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Quatre des meilleures stratégies de Satan et

la manière d’y résister


Tiré d’un article de Larry R. Lawrence, des soixante-dix

Que fait Satan de ses journées, sachant qu’il n’a pas de temps à perdre ? L’apôtre Pierre a écrit que « le diable
rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera » (1 Pierre 5:8). Nous devons étudier les tactiques de
l’ennemi pour le vaincre. Je vais parler de quatre stratégies éprouvées de Satan et donner quelques idées pour y
résister.
1. La tentation
Satan nous harcèle pour que nous agissions en obéissant à des pulsions qui rendent dépendant, et que nous
cédions à l’égoïsme et à la convoitise. Comment pouvons-nous résister à cette tentation ? Jésus a utilisé une
défense en deux temps : il a d’abord commandé à Satan de partir, puis il a cité les Écritures. Vous avez le droit
de dire à Satan de partir quand vous rencontrez la tentation. Quand on mémorise les Écritures comme Jésus, on
se sent plus fort. Non seulement le pouvoir des Écritures intimide Satan, mais il apporte également l’Esprit dans
votre cœur.

2. Les mensonges et la tromperie.


On a appelé le diable « le maître du mensonge ». Il tente de contrefaire chaque principe que le Seigneur
présente. Satan vous mentira, mais vous pouvez compter sur l’Esprit pour vous dire la vérité. C’est pour cette
raison que le don du Saint-Esprit est si important.

3. La querelle
Satan est le père de la querelle. Il se délecte de voir de bonnes personnes se disputer. Quand il y a des querelles
dans votre foyer ou sur votre lieu de travail, interrompez immédiatement ce que vous êtes en train de faire et
cherchez à faire la paix. Peu importe qui a commencé.

4. Le découragement
Satan utilise efficacement cet outil contre les saints les plus fidèles quand tout le reste échoue. Ezra Taft Benson
(1899–1994) a donné des idées pour combattre le découragement. En voici quelques-unes : servir autrui,
travailler dur et éviter la paresse, cultiver de bonnes habitudes de santé, demander une bénédiction de la prêtrise,
écouter de la musique inspirante, compter ses bénédictions et se fixer des buts. Et, par-dessus tout, comme les
Écritures l’enseignent, nous devons prier toujours afin de vaincre Satan (voir D&A 10:5).

Comment vaincre les stratégies de Satan


 
Pour vaincre le diable, il existe quelques moyens que voici. Il faut d’abord savoir qu’il est vaincu sur le plan
cosmique par le sang de l’Agneau qui est Jésus-Christ, (Apo. 12:11 ; Luc 10:18), et qu’«il est
précipité…» (Apo.12:10). Ensuite, il faut donner son cœur à Dieu, afin qu’il y habite par Ses vertus contenues
dans l’Évangile ; pour cela, il faut lire sans cesse la Bible et prier sans relâche (Luc 18:1), confesser ses péchés,
réclamer constamment la puissance du Saint-Esprit pour pouvoir vivre dans l’amour, la miséricorde, le pardon,
la justice, l’honnêteté et l’humilité, qui sont des vertus de Jésus-Christ, qui déclare : « Je suis la lumière du
monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.» (Jean 8:12). Sans
cela, les ténèbres régneraient en vous, et, en conséquence, vous ne pourriez jamais vaincre le diable. Enfin, il
faut éviter de se hasarder sur son terrain, ou, si l’on y est déjà, il faut carrément sortir de là, car il a un petit
territoire sur lequel il règne. Il faut donc avoir « la vérité pour ceinture », revêtir « le casque du salut  », être
animé par le zèle de l’Évangile, puis avoir sur soi « l’épée de l’esprit », en se nourrissant de la Parole de Dieu.
C’est ce que Paul résume en des termes évoquant l’allure d’un militaire romain blindé des pieds jusqu’aux
cheveux, lorsqu’il écrit dans Éphésiens 6:10,11 :   « Au reste frères, fortifiez-vous dans le Seigneur, et par sa
force toute puissante. Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du
diable.» (J’en ai développé des commentaires dans Les dimensions de la prière et de la vie de prière.)
 
A la lecture de ces lignes, vous vous poseriez peut-être quelques questions relatives à votre vie, parce que vous
vous trouvez dans un état où vous vous voyez au fond de la fosse. Ne vous inquiétez pas trop, car le remède
existe pour vous. Voici ce que vous pourriez commencer à faire.
 
Par la prière, réclamez la puissance de Jésus-Christ dans votre coeur
 
Reconnaissez devant Dieu qu’à l’état dans lequel vous vous trouvez, vous êtes vide, et que vous êtes un
pécheur, qui a besoin d’être guéri et délivré. Croyez fermement que Jésus existe, qu’Il vous observe et qu’Il
intercède maintenant pour vous. (Voir Héb. 7:25; 9:24). Sachez que ce qu’Il demande de vous, c’est de
reconnaître votre faiblesse. Passez des moments dans la prière ; soyez seul(e) lors de cette prière. Dites à Dieu
toutes les choses sales que vous avez dans le cœur, même les plus honteuses, et n’en retenez rien qui soit caché.
Ensuite, détestez sincèrement vos actions pécheresses. Pendant ce temps, croyez que Jésus-Christ a dit : « Je ne
mettrai jamais dehors celui qui vient à moi.» (Jean 6:37), et « qu’il donne de la force à celui qui est fatigué et
qu’il augmente la vigueur de celui qui tombe en défaillance.» (Ésaïe 40:29). Demandez à Dieu de vous
pardonner vos péchés, et de vous relever de la déchéance dans laquelle vous êtes tombé, car tout péché est une
chute (action de tomber), et la chute est le pas vers la déchéance.
 
Sortez du territoire du diable !
 
Il faut prendre la ferme résolution de sortir des engrenages de Satan. Cette décision, personne ne pourra la
prendre à votre place, mais elle vous incombe à vous seul. La Bible dit bien « Sortez du milieu d’eux, et
séparez-vous, dit le Seigneur ; ne touchez pas à ce qui est impur, et je vous accueillerai. Je serai pour vous un
père et vous serez pour moi des fils et des filles, dit le Seigneur tout-puissant.» (II Corinthiens 6:17,18). De
même, Jérémie, le prophète exhorte vivement : « Fuyez de Babylone, et que chacun sauve sa vie, de peur que
vous ne périssiez dans sa ruine ! »  (Jérémie 51:6). Rendez donc au diable ce qui lui appartient, et que vous
gardiez avec vous. Donnez toujours gloire à Dieu qui vous a récupéré à temps par le sang précieux de Jésus-
Christ qui a vaincu le monde. Réclamez maintenant la puissance et la présence du Saint-Esprit dans votre cœur.
Si vous n’avez pas le courage de lire la Bible, dites-le à Dieu, et demandez-lui de vous donner la force
spirituelle, morale, physique et intellectuelle, de pouvoir la lire et de croire ce que vous lisez. Vous serez
largement éclairé sur vous-même, sur le salut en Jésus-Christ, sur vos droits et devoirs, en tant que chrétien, sur
l’amour de Dieu pour vous et pour les autres, et également sur les armes de Satan qui visent à la destruction de
la vie spirituelle des chrétiens et des églises.
 
Ces pages sont extraites du livre Les Dimensions de la prière et de la vie de prière, d'AKPAGAN
K. M. Cyrille, Paris, Édisercom, 2012.
 
Quelles sont les armes du diable ? Pour les connaître, reportez-vous au livre "Les Dimensions de la
prière et de la vie de prière".
 
Quelles sont donc les armes de Jésus-Christ? Pour les connaître, reportez-vous au livre "Les
Dimensions de la prière et de la vie de prière".
 
Reportez-vous également au livre "Les Dimensions du Saint-Esprit et de son œuvre"
_________________________________________________________________________________
 
Quelle est l'autorité qui vous manipule souvent ? Pour la connaître, reportez-vous au livre "Le
Respect du sacré  dans  la vie  chrétienne", page 229 (édition, 2005) ou  page 411 (édition,
2016).    
                                                                                                                                                            
 Pour approfondir vos connaissances, et être spirituellement préparé à déjouer les plans et les ruses
de Satan, cherchez le livre "Comment vaincre les stratégies de Satan contre l'oeuvre de Jésus-
Christ, Paris, Edisercom, Janvier 2019, 122 P.
 
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Envoyez un courrier électronique à christvieetaction@free.fr, pour toute question ou remarque
concernant ce site Web.    

La stratégie de Satan
 SEPTEMBRE 13, 2017
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MERCREDI 13
LUC 22.31-34, 54-62

Comment réagir à nos échecs? De nombreuses personnes choisissent une existence de défaitisme
plutôt qu’une vie de service dans le royaume. Nos manquements ne marquent cependant pas la fin
de notre histoire; ils nous offrent l’occasion de recommencer, de vivre par la force de Christ.

Pierre a grandement échoué. Jésus lui avait dit que Satan avait réclamé ses disciples pour les
« cribler » comme du froment (Lu 22.31). Le criblage, un processus par lequel on secouait
vigoureusement le blé, permettait de séparer les grains de la balle. L’ennemi voulait ébranler la foi
de Pierre et l’éloigner de Jésus.

Quand il avait promis à Jésus qu’il ne l’abandonnerait jamais (Mc 14.29), Pierre était sincère. Satan
sait cependant à quel point les échecs peuvent nous affecter. Il a compris que l’apôtre souffrirait de
sa propre infidélité. Un homme dont l’orgueil a été atteint se demande s’il est encore utile.

Lorsque Satan crible les croyants, il cherche à ébranler leur foi afin qu’ils deviennent inutiles pour
le Seigneur. Il veut les tenir à l’écart de l’action dans le royaume de Dieu. Il s’attaque donc à leurs
forces, là où ils pensent être bien protégés. Quand il réussit à les déstabiliser, ils se découragent; ils
n’ont cependant pas à demeurer dans cet état.

Si nous le lui permettons, Dieu peut employer nos échecs pour purifier notre âme. Pierre a cessé
d’être orgueilleux et s’est revêtu du courage que donne le Saint-Esprit. Par la suite, il a connu
l’humiliation, la persécution et la mort afin de proclamer l’Évangile. Son échec l’a propulsé vers
une vie de foi et un service véritable.

LA BIBLE EN UN AN : DANIEL 3 – 4

La tactique et la stratégie de Satan


Par Ch. Racine

- Publié dans

 Promesses n° 2, Octobre-décembre 1967

- Sujet: Eglise, Monde spirituel

Apocalypse 2 et 3

L’aspect prophétique de cette séquence du livre nous présente «les choses qui sont» (Apoc. 1. 19),
c’est-à-dire la vie de l’Eglise sur la terre, depuis la Pentecôte jusqu’à son enlèvement, avant la grande
Tribulation. Le mot d’ordre des combattants fidèles est: «Amen, viens, Seigneur Jésus!» (Apoc. 22.
20).
Ephèse: La première tactique de Satan, c’est de séparer de leur Chef, le coeur des combattants
(abandon du premier amour).
Smyrne: Ici, il y changement de tactique. Satan démasque toutes ses batteries contre les
combattants, et fait un affreux carnage: c’est la persécution. Le diable cherche à détruire les troupes
du Seigneur.
Pergame: Il n’y parvient pas et voit que, malgré les ravages, il perd même du terrain. Pendant qu’il
est encore temps, il signe un armistice, un compromis. Par ses ruses, il réussit à se mettre du bon côté,
en endormant ses adversaires auxquels il présente une fausse vision de paix. Les conditions de paix ne
sont pas moins qu’une alliance de l’église avec le monde, dont Satan est le prince.
Thyatire: La paix étant faite, il prêche le désarmement; peu à peu, les combattants déposent l’épée et
délaissent la Parole de Dieu: c’est l’Eglise romaine.
Sardes: L’épée étant tombée des mains des combattants, l’anarchie règne et, bientôt, quelques-uns
en souffrent. Se réveillant de leur sommeil – et devant les terribles abus de Satan – ils se lèvent,
reprennent l’épée qui est la Parole de Dieu, et passent à l’offensive. C’est Sardes. Mais, bien vite, les
nouveaux combattants se lassent de lutter; tout en gardant l’épée, ils ne savent plus s’en servir. C’est
alors un affreux carnage. Il en tombe de toutes parts et le champ de bataille se couvre de morts et de
mourants (ch. 3.1-2).
Philadelphie: Un petit groupe de combattants résolus se rassemble néanmoins autour du Chef. Le
mot d’ordre est de «tenir». Tenir la position acquise, ne pas reculer; plutôt mourir sur place en
attendant la grande délivrance. Elle se fait attendre; il faut redoubler de courage et de vaillance: rester
fidèles! La nuit se fait longue. Des sentinelles s’engourdissent. ..et pourtant le danger est grand.
Laodicée: L’heure de la décision approche. Au milieu de la nuit, on peut voir une poignée de
combattants se rassembler autour de leur Chef aimé, pour prendre un dernier repas en commun,
avant de s’asseoir avec Lui sur Son trône de gloire. Le Chef restaure ses combattants fatigués, tandis
que le matin vient, «un matin sans nuages».
Lecteur, nous sommes arrivés à la fin des temps. Le Seigneur Jésus revient. Es-tu prêt? Sinon,
prépare-toi à la rencontre de ton Dieu! Avant qu’il ne soit trop tard !

Les stratégies de satan


par Invités Le Bon Combat
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 Article d’Ed Welch posté le 30 avril 2016 sur le blog de CCEF. Traduction : Elodie Meribault.
 
Vous vous méfiez des escrocs et des avocats véreux, et vous avez raison . À la gare de Rome, il y a des
pickpockets partout, faîtes donc bien attention à votre argent et à vos documents importants. Si vous recevez des
courriels douteux vous sollicitant pour de l’argent, ignorez-les. Si l’on vous promet un retour sur investissement
de 10%, ne déboursez pas un centime. Et lorsque vous avez un ennemi qui vous guette pour vous faire chuter,
veillez à connaître ses plans.

Mais à qui vous faites grâce, moi aussi je fais grâce ; et, pour ma part, ce dont j’ai fait grâce, — si j’ai fait
grâce de quoi que ce soit —c’est à cause de vous, en présence du Christ, pour ne pas laisser au Satan
l’avantage sur nous, car nous n’ignorons pas ses desseins.
(2 Corinthiens 2.10)
 
Voici donc quelques consignes de sécurité concernant les stratégies du diable.
>> LISEZ AUSSI : Six raisons pour lesquelles satan est un tentateur hors norme
 
Il sera subtil. N’imaginez pas que vous allez voir des têtes se tourner à 360 degrés, ou une petite fille parler
avec une voix très basse comme dans l’Exorciste. Non ; attendez-vous à des questions ou des envies qui
paraissent raisonnables, surtout lorsque tout va bien, comme en Eden, ou lorsque tout va mal, comme Christ
dans le désert.
Il vous dira que Dieu n’est pas bon. Les premiers mots de Satan ont été : « Dieu a-t-il réellement dit : ‘Vous ne
mangerez pas de tous les arbres du jardin !’ » Il remet en doute la parole de Dieu, sa bonté, et sa générosité.
Parfois, il attend que nous ayons perdu une chose qui nous parait importante, parce que c’est alors que la
prétendue injustice de Dieu trouve le plus de résonance. Quelle est la réponse de l’apôtre Paul ? Dieu fait
pleuvoir sur nous ses bontés (Éphésiens 1.3-14). Il ne nous prive d’aucun bien.
Il vous dira que les conséquences du péché ne sont pas si graves, et que ses bienfaits sont finalement plus
importants qu’il n’y paraît. Le diable a ensuite dit à Eve : « Vous ne mourrez point » (Gn 3.4), avant de lui
parler des bonnes choses qu’elle pourrait retirer de son péché. Il continue à dire que Dieu n’est pas bon, et sous-
entend même qu’il est trompeur. Nous en retrouvons des échos dans le psaume 73, lorsque le psalmiste tombe
dans la folie spirituelle en voyant les méchants prospérer. Et nous trouvons des échos du mythe des bienfaits du
péché dans chacun de nos actes et chacun de nos pensées. Paul nous dit ceci : « Ne vous y trompez pas : on ne
se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, c’est aussi ce qu’il moissonnera » (Galates 6.7).
Il vous dira que Dieu est distant et impersonnel. En Genèse 2, Dieu est constamment cité comme étant
YHWH, le nom révélé de Dieu qui sous-entend son amour fidèle envers nous (Exode 34.6-7 nous donne
davantage de détails quant à ce nom). Mais, influencée par Satan, Ève utilise le terme plus général et
impersonnel « Dieu » (elohim) (Genèse 3.1-3). Notez la stratégie subtile, mais pour le moins brillante de Satan
dans le changement de ce nom. C’est comme si quelqu’un essayait de susciter en moi des doutes sur la fidélité
de ma femme en l’appelant « la fille de Cavanaugh ». Si j’utilisais moi aussi ce nom-là, cela voudrait dire que je
place une distance entre elle et moi, et la conversation ne finirait pas bien. Mais si je dis : « Tu ne la connais
visiblement pas, c’est ma femme — fin de la discussion », nous allons dans la bonne direction. En d’autres
termes, au lieu de laisser Satan définir ce que vous appelez Dieu, préparez-vous à affronter ses tromperies grâce
à vos noms préférés pour le Seigneur : « Mon Dieu », « Mon Père », « Jésus-Christ, mon Seigneur ».
Écoutez-vous. Entendez-vous de la colère, du mensonge ? Sous l’influence de Satan, nous sommes remplis de
colère et vivons coupablement dans les ténèbres. Ce sont les deux choses dont nous parle Paul lorsque nous
nous tournons vers le péché.
Rejetez donc le mensonge, et que chacun de vous parle avec vérité à son prochain ; car nous faisons
partie les uns des autres. Si vous vous mettez en colère, ne péchez pas ; que le soleil ne se couche pas sur
votre irritation ; ne laissez pas de place au diable.
(Éphésiens 4.25-27)
 
Concernant le mensonge, soyez extrêmement vigilant, surtout avec ce que l’on appelle « les pieux mensonges »,
mais aussi avec les prétextes et les non-dits. Concernant la colère, puisqu’il nous arrive de ne même pas la voir,
mieux vaut demander à quelqu’un de notre entourage de nous indiquer si elle se manifeste trop souvent dans
nos paroles. Tachez de vous rendre compte des moments où vous oubliez que vous avez été lavés de vos péchés
passés (2 Corinthiens 2.10-11, 2 Pierre 1.9). Car l’entourloupe est parfaitement agencée.
Parfois, le péché n’est « pas si grave », mais, une fois trompé, nous en devenons complètement prisonnier.
Satan procède ainsi, soit en encourageant un péché habituel jusqu’à ce que nous y soyons insensibles, ce qui
nous mène à la mort, soit en suggérant qu’il n’y a pas de pardon possible pour une conscience agitée, ce qui là
aussi mène aussi à la mort. Notre moyen de défense ? Nous rappeler la mort de Jésus pour nos péchés et sa
résurrection qui nous assure que son sacrifice était suffisant. Nous aurons toujours le dernier mot.
Le péché révélé et confessé, le pardon rappelé et appliqué : ces deux choses sont inextricablement liées.
Nous vivons dans une ère où le pouvoir de Satan est limité, mais il rôde comme un lion rugissant. Notre sécurité
doit rester notre premier souci. Et c’est par de simples moyens que l’Esprit nous prépare.

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