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LA THÉOLOGIE DU POINT DE VUE DOMINICAIN

Contemplare et aliis contemplata


tradere disait saint Thomas d’Aquin.
L’enseignement de la théologie à l’université
Domuni vise à communiquer aux étudiants le goût
de la vérité contemplée, la saveur la Parole de
Dieu, le courage intellectuel de comprendre et
d’exprimer progressivement, avec ses propres mots,
ce que l’on croit.

 Les cursus en Théologie préparent à la


licence en Théologie et au master en Théologie, selon les normes européennes
LMD. Ils débouchent sur un diplôme d’Etat (français) en Théologie Catholique
et peuvent conduire au doctorat.
 Le master en études bibliques: Il débouche sur un diplôme commun à
l'université Domuni et à l'Université Catholique de Louvain.
 Le doctorat de théologie.

LES ENSEIGNANTS EN THÉOLOGIE


Les cours de théologie de Domuni sont dispensés par des professeurs convaincus qui
vivent le plus souvent en communauté. Vivant par la pratique ce qu’ils croient, ils
offrent une formation théologique toute empreinte de vie théologale et sapientielle.

EQUIVALENCES ET FLEXIBILITÉ
La formation théologique que propose l’université Domuni est accessible à ceux qui ont
terminé leurs études secondaires et qui souhaitent devenir théologiens. Elle convient
également à tous ceux que ces études auraient intéressé mais qui ont privilégié une
carrière professionnelle plus rémunératrice. La flexibilité des études, par l'enseignement
à distance et la possibilité d'étaler les validations, rend celles-ci tout à
fait compatibles avec des responsabilités familiales et professionnelles.
Conformément aux accords passés à Bologne entre les universités européennes, des
équivalences sont accordées, prenant compte les diplômes obtenus et la validation
des acquis de l’expérience professionnelle.

LES COURS DE THÉOLOGIE


Domuni universitas propose une offre de formation étendue allant de la formation
continue diplômante (licences et masters).

LA THÉOLOGIE, UNE FORMATION TRÈS SYNTHÉTIQUE


L’étude de la théologie ne consiste pas seulement à scruter des mystères compliqués,
elle suppose une bonne connaissance de la Bible, donc de l’histoire biblique et de la
sociologie des peuples d’Orient. Elle suppose une ouverture aux courants de pensée
contemporains de son élaboration et donc particulièrement une étude de
la philosophie à laquelle la théologie emprunte beaucoup d’instruments intellectuels qui
lui sont nécessaires. L’éthique est un domaine important de la théologie, tant au plan
personnel qu’au plan social et communautaire.
Le bachelor (licence) en théologie vise à communiquer une vision synthétique
de l’histoire de la révélation et de la réflexion humaine et spirituelle qu’elle a
entraînée. Chaque cours pourrait justifier le travail d’une vie entière, et plus encore,
mais ce qui est recherché n’est pas une connaissance exhaustive et impossible, mais une
connaissance globale, nécessairement rapide et incomplète, mais équilibrée et
organique. Il ne s’agit pas de se spécialiser dès les premières années mais tout au
contraire de chercher une vue générale qui permettre de situer les matières les unes par
rapport aux autres et les questions dans leur contexte global. Le master en revanche est
le moment où l’on peut approfondir une question en se spécialisant lors de la rédaction
du mémoire de deuxième année. Le Phd (doctorat) ouvre sur la recherche pointue en
vue d’une publication et d’un enseignement universitaire.
Un théologien doit être capable d’analyse et de logique, de raisonnement critique et de
clarté dans l’argumentation. Il doit savoir s’exprimer de manière convaincante à l’écrit
comme à l’oral. Ces facultés peuvent avoir été cultivées dans une formation
universitaire antérieure. Réciproquement, l’étude de la théologie peut permettre
d’aborder, à nouveaux frais, des questions qui se posent dans la profession du nouvel
étudiant, au plan éthique et anthropologique, au plan historique et social... Un
dialogue s’établit ainsi entre disciplines permettant cette véritable trans-disciplinarité
que souhaite le pape François pour les universités (Veritatis Gaudium 4, c).
Des masters et des doctorats de recherche pluridisciplinaires fournissent un apport
théorique et pratique très pertinent.

TRANS-DISCIPLINARITÉ ET TRANS-
CULTURALITÉ
L’université Domuni privilégie cette
trans-disciplinarité au sein de ses
différentes facultés. L’université
Domuni souhaite aussi que s’établissse
une trans-culturalité, le dialogue entre
les cultures. Les facultés
sont multilingues et les étudiants
peuvent dialoguer, par voie de forum,
en des langues vivantes différentes. A
la mondialisation de l’économie doit
correspondre une mondialisation de
la morale et de la pensée.
L’enseignement à distance, par le biais d’Internet, est une voie privilégiée pour y
parvenir, avec de grands résultats tout en utilisant des moyens économiquement limités.
La faculté de théologie permet cet échange entre étudiants et entre professeurs, entre les
disciplines et aussi entre les cultures linguistiques. Les forums sont accessibles à tous,
en différentes langues, les bibliographies sont mises en commun, les publications aussi.

DÉBOUCHÉS POTENTIELS D'UN DIPLÔME DE


THÉOLOGIE
Après une licence théologie, il est possible, en certains pays comme la Belgique ou la
Suisse, d'accéder aux métiers de l'enseignement et de l’éducation. Mais il est aussi
possible de rejoindre d’autres filières professionnelles, du fait même que l’université
Domuni conduit aux diplômes nationaux de l’Etat français en théologie. Il est
possible de se présenter aux concours administratifs, de travailler dans l’édition, de
devenir journaliste. Une bonne formation théologique peut être appréciée dans un
diocèse pour la formation des formateurs, en catéchisme par exemple.

UN GRAND NOMBRE DE COURS DISPONIBLES


EN THÉOLOGIE
L’université Domuni bénéficie d’un réseau de professeurs et d’instituts d’études
partenaires, très étendu. Il va de l’Ecole Biblique et Archéologique de
Jérusalem à l'université catholique deLouvain en passant par l'université de
Fribourg, Rome, Madrid, Cambridge, Bogota, Washington, Johannesburg… Plus de
six cents cours sont ainsi proposés, sur des sujets très variés. Ils ont permis d’organiser
les trois années de licence (bachelor) de théologie, de proposer différents parcours
spécialisés de master et de permettre de préparer une thèse de doctorat sur un sujet
parfois très spécialisé. Mais ces enseignements sont aussi accessibles séparément pour
tout un chacun. Sous l’onglet « diplôme » un menu déroulant indique « cours à la
carte ». On peut y sélectionner les enseignements suivant les disciplines, ou les
sélectionner par titres.
Pour la Bible, on écrira par exemple : Ancien Testament, Nouveau Testament, Genèse,
Psaume, épître, Apocalypse… De très nombreux cours de patristique présentent les
Pères de l’Eglise, depuis les pères du désert jusqu’à saint Bernard en passant par les
Cappadociens et Augustin, ce qui permet de présenter les controverses
christologiques entre les patriarches d’Antioche, Alexandrie et Constantinople, ainsi
que l’élaboration progressive du dogme trinitaire au cours des grands conciles
œcuméniques. Pour la théologie doctrinale, on cherchera : Trinité, Christologie, Jésus-
Christ, Messie, Esprit Saint, Ecclésiologie, Sacrements, mais aussi, pour entrer plus en
détail, baptême, eucharistie, confession, liturgie, Vatican II. Pour la théologie morale,
on pourra trouver de nombreuses approches en choisissant les cours sur les fondements
de l’éthique et sur l’anthropologie ou, de manière plus spécialisée, sur la bioéthique ou
la doctrine sociale de l’Eglise.
Plusieurs cours sont proposés en eschatologie, pour aborder les questions de l’au-delà
de la mort, du purgatoire, de l’enfer et du paradis, où sont développées en particulier
les documents du magistère comme les thèses du cardinal Ratzinger, futur pape Benoît
XVI. Les cours, pour la plupart, ont déjà été enseignés dans des centres d’études, des
universités ou des instituts catholiques, en présentiel. Ils portent sur tous les domaines
de la foi catholique, depuis la présentation générale des Saintes Ecritures, l’exégèse et
l’herméneutique des textes bibliques, jusqu’au Droit Canon, avec l’étude des
institutions religieuses, la place du clergé et des différentes structures pastorales,
paroissiales et diocésaines sans oublier l’œcuménisme, l’histoire de l’Eglise catholique
mais aussi des églises orthodoxes et des églises protestantes, dans leurs relations
tumultueuses au long des siècles, depuis Luther et Calvin.
DES COURS DE THÉOLOGIE SUR DES SUJETS
D'ACTUALITÉ
L’étude de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, en France, est aussi l’occasion de
développer une réflexion sur la liberté religieuse dans une société laïque et sécularisée.
En Amérique Latine, une présentation de l’histoire de la théologie de la libération et
du développement des mouvements évangélistes et pentecôtistes conduit à s’interroger
sur les chemins de la diffusion de l’évangile et de la prédication de la foi chrétienne
dans un contexte missionnaire. Une étude œcuménique des ministères ecclésiaux est
proposée. La hiérarchie de l’Eglise catholique est présentée, avec les
différents ministères ordonnés, diacres, prêtres, vicaires et doyens, évêques et
archevêques, cardinaux mais aussi les ministères institués, réalisés par des laïcs pour
bien des services pastoraux depuis les préparations sacramentelles jusqu’aux
aumôneries, l’organisation des obsèques et l’enseignement du catéchisme.

UN EXPÉRIENCE INTELLECTUELLE ET
SPIRITUELLE
La question du dialogue interreligieux est d’actualité. Elle suppose une bonne
connaissance de l’histoire des religions mais aussi un approfondissement
philosophique sur le fait religieux. Une introduction au judaïsme est proposée ainsi qu’à
l’hindouisme, au bouddhisme, au Coran et à l’Islam. Plusieurs thèmes sont abordés
dans une perspective œcuménique où la parole est donnée à des pasteurs protestants
et à des théologiens orthodoxes pour que soient présentés conjointement le point de vue
doctrinal-ecclésial de l’Eglise catholique romaine, celui de l’orthodoxie et celui du
protestantisme. Entrer en théologie n’est pas seulement s’imprégner d’une tradition
intellectuelle, ni même seulement se préparer à la vie pastorale, c’est aussi un
engagement existentiel qui va bien au-delà de la simple piété : une participation au
souffle prophétique de Jésus de Nazareth et à sa résurrection. Quatre cours
sur l’expérience de Dieu, et bien d’autres de spiritualité, permettent d’illustrer les
différentes manières d’être croyant, de situer les différentes vocations, les ordres
(bénédictins, dominicains, franciscains, carmes…), les jésuites, les instituts religieux et
les congrégations, la vie contemplative et la vie apostolique, bref la vie mystique en ses
charismes multiples et variés. Des journées d’études sont organisées à Paris, Bruxelles
et Genève afin qu’étudiants et professeurs puissent régulièrement se rencontrer.

ADMISSION
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DIPLÔMES

 Licence de théologie
 Master de théologie
 Master de théologie 2 (spécialité dogmatique)
 Master de théologie 2 (spécialité bible)
 Master de théologie 2 (spécialité œcuménisme et religion)
 Master de théologie 2 (spécialité éthique)
 Master de théologie 2 (spécialité histoire du christianisme)
 Master de théologie 2 (spécialité pastorale)
 Doctorat de théologie 1
 Doctorat de théologie 2
 Doctorat de théologie 3

COÛT DE LA FORMATION
Cursus LMD : 4500 €

Cours accompagnés : 150 €

Droits universitaires

PLAN D’ÉTUDE – 180 Crédits


LA BIBLE, UNE LECTURE SPIRITUELLE

IN046 Sans écraser le lecteur par l’érudition, l’ambition de ce cours est, de


communiquer le goût de la Parole biblique et d’en donner les principales clés
pour une lecture savoureuse et nourrissante, pour une lecture spirituelle.
Crédits ECTS: 6
Professeur : Michel Van Aerde O.P.
Jean-Luc Vesco O.P.

DESCRIPTION :
Combien de personnes tentent de lire la Bible, commencent par les premiers
chapitres de la Genèse et abandonnent plus ou moins rapidement sans être
parvenus à entrer vraiment dans « Le » livre ? Combien de groupes de
chrétiens bien intentionnés qui se réunissent pour un « partage d’évangile » et
qui se trouvent plus ou moins déçus parce que le passage qu’ils ont choisi ne
rejoint pas vraiment leurs préoccupations immédiates et ne répond pas
directement à leurs questions ? Combien d’étudiants en théologie sont rebutés
par l’exégèse scientifiques parce qu’ils n’ont pas accès à la saveur du message
spirituel de la Bible ? Combien d’auditeurs d’homélies moralisatrices s’ennuient
parce que le sens spirituel ou théologique n’est pas présenté ?

OBJECTIFS :
 Faire découvrir non seulement la Bible, mais surtout le message humain
et spirituel biblique.
 Montrer comment le Nouveau Testament utilise l’Ancien Testament pour
exprimer la foi chrétienne.
 Présenter les quatre sens traditionnels de certains passages de la Bible
(littéral, spirituel, moral, anagogique)
 Expliquer comment on peut voir les figures du Christ présentes dans
certains personnages de l'Ancien Testament.
 Aborder l'exégèse scientifique sans craindre sa technicité car l'on a
perçu l'essentiel du message.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
A la fin de ce cours, les étudiant.e.s auront :

 Disposer des outils nécessaires pour entrer dans une culture biblique
développée
 Pouvoir montrer comment le Nouveau Testament est une relecture de
l’Ancien.
 Une bonne connaissance d’une lecture savoureuse de la Bible
 D’excellentes bases pour poursuivre leur cursus

 Avoir confiance dans sa propre lecture, sa compréhension et son


analyse des textes dans le cadre d’autres cours ou projets.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un quizz de synthèse
 Un devoir écrit (5 pages) en traitant un sujet au choix parmi ceux
proposés.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

PLAN DÉTAILLÉ

Etape 1. Emmaüs, Jésus interprète les Ecritures - quelles furent les explications
de Jésus ?
Etape 2. Couper les cheveux en quatre : lecture juive des Ecritures juives
Etape 3. Lecture chrétienne des Ecritures juives
Etape 4. Illustration, homélie d’Origène sur la prise de Jéricho
Etape 5. Lecture polyphonique du Nouveau Testament
Etape 6. David, le plus petit - David, figure du Christ
Etape 7. David menacé
Etape 8. David, roi
Etape 9. Salomon Figure de Jésus-Christ
Etape 10. Salomon et le salut
Etape 11. "N'ayez pas peur !" Méditation des récits de la tempête apaisée et de
la marche sur les eaux.

BIBLIOGRAPHIE

- AUZOU, Georges, « La Parole de Dieu » – approches du mystère des saintes


écritures », Coll. « connaissance de la Bible », n°1, éditions de l’orante, Paris,
1956
- BAUBEROT, Jean et alii, « Le Christianisme » - présenté par Jean Delumeau,
Coll. « Le fait religieux », éd. Fayard, Paris, 2004
- BEAUCHAMP, Paul sj, « Parler d’Écritures saintes », Ed. Le Seuil, Paris 1987
(119 pages)
- BIANCHI, Enzo, « Prier la Parole » - une introduction à la « Lectio divina, Coll.
Vie monastique n° 15, Ed. Abbaye Bellefontaine, 1983 (108 pages)
- BIANCHI, Enzo, « Écouter la Parole » - les enjeux de la Lectio Divin, Coll. « le
livre et le rouleau », éditions Lessius, Bruxelles 2006
- CHARPENTIER, Etienne, « Pour lire l’Ancien Testament », et « Pour lire le
Nouveau Testament », éd, Le Cerf, Paris 1980 et 1982
- COTHENET, Edouard et alii, Collectif, “Parole de Dieu et exégèse”, Coll.
Cahiers Evangile n° 74, éd. Le Cerf, Paris 1991 (65 pages)
- DUCHESNEAU, Claude, Revue du CNPL/ Tome n°1 « Proclamer la Parole »
(pp 7-14), éd. Le Cerf, Paris 1999
- GUILLET, Jacques sj, « Dieu parle à l’Homme ».Coll. « Chemins ouverts »,
éd. Desclée de Brouwer, Paris 1994 (124 pages)
- GUILLET, Jacques sj, « Habiter les Ecritures », éd. Le Centurion, Paris 1993
(345 pages)
- LUBAC, Henri de sj, « Exégèse médiévale – les quatre sens de l’Écriture »
(1ère et 2ème partie) Coll. « Théologie » n° 41/ quatre volumes brochés, éd.
Aubier, Paris 1959
- NEHER, André, « L’exil de la Parole » - du silence biblique au silence
d’Auschwitz., éd. Le Seuil, Paris 1970 (259 pages)
- PAUL, André, “Le fait biblique”. Coll. Lectio Divina n° 100, éd. Le Cerf, Paris
1979 (223 pages)
- SABBAH, Michel. (Mgr), « Lire et vivre la Bible au pays de la Bible
aujourd’hui », Lettre pastorale Novembre 1993 (n°4), Imprimerie du Patriarcat
catholique de Jérusalem, (67 pages)
- SCHNIEDEWIND, William M, « Comment la Bible est devenue un livre », éd.
Bayard, Paris 2004 – (249 pages)
- SEMMELROTH, Otto sj, “Parole efficace”, Coll. “in domo Domini”, éd. Saint
Paul, Paris 1963 (244 pages)B. Articles et revues
C. Revue théologique internationale « Communio »
D. Autres documents de travail

INTRODUCTION THÉOLOGIQUE À LA LECTURE DE LA


BIBLE

IN144 Il est question de l’inspiration, de l’histoire du salut, du statut des


prophètes et des sages, du rapport entre l’Ancien et le Nouveau Testament.
Une question fondamentale est posée, celle de la révélation
Crédits ECTS: 6
Professeur : Jean Michel Maldamé O.P
PRÉSENTATION
Comme l’indique son titre, le cours qui suit est une introduction. Il s’adresse à
des étudiants qui commencent leur formation en théologie. Ce commencement
est adapté à deux types d’approche. Il convient à des jeunes en âge de la
première formation ou de personnes d’expérience désireuses d’une réflexion
mûrie par l’expérience.
Il s’agit d’une introduction théologique qui entend expliciter ce qui est dit de Dieu
dans la Bible présentée par les croyants comme livre inspiré.
L’intitulé du cours précise aussi que cette introduction est théologique. Le terme
« théologie » est entendu dans le sens qu’il a pris dans la tradition chrétienne,
d’intelligence de la foi développée dans une démarche conduite en raison. Il se
distingue donc de l’histoire des religions qui reste au plan des sciences
humaines. Il entend en effet expliciter ce qui est dit de Dieu dans la Bible
présentée par les croyants comme livre inspiré. Le caractère théologique du
cours se distingue aussi de ce que l’on appelle « exégèse », étude rigoureuse du
texte et des traditions ou cultures présentes dans la Bible. Le cours n’en ignore
pas l’importance, au contraire, il entend en montrer la nécessité ; mais conscient
de la spécificité de cette démarche, il reste à distance des débats et des
conclusions sur lesquelles les spécialistes divergent. Il prend comme point
d’appui dans ses analyses ce qui fait l’unanimité des spécialistes. Il montrera
comment le sens littéral dégagé par l’exégèse est ouvert sur la lecture spirituelle
de l’Écriture en ses divers modes.
Les questions posées sont donc spécifiquement théologiques. Il sera donc
question de l’inspiration, de l’histoire du salut, du statut des prophètes et des
sages, du rapport entre l’Ancien et le Nouveau Testament. Une question
fondamentale est posée, celle de la révélation : quel visage de Dieu paraît dans
la Bible et quelle conséquence cette reconnaissance a-t-elle sur la lecture du
texte.
Enfin, le cours d’introduction se veut une invitation à lire le texte de manière
rigoureuse. Il n’est pas un guide de lecture, composé de manière scolaire, car il
invite à comprendre les raisons et les motivations d’une lecture qui nourrit l’esprit
et le cœur et permet de vivre dans la lumière » qui éclaire tout homme venant en
ce monde » et dans la ferveur de l’Esprit d’amour.

OBJECTIFS :
 Montrer comment le caractère théologique du cours se distingue de ce
que l’on appelle « exégèse », étude rigoureuse du texte et des traditions
ou cultures présentes dans la Bible.
 Présenter les notions d’inspiration, d’histoire du salut,
 Présenter le statut des prophètes et des sages,
 Expliquer le rapport entre l’Ancien et le Nouveau Testament.
 Répondre à la question fondamentale qui se pose avec celle de la
révélation : quel visage de Dieu paraît dans la Bible et quelle
conséquence cette reconnaissance a-t-elle sur la lecture du texte.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Avoir compris les raisons et les motivations d’une lecture qui nourrit
l’esprit et le cœur.
 Pouvoir distinguer un prophète d’un sage, dans la Bible.
 Pouvoir expliquer la théorie de l’inspiration
 Pouvoir montrer le rapport du Nouveau Testament à l’Ancien.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un quizz de synthèse
 Un devoir écrit (5 pages) en traitant un sujet au choix parmi ceux
proposés.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

PLAN DU COURS
INTRODUCTION AU COURS

ÉTAPE I. INVITATION À LA LECTURE

 1. Ouvrir le Livre
 2. Le malheur d’une ignorance

ÉTAPE II. PREMIER REGARD SUR LA BIBLE

 1. La singularité de la Bible
 2. Unité du livre
 3. Inscription dans l’histoire
 4. La Bible et la vérité
 Conclusion

ÉTAPE III. AU PÉRIL DE LA SCIENCE

 1. Histoire d’un conflit


 2. La Tradition de l’Église
 3. L’inspiration de l’Écriture
 Conclusion

ÉTAPE IV. QUELLE HISTOIRE SAINTE ?

 1. Le Dieu des pères, le Dieu un


 2. L’exil et le royaume
 3. Alliance et élection
 Conclusion

ÉTAPE V. DE L’ÉVANGILE AUX ÉVANGILES

 1. Les faits et leur interprétation


 2. Une solution rigoureuse
 3. La Tradition apostolique
 Conclusion

ÉTAPE VI. L’ACCOMPLISSEMENT DES ÉCRITURES

 1. L’obéissance qui rend libre


 2. Un choix résolu
 3. La nouveauté de l’Alliance
 4. La nouvelle alliance
 Conclusion

ETAPE VII. VISION D’AVENIR

 1. La venue du Règne de Dieu


 2. L’épreuve et le feu
 3. Une histoire d’amour

CONCLUSION
POUR FINIR

 1. Pourquoi ?
 2. Comment ?

BIBLIOGRAPHIE
1 – UNE BIBLE COMPLÈTE, AVEC DES INTRODUCTIONS AUX
DIFFÉRENTS LIVRES BIBLIQUES, ET DES NOTES DE LECTURE
(ATTENTION AUX ÉDITIONS MINEURES OU DE POCHE, PRATIQUES MAIS
SANS NOTES).
 “LA BIBLE DE JÉRUSALEM” (BJ; EDITIONS DU CERF).
CERTAINEMENT LA MEILLEURE EN CE QUI CONCERNE LES
NOTES DE LECTURE ET LES MULTIPLES RÉFÉRENCES QU’ELLE
PROPOSE POUR AIDER LA COMPRÉHENSION DE TEL TEXTE
BIBLIQUE PAR D’AUTRES TEXTES BIBLIQUES
 “LA TRADUCTION OEUCUMÉNIQUE DE LA BIBLE” (TOB ;
EDITIONS DU CERF ET SOCIÉTÉ BIBLIQUE FRANÇAISE),
RÉALISÉE PAR DES SPÉCIALISTES PROTESTANTS ET
CATHOLIQUES.
 “LA BIBLE DES PEUPLES” (HACHETTE), UNE TRADUCTION ET
DES NOTES VOLONTAIREMENT SIMPLIFIÉES POUR PERMETTRE
LE MEILLEUR ACCÈS POSSIBLE AUX TEXTES BIBLIQUES.
2 – QUELQUES OUTILS :
 LE “VOCABULAIRE DE THÉOLOGIE BIBLIQUE” (CERF) : DE
NOMBREUX ARTICLES SUR DES NOTIONS BIBLIQUES
IMPORTANTES, AVEC À CHAQUE FOIS UNE PARTIE CONSACRÉE
À L’AT, UNE AUTRE AU NT. DE NOMBREUSES RÉFÉRENCES
SONT DONNÉES.
 “LA BIBLE”, PAR ANDRÉ PAUL (COLLECTION REPÈRES
PRATIQUES ; NATHAN). CLAIR ET TRÈS BIEN PRÉSENTÉ AVEC 5
PARTIES: BIBLE ET BIBLES ; HISTOIRE ; AT ; NT ; TEXTES ;
INTERPRÉTATIONS.
 “POUR LIRE LA BIBLE”, J.-P. BAGOT; J.-CL. DUBS.
 “POUR LIRE L’ANCIEN TESTAMENT”; “POUR LIRE LE NT”,
D’ETIENNE CHARPENTIER (CERF).
 « LES EVANGILES, TEXTES ET COMMENTAIRES » (BAYARD
COMPACT) : QUATRE COMMENTAIRES PARTICULIÈREMENT
CLAIRS ET ACCESSIBLES RÉUNIS EN UN SEUL VOLUME
(L’EVANGILE DE MATTHIEU, PAR CLAUDE TASSIN ; L’EVANGILE
DE MARC, PAR JACQUES HERVIEUX ; L’EVANGILE DE LUC, PAR
HUGUES COUSIN ; L’EVANGILE DE JEAN, PAR ALAIN
MARCHADOUR).
 A NOTER ÉGALEMENT LA COLLECTION “TOUT SIMPLEMENT”
(EDITIONS DE L’ATELIER) OÙ CHAQUE VOLUME EST CONSACRÉ
À UN THÈME : “SAINT PAUL” PAR PAUL BONY, “JÉSUS-CHRIST”,
PAR Y. CHABERT ET R. PHILIBERT ; “L’EGLISE” PAR H. DANET ET
C. ROYON ; “LA MESSE” PAR R. CABIÉ ; “LE PEUPLE DE LA
BIBLE”, PAR G. SINDT ; “LES MIRACLES” PAR C. PERROT…
 LES “CAHIERS EVANGILES” (EDITIONS DU CERF), 60-70 PAGES
CONSACRÉES À UN THÈME, UN LIVRE BIBLIQUE… PLUS DE 160
NUMÉROS SONT DÉJÀ PARUS…
 “LECTURES BIBLIQUES, AUX SOURCES DE LA CULTURE
OCCIDENTALE” D’ANNE-MARIE PELLETIER (CERF) : DE TRÈS
BONNES ÉTUDES DE TEXTES BIBLIQUES IMPORTANTS.

INTRODUCTION AU NOUVEAU TESTAMENT


BB021 Une Parole à aimer et à prêcher… mais aussi à scruter pour la
comprendre ! Si aujourd’hui nous ne pouvons plus exercer une lecture du
Nouveau Testament au premier degré, encore faut-il prendre les moyens de ne
pas en rester là. Ce cours introduit au Nouveau Testament grâce à l’exégèse.
Crédits ECTS: 6
Professeur : Bruno Callebaut

DESCRIPTION :
Une Parole à aimer et à prêcher… mais aussi à scruter pour la comprendre !
Si aujourd’hui nous ne pouvons plus exercer une lecture du Nouveau Testament
au premier degré, encore faut-il prendre les moyens de ne pas en rester là. Ce
cours introduit au Nouveau Testament grâce à l’exégèse.

OBJECTIFS :
 Présenter l’ensemble du Nouveau Testament dans son contexte
historique et un aperçu des livres qu’il rassemble.
 Introduire à la démarche exégétique en présentant le Nouveau Testament.
 Faire comprendre les enjeux d’une science humaine et théologique telle
qu’est l’exégèse.
 Initier à la critique textuelle, à l’étude des textes grâce aux différentes
approches littéraires, historiques, linguistiques ou encore culturelles.
 Donner des clés de lecture dans une approche croyante la mieux informée
possible.
 Permettre, face au flot continu de livres de vulgarisation, de se repérer par
une information de qualité sur Jésus et la foi de la première Eglise.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Être initié à l’exégèse biblique et en comprendre les enjeux.
 Pouvoir interpréter un texte par différentes approches exégétiques.
 Avoir acquis les clés de lecture essentielles pour le Nouveau Testament.
 Pouvoir expliquer ce qu’est « le canon des Ecritures », son origine, son
intérêt.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un quizz de vingt questions sur le contenu du cours
 Un devoir écrit (5 pages) en traitant un sujet au choix parmi une liste
proposée
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
 AUNEAU J. e. a., Evangiles synoptiques et Actes des Apôtres (Petite
Bibl. des Sciences Bibliques,NT 4), Paris, DDB, 1981.
 BROWN R.E., Que sait-on du Nouveau Testament ?, Paris, Bayard, 2000.
 CHARPENTIER E., BRUNET Régis, Pour lire le Nouveau Testament,
Paris, Cerf, 2006.
 MARGUERAT D.(Ed.), Introduction au Nouveau Testament. Son histoire,
son écriture, sa théologie, Labor et Fides, 2000.
 ROBERT A., FEUILLET A., Introduction à la Bible, t. III, Nouveau
Testament, Paris, Cerf.

Niveau du cours
Premier cycle universitaire, licence de théologie

SOMMAIRE
INTRODUCTION : POURQUOI L’EXEGESE DU NT ?

CHAPITRE 1. APPROCHES TEXTUELLES


1.1.Traductions
1.2.Du Grec
1.3.Un texte reconstruit
1.4. Lieux variants importants (souvent christologiques)

CHAPITRE 2. ELEMENTS DE CRITIQUE TEXTUELLE


2.1. Quel est le fonctionnement de la critique textuelle ?
2.2. Quels documents a-t-on actuellement ?
2.3. La critique verbale
2.4. La critique interne (dans ses grands principes !)

CHAPITRE 3. QUELQUES NOTIONS HISTORIQUES


3.1. Situation du monde de la Bible à l’époque de Jésus
3.2. Situation du Judaïsme

CHAPITRE 4. LE PROJET "EVANGILE"


4.1. Le point de départ : origines, chronologies…comment bien lire ?
4.2. Le genre "évangile" et son origine
4.3. Les traditions repérables dans les Evangiles
4.4. Les milieux de vie, les matières et les contextes
4.5. Exemples du "Sitz im Leben" des textes

 4.5.1. Milieu liturgique


 4.5.2. Milieu catéchétique
 4 5.3. Milieu missionnaire

4.6. Les évangiles et le Jésus historique : conclusions (provisoires)

CHAPITRE 5. LA QUESTION SYNOPTIQUE


5.1. La comparaison synoptique

 5.1.1. Matières
 5.1.2. Ordonnance
 5.1.3. Concordance littéraire

5.2. Conclusions : les hypothèses sur la question synoptique Problèmes !

CHAPITRE 6. LES GENRES LITTERAIRES. LA MISE PAR ÉCRIT


6.1. Les unités littéraires pré-synoptiques

 6.1.1. Les sentences et logia


 6.1.2. Les récits
 6.1.3. Spécificité de Jean

6.2. Distinctions des genres littéraires

 6.2.1. Matière des Paroles d’enseignement


 6.2.2. Paroles d’enseignement dans un récit ("sentence encadrée")
 6.2.3. Récits

6.3. Bilans

CHAPITRE 7. LES QUATRE EVANGILES : APERCUS


7.1.Les auteurs
7.2. Les datations
7.3. Le milieu de vie ; les destinataires
7.4. Le style
7.5. La matière
7.6. Particularités de Jean

CHAPITRE 8. LES ACTES DES APOTRES


Quelques aspects techniques
CHAPITRE 9. LE CORPUS DES LETTRES
9.1. Eléments du corpus des lettres et épîtres
9.2. Le genre épistolaire
9.3. Problèmes particuliers du corpus

 9.3.1. Notations générales


 9.3.2. Les auteurs

9.4. Les thèmes


9.5. Quelques données sur Paul
9.6. Un aperçu de Hébreux et des Epîtres Catholiques

CHAPITRE 10. L’APOCALYPSE. PETITE INTRODUCTION


10.1. Le Genre
10.2. Contexte et message
10.3. Moyens

CHAPITRE 11. LA LITTERATURE APOCRYPHE


11.1. Définitions
11.2. Genres
11.3. Motivations
11.4. Intérêt de cette littérature apocryphe

CHAPITRE 12. LE CANON DES ECRITURES

INTRODUCTION À LA PHILOSOPHIE

PHIL020 Le cours ici présenté est un cours d’initiation. On n’entre pas en philosophie
comme dans un musée, mais comme dans un chantier...
Crédits ECTS: 6
Professeur : Jean Michel Maldamé O.P
Augustin Wiliwoli, O.P.

DESCRIPTION :
Le cours ici présenté est un cours d’initiation à la philosophie comme pratique, à travers
un apprentissage participatif. Au-delà de la lecture simple du cours, une série
d’exercices visant le développement d’une réflexion personnelle sont proposés. En
particulier, la philosophie suppose un entraînement qui passe par le travail de rédaction.

OBJECTIFS DU COURS
1° PROPOSER DES EXERCICES POUR ENTRER EN PHILOSOPHIE
Le cours ici présenté est un cours d'initiation. On n'entre pas en philosophie comme
dans un musée, mais comme dans un chantier. Dans un musée, on vous demande de
regarder une oeuvre achevée et de vous laisser porter. Dans un chantier on vous
demande aussi de regarder de vous laisser porter par ce qui a été fait, mais on vous
demande encore de prendre part et de porter votre contribution à l'édifice qui se bâtit.
Puisqu’il s’agit d’un chantier, il est proposé aux étudiants de participer. Il ne suffit pas
de lire les pages du cours, il faut faire les exercices proposés. Ils permettent une
réflexion personnelle. Ils doivent être faits au fur et à mesure du déroulement du cours.
En particulier, il ne faut pas lire le cours en ayant omis de faire le travail écrit demandé.

2° APPRENDRE À RÉDIGER DES FICHES, DES ANALYSES, DES


COMMENTAIRES.
La philosophie suppose un entraînement qui passe par le travail de rédaction. Il faut
donc faire des fiches avec les termes et les auteurs rencontrés. Il faut aussi écrire les
analyses et les commentaires demandés. Pour que ce travail soit fructueux, il faut garder
ces textes écrits et ensuite revenir, pour compléter et les amender.

ACQUIS DE L’APPRENTISSAGE :
1° Etre doté d’instruments de travail
Constitution d’un fichier : fichier des noms, des notions et des auteurs.
2° Avoir acquis des méthodes de travail
Même si la philosophie suppose une vision globale des choses et donc n’impose pas une
entrée unique et exclusive, il faut suivre un ordre qui permet d’enrichir peu à peu les
connaissances et les méthodes de travail.
3° Connaître un certain nombre de notions philosophiques fondamentales, savoir
réfléchir sur la connaissance et les éléments qui sont nécessaires à une bonne
connaissance dépourvue d’erreurs.
4° Pouvoir parler de l’homme, de sa pensée et des questions liées à l’activité humaine :
la pensée et l’action.
5° Savoir présenter l’homme et sa place dans le monde. A partir de quelques
connaissances scientifiques, parler de l’homme et de sa position particulière dans le
monde et parmi les vivants.
6° Pouvoir aborder des questions difficiles comme celle de Dieu et celle du mal.
Présenter le concept de Dieu, tel que les philosophes le présentent et y opposer la
question du mal.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un quizz en temps limité à la fin des séquences
Un devoir : un commentaire critique de texte philosophique
Un examen en présentiel à la fin du semestre

BIBLIOGRAPHIE :
L’étudiant.e est invité à utiliser un dictionnaire ou un livre scolaire de philosophie, voire
une encyclopédie, pour prolonger ses références.

 Jacques Maritain Eléments de philosophie, tomes 1 et 2,


 Gardeil La philosophie de saint Thomas d'Aquin.

PLAN DU COURS

PREMIÈRE SÉQUENCE : CONNAÎTRE

 Première leçon : écouter-voir-percevoir

 Deuxième leçon : imaginer et abstraire.

DEUXIÈME SÉQUENCE : PENSER ET AGIR

 Troisième leçon : Raisonner et juger

 Quatrième leçon : agir

TROISIÈME SÉQUENCE : LE MONDE

 Cinquième leçon : le cosmos.

 Sixième leçon : l’être vivant

QUATRIÈME SÉQUENCE : L’HOMME

 Septième leçon : l’amour


 Huitième leçon : la personne humaine.

CINQUIÈME SÉQUENCE : DIEU EN PHILOSOPHIE

 Neuvième leçon : Le Dieu des philosophes et des savants.

 Dixième leçon : Dieu sensible au cœur

SIXIÈME SÉQUENCE : LE MYSTÈRE

 Onzième leçon : l’expérience mystique.

 Douzième leçon : Le mal et le salut

REPRISE SYNTHÉTIQUE DU PARCOURS


AVEC SUIVI ET VALIDATION
Frais d'inscription :
150,00 €
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EN AUTO-FORMATION
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50,00 €
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LA PHILOSOPHIE EN SES COMMENCEMENTS (LES


PRÉSOCRATIQUES)

IN015 C’est une véritable initiation à la philosophie qui se trouve dans ce


cours qui présente aussi les premiers philosophes.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Michel Van Aerde O.P.
DESCRIPTION :
C’est une véritable initiation à la philosophie qui se trouve dans ce cours,
suivant historiquement l'évolution de la pensée depuis les tout premiers
philosophes qui commencent à s'abstraire d'une pensée mythique et poétique,
jusqu'à Platon, avec qui se fait le grand saut. Notre méthode pédagogique est
de donner accès le plus possible aux textes eux-mêmes, donnant un contact
direct avec l'auteur, réduisant au maximum l'écran des commentaires.

OBJECTIFS :
 Entrer dans la culture philosophique à partir des premiers pas
historiques, en suivant l'éclosion de la pensée rationnelle.
 Entrer dans la démarche philosophique et, comme un nageur qui
reprendrait pied, s'appuyer sur le contact direct avec les textes
fondateurs, pour l'expression de sa propre réflexion
 Mettre ses pas dans les pas des premiers philosophes.
 Passer progressivement d'une représentation mythique et poétique du
monde et de la vie, à une recherche de la vérité qui s'appuie
essentiellement sur la raison humaine.

ACQUIS DE L'APPRENTISSAGE :
A la fin de ce cours, les étudiant.e.s auront :

 Savoir rendre compte de l'évolution de la pensée rationnelle, depuis les


tout premiers philosophes, jusqu'à Platon.
 Connaître les textes fondateurs, donnant un contact direct avec leurs
auteurs, en réduisant au maximum l'écran des commentaires.
 Percevoir la diversité des écoles philosophiques, dès l’origine de la
pensée rationnelle.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un quizz de synthèse,
 Une rédaction philosophique (5 pages) en traitant un sujet au choix
parmi ceux proposés.
 Un examen à la fin du trimestre.

BIBLIOGRAPHIE
 Les présocratiques Bibliothèque de la Pléiade, n° 345. Trad. du grec
ancien par Daniel Delattre, Jean-Paul Dumont et Jean-Louis Poirier.
Édition de Jean-Paul Dumont avec la collaboration de Daniel Delattre et
Jean-Louis Poirier.
 Jacques Maritain Eléments de philosophie, tomes 1 et 2,
 Gardeil La philosophie de saint Thomas d'Aquin.
 L’œuvre de Platon, coll. La Pleïade, traduction et notes par Léon Robin,
Gallimard,1959

SOMMAIRE GÉNÉRAL
10 étapes :

 Présentation

1. Sensibilisation
2. Les présocratiques
3. Les présocratiques (suite)
4. Socrate (469-399)
5. Platon (427- 347)
6. La pensée de Platon
7. Les articulations de la philosophie platonicienne
8. Questions de vie
9. Le Banquet discours sur l’amour !
10. Le Banquet (suite)

Plan détaillé ci-dessous

PLAN DÉTAILLÉ
1er cours : SENSIBILISATION
1. Etat de la question. (Status quaestionis)
2. Quelle idée vous faites-vous de ce qu’est la philosophie ?
3. Que veut dire le mot philo-sophie ?
4. A quoi s’intéresse plus particulièrement la philosophie grecque ?
5. Pourquoi les frères prêcheurs s’intéressent-ils à la philosophie ?
6. Entrons dans la démarche philosophique (au sens grec du mot) :
7. Une boussole pour naviguer sur l’océan
2ème cours : LES PRESOCRATIQUES
Introduction : « Préhistoriens » de la philosophie
1. Une œuvre faite de fragments disparates
2. Un mode de pensée nouveau
3. Les principaux courants
3ème cours : LES PRESOCRATIQUES (suite)
1. Les principaux courants : Les « physiciens » d’Ionie (suite)
2. Les principaux courants : Les pythagoriciens d’Italie
3. Les principaux courants : L’école italienne d’Élée
4. Les principaux courants : Les sophistes
4ème cours : SOCRATE (469-399)
Travail préalable :
La passion de Socrate :
1. Un point de vue latino américain
2. La vie de Socrate 469-399
3. Qui est le père et qui est le fils : Socrate ou Platon ?
5ème cours : PLATON (427- 347)
1. Sa vie
2. Portrait de Platon par Jean Guitton
3. Platon et Dieu
4. L’œuvre
6ème cours La pensée de Platon
1. Une pensée qui mûrit progressivement
2. Deux questions fondamentales
3. Un système toujours d’actualité, en dépit des apparences
4. La première théorie de la connaissance
7ème cours Les articulations de la philosophie platonicienne
1. La Métaphysique et la théorie de la connaissance chez Platon
2. La cosmologie et la psychologie

3. La philosophie morale
8ème cours Questions de vie
1. Le but de la vie humaine
2. L’immortalité, le mal dans le monde, l’amour d’autrui et de soi
9ème cours LE BANQUET discours sur l’amour !
1. Présentation du dialogue
2. Le texte
10ème cours LE BANQUET (suite)
Discours de Socrate

PLATON, UNE MANIÈRE DE VIVRE


PHIL001 Selon Whitehead, l'ensemble de la philosophie n'est que quelques
lignes au bas d'un Dialogue de Platon. Celui-ci est, en effet, le fondateur de la
philosophie, d'un type de réflexion qui demeure toujours.
Crédits ECTS: 6
Professeur : Emmanuel Boissieu

A. UNE PHILOSOPHIE ENGAGEE

 I. quelle est la crise de l’époque de Platon ?


1.1 Une crise politique
1.2 La mort de Socrate

 II. Quelle interprétation de cette crise ?


2.1 L’interprétation cynique
2.2 L’opposition de Platon

 III. Platon face à la crise


3.1 L’origine de la crise selon Platon
3.2 La solution de Platon
3.3 L’influence du pythagorisme

Conclusion
Objectifs

 Présenter Platon dans son contexte, celui d’une crise politique.


 Distinguer le vrai philosophe du sophiste.
 Présenter Socrate.
 Montrer comment la politique est une éducation.
 Présenter la philosophie comme un engagement, un mode de vie.
 Introduire à la perception platonicienne de l’amour, de la mort.
 Initier à la métaphysique et à l’éthique platonicienne.
 Initier à l’expérience poétique, à l’expérience mystique selon Platon.

Acquis de l’apprentissage
CONNAISSANCES

 Avoir étudié plusieurs dialogues de Platon.


 Avoir assimilé les principales notions philosophiques platoniciennes, en
termes métaphysiques, éthiques, poétiques et mystiques.
COMPETENCES

 Etre capable de présenter la figure du philosophe, comme homme


engagé dans la cité.
 Adopter une attitude philosophique pour appréhender la vie civique ,
selon Platon

Modalités d’évaluation :

 Un quizz en temps limité à la fin des séquences


 Un devoir : une rédaction
 Un examen en présentiel à la fin du semestre

Bibliographie :
Les œuvres de Platon, en priorité les dialogues accessibles dans le cours.

THÉOLOGIE DE LA TRINITÉ (TOME 1)

IN064 La première partie (La foi des apôtres, étapes 1 à 4) de ce cours de sur
la Trinité est consacrée à l’étude de la foi des apôtres, à partir des textes
fondateurs.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Nicole Awaïs-Giroud
Jean Michel Maldamé O.P

PRÉSENTATION
Ce cours de Théologie de la Trinité est introduit par une présentation de ce
qu’est la théologie.
La théologie se veut l’explicitation de la richesse de la foi. Elle répond à une
révélation. Or celle-ci ne se crée pas à l’initiative du croyant, elle commence
donc par l’accueil de ce que Dieu dit. Ainsi tout propos spécifique sur le Dieu
des chrétiens ne peut s’enraciner ailleurs que dans la foi des apôtres. Certes,
on trouve dans l’humanité une multitude de discours sur Dieu. Ils se
développent dans les religions non-chrétiennes et dans les diverses
philosophies. Les familles d’esprit ne sont pas les mêmes, mais toutes ces
démarches ont ceci de commun qu’elles partent de l’expérience humaine et
réfléchissent sur l’expérience du sacré ou l’exigence de la raison. Il s’agit de ce
qui relève de l’ordre naturel.
La foi chrétienne ne procède pas de la même manière : elle accueille ce que
Dieu dit, comme une révélation, un dévoilement de ce qui, sans cet acte, ne
pourrait pas être connu.
A cause de la nature de la révélation, la théologie ne peut pas commencer hors
d’une étude des Écritures par lesquelles la connaissance de Dieu est donnée.
La première partie (La foi des apôtres, étapes 1 à 4) de ce cours de sur la
Trinitésera donc consacrée à l’étude de la foi des apôtres, à partir des textes
fondateurs. Cette partie montrera les richesses et les particularités de cet
enracinement. La première étape examinera le témoignage des Actes des
apôtres ; puis la réflexion s’appuiera sur l’Ancien Testament pour expliciter
quelle était la foi des apôtres.
La seconde partie (L’étude de la Tradition, étapes 5 à 10) de ce cours sur la
Théologie de la Trinité prend une démarche spécifiquement théologique pour
montrer comment l’affirmation de la foi, contenue dans le Nouveau Testament,
a été explicitée et développée. Des questions sont apparues : Le Christ est-il un
autre Dieu ? Le Père et le Fils sont-ils un seul et même Dieu ? De même pour
l’Esprit saint ; s’il y a en Dieu des distinctions, cela n’entraîne-t-il pas une
division ? si on donne des explications sur la divinité et la position du Père, du
Fils et du Saint Esprit les uns par rapport aux autres, quelle est le principe
d’intelligibilité ? Où est le mystère ? Ces questions ont obligé à recourir à des
catégories nouvelles.
À ces questions, et à d’autres, qui seront précisées au fur et à mesure, l’Église
répondra, grâce à ceux que l’on appelle les Pères, parce que leur influence a
marqué durablement la manière de croire et de formuler la foi chrétienne.
L’Église a aussi explicité sa foi par des formules de foi, des dogmes, dont il faut
comprendre l’élaboration. L’Église présente aussi, dans l’unité de la foi, une
diversité de sensibilité et d’approches.
C’est à cet ensemble que veut introduire la deuxième partie du cours consacrée
aux Pères, et aux grands docteurs de la foi.

OBJECTIFS :
 Examiner le témoignage des Actes des apôtres ;
 Relire l’Ancien Testament pour expliciter quelle était la foi des apôtres.
 Montrer comment l’affirmation de la foi, contenue dans le Nouveau
Testament, a été explicitée et développée.
 Initier aux Questions actuelles en Christologie.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Avoir été initié à la théologie de la Trinité
 Examiner la foi des apôtres
 Étudier la Tradition
 Etre informé des questions actuelles en Christologie
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un devoir écrit avec un choix de l’un des sujets proposés dans la liste se
trouvant dans la section « validation ».
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
 Mysterium Salutis, Dogmatique de l'Histoire du salut, t. II, vol. 5 : Dieu et
la révélation de la Trinité, 1970 et vol. 6 : La Trinité et la création, 1971,
Paris, éditions du Cerf.
 Lumière et Vie, Le mystère de la Sainte Trinité, n_ 29, 1956.
 LEBRETON J, Histoire du dogme de la Trinité, 2 vol. Paris, Beauchesne,
1928.
 RAHNER K., «Dieu dans le Nouveau Testament. La signification du mot
Theos», Écrits théologiques, t. I, Desclée de Brouwer, 1959.
 CHEVALLIER M.A., Souffle de Dieu. Le Saint-Esprit dans le Nouveau
Testament, Beauchesne, 1978.
 REY B., Le cheminement des premières communautés chrétiennes à la
découverte de Dieu, Paris, édit. du Cerf, 1972.
 BOUYER L., Le Père invisible. Approche du mystère de la divinité, Paris,
édit. le Cerf, 1976.

Comment suivre ce cours ?

 Nous vous proposons 10 étapes, à étudier par exemple en 10 soirées, à


votre propre rythme.

Cette étude de la Trinité se déroule en trois grandes parties.


I.La foi des apôtres
II. Etude de la Tradition. Les Pères et les docteurs de l’Eglise
III. Questions actuelles
Les parties I et II sont traitées dans ce premier sentier (tome 1). La partie III est
traitée dans le second sentier (tome 2).
Les étapes de ce sentier :
Introduction
Qu’est-ce que la théologie ?
Partie I : La foi des apôtres
1. L’expérience apostolique
2. Jésus, le Fils de Dieu
3. Le Père de Jésus-Christ
4. La Sagesse créatrice
Partie II : Etude de la Tradition
5. Précisions apologétiques. La pré-existence du Fils et de l’Esprit
6. Les grands conciles : Nicée 325
7. Les grands conciles : Constantinople 381
8. La théologie de S. Augustin
9. Théologie occidentale
10. Synthèse théologique de saint Thomas d’Aquin

Plan détaillé

Introduction : Qu’est-ce que la théologie ?


A. Origine et emploi du mot théologie
B. La théologie des Pères
C. La théologie universitaire
Présentation
Bibliographie
Partie I : La foi des apôtres
Etape 1. L’expérience apostolique
A. Les Actes des apôtres
B. Expérience de l’esprit chez saint Paul
C. Théologie de l’Esprit chez saint Jean
D. Conclusion
Etape 2. Jésus, le Fils de Dieu
A. Jésus reçoit l’Esprit
B. Jésus donne l’Esprit
C. Le Christ et l’Esprit
D. Conclusion
Etape 3. Le Père de Jésus-Christ
A. Jésus et son Père
B. Le Père qui est Dieu
C. La confession de foi chrétienne
D. Conclusion
Etape 4. La Sagesse créatrice
A. Relectures canoniques
B. Les targums : la Sagesse et la Parole
C. Fondements de la théologie chrétienne
D. Conclusion de la première partie
Les Pères et les docteurs de l’Église
Partie II : L’étude de la Tradition. Les pères et les docteurs de l’Eglise
Etape 5. Précisions apologétiques. La pré-existence du Fils et de l’Esprit
A. Premières précisions de la foi au deuxième siècle
B. Naissance du vocabulaire trinitaire au troisième siècle
C. Conclusion
Etape 6. Les grands conciles : Nicée 325
A. La divinité du Fils
Etape 7. Les grands conciles : Constantinople 381
A. Le concile (381) et son symbole
B. Lecture des incises théologiques
C. La théologie du concile de Constantinople
D. Vocabulaire et théologie trinitaire
Etape 8. La théologie de S. Augustin
A. Première partie : livres 1-4
B. La formulation du dogme trinitaire : livres 5 à 7
C. Comprendre les processions en Dieu
D. Les analogies
Etape 9. Théologie occidentale
A. Boèce (480-524)
B. Saint Anselme de Cantorbéry (1033-1109)
C. Richard de Saint-Victor (dates ? )
Etape 10. Synthèse théologique de saint Thomas d’Aquin
A. Les processions trinitaires
B. Les relations trinitaires
C. Les personnes divines
D. Le langage trinitaire
E. Les missions trinitaires
Conclusion
Ont collaboré à ce cours
Auteur : frère Jean-Michel Maldamé, op
Adaptation : Françoise Dubost
Mots clés :
théologie, révélation, foi, apôtres, Ecritures, Dieu, Fils, Christ, Jésus-Christ,
Esprit, Esprit-Saint, Trinité, Sagesse, Parole, Tradition, Pères de l’Eglise,
Docteurs de l’Eglise, Trinité, conciles, Augustin, dogme, Thomas d’Aquin.

THÉOLOGIE DE LA TRINITÉ (TOME 2)


IN065 Ce deuxième cours est consacré à des questions qui supposent acquise la
construction théologique médiévale. Ces questions viennent d’une réinterprétation des
termes de la théologie et de l’élargissement de la perspective théologique à cause de la
modernité.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Patrick Lens O.P.

PRÉSENTATION

Le second Tome de ce cours correspond à la troisième partie de l’enseignement sur la


Théologie de la Trinité.
Il est consacré à des questions qui supposent acquise la construction théologique
médiévale. Ces questions viennent d’une réinterprétation des termes de la théologie et
de l’élargissement de la perspective théologique à cause de la modernité.
L’ordre des étapes est lié à celui des questions et des éclaircissements nécessaires pour
l’intelligence de la deuxième partie (cf. Sentier "Théologie de la Trinité", Tome 1).
Il est clair pour un théologien que les notions utilisées en théologie ne sauraient être
utilisées sans précaution. Le "principe de précaution" théologique est que le vocabulaire
employé par les hommes pour dire Dieu est nécessairement déficient. La compréhension
des termes théologiques dépasse le cadre de l’expérience humaine et donc les concepts
ne peuvent exprimer exactement ce qui se passe en Dieu.
Aussi les concepts doivent être employés avec une grande prudence. Ils ne sont pas
inutiles, mais ils ne sont pas parfaitement adéquats. Pour cette raison, il y a place pour
une pluralité de courants théologiques dans l’Eglise. Ce qui sera étudié amplement avec
la question du Filioque qui montre la distance irréductible des traditions grecque et latine.
Mais aussi les concepts d’amour et de personne.

OBJECTIFS :
 Examiner le témoignage des Actes des apô tres ;
 Relire l’Ancien Testament pour expliciter quelle était la foi des apô tres.
 Montrer comment l’affirmation de la foi, contenue dans le Nouveau Testament,
a été explicitée et développée.
 Initier aux Questions actuelles en Christologie.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Avoir été initié à la thé ologie de la Trinité
 Examiner la foi des apô tres
 Étudier la Tradition
 Etre informé des questions actuelles en Christologie

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un devoir écrit avec un choix de l’un des sujets proposés dans la liste se trouvant
dans la section « validation ».
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
Mysterium Salutis, Dogmatique de l'Histoire du salut, t. II, vol. 5 : Dieu et la révélation
de la Trinité, 1970 et vol. 6 : La Trinité et la création, 1971, Paris, éditions du Cerf.
Lumière et Vie, Le mystère de la Sainte Trinité, n_ 29, 1956.
LEBRETON J, Histoire du dogme de la Trinité, 2 vol. Paris, Beauchesne, 1928.
RAHNER K., «Dieu dans le Nouveau Testament. La signification du mot Theos», É crits
théologiques, t. I, Desclée de Brouwer, 1959.
CHEVALLIER M.A., Souffle de Dieu. Le Saint-Esprit dans le Nouveau
Testament, Beauchesne, 1978.
REY B., Le cheminement des premières communautés chrétiennes à la découverte de
Dieu, Paris, édit. du Cerf, 1972.
BOUYER L., Le Père invisible. Approche du mystère de la divinité, Paris, édit. le Cerf,
1976.

Comment suivre ce cours ?

 Nous vous proposons 10 étapes, à étudier par exemple en 10 soirées, à votre


propre rythme.

Cette étude de la Trinité se déroule en trois grandes parties.


I.La foi des apôtres
II. Etude de la Tradition. Les Pères et les docteurs de l’Eglise
III. Questions actuelles
Les parties I et II ont été traitées dans le premier cours (tome 1). La partie III est traitée
dans ce second cours (tome 2) :
Les étapes de ce cours :
Partie III : Question actuelles

1. Esprit saint et vie spirituelle


2. La question du Filioque
3. La question de la personne en théologie
4. La question de la personne en théologie : Nouvelles perspectives
5. Hegel (1770-1831)
6. L’héritage hégélien
7. Le rôle du Saint-Esprit dans la liturgie
8. La Trinité créatrice
9. La Trinité créatrice : Options fondamentales
10. Conclusion générale

Bibliographie
Plan détaillé ci-dessous

Plan détaillé

Etape 1. Esprit saint et vie spirituelle


A. Les missions de l’Esprit saint
B. L’habitation de Dieu dans le croyant
C. L’expérience mystique
Etape 2. La question du Filioque
A. Histoire de la controverse
B. Théologie trinitaire avant la controverse
C. Recherches oecuméniques
Etape 3. La question de la personne en théologie
A. Déplacement de la notion de personne
B. Relectures de la Tradition
Etape 4. La question de la personne en théologie : Nouvelles perspectives
A. Théologie de Walter Kasper (1933)
B. Perspective de Jürgen Moltmann (1926)
C. Conclusion : question de méthode
Etape 5. Hegel (1770-1831)
La théologie de Hegel
Etape 6. L’héritage hégélien
A. Théologies luthériennes de la Croix
B. Théologie catholique
C. Conclusion
Etape 7. Le rôle du Saint-Esprit dans la liturgie
A. Le baptême chrétien
B. La célébration eucharistique
C. Tableau comparatif
Etape 8. La Trinité créatrice
Lectures trinitaires de la Genèse
Etape 9. La Trinité créatrice : Options fondamentales
C. La création continue
Etape 10. Conclusion générale
A. La révélation du Père
B. La révélation du Fils
C. Le Saint Esprit
Bibliographie
1. Articles de dictionnaires
2. Ouvrages généraux
3. Études bibliques
4. Étude patristiques
5. Synthèses
6. Théologie de l’Esprit saint
Ont collaboré à ce cours
Auteur : frère Jean-Michel Maldamé, op
Adaptation : Françoise Dubost

Mots clés : théologie, foi, apôtres, Ecritures, Dieu, Jésus-Christ, Esprit, Esprit-Saint,
Trinité, vie spirituelle, expérience mystique, Filioque, oecuménisme, personne, Hegel,
Luther, Kasper, Moltmann, liturgie, baptême, eucharistie, Création,
AVEC SUIVI ET VALIDATION
Frais d'inscription :
150,00 €
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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M1 Théologie
 M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
 Brevet "La vie chrétienne dans le mystère de Dieu"
 Certificat d’études théologiques n° 2 - Trinité et vie chrétienne
 Licence en Théologie première année
 FiX 1
 1ère année du 1er cycle de Droit Canonique

INTRODUCTION À LA THÉOLOGIE FONDAMENTALE


DES MYSTÈRES CHRÉTIENS

TH027 Ce cours présente les principales données pour faire de la théologie thomiste.
Il s’oriente vers trois notions essentielles : révélation ; tradition ; science théologique.
En même temps, il s’attache à donner quelques aspects de la situation actuelle de la foi
et de la théologie.
Crédits ECTS: 6
Professeur : Gilbert Narcisse O.P.

PRÉSENTATION :
 Ce cours vise à familiariser l’étudiant avec le "monde théologique thomiste"
dans ses méthodes, ses notions et ses contextes.
 Attention : prérequis : il serait utile de lire avant ou en même temps une
introduction à la philosophie (histoire et principales notions).

OBJECTIFS :
 Présenter les principales données pour faire de la théologie thomiste.
 Introduire trois notions essentielles : révélation ; tradition ; science
théologique.
 Présenter quelques aspects de la situation actuelle de la foi et de la théologie.
 Initier à la méthode, aux principes, aux notions essentielles de la théologie
thomiste.
 Montrer comment, pour faire de la christologie, par exemple, il faut savoir
comment utiliser l’Écriture Sainte.
 Manifester quelle est l’importance de l’enseignement d’un concile
œcuménique ou de la réflexion d’un théologien ancien ou contemporain,
comment mener une argumentation vraiment théologique.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Acquérir une méthode en théologie ; par exemple, utiliser l’Écriture Sainte, les
références à un Concile ou citer un théologien.
 Etre familiarisé avec les notions de la théologie thomiste.
 Connaître des exemples de contexte de la théologie thomiste

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un devoir écrit. Les étudiant.e.s auront le choix d’une question à traiter parmi
une liste proposée.
 Un examen en présentiel, à la fin du semestre

BIBLIOGRAPHIE :
 L’Ecriture, la Tradition, le Magistère,
 Vatican II, Dei Verbum
 Vatican II, Gaudium et Spes
 Saint Thomas d’Aquin, La Somme de théologie
 Hans Urs von Balthasar, La Théologique, III. L’Esprit de vérité, Namur, 1995
 -D. GARDEIL, Saint Thomas d'Aquin, Somme théologique, Cerf, 1968
 J. CONGAR, art. "Théologie", DTC, 15, col. 341-502, Paris, 1946, col. 385
 -D. Chenu, La théologie comme science au XIII°s, Paris, 1943
 -M. LABOURDETTE, "La théologie, intelligence de la foi", RT, (1946)
 -P. TORRELL, "Thomas d'Aquin", DS, Paris, 1991

NIVEAU DU COURS
Un débutant peut suivre ce cours (1er cycle d’Université, licence de théologie). Des
connaissances philosophiques faciliteront son étude. Dans tous les cas, ce cours
demande un travail personnel et des lectures complémentaires. Une lecture rapide ne
sera pas profitable.

AVEC SUIVI ET VALIDATION


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150,00 €
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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M1 Théologie
 M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
 Licence en Théologie première année
 1ère année du 1er cycle de Droit Canonique

HISTOIRE DU CHRISTIANISME - 1ÈRE PARTIE

Le mouvement de Jésus aurait très bien pu ne pas survivre à son fondateur.


Mais l'histoire en a décidé autrement. Une continuité s'est instaurée entre le
Jésus de la Croix et ses disciples, sous le signe de l'Esprit...
Crédits ECTS: 3
Professeur : Claire Reggio

DESCRIPTION :
Les origines du christianisme en tant que religion distincte du judaïsme font
actuellement l'objet d'une perception et d'une attention renouvelées.
L'insistance à relever la continuité des mouvements, à raconter l'histoire d'un
« judéo-christianisme », conduit à discuter des termes à employer : « croisée
des chemins », « séparation », « distinction » ou encore « partition » ? Sans
trancher définitivement sur l'emploi d'un de ces vocables, le cours s'applique à
les redéfinir, à la lumière de l'actualité de la recherche, et à présenter les enjeux
politiques et religieux, voire culturels, qui ont accompagné la naissance du
« mouvement de Jésus ».

OBJECTIFS :
 Présenter le cadre historique de la naissance du christianisme.
 Resituer le mouvement de Jésus dans le judaïsme antique du Ier siècle.
 Présenter l'actualité de la recherche : diversité des thèses consacrées au
« Jésus de l'histoire ».
 Comprendre les enjeux de la naissance du christianisme dans une
Palestine traversée par des crises politiques et religieuses.
 Etudier la constitution des institutions centrales de l'Église et la
construction de l'identité chrétienne.
 Montrer comment le christianisme a commencé dès les premiers siècles
à interroger la culture romaine.
 Donner accès aux sources historiques.

ACQUIS DE L’APPRENTISSAGE :
CONNAISSANCES

 Connaître l'environnement historique et religieux qui a vu naître le


christianisme.
 Connaître les principaux acteurs de cette histoire.
 Comprendre la complexité des mouvances chrétiennes.

COMPETENCES

 savoir décrire l'histoire du mouvement de Jésus aux premiers siècles.


 Pouvoir expliquer les raisons de sa séparation avec le judaïsme.
 Pouvoir expliquer la naissance de l'Église.
 Pouvoir expliquer la pluralité des mouvances chrétiennes.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un devoir : une question transversale portant sur l'histoire de la Palestine
et des mouvances juives et chrétiennes aux premiers siècles.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
(chaque chapitre du cours présente une bibliographie indicative; en voici
quelques titres)
 Simon Claude Mimouni et Pierre Maraval, Le christianisme. Des origines
à Constantin, Paris, PUF, 2006.
 Jacques Cazeaux, Les Actes des apôtres – l'Église entre le martyre
d'Étienne et la mission de Paul, Paris, Cerf, octobre 2008.
 Daniel Marguerat (dir.), Le Déchirement. Juifs et chrétiens au premier
siècle, Genève, Labor et Fides, 1996.
 Simon Claude Mimouni et Bernard Pouderon (dir.), La croisée des
chemins revisitée. Quand l'Église et la Synagogue se sont-elles
distinguées ?, Actes du colloque de Tours, 18-19 juin 2010, Paris, Cerf,
2012.
 C. Mimouni, Claire Clivaz et Bernard Pouderon (dir.), Les judaï smes
dans tous leurs états aux Ier-IIIe siècles. Les Judéens des synagogues,
les chrétiens et les rabbins, Actes du colloque de Lausanne 12-14
décembre 2012, Turnhout, Brepols, 2015.
 Daniel Boyarin, Border Lines. The Partition of Judaeo-
Christianity, University of Pennsylvania Press, 2006 (trad. franç aise : La
partition du judaï sme et du christianisme, Paris, Cerf, 2011) ; A Radical
Jew : Paul and the Politics of Identity, University of California Press,
1994.
 C. Mimouni, « Les origines de Jésus dans la littérature chrétienne
apocryphe », in P. Geoltrain, Aux origines du christianisme, Gallimard /
Le Monde de la Bible, 2000
 Collectif, Les Apocryphes chrétiens des premiers siècles, mémoire et
traditions, Paris, Desclée de Brouwer, 2010.
 Christian Grappe, « La séparation entre juifs et chrétiens à la fin du
premier siècle : circonstances historiques et raisons théologiques
», Études théologiques et religieuses, tome 80 (2005/3), p. 327- 345. G.
Dunn, The Parting of the Ways. Between Christianity and Judaism and
Their Significance for the Character of Christianity, London, 1992, réédité
en 2006.
 Marcel Simon, Verus Israel, les relations entre Juifs et chrétiens dans
l'Empire romain (35-425), Paris, 1948. Steeve Bélanger, « À la croisée
des chemins : les premiers chrétiens et leur quête identitaire », Cahiers
des études anciennes, XLIV (2007), p. 137-169.
 Dan Jaffé, Le judaï sme et l'avènement du christianisme. Orthodoxie et
hétérodoxie dans la littérature talmudique Ier et IIe siècle, Paris, Cerf,
2005.
 Olivier Rota (dir.), Histoire et Théologie des relations judéo-chrétiennes,
Paris, Parole et Silence, 2015.

PLAN DU COURS : HISTOIRE DU


CHRISTIANISME 1ÈRE ET 2ÈME PARTIE
1ÈRE PARTIE :
CHAP. I PRÉSENTATION DES SOURCES
1) Le Nouveau Testament
2) Les écrits apocryphes et pseudépigraphes
3) Les écrits des Pères apostoliques
4) Autres sources chrétiennes
5) Les sources juives
6) Les sources romaines

CHAP. II LE CADRE HISTORIQUE : LA PALESTINE AU TEMPS DE JÉSUS,


UNE RÉGION EN PLEINE EFFERVESCENCE
1) Rappel chronologique des périodes antérieures à l'époque romaine
2) Le contrôle romain de la Palestine
3) Les caractéristiques fondamentales du judaïsme antique
4) Un judaïsme traversé par la contestation politique et religieuse de sectes
juives
5) Le judaïsme en question

2ÈME PARTIE :
CHAP. III LES DIFFÉRENTES CONJECTURES SUR LE « JÉSUS
HISTORIQUE »
1) Qui est Jésus le Nazaréen ?
2) Trouver le Christ kérygmatique dans les textes

CHAP. IV LE MOUVEMENT DE JÉSUS DANS LE JUDAÏSME ANTIQUE DU


IER SIÈCLE
1) Les proches de Jésus au lendemain de la disparition du Maître
2) Les apôtres à l'œuvre : la naissance de l'Église
3) La remise en question de l'unicité originelle du mouvement chrétien
4) La construction de l'identité chrétienne
5) État des lieux des mouvances chrétiennes à la fin du Ier siècle

CHAP. V. JUDAÏSME – CHRISTIANISME : LA QUESTION DE LA


SÉPARATION
1) Les années 66-70 à 135 : l'amorce du processus de distinction
2) 200 – 380 : deux religions en concurrence ?
3) Domination chrétienne et résistance juive (à partir de 380)

HISTOIRE DU CHRISTIANISME - 2ÈME PARTIE


Depuis les années 1960, sous l'influence de l'École de l'histoire des formes,
exégètes et chercheurs étudient différemment les évangiles ; l'objectif est de
comprendre comment le « fait Jésus » fut compris par les communautés
productrices de ces récits...
Crédits ECTS: 3
Professeur : Claire Reggio

DESCRIPTION :
Les origines du christianisme en tant que religion distincte du judaïsme font
actuellement l'objet d'une perception et d'une attention renouvelées.
L'insistance à relever la continuité des mouvements, à raconter l'histoire d'un
« judéo-christianisme », conduit à discuter des termes à employer : « croisée
des chemins », « séparation », « distinction » ou encore « partition » ? Sans
trancher définitivement sur l'emploi d'un de ces vocables, le cours s'applique à
les redéfinir, à la lumière de l'actualité de la recherche, et à présenter les enjeux
politiques et religieux, voire culturels, qui ont accompagné la naissance du
« mouvement de Jésus ».

OBJECTIFS :
 Présenter le cadre historique de la naissance du christianisme.
 Resituer le mouvement de Jésus dans le judaïsme antique du Ier siècle.
 Présenter l'actualité de la recherche : diversité des thèses consacrées au
« Jésus de l'histoire ».
 Comprendre les enjeux de la naissance du christianisme dans une
Palestine traversée par des crises politiques et religieuses.
 Etudier la constitution des institutions centrales de l'Église et la
construction de l'identité chrétienne.
 Montrer comment le christianisme a commencé dès les premiers siècles
à interroger la culture romaine.
 Donner accès aux sources historiques.

ACQUIS DE L’APPRENTISSAGE :
CONNAISSANCES
 Connaître l'environnement historique et religieux qui a vu naître le
christianisme.
 Connaître les principaux acteurs de cette histoire.
 Comprendre la complexité des mouvances chrétiennes.

COMPETENCES

 savoir décrire l'histoire du mouvement de Jésus aux premiers siècles.


 Pouvoir expliquer les raisons de sa séparation avec le judaïsme.
 Pouvoir expliquer la naissance de l'Église.
 Pouvoir expliquer la pluralité des mouvances chrétiennes.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un devoir : une question transversale portant sur l'histoire de la Palestine
et des mouvances juives et chrétiennes aux premiers siècles.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
(chaque chapitre du cours présente une bibliographie indicative ; en voici
quelques titres)

 Simon Claude Mimouni et Pierre Maraval, Le christianisme. Des origines


à Constantin, Paris, PUF, 2006.
 Jacques Cazeaux, Les Actes des apôtres – l'Église entre le martyre
d'Étienne et la mission de Paul, Paris, Cerf, octobre 2008.
 Daniel Marguerat (dir.), Le Déchirement. Juifs et chrétiens au premier
siècle, Genève, Labor et Fides, 1996.
 Simon Claude Mimouni et Bernard Pouderon (dir.), La croisée des
chemins revisitée. Quand l'Église et la Synagogue se sont-elles
distinguées ?, Actes du colloque de Tours, 18-19 juin 2010, Paris, Cerf,
2012.
 C. Mimouni, Claire Clivaz et Bernard Pouderon (dir.), Les judaï smes dans
tous leurs états aux Ier-IIIe siècles. Les Judéens des synagogues, les
chrétiens et les rabbins, Actes du colloque de Lausanne 12-14 décembre
2012, Turnhout, Brepols, 2015.
 Daniel Boyarin, Border Lines. The Partition of Judaeo-
Christianity, University of Pennsylvania Press, 2006 (trad. franç aise : La
partition du judaï sme et du christianisme, Paris, Cerf, 2011) ; A Radical
Jew : Paul and the Politics of Identity, University of California Press, 1994.
 C. Mimouni, « Les origines de Jésus dans la littérature chrétienne
apocryphe », in P. Geoltrain, Aux origines du christianisme, Gallimard / Le
Monde de la Bible, 2000
 Collectif, Les Apocryphes chrétiens des premiers siècles, mémoire et
traditions, Paris, Desclée de Brouwer, 2010.
 Christian Grappe, « La séparation entre juifs et chrétiens à la fin du
premier siècle : circonstances historiques et raisons théologiques
», Études théologiques et religieuses, tome 80 (2005/3), p. 327- 345. G.
Dunn, The Parting of the Ways. Between Christianity and Judaism and
Their Significance for the Character of Christianity, London, 1992, réédité
en 2006.
 Marcel Simon, Verus Israel, les relations entre Juifs et chrétiens dans
l'Empire romain (35-425), Paris, 1948. Steeve Bélanger, « À la croisée des
chemins : les premiers chrétiens et leur quête identitaire », Cahiers des
études anciennes, XLIV (2007), p. 137-169.
 Dan Jaffé, Le judaï sme et l'avènement du christianisme. Orthodoxie et
hétérodoxie dans la littérature talmudique Ier et IIe siècle, Paris, Cerf,
2005.
 Olivier Rota (dir.), Histoire et Théologie des relations judéo-chrétiennes,
Paris, Parole et Silence, 2015.

PLAN DE LA DEUXIÈME PARTIE DU COURS


"HISTOIRE DU CHRISTIANISME"
ETAPE 6. CHAP. III LA SIGNIFICATION DU JÉSUS HISTORIQUE POUR LA
CONSTITUTION DE LA RELIGION CHRÉTIENNE PRIMITIVE
1. Qui est Jésus le Nazaréen ?
a) Repères chronologiques
b) Cadre géographique : Nazareth, la Galilée et la Judée
c) Le cadre familial
Une biographie impossible

ETAPE 7. 3.2. TROUVER LE CHRIST KÉRYGMATIQUE DANS LES


TEXTES, INDÉPENDAMMENT DES RELIQUATS DU JÉSUS HISTORIQUE
a) Le Christ Juif Fils de l'Homme
b) L'élévation de Jésus
c) Condamnation et Passion du Christ
d) Le judaïsme de Jésus
e) Une représentation du « christianisme de Jésus »
ETAPE 8. CHAP. IV LE MOUVEMENT DE JÉSUS DANS LE JUDAÏSME DES
IER ET IIE SIÈCLES DE NOTRE ÈRE (30-135)
4.1. Les proches de Jésus au lendemain de la disparition du Maître
4.2. Les apôtres à l'œuvre : la naissance de l'Église (lecture traditionnelle)
a) La tradition des Douze
b) La Pentecôte et la fondation de l'Église
c) La koinônia des premiers chrétiens à Jérusalem
Une ecclésiologie de communion
d) L'union des Églises avec Jérusalem

ETAPE 9. 4.3. LA REMISE EN QUESTION DE L'UNICITÉ ORIGINELLE DU


MOUVEMENT CHRÉTIEN
a) Les hypothèses des chercheurs
b) L'invention du vocable « chrétien »
c) Les hébreux et les hellénistes des Actes des Apôtres
d) Des groupes liés à des personnes
e) Christianisme dynastique et familial / christianisme apostolique
f) Des groupes liés à des ministères en voie de sacerdotalisation
g) Les groupes des femmes

ETAPE 10. 4.4. LA CONSTRUCTION DE L'IDENTITÉ CHRÉTIENNE


a) La représentation du mouvement chrétien à l'intérieur et à l'extérieur du
judaïsme : l'amorce du processus de séparation
b) La réunion de Jérusalem
c) Les institutions centrales

ETAPE 11. 5.5. ÉTAT DES LIEUX DES MOUVANCES « CHRÉTIENNES » À


LA FIN DU IER SIÈCLE
a) Le mouvement en Palestine
b) Le mouvement dans la diaspora de langue grecque
c) Le mouvement dans la diaspora de langue araméenne
d) Les centres de diffusion du christianisme
e) Le devenir des courants

ETAPE 12 CHAP. V CHRISTIANISME – JUDAÏSME : LA QUESTION DE LA


SÉPARATION
V. 1. Les années 66-70 à 135 ou l'amorce du processus de disctinction
V. 2. 200-380 : deux religions en concurrence
V. 3. Domination chrétienne et résistance juive (à partir de 380)

A LA DÉCOUVERTE DU JUDAÏSME, 1ÈRE PARTIE


Partie I. Etre juif, est tout à la fois, une identité, l’appartenance à un peuple, la pratique
d’une religion, le sens d’une responsabilité vis-à-vis du monde. C’est en tenant compte
de ces traits particuliers du peuple juif que seront dressées dans ce cours les grandes
lignes du Judaïsme.

Crédits ECTS: 3
Professeur : Thérèse M Andrevon

DESCRIPTION :
Le Judaïsme (et le peuple juif) présente cette particularité pour le chrétien, d’être à la
fois très proche et pourtant très « autre ». Ainsi une posture d’écoute se révèle être
encore plus nécessaire pour le chrétien qui part à la rencontre du juif.

OBJECTIFS :
 Tracer les grandes lignes d’une réalité qui, pour être exactes, ne peuvent
pourtant rendre compte de la complexité et de la variété de cette réalité
décrite.
 Montrer comment la permanence d’Israël durant l’histoire, alors que tant de
peuples ont disparu sans laisser de traces, lui confère un caractère unique, où
se joignent des éléments religieux, familiaux, culturels, politiques, etc.
 Donne quelques clefs utiles, à garder en tête, pour comprendre la cohérence
interne du Judaïsme et les ressorts qui le font vivre.
 Se libérer de quelques clichés communément véhiculés sur le Judaïsme et les
juifs, comme par exemple « le Judaïsme est la religion de l’Ancien Testament ».
 Exposer ce qui charpente le Judaïsme, c'est à dire la Torah écrite et orale, ce
qui constitue son cœur, c'est à dire le shabbat,
 Présenter les étapes de la vie, les rites et les fêtes.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Avoir connaissance des grandes lignes du contexte complexe du judaïsme et du
peuple juif
 Pouvoir exposer les clés essentielles de l’histoire du peuple juif
 Pouvoir disserter sur la Torah ainsi que sur les principales fêtes juives
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
L’évaluation du cours se fera en trois temps, correspondant aux deux parties du cours :

 Première partie : les étudiant.e.s devront travailler un grand personnage du


judaïsme. Le devoir devra présenter le personnage et son œuvre, accompagné
d’une illustration de cette œuvre (par exemple un exemple de commentaire de
Torah de Rachi, ou la position de Maïmonide sur tel ou tel sujet, ou un
commentaire d’un extrait du Khuzari de Juda Halévi…). Pour chaque
personnage, des références (non exhaustives) sont proposées.
 Deuxième partie : les étudiant.e.s sont invités à rendre un devoir écrit en
choisissant l’un des sujets proposés dans une liste imposée.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre

BIBLIOGRAPHIE :
OUAKNIN Marc Alain, Les Dix commandements, Seuil
Haïm Korsia, Être Juif et Français : Jacob Kaplan, le rabbin de la République, Éditions
Privé, 2006
MARITAIN, L’impossible antisémitisme, précédé de « Jacques Maritain et les Juifs »
par VIDAL-NIQUET Pierre, Paris, Desclée de Bouwer, 2003
BOYARIN Daniel, Le Christ juif, Paris, Cerf, 2013

PLAN DE LA 1ÈRE PARTIE DU COURS “ A LA


DÉCOUVERTE DU JUDAÏSME”
ETAPE 1. INTRODUCTION GÉNÉRALE AU COURS : LES JUIFS ET LE
JUDAÏSME, DÉFINITIONS
I. Quelques définitions
1. Origine du mot Juif
2. Les Hébreux et Israël
3. Aujourd’hui qu’est-ce qu’être juif et qui est juif ?
II. Le Judaïsme
1. Election, Alliance, Torah : Concepts clefs pour comprendre le Judaïsme
2. Les fondements de l’énoncé de la foi juive
3. Les piliers de la vie juive
III. Récapitulation et exercice.

ETAPE 2. TORAH, TALMUD, TRANSMISSION


I. L’essence de la Torah
1. Torah de Dieu et Torah de Moïse
2. L’obligation d’étudier la Torah
3. Torah écrite et Torah orale (Torah be al pé ‫) פה בעל תורה‬
II. Le Talmud
1. Définition
2. La formation du Talmud
3. Les générations suivantes
III. Tableau récapitulatif de la composition de la Torah orale Talmud
IV. Conclusion : quelques remarques en lien avec le Christianisme

ETAPE 3. LE JUDAÏSME ET LA SANCTIFICATION DU TEMPS


I. Les juifs, bâtisseurs du temps
II. Le calendrier hébraïque
1. Mois lunaires…
2. … Mais année solaire
III. Rythme hebdomadaire et son sommet : le shabbat.
IV. Le cycle des fêtes et des jeûnes
1. Les fêtes
2. Les jours de jeûne
V. La bénédiction

ETAPE 4. « SI TU APPELLES LE SHABBAT TES DÉLICES »


I. Le shabbat : réalité cosmique et transhistorique
1. Au commencement du monde et gage du monde à venir.
2. Confié à Israël, signe pour les nations
II. Le déroulement du shabbat
1. Préparatifs et entrée dans le shabbat
2. La célébration du vendredi soir
3. Le jour du shabbat
Le troisième repas et la sortie du shabbat (Havdala)
III. Conclusion : de la place pour le futur

ETAPE 5. LES ÉTAPES DE LA VIE : 1ERE PARTIE.


I. Le foyer juif
II. De l’enfance à l’âge adulte
1. La naissance et la circoncision.
2. Rachat du premier né
3. L’éducation religieuse
III. Bar mitsva, fils du commandement
ETAPE 6. LES ÉTAPES DE LA VIE, 2E PARTIE
I. Le mariage
1. Rencontre et fiançailles
2. Préparation du mariage
3. La célébration
II. Le divorce
III. La mort et le deuil
1. Mort et enterrement
2. Le deuil avelout ‫אבלות‬

ETAPE 7. LA PRIÈRE JUIVE


I. Fondement de la prière juive
1. Racines bibliques
2. Le Beit Hamiqdash (La maison de sainteté)
3. Le sens de la prière juive
4. La forme de la prière
II. La Synagogue, Beit Ha-Knesset, ‫הכנסת בית‬,
1. Institution
2. Architecture et agencement intérieur de la synagogue
III. La prière synagogale
1. Les acteurs de l’office
2. L’office synagogal
3. La structure de shaharit
4. Les autres offices
IV. Conclusion

AVEC SUIVI ET VALIDATION


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150,00 €
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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M1 Sciences Religieuses
 M1 Théologie
 M2 Théologie- Spécialité Religions
 Licence en Théologie première année
 Master 2 de Sciences Religieuses (spécialité Œcuménisme et Religion)
 Master 2 de Sciences religieuses (spécialité spiritualité)
 Brevets "Introduction aux religions"
 L1 Bachelor en Histoire
 Certificat en Science des Religions
 Master 1 en Science des Religions

A LA DÉCOUVERTE DU JUDAÏSME 2ÈME PARTIE

Partie II : Ce cours, nécessite d’avoir déjà suivi la première partie. Il considère


que certaines connaissances sont acquises pour traiter des fêtes juives. Le
parcours s’achève par un exposé sur les relations judéo-chrétiennes dans
l’histoire, et la position de l’Église vis-à-vis du Judaïsme depuis le Concile
Vatican II.

Crédits ECTS: 3
Professeur : Thérèse M Andrevon

DESCRIPTION :
Le Judaïsme (et le peuple juif) présente cette particularité pour le chrétien,
d’être à la fois très proche et pourtant très « autre ». Ainsi une posture d’écoute
se révèle être encore plus nécessaire pour le chrétien qui part à la rencontre du
juif.

OBJECTIFS :
 Tracer les grandes lignes d’une réalité qui, pour être exactes, ne peuvent
pourtant rendre compte de la complexité et de la variété de cette réalité
décrite.
 Montrer comment la permanence d’Israël durant l’histoire, alors que tant
de peuples ont disparu sans laisser de traces, lui confère un caractère
unique, où se joignent des éléments religieux, familiaux, culturels,
politiques, etc.
 Donne quelques clefs utiles, à garder en tête, pour comprendre la
cohérence interne du Judaïsme et les ressorts qui le font vivre.
 Se libérer de quelques clichés communément véhiculés sur le Judaïsme
et les juifs, comme par exemple « le Judaïsme est la religion de l’Ancien
Testament ».
 Exposer ce qui charpente le Judaïsme, c'est à dire la Torah écrite et
orale, ce qui constitue son cœur, c'est à dire le shabbat,
 Présenter les étapes de la vie, les rites et les fêtes.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Avoir connaissance des grandes lignes du contexte complexe du
judaïsme et du peuple juif
 Pouvoir exposer les clés essentielles de l’histoire du peuple juif
 Pouvoir disserter sur la Torah ainsi que sur les principales fêtes juives

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
L’évaluation du cours se fera en trois temps, correspondant aux deux parties du
cours :

 Première partie : les étudiant.e.s devront travailler un grand personnage


du judaïsme. Le devoir devra présenter le personnage et son œuvre,
accompagné d’une illustration de cette œuvre (par exemple un exemple
de commentaire de Torah de Rachi, ou la position de Maïmonide sur tel
ou tel sujet, ou un commentaire d’un extrait du Khuzari de Juda
Halévi…). Pour chaque personnage, des références (non exhaustives)
sont proposées.
 Deuxième partie : les étudiant.e.s sont invités à rendre un devoir écrit en
choisissant l’un des sujets proposés dans une liste imposée.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre

BIBLIOGRAPHIE :
OUAKNIN Marc Alain, Les Dix commandements, Seuil
Haïm Korsia, Être Juif et Français : Jacob Kaplan, le rabbin de la République,
Éditions Privé, 2006
MARITAIN, L’impossible antisémitisme, précédé de « Jacques Maritain et les
Juifs » par VIDAL-NIQUET Pierre, Paris, Desclée de Bouwer, 2003
BOYARIN Daniel, Le Christ juif, Paris, Cerf, 2013

PLAN DE LA 2ÈME PARTIE DU COURS “ A LA


DÉCOUVERTE DU JUDAÏSME”
ETAPE 8. INTRODUCTION AUX FÊTES JUIVES
I. Les fêtes consignées dans la Torah.
1. Les fêtes de pèlerinage.
2. Les grands jours du mois de Tishri (automne)
II. Les fêtes d’institution rabbinique
III. Les jours de jeûnes
IV. Les célébrations israéliennes
1. 27 du mois de Nissan (avril-mai) Yom Hashoah, ‫( השואה יום‬jour de la Shoah)
2. 5 Yiar (avril mai), Yom Hazikaron ‫( הזיכרון יום‬Jour du souvenir)
3. 6 Yiar, (avril-mai) Yom Ha’azmaout, ‫( העצמאות יום‬jour de l’Indépendance)
4. 28 Yiar, Yom Yeroushalaïm, ‫( ירושלים יום‬jour de Jérusalem)

ETAPE 9. LES FÊTES DE PÈLERINAGE


I. Le sens du pèlerinage
II. Durée des fêtes de pèlerinage
III. Prière synagogale

ETAPE 10. PESSAH (15-21 DU MOIS DE NISSAN)


I. Le sens de la fête
1. Les mots pour la dire
2. Sortir d’Egypte
II. Les préparatifs de la fête
1. La chasse au Hamets
2. B’diqat hamets et préparation de Pessah
III. Le grand soir du Seder : « Tu raconteras à ton fils (Ex. 13,8)
1. Un peu d’histoire
2. Eléments et déroulement du Seder pascal
IV. Les autres jours de la fête

ETAPE 11. SHAVOUOT


I. Le compte de l’Omer
II. Le don de la Torah

ETAPE 12. SOUKKOT : LA FÊTE DES CABANES (15-22 DU MOIS DE


TISHRI)
I. Le sens de la fête
II. Les noms de la fête
III. Les mitsvot de soukkot
1. La joie
2. La soukka
3. Le loulav
IV. Le 7e jour : Hoshannah rabba
V. Le 8e jour de soukkot (chemini atseret) ou Simhat Torah
1. Une ou deux célébrations.
2. Jour de joie et de danse
ETAPE 13. LES JOURS GRAVES D’AUTOMNE : ROSH HASHANAH ET
KIPPOUR
I. Introduction : chronologie et progression des fêtes d’automnes
II. Rosh Hashanah (1 et 2 du mois de Tishri)
1. Le sens de la fête
2. Rituel domestique et coutumes
3. Les particularités de la prière synagogale
‫תשליך‬
III. Les dix jours de crainte, un temps favorable pour la techouva
IV. Yom HaKippourim le jour des expiations ‫הכפופים יום‬
1. Sens de la fête
2. Les sources bibliques et la période du second Temple
3. La préparation de la fête
4. Les spécificités liturgiques

ETAPE 14. LES FÊTES À CARACTÈRE HISTORIQUE : POURIM ET


HANOUKA
I. Introduction
II. Pourim, la fête des sorts (13 ou 14 du mois d’Adar)
1. Le récit
‫אם‬-‫ל‬
ִ ַ‫ע‬-‫טֹוב ַה ֶּמלֶּ ְך‬--‫הַ ּיֹום ו ְָהמָ ן ַה ֶּמלֶּ ְך יָבֹוא‬, ‫אֶּ ל‬-
2. La préparation de la fête
3. La prière Synagogale
4. Les prescriptions de Pourim
5. Les coutumes
III. Hanouka, la fête de la dédicace (25 Kislev au 2 Tevet)
1. Le récit historique
2. La fête de la Lumière
3. mitsva et coutumes de Hanouka

ETAPE 15. LES RELATIONS JUDÉO-CHRÉTIENNES ; L’ÉGLISE ET LES


JUIFS AVANT LE CONCILE VATICAN II
I. Introduction
II. La Synagogue et l’Église : un conflit de légitimité
1. La séparation progressive entre les disciples du Christ et les autres courants
du Judaïsme
2. L’élaboration de la théologie de la substitution
III. La longue période de l’enseignement du mépris
1. Quelques exemples de mesures et d’accusation contre les juifs
2. La position des papes
IV. Le tournant de la révolution française et l’avènement des républiques
1. L’émancipation des juifs…. espérance et désillusion
2. La position de Rome face à l’antisémitisme
V. Les prémisses d’un changement

ETAPE 16. LES RELATIONS JUDÉO-CHRÉTIENNES 2 ; VATICAN II,


NOSTRA ÆTATE §4 ET SA FÉCONDITÉ
I. Introduction : les ébranlements causés par la seconde guerre mondiale
II. Les évènements qui pavèrent la route
1. La conférence de Seelisberg
2. L’audience de Jules Isaac et du pape Jean XXIII
III. Nostra ætate §4
1. La trajectoire du texte
2. Analyse du contenu
3. Le contraste
IV. Les suites de Nostra ætate §4 et la réception du texte
1. Les corrections dans les manuels, la liturgie
2. Les apports supplémentaires des textes de la commission pontificale pour les
relations avec le Judaïsme
V. L’importance des papes, des gestes et des évènements
VI. Les questions théologiques sensibles
1. Crainte de la théologie des deux voies. Les juifs sont-ils objet de la mission ?
2. La Terre d’Israël : une question mal posée ?
3. Patristique un domaine à explorer
VII. Conclusion

INTRODUCTION À LA LECTURE DES PROPHÈTES

IN146 Le terme « prophète » est mal compris. La particule « pro » qui entre dans la
composition du mot grec (prophète) transcrit en français n’est pas un « pro » temporel
(dire à l’avance)...
Crédits ECTS: 6
Professeur : Jean Michel Maldamé O.P
Fr Hervé Tremblay op
DESCRIPTION :
Le terme « prophète » est mal compris. La particule « pro » qui entre dans la
composition du mot grec (prophète) transcrit en français n’est pas un « pro »
temporel (dire à l’avance). Il peut s’entendre de deux manières. D’abord comme
un « pro » substitutif (dire à la place de) de celui qui parle au nom d’un autre.
Ainsi le prophète serait le porte-parole ou le héraut de quelqu’un. Le terme grec
désigne plutôt un prédicateur qu’un prédicteur. Mais aussi comme un « pro »
local (celui qui est devant), le prophète serait celui qui s’adresse à une assemblée
ou une foule, celui qui proclame, l’annonceur. Ce sens est à privilégier eu égard
à la fonction du prophète dans la Bible.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Durant ce cours, les étudiant.e.s :

 Seront amenés à retracer une partie historique des prophètes


 Pourront mettre en perspective les prophètes et les notions de théologie
 Étudieront différents prophètes

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 L’évaluation du cours se fait par la remise d’un devoir écrit.
 Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste imposée.
 Un examen écrit en présentiel à la fin du semestre

BIBLIOGRAPHIE :
Livre de Samuel Bible
Livres des prophètes Bible
André Néher, L’essence du prophétisme,1955 Persée.

PLAN DU COURS
ÉTAPE 1. INTRODUCTION GÉNÉRALE QUELLE MÉTHODE POUR L’ÉTUDE
DES PROPHÈTES ?

 1. Situation des prophètes bibliques.


 2. Diverses étapes du mouvement prophétique.

ÉTAPE 2. LES PREMIERS PROPHÈTES

 1. Au temps des Juges et à la fondation de la royauté.


 2. Élie et Élisée.
 3. Nature du prophétisme.

ÉTAPE 3. LES PROPHÈTES DU 8ÈME SIÈCLE

 1. Le prophète Amos.
 2. Le prophète Osée.
 3. Le prophète Michée.

ÉTAPE 4. THÉOLOGIE DU PROPHÉTISME

 1. La question psychologique.
 2. La conscience prophétique.
 3. Le genre littéraire.

ÉTAPE 5. LE PROPHÈTE ISAÏE

 1. Jérusalem au temps du prophète Isaïe.


 2. Le livre d’Isaïe (1-39)
 3. Théologie du livre d’Isaïe.

ÉTAPE 6. THÉOLOGIE DES LIVRES PROPHÉTIQUES

 1. Dieu.
 2. L’alliance.
 3. La morale prophétique.
 4. L’eschatologie.

ÉTAPE 7. LES PROPHÈTES DU 7ÈME SIÈCLE ET DU DÉBUT DU


6ÈME SIÈCLE

 1. Le prophète Sophonie.
 2. Nahum..
 3. Habaquq.
ÉTAPE 8.JÉRÉMIE

 1. Le livre de Jérémie.
 2. Vie et activité de Jérémie.
 3. Un nouvel Israël

ÉTAPE 9. LE DÉPART EN EXIL : ÉZÉCHIEL

 1. Une nouvelle figure d’Israël


 2. Le prophète Ézéchiel
 3. Théologie d’Ézéchiel

ÉTAPE 10. LA FIN DE L’EXIL (ISAÏE 40-55)

 1. Un livre original
 2. Le Règne de Dieu.
 3. Le serviteur

ÉTAPE 11. L’ÉPOQUE PERSE

 1. Vue générale de la période perse.


 2. Les prophètes de la restauration.
 3. Isaïe 55-66.
 4. Malachie et Jonas.

ÉTAPE 12. NAISSANCE DE L’APOCALYPTIQUE

 1. L’apocalypse.
 2. Joël, Abdias et Zacharie.
 3. Le livre de Daniel

LES EVANGILES SYNOPTIQUES

IN150 Les évangiles sont des documents tout autres que des lettres. Leur origine est
sans aucun doute la prédication apostolique qui s’est appuyé sur les enseignements et
les actes de Jésus avant Pâque...
Crédits ECTS: 6
Professeur : Dominique Charles O.P.

DESCRIPTION :

Les évangiles sont des documents tout autres que des lettres. Leur origine est sans
aucun doute la prédication apostolique qui s’est appuyé sur les enseignements et les
actes de Jésus avant Pâque. Les trois premiers évangiles du Nouveau Testament sont
qualifiés habituellement de « synoptiques » car ils ont beaucoup de ressemblances dans
leur organisation qui est très différente de celle du quatrième évangile. La comparaison
des évangiles dits « synoptiques » conduit à penser qu’ils ont existé sous des formes
diverses avant d’acquérir l’état définitif tel qu’il nous a été transmis. …

OBJECTIFS :
 Présenter l’origine des évangiles synoptique, en rapport avec la prédication
apostolique s’appuyant sur les enseignements et les actes de Jésus avant
Pâque.
 Montrer pourquoi les trois premiers évangiles du Nouveau Testament sont
qualifiés habituellement de « synoptiques», leurs ressemblances dans leur
organisation qui est très différente de celle du quatrième évangile.
 Comparer entre eux les évangiles dits « synoptiques » et montrer comment ils
ont existé sous des formes diverses avant d’acquérir l’état définitif tel qu’il
nous a été transmis.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Savoir différencier les évangiles
 Pouvoir identifier les caractéristiques de chacun des évangiles synoptiques
 Etre capable de mettre en évidence les péricopes communes
 Comprendre la logique propre, la théologie particulière à chaque évangile
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un quizz de synthèse du cours
 Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
 Amsleu F., L’Évangile inconnu. La Source des paroles de Jésus (Q), Genève,
Labor et Fides, « Essais Bibliquesé n°30, 2001.
 Baudoz J.F., « Lire les évangiles en synopse. Cinq exercices de lecture », Cahier
Évangile, 103, Cerf, 1998.
 Benoît P., Boismard M-É., Synopse des quatre évangiles en français, tomes I et
II, cerf (1997) 6è ed.

PLAN DU COURS

INTRODUCTION

 Le mot « évangile ».

ETAPE 1. LE GENRE LITTÉRAIRE "ÉVANGILE"

 A. Le mot « Synoptique ».
 B. Origines des évangiles synoptiques.

ETAPE 2. L’APPORT DE L’EXÉGÈSE HISTORICO-CRITIQUE : DES


ÉVANGILES AUX TRADITIONS PRÉSYNOPTIQUES

ETAPE 3. LE FAIT SYNOPTIQUE

 A. Quelques éléments d’une histoire complexe.


 B. Des hypothèses documentaires de plus en plus complexes.

ETAPE 4. LA QUESTION DES SÉMITISMES


ETAPE 5. LA RECONSTITUTION DE LA SOURCE « Q »

ETAPE 6. LA TRANSMISSION DES ÉCRITS ÉVANGÉLIQUES

 A. Jusqu’au 4e siècle, on écrit sur papyrus.


 B. Les manuscrits complets du Nouveau Testament en onciales (majuscules)

ETAPE 7. LES ÉVANGILES OUBLIÉS, PERDUS, RETROUVÉS

ETAPE 8. INTRODUCTION À L’ÉVANGILE DE MATTHIEU..

ETAPE 9. INTRODUCTION À L’ÉVANGILE DE MARC

ETAPE 10. INTRODUCTION À L’ÉVANGILE DE LUC

ANNEXE N°1 : LA LANGUE ORIGINALE DES EVANGILES

ANNEXE N°2 : RÉPARTITION DES ÉVANGILES DES DIMANCHES.

ANNEXE N°3 : LES THÉORIES DOCUMENTAIRES PRINCIPALES.

ANNEXE N°4 : PÉRICOPES COMMUNES À MT ET À LC : LA SOURCE Q..

BIBLIOGRAPHIE
AVEC SUIVI ET VALIDATION
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150,00 €
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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M2 Théologie - Spécialité Bible


 M1 Théologie
 Certificat d’études théologiques n° 2 - Trinité et vie chrétienne
 Licence en Théologie deuxième année
 M2 Théologie - Spécialité Histoire et Culture bibliques
 Master complémentaire en Bible
L'ÉVANGILE DE JEAN 1ÈRE PARTIE

En vue de découvrir l'originalité de l'Évangile selon Jean, nous proposons une


méthode, une vue générale et certains thèmes de cet Évangile, en espérant
que sa lecture devienne une nourriture impérissable et une source d'eau vive
pour la soif spirituelle du lecteur.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Joseph Le Minh Thong O.P

DESCRIPTION :
Puisque la lecture de l’Évangile selon Jean fait vivre le lecteur par « la
nourriture qui demeure en vie éternelle » (Jn 6,27) et « l’eau vive » qui
« deviendra en lui source d’eau jaillissant en vie éternelle » (4,14b), ces dons
sont offerts par le bon et l’unique pasteur, Jésus qui déclare ainsi son but :
« Moi, je suis venu pour qu’on ait la vie et qu’on l’ait surabondante » (10,10b).

OBJECTIFS :
 Présenter les méthodes de lecture (les approches diachronique et
synchronique).
 Fournit une vue générale sur plusieurs sujets : la suscription de
« l’Évangile selon Jean », la formation de cet l’Évangile et les notions
d’auteur et de lecteur.
 Manifester la structure générale et détaillée de l’Évangile ainsi que ses
caractéristiques littéraires.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Les étudiant.e.s seront capables de présenter les thèmes suivants :

 Le dualisme dans l’Evangile de Jean


 Le monde hostile et les adversaires de Jésus
 Le jour et la nuit, la lumière et les ténèbres
 Les signes johanniques
 « Egô eimi» (Moi, je suis)

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un quizz de synthèse du cours
 Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une
liste imposée.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
Martin et Kasser, Papyrus Bodmer XIV-XV (P75)
; http://en.wikipedia.org/wiki/Papyrus_75.
Delebecque, Évangile de Jean, 1987.
M.-A. Boismard ; A. Lamouille, Synopse des quatre Évangiles en français,
l’Évangile de Jean, t. III, 1977.
C.S. Keener, The Gospel of John. A Commentary, 2 vol., 2003.
J.R. Michaels, The Gospel of John, 2010.
F.J. MOLONEY, The Gospel of John, 1998.
U.C. Von Wahlde, The Gospel of John and Letters of John, 3 vol., 2010.

PLAN DU COURS
1ÈRE PARTIE : LES MÉTHODES
A. DIACHRONIE ET SYNCHRONIE
I. L’origine des termes « diachronie » et « synchronie »
1. La théorie de Ferdinand de Saussure
2. L’application à l’étude biblique
II. La diachronie et la synchronie dans l’étude biblique
1. Deux perspectives différentes
2. Le conflit et la querelle
III. Les propositions
1. La différence et l’indépendance
2. La complémentarité entre les deux approches
3. Les excès dans l’application
4. Les limites de chaque approche
IV. Le « texte final » du Nouveau Testament
V. CONCLUSION
B. L’ÉTUDE HISTORICO-CRITIQUE ET SES LIMITES
I. Les démarches de l’étude historico-critique
1. Une discipline multiple
2. Les champs d’étude
II. Les difficultés
1. La recherche du hors-texte
2. La problématique du sens historique du texte
III. Conclusion

2E PARTIE : QUELQUES REPÈRES HISTORIQUES


A. LA SUSCRIPTION : « ÉVANGILE SELON JEAN »
I. Les papyrus (IIe et IIIe siècles)
1. Le Papyrus P52 (Papyrus Rylands 457)
2. Le Papyrus P66 (Papyrus Bodmer II)
3. Le Papyrus P75 (Papyrus Bodmer XIV-XV)
II. Les Codex (IVe et Ve siècles)
1. Le Codex Sinaiticus (‫א‬.01), IVe s.
2. Le Codex Vaticanus (B.03), IVe s.
3. Le Codex Alexandrinus (A.02), Ve s.
4. Le Codex de Bèze (D.05), IVe-Ve s.
5. Le Codex Washingtonianus (W.032), IV-Ve s.
6. Résumé des titres dans les manuscrits
III. L’utilisation des titres de l’Évangile de nos jours
1. « Selon Jean » (κατα Ιωαννην)
2. « Évangile selon Jean », « Évangile selon saint Jean »
3. « Évangile de Jean »
4. « Quatrième Évangile »
IV. Le « titre » dans l’interprétation d’une « œuvre »
V. Conclusion
B. L’AUTEUR ET LE LECTEUR RÉELS, L’AUTEUR ET LE LECTEUR
IMPLICITES
I. Les notions d’auteur et de lecteur
1. L’auteur réel et le lecteur réel
2. L’auteur implicite et le lecteur implicite
3. Le lecteur au cours des siècles
II. La formation du quatrième Évangile
1. L’école Johannique
2. Les propositions
3. Trois étapes de formation de l’Évangile
3.1. Le disciple que Jésus aimait
3.2. L’évangéliste
3.3. Le rédacteur
III. Quelques stratégies narratives
1. Le processus de relecture et d’intertextualité
2. Les parallèles entre les deux conclusions
3. Les pronoms « nous » et « vous » dans le récit
IV. Conclusion

3E PARTIE : LA STRUCTURE ET LES CARACTÉRISTIQUES LITTÉRAIRES


A. STRUCTURE DE L’ÉVANGILE SELON JEAN
I. Les indices de la structuration
1. Quelques éléments structurants
1.1. Les éléments topographiques
1.2. Les éléments thématiques
2. Les critères de structure
2.1. Le contenu, les procédés littéraires et le style
2.2. Les cadres liturgiques ou géographiques
2.3. Les titres proposés dans la structure
II. La structure générale et détaillée
1. La structure générale
2. La structure détaillée
2.1. Le livre des Signes (1,19–12,50)
2.2. Le livre de l’Heure (Jn 13–21)
2.3. Le plan de l’Évangile
3. La structure de quelques péricopes
3.1. Structure de 1,1-18 : Le Prologue
3.2. Structure de 18,28–19,16a : Jésus devant Pilate
3.3. Structure de 17,1-8 : La mission et la glorification
3.4. Structure de Jn 17 : La prière de Jésus
III. Conclusion
B. CARACTÉRISTIQUES LITTÉRAIRES DE L’ÉVANGILE SELON JEAN
I. Le quatrième Évangile et les Synoptiques
1. Quelques points communs
1.1. Le genre littéraire de l’Évangile
1.2. Les récits en parallèle
2. Certains points différents
2.1. Les récits
2.2. Le vocabulaire
2.3. La topographie
2.4. Le style grec
2.5. Les thèmes johanniques
II. Les procédés littéraires du quatrième Évangile
1. Le malentendu
2. L’ironie
3. Le langage symbolique
III. Conclusion
Bibliographie
Abréviation
Texte de l’Évangile selon Jean et traduction
Commentaire
Autre

L'ÉVANGILE DE JEAN 2ÈME PARTIE

En vue de découvrir l'originalité de l'Évangile selon Jean, nous proposons ici certains
thèmes de cet Évangile : le dualisme johannique, la lumière et les ténèbres, Egô Eimi
etc.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Joseph Le Minh Thong O.P

DESCRIPTION :
Puisque la lecture de l’Évangile selon Jean fait vivre le lecteur par « la nourriture qui
demeure en vie éternelle » (Jn 6,27) et « l’eau vive » qui « deviendra en lui source d’eau
jaillissant en vie éternelle » (4,14b), ces dons sont offerts par le bon et l’unique pasteur,
Jésus qui déclare ainsi son but : « Moi, je suis venu pour qu’on ait la vie et qu’on l’ait
surabondante » (10,10b).

OBJECTIFS :
 Présenter les méthodes de lecture (les approches diachronique et
synchronique).
 Fournit une vue générale sur plusieurs sujets : la suscription de « l’Évangile
selon Jean », la formation de cet l’Évangile et les notions d’auteur et de lecteur.
 Manifester la structure générale et détaillée de l’Évangile ainsi que ses
caractéristiques littéraires.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Les étudiant.e.s seront capables de présenter les thèmes suivants :

 Le dualisme dans l’Evangile de Jean


 Le monde hostile et les adversaires de Jésus
 Le jour et la nuit, la lumière et les ténèbres
 Les signes johanniques
 « Egô eimi» (Moi, je suis)

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un quizz de synthèse du cours
 Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
Martin et Kasser, Papyrus Bodmer XIV-XV (P75)
; http://en.wikipedia.org/wiki/Papyrus_75.
Delebecque, Évangile de Jean, 1987.
M.-A. Boismard ; A. Lamouille, Synopse des quatre Évangiles en français, l’Évangile
de Jean, t. III, 1977.
C.S. Keener, The Gospel of John. A Commentary, 2 vol., 2003.
J.R. Michaels, The Gospel of John, 2010.
F.J. MOLONEY, The Gospel of John, 1998.
U.C. Von Wahlde, The Gospel of John and Letters of John, 3 vol., 2010.

PLAN DU COURS
A. LE DUALISME JOHANNIQUE
I. Le dualisme naturel : le jour et la nuit, la lumière et les ténèbres
II. Le dualisme spatial : le monde d’en haut et le monde d’en bas
III. Le dualisme de l’appartenance
IV. Le dualisme dans la vie humaine
V. Le dualisme dans la vie des disciples
VI. L’origine du dualisme et son sens théologique
VII. Conclusion

B. LE MONDE HOSTILE ET LES ADVERSAIRES DE JÉSUS


I. Le sens du terme « monde » (kosmos)
II. Les adversaires de Jésus et des disciples
III. Six caractéristiques du cercle des opposants à Jésus et à ses disciples
IV. Conclusion

C. LE JOUR ET LA NUIT, LA LUMIÈRE ET LES TÉNÈBRES


I. Le jour et la nuit
II. Ténèbres
III. Lumière
IV. Conclusion

D. LES SIGNES (SÊMEIA) JOHANNIQUES


I. Les signes que Jésus accomplit
II. Parlant de signes de Jésus
III. Les autres usages du terme « sêmeion » (signe)
IV. Conclusion

E. « EGÔ EIMI » (MOI, JE SUIS)


I. « Egô eimi » dans l’AT
II. « Egô eimi » dans le livre de l’Apocalypse
III. « Egô eimi » dans l’Évangile de Jean
IV. Conclusion

BIBLIOGRAPHIE
Abréviation
Texte de l’Évangile selon Jean et traduction
Commentaire
Autre
AVEC SUIVI ET VALIDATION
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150,00 €
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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M2 Théologie - Spécialité Bible


 M1 Théologie
 Licence en Théologie deuxième année
 M2 Théologie - Spécialité Histoire et Culture bibliques
 Master complémentaire en Bible

L'ÉVANGILE DE JEAN 3ÈME PARTIE

En vue de découvrir l'originalité de l'Évangile selon Jean, nous proposons certains


thèmes de cet Évangile : amour et amitié, le témoignage et témoigner, le
commandement de l'amour etc.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Joseph Le Minh Thong O.P

DESCRIPTION :
Puisque la lecture de l’Évangile selon Jean fait vivre le lecteur par « la nourriture qui
demeure en vie éternelle » (Jn 6,27) et « l’eau vive » qui « deviendra en lui source d’eau
jaillissant en vie éternelle » (4,14b), ces dons sont offerts par le bon et l’unique pasteur,
Jésus qui déclare ainsi son but : « Moi, je suis venu pour qu’on ait la vie et qu’on l’ait
surabondante » (10,10b).

OBJECTIFS :
 Présenter les méthodes de lecture (les approches diachronique et
synchronique).
 Fournit une vue générale sur plusieurs sujets : la suscription de « l’Évangile
selon Jean », la formation de cet l’Évangile et les notions d’auteur et de lecteur.
 Manifester la structure générale et détaillée de l’Évangile ainsi que ses
caractéristiques littéraires.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Les étudiant.e.s seront capables de présenter les thèmes suivants :

 Le dualisme dans l’Evangile de Jean


 Le monde hostile et les adversaires de Jésus
 Le jour et la nuit, la lumière et les ténèbres
 Les signes johanniques
 « Egô eimi» (Moi, je suis)

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un quizz de synthèse du cours
 Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
Martin et Kasser, Papyrus Bodmer XIV-XV (P75)
; http://en.wikipedia.org/wiki/Papyrus_75.
Delebecque, Évangile de Jean, 1987.
M.-A. Boismard ; A. Lamouille, Synopse des quatre Évangiles en français, l’Évangile
de Jean, t. III, 1977.
C.S. Keener, The Gospel of John. A Commentary, 2 vol., 2003.
J.R. Michaels, The Gospel of John, 2010.
F.J. MOLONEY, The Gospel of John, 1998.
U.C. Von Wahlde, The Gospel of John and Letters of John, 3 vol., 2010.

PLAN DU COURS : L'ÉVANGILE DE JEAN, 3ÈME


PARTIE
INTRODUCTION
L’objectif et le plan du cours
Quelques conventions
A. CROIRE (PISTEUÔ)
I. Les occurrences du verbe « pisteuô » (croire)
II. L’usage du verbe « pisteuô » (croire)
III. Trois niveaux de « croire » en Jésus
IV. Conclusion

B. LA CRISE DE LA FOI EN JÉSUS ET LA SOLUTION


I. Les raisons de la crise de la foi en Jésus
II. Que faire pour consolider la foi en Jésus ?
III. Conclusion

C. L’AMOUR ET L’AMITIÉ
I. Terminologie
II. Le sens des verbes « agapaô » (aimer) et « phileô » (aimer d’amitié)
III. L’amour produit la vie
IV. L’amour conduit à la perte
V. Ne pas aimer, ne pas avoir de l’amour
VI. Les amis
VII. Conclusion

D. LE COMMANDEMENT D’AMOUR DANS L’ÉVANGILE DE JEAN


I. Le commandement d’amour dans l’AT (Ancien Testament)
II. Le commandement d’amour dans les Synoptiques
III. Le commandement d’amour en Jn 13,34-35 ; 15,12.17
IV. Conclusion

E. LE TÉMOIGNAGE ET TÉMOIGNER
I. Terminologie
II. Le témoignage de Jean Baptiste
III. Le témoignage de Jésus et du Père
IV. Le témoignage du disciple que Jésus aimait (19,35 ; 21,24)
V. Conclusion

BIBLIOGRAPHIE
Abréviation des revues, collections, Bible, dictionnaires
Texte de l’Évangile selon Jean et traduction
Commentaire
Autre

AVEC SUIVI ET VALIDATION


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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M2 Théologie - Spécialité Bible


 M1 Théologie
 Licence en Théologie deuxième année
 Master complémentaire en Bible

PAUL, APÔTRE DES NATIONS

Paul s'est converti au Christ non pas à partir de l'incroyance ou de l'immoralité, mais à
partir d'une profonde expérience religieuse à l'intérieur du judaïsme...
Crédits ECTS: 3
Professeur : Jean-Michel Poffet O.P

PLAN DU COURS : PAUL, APÔTRE DES NATIONS


INTRODUCTION
Comment aimer cet Apôtre si méconnu?
Un religieux zélé, qui se convertit
Une autre lumière
Un précurseur

I. LA CONVERSION
« Je suis celui que tu persécutes »
Qui était Saul ?
Il ne renie pas ses origines
Il est aussi citoyen romain
Tout en venant de Tarse
Juif de la diaspora, il a reçu une excellente formation
A Jérusalem, il ne rencontre pas Jésus
Pharisien
Persécuteur de l’Eglise
Un fanatique violent
Un passionné
Un farouche opposant de l’Evangile
L’initiative du Christ
La vocation d’un prophète
Une révélation personnelle
Une effusion intérieure
Mis à part

II. LA PLÉNITUDE DU DON, ET DU PARDON


Une expérience spirituelle fondatrice
Apôtre, par la grâce de Jésus Christ
C’est le Christ qui vit en moi
Il s’est livré pour moi
Oubliant le chemin parcouru, je m’élance de l’avant…
Attaché à la croix du Christ
Prenez garde aux faux circoncis !
Qui veulent nous réduire en servitude
La Loi ou la grâce ?
La Loi de l’Esprit
Le Christ nous a libérés de la Loi…
…et nous sommes invités à lutter
Non plus esclaves mais enfants de Dieu

III. UN APÔTRE TRÈS HUMAIN


Un pas irréversible
La radicalité de l’Evangile
Fou ?
Dieu seul compte
Imitez-moi !
Un autre oint
Un exemple vécu
Avec autorité
Au service
Paul est un tendre…
Comme une femme qui enfante
Autonome économiquement
Une activité relationnelle
Pour offrir gratuitement l’Evangile
Tout à tous
Conduire à l’obéissance, en se faisant soi-même serviteur

IV. LA PUISSANCE DE LA VULNÉRABILITÉ


Humilité, échecs et rejets
Un fond d’adversité
L’épreuve affermit
Paroles d’encouragement
Les beaux parleurs
Le choix de Dieu
Craintif et tremblant
Pauvreté des moyens
En contraste avec l’importance de son ministère
Je peux tout en celui qui me rend fort
Joie

V. UN FONDATEUR DE COMMUNAUTÉS
Proche de chacun
La Loi, la Foi
Ni hommes ni femmes
Dans la pratique, Paul collabore avec beaucoup de femmes
Divisions dans l’Eglise
La chair et l’Esprit
La recherche de l’unité
Paul est affectueux
Réciprocité dans l’affection
Les Corinthiens sont « sa fierté », tendresse et proximité

VI LE TEMPS PRESSE
L’horizon…
…de la résurrection de tous…
…pour rencontrer le Christ
Cela se joue ici-bas…
…avec le corps
Responsabilité à l’égard des faibles
…et des esclaves chrétiens
Ne pas confondre l’Esprit et le paranormal
Etat d’urgence

CONCLUSION
Paul, homme de communion
Le regard de Jean Chrysostome
Paul cherche à sauver le monde entier pas seulement, comme Noé, sa famille
Paul, comme un bon général, est partout

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CE COURS FAIT PARTIE DE

 Licence en Théologie deuxième année


 FiX 2
 Certificat "Initiation à l’Ecriture Sainte"

INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE, 1ÈRE PARTIE

Ce cours constitue une introduction au questionnement métaphysique. En choisissant de


suivre la question de l’existence et de la nature de la substance, et ce faisant de la
Substance divine, nous avons voulu déployer le sens même d’une question qui va de
Parménide à Aristote. En se concentrant ici sur la philosophie antique, nous pouvons déjà
comprendre la signification même d’une interrogation qui définit l’ontologie elle-même.
On se demandera principalement si elle constitue véritablement une discipline, tant son
objet est complexe, au point que certains estiment qu’il faut s’en passer. Telles seront les
deux tensions que nous explorerons dans cette première partie.

Crédits ECTS: 3
Professeur : Matthieu Dubost

OBJECTIFS :
 Expliciter le projet métaphysique
 Présenter une introduction assez ample visant à poser les problématiques
fondamentales.
 Les déployer ensuite avec Parménide, Platon et Aristote en observant comment
le projet ontologique se précise pour aboutir à une théorie de la substance.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
A la fin de ce cours, les étudiant.e.s auront :

 Avoir démystifié la notion de métaphysique


 Avoir exploré les problèmes fondamentaux de la métaphysique antique
 Avoir acquis de l’expérience et de la confiance dans la lecture, la
compréhension et l’analyse de textes. Les étudiant.e.s pourront s’en servir dans
le cadre d’autres cours ou projets.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un devoir écrit (5 pages) en traitant un sujet au choix parmi ceux proposés
 Un examen en présentiel, à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
Parménide (Le Poème), Platon (le Sophiste et le Parménide), Aristote (La Physique et
la Métaphysique).

INTRODUCTION
COURS 1
1. Vers une définition consensuelle : la métaphysique est d’abord un projet de
questionnement rationnel sur la nature ultime de l’être.
1.1. On ne peut échapper à la métaphysique
1.2. La métaphysique est une science très « grecque »
1.3. La métaphysique est une discipline rationnelle en concurrence et en conflit avec les
prétentions doxiques, mythologiques ou sophistiques
1.4. La métaphysique poursuit le travail des sciences sans se confondre avec elles.
1.4.1. La question du commencement
1.4.2. La question de l’élémentaire
1.4.3. La question du visible
1.4.4. La question de l’unicité de l’univers
1.5. La métaphysique se définit enfin par ses résonances existentielles et esthétiques.

COURS 2
1.6. La métaphysique comme interrogation radicalisée
2. La métaphysique est aussi fondamentalement un « champ de bataille » (Kant)
2.1. La métaphysique constitue-t-elle une discipline ? (I)
2.1.1. Le paradoxe historique de sa définition
2.1.2. le paradoxe logique de son objet
2.1.3. le paradoxe de sa méthode
2.1.4. le paradoxe de sa primauté
2.2. Faut-il renoncer à la métaphysique ? (II)
2.2.1. le paradoxe de l’abstraction
2.2.2. le paradoxe de l’épreuve de la raison
2.2.3. le paradoxe de son échec
3. Méthode de ce cours

COURS 3
I. La naissance d’un projet
1. Le Poème de Parménide comme moment inaugural de la « métaphysique » (ou l’être
défini comme identité immobile à soi).
1.1. De la cosmogonie à la « physique » ou comment penser l’unité logique du monde
avec Héraclite.
1.2. Originalité du moment parménidien
1.2.1. Parménide, « père » de la philosophie et garant de la science

COURS 4
1.3. Constituer la métaphysique ? (« le Parménide de la complexité »)
1.3.1. Un nouveau concept : « l’être en tant qu’être »
1.3.2. Aristote lecteur de Parménide : une multiplicité (causale) mal assumée
1.3.3. Parménide penseur du non-être ?
1.3.4. Une interrogation radicalisée, voire énigmatique.
1. 4. Le rationalisme philosophique, nouvelle méthode pour un nouvel « objet »
1.4.1. La décision du sens
1.4.2. Le raisonnement par l’absurde
1.4.3. Réformer la langue

COURS 5
2. La dialectique d’Aristote comme projet explicité (ou l’être défini comme forme
immobile d’une nature en mouvement).
2.1. « L’être se dit en plusieurs sens. »
2.1.1. L’aporie
2.1.2. La solution de l’analogie ?
2.1.3. Implications méthodologiques : la métaphysique comme dialectique (Aubenque)
2.2. Définir la substance.
2.2.1. La substance comme matière ?

COURS 6
2.2.2. La substance comme forme ?
2.2.3. Substances immatérielles et substances composées (synolons)
2.3. Evaluation de la solution aristotélicienne.
Bilan du premier chapitre et transition

COURS 7
II. La métaphysique subordonnée (ou l’être défini par la différence de l’essence et de
l’existence).
1. Dieu : de l’« Ineffable » (Damascius) à la « question » première
1.1. Vers une nouvelle définition de la métaphysique.
COURS 8
1.2. Les preuves de l’existence de Dieu ou les « voies » vers Dieu
2. Equivocité de l’être
2.1. L’interprétation de la thèse aristotélicienne de l’équivocité de l’être en analogie
mixte
2.2. Essence et existence, ou la redéfinition thomiste de la substance
2.3. Dieu, Être exceptionnel
2.4. L’être est d’abord existence

COURS 9
3. Une métaphysique subordonnée par la raison naturelle elle-même.
3.1. La notion de philosophie chrétienne est ambiguë mais défend la distinction entre
théologie et métaphysique.
3.2. La critique idéaliste des voies vers Dieu et la mise en cause du projet métaphysique.
Bilan du deuxième chapitre et transition

COURS 10
III. Destructions et reconstructions de la métaphysique
1. La critique kantienne du projet métaphysique (ou l’être défini comme noumène
inaccessible à l’esprit humain)
1.1. La critique logico-historique (Kant)

COURS 11
2. Le « dépassement de la métaphysique » ? (ou l’être comme abstraction pure)
2.1. Le Cercle de Vienne et la critique de la science
2. 2. Il faut analyser le discours jusqu’à le réduire aux faits bruts afin de parvenir à des
certitudes (Carnap)
2.3. Le programme de destruction de la métaphysique
2.4. Limites du réductionnisme logique
3. La réaffirmation hegelienne du projet grec de métaphysique par le « dépassement »
de l’entendement (ou l’être défini dialectiquement)
3.1. « Le phénomène, c’est le noumène »
3.2. La logique, science du concret, ou système véritable de l’être se déployant
(exemple de la Doctrine de l’être).

COURS 12
Bilan du troisième chapitre
Conclusions

AVEC SUIVI ET VALIDATION


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150,00 €
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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M1 Philosophie
 Licence en Théologie deuxième année

INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE 2ÈME PARTIE

Dans cette seconde partie, nous reprendrons nos deux questions principales : la
métaphysique constitue-t-elle une discipline ? Doit-on s’en passer ? Mais nous nous
attacherons à explorer la suite et la reprise des motifs issus de la naissance de la
métaphysique. En nous concentrant sur la question de l’existence et de la nature de Dieu
au Moyen-Âge, puis sur le « champ de bataille » qui va de Kant à Carnap, nous voulons
montrer la persistance d’une interrogation et l’enrichissement progressif de celle-ci.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Matthieu Dubost
La deuxième partie du cours "Initiation à la métaphysique" commence avec l'étape 7
(cours 7). Elle est en pleine continuité avec la première partie.

OBJECTIFS :
 Présenter quelques aspects de la métaphysique médiévale, de Damascius à St
Thomas d’Aquin, en passant par Denys l’Aréopagiste et St Anselme.
 Montrer comment la spécificité de la substance divine se précise au point de
séparer l’essence de son existence.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Pouvoir présenter la relation entre métaphysique et foi à travers les trois
grands moments du Moyen-Âge
 Pouvoir expliquer la distinction entre essence et existence
 Avoir acquis de l’expérience et de la confiance dans la lecture, la
compréhension et l’analyse de textes. Les étudiant.e.s pourront s’en servir dans
le cadre d’autres cours ou projets.
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un devoir écrit (5 p) en traitant un sujet au choix parmi ceux proposés, un
examen en présentiel à la fin du semestre.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre

BIBLIOGRAPHIE :
Denys l’Aréopagite (Théologie symbolique, Théologie mystique, Les noms divins), Saint
Anselme (Monologion, Proslogion), Saint Thomas d’Aquin (De l’être de l’essence, La
somme théologique, La somme théologique, Summa contra Gentiles).

PLAN DE CHACUNE DES DEUX PARTIES


PREMIÈRE PARTIE
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 1
Introduction
1. Vers une définition consensuelle : la métaphysique est d’abord un projet de
questionnement rationnel sur la nature ultime de l’être.
1.1. On ne peut échapper à la métaphysique
1.2. La métaphysique est une science très « grecque »
1.3. La métaphysique est une discipline rationnelle en concurrence et en conflit avec les
prétentions doxiques, mythologiques ou sophistiques
1.4. La métaphysique poursuit le travail des sciences sans se confondre avec elles.
1.4.1. La question du commencement
1.4.2. La question de l’élémentaire
1.4.3. La question du visible
1.4.4. La question de l’unicité de l’univers
1.5. La métaphysique se définit enfin par ses résonances existentielles et esthétiques.
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 2
1.6. La métaphysique comme interrogation radicalisée
2. La métaphysique est aussi fondamentalement un « champ de bataille » (Kant)
2.1. La métaphysique constitue-t-elle une discipline ? (I)
2.1.1. Le paradoxe historique de sa définition
2.1.2. le paradoxe logique de son objet
2.1.3. le paradoxe de sa méthode
2.1.4. le paradoxe de sa primauté
2.2. Faut-il renoncer à la métaphysique ? (II)
2.2.1. le paradoxe de l’abstraction
2.2.2. le paradoxe de l’épreuve de la raison
2.2.3. le paradoxe de son échec
3. Méthode de ce cours
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 3
I. La naissance d’un projet
1. Le Poème de Parménide comme moment inaugural de la « métaphysique » (ou l’être
défini comme identité immobile à soi).
1.1. De la cosmogonie à la « physique » ou comment penser l’unité logique du monde
avec Héraclite.
1.2. Originalité du moment parménidien
1.2.1. Parménide, « père » de la philosophie et garant de la science
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 4
1.3. Constituer la métaphysique ? (« le Parménide de la complexité »)
1.3.1. Un nouveau concept : « l’être en tant qu’être »
1.3.2. Aristote lecteur de Parménide : une multiplicité (causale) mal assumée
1.3.3. Parménide penseur du non-être ?
1.3.4. Une interrogation radicalisée, voire énigmatique.
1. 4. Le rationalisme philosophique, nouvelle méthode pour un nouvel « objet »
1.4.1. La décision du sens
1.4.2. Le raisonnement par l’absurde
1.4.3. Réformer la langue
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 5
2. La dialectique d’Aristote comme projet explicité (ou l’être défini comme forme
immobile d’une nature en mouvement).
2.1. « L’être se dit en plusieurs sens. »
2.1.1. L’aporie
2.1.2. La solution de l’analogie ?
2.1.3. Implications méthodologiques : la métaphysique comme dialectique (Aubenque)
2.2. Définir la substance.
2.2.1. La substance comme matière ?
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 6
2.2.2. La substance comme forme ?
2.2.3. Substances immatérielles et substances composées (synolons)
2.3. Evaluation de la solution aristotélicienne.
Bilan du premier chapitre et transition

2ÈME PARTIE :
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 7
II. La métaphysique subordonnée (ou l’être défini par la différence de l’essence et de
l’existence).
1. Dieu : de l’« Ineffable » (Damascius) à la « question » première
1.1. Vers une nouvelle définition de la métaphysique.
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 8
1.2. Les preuves de l’existence de Dieu ou les « voies » vers Dieu
2. Equivocité de l’être
2.1. L’interprétation de la thèse aristotélicienne de l’équivocité de l’être en analogie
mixte
2.2. Essence et existence, ou la redéfinition thomiste de la substance
2.3. Dieu, Être exceptionnel
2.4. L’être est d’abord existence
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 9
3. Une métaphysique subordonnée par la raison naturelle elle-même.
3.1. La notion de philosophie chrétienne est ambiguë mais défend la distinction entre
théologie et métaphysique.
3.2. La critique idéaliste des voies vers Dieu et la mise en cause du projet métaphysique
Bilan du deuxième chapitre et transition
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 10
III. Destructions et reconstructions de la métaphysique
1. La critique kantienne du projet métaphysique (ou l’être défini comme noumène
inaccessible à l’esprit humain)
1.1. La critique logico-historique (Kant)
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 11
2. Le « dépassement de la métaphysique » ? (ou l’être comme abstraction pure)
2.1. Le Cercle de Vienne et la critique de la science
2. 2. Il faut analyser le discours jusqu’à le réduire aux faits bruts afin de parvenir à des
certitudes (Carnap)
2.3. Le programme de destruction de la métaphysique
2.4. Limites du réductionnisme logique
3. La réaffirmation hegelienne du projet grec de métaphysique par le « dépassement »
de l’entendement (ou l’être défini dialectiquement)
3.1. « Le phénomène, c’est le noumène »
3.2. La logique, science du concret, ou système véritable de l’être se déployant
(exemple de la Doctrine de l’être).
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 12
Bilan du troisième chapitre
Conclusions

AVEC SUIVI ET VALIDATION


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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M2 Théologie - Spécialité Dogmatique


 Licence en Théologie deuxième année
ANTHROPOLOGIE CHRÉTIENNE

TH028 Ce cours s'articule en deux parties : l’une centrée sur l’acte créateur, l’autre
sur l’acte rédempteur. Il question de manière plus précise de l’humanité.
Crédits ECTS: 6
Professeur : Jean Michel Maldamé O.P

DESCRIPTION :
Dans la prière eucharistique la plus ancienne, il est écrit « Père, il est juste et bon de te
rendre grâce par ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ : car il est ta parole vivante, par qui tu
as créé toutes choses. C’est lui que tu nous as envoyé comme Rédempteur et sauveur ».
Cette phrase de la préface - en application de l’adage lex orandi lex credendi - donne
l’articulation du cours.

OBJECTIFS :
 Présenter l’humanité dans l’intention de l’acte créateur.
 Présenter l’humanité dans l’intention de l’acte rédempteur.
 Développer l’anthropologie biblique Il question de manière plus précise de
l’humanité. La théologie s’enracine dans les Écritures, reçues, lues et comprises
comme une révélation de Dieu. Aussi notre théologie sera enracinée sur les
Écritures. L’anthropologie chrétienne est donnée par la Bible - c’est donc sur
elle que reposera le cours.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
A travers ce cours, les étudiant.e.s :

 Auront un cours en deux parties basées sur la Bible


 Acquerront la question de l’humanité au travers des questions fondamentales
posées dans le texte

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 L’évaluation du cours se fait en deux temps, par un quizz de synthèse du cours
d’abord et, ensuite, par la remise d’un devoir écrit avec un sujet à traiter au
choix parmi une liste imposée.
 Un examen écrit en présentiel à la fin du semestre

BIBLIOGRAPHIE :
S. AUGUSTIN, La Genèse au sens littéral, trad. fr., P. AGAËSSE et A.SOLIGNAC,
«Bibliothèque augustinienne 48 et 49 », Paris, Desclée de Brouwer, 1972 ;
La Trinité, trad. fr. M. MELLE et Th. CAMELOT, « Bibliothèque augustinienne 15 et
16 », Paris, Desclée de Brouwer, 1965.
CLÉMENT d'ALEXANDRIE, Le Protreptique, trad. fr. Claude MONDÉSERT, «
Sources chrétiennes 2 » ;
Le Pédagogue, trad. fr Chantal MATRAY, « Sources chrétiennes 158 » ;
Les Stromates, trad. fr. Claude MONDÉSERT, « Sources chrétiennes 30 et 38 », Paris,
édit. du Cerf.
GRÉGOIRE DE NYSSE, La Création de l'homme, trad. fr. Jean LAPLACE et Jean
DANIÉLOU, « Sources Chrétiennes 6 », Paris, édit. du Cerf, 1963.
GUILLAUME de SAINT THIERRY, Lettre au frères du Mont-Dieu (Lettre d'or), trad.
fr.
S. IRÉNÉE DE LYON, Contre les hérésies, Dénonciation et réfutation de la gnose au
nom menteur, trad. fr. Adelin ROUSSEAU, 1 vol., Paris, édit. du Cerf, 1984.
ORIGÈNE, Traité des Principes (Peri Archon), trad. fr. Marguerite HARL, « Études
augustiniennes », Paris, 1976 ;
Homélies sur la Genèse, trad. fr. Louis DOUTREALEAU et Henri de LUBAC, «
Sources chrétiennes 7bis », Paris, édit. du Cerf, 1976.
PHILON d'ALEXANDRIE, OEuvres, trad. fr., t. I, De Opificio mundi, trad. fr. R.
ARNALDEZ, Paris, éditions du Cerf, 1949.
TERTULLIEN, Contre Marcion, trad. fr. René BRAUN, « Sources chrétiennes 399 »,
Paris, édit. du Cerf, 1994 ; La chair de Jésus-Christ, trad. fr. Jean-Pierre MAHÉ ? «
Sources chrétiennes 216 et 217 », Paris, édit. Cerf, 1975.
S. THOMAS d'AQUIN, Somme théologique. Les origines de l'homme, Ia q. 90-102,
trad. et notes par Henri-D. Gardeil, « Revue des jeunes », Paris, édit. du Cerf, 1963.
DÉCHANET Jean, « Sources chrétiennes 223 », Paris, édit. du Cerf, 1985.
LARCHET, Jean-Claude, Théologie du corps, Paris, Cerf, 2009 Coll. Théologies
NEUSCH Marcel, Les rivages de l’homme, Paris, Bayard-Centurion, 1995

PLAN DU COURS
INTRODUCTION : AU PRINCIPE DE L’ANTHROPOLOGIE CHRÉTIENNE :
QUESTIONS DE MÉTHODE

1. ACCOMPLISSEMENT DES ÉCRITURES

 1. La lecture figurative de la Genèse par saint Paul


 2. La lecture chrétienne de la Bible
 3. Sens littéral et sens spirituel

2. LE RESSUSCITÉ EN QUI SE TROUVE TOUTE PLÉNITUDE


Conclusion

PREMIÈRE PARTIE : ÉTUDE BIBLIQUE


CHAPITRE I : LA CRÉATION DANS L’ANCIEN TESTAMENT
1. La structure de l’Ancien Testament
2. Théologie prophétique de la création
3. La création dans la Loi
4. La création oeuvre de sagesse

CHAPITRE II : L’ÊTRE HUMAIN POUR LA BIBLE HÉBRAÏQUE


1. L’homme dans son existence concrète
2. L’homme image de Dieu pour la Genèse
3. L’avenir de l’homme : la résurrection

CHAPITRE III : L’HOMME POUR LE JUDÉO-HELLÉNISME


1. LA TRADUCTION DE LA GENÈSE PAR LES LXX
2. LE LIVRE DE LA SAGESSE
3. L’ANTHROPOLOGIE DE PAUL
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE DE LA PREMIÈRE PARTIE
Conclusion générale de la première partie : Le mystère de l’homme

DEUXIÈME PARTIE : ETUDE DE LA TRADITION.


LES PÈRES DE L’EGLISE ET LES DOCTEURS
MÉDIÉVAUX
CHAPITRE I : TRADITION D’ALEXANDRIE
1. Philon d’Alexandrie
2. Clément d’Alexandrie
3. Origène
CHAPITRE II : COMBAT CONTRE LA GNOSE
1. Irénée
2. Tertullien
3. Une théologie de la création

CHAPITRE III : SAINT AUGUSTIN


1. Commentaire de la Genèse
2. Image de Dieu et Trinité divine
3. L’homme libre dans le temps

CHAPITRE IV : IMAGE DE DIEU ET MYSTIQUE CHRÉTIENNE


1. Grégoire de Nysse
2. La théologie de l’image dans la spiritualité monastique
3. Création et salut

CHAPITRE V : L’HOMME À L’IMAGE DE DIEU CHEZ SAINT THOMAS


D’AQUIN
1. Place du traité de l’homme dans la Somme de théologie
2. L’homme créé à l’image de Dieu
3. L’unité substantielle de l’être humain
Bibliographie de la deuxième partie

TROISIÈME PARTIE : L’HOMME À L’IMAGE DE


DIEU DANS LA THÉOLOGIE MODERNE
CHAPITRE I : LES GRANDES DÉCOUVERTES
1. Le droit des gens
2. La religion naturelle
3. La valeur de la raison naturelle

CHAPITRE II : LES ORIGINES DE L’HUMANITÉ


1. La théorie de l’évolution
2. L’hominisation
3. La question de l’origine
4. Lire les textes fondateurs de la foi

CHAPITRE III : LE PÉCHÉ ORIGINEL REVISITÉ


1. Une question nouvelle
2. Trois concepts fondamentaux
3. Le péché et le salut
CHAPITRE IV : IMAGE DE DIEU ET CONSCIENCE
1. La notion de conscience dans la Tradition
2. La conscience dans la modernité
3. Foi et psychanalyse

CHAPITRE V : IMAGE DE DIEU ET ÂME HUMAINE


1. L’âme et la sensibilité
2. La spiritualité

CHAPITRE VI : L’HOMME CRÉATEUR IMAGE DU CRÉATEUR


1. Evolution de la notion de création
2. Anthropologie chrétienne
3. La nature humaine est culture

AVEC SUIVI ET VALIDATION


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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M2 Philosophie - Spécialité Philosophie et Religion


 M1 Théologie
 M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
 Certificat d’études théologiques n° 1 : Le Verbe
 Licence en Théologie deuxième année
 M2 Théologie - Spécialité Philosophie
 Master complémentaire en Anthropologie Chrétienne

CHRISTOLOGIE TOME 1, LA CONFESSION DE FOI EN


LA DIVINITÉ DE JÉSUS

IN080 Le terme « christologie » désigne l’étude croyante de la confession de foi


chrétienne qui dit de Jésus qu’il est « vrai Dieu et vrai homme ». Si personne
aujourd’hui ne remet en cause le fait que Jésus soit un personnage historique, la
difficulté est toujours celle de la confession de sa divinité.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Patrick Lens O.P.

PRÉSENTATION
Dix étapes pour une initiation à la Christologie
L’emploi du terme « christologie » est récent. Il désigne l’étude croyante de la
confession de foi chrétienne qui dit de Jésus qu’il est « vrai Dieu et vrai homme ». Si
personne aujourd’hui ne remet en cause le fait que Jésus soit un personnage historique,
la difficulté est toujours celle de la confession de sa divinité. C’est donc sur ce point que
porte l’essentiel des débats aujourd’hui.
La démarche suivie dans ce cours n’est pas apologétique. Elle se veut plus sereine et
plus objective. Elle prend du recul pour inviter à une réflexion personnelle après avoir
retracé le subtil chemin de l’élaboration de la confession de foi et du renouvellement
des problématiques avec l’âge moderne.
La première étape consistera à présenter les titres employés dans cette confession de foi
unifiée qu’est l’écriture et la réception du Nouveau Testament par la communauté
chrétienne du premier siècle de notre ère.
Ensuite viennent plusieurs étapes selon une thématique : vérité de l’humanité de Jésus,
vérité de sa divinité, vérité de l’économie de l’incarnation, vérité de l’unité de la
personne de Jésus... Les débats paraissent en effet étranges ou arbitraires si on se
contente de l’histoire évènementielle où interfèrent le religieux et le politique aussi bien
que le culturel et le philosophique. En les replaçant dans une thématique, ils
apparaîtront dans leur actualité comme le fondement de nos difficultés de croire
intelligemment.

OBJECTIFS :
 Prendre du recul, sans aucun but apologétique, pour inviter à une réflexion
personnelle.
 Retracer le subtil chemin de l’élaboration de la confession de foi.
 Présenter le renouvellement des problématiques avec l’âge moderne.
 Présenter les titres employés dans cette confession de foi unifiée qu’est
l’écriture et la réception du Nouveau Testament par la communauté chrétienne
du premier siècle de notre ère.
 Présenter les thématiques suivantes : vérité de l’humanité de Jésus, vérité de
sa divinité, vérité de l’économie de l’incarnation, vérité de l’unité de la
personne de Jésus...
 Ne pas se contenter de l’histoire évènementielle où interfèrent le religieux et le
politique aussi bien que le culturel et le philosophique, afin que les débats ne
paraissent étranges ou arbitraires.
 Replacer les débats dans une thématique de fond afin qu’ils apparaîtront dans
leur actualité comme le fondement de nos difficultés de croire intelligemment.
 Se confronter aux questions modernes (cours de Christologie n°2).
 Ouvrir ainsi à des perspectives diverses en les laissant ouvertes, loin de tout
souci de synthèse dogmatique ou de simplification catéchétique – les
catéchismes sont rédigés dans cet esprit.
 Suivre vraiment une démarche théologique qui procède par la mise en question
et sait prendre le temps pour une réflexion ouverte sur les grandes
interrogations de la condition humaine.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Pouvoir exposer les titres christologiques employés dans cette confession de foi
unifiée qu’est l’écriture et la réception du Nouveau Testament par la
communauté chrétienne du premier siècle de notre ère.
 Pouvoir suivre plusieurs thématiques : vérité de l’humanité de Jésus, vérité de
sa divinité, vérité de l’économie de l’incarnation, vérité de l’unité de la
personne de Jésus, etc.
 Ne pas se contenter dans ses exposer de l’histoire évènementielle où
interfèrent le religieux et le politique aussi bien que le culturel et le
philosophique, mais présenter une thématique où les débats apparaîtront dans
leur actualité comme le fondement de nos difficultés de croire intelligemment.
 Pouvoir exposer les questions modernes de la christologie en les laissant
ouvertes, sans souci d’apologétique, de synthèse dogmatique et moins encore
de simplification catéchétique.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Deux quizz de synthèse du cours.
 Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée, soit une dissertation, soit un extrait de texte à commenter.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
 BOULARAND Ephrem, L’Hérésie d’Arius et la foi de Nicée, Paris, Letouzey et
Ané, 1972.
 MOINGT Joseph, L’Homme qui venait de Dieu, « Cogitatio Fidei 176 », Paris,
édit.du Cerf, 1993.
 MOINGT Joseph, Dieu qui vient à l’homme : t. I : Du deuil au dévoilement de
Dieu, «Cogitatio Fidei 222», Paris édit. du Cerf, 2002, t. II: De l’apparition à la
naissance de Dieu, 2 vol. « Cogitatio Fidei 245 et 257 », Paris, édit. du Cerf,
2005 et 2007.
 SESBOÜE Bernard, Jésus-Christ dans la tradition de l’Eglise. Pour une
actualisation de la christologie de Chalcédoine, Paris, Desclée, 2000.
 SESBOÜE Bernard et Joseph WOLINSKI, Le Dieu du salut, Paris, Desclée, 1994.

Ce volume étudie plus particulièrement les étapes 1 à 5. Mais le plan général du


cours a été volontairement laissé afin de permettre de visualiser les sujets des
étapes 6 à 10.
Les étapes suivantes nous confronteront à des questions modernes ; elles ouvriront sur
des perspectives diverses ; elles resteront ouvertes, loin de tout souci de synthèse
dogmatique ou de simplification catéchétique – les catéchismes sont rédigés dans cet
esprit qui n’est pas celui de la démarche théologique qui procède par la mise en question
et sait prendre le temps pour une réflexion ouverte sur les grandes interrogations de la
condition humaine.

PLAN DÉTAILLÉ DES DEUX VOLUMES

ETAPE 1. LA FOI DES APÔTRES DANS LES ÉVANGILES


A. Accomplissement
B. Jésus Fils de David
C. Jésus fils d’Abraham, fils d’Adam
D. Jésus Nouvel Elie et Nouveau Moïse
E. Jésus Fils de Dieu
F. Jésus est Seigneur
G. Jésus est le Logos
Conclusion de la première étape : Situation des titres

ETAPE 2. JÉSUS LE FILS DANS LE NOUVEAU TESTAMENT


A. L’expérience des apôtres
B. Jésus, le Fils de Dieu
C. Le Père de Jésus-Christ
Conclusion de la deuxième étape

ETAPE 3. VÉRITÉ DE L’ÉCONOMIE DE L’INCARNATION


A. La vérité humaine de la chair du Christ
B. Sainteté médiatrice de l’humanité de Jésus-Christ
C. Vérité de l’âme du Christ
D. La confession de foi de Nicée
Conclusion de la troisième étape

ETAPE 4. L’ÊTRE DU CHRIST, PERSPECTIVE ONTOLOGIQUE


A. La génération humaine du Fils
B. Une seule personne en deux natures
C. La communication des propriétés
Conclusion de la quatrième étape

ETAPE 5. ANTHROPOLOGIE DU CHRIST


A. La science du Christ
B. La volonté du Christ
D. Théologie médiévale
Conclusion de la cinquième étape

ETAPE 6. PROBLÉMATIQUE DE LA CHRISTOLOGIE MODERNE


A. Histoire des religions et théologie romaine
B. Origines de la religion chrétienne
C. Retour à l’étude du texte
Conclusion de la sixième étape

ETAPE 7. HISTOIRE ET DOGME


A. La perspective classique
B. Perspective sotériologique
C. Perspective historique
D. La perspective narrative
Conclusion de la septième étape

ETAPE 8. PHILOSOPHIA CHRISTI


A. La rencontre de l’incroyance
B. Vie spirituelle et psychanalyse
C. Le Christ et le politique
Conclusion de la huitième étape

ETAPE 9. LE CHRIST SAUVEUR UNIVERSEL


A. Le Christ et les religions du monde
B. Le Christ et l’Univers
C. Valeur universelle de la souffrance du Christ
Conclusion de la neuvième étape

ETAPE 10. INCARNATION


A. Le Christ en philosophie
B. Le Christ de Charles Péguy
Conclusion de la dixième étape
Conclusion générale
Bibliographie

AVEC SUIVI ET VALIDATION


Frais d'inscription :
150,00 €
CE COURS FAIT PARTIE DE

 M1 Théologie
 M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
 Licence en Théologie deuxième année
 FiX 2

CHRISTOLOGIE, LA CONFESSION DE FOI EN LA


DIVINITÉ DE JÉSUS TOME 2 (IN088)

IN088 L’emploi du terme « christologie » est récent. Il désigne l’étude croyante de la


confession de foi chrétienne qui dit de Jésus qu’il est « vrai Dieu et vrai homme ».
Crédits ECTS: 3
Professeur : Patrick Lens O.P.
Jean Michel Maldamé O.P

PRÉSENTATION
L’emploi du terme « christologie » est récent. Il désigne l’étude croyante de la
confession de foi chrétienne qui dit de Jésus qu’il est « vrai Dieu et vrai homme ». Si
personne aujourd’hui ne remet en cause le fait que Jésus soit un personnage historique,
la difficulté est toujours celle de la confession de sa divinité. C’est donc sur ce point que
porte l’essentiel des débats aujourd’hui.

OBJECTIFS :
 Prendre du recul, sans aucun but apologétique, pour inviter à une réflexion
personnelle.
 Retracer le subtil chemin de l’élaboration de la confession de foi.
 Présenter le renouvellement des problématiques avec l’âge moderne.
 Présenter les titres employés dans cette confession de foi unifiée qu’est
l’écriture et la réception du Nouveau Testament par la communauté chrétienne
du premier siècle de notre ère.
 Présenter les thématiques suivantes : vérité de l’humanité de Jésus, vérité de
sa divinité, vérité de l’économie de l’incarnation, vérité de l’unité de la
personne de Jésus...
 Ne pas se contenter de l’histoire évènementielle où interfèrent le religieux et le
politique aussi bien que le culturel et le philosophique, afin que les débats ne
paraissent étranges ou arbitraires.
 Replacer les débats dans une thématique de fond afin qu’ils apparaîtront dans
leur actualité comme le fondement de nos difficultés de croire intelligemment.
 Se confronter aux questions modernes (cours de Christologie n°2).
 Ouvrir ainsi à des perspectives diverses en les laissant ouvertes, loin de tout
souci de synthèse dogmatique ou de simplification catéchétique – les
catéchismes sont rédigés dans cet esprit.
 Suivre vraiment une démarche théologique qui procède par la mise en question
et sait prendre le temps pour une réflexion ouverte sur les grandes
interrogations de la condition humaine.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Pouvoir exposer les titres christologiques employés dans cette confession de foi
unifiée qu’est l’écriture et la réception du Nouveau Testament par la
communauté chrétienne du premier siècle de notre ère.
 Pouvoir suivre plusieurs thématiques : vérité de l’humanité de Jésus, vérité de
sa divinité, vérité de l’économie de l’incarnation, vérité de l’unité de la
personne de Jésus, etc.
 Ne pas se contenter dans ses exposer de l’histoire évènementielle où
interfèrent le religieux et le politique aussi bien que le culturel et le
philosophique, mais présenter une thématique où les débats apparaîtront dans
leur actualité comme le fondement de nos difficultés de croire intelligemment.
 Pouvoir exposer les questions modernes de la christologie en les laissant
ouvertes, sans souci d’apologétique, de synthèse dogmatique et moins encore
de simplification catéchétique.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Deux quizz de synthèse du cours.
 Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée, soit une dissertation, soit un extrait de texte à commenter.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
 BOULARAND Ephrem, L’Hérésie d’Arius et la foi de Nicée, Paris, Letouzey et
Ané, 1972.
 MOINGT Joseph, L’Homme qui venait de Dieu, « Cogitatio Fidei 176 », Paris,
édit.du Cerf, 1993.
 MOINGT Joseph, Dieu qui vient à l’homme : t. I : Du deuil au dévoilement de
Dieu, «Cogitatio Fidei 222», Paris édit. du Cerf, 2002, t. II: De l’apparition à la
naissance de Dieu, 2 vol. « Cogitatio Fidei 245 et 257 », Paris, édit. du Cerf,
2005 et 2007.
 SESBOÜE Bernard, Jésus-Christ dans la tradition de l’Eglise. Pour une
actualisation de la christologie de Chalcédoine, Paris, Desclée, 2000.
 SESBOÜE Bernard et Joseph WOLINSKI, Le Dieu du salut, Paris, Desclée, 1994.

La démarche suivie dans les chapitres de cette étude n’est pas apologétique. Elle se
veut plus sereine et plus objective. Elle invite à une réflexion personnelle après avoir
retracé le subtil chemin de l’élaboration de la confession de foi et fait le point sur le
renouvellement des problématiques avec l’âge moderne.

LE PREMIER VOLUME A ÉTUDIÉ PLUS PARTICULIÈREMENT


Etape 1: la foi des apôtres dans les évangiles.
Etape 2: Jésus le fils dans le Nouveau Testament
Etape 3: Vérité de l’économie de l’Incarnation
Etape 4: L’Etre du Christ, perspective ontologique
Etape 5 : Anthropologie du Christ

LE DEUXIÈME VOLUME SE COMPOSE DE 5 ÉTAPES


Etape 6 : Problématique de la christologie moderne
Etape 7 : Histoire et dogme
Etape 8 : Philosophia Christi
Etape 9 : Le Christ sauveur universel
Etape 10 : Incarnation

PLAN DE CE DEUXIÈME VOLUME

ETAPE 6. PROBLÉMATIQUE DE LA CHRISTOLOGIE MODERNE

A. Histoire des religions et théologie romaine


B. Origines de la religion chrétienne
C. Retour à l’étude du texte
Conclusion
Conclusion de la sixième étape

Etape 7. Histoire et dogme

A. La perspective classique
B. Perspective sotériologique
C. Perspective historique
D. La perspective narrative
Conclusion de la septième étape

ETAPE 8. PHILOSOPHIA CHRISTI

A. La rencontre de l’incroyance
B. Vie spirituelle et psychanalyse
C. Le Christ et le politique
Conclusion de la huitième étape

ETAPE 9. LE CHRIST SAUVEUR UNIVERSEL

A. Le Christ et les religions du monde


B. Le Christ et l’Univers
C. Valeur universelle de la souffrance du Christ
Conclusion
Conclusion de la neuvième étape

ETAPE 10. INCARNATION

A. Le Christ en philosophie
B. Le Christ de Charles Péguy
Conclusion de la dixième étape

Conclusion générale des deux volumes

AVEC SUIVI ET VALIDATION


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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M1 Théologie
 M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
 Licence en Théologie deuxième année
 FiX 2

INITIATION AUX PÈRES DE L'EGLISE (TOME 1)

IN027 Après les apôtres, les Pères de l'Eglise sont notre mémoire. A ce titre, ces cours
d’initiation patristique, dont celui-ci est le premier, s’adressent à tous ceux qui veulent
se former au contact de la grande Tradition de l’Eglise et recevoir d’elle, lumière
doctrinale et élan spirituel.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Anselme Baudelet O.S.B.

PRÉSENTATION

Sœur Marie Ancilla moniale dominicaine, en a établi le plan à partir de la


revue Connaissance des Pères de l’Eglise, où les Pères A.G Hamman, ofm, et L. Donnat*,
osb, grands spécialistes de Patristique, nous entraînent à leur suite dans la découverte
de ces ancêtres spirituels.
C’est un ensemble de cours passionnants, car ils nous permettent de redécouvrir les
balbutiements de notre foi, et les intuitions lumineuses qui ont éclairé ces Pères. Vatican
II nous a permis de pouvoir nous rapprocher de cette source, n’hésitons pas à nous y
désaltérer.

OBJECTIFS :
 Former au contact de la grande Tradition de l’Église, par une .
 Communiquer, par la lecture des pères de l’Eglise, lumière doctrinale et élan
spirituel.
 Redécouvrir les balbutiements de la foi et les intuitions lumineuses qui ont
éclairé ces Pères.
 S’abreuver à la source des Pères de l’Eglise dont le concile Vatican II a demandé
de rapprocher.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Savoir ce que signifie un « père de l’Eglise »
 Acquérir une bonne introduction à la doctrine des Pères de l’Église.
 Étudier une partie de l’histoire de cette doctrine depuis la toute première
littérature chrétienne jusqu’à saint Justin.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
 Un examen en présentiel, à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
Sur Internet, vous trouverez beaucoup de textes des Pères de l'Eglise, des liens vers
d'autres sites, des bibliographies.
Un livre indispensable : Livre des Jours, Le Cerf - Desclée de Brouwer – Desclée-Mame,
1976.
Conseillé : A.-G. Hamman, Dictionnaire des Pères de l'Église, DDB, Paris, 1985.
(Ce livre donne un aperçu général simple qui permet de se mettre dans le bain !)
Compléments qui peuvent être utiles : Polycopiés du cours Nos racines : Association
Jean-Paul Migne, 17, Rue d'Alembert, 75014 Paris : Introduction à l'étude des pères de
l'Église. (Donne une longue bibliographie fouillée).
Les Pères de l'Église du Ier au IIIe siècle
Les Pères de l'âge d'or des IVe et Ve siècle
Pour chaque auteur une bibliographie sera donnée, ainsi que pour chaque devoir.
Ont été utilisées pour la rédaction de ce cours : Les Revues « Connaissance des Pères de
l'Eglise », n : 2, 3, 8, 9, 13, 14,
Lectures
Il est bon de lire une oeuvre de chaque auteur étudié.

 On peut trouver l'Adversus Haereses d'Irénée de Lyon sur le site

http ://www.jesusmarie.com/irenee_de_lyon.html

 Pour Tertullien, le texte du Traité sur le baptême accompagne le devoir proposé

pour Tertullien.

 Pour Origène : « Origène, la prière », DDB, Coll. « Les Pères dans la foi » 1977.
 Hippolyte : Tradition apostolique, SC 11.
 Athanase : Sur l'Incarnation du Verbe, dans SC 11 ou 199,
 Hilaire : Traité du Saint Esprit, SC 17 bis.

Tome 1 : Introduction générale


Les étapes :

1. Première littérature chrétienne


2. Le deuxième siècle : Tournant décisif
3. Le troisième siècle : Essor des lettres chrétiennes
4. Le IVe siècle : L’Age d’or des Pères
5. Le Ve siècle : Augustin et la naissance du Moyen Age
6. Les martyrs, témoins de l’Agneau
7. Ignace d’Antioche
8. La Didachè
9. Justin
10. Témoignage de Justin

PLAN DÉTAILLÉ CI-DESSOUS

Etape 1 - Première littérature chrétienne


A. Littérature judéo-chrétienne
B. Littérature pagano-chrétienne
Etape 2 - Le deuxième siècle : Tournant décisif
A Les Pères Apologistes (150-200)
B. Qui sont les chrétiens ?
C. Les Apologistes
Etape 3 - Le troisième siècle : Essor des lettres chrétiennes
A. L’Eglise au IIIe siècle
B. L’essor littéraire et théologique
Etape 4 - Le IVe siècle : L’Age d’or des Pères
A. Contexte historique et religieux
B. Les Pères de l’Orient
Etape 5 - Le Ve siècle : Augustin et la naissance du Moyen Age
A. Contexte historique
B. L’Eglise
C. Les chefs de file
D. Écrivains des IVème et Vème siècles : Orient et Occident
Etape 6 - Les martyrs, témoins de l’Agneau
A. Spiritualité du martyre
B. Récit de martyres
Etape 7 - Ignace d’Antioche
A. Biographie
B. Enseignement d’Ignace
C. Le maître mystique
D. Etude d’un texte
E. Proposition de devoir sur Ignace d’Antioche
Etape 8 - La Didachè
A. Analyse de la Didachè
B. Idées-maîtresses de la catéchèse
Etape 9 - Justin
A. Sa vie
B. Sa conversion
C. Son œuvre
Etape 10 - Témoignage de Justin
A. Témoin de la communauté chrétienne
B. Le philosophe chrétien
C. L’exégète
D. Points essentiels de la Doctrine
Annexe (pour les étudiants de licence ou accompagnés)
A. Méthode de travail des textes
B. Textes des Lettres d’Ignace d’Antioche aux Romains et aux Ephésiens
C. Exemple de devoir sur le sujet "Le Christ dans les Lettres d’Ignace d’Antioche aux
Romains et aux Ephésiens"

(*) Nous remercions beaucoup le P. Donnat de nous avoir donné l’autorisation de


reprendre des contenus de la Revue Connaissance des Pères de l’Eglise.
Ont collaboré à ce cours
Auteurs : Fr. A.G Hamman, franciscain ; Fr. L. Donnat*, bénédictin ; la revue
"Connaissance des Pères de l’Eglise" ; Soeur Marie-Ancilla, moniale dominicaine ;
Adaptation : Sr Marie-Ancilla ; Françoise DUBOST
AVEC SUIVI ET VALIDATION
Frais d'inscription :
150,00 €
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CE COURS FAIT PARTIE DE

 Brevet "Etudes patrologiques"


 Licence en Théologie deuxième année
 M2 Histoire - Spécialité Histoire du christianisme
 Master complémentaire en Philosophie et Christianisme
 L1 Bachelor en Histoire

INITIATION AUX PÈRES DE L'EGLISE ( SAINT


AUGUSTIN)

IN058 Saint Augustin est le plus grand des Pères latins et un des plus grands génies de
l'humanité. Il avait de l'ordre et de bons secrétaires, ses archives étaient bien tenues.
Auteur le mieux conservé et le plus divulgué, son influence sur la postérité est profonde
et continue.
Crédits ECTS: 6
Professeur : Anselme Baudelet O.S.B.
Auteurs : frère Lin Donnat* osb, père A. Solignac sj, frère M.-F. Berrouard op, soeur
Edith Neyrand osb, et la Revue "Connaissance des Pères de l’Eglise" Soeur Marie-
Ancilla op
Adaptation : Françoise Dubost

PRÉSENTATION
Saint Augustin a été présenté brièvement dans le cours sur les Pères de l’Eglise au Vè
siècle. Ce cours qui lui est entièrement dédié va nous permettre de l’étudier plus en
profondeur. L’Etape 1, retrace volontairement l’ambiance de l’époque et le contexte dans
lequel Augustin sera appelé à grandir. Pendant les 9 premières étapes, Sr Marie Ancilla
et la revue "Connaissance des Pères de l’Eglise" nous brossent un portrait d’Augustin, de
sa vie, de sa conversion, et ses œuvres. Dans l’étape 10 le fr. Berrouard nous emmène
avec Augustin pour prier les psaumes.
Ce cours, le n° 4 de la série "Les Pères de l’Eglise", nous permet de poursuivre
l’approfondissement de l’étude de cette période de la vie de l’Eglise. Nous y redécouvrons
avec joie ces Pères, et tout particulièrement ici saint Augustin qui a marqué profondément
l’enseignement spirituel et le visage de l’Eglise.

OBJECTIFS :
 Former au contact de la grande Tradition de l’Église, par une .
 Communiquer, par la lecture des pères de l’Eglise, lumière doctrinale et élan
spirituel.
 Redécouvrir les balbutiements de la foi et les intuitions lumineuses qui ont
éclairé ces Pères.
 S’abreuver à la source des Pères de l’Eglise dont le concile Vatican II a demandé
de rapprocher.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Savoir ce que signifie un « père de l’Eglise »
 Acquérir une bonne introduction à la doctrine des Pères de l’Église.
 Étudier une partie de l’histoire de cette doctrine depuis la toute première
littérature chrétienne jusqu’à saint Justin.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
 Un examen en présentiel, à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
Sur Internet, vous trouverez beaucoup de textes des Pères de l'Eglise, des liens vers
d'autres sites, des bibliographies.
Un livre indispensable : Livre des Jours, Le Cerf - Desclée de Brouwer – Desclée-
Mame, 1976.
Conseillé : A.-G. Hamman, Dictionnaire des Pères de l'Église, DDB, Paris, 1985.
(Ce livre donne un aperçu général simple qui permet de se mettre dans le bain !)
Compléments qui peuvent être utiles : Polycopiés du cours Nos racines : Association
Jean-Paul Migne, 17, Rue d'Alembert, 75014 Paris : Introduction à l'étude des pères de
l'Église. (Donne une longue bibliographie fouillée).
Les Pères de l'Église du Ier au IIIe siècle
Les Pères de l'âge d'or des IVe et Ve siècle
Pour chaque auteur une bibliographie sera donnée, ainsi que pour chaque devoir.
Ont été utilisées pour la rédaction de ce cours : Les Revues « Connaissance des Pères de
l'Eglise », n : 2, 3, 8, 9, 13, 14,
Lectures
Il est bon de lire une oeuvre de chaque auteur étudié.

 On peut trouver l'Adversus Haereses d'Irénée de Lyon sur le site

http ://www.jesusmarie.com/irenee_de_lyon.html

 Pour Tertullien, le texte du Traité sur le baptême accompagne le devoir


proposé

pour Tertullien.

 Pour Origène : « Origène, la prière », DDB, Coll. « Les Pères dans la foi » 1977.
 Hippolyte : Tradition apostolique, SC 11.
 Athanase : Sur l'Incarnation du Verbe, dans SC 11 ou 199,
 Hilaire : Traité du Saint Esprit, SC 17 bis.

-* Nous vous proposons 10 étapes, à étudier par exemple en 10 soirées, à votre propre
rythme
________________________________________

LES ÉTAPES :

1. Le Ve siècle : La naissance du Moyen Age


2. Saint Augustin
3. « Tu m’as converti à toi, Seigneur »
4. Pour une histoire spirituelle de l’évêque d’Hippone
5. Saint Augustin et la Parole de Vie
6. L’Eglise, communauté d’amour et de vie
7. « La tentation » : combat de la vie chrétienne. selon saint Augustin
8. L’ambiguïté de la tentation, et la résistance aux tentations selon saint Augustin
9. Sacrement de Pénitence : Se reconnaître pécheur
10. Saint Augustin et la prière chrétienne des psaumes
________________________________________
PLAN DÉTAILLÉ
Etape 1 : Le Ve siècle : La Naissance du Moyen Age
A. Contexte historique
B. L’Eglise
C. Les chefs de file
Etape 2 : Saint Augustin
A. Augustin dans l’histoire
B. L’Enseignement de Saint Augustin
C. Conclusion : Les deux traditions Augustiniennes
Etape 3 : « Tu m’as converti à toi, Seigneur »
A. La Scène du jardin
B. Je me Torturais
C. Les « vieilles amies » et la Continence
D. Il Se leva une grosse tempête
E. Prends, lis
Etape 4 : Pour une histoire spirituelle de l’évêque d’Hippone
A. L’appel de la sagesse
B. Conversion : que je te connaisse, que je me connaisse
C. L’avenir perdu
Etape 5 : Saint Augustin et la Parole de Vie
A. L’Ecriture dans la vie de Saint Augustin
B. L’Écriture, Sacrement du Verbe
C. Le Maître Intérieur
D. L’Écriture et les sens spirituels
E. L’accueil de la Parole
F. Le désir de la gloire et la purification du désir
G. Intelligence et sagesse
Conclusion
Etape 6 : L’Eglise, communauté d’amour et de vie
A. Union au Christ et Salut
B. Communion des saints et rémission des péchés
C. Communion de vie dans la charité
Etape 7 : « La tentation » : combat de la vie chrétienne. selon saint Augustin
Le Combat de la vie chrétienne
Etape 8 : L’ambiguïté de la tentation, et la résistance aux tentations selon Saint
Augustin
A. L ’ambiguïté de la Tentation
B. La résistance aux tentations
C. Le Diable et le Bon Dieu :Qui est mon tentateur ?
Etape 9 : Sacrement de Pénitence : Se reconnaître pécheur
A. La confession du pécheur
B. Les moyens de la pénitence quotidienne
Etape 10 : Saint Augustin et la prière chrétienne des psaumes
A. Les psaumes comme paroles de l’Esprit Saint et des hommes
B. Les psaumes comme prières du Christ
C. Le Christ total
D. Le Christ prie parfois en son nom personnel
E. II prie parfois au nom de ses membres
F. II prie parfois en son nom et en notre nom
Mots clés :
saint Augustin, Augustin d’Hippone, conversion, Pélage, condition humaine,
prédestination, tentation, pénitence, combat spirituel, prière, psaumes, biographie,
spiritualité, théologie

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CE COURS FAIT PARTIE DE

 Brevet "Etudes patrologiques"


 Licence en Théologie deuxième année
 M2 Histoire - Spécialité Histoire du christianisme
 Master complémentaire en Histoire du Christianisme
 L2 Bachelor en Histoire

LES FONDEMENTS DE L'ETHIQUE

IN145 Parfois, les émotions prenant le dessus sur la raison, la discussion se réduit à
des arguments du type « pour » ou « contre ». S’autoriser à simplifier les questions
éthiques de manière si catégorique est d’une certaine manière faire fi de la complexité
des situations et de la réalité des personnes qui les vivent...
Crédits ECTS: 3
Professeur : Philippe Cochinaux O.P.
DESCRIPTION :
De tout temps – depuis l’instant de son apparition sur la terre – l’être humain a cherché
à utiliser son intelligence en vue d’améliorer sa condition ainsi que le milieu dans lequel
il vit. Ces dernières décennies, ce processus s’est sérieusement accéléré. Grâce aux
récentes découvertes scientifiques, aux évolutions des mentalités, aux transformations
technologiques, de nouvelles possibilités s’offrent à tout individu. Celui-ci se trouve
confronté à de nouveaux enjeux éthiques vraisemblablement plus complexes
qu’auparavant. En conséquence, face à certaines questions, les débats sont non
seulement passionnants mais passionnés. Parfois d’ailleurs, les émotions prenant le
dessus sur la raison, la discussion se réduit à des arguments du type « pour » ou
« contre ». S’autoriser à simplifier ainsi les questions éthiques de manière si catégorique
est d’une certaine manière faire fi de la complexité des situations et de la réalité des
personnes qui les vivent...

OBJECTIFS :
 Montrer comment, grâce aux récentes découvertes scientifiques, aux
évolutions des mentalités, aux transformations technologiques, de nouvelles
possibilités s’offrent à tout individu. Celui-ci se trouve confronté à de nouveaux
enjeux éthiques vraisemblablement plus complexes qu’auparavant.
 Introduire à certains débats, non seulement passionnants mais aussi
passionnés qui surgissent face à certaines questions.
 Montrer comment les émotions prenant le dessus sur la raison, la discussion se
réduit souvent à des arguments du type « pour » ou « contre ». et pourquoi
s’autoriser à simplifier ainsi les questions éthiques de manière si catégorique
est d’une certaine manière faire fi de la complexité des situations et de la
réalité des personnes qui les vivent...

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Pouvoir présenter les huit étapes qui correspondent à des questions
fondamentales en éthique
 Avoir réfléchi à des questions à travers une vision éthique et savoir argumenter
du point de vue éthique.
 Avoir acquit les connaissances nécessaires pour poursuivre des cours d’éthique
spécialisés.
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 L’évaluation du cours se fait en trois temps, tout d’abord par un quizz de
synthèse du cours, ensuite, par la remise d’un devoir écrit
 Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste imposée, soit une
dissertation, soit un extrait de texte à commenter
 Un examen en présentiel, à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
 Gesché, La destinée, Coll. Dieu pour penser, V, Paris, Cerf, 1995.
 Girard, Celui par qui le scandale arrive, Desclée De Brouwer, Paris, 2001.
 Thevenot, Morale fondamentale, Éditions Don Bosco, Paris, 2007.
 Thevenot, Éthique pour un monde nouveau, Salvator, Paris, 2005.

PLAN DU COURS
Introduction
Etape 1. Le choix du plus d’amour

 Morale ou éthique
 L’amour
 L’éthique de l’être
 Texte

Etape 2. La personne humaine

 La capacité réflexive
 Un sujet incarné
 La relation
 L’historicité
 L’unicité
 L’humour
 L’amour
 L’image divine
 Texte

Etape 3. La liberté

 La capacité de choisir
 L’exercice d’une liberté limitée
 Le paradoxe de la liberté
 La finalité de la liberté
 Les entraves
 La liberté des enfants de Dieu
 Texte

Etape 4. La conscience

 La complexité du concept
 Vers une socialisation éclatée
 Le sur-moi
 Les trois dimensions de la conscience
 La formation de la conscience
 La foi
 Texte

Etape 5. Le mal et la souffrance

 Etat actuel de la question


 Une toute puissance de douceur
 La finalité de la Création
 L’inachèvement de l’être
 Texte

Etape 6. La violence

 La mimesis d’appropriation
 Le bouc émissaire
 Le groupe humain
 La société
 L’individu
 Texte

Etape 7. Le pardon

 Un acte de souvenir
 Un acte humain nécessaire
 Un acte de foi
 Le pardon altruiste
 Le pardon personnel
 L’apogée du pardon
 Texte

Etape 8. Les trois dimensions de l’éthique

 La dimension universelle
 La dimension particulière
 La dimension singulière
 Conclusion
 Texte

Bibliographie
AVEC SUIVI ET VALIDATION
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CE COURS FAIT PARTIE DE

 L2 Philosophie
 M1 Philosophie
 M2 Philosophie - Spécialité Ethique et Politique
 M1 Théologie
 M2 Théologie -Spécialité Ethique
 Brevet "Théologie morale"
 Certificat d’études théologiques n° 2 - Trinité et vie chrétienne
 Licence en Théologie deuxième année
 Master complémentaire en Ethique
 FiX 2
 Master 2 en Ethique Economique

INTRODUCTION À LA LITURGIE, 2 :
PHÉNOMÉNOLOGIE ET THÉOLOGIE DE LA LITURGIE

IN014 Ce second cours, Phénoménologie et Théologie de la liturgie, aborde la


Liturgie en tant qu’action sacrée, symbolique et rituelle..., "action commune du Grand
Prêtre Jésus-Christ et de son Eglise, pour la glorification de Dieu et la sanctification de
l’homme"...
Crédits ECTS: 6
Professeur : Anselme Baudelet O.S.B.

PRÉSENTATION
Avec cette "Introduction à la Liturgie", le Père Baudelet introduit dans un domaine
souvent méconnu. Il permet de comprendre ce qu’est la liturgie chrétienne, ses origines
et son évolution, puis sa théologie, c’est-à-dire, ce qu’elle peut dire de Dieu.
Cette étude se présente en deux cours, tous deux accessibles à un large public
Ce second cours, Phénoménologie et Théologie de la liturgie, aborde la Liturgie en
tant qu’action sacrée, symbolique et rituelle..., "action commune du Grand Prêtre Jésus-
Christ et de son Eglise, pour la glorification de Dieu et la sanctification de l’homme".
Il permet de comprendre la réciprocité de la Parole entre Dieu et l’homme. Dieu parle,
l’homme écoute et répond. C’est un cours concret, et très intéressant. Il éclaire ce sujet
qui paraît parfois d’un abord difficile.

OBJECTIFS :
Dans le tome 1

 Présenter l’histoire de la liturgie.


 Manifester les racines juives de la liturgie
 Expliquer l’évolution de la liturgie au temps des apôtres, puis avec les Pères de
l’Eglise et cela jusqu’au IVème siècle.
 Présenter les différents Rits orientaux et occidentaux, et spécialement le Rit
romain.

Dans le tome 2

 Présenter la liturgie en tant qu’action sacrée, symbolique et rituelle..., "action


commune du Grand Prêtre Jésus-Christ et de son Église, pour la glorification de
Dieu et la sanctification de l’homme"...
 Initier à la théologie de la liturgie.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Pouvoir présenter l’histoire de la liturgie chrétienne dans ses origines
 Savoir expliquer que, dès le début, la liturgie n’a cessé d’évoluer.
 Savoir montrer comment la liturgie est un lieu théologique.
 Savoir présenter la liturgie en tant qu’acte sacré, symbolique et rituel.
 Pouvoir expliquer la réciprocité qui s’établit dans la liturgie entre la Parole
entre Dieu et l’homme.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un quizz de synthèse pour chacun des tomes.
 Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
1. H. Dalmais, Initiation à la liturgie, Paris, 1958, DDB.

Adam, La Liturgie aujourd'hui, Turnhout, 1989, Brepols

1. Corbon, Liturgie de source, Paris, 1980, Cerf

Vatican II, Constitution « Sacrosanctum Concilium »


Jean Daniélou : Bible et Liturgie. Paris, 1951, Cerf.

1. Bouyer, Eucharistie. Tournai, 1966, Desclée.


2. Bredshaw, La liturgie chrétienne en ses origines
3. Hamman, « Vie liturgique et vie sociale ». Paris, 1968, Desclée

SOMMAIRE GÉNÉRAL
10 étapes :

1. La liturgie, action sacrée


2. La liturgie, action symbolique
3. La Ritualité
4. L’Assemblée
5. Temps et Lieux
6. Objets et gestes
7. Parole de Dieu
8. Parole de l’homme
9. Théologie de la Liturgie
10. Les lois de la Liturgie

 Conclusion

PLAN DÉTAILLÉ
1ere Etape : La liturgie, action sacrée
1. Le sacré pré-chrétien et son expérience humaine selon Mircea Eliade
2. Sacré et liturgie
2è étape : La liturgie, action symbolique
1. Du signe au symbole
2. Symbole, Parole et Sacrement
3è étape : La Ritualité
1. Mythe et Rite
2. Ce qu’est le rite
3. Le rite et la fête
4. Le rite liturgique, un rite vivant
5. Rite, Symbole et Sacrement
4è étape : L’Assemblée
1. L’enracinement biblique de l’Assemblée liturgique
2. Le mystère de l’Assemblée
3. Assemblée et Communauté
4. L ’Assemblée et ses services
5è étape : Temps et Lieux
1. La liturgie et le temps
2. La liturgie et ses lieux
6è étape : Objets et gestes
1. Éléments et objets
2. Linges, Vêtements, Couleurs
3. La liturgie et ses gestes
7è étape : Parole de Dieu
1. Structure dialogale de la célébration liturgique
2. L’assemblée écoute la Parole de Dieu
8è étape : Parole de l’homme
1. L’assemblée répond à la Parole de Dieu
9è étape : Théologie de la Liturgie
1. La célébration liturgique, oeuvre du Christ prêtre...
2 . ... et de son Corps qui est l’Église
10è étape : Les lois de la Liturgie
1. Brève histoire du droit liturgique
2. Lois de la célébration liturgique
Conclusion
1. La liturgie est l’action commune du grand prêtre Jésus-Christ et de son Eglise.
2. La liturgie chrétienne s’enracine dans la liturgie juive et s’abreuve à la Parole de
Dieu
contenue dans la Bible.
3. Etapes historiques
4. La liturgie est une action sacrée :
5. La liturgie est une action symbolique.
6. La liturgie est une action rituelle.
7. Le premier « symbole » de la liturgie est l’assemblée liturgique elle-même,
8. Le temps humain est sanctifié et sanctifiant depuis l’incarnation du Verbe et son
Mystère
Pascal.
9. Le lieu liturgique ordinaire est l’église.
10. La structure de la liturgie biblique se retrouve dans la liturgie chrétienne :
11. Dans la célébration l’assemblée est invitée à la prière
12. La liturgie est l’exercice de la fonction sacerdotale du Christ.
13. L’Église étant le « lieu » où s’actualise la fonction sacerdotale du Christ,
14. C’est donc dans la célébration elle-même que la liturgie de l’Église s’actualise
Ont collaboré
Auteurs : fr. Anselme BAUDELET, moine bénédictin
du Mòn Sen-Benwa, Haïti ;
Adaptation : Françoise DUBOST

Comment suivre ce cours ?

 Nous vous proposons 10 étapes, à étudier par exemple en 10 soirées, à votre


propre rythme.

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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M1 Sciences Religieuses
 M1 Théologie
 M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
 Brevet " Le catéchisme"
 Licence en Théologie troisième année
 Master 2 de Sciences Religieuses (spécialité Histoire du Christianisme)
 M1 Histoire - Spécialité Histoire du christianisme
 Master complémentaire en Liturgie
 M2 Histoire de l'art
 M1 Histoire de l'Art
INTRODUCTION À LA LITURGIE, 1 : HISTOIRE DE LA
LITURGIE

IN013 Ce premier cours s’attache plus particulièrement à l’histoire de la Liturgie, ses


racines juives, puis son évolution au temps des apôtres et des Pères de l’Eglise jusqu’au
IVè siècle. Il permet également une approche des différents Rits orientaux et
occidentaux, et spécialement le Rit romain.
Crédits ECTS: 6
Professeur : Anselme Baudelet O.S.B.

PRÉSENTATION
Avec cette "Introduction à la Liturgie", le Père Baudelet introduit dans un domaine
souvent méconnu.

Il permet de comprendre ce qu’est la liturgie chrétienne, ses origines et son évolution,


puis sa théologie, c’est-à-dire, ce qu’elle peut dire de Dieu. Cette étude se répartit sur
deux cours, tous les deux accessibles à un large public
Ce premier cours s’attache plus particulièrement à l’histoire de la Liturgie, ses racines
juives, puis son évolution au temps des apôtres et des Pères de l’Eglise jusqu’au IVè
siècle. Il permet également une approche des différents Rits orientaux et occidentaux, et
spécialement le Rit romain.
C’est un travail documenté, clair et intéressant. Il est vivement conseillé de l’étudier en
premier.

OBJECTIFS :
Dans le tome 1

 Présenter l’histoire de la liturgie.


 Manifester les racines juives de la liturgie
 Expliquer l’évolution de la liturgie au temps des apôtres, puis avec les Pères de
l’Eglise et cela jusqu’au IVème siècle.
 Présenter les différents Rits orientaux et occidentaux, et spécialement le Rit
romain.

Dans le tome 2

 Présenter la liturgie en tant qu’action sacrée, symbolique et rituelle..., "action


commune du Grand Prêtre Jésus-Christ et de son Église, pour la glorification de
Dieu et la sanctification de l’homme"...
 Initier à la théologie de la liturgie.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Pouvoir présenter l’histoire de la liturgie chrétienne dans ses origines
 Savoir expliquer que, dès le début, la liturgie n’a cessé d’évoluer.
 Savoir montrer comment la liturgie est un lieu théologique.
 Savoir présenter la liturgie en tant qu’acte sacré, symbolique et rituel.
 Pouvoir expliquer la réciprocité qui s’établit dans la liturgie entre la Parole
entre Dieu et l’homme.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un quizz de synthèse pour chacun des tomes.
 Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
1. H. Dalmais, Initiation à la liturgie, Paris, 1958, DDB.

Adam, La Liturgie aujourd'hui, Turnhout, 1989, Brepols

1. Corbon, Liturgie de source, Paris, 1980, Cerf

Vatican II, Constitution « Sacrosanctum Concilium »


Jean Daniélou : Bible et Liturgie. Paris, 1951, Cerf.

1. Bouyer, Eucharistie. Tournai, 1966, Desclée.


2. Bredshaw, La liturgie chrétienne en ses origines
3. Hamman, « Vie liturgique et vie sociale ». Paris, 1968, Desclée.

SOMMAIRE GÉNÉRAL
10 étapes :

 Préliminaires.

1. Histoire de la Liturgie : Origines juives


2. Histoire de la liturgie : Au temps des Apôtres et des Pères.
3. Histoire de la liturgie : La liturgie au temps des martyrs : IIe et IIIe s.
4. Histoire de la liturgie : « La Tradition apostolique » d’Hippolyte de Rome
5. Histoire de la liturgie : « La Didascalie des Douze Apôtres » et l’Eglise
constantinienne au IVè siècle
6. Les rits orientaux : Le groupe antiochien
7. Les rites orientaux : Le groupe alexandrin
8. Les Rits Occidentaux : Vème-VIIème s.
9. Les Rits Occidentaux : De l’époque carolingienne au Concile de Trente.VIIè-
XVIè siècle
10. Les Rits Occidentaux : Du Concile de Trente au Concile de Vatican II : XVIe -
XXe s.

PLAN DÉTAILLÉ
Préliminaires.
1. Le nom de « liturgie »

2. Nature et définition de la liturgie chrétienne


3. Les types de célébrations liturgiques
4. La liturgie est essentielle à l’Église, mais n’est pas toute sa vie
1e étape. Histoire de la Liturgie : Origines juives
1. Rites, symboles, fêtes
2. « Berakah » et « Hodayah »
3. La liturgie synagogale
4. Liturgie des repas
2e étape. Histoire de la liturgie : Au temps des Apôtres et des Pères.
1. Les 4 périodes de l’histoire
2. La liturgie chrétienne à l’âge apostolique : Ier s.
3e étape. Histoire de la liturgie : La liturgie au temps des martyrs : IIe et IIIe s.
1 : Les allusions à la liturgie
2 : La « 1ère Apologie » de S. Justin
4e étape. Histoire de la liturgie : « La Tradition apostolique » d’Hippolyte de
Rome
1. Texte de S. Hippolyte : « Tradition Apostolique », ch 2-4.
2. « La tradition Apostolique : document unique pour l’histoire des premiers siècles.
5e étape. Histoire de la liturgie : « La Didascalie des Douze Apôtres » et l’Eglise
constantinienne au IVè siècle
1. La Didascalie des Douze Apôtres
2. La liturgie dans l’Église constantinienne : IVe siècle
6e étape. Les rits orientaux : Le groupe antiochien
1. La différenciation des familles liturgiques : les rits
2. Le groupe antiochien
7e étape. Les rites orientaux : Le groupe alexandrin
a) Le rit Copte
b) Le rit Éthiopien
c). Éléments communs aux rits orientaux
8e étape. Les Rits Occidentaux : Vème-VIIème s.
1 : À Rome et en Afrique du Nord : le rit Romain
2 : dans le reste de l’Europe
9e étape. Les Rits Occidentaux : De l’époque carolingienne au Concile de
Trente.VIIè- XVIè siècle
1. De l’Epoque Carolingienne à Saint Grégoire : VIIè-XIè
2. De la réforme grégorienne au Concile de Trente : XIe - XVIe s.
10e étape : Les Rits Occidentaux : Du Concile de Trente au Concile de Vatican II :
XVIe - XXe s.
1 : Les cultes réformés au XVIe s.
2 : La liturgie tridentine
3 : Trois siècles de stabilité liturgique : 1614-1903
4 : Le mouvement liturgique au XXe s. et la réforme de Vatican II

Ont collaboré
Auteurs : fr. Anselme BAUDELET, moine bénédictin du Mòn Sen-Benwa, Haïti ;
Adaptation : Françoise
DUBOST

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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M1 Théologie
 M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
 M2 Théologie - Spécialité Histoire du Christianisme
 Brevet " Le catéchisme"
 Licence en Théologie troisième année
 M2 Histoire - Spécialité Histoire du christianisme
 Master complémentaire en Liturgie
 M2 Histoire de l'art
 M1 Histoire
 M2 Histoire
 M1 Histoire de l'Art

HISTOIRE DE L'EGLISE À L'ÉPOQUE


CONTEMPORAINE

HH001 L’histoire de l’Église dans la France contemporaine met en évidence la


fracture qui a détruit l’unité profonde de la société chrétienne d’Ancien Régime. La
société française du début du XXIe siècle n’est pas sortie des débats qui ont pris
naissance avec cette déchirure.
Crédits ECTS: 6
Professeur : Augustin Laffay O.P

PRÉSENTATION
L’histoire de l’Église dans la France contemporaine met en évidence la fracture qui a
détruit l’unité profonde de la société chrétienne d’Ancien Régime. La société française
du début du XXIe siècle n’est pas sortie des débats qui ont pris naissance avec cette
déchirure. Le cours comprend six leçons qui balayent un champ chronologique partant du
XVIIIe siècle pour aboutir aux années de la Première guerre mondiale. On étudiera les
mouvements de flux et de reflux du religieux dans la société française en donnant une
large place aux résultats acquis par les historiens des mentalités mais sans sacrifier une
compréhension de l’histoire en sa vérité spirituelle profonde.

OBJECTIFS :
 Montrer comment l’histoire de l’Église dans la France contemporaine est celle
d’une fracture qui a détruit l’unité profonde de la société chrétienne d’Ancien
Régime.
 Manifester comment la société française du début du XXIe siècle n’est pas
sortie des débats qui ont pris naissance avec cette déchirure.
 Balayent un champ chronologique partant du XVIIIe siècle pour aboutir aux
années de la Première guerre mondiale.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Pouvoir présenter les mouvements de flux et de reflux religieux dans la société
française.
 Etre capable de donner une large place aux résultats acquis par les historiens
des mentalités.
 Ne pas sacrifier une compréhension de l’histoire en sa vérité spirituelle
profonde, dans l’exposé de l’histoire de l’Eglise contemporaine .

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un quizz de synthèse du cours.
 Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
André Latreille, L’Église catholique et la révolution française (1775-1799) , « Foi
Vivante 131 », Paris, Ed. du Cerf, 1970
Jean de Viguerie, Christianisme et Révolution. Cinq leçons d’histoire de la Révolution
française, Paris, N.E.L.,
1986
Gérard Cholvy, La religion en France de la fin du XVIIIe siècle à nos jours , Paris,
Hachette, 1998
Michel Vovelle, La Révolution contre l’Église. De la Raison à l’Être suprême, Paris,
Complexe, 1988,
Léon Dériès, Les Congrégations religieuses au temps de Napoléon, Paris, Félix Alcan,
1929,
Jacques-Olivier Boudon, L’Épiscopat français à l’époque concordataire , « Histoire
religieuse de la France 9 », paris, Ed. du Cerf, 1996,
Pierre Pierrard, La Vie quotidienne du prêtre français au XIXe siècle, « Vie quotidienne
», Paris, Hachette, 1986,

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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M1 Théologie
 M2 Théologie -Spécialité Pastorale
 M2 Théologie - Spécialité Histoire du Christianisme
 Licence en Théologie troisième année
 M1 Histoire - Spécialité Histoire du christianisme
 M2 Histoire - Spécialité Histoire du christianisme
 Master complémentaire en Histoire du Christianisme
 L3 Bachelor en Histoire
 M1 Histoire
 M2 Histoire

DROIT CANONIQUE INSTITUTIONNEL - 1ÈRE PARTIE


DC001-1

DC001-1 Ce cours vise a présenter en introduction les grandes étapes de l’histoire du


droit canonique et de sa théologie. Puis, sont présentées les principales institutions de
l’Eglise en procédant la plupart du temps par un commentaire du Code de Droit
canonique de 1983.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Loïc-Marie Le Bot O.P.

OBJECTIFS DU COURS
 Présenter en introduction les grandes étapes de l’histoire du droit canonique et
de sa théologie.
 Présenter les principales institutions de l’Eglise en procédant la plupart du
temps par un commentaire du Code de Droit canonique de 1983.
 Montrer que le droit canonique est un élément historiquement essentiel à la
vie de l’Église.
 Présenter son histoire, ses fondements théologiques pour aboutir au nouveau
Code de 1983, en filiation directe du Concile Vatican II.
 Suivre le plan général du Code de droit canonique de 1983 en étudiant
l’autorité suprême de l’Eglise (Le Pape, le Collège des Evêques, les aides du
Pontife romain - Synode des Evêques, Cardinaux, la Curie et les Légats) puis les
Eglises particulières (structures, évêques, regroupements, diocèses, paroisses,
curés), pour finir par les Instituts de vie consacrée (Institut religieux et Instituts
séculiers) et les Sociétés de vie apostolique (normes et différents types).

ACQUIS DE L'APPRENTISSAGE

 Savoir présenter l'histoire, la théologie du droit canonique de l'Eglise catholique


 Pouvoir utiliser un code de droit canonique, en particulier celui de 1983

VALIDATION

 Un devoir à la maison, sans limite de temps, avec les documents disponibles,


sur un sujet choisi parmi trois proposés
 Un examen en présentiel, en un centre agréé, proche du domicile, par écrit,
pendant 3h, sans document.

SOMMAIRE
Introduction : Histoire du droit institutionnel

CHAPITRE I : Histoire du droit canonique


CHAPITRE II : Les fondements théologiques du droit canonique
CHAPITRE III : Le Code de 1983
Présentation des institutions principales de l'Eglise Catholique Latine
Première partie : L’autorité suprême de l'Église (cc. 330-367)
CHAPITRE I : Le pontife romain et le collège des évêques
SECTION I : Primauté et collégialité (c. 330)
SECTION II : Le pontife romain (cc. 331-335)
SECTION III : Le collège des évêques (cc. 336-341)
CHAPITRE II : Les aides au pontife romain
SECTION I : Le synode des évêques (cc. 342-348)
SECTION II : Les cardinaux de la sainte Église romaine
SECTION III : La curie romaine
SECTION IV : Les légats du pontife romain
CHAPITRE III : Saint-Siège et cité du Vatican
SECTION I : Histoire des États pontificaux
SECTION II : Le Vatican
SECTION III : La personnalité internationale du Saint-Siège
Deuxième partie : Les Églises particulières (cc. 368-572)
CHAPITRE I : Définition de l'Église particulière (cc. 368-374)
SECTION I : Le diocèse
SECTION II : Les autres formes d'Église particulière
SECTION III : des entités qui ne peuvent être des Églises particulières
CHAPITRE II : Érection et structuration des Églises particulières
CHAPITRE III : Les évêques
SECTION I : La fonction épiscopale
SECTION II : La nomination des évêques
SECTION III : Les évêques diocésains
SECTION IV : Les évêques coadjuteurs et auxiliaires
SECTION V : Le siège vacant
CHAPITRE IV : Les regroupements d'Églises particulières
SECTION I : La province et la région ecclésiastique
SECTION II : Le métropolitain
SECTION III : Les conciles particuliers
SECTION IV : La conférence des évêques
CHAPITRE V : L’organisation interne de l’Église particulière
SECTION I : Les institutions diocésaines
SECTION II : La paroisse et le curé
Troisième partie : Les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique
CHAPITRE I : Les instituts de vie consacrée
SECTION I : Les normes communes
SECTION II : Les instituts religieux (cc. 607-709)
SECTION III : Les instituts séculiers
CHAPITRE II : Les sociétés de vie apostolique
Les Sources
1. Les actes pontificaux
2. Les ouvrages
3. Les articles

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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M1 Théologie
 M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
 Licence en Théologie troisième année
 Certificat de Droit Canonique
LES SACREMENTS EN GÉNÉRAL.

IN135 Ce cours propose une théorie générale des sacrements puis aborde les deux
premiers sacrements de l'initiation: le baptême et la confirmation.
Crédits ECTS: 6
Professeur : Jean Christophe de Nadaï O.P.

PRÉSENTATION
 D’après le « De baptismo » de Tertullien (entre 200 et 206)

Dans ce traité, Tertullien combat les sectes gnostiques qui, dans le dualisme absolu
qu’elles professaient, rejetaient toute médiation d’ordre charnel (toute matière créée
étant mauvaise), dont les rites du baptême, tenant pour une justification par la foi seule.

 « Le sacrement de l’Esprit »

Le sacrement de la confirmation est constitué, quant à la matière, de l’imposition sur le


baptisé des mains de l’évêque et des prêtres qui lui sont associés, et de l’onction avec
le saint chrême, accomplie par l’évêque. La forme en est la suivante : « N., sois marqué
de l’Esprit-Saint, le don de Dieu. »
S’agissant de la matière, elle comprend deux moments, dont il faudra détailler la
signification.
« Sois marqué », s’agissant de la confirmation, explicite le fait qu’un sacrement est un
signe. Comme ce signe a ceci de particulier, qu’il « réalise ce qu’il signifie », le confirmé
reçoit véritablement l’Esprit Saint comme don de Dieu.

OBJECTIFS :
 Présenter la catéchèse de Tertullien dans le De baptismo
 Introduire à la théologie de saint Augustin sur les sacrements dans
le De baptismo et dans De doctrina christiana.
 Introduire à la théologie de la grâce.
 Présenter la théologie sacramentelle du Concile Vatican II, présente dans Lumen
Gentium
 Introduire à la théologie de la confirmation comme sacrement de l’Esprit

ACQUIS DE L’APPRENTISSAGE :
CONNAISSANCES
 Connaître la pensée de Tertullien sur les sacrements, en particulier celui du
baptême
 Connaître des œuvres de référence comme le de baptismo de Tertullien et
Augustin, le de doctrina christiana d’Augustin, la Somme de Théologie de Th
d’Aquin, Lumen Gentium, etc.
 Avoir compris la nécessité des sacrements, selon Th. d’Aquin.

COMPETENCES

 Pouvoir présenter en perspective, la théologie sacramentelle de Tertullien celle


d’Augustin, celle de Th. d’Aquin, à propos des sacrements.
 Pouvoir présenter la théologie des sacrements présente dans Lumen Gentium, le
décret concilaire.
 Pouvoir expliquer pourquoi l’Eglise est le premier sacrement.
 Pouvoir expliquer la notion de « caractère » sacramentel.
 Pouvoir répondre à une question comme : qui est le ministre de la confirmation ?

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Auto évaluation : après chaque chapitre des questions sont posées qui appellent l’étudiant
à réfléchir et à créer sa propre synthèse en fonction de ce qu’il a lu.

 Un quizz en temps limité à la fin des séquences


 Un devoir 5 pages
 Un examen en présentiel à la fin du semestre

BIBLIOGRAPHIE :
 Tertullien De baptismo
 Augustin de baptismo, De doctrina christiana, La cité de Dieu
 d’Aquin Somme de théologie
 Concile Vatican II Lumen Gentium
 Guillet, J., Entre Jésus et l’Eglise, Seuil, Paris, 1985
 Perrot, Ch., Jésus et l’histoire, Desclée, Paris, 1979 (ch. III, IV et IX)
 CONGAR, Y., « L’idée de sacrements majeurs ou principaux », Concilium 31
(1988), p. 25-34
 CONGAR, Y., Un peuple messianique, 1ère partie : « L’Eglise, sacrement du salut
», Cogitatio fidei 85, Cerf, Paris, 1975.
 DORE dir Sacrements de Jésus-Christ, coll. « Jésus et Jésus-Christ » n°18, Desclée,
Paris, 1983
 CHAUVET, L.-M., Symbole et sacrement. Une relecture sacramentelle de
l’existence chrétienne, Cogitatio fidei n°144, Cerf, 1987 [Ouvrage important,
mais d’accès difficile. Lire la fin de son article cité, dans Catholicisme, plus facile
à lire]
 GANOCZY, La doctrine catholique des sacrements, Desclée, Paris, 1988

PLAN DU COURS
ETAPE 1. CHRIST, EGLISE, INDIVIDU ET SACREMENT, I,

 D’après le De baptismo de Tertullien (entre 200 et 206)

ETAPE 2. CHRIST, EGLISE, INDIVIDU ET SACREMENT, II

 D’après le livre IV, ch. XV et XVI du De Baptismo de saint Augustin (400 ou 401)

ETAPE 3. SIGNE AUGUSTINIEN, FONDEMENT DE LA THÉOLOGIE


SACRAMENTAIRE CLASSIQUE

 Extraits du De doctrina christiana

ETAPE 4. CE QUI REVIENT À DIEU ET À L’HOMME DANS LA CÉLÉBRATION


DES SACREMENTS

 D’après la Somme théologique, IIIa, qu. 60 : « L’essence du sacrement »

ETAPE 5. L’EGLISE, SACREMENT DU SALUT

 D’après la constitution Lumen gentium du Concile Vatican II

ETAPE 6. POURQUOI DIEU A-T-IL ÉTABLI DES SACREMENTS ?

 D’après la Somme théologique, IIIa, qu. 61 : « La nécessité du sacrement »

ETAPE 7. LA GRÂCE SACRAMENTELLE

 D’après la Somme théologique, IIIa, qu. 62 : « La grâce, effet principal des


sacrements »
ETAPE 8. LA DOCTRINE DU CARACTÈRE

 D’après la Somme théologique, IIIa, qu. 63 : « Le caractère, effet secondaire des


sacrements »

ETAPE 9. L’INSTITUTION DU BAPTÊME

ETAPE 10. BAPTÊMES D’EAU, D’ESPRIT ET DE SANG

 D’après la Somme théologique, IIIa, qu. 66, aa. 11-12

ETAPE 11. LE BAPTÊME DES ENFANTS DE PARENTS INFIDÈLES

 IVe concile de Tolède (633) :

ETAPE 12. DE LA PRÉTENDUE INNOCENCE DE L’ENFANT

 D’après les Confessions de saint Augustin, l. I, ch. VII

ETAPE 13. LA DOCTRINE CHRÉTIENNE SUR LE SACRIFICE

 Extrait de La cité de Dieu de saint Augustin, au livre X, chapitre VI, « Du vrai et


parfait sacrifice »

ETAPE 14. LA CONFIRMATION

 Le sacrement de l’Esprit

Bibliographie

 Les Sacrements en général


 Bibliographie sur le baptême et la confirmation

AVEC SUIVI ET VALIDATION


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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M1 Théologie
 M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
 Brevet "Les sacrements"
 Licence en Théologie troisième année

DROIT CANONIQUE INSTITUTIONNEL - 2E PARTIE


DC001-2

DC001-2 Le cours suit le plan général du Code de droit canonique de 1983 : l’autorité
suprême de l’Eglise (Le Pape, le Collège des Evêques, les aides du Pontife romain -
Synode des Evêques, Cardinaux, la Curie et les Légats) puis les Eglises particulières
(structures, évêques, regroupements, diocèses, paroisses, curés), pour finir par les
Instituts de vie consacrée (Institut religieux et Instituts séculiers) et les Sociétés de vie
apostolique (normes et différents types).
Crédits ECTS: 3
Professeur : Loïc-Marie Le Bot O.P.

OBJECTIFS DU COURS
 Présenter en introduction les grandes étapes de l’histoire du droit canonique et
de sa théologie.
 Présenter les principales institutions de l’Eglise en procédant la plupart du
temps par un commentaire du Code de Droit canonique de 1983.
 Montrer que le droit canonique est un élément historiquement essentiel à la
vie de l’Église.
 Présenter son histoire, ses fondements théologiques pour aboutir au nouveau
Code de 1983, en filiation directe du Concile Vatican II.
 Suivre le plan général du Code de droit canonique de 1983 en étudiant
l’autorité suprême de l’Eglise (Le Pape, le Collège des Evêques, les aides du
Pontife romain - Synode des Evêques, Cardinaux, la Curie et les Légats) puis les
Eglises particulières (structures, évêques, regroupements, diocèses, paroisses,
curés), pour finir par les Instituts de vie consacrée (Institut religieux et Instituts
séculiers) et les Sociétés de vie apostolique (normes et différents types).
ACQUIS DE L'APPRENTISSAGE

 Savoir présenter l'histoire, la théologie du droit canonique de l'Eglise catholique


 Pouvoir utiliser un code de droit canonique, en particulier celui de 1983

VALIDATION

 Un devoir à la maison, sans limite de temps, avec les documents disponibles,


sur un sujet choisi parmi trois proposés
 Un examen en présentiel, en un centre agréé, proche du domicile, par écrit,
pendant 3h, sans document.

SOMMAIRE

Introduction : HISTOIRE DU DROIT INSTITUTIONNEL


CHAPITRE I : HISTOIRE DU DROIT CANONIQUE
CHAPITRE II : LES FONDEMENTS THEOLOGIQUES DU DROIT CANONIQUE
CHAPITRE III : LE CODE DE 1983
PRESENTATION DES INSTITUTIONS PRINCIPALES DE L’EGLISE
CATHOLIQUE LATINE

Première partie : L’AUTORITÉ SUPRÊME DE L’ÉGLISE (cc. 330-367)


CHAPITRE I : LE PONTIFE ROMAIN ET LE COLLEGE DES EVEQUES

SECTION I : PRIMAUTÉ ET COLLÉGIALITÉ (c. 330)


SECTION II : LE PONTIFE ROMAIN (cc. 331-335)
SECTION III : LE COLLÈGE DES ÉVÊQUES (cc. 336-341)

CHAPITRE II : LES AIDES DU PONTIFE ROMAIN.

SECTION I : LE SYNODE DES ÉVÊQUES (cc. 342-348)


SECTION II : LES CARDINAUX DE LA SAINTE ÉGLISE ROMAINE
SECTION III : LA CURIE ROMAINE
SECTION IV : LES LÉGATS DU PONTIFE ROMAIN

CHAPITRE III : SAINT-SIEGE ET CITE DU VATICAN

SECTION I : HISTOIRE DES ÉTATS PONTIFICAUX


SECTION II : LE VATICAN
SECTION III : LA PERSONNALITÉ INTERNATIONALE DU SAINT-SIÈGE

Deuxième partie : LES ÉGLISES PARTICULIÈRES (cc. 368-572)

CHAPITRE I : DÉFINITION DE L’ÉGLISE PARTICULIÈRE (cc. 368-374)


SECTION I : LE DIOCÈSE
SECTION II : LES AUTRES FORMES D’ÉGLISE PARTICULIÈRE
SECTION III : DES ENTITÉS QUI NE PEUVENT ÊTRE DES ÉGLISES
PARTICULIÈRES

CHAPITRE II : ÉRECTION ET STRUCTURATION DES ÉGLISES


PARTICULIÈRES

CHAPITRE III : LES ÉVÊQUES

SECTION I : LA FONCTION ÉPISCOPALE


SECTION II : LA NOMINATION DES ÉVÊQUES
SECTION III : LES ÉVÊQUES DIOCÉSAINS
SECTION IV : LES ÉVÊQUES COADJUTEURS ET AUXILIAIRES
SECTION V : LE SIEGE VACANT

CHAPITRE IV : LES REGROUPEMENTS D’EGLISES PARTICULIERES

SECTION I : LA PROVINCE ET LA RÉGION ECCLÉSIASTIQUE


SECTION II : LE MÉTROPOLITAIN
SECTION III : LES CONCILES PARTICULIERS
SECTION IV : LA CONFÉRENCE DES ÉVÊQUES

CHAPITRE V : l’organisation interne de l’Église particulière

SECTION I : LES INSTITUTIONS DIOCÉSAINES


SECTION II : LA PAROISSE ET LE CURÉ

Troisième partie : LES INSTITUTS DE VIE CONSACRÉE ET LES SOCIÉTÉS


DE VIE APOSTOLIQUE

CHAPITRE I : LES INSTITUTS DE VIE CONSACRÉE

SECTION I : LES NORMES COMMUNES


SECTION II : LES INSTITUTS RELIGIEUX (cc. 607-709)
SECTION III : LES INSTITUTS SÉCULIERS

CHAPITRE II : LES SOCIETES DE VIE APOSTOLIQUE

Les Sources

1. LES ACTES PONTIFICAUX


2. LES OUVRAGES
3. LES ARTICLES
AVEC SUIVI ET VALIDATION
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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M2 Théologie - Spécialité Dogmatique


 Licence en Théologie troisième année
 Certificat de Droit Canonique

ECCLÉSIOLOGIE 1ÈRE PARTIE

À partir de textes fondamentaux tels la constitution apostolique Lumen Gentium, le


Catéchisme de l’Église Catholique, des textes de la Commission Internationale de
Théologie ou ceux de la Congrégation de la Doctrine de la Foi, le cours abordera
quelques questions fondamentales en ecclésiologie, telles l’Église Corps du Christ,
Peuple de Dieu, Sacrement, l’Église Une, Sainte, Catholique et Apostolique.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Martin Lavoie, op

OBJECTIFS :
 Présenter les textes fondamentaux pour l’étude de l’ecclésiologie : la
constitution apostolique Lumen Gentium, le Catéchisme de l’Église Catholique,
des textes de la Commission Internationale de Théologie ou ceux de la
Congrégation de la Doctrine de la Foi.
 Aborder quelques questions fondamentales en ecclésiologie, telles l’Église
Corps du Christ, Peuple de Dieu, Sacrement,
 Présenter les trois « notes » de l’Église : Une, Sainte, Catholique et Apostolique.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Se familiariser davantage à plusieurs textes fondamentaux
 Pouvoir présenter les notions de corps du Christ, de Peuple de Dieu, de
sacrement.
 Pouvoir expliquer les qualificatifs essentiels de l’Eglise : Une, Sainte, Catholique
et Apostolique.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Diverses questions correspondent aux différents chapitres du cours. Les
réponses doivent être concises et précises.
 Un devoir de rédaction sur une question choisie parmi trois proposées.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
Const. Lumen gentium
Const. Dei Verbum
Const. Gaudium et spes
Const. Pastor aeternus
Décr. Unitatis redintegratio
Décr. Christus Dominus
COMMISSION BIBLIQUE PONTIFICALE, Unité et diversité dans l'Église, Lib.
Ed. Vaticane 1989

TABLE DES MATIÈRES DU COURS


D'ECCLÉSIOLOGIE
PREMIÈRE PARTIE DU COURS D'ECCLÉSIOLOGIE
INTRODUCTION
CHAPITRE I: Ekklesia dans le Nouveau Testament
CHAPITRE II : L’Église dans la constitution dogmatique Lumen Gentium
CHAPITRE III : Les quatre notes de l’Église
CHAPITRE IV : L’Église, Corps du Christ

DEUXIÈME PARTIE DU COURS D'ECCLÉSIOLOGIE


CHAPITRE V : L’Église, Peuple de Dieu
CHAPITRE VI : L’Église, Sacrement du salut
CHAPITRE VII : L’Église du Christ subsiste dans l’Église Catholique
CHAPITRE VIII : Organisation juridique et structure de l’Église catholique
CHAPITRE IX : Thèmes choisis d'ecclésiologie à l'occasion du vingtième anniversaire
de la clôture du concile Vatican II (Commission Théologique Internationale, 1984)
CHAPITRE X : Lettre aux Évêques de l'Église catholique sur certains aspects de
l'Église comprise comme communion (Congrégation pour la Doctrine de la Foi, 28 mai
1992)
CONCLUSION
LUMEN GENTIUM (Texte intégral)

AVEC SUIVI ET VALIDATION


Frais d'inscription :
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CE COURS FAIT PARTIE DE

 Licence en Théologie troisième année


 FiX 3

ECCLÉSIOLOGIE 2ÈME PARTIE

À partir de textes fondamentaux tels la constitution apostolique Lumen Gentium, le


Catéchisme de l’Église Catholique, des textes de la Commission Internationale de
Théologie ou ceux de la Congrégation de la Doctrine de la Foi, le cours abordera
quelques questions fondamentales en ecclésiologie, telles l’Église Corps du Christ,
Peuple de Dieu, Sacrement, l’Église Une, Sainte, Catholique et Apostolique.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Martin Lavoie, op

OBJECTIFS :
 Présenter les textes fondamentaux pour l’étude de l’ecclésiologie : la
constitution apostolique Lumen Gentium, le Catéchisme de l’Église Catholique,
des textes de la Commission Internationale de Théologie ou ceux de la
Congrégation de la Doctrine de la Foi.
 Aborder quelques questions fondamentales en ecclésiologie, telles l’Église
Corps du Christ, Peuple de Dieu, Sacrement,
 Présenter les trois « notes » de l’Église : Une, Sainte, Catholique et Apostolique.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Se familiariser davantage à plusieurs textes fondamentaux
 Pouvoir présenter les notions de corps du Christ, de Peuple de Dieu, de
sacrement.
 Pouvoir expliquer les qualificatifs essentiels de l’Eglise : Une, Sainte, Catholique
et Apostolique.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Diverses questions correspondent aux différents chapitres du cours. Les
réponses doivent être concises et précises.
 Un devoir de rédaction sur une question choisie parmi trois proposées.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
Const. Lumen gentium
Const. Dei Verbum
Const. Gaudium et spes
Const. Pastor aeternus
Décr. Unitatis redintegratio
Décr. Christus Dominus
COMMISSION BIBLIQUE PONTIFICALE, Unité et diversité dans l'Église, Lib.
Ed. Vaticane 1989
TABLE DES MATIÈRES DU COURS
D'ECCLÉSIOLOGIE
PREMIÈRE PARTIE DU COURS D'ECCLÉSIOLOGIE
INTRODUCTION
CHAPITRE I: Ekklesia dans le Nouveau Testament
CHAPITRE II : L’Église dans la constitution dogmatique Lumen Gentium
CHAPITRE III : Les quatre notes de l’Église
CHAPITRE IV : L’Église, Corps du Christ

DEUXIÈME PARTIE DU COURS D'ECCLÉSIOLOGIE


CHAPITRE V : L’Église, Peuple de Dieu
CHAPITRE VI : L’Église, Sacrement du salut
CHAPITRE VII : L’Église du Christ subsiste dans l’Église Catholique
CHAPITRE VIII : Organisation juridique et structure de l’Église catholique
CHAPITRE IX : Thèmes choisis d'ecclésiologie à l'occasion du vingtième anniversaire
de la clôture du concile Vatican II (Commission Théologique Internationale, 1984)
CHAPITRE X : Lettre aux Évêques de l'Église catholique sur certains aspects de
l'Église comprise comme communion (Congrégation pour la Doctrine de la Foi, 28 mai
1992)
CONCLUSION
LUMEN GENTIUM (Texte intégral)
AVEC SUIVI ET VALIDATION
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CE COURS FAIT PARTIE DE

 Licence en Théologie troisième année


 FiX 3
INTRODUCTION À LA THÉOLOGIE PRATIQUE 1

Cette discipline théologique essaie d’intégrer la foi vécue dans le champ de la recherche
d’une meilleure compréhension de Dieu, de son projet de salut pour l’humanité, des
relations qu’il établit avec l’humanité et de ce que cela provoque pour les relations entre
les êtres humains.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Arnaud Join-Lambert

OBJECTIFS :
 Etudier les pratiques individuelles ou collectives des chrétiens.
 Analyser les initiatives prises – ou à prendre – pour proclamer l’Évangile,
célébrer le mystère pascal, édifier la communauté, soutenir les personnes
et/ou agir dans la société.
 Analyser théologiquement les pratiques essentielles du christianisme pour
pouvoir les accompagner, les critiquer et les promouvoir.
 Montrer comment la foi vécue s’intègre dans le champ de la recherche d’une
meilleure compréhension de Dieu, de son projet de salut pour l’humanité, des
relations qu’il établit avec l’humanité et de ce que cela provoque pour les
relations entre les êtres humains.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Acquérir de solides connaissances en théologie pastorale (pratique)
 Pouvoir prendre position et enrichir les débats théologiques en
présentant l’aspect pratique, analytique et critique de la vie des chrétiens.

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Le premier devoir est à remettre sous forme écrite et correspond à répondre à
une question de cours.
 Le second devoir est à remettre sous forme écrite et correspond en
l’établissement d’une typologie de propos donnés en vue d’émettre d’une
réflexion sur la question de Dieu.
 Enfin, il y a un exercice pratique à remettre également par écrit. Le but de cet
exercice pratique est de « sortir de la salle de classe » et d’aller sur le terrain à
la rencontre de la « théologie ordinaire ».
 Un examen écrit en présentiel à la fin du semestre

BIBLIOGRAPHIE :
 Alberich Emilio, Les fondamentaux de la catéchèse. Avec la collaboration de
Henri Derroitte et Jérôme Vallabaraj. Montréal – Bruxelles : Novalis – Lumen
vitae, 2006
 Bourgeois Henri, Questions fondamentales de théologie pratique. Bruxelles –
Québec, 2010 (Les fondamentaux), au moins chap. 3, L’expérience pratique, p.
25-31, sur moodle (pour ch. 1 du cours)
 Dillen Annemie, Le statut de l’expérience en théologie. L’abîme entre l’idéal et
la réalité, in : Arnaud Join-Lambert – Axel Liégeois – Catherine Chevalier
(dir.), Autorité et pouvoir dans l’agir pastoral, Namur, Lumen Vitae, 2016
(Théologies pratiques), p. 33-47 sur moodle (pour ch. 2 du cours)
 Routhier Gilles – Viau Marcel (éd.), Précis de théologie pratique. Bruxelles –
Québec 2004, 2e éd. augmentée 2007 (Théologies pratiques).
 Théologie pratique et / ou pastorale, in : Revue des Sciences Religieuses 69/3
(1995) [thématique : 10 articles]. [au moins Marc Donzé, Objectifs et tâches de
la théologie pratique, p. 292-302, sur moodle, pour ch. 2 du cours]

TABLE DES MATIÈRES


0. INTRODUCTION
0.1. Préliminaires
0.1.1. « Que faire ? »
0.1.2. Faire le bien… et bien le faire

0.2. PRÉSENTATION DU COURS


0.2.1. Plan du cours
0.2.2. Examen
0.2.3. Bibliographie principale

0.3. TROIS POSTULATS À LA BASE DES ÉTUDES PASTORALES


0.3.1. Étudier des actions et des pratiques
0.3.2. Des études confessionnelles, confessantes et rationnelles
0.3.3. Des études à forte dimension interdisciplinaire
0.4. EN BREF : QU’EST-CE QUE LA PRAXIS SELON LES PHILOSOPHES ?
0.4.1. L’origine aristotélicienne
0.4.2. La mutation kantienne
0.4.3. L’interprétation de Marx
0.4.4. Tableau de synthèse des conséquences pour une théologie des pratiques
1ère partie
Enjeux, méthodes et histoire de la théologie pratique

1. EXPÉRIENCE, EXPÉRIENCE RELIGIEUSE,


EXPÉRIENCE DE FOI
INTRODUCTION
1.1. Entrer dans la problématique élargie : la quête de sens
1.2. Approche des sciences humaines
1.2.1. Le « religieux nulle part » et le « religieux partout »
1.2.2. Les « métamorphoses de Dieu »
1.2.3. Règne des sciences, culture et religion
1.3. Approche théologique
1.3.1. Notion d’expérience
1.3.2. Un « savoir expérientiel »
1.3.3. Une expérience chrétienne marquée par le Christ et la communauté des croyants
1.4. Devoir n°1 pour appréhender la recherche empirique. Travail sur des expressions
de foi eucharistique
1.4.1. Conditions d’une telle recherche
1.4.2. Analyse des données
1.4.3. Ébauche d’une réflexion théologique

2. MÉTHODES ET ENJEUX DE LA THÉOLOGIE


PRATIQUE
2.1. Les différentes compréhensions d’une discipline aux contours mal définis
2.1.1. Terminologie : « pastorale » ou « pratique » ?
2.1.2. Place de la théologie pratique dans l’univers théologique
2.2. Une théologie corrélative
2.2.1. Théologies déductive et inductive
2.2.2. La corrélation (à partir de Tillich)
2.2.3. La corrélation (à partir de Tracy)
2.2.4. Les notions de « théologie ordinaire » et de « théologie polyphonique »
2.3. Devoir n° 2 pour appréhender la « théologie ordinaire » : la foi chrétienne mise à
l’épreuve de la souffrance
2.3.1. La question de sens par excellence
2.3.2. Consignes pour le Devoir n° 2
2.4. Une méthodologie empirique
2.4.1. Méthodologie empirique et théologie ?
2.4.2. Trois grandes approches de méthodes qualitatives
2.4.3. Quatre types de sources ou de données à collecter
2.4.4. La notion d’« homologie de rapport » pour formaliser un but à la recherche
2.5. Les lieux d’une théologie pratique (pour information seulement)
2.5.1. Diverses classifications
2.6.2. Proposition à partir d’une théologie baptismale / théologie du salut

3. BRÈVE HISTOIRE DE LA THÉOLOGIE


PASTORALE/PRATIQUE
Résumé du chap. 2 : 4 types de théologie pastorale/pratique au fil du temps
3.1. Du concile de Trente au concile Vatican II
3.1.1. Avant 1774
3.1.2. Des pionniers
3.1.3. « France, pays de mission ? »
3.2. Le renouveau conciliaire
3.2.1. Le renouveau de la recherche ecclésiologique en France
3.2.2. Le rôle décisif des théologiens germanophones
3.2.3. Trois précurseurs francophones
3.2.4. Trois instituts francophones moteurs de la théologie pastorale
3.2.5. Cinq caractéristiques de la théologie pastorale européenne des années 1960
3.3. Quelques théologiens francophones de la fin de la modernité (1970-1990)
3.3.1. Fin de la modernité et de la chrétienté (des années 1970 à la fin des années 1990)
3.3.2. Penser l’annonce de la foi dans la postmodernité
3.4. La grande mutation actuelle du rapport Église et société
3.4.1. Une évolution historique en quatre phases
3.4.2. La situation de chrétienté (800-2000)
3.4.3. La situation dans la postmodernité européenne occidentale
Résumé du cours

BIBLIOGRAPHIE DE BASE
1. Ouvrages et articles de référence (en français)
2. Autres ouvrages et articles importants (en français)
3. Revues et collections

ANNEXES
1. Travail sur des expressions de foi eucharistique
2. Texte dit « Le testament » Blaise Pascal (1623-1662)
3. Jean-Paul II, Pastores dabo vobis, 1992, n° 57
4. Lettre à Diognète, fin 2e siècle (extraits)
5. 16 récits de personnes confrontées à l’épreuve de la souffrance par violence
6. exemples de travaux empiriques effectués pour l’examen de ce cours
7. Schéma de l’histoire de la théologie pratique

AVEC SUIVI ET VALIDATION


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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M1 Sciences Religieuses
 M2 Sciences Religieuses - Spécialité Dogmatique
 M2 Théologie - Spécialité Bible
 M1 Théologie
 M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
 M2 Théologie -Spécialité Pastorale
 M2 Théologie- Spécialité Religions
 M2 Théologie - Spécialité Histoire du Christianisme
 Licence en Théologie troisième année
 Master 2 de Sciences Religieuses (spécialité pastorale)

LA DOCTRINE SOCIALE DE L'ÉGLISE. PARTIE 1

TH074 La Doctrine sociale de l'Église vise à répondre aux aspirations des hommes
d'aujourd'hui à un monde plus juste et plus conforme à la morale naturelle grâce à une
éthique économique actuelle
Crédits ECTS: 3
Professeur : Jean-Yves Naudet

OBJECTIFS :
 Partie 1 : Montrer comment la Doctrine sociale de l'Église vise à répondre aux
aspirations des hommes d'aujourd'hui à un monde plus juste et plus conforme
à la morale naturelle grâce à une éthique économique actuelle.
 Partie 2 : Montrer comment la Doctrine sociale de l’Église cherche à éclairer
nos consciences, pour essayer de rendre le monde un peu plus juste, un peu
plus moral et donc un peu plus humain, en poussant chacun à agir.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Pouvoir présenter un aperçu approfondi de la Doctrine sociale de l’Église.
 Savoir expliquer ses notions fondamentales : la personne humaine, le Bien
Commun, la subsidiarité etc.
 Etre capable de présenter la doctrine de l’Eglise dans une perspective
historique large

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
CONSEIL PONTIFICAL JUSTICE ET PAIX, Compendium de la Doctrine sociale de
l’Église,
Introduction, Jean-Charles Descubes, Renato Raffaele Martino, Angelo Sodano, Paris,
Cerf, 2005.
Sites internet utiles
Le site francophone de référence : doctrinesocialeeglise.org
Forum de discussion sur la doctrine sociale : cite-catholique.org
Cours IN032 sur Domuni
Ouvrages
Repères dans une économie mondialisée, COMMISSION SOCIALE DES EVEQUES
DE
FRANCE, Préface par Mgr Jean-Charles Descubes, Paris, Bayard/Cerf/Fleurus-Mame,
Février 2005.
Nouveau regard sur la Doctrine Sociale de l’Église, guide d’étude, Père Hervé
CARRIER,
Conseil Pontifical « Justice et Paix » (Édition Vaticane), 1999.
Le développement moderne des activités financières au regard des exigences éthiques
du christianisme, Antoine DE SALINS - François VILLEROY DE GALHAU, 1994.
L’Église « experte en humanité », Les Cahiers d’Edifa, n° 14.
La Doctrine Sociale de l’Église à la lumière de « Centesimus Annus », Tâches
Familiales de Décembre 1991.

PLAN DU COURS
INTRODUCTION

CHAPITRE 1 : UN SIÈCLE DE DOCTRINE SOCIALE DE L'ÉGLISE


Préambule
I. La vérité sur l'homme
II. L'Église reconnait la réalité de l'économie
III. L'Église veut mettre la réalité de l'économie au service de l'homme

CHAPITRE 2 : LA DOCTRINE SOCIALE DE L'ÉGLISE DE JEAN XXIII À


BENOÎT XVI
Préambule : les grands textes de Jean XXIII à Benoît XVI
I. L'approfondissement d'enseignements traditionnels
II. Le développement de nouvelles problématiques
III. L'apport spécifique de Benoît XVI
Conclusion

CHAPITRE 3 : ÉTHIQUE ET ÉCONOMIE CHEZ JEAN-PAUL II


Préambule
I. Pas de réflexion économique sans anthropologie
II. Une conception réaliste de l'économie
III. Une économie qui repose sur une éthique forte
Conclusion

CHAPITRE 4 : BENOÎT XVI, UN PAPE ÉCONOMISTE ?


Benoit XVI, un pape économiste ?

CHAPITRE 5 : LA QUESTION SOCIALE EST DEVENUE RADICALEMENT


ANTHROPOLOGIQUE
I. Un titre théologique pour une encyclique sociale
II. Une encyclique destinée à tous les hommes de bonne volonté

CHAPITRE 6 : CARITAS IN VERITATE "LA DOCTRINE SOCIALE DE


L'ÉGLISE : UN UNIQUE ENSEIGNEMENT, COHÉRENT ET TOUJOURS
NOUVEAU"
Préambule
I. Les principes
II. L'économie : une grande leçon d'éthique économique
III. Le développement intégral
AVEC SUIVI ET VALIDATION
Frais d'inscription :
150,00 €
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CE COURS FAIT PARTIE DE

 M2 Théologie -Spécialité Ethique


 Licence en Théologie troisième année
 Master 2 de Sciences Religieuses (spécialité Éthique)
 Master 2 en Ethique Economique
 Certificat "Doctrine sociale de l'Eglise"

LA DOCTRINE SOCIALE DE L'ÉGLISE. PARTIE 2

TH075 la Doctrine sociale de l’Église cherche à éclairer nos consciences, pour essayer
de rendre le monde un peu plus juste, un peu plus moral et donc un peu plus humain, en
poussant chacun à agir
Crédits ECTS: 3
Professeur : Jean-Yves Naudet

OBJECTIFS :
 Partie 1 : Montrer comment la Doctrine sociale de l'Église vise à répondre aux
aspirations des hommes d'aujourd'hui à un monde plus juste et plus conforme
à la morale naturelle grâce à une éthique économique actuelle.
 Partie 2 : Montrer comment la Doctrine sociale de l’Église cherche à éclairer
nos consciences, pour essayer de rendre le monde un peu plus juste, un peu
plus moral et donc un peu plus humain, en poussant chacun à agir.

ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
 Pouvoir présenter un aperçu approfondi de la Doctrine sociale de l’Église.
 Savoir expliquer ses notions fondamentales : la personne humaine, le Bien
Commun, la subsidiarité etc.
 Etre capable de présenter la doctrine de l’Eglise dans une perspective
historique large

MODALITÉS D’ÉVALUATION :
 Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
 Un examen en présentiel à la fin du semestre.

BIBLIOGRAPHIE :
CONSEIL PONTIFICAL JUSTICE ET PAIX, Compendium de la Doctrine sociale de
l’Église,
Introduction, Jean-Charles Descubes, Renato Raffaele Martino, Angelo Sodano, Paris,
Cerf, 2005.
Sites internet utiles
Le site francophone de référence : doctrinesocialeeglise.org
Forum de discussion sur la doctrine sociale : cite-catholique.org
Cours IN032 sur Domuni
Ouvrages
Repères dans une économie mondialisée, COMMISSION SOCIALE DES EVEQUES
DE
FRANCE, Préface par Mgr Jean-Charles Descubes, Paris, Bayard/Cerf/Fleurus-Mame,
Février 2005.
Nouveau regard sur la Doctrine Sociale de l’Église, guide d’étude, Père Hervé
CARRIER,
Conseil Pontifical « Justice et Paix » (Édition Vaticane), 1999.
Le développement moderne des activités financières au regard des exigences éthiques
du christianisme, Antoine DE SALINS - François VILLEROY DE GALHAU, 1994.
L’Église « experte en humanité », Les Cahiers d’Edifa, n° 14.
La Doctrine Sociale de l’Église à la lumière de « Centesimus Annus », Tâches
Familiales de Décembre 1991.

PLAN DU COURS
CHAPITRE 1 : LES ÉCONOMISTES CATHOLIQUES AU XIXE SIÈCLE
Préambule
I. Les économistes catholiques avant l'école d'Angers ou l'ouverture de l'économie sur la
transcendance
II. L'école d'Angers ou la compatibilité du christianisme et du libre marché

CHAPITRE 2 : L'ENSEIGNEMENT SOCIAL DE L'ÉGLISE


L'enseignement social de l'Église

CHAPITRE 3 : L'APPORT DE LA SCIENCE ÉCONOMIQUE À LA DOCTRINE


SOCIALE DE L'ÉGLISE
Préambule
I. Les principes éthiques permanents
II. Les leçons de la science économique
III. Incarner les exigences morales

CHAPITRE 4 : LA DOCTRINE SOCIALE DE L'ÉGLISE ET L'ÉCONOMIE


Préambule
I. La Doctrine sociale de l'Église intègre les enseignements de la science économique
II. Les apports de la Doctrine sociale de l'Église à la science économique
Conclusion

CHAPITRE 5 : L'ÉCONOMIE DE MARCHÉ DANS LE COMPEDIUM


Préambule
I. Les principes de la Doctrine sociale de l'Église
II. Initiative privée et entreprise
III. Les institutions économiques au service de l'homme
IV. Res Novae

CHAPITRE 6 : LA RÉFORME DU CAPITALISME À LA LUMIÈRE DE LA


DOCTRINE SOCIALE DE L'ÉGLISE
Préambule
I. Pourquoi l'Église s'interesse-t-elle à l'économie ?
II. Une conception réaliste de l'économie
III. L'Église défend une économie moralisée
Conclusion
CHAPITRE 7 : VOL, ÉCHANGE OU DON - COMMENT SE PROCURER DES
RESSOURCES RARES ?
I. Autoproduction, vol, impôt et don
II. L'échange
III. Trois nouvelles pistes de Benoit XVI
Conclusion

CHAPITRE 8 : TRAVAIL ET EMPLOI DANS LE COMPENIDUM DE LA


DOCTRINE SOCIALE DE L'ÉGLISE
Travail et emploi dans le compendium de la doctrine sociale de l'Église

CHAPITRE 9 : LE DÉVELOPPELEMENT ET LE NOUVEAU NOM DE LA


PAIX
Préambule
I. une participation au marché mondial
II. Les conditions internes du développement
Conclusion

CHAPITRE 10 : SOCIÉTÉ CIVILE ET SUBSIDIARITÉ CHEZ BENOÎT XVI


Préambule
I. La définition de la société civile dans Caritas in Veritate
II. De la société civile à la subsidiarité
III. L'éthique de la société civile doit irriguer la logique marchande et la logique
politique
Conclusion

CHAPITRE 11 : L'ENSEIGNEMENT SOCIAL CHRÉTIEN ET LE


SYNDICALISME
Préambule
I. Principes fondateurs
II. L'actualisation des principes de l'enseignement de l'Église en matière de
syndicalisme
Conclusion

CHAPITRE 12 : LES LIMITES DE LA DÉMOCRATIE DANS L'ORDRE


POLITIQUE ET LES AUTRES ORDRES SOCIAUX
Préambule
I. Les limites de la démocratie dans l'ordre politique
II. Les limites de la démocratie dans les autres ordres sociaux
Conclusion

CHAPITRE 13 : TRAVAIL DU DIMANCHE, LES ÉCONOMISTES N'ONT PAS


LA SOLUTION
Travail du dimanche, les économistes n'ont pas la solution

CHAPITRE 14 : BENOÎT XVI, L'ÉCOLOGIE ET LA "VOCATION


SUPÉRIEURE DE L'HOMME"
Benoit XVI, l'écologie et "la vocation supérieure de l'homme"

CHAPITRE 15 : FAUT-IL RENONCER À LA RICHESSE


Introduction
I. Dieu et l'argent : "bon serviteur et mauvais maître"
II. L'homme et la richesse : "l'homme ne vit pas seulement de pain"
Conclusion

AVEC SUIVI ET VALIDATION


Frais d'inscription :
150,00 €
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CE COURS FAIT PARTIE DE


 M2 Théologie -Spécialité Ethique
 Licence en Théologie troisième année
 Master 2 de Sciences Religieuses (spécialité Éthique)
 Master 2 en Ethique Economique
 Certificat "Doctrine sociale de l'Eglise"

VATICAN II. PREMIÈRE PARTIE : UN TÉMOIGNAGE ET


"LUMEN GENTIUM"
Accueil > FORMATIONS > Cours à la carte > Vatican II. Première partie“: Un
témoignage et "Lumen Gentium"
IN111-Ce cours sur Vatican II est exceptionnel à plusieurs titres, tout d’abord
parce qu’il comporte plusieurs conférences audio qui permettent d’écouter en
direct des témoins privilégiés, ensuite parce qu’il s’agit d’une véritable approche
pluridisciplinaire, enfin différents sujets importants sont traités, avec 40 ans de
recul.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Hervé Legrand O.P.

Ce cours sur Vatican II est exceptionnel à plusieurs titres, tout d’abord parce
qu’il comporte plusieurs conférences audio qui permettent d’écouter en direct
des témoins privilégiés, ensuite parce qu’il s’agit d’une véritable approche
pluridisciplinaire, enfin différents sujets importants sont traités, avec 40 ans de
recul.
Ce cours est en deux parties
Dans la première partie

 Le fr Bernard Olivier op, théologien présent au Concile à titre d’expert,


nous conte ses impressions et souvenirs d’une manière encore toute
communicative et passionnée.

 Le fr Hervé Legrand op nous présente "Lumen Gentium"

Dans la deuxième partie, différents professeurs éminents nous présentent Dei


Verbum et les grandes questions du Concile (liturgie, œcuménisme, religions
non chrétiennes)

 « What have changed in the interpretation of the Bible after Vatican


II ? » David Sanders op, Lecturer, Blackfriars-Oxford

 « La question liturgique à Vatican II. Une question toujours


actuelle », Prof. Arnaud Join-Lambert, Professeur de théologie
pastorale et de liturgie à l’université catholique de Louvain

 « L’œcuménisme, progrès et régression » Otto Hermann


Pesh théologien

 « La Constitution dogmatique DEI VERBUM quarante ans après » fr Luc


Devillers op Ecole Biblique de Jérusalem
 « Vatican II et le dialogue avec les religions » Ignace Berten op

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