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HOMÉPATHIE

L’Homépathie se remonte à 1796. Nous avons en Europe une médicine qui fut
qualifiée plus tard d’héroïque ce n’est pas un calificatif très possitif mais au contraire le
signe de procédures qui présentent un danger important de laisser aux patients de
séquelles graves et qui ne devient être envisagées qu’en dernier recours. On parle d’un
temps où le médicin était un être redoutable.
La médicine héroïque préconisait des traitements extrêment vigoureux. On saignait les
malades. Guy Patin a été surnommé le grand Saigneur et il a servi de modèle à Molière
pour les mauvais mediciens. On purgeait les malades avec des substances laxatives ou
hémétiques, o leur administrait des substances de type mercure, ou d’autres
relativement toxiques qu’on n’utilise plus maintenant, on plébiscitait des interventions
invasives, lourdes, fatigantes, handicapantes et souvent innefficaces et ça c’est quand
même dommage. Resultat : les patients traités par la médicine dite héroïque avaient
des chances de guérison inférieures à ceux qu’on laissait tranquilles. C’est-à-dire ; il
était souvent préférable de ne pas recevoir soins pour guérir.C’était il y a deux siècles.
À l’époque, on ne connaissait pas le fonctionnement du système immunitaire, on
decouvrait à peine la circulation sanguine, les promoteurs de la médicine héroïque ne
voyaient pas dans les symptômes des tentatives du corps de se guérir lui-même, mais
des complications à éviter à tout prix. On sait aujourd’hui que la fièvre par example a
un rôle danas l’élimination des pathogènes. Pour les mediciens héroïques un
médicament devait avoir un effet fort et être utilisé à forte dose.

C’est dans ce contexte que Samuel Hahnemann renonce à practique la médicine, blasé
par les mauvais traitements qu’on inflige aux patients. Il choisira bientôt de farie
l’exact opposé de tout cela : soigner avec des doses minuscules, et sincèrement,
écoutez, pourquoi pas. Hahnemann était un homme de son temps. Sa démarche
solitaire n’est pas plus scientifique que la médiciene practiquée à l’époque et qu’il
critique. Cette absence de scientificité, on la retrouve dans l’origine de l’homéopathie
dans ses principes, dans sa manière de diffuser, de communiquer, et jusqu’aux
arguments qu’on utilise pour la défendre encore aujourd’hui, et là quand même ça,
c’est un petit peu con.

Au cours des deux siècles qui suivent son invention, jamais l’homéopathie ne se plie
aux exigences de la méthode scientifique. Elle sera généralement traitée comme une
pseudo-médicine sauf dans quelques pays, comme par example, en France. D’autres
practiques non conventionnelles sont inventées en mêmem temps que l’homéopathie.
Le magnétisme de Mesmer, la physiognomonie de Lavater, ou la phrénologie de Gall.
Toutes ont dû faire face aux preuves de leur inefficacité, ont été largement
abandonnées. Comme quoi c’est possible

L’homéopathie a connu un autre destin, il sera intéressant de se demander pourquoi.


D’abord il nous fait comprender les bases de la « théorie « de l’homéopathie. Cet
théorie repose sur un tout petit nombre de principes : il y en a quatre.

Le principe de similiude. Celui sur lequel repose absolutament tour l’homéopathie.


« un produit toxique provoque des lésions. Ce même produit préparé selon les
techniques homéopathiques sera capable de traiter un malade qui présent des lésions
du même type. On pourrait paraphraser en disant qu’on soigne le mal par le mal. C’est
un principe qu’on retrouve bien avant Hahnemann dejà chez Hippocrate. Selon ce
principe, la forme des créatures, en particulier les plantes, indique leur rôle et leur
fonction. Les haricots rouges ont la même forme que nos reins, ainsi soignet-ils les
reins. Les noix ressemblent à petit cerveaux, c’est pourquoi leur consommation est
bonne pour le développement des fonctions cérébrales. Pour qui connaît la manière
dont on découvre et comment on teste les principes actifs issus des plantes, une tele
approche est absurde. Mais apès tout cela pourrait être absurde et fonctionner quand
même

Le principe de DILUTION, plus la dilution est grande, plus le remède serait efiicace y
compris et surtout à des dilutions où plus aucune moécule de la teinture mére n’est
présente. Hahnemann voulait soigner ses patients avec des substances qui rendent
malade mais il n’était pas sot. Il savait qu’il valait mieux ne pas le faire ingérer à forte
dose, parce que les poisons è forte dose ne sont pas très bons pour les malades. On
voit déjà que le principe de dilution est la conséquence nécessaire du principe de
similitude pris au sérieux. Pour que le principe de similitude reste vrai. Il faut diluer les
produits qui rendent malade.

Nous allons vour que ces dilutions sont vite devenue si grandes qu’elles posent un
probléme de logique que Hahnemann ne pouvait pas avoir anticipé puisque le nombre
d’Avogadro. N’est conceptualisé que dans les années 1800 et calculé que dans les
années 1920 par Jean Perrin.
« les produits affichant une dilution supérieure à 12 CH contiennent en moyenne
moins de 1 moñécule de la substance de départ, c’est-à-dire environ 0 »

Le principe de DYNAMISATION
Chacun sait que plus on dilue quelque chose, plus on en réduit l’effet.
Selon les homéopathes, cela « active la force du produit. Hola a toodos que tal

eeeeeeeeeee

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