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Sujet 1 

: sauvons la nature

  Par une belle matinée estivale, ma famille et moi, nous décidons d'aller à la
plage pour nous rafraichir et oublier le stress et la fatigue ... changer
d'ambiance ...

   En arrivant, je suis ému par cette belle plage propre. L'eau est limpide. Le
sable est fin et doré. Je suis ébloui par le chatouillement du sable sous les rayons
solaires. La mer est cristalline. Tout à coup, au cours de ma baignade, je suis
sidéré  par un spectacle honteux. Oh ! Mon Dieu ! Qu’est-ce que je vois ? De
vilains garçons, des baigneurs vident la poubelle sur le sable de la plage et
l’enterrent ! Quelle horreur !

   Je n’ai pas pu voir cela sans intervenir :

- Vous êtes conscients de ce que vous venez de faire ? Questionne-je.

- De quoi tu te mêles, ça ne te regarde pas. Dit un méchant garçon.

- Comment ? Vous salissez notre plage avec vos ordures et vous voulez que je
me taise ?! Rétorque-je.

- Tu ne vas pas nous donner des leçons à notre âge, réplique un autre jeune
homme.

- Écoutez, notre environnement est menacé par la pollution et nous devons le


préserver car c’est un trésor que Dieu nous a offert pour y vivre sainement. La
nature est notre mère tous, elle nous procure l’air pur, l’eau, la nourriture et le
logement. Dis-je avec enthousiasme.

- Oh ! Tu as raison bon garçon, si tous les gens font comme nous, la plage va
devenir une décharge. Et, ce sera désagréable. Nous regrettons ce que nous
avons fait. Disent-ils avec une seule voix.

-  Préserver la nature, c’est préserver soi-même, finis-je par leur dire.

   Depuis ce jour-là, ces garçons deviennent des amis avec la nature et la


défendent.

Sujet 2 : la solidarité

Violetta est une fille très pauvre. Elle est toujours mal peignée et mal vêtue. Elle
traîne aux pieds d’affreux sandales qui suscitent le rire de ses camardes de
classe. La malheureuse enfant se sent ridiculisée, humiliée et surtout triste en
voyant ses amis passer des moments tous ensemble jouant, bavardant, rigolant
en se partageant les goûters. Tandis qu’elle demeure solitaire dans un coin de la
cour grignotant son goûter. Un jour, pendant la récréation, un groupe de filles
dont Joséphine, Aline et Charlotte sont entrain de jouer. Soudain, Violetta
arrive. Elle les regarde. Elle est attirée par le jeu. Sans doute elle voudrait y
participer. Elle s’approche des jeunes joueurs et leur demande « Bonjour, est ce
que je peux participer à votre jeu ? » Elles la regardent d’un air moqueur puis
elles s’éclatent de rire. Une fille répond avec mépris : - « Mais, tu es une pauvre
fille tu ne peux pas nous partager notre jeu ». - « Nous n’acceptons pas les
pauvres filles dans notre jeu », ajoute Aline. Puis, elles se précipitent vers elle et
elles la font des misères. Elles lui mordent ses petites oreilles. Elles lui tapent
sur son petit dos. Elles arrachent ses longues et jolis cheveux blonds et son
cartable. Quelle malheureuse fille ! La fille éclate en sanglant et dit à voix douce
:« Mais où est la différence ? Nous sommes tous des Êtres humains, nous
sommes égaux et nous avons les mêmes droits. - Mais tu es différente de nous.
Tu es laide avec tes vêtements usés et tes chaussures affreuses, répond Charlotte.
La fille est vexée et humiliée. Elle boude dans un coin. Une autre fille a vu la
scène, elle est indignée et choquée. Elle décide d’intervenir. Elle s’approche
d’eux, elle dit à voix sévère : - « Vous n’avez pas le droit d’humilier cette
pauvre fille ? » Les filles se regardent les unes et les autres et ne répondent pas. -
« Vous devez unir vos efforts pour l’aider et la consoler au lieu de se moquer
d’elle. C’est honteux ! Il faut respecter nos camardes, même s’ils sont différents
de nous », ajoute la gentille fille - « Pardon, nous sommes désolées de ne pas
vouloir accepter ta participation … Tu pourras jouer avec nous dorénavant »
s’excusent les filles. - « Il ne faut pas repousser l’autre mais l’accepter d’un
cœur ouvert. Alors, partagez les soucis des autres », conseille la serviable fille.
Au fil des jours, les enfants reconnaissent leur tort et essaient d’aider Violetta à
mieux s’habiller et s’intégrer avec tous ses camarades. Elles apprennent que
l’amitié est chère. Donc, il faut vivre l’un pour l’autre et jamais l’un sans l’autre
main dans la main vers le bon chemin, car la solidarité est la clé du bonheur.

Sujet 3 : travailler pour s’épanouir

Le pédiatre Quand je serai grand et je termine mes études, je serai pédiatre car
j’admire les enfants et les bébés. Je travaillerai dans mon cabinet du matin au
soir. Je porterai une blouse blanche comme la neige. Je me sers d’un stéthoscope
et d’autres instruments. D’abord, je consolerai les mamans inquiètes et je
soulagerai la souffrance des enfants, ensuite, je les ausculterai, enfin, je rédigerai
une ordonnance et je la donne à la mère. Ce métier est fatigant et las mais
responsable. Alors, il faut travailler sérieusement et soigneusement pour être
célèbre et respectable.

 Le médecin Quand je serai grand , je voudrais être médecin pour soigner les
malades. Alors, je visite mon père qui est médecin et je lui demande de me
parler de cette profession. Il raconte: « Tu peux être médecin, alors il faut
terminer tous les études alinkvec de bons résultats. Le médecin travaille à
l’hôpital sans se plaindre, il se sert d’un stéthoscope pour écouter les battements
du cœur et d’une abaisse langue pour examiner les gorges. Il porte une blouse
blanche. D’abord, il interroge le malade, ensuite il l’ausculte, puis il rédige une
ordonnance médicale pour acheter les médicaments. Enfin, il souhaite la bonne
santé aux malades. C’est une profession difficile mais elle est noble et rentable.»
Alors, je remercie mon père pour ces précieuses
informations.______________________________________________________
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Le menuisier

Tous les métiers et les professions sont utiles et importants dans la vie. Pour
choisir un métier ou une profession il faut bien connaître les défauts et les
qualités qu'on a. Voilà pourquoi je vais à la menuiserie de mon oncle pour
collecter des informations sur son métier par ce qu'il me plaît beaucoup. Il
raconte:<< Je suis menuisier. Je fabrique de beaux meubles. Je me sers d'un
rabot, d'une scie, d'un marteau et des clous pour travailler. Je circule entre les
planches et les machines . Je contemple un meuble fini avec un large sourire . Je
suis fier de mon métier. Il est difficile et dangereux mais il est rentable.>> A la
hâte, je rentre à la maison et j'écris ces informations pour enrichir ma enquête

Ingénieur d'informatique

Quand je serai grand je rêve d’être un ingénieur d’informatique. Voilà pourquoi


j’aime ce métier. Je travaille avec les ordinateurs, je me sers des règles et des
crayons pour tracer mes plans et je voyage à autres pays. Cette profession est
fatigante et pénible mais elle est rentable. Ce métier me plaît beaucoup . Alors, il
faut travailler sérieusement pour être célèbre.

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