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PSYCHOPEDAGOGIE 1
Ce document est la propriété exclusive du Ministère de la Fonction Publique. Il est destiné aux
cours de préparations aux concours administratifs. Toute reproduction totale ou partielle à des fins
commerciales est passible de poursuite pénale.
1. Méthodologie
2. Exemple pratique
1. Méthodologie
2. Exemple pratique
3. Références bibliographiques
L’espace : L’enfant a besoin au cours de cette période d’espaces qui sont pour lui des lieux
d’autonomie (chambre, espace de jeux, de rangement, etc.), ce souci d’indépendance lui
permet de comprendre la répartition sociale de l’espace il y a des lieus qui sont les siens et
les lieux des autres qu’il faut respecter.
De plus sa conception de l’espace n’est plus seulement immédiate, elle devient plus
concrète, l’enfant comprend ce que signifie l’espace d’une région ou d’un pays par les
acquisitions de l’histoire et cela géographie qu’il étudie en classe.
Les réponses des parents si elles l’éclairent ne le satisfont pas totalement, en effet, la
connaissance de ses origines familiales et le fait de savoir que s’il est l`a c’est parce que
ses parents l’ont d´désire ne suffisent pas pour apaiser une inquiétude inhérente `a la
condition humaine et qui commence à naitre en lui. Il prend conscience de la contingence
de son existence et s’interroge sur son sens.
Cette prise de conscience est aussi celle de sa finitude, celle de la mort, cette peur qui le
travaille déjà inconsciemment depuis l’âge de 8 mois. (angoisse du 8± mois liée `a
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l’absence de la mère) devient plus consciente, d’autant plus que l’enfant prend conscience
du caractère irréversible de la mort, il commence `a comprendre que les personnes de son
entourage qui sont décédés ne sont pas parties en voyage, mais ne reviendront plus.
Cette prise de conscience entraine donc chez lui un sentiment d’angoisse et une impression
de fragilité qu’il va compenser et auxquels il va répondre par des activités permettant la
sublimation (le travail, le dessin, la peinture, les activités créatrices).
Il convient donc de répondre clairement aux questions que posent l’enfant sur la mort, sans
dramatiser ni rien cacher, mais en lui montrant que l’on peut vivre heureux avec la
conscience de la mort et en lui proposant les solutions les plus conformes aux convictions
religieuses ou philosophiques des parents, sans pour autant les lui imposer de manière
autoritaire et dogmatique.
Conclusion
Au cours de cette période l’enfant devient donc plus sage, il n’est plus le jouet de sa vie
pulsionnelle et affective, il prend un certain recul par rapport à la réalité et entre dans une
étape de la vie que certains ont appelé < l’âge métaphysique >. En effet l’enfant s’interroge
sur le sens de l’existence et apaise ses angoisses par une demande plus intellectuelle et plus
rationnelle, c’est aussi à cet âge que naît chez l’enfant un sentiment religieux qui se
développera en fonction des convictions de ses parents. Mais cette période de calme n’est
qu’une transition qui s’achève avec l’enfance d`es que les premières manifestations de la
puberté vont se faire sentir, le sujet va prendre conscience qu’il est en devenir sur le plan
biologique, social et psychologique et va devoir construire une nouvelle identité, c’est l`a
tout l’enjeu de la période difficile qui l’attend : l’adolescence.
Exercice 1 :
4. La structuration du groupe
Les groupes se structurent en fonction de différentes affinités : affection pour tel ou tel
plaisir, à travailler avec tel ou tel, réciprocité ou non de la relation... Quelle que soit la
manière dont se structure le groupe, sa constitution donne toujours lieu à la désignation
automatique d'un meneur jouant un rôle dominant. L'étude du fonctionnement interne des
groupes constitue ce que l'on appelle « la dynamique de groupe », laquelle se définit comme
« l'étude des conséquences que peut entraîner la structure du groupe sur le comportement
individuel ». Exemple : dans une classe, le comportement des élèves peut varier en fonction
de la nature des relations qui les unissent les uns aux autres. Ainsi, un même élève n'aura
pas le même comportement dans deux classes différentes. De même, dans une relation de
communication, suivant que l'on fournit tout de suite des réponses ou que l'on répond aux
questions que pose le public, les conséquences seront différentes.
On peut donc en conclure que la relation entre les différents membres d'un groupe
entraînera une plus grande efficacité dans la réalisation des buts poursuivis. Ces relations
forment l'unité du groupe et sa structure ; le plus souvent cette structure met en place le
meneur ou leader du groupe qui en oriente les activités. Ce rôle de meneur n'est pas
obligatoirement en accord avec la fonction institutionnelle que joue un individu (c'est
même souvent le contraire). Exemple : le contremaître sera très rarement le leader d'une
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équipe de travail. D'ailleurs, toute la difficulté, lorsque l'on exerce une autorité
institutionnelle dans un groupe, consiste à contrôler le leader de celui-ci.
Exercice 2 :
Commentez cette parole de Freinet aux maîtres : « n’organisez pas la discipline, organisez
le travail : la perfection de la discipline naitra de la perfection du travail ».
1. DEFINITION
1.1. Education
L’éducation est un phénomène, un fait social qui est multidimensionnelle dans sa globalité
et son unicité.
Selon l’angle d’attaque, l’éducation sera à la fois un processus, un système et un résultat.
Education comme processus : du point de vue des formateurs et des apprenants,
l’éducation est avant tout un phénomène bi-processuel fait à la fois d’enseignement
et d’apprentissage.
- En tant que processus, l’éducation vise à la fois : l’instruction, la socialisation,
la moralisation, l’insertion sociale et économique.
Premier processus, le formateur enseigne les connaissances, les compétences et les valeurs
requises par les programmes de formation.
Deuxième processus, les prenants ont la charge de maitriser les objets enseignés.
C’est la population inscrite effectivement dans les écoles et enregistrée dans les fichiers du
MENET. En 2014-2015, les structures du MENET ont accueilli 5 049 496 élèves tous les
cycles confondus. Le nombre d’élèves s’est donc accru de 7,8% par rapport à l’année
scolaire 2013-2014. Sur cette même période, l’effectif du primaire a connu une
augmentation de 6,1%, atteignant ainsi 3 370 558 élèves tandis que celui du secondaire est
passé de 1 377 198 à 1 534 810 élèves soit 11,4% de hausse. Les écoles primaires ont donc
abrité le plus d’élèves avec 66,8% de l’effectif total.
2. QUELQUES INDICATEURS :
Les indicateurs d’accès présentés dans ce document sont : le Taux Brut d’Admission (TBA)
et le Taux Net d’Admission (TNA). La participation sera analysée à travers le Taux Brut
de Scolarisation(TBS) et le Taux Net de scolarisation (TNS).
Pour chaque cycle et pour chaque pays, il existe un âge légal auquel les enfants sont censés
commencer un cycle d’études. En Côte d’Ivoire, au Préscolaire, au Primaire, au Secondaire
1 et 2, l’âge légal est respectivement de : 3 ans, 6 ans, 12 ans et 16 ans.
Le TBS est un indicateur de capacité d’accueil. Il décrit dans quelle mesure le pays est
capable d’accueillir dans ses écoles le nombre d’enfants à scolariser.
Au préscolaire, le TBS en 2014-2015 s’élève à 7,4%. Un peu plus de 7 enfants sur 100
âgés de 3 à 5 ans.
Pour ce qui est du primaire, le taux brut de scolarisation vaut 95,4% en 2014-2015. Un peu
plus de 95 enfants sur 100 âgés de 6 à 11ans. Le TBS du primaire a connu une progression
de 11,7 points de 2010-2011 à 2014-2015. Le TBS des garçons est de 98,2% et celui des
filles de 92,5%. Le TBS reste cependant influencé par les phénomènes de scolarisation
précoce et tardive. Le TNS du primaire en 2014-2015 est de 78,9%. Le système éducatif
accueille au primaire près de 8 enfants sur 10 âgés de 6 à 11 ans.
Porte d’entrée du système éducatif, l’enseignement préscolaire voit ses effectifs s’accroître
d’année en année. Ainsi, de 2013-2014 à 2014-2015, le nombre d’élèves du préscolaire a
augmenté de 11,4%, passant de 129 371 à 144 128 élèves. Ces élèves sont répartis en trois
sections : la Petite Section (PS), la Moyenne Section (MS) et la Grande Section (GS). La
répartition des élèves selon ces sections laisse apparaître que le nombre d’élèves s’accroît
avec le niveau, par l’entrée de certains enfants directement en moyenne ou en grande
section. Ce phénomène est propre au Préscolaire.
L’âge légal de fréquentation du Préscolaire en Côte d’Ivoire se situe entre trois (03) et cinq
(05) ans. 13,2% ne possèdent pas d’extrait de naissance. 8% des élèves du préscolaire ayant
un acte de naissance sont en scolarisation précoce ou tardive.
3.2. Le primaire
Le cycle primaire en Côte d’Ivoire compte six (06) niveaux d’études, regroupés en trois
sous cycles appelés cours : le Cours Préparatoire (CP), le Cours Elémentaire (CE) et le
Cours Moyen (CM). Il existe des niveaux appelés Cours Préparatoire Unique (CPU) et
Cours Elémentaire Unique (CEU). De 2013-2014 à 2014-2015, l’effectif du primaire est
passé de 3 176 874 à 3 370 558 élèves soit une augmentation de 6,1%.
Le CM2 compte 416 960 élèves. Les effectifs des autres niveaux connaissent par contre
une hausse.
La tranche d’âge légal de fréquentation du primaire en Côte d’Ivoire se situe entre six (06)
et onze (11) ans. Il existe le phénomène de la scolarisation précoce et tardive. Plus de la
moitié (54,8%) des élèves du primaire est en zone rurale. L’offre éducative du secteur
public est de plus de 8 élèves sur 10 tandis que les écoles primaires privées reçoivent 13,3%
des élèves. Quant aux écoles primaires communautaires, elles accueillent 2,4% des élèves.
En milieu rural, la quasi-totalité (92,7%) des élèves fréquentent les écoles publiques. Par
ailleurs, les écoles communautaires comptent plus d’élèves (4,2%) que les écoles privées.
En milieu urbain, plus du quart (25,6%) des élèves fréquente les écoles privées. Il y a
toujours plus de garçons à l’école primaire que de filles (46,7%).
Le territoire national est divisé en 36 DRENET. L’effectif des élèves est inégalement
réparti entre celles-ci. Les cinq plus grandes DRENET en termes d’effectif sont, par ordre
d’importance : Daloa, Abidjan 3, Abidjan 4, Soubré et Man. Ces dernières comptent plus
du quart (28%) de l’effectif national des élèves du primaire.
3.3. Le secondaire
Le premier cycle
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Le premier cycle est la porte d’entrée du secondaire. Il compte quatre niveaux à savoir : la
6ème, la 5ème, la 4ème et la 3ème. Les effectifs baissent avec l’élévation du niveau
d’études. L’effectif de la 3ème est plus élevé que celui de la 4ème. L’augmentation du
nombre d’élèves en 5ème (23,6%) est nettement plus élevée que celle des autres niveaux.
La tranche d’âges correspondant au premier cycle est de douze (12) à quinze (15) ans. Un
élève sur dix du premier cycle est en scolarité précoce (moins de douze ans) et plus du
quart (26,2%) en scolarité tardive (plus de quinze ans).
Les élèves du premier cycle du secondaire sont répartis quasi équitablement entre les
établissements publics et privés. Seuls 5,4% des élèves du premier cycle du secondaire sont
en milieu rural. En 2014-2015, près de 6 élèves sur 10 de ce cycle sont des garçons.
Le second cycle
La proportion de filles est moins importante qu’au premier cycle. 38,7% des élèves du
second cycle général sont des filles contre 41,4% au premier cycle.
Entre 2013-2014 et 2014-2015, l’effectif s’est accru de 0,3%, passant de 55 642 à 55 805
élèves. Dans le secondaire technique, les différentes séries sont regroupées en deux filières
: la filière tertiaire et la filière industrielle.
L’analyse descriptive de l’effectif du second cycle technique par filière révèle qu’en 2014-
2015, 89% des élèves sont dans la filière tertiaire. Dans le secondaire technique, seuls 5
élèves sur 100 fréquentent un établissement public. Pour les élèves de la filière industrielle,
22% sont dans des structures publiques tandis que pour la filière tertiaire, cette proportion
est de 3%. Les filles représentent presque la moitié (49,1%) de l’effectif du secondaire
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technique. Elles sont plus nombreuses dans la filière tertiaire (53,5%) que dans la filière
industrielle (13,9%).
En dépit de ces efforts et des améliorations constatées ces dernières années, les disparités
de scolarisation entre filles et garçons persistent.
En 2014-2015, sur les 5 049 496 élèves que compte le système éducatif ivoirien, 2 277 026
sont des filles soit 45,1%.
Au premier cycle du secondaire, 41,4% des élèves sont des filles au cours de l’année 2014-
2015. Dans les établissements publics, cette proportion est d’environ 40%. Elle est plus
élevée dans les établissements privés soit 43%. Dans le premier cycle du secondaire, plus
le niveau d’études s’élève, plus la proportion de filles est faible.
Dans le second cycle général, 38,7% des élèves sont des filles. Les filles sont relativement
moins présentes dans les séries scientifiques (C et D) que dans la série littéraire (A). La
moitié (48,6%) des élèves dans la série littéraire sont des filles, tandis qu’elles représentent
moins du tiers (30,7%) des élèves dans les séries scientifiques.
Dans le secondaire technique, près de la moitié (49,0%) des élèves sont des filles. Plus de
la moitié (53,3%) des élèves des séries de la filière tertiaire. Dans la filière industrielle,
13,9% des élèves sont des filles. Dans l’ensemble du secondaire, la proportion des filles
est passée de 39,8% en 2011-2012 à 41.1% en 2014-2015.
La répartition des élèves enceintes selon l’âge révèle qu’un peu plus de 4 sur 5 (83,2%) ont
plus de 11 ans. Toutefois, il en existe de 9, 10 et 11 ans d’âge déclaré.
Ce phénomène se produit principalement en milieu rural d’où proviennent plus des trois
quarts (78,7%) des cas de grossesse. La quasi-totalité (98,4%) des filles enceintes
fréquentent les écoles publiques, 1,3% les écoles privées. La répartition des cas de
grossesse selon les DRENET permet de s’apercevoir que celle de Bondoukou a enregistré
le plus de cas de grossesse au Primaire en 2013-2014 soit environ 10% (64 cas de
grossesse).
Quoiqu’en baisse par rapport à l’année scolaire 2012-2013, le nombre de cas de grossesse
au primaire reste loin de l’objectif « zéro grossesse à l’école ».
4.2. Les élèves sans extrait d’acte de naissance dans le Préscolaire et dans le
Primaire
Certains élèves accèdent aux structures scolaires alors qu’ils n’ont pas d’extrait d’acte de
naissance. Au Préscolaire et au Primaire, la proportion des élèves sans extrait d’acte de
naissance est respectivement de 13,2% et de 31% en 2014-2015.
Au Préscolaire, la proportion d’élèves sans extrait d’acte de naissance est passée de 9,6%
en 2011-2012 à 13,2% en 2014-2015.
En observant les effectifs par DRENET, celles de Bouna, de Guiglo, d’Odienné, de Man
et de Bondoukou ont entre 4 et 6 élèves sur dix sans extrait d’acte de naissance.
Au Primaire, la proportion d’élèves sans extrait d’acte de naissance est plus importante.
Sur un effectif de 3 370 558 élèves en 2014-2015, 1 043 450 sont sans extrait d’acte de
naissance, soit près du tiers (31,0%).
Plus de 4 sur 5 (81,5%) sont en zone rurale. En milieu urbain, seul environ 1 élève sur 8
(12,7%) est sans extrait d’acte de naissance. La proportion des élèves sans extrait d’acte de
naissance, est plus élevée dans les écoles communautaires (73,3%) que dans les écoles
publiques (31,8%) et les écoles privées (18%). En zone rurale, la situation est plus
préoccupante. Dans cette zone, les 3/4 (74,8%) des élèves des écoles communautaires ne
possèdent pas d’extrait de naissance.
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Au plan régional, le phénomène prend de l’ampleur dans les DRENET de Man, de Gagnoa
et d’Abidjan 4 où près de 6 élèves sur 10 n’ont pas d’extrait d’acte de naissance.
Au Primaire, en 2014-2015, sur un total de 3.370.558 élèves, 9 383 soit 0,2% sont porteurs
d’un handicap. Plus de la moitié (50,78%) de ces élèves souffrent d’un handicap moteur,
30,34% d’un handicap sensoriel et 18,79% d’un handicap psychique.
Au secondaire général, 5 681 cas, soit 0,38% de l’ensemble des élèves de ce degré
d’enseignement ont été recensés. Les élèves vivant avec un handicap sensoriel, c’est-à-dire
ceux souffrant d’une déficience de la vue et/ou de l’ouïe sont majoritaires.
Les conditions d’une formation adaptée à leur état ne sont pas réunies dans les
établissements secondaires où ils se retrouvent par manque d’instituts spécialisés pour leur
formation qui nécessite du matériel didactique adéquat et des enseignants ayant reçu une
formation de sorte à les encadrer de façon optimale. En effet, les seuls instituts existant
(Instituts des aveugles, l’école des sourds- muets et des structures privées) n’assurent leur
formation qu’au niveau de l’enseignement primaire. Ces instituts n’arrivent d’ailleurs pas
à recevoir tous les enfants souffrant de handicap. Par conséquent, ces élèves n’ont pas les
mêmes chances de réussite que les autres.
Dans l’enseignement primaire et secondaire général, sur un total de 4 849 563 élèves, seuls
17 145 cas d’OEV du fait du VIH/sida ont été déclarés en raison de la forte stigmatisation
liée à cette maladie.
Au secondaire général, 4 539 cas. L’on les rencontre majoritairement dans le 1e cycle (81%
des cas) avec un pic en 6e
La gratuité de l’école :
- Elle est mise en œuvre à travers la distribution gratuite de kits scolaires au public.
En 2016-2017, l’état a distribué en tout 3 494 926 kits. Ces kits sont constitués
de sacs d’écoliers, de cahiers, de matériel géométriques (équerre, compas, règle),
de stylos, de crayons, de crayons de couleur, d’ardoise.
- Annulation des frais d’écolage par l’inscription en ligne.
La scolarisation obligatoire
La vulgarisation des EAE (Ecole Amie des Enfants) et de l’école inclusive
L’ouverture des cantines scolaires
Les campagnes de sensibilisation des parents et l’organisation des audiences
foraines pour l’établissement des extraits de naissance.
Une vue d’ensemble des données et des indicateurs relatifs à la population scolaire, révèle
une amélioration à tous les niveaux mais aussi des insuffisances à surmonter pour la mise
en œuvre de la scolarisation obligatoire.
Exercice 3 :
Le taux de survie dans le système éducatif ivoirien d’une cohorte de 1000 élèves au CP1
est de :
a- Le problème soulevé
b- Les causes de cette contreperformance
c- Les solutions envisagées.
Sur le texte
Dans ce cas, un texte est donné mais la consigne n’est pas claire.
On n’indique pas les centres d’intérêt.
Il revient au candidat de les identifier et d’en faire le commentaire.
La conclusion
L’introduction
Le candidat présente :
d’abord le texte, l’auteur. Il s’agit de donner la carte d’identité du texte.
Dans ce cas, on se réfère à la fin du texte pour avoir les informations.
Ensuite, le candidat énonce l’idée générale, c’est-à-dire ce dont parle le
texte.
Ex : Ce texte extrait de ………nous parle de ………
Après cela, il dégage clairement la problématique. C’est-à-dire la
discussion, le débat intellectuel qui doit se mener autour de cette idée
générale.
Le candidat termine après la mise en relief de la thèse de l’auteur, par
l’annonce du plan.
Le développement
La conclusion
D.GLOSSAIRE
NB : Cette définition du mot accommodation est différente de celle donnée par les
sociologues et de celle donnée par les sciences naturelles, car chaque science a son
lexique qui lui est propre.
Attachement : Lien affectif possessif unissant une personne à une autre, tel que
l’enfant nourrit à l’égard de sa mère ou vice versa. L’attachement fait intervenir un
sentiment de sécurité.
Dyslexie : Difficulté de lecture qui se traduit par : une articulation défectueuse ; des
inversions de lettres ; des lettres, des syllabes ou mots sautés, ajoutés ou
transformés ; des hésitations, des retours en arrières ; l’incapacité de comprendre
le texte lu. A cela s’ajoutent, nécessairement, des difficultés d’écriture (dysgraphie)
et d’orthographe (dysorthographie).
Education :
Education non formelle : Celle qu’on reçoit en dehors de tout cadre formel ; il n’ya
pas de locaux spécialisés, pas de programme, pas d’enseignants formés pour cela.
C’est l’éducation que l’on reçoit à partir des medias, des films, à travers les
conférences…
Eduquer : Transformer une personne, agir sur elle (on éduque tout être vivant).
C’est l’action de développer les facultés physiques, intellectuelles et morales.
Emulation : Sentiment qui nous pousse à vouloir faire aussi bien ou mieux que nos
semblables.
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Enseignant : C’est celui qui enseigne, qui est chargé de l’enseignement.
Leader : C’est celui qui est à la tête d’un groupe, qui l’entraîne et le dirige.
Leadership autoritaire : Ici, le groupe est mené par le leader sans la participation
des membres. Le leader est au centre de toutes les activités du groupe et décide
des buts du groupe.
Libido : Terme utilisé par Freud pour décrire l’énergie sexuelle présente chez tout
individu.
Lien affectif : Lien relativement durable dans lequel le partenaire est important, car
il est perçu comme un individu unique et irremplaçable.
Précocité : C’est lorsque l’enfant n’est pas prêt à affronter certaines difficultés.