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TP Matlab Signal PDF
TP Matlab Signal PDF
Semestre 1
Nom :
Modalités de fonctionnement
2 Modulation d’amplitude 13
2.1 Principe de la modulation d’amplitude . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
2.2 Préparation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
2.3 Description du matériel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
2.4 Manipulation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
3 Analyseur de Spectre 27
3.1 Notions de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
3.2 Préparation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29
3.3 Principaux réglages de l’analyseur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29
3.4 Manipulation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30
4 Vidéo 33
4.1 Notions de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
4.2 Préparation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37
4.3 Manipulation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38
5 Filtrage linéaire 41
5.1 Préparation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
5.2 Manipulation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42
1.1 Préparation
1.1.1 Signaux carrés
Soit un signal périodique carré défini par plusieurs paramètres, comme le montre la
figure 1.1.
1.2 Manipulation
1.2.1 Etude d’un signal carré périodique
Cette manipulation utilise le logiciel TP 1 A 1 s’exécutant sous M ATLAB. Pour lancer
le programme, on tape TP 1 A 1 sous la fenêtre M ATLAB.
7
TP no 1. DÉVELOPPEMENT EN SÉRIE DE FOURIER
période : T0
1
instant de fin : T f
instant du front descendant T f d
instant du front montant : T f m
instant de début : Ti
période : T0
1
instant de fin : T f
instant du front descendant T f d
instant du maximum : Tm
instant du front montant : T f m
instant de début : Ti
Présentation du logiciel
TP 1 A 1 présente les menus suivants :
1. Partie signal : un menu déroulant vous permet de sélectionner un certain signal
défini sur une période. Ce signal peut-être :
(a) un signal carré,
(b) un signal triangulaire,
(c) une sinusoïde fenêtrée par un carré.
(d) une sinusoïde fenêtrée par un triangle.
Ce signal ainsi généré pourra alors être traité de différentes manières. Principale-
ment avec ce logiciel, vous pouvez :
2. Partie TRAITEMENT :
(a) calculer les n premiers coefficients de la série de Fourier d’un signal précé-
demment généré.
(b) synthétiser un signal à partir d’un jeu de coefficients donnés.
(c) tracer les spectres d’amplitude et de phase des signaux.
Manipulation
1. Générer un signal carré défini par :
– instant de début : -1, instant de fin : 1, instant du front montant : -0,5, instant du
front descendant : 0,5.
2. Comparer les coefficients calculés dans la préparation avec ceux obtenus. Trouvez-
vous les mêmes résultats ? Si non, comment expliquez-vous la différence ? Com-
mentaires.
3. Tracez les spectres d’amplitude et de phase. Commentez vos résultats en vous
appuyant sur la question précédente.
4. Synthétisez le signal à partir des 5 premiers coefficients, puis des 15 premiers co-
efficients. Conclure sur l’impact des différentes harmoniques.
5. Synthétiser le signal à partir des 15 premiers coefficients en mettant d’abord à zéro
le coefficient n°5 et ensuite le coefficient n°13. Commentez l’impact sur le signal
reconstruit.
6. Même question en mettant cette fois-ci le coefficient n°0 à zéro.
7. On souhaite générer maintenant un signal carré périodique ayant un spectre deux
fois moins étalé en fréquence. Déterminez les nouvelles valeurs pour l’instant de
début, l’instant de fin, l’instant du front montant, et l’instant du front descendant.
Vérifier la validité de vos paramètres en traçant les spectres. Reportez sur votre
rapport ces valeurs. Conclure sur la largeur du spectre en fonction de la période.
4. Visualiser le signal temporel acquis par C OFSCOPE (ce n’est plus un signal pério-
dique puisque seulement le morceau présent à l’écran a été capturé). Indiquer sur
le report combien de motifs du signal original ont été acquis dans cette base de
temps, et reporter alors ce que le logiciel va réellement analyser.
Appeler l’enseignant pour valider les résultats.
5. Etudiez maintenant le spectre fréquentiel de ce signal, en choisissant l’option adé-
quate dans le menu "représentation" de C OFSCOPE. Cliquer sur le bouton "y-yy"
afin de passer l’échelle verticale en linéaire. Zoomez afin de voir correctement le
spectre obtenu.
6. Comparez ce résultat avec le spectre théorique d’un signal périodique carré. Re-
portez le sur votre rapport et commenter le résultat, en particulier la forme géné-
rale du spectre. Retrouvez-vous le spectre théorique ?
7. Effacer votre spectre sur C OFSCOPE (bouton en bas à gauche de la fenêtre), et re-
venez à l’étape d’acquisition en cliquant sur "précédent" dans le menu de C OF -
SCOPE . Refaites la manipulation précédente en choisissant maintenant la base de
temps 1ms dans le menu "Calibration".
8. Pour cette nouvelle base de temps, reporter le spectre obtenu sur votre rapport
et comparez le avec le spectre théorique et aussi celui obtenu précédemment.
Conclure sur l’influence de la largeur de la fenêtre d’acquisition.
Appeler l’enseignant pour valider les résultats.
9. Toujours dans la même base, comparer les valeurs du spectre théorique d’ampli-
tude avec celles du spectre calculé par C OFSCOPE (attention : le spectre
√ représenté
par C OFSCOPE donne en amplitude pour les fréquences non nulles 2|Cn |). Com-
menter les valeurs.
10. Conclure sur l’influence de la largeur d’une fenêtre sur les fréquences et les am-
plitudes du spectre d’amplitude mesuré.
Appeler l’enseignant pour valider les résultats.
Modulation d’amplitude
13
TP no 2. MODULATION D’AMPLITUDE
2.2 Préparation
On souhaite transmettre un message m(t), dont le spectre est représenté par la figure
2.1.
M( f )
Bande latérale Bande latérale
inférieure supérieure
fM fM f
F IGURE 2.4 – Exemple de module de la maquette avec les conventions pour les E/S.
vous trouverez ci-dessous une description des principaux modules utilisés lors de
ce TP.
Le module T ENSION C ONTINUE VARIABLE (VARIABLE DCV) est une source de ten-
sion continue (voir figure 2.6). durant ce TP, on utilisera la sortie VDC qui produit une
tension variable, réglable à l’aide de la commande du même nom (bouton en dessous).
A DDITIONNEUR (A DDER )
L’A DDITIONNEUR sert à additionner deux signaux en temps réel (voir figure 2.7).
Deux signaux analogiques A(t) et B(t) peuvent être additionnés dans des proportions
variables grâce aux gains G et g appliqués sur chacune des entrées (gains variant entre
0 et 2). La somme résultante (G.A + g.B) est alors présentée en sortie.
M ULTIPLICATEUR (M ULTIPLIER )
2.4 Manipulation
2.4.1 Modulation DBAP
On souhaite transmettre un message m(t) de forme sinusoïdale (fréquence 2kHz) à
l’aide d’un modulateur DBAP, dont le principe général peut être défini de la manière
suivante :
DBAP = ( A + m(t)) × signal porteur, (2.1)
où A est un signal continu, et DBAP le signal modulé que l’on pourra transmettre par
la suite.
Analyse Temporelle
1. On va commencer par générer le signal A + m(t) en effectuant les branchements
nécessaires entre les modules M ASTER S IGNALS, VARIABLE DCV et A DDER.
– Pour générer le signal m(t), utiliser le signal 2 K H Z S INE, connecté à l’entrée A
de l’additionneur.
– Pour générer le signal continu A, utiliser la sortie VDC, connecté à l’entrée B de
l’additionneur, et régler le bouton de contrôle VDC vers la gauche quasiment
jusqu’au bout.
2. Régler les boutons de contrôle des gains G et g de l’additionneur vers la gauche,
c’est-à-dire à leur minimum (vers la gauche : valeur min, vers la droite : valeur
max). Appelez l’enseignant pour vérifier les branchements.
3. Visualiser la sortie de l’additionneur sur la voie 1 de l’oscilloscope. Vous devriez
avoir un signal nul puisque les gains g et G sont nuls.
4. On souhaite les valeurs numériques suivantes A=1Volt ; amplitude crête à crête de
m(t) = 1Volt. Régler le bouton de contrôle g jusqu’à obtenir la bonne valeur pour
A.
P−Q
µ= , (2.2)
P+Q
Q P
Analyse fréquentielle
On souhaite maintenant étudier les caractéristiques fréquentielles du signal modulé
DBAP. Pour cela, on va utiliser la fonction FFT de l’oscilloscope.
9. même question en faisant varier cette fois le gain g. Appelez l’enseignant pour
valider tous ces résultats.
݈ܵ݅݃݊ܽ Circuit RC
Rectifier ݈ܵ݅݃݊ܽ ݑ݁ݎ
ܲܣܤܦ (LPF)
Analyse temporelle
1. Faire les branchements nécessaires pour détecter l’enveloppe du signal DBAP.
2. Faire les réglages pour obtenir de nouveau le signal DBAP utilisé précédemment
(valeur moyenne A et amplitude crête à crête du message à 1 Volt).
3. Observer sur la voie 2 de l’oscilloscope la sortie du module R ECTIFIER. Reporter
sur votre copie le signal obtenu et expliquer l’effet de ce module sur le signal
DBAP.
4. Observer sur la voie 2 de l’oscilloscope la sortie du module RC LPF. Reporter
sur votre copie le message original et en dessous le signal reçu après détection
d’enveloppe. Relevez valeur moyenne temporelle et amplitude crête à crête de ces
deux signaux, et conclure sur la manière dont le message original est modifié lors
d’une transmission avec modulation DBAP. Que faudrait-il faire pour retrouver
parfaitement le message original ?
5. Relever aussi le durée de transmission/traitement entre la création du message
originale et le signal reconstruit après la détection d’enveloppe.
6. Augmenter doucement le gain G et regarder la manière dont le signal reçu se dé-
forme. En vous référant aux observations faites lors de la section 2.4.1, justifier
cette déformation. Faire un dessin sur votre copie pour illustrer le résultat. Appe-
lez l’enseignant pour valider.
Analyse fréquentielle
1. Régler de nouveau le gain G précédent afin d’avoir de nouveau une bonne mo-
dulation/démodulation. En utilisant la fonction FFT de l’oscilloscope, relever sur
Analyse temporelle
1. En utilisant le module M ULTIPLIER I (utiliser les entrées AC), effectuer le branche-
ment nécessaire pour effectuer une modulation DBSP de ce message à la fréquence
porteuse 100kHz. Appelez l’enseignant pour vérifier les branchements.
2. Visualiser sur la voie 1 le message, et sur la voie 2 le signal DBSP. Ajuster l’axe
temporel afin de visualiser 2 motifs du message. Régler l’oscilloscope afin d’avoir
une graduation de 1V/div pour le message, et 2V/div pour le signal DBSP.
3.
4. Reporter "soigneusement" les courbes ainsi obtenues l’une en dessous de l’autre
sur votre rapport. Appelez l’enseignant pour valider les résultats.
5. Déplacer verticalement les courbes afin de superposer le message avec l’enve-
loppe du signal DBSP. Quelle(s) caractéristique(s) nous fait(font) comprendre que
nous avons un signal DBSP et non pas DBAP ?
Analyse fréquentielle
On va maintenant étudier le spectre fréquentiel du signal DBSP.
1. Utiliser de nouveau la fonction FFT afin d’afficher correctement le spectre fréquen-
tiel du signal DBSP. De combien d’harmoniques est composée ce signal DBSP ?
Appelez l’enseignant pour valider.
2. Relever le spectre sur votre rapport.
3. En utilisant les curseurs, déterminer les fréquences des harmoniques composant
ce signal DBSP. Est-ce en accord avec la théorie ?
4. En déduire la relation entre les fréquences des harmoniques du signal DBSP, et la
fréquence du message et de la porteuse.
filtre passe-bande pour supprimer l’une des deux bandes latérales du signal transposé.
L’inconvénient de cette méthode est que la mise en oeuvre du filtre passe-bande est gé-
néralement problématique. En pratique on préfère donc utiliser ce que l’on appelle un
discriminateur de phase.
Le principe d’un discriminateur de phase, représenté figure 2.11, est d’additionner
deux signaux modulés DBSP de même amplitude déphasés l’un par rapport à l’autre.
Le bon fonctionnement de ce système dépend de la valeur du déphasage introduit. Se-
lon la valeur de ce déphasage, l’addition des deux signaux modulés DBSP enrichira les
deux bandes latérales (en les "superposant") ou au contraire annulera l’une des deux
bandes latérales (en les "soustrayant"). C’est évidemment ce deuxième cas qui nous in-
téressera pour éliminer l’une des deux bandes latérales pour obtenir une modulation
BLU.
(݈ܵ݅݃݊ܽ ݀ ܲܵܤܦ±ݏ݄ܽ± )ܤ
X
݉ௗ ()ݐ
Déphaseur Déphaseur
+ ࡿࢍࢇ ࡸࢁ
ࡹࢋ࢙࢙ࢇࢍࢋ ~
X
(݈ܵ݅݃݊ܽ )ܣ ܲܵܤܦ
Analyseur de Spectre
27
TP no 3. ANALYSEUR DE SPECTRE
si (t ) 1
Détecteur
+ de crête
Signal d’entrée
f0 f0 f
Balayage vertical
sa (t )
Oscillateur local
Fa F0 Gf u U (t )
Gf u Balayage
horizontal
f
– le signal s a (t) est un signal sinusoïdal dont la fréquence Fa varie linéairement (en
fonction d’une tension U (t) délivrée par un générateur de rampes). Le signal en
sortie de l’oscillateur s a (t) possède donc une fréquence égale à
Fa = F0 + δ f U .
3.2 Préparation
On considère en entrée si (t) un signal sinusoidal de fréquence 2MHz. Le filtre a
pour caractéristique F0 = 100MHz, et B = 2MHz. Pour compendre le principe, on va
considérer 5 cas, dépendant de la valeur de δ f U , et on va voir comment évolue le spectre
du signal so (t) :
– Cas 1 : δ f U = −50Mhz ;
– Cas 2 : δ f U = −2Mhz ;
– Cas 3 : δ f U = 0 ;
– Cas 4 : δ f U = 2Mhz ;
– Cas 5 : δ f U = 50MHz.
1. Tracer le spectre d’amplitude Si ( f ) du signal d’entrée si (t).
2. En utilisant la formule 3.1, calculer en sortie du mélangeur le signal sm (t), et en
déduire son spectre fréquentiel d’amplitude Sm ( f ).
3. Pour les 5 cas enumérés ci-dessus :
4. Tracer sur un même graphe le spectre obtenu pour ces 5 cas en fonction du déca-
lage (δ f u ) ? Qu’obervez-vous ? Conclusions.
plus le spectre est analysé finement, et par conséquent plus la réponse impulsion-
nelle du filtre est longue. Il faudra donc aussi modifier la vitesse d’analyse, avec
la commande SWEEP afin de compenser la lenteur de la réponse.
3. Réglage des amplitudes. Le résultat que donne l’analyseur de spectre correspond
au module de la densité spectrale. Il y a deux réglages possibles :
– Le facteur de déflexion (Volt/div ou dB/div) qui détermine la largeur de la
gamme des amplitudes visualisées.
– Le niveau de référence (Ref Lev) qui détermine l’amplitude du signal nécessaire
pour que la raie correspondante à ce signal atteigne la ligne horizontale située
en haut de l’écran.
Il est à remarquer que l’échelle verticale peut être graduée en linéaire (mesurée en
Watts) ou en mode logarithmique (mesurée en dBm, avec une impédance de 50
Ω).
3.4 Manipulation
la première manipulation consiste à comprendre comment fonctionne l’analyseur et
apprendre les principaux réglages à effectuer afin de visualiser correctement le spectre
d’un signal. Pour bien comprendre cette manipulation, reportez-vous à la section pré-
cédente.
Vidéo
33
TP no 4. VIDÉO
ligne 1
ligne 2
ligne 3
ligne 4
retour du spot
4.2 Préparation
4.2.1 Calcul des principaux paramètres
Un signal vidéo noir et blanc est composé généralement de 625 lignes, et présente la
plupart du temps un rapport hauteur/largeur R = 3/4. La cadence d’affichage est de
N = 25 images par seconde, et par conséquent de 50 trames par seconde.
1. Calculer le nombre de pixels par ligne.
2. Calculer la durée de parcours d’une ligne.
3. En déduire la fréquence de parcours d’une ligne, et d’un pixel.
3. Conclure sur la largeur de bande fréquentielle maximale d’un signal vidéo noir et
blanc.
4.3 Manipulation
Ce TP met en jeu 4 maquettes spécifiques à l’analyse de signaux vidéo : un géné-
rateur de mire, une maquette d’observation vidéo, une caméra C.C.D. La maquette
d’observation vidéo permet d’analyser n’importe quel signal vidéo composite. Le but
est de créer à partir de ce signal vidéo tout ce qu’il faut pour obtenir une image sur un
tube cathodique :
– Une dent de scie appliquée en déviation horizontale (X) qui provoque le balayage
“LIGNE”.
– Une dent de scie appliquée en déviation verticale (Y) qui provoque le balayage
“TRAME”.
– Un signal modulé représentant la luminosité de chaque point (Z).
8. Observer en même temps le signal TRAME et le signal Y. Quel est le rapport entre
ces deux signaux ? Commenter et conclure sur le rôle du signal TRAME.
.
9. Mettre sur la voie A de l’oscilloscope analogique la sortie X et sur la voie B la
sortie Y, en position X-Y de l’oscilloscope et pour un bon réglage des amplitudes,
observer que tout l’écran s’illumine, commenter le résultat et justifier.
10. Rajouter sur le déclenchement extérieur (position ext=Z) la sortie Z. Qu’observez-
vous ? Quelle est l’information supplémentaire ? Conclure.
Précautions d’utilisation
– Le câblage miniature demande beaucoup de précautions. La nappe ne doit pas
être tordue !
– Le module doit recevoir une alimentation précise indiquée sur la maquette (une
régulation est incluse) et il faut repérer le bon sens pour le branchement du mo-
dule caméra sur les cartes.
– Les capteurs ne supportent pas les lumières trop fortes.
Manipulation
1. Alimenter le module selon les valeurs indiquées sur la maquette. Faire vérifier
avant d’allumer, la led rouge s’allume.
2. Câbler en entrée (entrée vidéo) du module observations vidéo, le signal vidéo
composite provenant de la maquette caméra à C.C.D.
Filtrage linéaire
5.1 Préparation
5.1.1 Système du premier ordre
Filtre passe-bas
e(t ) i (t ) C s(t )
41
TP no 5. FILTRAGE LINÉAIRE
1. Montrer que le lien entre les tension e(t) et s(t) peut être modélisé par l’équation
différentielle suivante :
ds(t)
RC + s ( t ) = e ( t ). (5.1)
dt
Filtre passe-haut
Un système passe-haut peut être défini à l’aide d’un circuit CR, mais aussi à l’aide
d’un filtre passe-bas comme le montre la figure 5.2 :
+
e(t ) + s(t )
-
Passe-bas
1. en utilisant les résultats obtenus pour le filtre passe-bas, montrer que la réponse
impulsionnelle d’un filtre passe-haut est donnée par l’expression suivante :
5.2 Manipulation
5.2.1 Système du premier ordre
Remarque 1 : Pour l’étude des systèmes du premier ordre, il n’y a pas besoin d’ali-
menter la maquette sur le coté.
e(t)
A
0 t
Remarque 2 : Allumer quoi que ce soit tout au long du TP, appeler l’enseignant pour
vérifier les branchements.
Remarque 3 : durant tout le tp, n’hésitez pas à consulter le document sur les sys-
tèmes élémentaires disponible sur cette page : http://www.i3s.unice.fr/~fpayan/
teaching.php.
1 d2 s ( t ) 2ζ ds(t)
+ + s(t) = e(t)
ω0 dt
2 2 ω0 dt
Etude pratique
Vérifier la tension d’alimentation avec le multimètre (± 12V) ET APPELER L’EN-
SEIGNANT POUR VERIFIER LE BRANCHEMENT AVANT LA MISE SOUS TEN-
SION DES CIRCUITS.
1. Visualiser la réponse indicielle de ce système de second ordre, en mettant en entrée
du circuit un échelon d’amplitude A = 2V.
2. Durant son régime trasitoire, le signal est-il oscillant ou amorti ?
3. Représentez la sur votre rapport, et Appeler l’enseignant pour valider les résultats.
4. Mesurer sur la courbe La période des oscillations de la réponse Tosc , L’instant du
premier "pic" de la réponse Tpic et l’amplitude de ce premier pic s( Tpic ).
2π
Tosc = √ .
ω0 1 − ζ 2
Tp π
Tpic = = √ .
2 ω0 1 − ζ 2
3. Comparer ces valeurs avec celles trouvées avec la maquette. Si les résultats sont
différents, déterminer quelle variable est différente.
4. Une fois le bon paramètre obtenu, modifier les paramètres utilisés durant la simu-
lation sous Matlab afin de retrouver les mêmes résultats que la pratique.
Appeler l’enseignant pour valider les résultats.
5. SUPPRIMER TOUS LES FICHIERS MATLAB QUE VOUS AVEZ CREES AVANT
DE PARTIR.
Appeler l’enseignant pour vérifier que tout est ok.
Objectif : le but de ce TP est de se familiariser avec le logiciel Matlab, qui est fréquem-
ment utilisé pour développer des applications en traitement du signal.
Connaissances requises : cours et TD T1 "Signaux et Systèmes", TP n°0 "Initiation à
M ATLAB".
Matériel : PC, logiciel M ATLAB.
6.1 Préparation
6.1.1 Fonction échelon
En utilisant deux fonctions échelons (voir figure 6.1), définir un signal porte de largeur
1 et d’amplitude 1 (voir figure 6.2).
u (t )
1
t
0
t
1 1
2 2
47
TP no 6. TRAITEMENT DU SIGNAL SUR MATLAB
6.2 Manipulation
6.2.1 Introduction à M ATLAB
Lancer le logiciel, puis COPIER DANS UN DOSSIER A VOTRE NOM (SUR LE BU-
REAU) LES FICHIERS echelon.m, exoHarmonique.m, et rect.m. PRESENTS SUR LE SER-
VEUR T : \tp_tns\. Noublez pas de choisir le Current directory dans lequel vous voulez
travaillez...
Fonction sinusoïdale
1. Dans un fichier exoSinus.m, définir et afficher un signal sinusoïdal d’amplitude 2
Volts et défini par un cosinus de fréquence de 2Hz, pour t variant de −2 s à 2 s par
pas de 0.01 s. Ajouter un titre à l’aide de la commande title.
2. Dans une autre fenêtre graphique, faites les modifications nécessaires pour affi-
cher seulement les deux premiers motifs pour t positif. Expliquer votre proposi-
tion.
3. On souhaite maintenant afficher sur le même graphe en vert le signal précédent et
en rouge le même signal mais déphasé de π. Expliquez votre choix et implémentez
le en utilisant la commande "hold on".
4. Appeler l’enseignant pour valider les résultats.
Fonction rectangle
1. En créant un fichier exoRectangle.m, tracer une fonction échelon définie entre −1 et
1 seconde par pas de 10ms en utilisant la fonction echelon(t) (définie dans le fichier
echelon.m) .
2. En utilisant la commande axis, changer la hauteur de votre fenêtre graphique afin
de mieux visualiser le signal échelon.
3. Dans une seule fenêtre graphique, afficher 4 graphes (sur une seule colonne) avec
i) dans les deux premiers graphiques les deux signaux échelons qui vont per-
mettent de créer le signal porte (voir préparation) ; ii) dans le troisième graphique
le signal porte créé à partir des échelons précédents ; iii) dans le quatrième gra-
phique un signal porte créé avec la fonction rect(t,b) (définie dans le fichier rect.m).
Objectif : le but de ce TP est d’étudier les sons, et d’en comprendre les principaux
mécanismes.
Connaissances requises : cours et TD T1 "Signaux et Systèmes", TP n°0 "Initiation à
M ATLAB", TP n°6 "Traitement du signal sur M ATLAB".
Matériel : PC, logiciel M ATLAB.
523.25 554.36 587.32 622.25 659.25 698.45 739.98 783.99 830.60 880 932.32 987.76
261.62 277.18 293.66 311.12 329.62 349.22 369.99 391.99 415.30 440 466.16 493.88
130.81 138.59 146.83 155.56 164.81 174.61 184.99 195.99 207.65 220 233.08 246.94
65.40 69.29 73.41 77.78 82.40 87.30 92.49 97.99 103.82 110 116.54 123.47
Do Do# Ré Mib Mi Fa Fa# Sol Sol# La Sib Si
C C# D Eb E F F# G G# A Bb B
51
TP no 7. ANALYSE DES SONS
s p (t) = ∑ αn .sin(2πn f0 t + φn ).
n ≥1
7.2 Préparation
7.2.1 Analyse d’une note pauvre
1. Déterminer l’équation temporelle de la note La3 (d’amplitude 10, phase nulle).
2. Déterminer l’équation de son fréquentiel S( f ) et représenter graphiquement son
spectre d’amplitude.
7.3 Manipulation
Lancer le logiciel M ATLAB présent sur le bureau. Créer un dossier à votre nom sur
le bureau et choisissez ce dossier comme Current directory. COPIER DANS CE DOS-
SIER LES FICHIERS synthetise.m, afficheSpectre.m et guitar.wav PRESENT SUR
LE SERVEUR T : \tp_audio \.
2. Créer une deuxième note ss2 composée de 3 sinusoïdes ayant les mêmes ampli-
tudes mais des fréquences 1,5 fois plus grande que ss1.
3. Création d’un troisième signal : idem avec des fréquences 2 fois plus grande que
ss1.
4. Créer la séquence seq en tapant :
> > seq = [ss1,ss2,ss3];