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Lycée Bertène Juminer - Tale S - M. Pichegru www.pichegru.

net Année scolaire 2010/2011

Devoir Type Bac n°1 - P1-3 / C1-2


Exercice 1 Les ondes sonores (4 pts)
1. Préliminaires.
1.1. Définir de la manière la plus complète possible une onde mécanique
progressive. [0,25 pt]
1.2. Compléter les cases blanches du tableau de l’annexe à rendre avec
la copie avec les expressions suivantes :
Onde sonore, onde le long d’une corde, onde lors de la compression-
dilatation d’un ressort, onde à la surface de l’eau [0,5 pt]
2. Célérité de l’onde sonore : première méthode.
Trois microphones M1, M2 et M3 sont alignés de telle manière que les
distances M1M2 et M2M3 valent respectivement 2,00 m et 3,00 m. Les
Microphone M1
signaux électriques correspondant aux sons reçus par les microphones
sont enregistrés grâce à un ordinateur. On donne un coup de cymbale
devant le premier micro M1 puis on lance immédiatement
l’enregistrement. La température de la pièce est de 18°C.
Les courbes U = f (t) obtenues sont représentées ci-après. L’axe des
tension est gradué en volts, l’axe du temps en secondes.

Microphone M2
3.1. Déterminer la période puis la fréquence du son émis par le diapason.
[0,25 pt]
Microphone M1 On éloigne le microphone M2 peu à peu jusqu’à ce que les courbes
soient de nouveau en phase. On réitère l’opération jusqu’à compter cinq
positions pour lesquelles les courbes sont à nouveau en phase. La
distance D entre les deux microphones est alors égale à 3,86 m.
3.2. Pourquoi compte-t-on plusieurs retours de phase plutôt qu’un seul ?
[0,25 pt]
3.3. Définir la longueur d’onde. Déduire sa valeur numérique de
l’expérience précédente. [0, 5 pt]
3.4. Calculer alors la célérité de l’onde. [0,25 pt]
3.5. D’après les résultats expérimentaux obtenus aux questions 3.4. et
2.2, le milieu de propagation des ondes sonores est-il dispersif ? [0,25 pt]
4. Autre propriété des ondes sonores.
Microphone M2
Lors d’un concert donné dans une salle, des spectateurs arrivés un peu
retard s’étonnent d’entendre de la musique alors qu’ils sont encore dans
le hall et donc séparés de la scène par un mur très bien isolé
phoniquement. Ils remarquent cependant que la porte, d’une largeur de
1,00 m, est ouverte. La situation est représentée sur le schéma ci-
dessous.

Microphone M3
2.1. Comment peut-on déterminer la célérité de l’onde sonore à l’aide
des courbes obtenues ? [0,25 pt]
2.2. Effectuer le calcul de la célérité de l’onde sonore pour la distance
M1M2 puis pour la distance M2M3. [0,5 pt]
4.1. Quel phénomène physique permet d’expliquer l’observation faite
2.3. Les résultats obtenus sont-ils cohérents ? [0,25 pt] par les spectateurs ? [0,25 pt]
3. Célérité de l’onde : deuxième méthode. 4.2. Les amis de Julien ont-ils entendu préférentiellement dans le hall
On dispose maintenant les deux microphones M1 et M2 à la même des sons graves (f = 100 Hz) ou des sons très aigus (f = 10.000 Hz) ?
distance d d’un diapason. On obtient les courbes représentées ci- Justifier la réponse en calculant les longueurs d’onde correspondantes.
dessous. L’axe du temps est en milliseconde. On remarque que les [0,5 pt]
signaux sont en phase.

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Exercice 3 Décomposition du pentaoxyde d’azote
Exercice 2 La lumière, une onde électromagnétique
(4 pts)
(3,25 pts)
Les oxydes d'azote sont émis dans l'atmosphère par les installations de
1. L’onde lumineuse et ses caractéristiques : chauffage, les automobiles, les centrales thermiques, les volcans ou les
On rappelle que dans le vide, toutes les ondes électromagnétiques ont la orages.
même célérité c = 3,00×108 m·s-1. Ils participent à trois phénomènes différents de pollution
atmosphérique :
1.1. Pour une radiation de fréquence ν, donc de période T et de longueur
- formation des pluies acides,
d’onde λ, se propageant dans le vide à la célérité c, on propose les
- polution photochimique : création de composés oxydants tels que
relations suivantes :
l'ozone,
c c - augmentation de l'effet de serre.
(a) λ = ; (b) T = ; (c) λ = c ⋅ T À température élevée, le pentaoxyde de diazote, de formule N2O5, se
ν λ
décompose selon la réaction lente suivante :
1.1.1. Donner la définition de la longueur d’onde. [0,25 pt]
1.1.2. Préciser l’unité de λ. Choisir dans les relations précédentes la (ou 2 N2O5 (g) → 4 NO2(g) + O2(g)
les) relation(s) correcte(s). [0,5 pt] On se propose d'étudier la cinétique de cette réaction lente et totale.
1.2. Une lampe à vapeur de lithium émet dans le vide une radiation Protocole expérimental.
intense de longueur d’onde λ égale à 571 nm. Déterminer la fréquence On place du pentaoxyde de diazote dans une enceinte fermée de volume
de cette radiation dans le vide. [0,25 pt] V = 0,50 L à température constante T = 318 K. Un baromètre mesure
l'évolution de la pression P de l'enceinte en fonction du temps.
1.3. La radiation émise par la lampe à vapeur de lithium traverse un
À t = 0 on mesure une pression P0 =4,638×104 Pa.
milieu transparent d’indice n =1,5.
Un élève curieux s’interroge sur les caractéristiques de cette radiation Les mesures du rapport P / P0 en fonction du temps sont reportées dans
dans ce milieu transparent puis il affirme : « la fréquence est inchangée le tableau suivant :
et la longueur d’onde maintenant égale à 380 nm ». Ces affirmations 0 10 20 40 60 80 100
Date t en s
sont-elles justes ou erronées ? Justifier. [0,25 pt]
P / P0 1,000 1,435 1,703 2,047 2,250 2,358 2,422
Données :
n : indice de réfraction d’un milieu transparent ; À partir de ces mesures, il est possible de déterminer l'avancement x de
la réaction en fonction du temps et de représenter le graphique de
c
n = avec v célérité de la lumière dans le milieu envisagé. l'avancement x en fonction du temps (cf figure 2 en annexe, à rendre
v avec la copie).
2. Analyse d’une lumière complexe ; le spectromètre à prisme. Données : constante des gaz parfaits R = 8,31 J·mol-1·K-1.
2.1. Ce spectromètre utilise les propriétés dispersives d’un prisme en Équation des gaz parfaits : PV = nRT, n correspond à la quantité de
verre. Lorsqu’une lumière polychromatique est dirigée vers l’une des matière totale de gaz du système chimique.
faces d’un prisme, chaque radiation est déviée d’un angle qui dépend de 1. Soit n0 la quantité de matière initiale du pentaoxyde de diazote.
l’indice et donc de la longueur d’onde dans le vide λ.
Ci-dessous est représentée la variation de l’indice d’un verre en fonction 1.1. Montrer que n0 = 8,8·10-3 mol. [0,5 pt]
de la longueur d’onde λ. 1.2. Compléter le tableau d'avancement de la transformation chimique
fourni en annexe (à rendre avec la copie). [0,5 pt]
1.3. Montrer que l'avancement maximal xmax = 4,4 mmol. [0,25 pt]
2. Pour réaliser ce suivi temporel de la réaction, il a fallu trouver la
relation entre P / P0 et x.
2.1. Exprimer la quantité de matière totale de gaz n en fonction de n0 et
x. [0,25 pt]
2.2. En déduire, en applicant l'équation des gaz parfaits, la relation
suivante :
P 3x
= 1+ [0,5 pt]
P0 n0
2.1.1. Qu’appelle-t-on une lumière polychromatique ? [0,25 pt]
2.3. En utilisant le résultat de la question 1.3, calculer le rapport Pmax/P0
2.1.2. À quelles couleurs sont associées les longueurs d’onde où Pmax est la pression de l'enceinte lorsque l'avancement maximal est
correspondant aux limites du domaine visible ? [0,25 pt] atteint. [0,5 pt]
2.1.3. À l’aide du graphique, déterminer les indices du prisme en verre 2.4. Justifier à l'aide du tableau que la réaction n'est pas terminée à t =
pour ces longueurs d’onde limites. [0,25 pt] 100 s. [0,5 pt]
2.2. Une lumière émise par une lampe à vapeur de mercure contient trois 3. Étude de la cinétique de réaction
radiations intenses de longueur d’onde : 440 nm, 550 nm et 580 nm. Le volume V de l'enceinte étant constant, on définit la vitesse volumique
On place sur le trajet de la lumière un filtre qui ne laisse passer que la
1 dx
radiation de longueur d’onde 440 nm et on l’envoie vers le prisme de la réaction par : v =
réalisé avec le verre précédent sous une incidence i1 = 45° (voir la figure V dt
1 donnée en annexe ). 3.1 Comment varie la vitesse volumique de la réaction au cours du
2.2.1. La radiation subit une première réfraction en I sur la face AB du temps ? Justifier à l'aide de la figure 2. [0,5 pt]
prisme. On rappelle la loi de la réfraction : 3.2 Définir le temps de demi-réaction t1/2 et déterminer sa valeur à l’aide
n1·sin(i1) = n2·sin(i2) du graphe de la figure 2. [0,5 pt]
Milieu (1) : air d’indice : n1 = 1 quel que soit λ. Milieu (2) : verre.
Déterminer l’angle de réfraction dans le prisme pour cette radiation.
Tracer approximativement le rayon réfracté à l’intérieur du prisme sur la
figure 1 de l’annexe à rendre avec la copie. [0,5 pt]
2.2.2. À la traversée de la face AC, une nouvelle réfraction se produit en
I’ et un rayon sort du prisme en présentant un angle de déviation D par
rapport au rayon incident en I.
Compléter la marche du rayon lumineux sur la figure 1 de l’annexe à
rendre avec la copie et noter l’angle de déviation D. [0,5 pt]
2.3. On enlève le filtre et un écran est placé après le prisme.
Que visualise-t-on sur l’écran lorsque le prisme reçoit l’ensemble de la
lumière émise par la lampe à vapeur de mercure ? Justifier. [0,25 pt]
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2. Interprétation des observations :
Exercice 4 La bouteille magique (4 pts) Lorsque l'on agite l’erlenmeyer, une partie du dioxygène de l’air se
Au cours d'une séance de travaux pratiques, un élève d'une terminale S dissout dans la solution puis réagit en oxydant la forme réduite du bleu
doit réaliser le mélange réactionnel décrit dans le protocole expérimental de méthylène. L'équation de la réaction modélisant la transformation
suivant. chimique est donnée ci-dessous :
Protocole expérimental : 2 BMH(aq) + O2(aq) + 2H+(aq) → 2H2O(ℓ) + 2BM+(aq) ( 2)
• Dans un erlenmeyer contenant une solution S dont on ne se souciera Cette réaction est rapide et totale.
pas du contenu, on dissout du glucose.
2.1. À l’aide des caractéristiques des équations chimiques 1 et 2
• On ajoute une solution de bleu de méthylène. Cette solution donne une
expliquer les variations de couleur observées lors de l'expérience et leurs
coloration bleue au mélange réactionnel.
vitesses. [0,25 pt]
• On constate que la solution bleue devient progressivement incolore.
• Boucher l'erlenmeyer et agiter vigoureusement: la solution devient 2.2. Quels facteurs cinétiques pourrait-on utiliser pour augmenter la
immédiatement bleue puis se décolore de nouveau lentement. vitesse de la réaction décrite dans la partie 1 ? [0,5 pt]
• Agiter une nouvelle fois: la solution devient tout de suite bleue puis se
3. Étude quantitative
décolore progressivement.
L'erlenmeyer dans lequel l'élève réalise l'expérience est bouché
Données du problème : hermétiquement et contient un volume V(O2) = 48 mL de dioxygène et
• La seule espèce colorée dans le mélange réactionnel est la forme 5,0 g de glucose RCHO.
oxydée du bleu de méthylène qui donne une coloration bleue. Elle est Le volume molaire des gaz dans les conditions de l'expérience vaut
notée BM+(aq). VM = 24 L·mol-1.
• La forme réduite est notée BMH (aq). 3.1. Compléter de façon littérale et en respectant les notations, le tableau
• Dans les conditions de l'expérience, le glucose est un réducteur qui d'avancement en annexe, à rendre avec la copie. [0,5 pt]
réduit le bleu de méthylène. On admettra qu'il est introduit en large
excès devant les autres réactifs.. Le glucose est noté RCHO(aq). Sa masse 3.2. Calculer la quantité de matière initiale ni(O2) de dioxygène contenu
molaire est M = 180 g·mol-1. dans l'erlenmeyer. [0,25 pt]

Couples oxydant / réducteur : On réalise une série d'agitations successives qui permet de dissoudre tout
BM+ (aq) / BMH(aq) ; O2(aq) / H2O(ℓ) ; RCOOH(aq) / RCHO(aq). le dioxygène présent dans l'erlenmeyer.
3.3. En déduire la quantité de matière ni(BMH) susceptible de réagir
1. Équation de la réaction modélisant la transformation chimique
avec la quantité de matière initiale ni(O2) de dioxygène. [0,25 pt]
entre le glucose et la solution de bleu de méthylène.
1.1. Donner la définition d'un oxydant, puis d'un réducteur. [0,5 pt] 3.4. À partir de l'équation (1), montrer que la quantité de matière de
1.2. Écrire la demi-équation électronique de réduction de la forme glucose n(RCHO) ayant réagi au cours de l'expérience est 4,0·10-3 mol.
oxydée BM+(aq) du bleu de méthylène. [0,25 pt] on pourra s’aider d’un tableau d’avancement. [0,5 pt]

1.3 Écrire la demi équation électronique d'oxydation du glucose 3.5. En déduire la masse m de glucose n'ayant pas réagi dans
RCHO(aq). [0,25 pt] l'erlenmeyer. [0,5 pt]

1.4 En déduire que l'équation d'oxydoréduction entre le glucose et la


forme oxydée du bleu de méthylène est :
RCHO(aq) + BM+(aq) + H2O(ℓ) → RCOOH(aq) + BMH(aq) + H+(aq) (1)
Cette réaction est lente. [0,25 pt]

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Annexes à rendre avec la copie


Nom :
Exercice 1
Questions 1.2:
Ondes à une dimension Ondes à deux dimensions Ondes à trois dimensions
Ondes
longitudinales

Ondes
transversales

Exercice 2
Figure 1 :

Ecran

I
i1

Pe
B C

Exercice 3

Figure 2 : Avancement de réaction en fonction du temps

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Annexe de l’exercice 3 (suite)


Équation de la réaction 2 N2O5 (g) → 4 NO2(g) + O2(g)
État Avancement Quantités de matière

Initial

Intermédiaire

Exercice 4
Équation de la réaction 2 BMH(aq) + O2(aq) + 2H+(aq) → 2H2O(ℓ) + 2BM+(aq)
État du système Avancement Quantités de matière

Initial 0 ni(BMH) ni(O2) 0

Intermédiaire x Excès Excès

Final xmax

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Correction du devoir n°1


2.3 On observe le spectre de la lumière émise par la lampe à vapeur de
Exerice 1 mercure, car la déviation D dépend, entre autres, de i2 et donc de l’indice
I.1 Une onde mécanique progressive est le phénomène de propagation du matériau constituant le prisme. Cet indice variant avec la longueur
d’une perturbation dans un milieu matériel. [0,25 pt] d’onde, D dépend de la longueur d’onde de la lumière qui traverse le
prisme. Les trois radiations sont donc séparées. [0,25 pt]
I.2 Tableau à compléter [0,5 pt]
Ondes à une Ondes à deux Ondes à trois Exercice 3
dimension dimensions dimensions
onde de P0V 4,638·10 4 × 0,5·10 −3
1.1 n0 = = = 8,78·10-3 mol [0,5 pt]
Ondes compression- RT 8,31× 318
Onde sonore
longitudinales dilatation d’un 1.2 Tableau d’avancement [0,5 pt]
ressort
Avancement
État 2 N2O5 (g) → 4 NO2(g) + O2(g)
Ondes Onde le long Onde à la mmol
transversales d’une corde surface de l’eau
Initial x=0 8,8 0 0
II.1 Les courbes montrent que les micros 2 et 3 captent le son de la
cymbale avec du retard par rapport au micro 1. Plus le micro est loin de Intermédiaire x 8,8 – 2x 4x x
la cymbale, plus le son atteint le micro tardivement.
d 1.3 Il n’y a qu’un réactif, c’est donc forcément lui qui est limtant, d’où
v = où v est la célérité, d la distance entre les deux micros considérés xmax = 4,4 mmol. [0,25 pt]
τ
et τ le retard de perception du son entre les 2 micros. [0,25 pt] 2.1 n = n0 – 2x + 4x + x = n0 + 3x [0,25 pt]
II.2 Le retard entre la perception de l’onde sonore par M2 et par M1 est n RT
2.2 T et V sont constants. D’autre part, on peut écrire P0 = 0 et
d’environ 0,0078 – 0,0019 = 0,0059 s ≈ 6 ms. V
La distance entre les deux micros étant de 2,00m, la vitesse vaut environ nRT
330 m/s. P= . On écrit ensuite le rapport de ces deux relations :
V
Entre M3 et M2, τ = 0,0168 – 0,0078 = 9 ms. v = 330 m/s. [0,5 pt]
P nRT V
II.3 Les résultats obtenus sont cohérents. [0,25 pt] = ×
P0 V n0 RT
III.1 On peut lire que 4T = 9,2 ms donc T = 2,3 ms soit f ≈ 435 Hz n
[0,25 pt] =
n0
III.2 Permet une mesure plus précise de la distance séparant chaque n0 + 3 x
retour de phase. [0,25 pt] =
n0
III.3 Longueur d’onde = distance parcourue par l’onde pendant une
période ou La longueur d’onde est la plus faible distance entre deux P 3x
D’où on peut écrire que = 1+ [0,5 pt]
points dans le même état vibratoire. λ = 3,86/5 = 0,772 m [0,5 pt] P0 n0
III.4 c = λ ·f = 336 m/s. [0,25 pt] Pmax 3x 3 × 4,4·10 −3
2.3 = 1 + max = 1 + = 2,5 [0,5 pt]
III.5 On trouve des valeurs de la célérité du son très proches, pourtant le P0 n0 8,8·10 − 3
sons étudiés (diapason et cymbale) n’ont pas les mêmes fréquences. Le 2.4 À t = 100 s, le rapport P / P0 est inférieur à 2,5. Donc la réaction
milieu n’est pas dispersif pour les ondes sonores. [0,25 pt] n’est pas terminée. [0,5 pt]
IV.1 Le son émis par le haut-parleur est diffracté par l’ouverture de la 3.1 La courbe x(t) est de moins en moins croissante, donc sa dérivée est
porte. [0,25 pt] de plus en plus petite, tout en restant positive. Donc la vitesse de
IV.2 Pour f = 100 Hz, λ = c/f = 340/100 = 3,4 m. Pour f = 10.000 Hz, λ réaction, qui est proportionnelle à la dérivée de x(t), décroît au cours du
= 3,4 cm. Le phénomène de diffraction est d’autant plus important que temps. [0,5 pt]
l’ouverture est petite comparée à la longueur d’onde. Donc les sons 3.2 Temps au bout duquel x a atteint la moitié de xmax. t1/2 ≈ 23 s. [0,5 pt]
aigüs seront moins diffractés que les sons graves. [0,5 pt]
Exercice 4
Exercice 2 1.1 oxydant : espèce capable de capter un ou plusieurs électrons [0,5 pt]
1.1.1 Longueur parcourue par l’onde pendant une période [0,25 pt] réducteur : espèce capable de capter un ou plusieurs électrons
1.1.2 λ en mètre. Relations a et c [0,5 pt] 1.2 BM+ + H+ + 2e– = BMH [0,25 pt]
1.2 ν = c / λ = 5,25×10 Hz 14
[0,25 pt] + –
1.3 RCOOH + 2 H + 2 e = RCOH + H2O [0,25 pt]
1.3 Affirmations justes : fréquence = propriété intrinsèque d’une onde. 1.4 La réaction 1.2 prise dans le sens direct, ajoutée à la réaction 1.3
v c λ dans le sens inverse donne bien l’équation : [0,25 pt]
Dans le milieu transparent, λn = = = = 381 nm [0,25 pt]
ν n ⋅ν n RCHO(aq) + BM+(aq) + H2O(ℓ) → RCOOH(aq) + BMH(aq) + H+(aq)
2.1.1 Lumière polychromatique = lumière composée de radiations de 2.1 BMH est d’abord rapidement oxydé par O2, le mélange devient bleu.
plusieurs fréquences. [0,25 pt] Puis BM+ est lentement réduit par le glucose, le mélange se décolore
2.1.2 Rouge - violet [0,25 pt] lentement. [0,25 pt]
2.1.3 nrouge = 1,51 et nviolet = 1,53 [0,25 pt] 2.2 On pourrait soit augmenter la concentration des réactifs (glucose ou
bleu de méthylène), soit augmenter la température du mélange. [0,5 pt]
2.2.1 Pour 440 nm, prenons la valeur approchée de n2 = 1,525 [0,25 pt]
3.1 Tableau d’avancement [0,5 pt]
n1 ⋅ sin(i1 ) 1⋅ sin(45°) 2BMH(aq) + O2(aq) + 2H+(aq) → 2H2O(ℓ) + 2BM+(aq)
sin(i2 ) = = = 0,4668, soit i2 = 27,6 ° Équation
n2 1,525
État du système Quantités de matière
2.2.1 (suite) et 2.2.2 [0,25 + 0,5 pt]
Initial x = 0 ni(BMH) ni(O2) 0
ni(BMH) ni(O2)
Excès

Excès

Intermédiaire x 2x
– 2x –x
ni(BMH) ni(O2)
D Final x = xmax 2xmax
i1 – 2xmax – xmax
3.2 ni(O2) = 0,048/24 = 2 mmol [0,25 pt]

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3.3 n mol de O2 peut réagir avec 2n mol de BMH. Donc 4 mmol de
BMH peuvent réagir avec les 2 mmol initiales de O2. [0,25 pt]
3.4 4 mmol de BMH produiront 4 mmol de BM+, qui nécessiteront,
d’après l’équation-bilan (1), la même quantite de glucose, soit 4 mmol.
[0,5 pt]
3.5 Initialement, on a 5/180 ≈ 28 mmol de glucose. Il en restera donc 24,
soit m = 24·10-3×180 = 4,3 g [0,5 pt]

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