction de celle


à la compression fcj
d. Déformation élastique:
 Module de déformation transversale:

E
G = 2(1+μ) : Avec 𝜇 coefficient de Poisson*

 Coefficients de poisson :

Le coefficient de poisson sera pris égal à 𝜇 = 0 pour un calcul des sollicitations à


l’Etat Limite Ultime (ELU) et à 𝜇 = 0,2 pour un calcul de déformations à l’Etat
Limite Service (ELS).
 Modules de déformation longitudinale (Module de Young "E"):
 Courte durée (instantanée) "Eij" (T < 24h):

Sous forme des contraintes normales d'une durée d’application inferieure a 24


heures, on admet, a défaut des mesures, qu'a l’âge de j jours, le module de
déformation longitudinale instantanée du béton Eij vaut:
Eij= 11000 𝐟cj 1/3 avec Eij, 𝐟cj en MPa

Cette formule n'est valable que pour les bétons habituels durcissant naturellement
sur le chantier, elle n'est pas valable pour les vérifications à l’état limite ultime de
stabilité de forme

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 Longue durée: (différé) "Evj" (T > 24h):

Les déformations différées du béton comprennent le retrait et le fluage, on considère


dans les calculs que les effets de phénomènes s'additionnant sans atténuation; à
défaut de mesures, on admet que sous contraintes de longue durée d'application, les
déformations longitudinales complémentaires dues au fluage du béton sont doubles
de celles dues aux mêmes contraintes supposées de courte durée et appliquées au
même âge.
Le module de déformation longitudinale différée du béton Evj qui permet de calculer
la déformation finale du béton (déformation instantanée augmentée du fluage) est
donné par la formule:
EVJ = 37000 𝐟cj 1/3 = 1/3 Ecj (unité le MPa)
 Estimation des contraintes de calcul :

- Contrainte de compression 𝝈bc à L’E.L.U:


 pour 2%o ≤ εbc ≤ 3.5%o → σbc= fbc

 0.85 f cj

  b
f bc 
 0.8 f cj
  b

Commentaires :
Parmi les zones de largeur décroissante vers les fibres les plus comprimées, on
peut citer le cercle, le triangle ou le trapèze avec, du côté le plus comprimé, le
sommet (dans le premier cas) ou la plus petite base (dans le second cas) ; c'est aussi
le cas de la section rectangulaire en flexion déviée.
Le coefficient 𝜃 (coefficient d’application des charges) est fixé à 1 lorsque la durée
probable d'application de la combinaison d'actions considérée est supérieure à 24 h,
à 0,9 lorsque cette durée est comprise entre 1 h et 24 h, et à 0,85 lorsqu'elle est
inférieure à 1 h.

𝜸b coefficient de sécurité tel que:


𝜸b =1,15 situation accidentelle
𝜸b = 1,5 situation durable

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 pour 0 %o ≤ εbc ≤ 2 %o : σbc =0,25 fbc 103 εbc (4-103 εbc )

Figure I- 4 : diagramme des contraintes - déformations du béton de calcul


- Diagramme parabole - rectangle (PR)

Lorsque la section considérée n'est pas entièrement comprimée, il est loisible


d'utiliser le diagramme rectangulaire simplifié défini ci-dessous, dans lequel yu
désigne la distance de l'axe neutre de la déformation à la fibre la plus comprimée

Figure I- 5 : Diagramme des contraintes du béton à l’ELU

- Contrainte de compression à l’E.L.S:


Dans tout les cas, ou la section étudiée comporte une partie comprimée, on doit
vérifier que, sous la sollicitation de service, la plus défavorable, la contrainte
maximale du béton comprimé 𝜎̅bc ne dépasse pas 𝜎bc avec:
𝜎̅bc = 0,6 𝑓 c28 = 0,6 * 25 = 15 MPa.

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- Contrainte ultime de cisaillement du béton


* Fissuration peu nuisible :
𝜏̅ u = min {0,13 𝑓 c28, 4MPa}
𝜏̅ u =min {0,13*25, 4MPa}
𝜏̅ u = min {0,13 * 25,4 MPa} => 𝜏̅ u = 3,25 MPa
* Fissuration préjudiciable :
𝜏̅ u =min {0,1 𝑓 c28, 3MPa}
𝜏̅ u =min {0,1 * 25, 3MPa}
𝜏̅ u = 2,5 MPa

III. L’Acier:

C'est un matériau très ductile, qui attend des déformations très importantes avant
rupture (de l’ordre de la dizaine de %). L’acier présente une très bonne résistance à
la traction, et une bonne résistance à la compression dans le cas d'élancements
faibles. Si aucune précaution n'est prise il peut subir des effets de corrosion.
a. Caractéristiques mécaniques :
On notera qu’un seul modèle est utilisé pour décrire les caractéristiques mécaniques
des différents types d’acier. Ce modèle est en fonction de la limite d’élasticité
garantie fe.
La valeur de la limite d’élasticité fe est garantie par le fournisseur.
Type Nuance fe (Mpa) Emploi
Ronds lisses FeE22 215 Emploi courant.
FeE24 235 Epingles de levage des pièces
préfabriquées
Barres HA FeE40 400 Emploi courant.
Type 1 et 2 FeE50 500
Fils tréfiles FeTE40 400 Emploi sous forme de barres
HA FeTE50 500 droites ou de treillis.
Type 3
Fils tréfiles TL50 Φ> 6mm 500 Treillis soudés uniquement emploi
lisses TL50 Φ ≤ 6mm 520 courant

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Type 4

b. Contrainte limite :
 Etat limite ultime :
Le comportement des aciers pour le calcul à l'état limite ultime vérifie une loi du
type élasto-plastique parfait, comme décrit sur la figure I-6 contrainte-déformation.

Figure I- 6 : Diagramme contrainte-déformation de calcul de l’acier `à l’ELU.


Pour un acier a haute adhérence ayant fe = 400 Mpa :
σs = fe/ γs
εes = σs/Es Es=200000 MPa.
γs : coefficient de sécurité (=1 cas situation accidentelles; 1.15 cas général)
σs= 348 MPa
 Etat limite de service :

On ne limite pas de la contrainte de l'acier sauf en état d'ouverture des fissures :


 Fissuration peu nuisible : pas de limitation.
2
 Fissuration préjudiciable : σst ≤ σst = min ( fe, 110 √η ftj).
3
1
 Fissuration très préjudiciable : σst ≤ σst = min ( fe, 90 √η ftj).
2
η : coefficient de fissuration (=1 pour les Ronds Lisses (RL) , =1.6 pour les Hautes
Adhérences (HA).

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IV. Actions et sollicitations :

a- Les Actions :
Les actions sont les forces et dues aux charges appliquées (permanentes,
climatiques, d’exploitation, etc.)
On distingue en ce moment :

 Les actions permanentes, notées G, dont l’intensité est constante ou très


peu variable

 Les actions variables, notées Ọ, dont l’intensité varie fréquemment et


de façon importante dans le temps ;
 Les actions accidentelles, notées F A, provenant de phénomène rares,
tels que séisme ou chocs.
b- Les sollicitations :
Les sollicitations sont les moments de flexion, les moments de torsion, efforts
normaux et
Efforts tranchants- résultat des actions
Principes et Justifications : Les justifications font intervenir :
 Les valeurs représentatives, prises égales en général, a leurs valeurs
nominales
 Les combinaisons d’actions, qui sont spécifiques aux états limites
considères
 Sollicitations de calcul vis-à-vis des états limites ultimes résistance (art
A.3.B.A.E.L91) :

Les sollicitations a considères résultent des combinaisons d’action. Dont on retient


les plus défavorables :
 Combinaison fondamentale : lors des situations durables ou
transitoires, il y a lieu de considères :
1.35Gmax +Gmin +Qi .Q1 +∑ 1.3 Ψol .Q1
Qi= 1,5 dans le cas général
Qi = 1,35 dans les cas particuliers (température … et)

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 Combinaisons accidentelle : Si elles ne sont pas définies par des textes


spécifiques les combinaisons a considères sont les suivante :

G max + G min + FA. + Ψ11 .QI+∑ Ψ21.Q1


FA= valeur nominale de l’action accidentelle.
Ψ11 .Q i= valeur fréquente d’une action variable.
∑ Ψ21.Q1 = valeur quasi permanente d’une autre action variable
 Sollicitations de calcul vis-à-vis des états limites de service (art A.3.3,3 ) :

Elles résultent des combinaisons d’actions ci-après. Dites combinaisons rares.


G max + G min + Q 1 + ∑Ψ ol . Qi
Gmax =l’ensemble des actions permanentes défavorables
Gmin = l’ensemble des actions permanentes favorables
Q1 = une action variable dite de base
Qi = une action variable d’accompagnement (i > 1)
Ψo, Ψ1,Ψ2 : Coefficient définis dans le (B.A.E .L91 article A 3,31)
V. Combinaison d'action dans le cas des bâtiments courant est:

Gmax: l’ensemble des actions permanentes défavorables.


Gmin: l'ensemble des actions permanentes favorables.
𝝓 1:Action variable dite de base.
𝝓 i: (i>1) autres actions variables dites d'accompagnement.

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