La Matière :
1- De quoi est constitué la matière
2- La Lumière
3- Les cas particuliers
L’Esprit :
Le petit Moi et le grand Moi
L’égo
L’Energie :
1- E=VS
La Réalité :
La Maladie :
Les Outils :
La Respiration
La Méditation
L’Hypnose
Le Clair ressenti
La Communication avec l’invisible
Le Channeling
L’Imposition des mains
La Visualisation
La Prière
La Lithotérapie
L’Aromathérapie
Les Arts Martiaux
Le Pouvoir du verbe
Les Biométres
Le Touché aurique
La Méthode des 2 points
Le Son
Le Do-in
L’Alimentation
Le Troisième Œil
Les séries Numériques
Les Présences spirituels
La Matière
La matière est partout présente autour de nous. Elle est constituée d'atomes, eux-mêmes
construits à partir de « briques plus petites », appelées particules élémentaires. L'origine de la
matière présente sur Terre et dans l'Univers est expliquée aujourd'hui par le modèle du Big
Bang. Après des siècles de recherches, la matière reste encore pleine de mystères que les
chercheurs tentent de percer.
La matière est constituée d’atomes ou de molécules (assemblage d’atomes). Les atomes sont
entre cent mille et un million de fois plus petits que le diamètre d’un cheveu (10-10m) et
constituent les briques élémentaires qui permettent de différencier un élément chimique d’un
autre. Au total, il existe actuellement 118 éléments regroupés dans un tableau périodique des
éléments, aussi appelé tableau de Mendeleïev
Un atome est composé d’un noyau, situé en son centre, et d’un nuage d’électrons en
mouvement autour. Il est essentiellement composé de vide. En effet, si le noyau était une balle
de tennis, le nuage électronique s’étendrait à environ 6 kilomètres de la balle.
Le noyau d'un atome est composé de protons et de neutrons qui tiennent ensemble grâce à la
force nucléaire forte. Protons et neutrons sont eux-mêmes composés de grains de matière
encore plus petits, les quarks. Ces derniers sont maintenus ensemble grâce à des échanges
continus de gluons, des particules élémentaires qui appartiennent à la famille des bosons.
(Cf. les travaux de Nassim Haramein)
Les électrons sont des particules qui circulent autour du noyau. La cohésion de l’atome est
assurée par la force électromagnétique. Celle-ci lie ensemble les électrons chargés
négativement avec les protons chargés positivement. Cette attraction électromagnétique est le
résultat d’un échange continu de photons, aussi appelés particules de lumière.
Par exemple : l’énergie du Soleil fait pousser les plantes. La vache mange l’herbe et les fleurs.
Son lait sert à fabriquer du fromage. Les enfants mangent le fromage et vont ensuite jouer,
courir, sauter, réfléchir…
À chaque étape, l’énergie s’est transformée, mais rien n’est apparu, rien n’a disparu. C’est le
cycle de la vie de l’énergie !
Par rapport à la physique classique et aux formules de Newton, c’est déjà une révolution, en ce
sens que la formule d’Einstein fait la corrélation entre Energie et matière, puisque m, la masse,
représente en fait la quantité de matière présente. C représente la vitesse de la lumière.
E= mc2 nous montre que dans chaque chose, que nous prenions 1g d’épinards ou 1g de sable, il
y a de l’énergie puisque "E", l’énergie, est directement proportionnelle à m, la masse ou
quantité de matière.
En 1998, Grigori Grabovoï obtient son diplôme de doctorat de physique à Moscou, où le jury
est composé de 140 académiciens du monde entier.
L’académicien Nikitine (qui, avec Korolev, a mis en orbite les premières fusées spatiales)
l’interroge sur sa formule de la réalité universelle E=VS et son rapport avec E=mc2, la théorie
de la relativité générale d’Einstein.
Grigori Grabovoï lui explique que la formule d’Einstein est un cas particulier de la sienne.
Il lui démontre alors sa formule mathématiquement et lui expose les preuves techniques suite
aux nombreux essais concluants effectués par des appareils.
Ayant compris que la formule de Grigori Grabovoï est plus générale que celle de la relativité,
les membres du jury signent, à l’unanimité, le rapport de soutenance.
E=mc2 donc m=E/c2 ce qui signifie que la matière n’est que de l’énergie qui s’est densifiée,
qui a réduit sa vitesse.
C’est cette interprétation globale que fait notre cerveau que nous appelons la réalité physique !
Einstein a dit : « Concernant la matière, nous nous sommes trompés. Ce que nous avons
appelé matière n'est que de l'énergie qui a ralenti sa vibration afin d'être perceptible par
nos sens. Il n'y a pas de matière, tout vibre à des niveaux particuliers. »
La vitesse de la lumière appelée c dans la formule d’Einstein étant très importante, on peut
facilement comprendre la quantité d’énergie phénoménale dégagée avec très peu de matière.
Exemple avec 1 g de matière : 1g de matière peut produire 90 000 milliards de joules. Cette
réaction a été exploitée pour produire de l’énergie dans les centrales nucléaires grâce à la
fission de l’atome et ses réactions en chaîne…
Mais elle a également ouvert la porte à des niveaux de destruction impensables. On pense aux
catastrophes nucléaires bien sûr mais tout simplement au niveau le plus fondamental, on
pourrait parler de la destruction de l’atome, et donc du vivant, engendrée par la bombe
atomique.
Grigori Grabovoï parle beaucoup du risque nucléaire. Le danger le plus sérieux réside dans
l’explosion nucléaire car c’est la seule chose qui peut endommager l’âme humaine. Il y a
également un risque de répercussions énergétiques néfastes pour tout l’univers.
E=VS
Selon Grabovoï, chaque élément de l’univers est constitué d’information et
chacun, même le plus petit, possède une conscience.
Le plus haut niveau d’élaboration de cette information est celui de la conscience humaine.
Chez l’humain, la conscience est une structure tripartite constituée de la conscience collective (
partagée avec tous les autres êtres humains ), de la conscience divine ( partie déjà « à la norme
», ce qui veut dire dans le langage Grabovien, à la perfection originelle ) et d’une partie de
notre conscience qui est individuelle et en cours de structuration .
Le but de notre passage sur terre est notre évolution et cette évolution passe par le
développement et l’élévation de cette partie individuelle, jusqu’à ce qu’elle atteigne le niveau
de connaissance de l’âme, qui est sage et contient toutes les connaissances sur nous et sur tout
l’univers.
Pourquoi cette formule E=VS est-elle aussi extraordinaire et que veut-elle dire en
quelques mots ?
E est l’énergie, V est le volume d’information que la conscience peut traiter et S ( speed en
anglais ), la vitesse à laquelle la conscience peut traiter ce volume d’information.
Les physiciens quantiques ont compris depuis déjà quelques années que c’est notre conscience
qui crée notre réalité.
La formule E=VS nous explique que la production d’énergie E est proportionnelle au volume
d’information que peut traiter la conscience et à la vitesse à laquelle elle perçoit cette
information.
Or, nous avons dit juste un peu avant qu’énergie et matière sont liées.
Le volume d’information traité par notre conscience est directement lié à la structuration de
notre conscience.
Plus notre conscience se développe et plus nous traitons un volume important d’information.
(États de conscience élargie)
C’est l’Amour…
Ce qui signifie que plus vous êtes en contact avec l’amour qui sous-tend tout le champ
informationnel et toute la création et plus vous avez la capacité d’être créateur de votre
réalité.
C’est une conscience alignée avec les désirs de l’âme et qui crée donc une réalité « à la norme
».
Elle ne crée et ne perçoit pas la réalité à travers le filtre de ses blessures, de ses croyances et
de ses conditionnements parce qu’elle a intégré ses expériences et mis en lumière ses zones
d’ombre, provenant du passé.
Elle a une vision beaucoup plus large, qui englobe tous les paramètres la concernant elle, mais
également les paramètres concernant son environnement.
Cela lui permet, grâce à sa clairvoyance et son pronostic de contrôle, de choisir la meilleure
option concernant la création de la réalité, pour son évolution et l’évolution de l’humanité, à
chaque instant.
Grigori Grabovoï nous explique que la pensée est un « biosignal » électromagnétique, une onde
lumineuse.
Une pensée très concentrée est une pensée porteuse d’un volume très important d’information
perçu en une seule impulsion, avec une vitesse de traitement quasi instantanée.
Lorsque la pensée est émise par la conscience, cette information se densifie pour former de
l’énergie puis de la matière.
Tout l’enjeu de l’humanité actuellement est donc de structurer sa conscience pour pouvoir
accéder à une réalité plus belle pour tous, pour interagir avec le monde de façon harmonieuse
en permanence.
Ainsi, tous les évènements de la vie seront constructifs et positifs et assureront la sécurité et le
développement de chaque élément du monde.
Une conscience collective structurée crée une réalité collective harmonieuse et évolutive.
Une réalité où règnent la joie, l’amour, la pleine santé et l’abondance pour tous et pour
chacun… Cette élévation du niveau de la conscience collective, c’est le fameux saut quantique
dont tout le monde parle.
La lumière est une forme d'énergie produite par la matière. Pour comprendre comment elle est
générée, il faut examiner les constituants même de la matière, c'est-à-dire les atomes.
Un atome ressemble un peu à une ruche autour de laquelle tourne de gros essaims d'abeilles : la
ruche correspond au noyau de l'atome tandis que les essaims d'abeilles représentent les nuages
d'électrons que l'on retrouve autour du noyau.
Noyau et électrons ont cependant une propriété particulière : celle d'être électriquement
chargés. Qui plus est, les charges électriques qu'ils portent sont opposées. Ainsi, le noyau
atomique possède une charge que l'on dit « positive » et les électrons une charge opposée dite
« négative ». Or, dans le monde des particules atomiques, les contraires s'attirent ;
conséquemment noyau et électrons sont mutuellement liés au sein de l'atome.
Il existe aussi une différence importante entre les abeilles et les électrons : les abeilles peuvent
voler n'importe où autour de la ruche tandis que les électrons, eux, ne peuvent en aucun cas se
retrouver n'importe où autour du noyau et ce, malgré la force d'attraction qu'ils subissent de sa
part ; seules certaines « orbites » spécifiques (les scientifiques disent « orbitales ») situées à des
distances précises leur sont permises.
Le Photon :
Un photon est une particule d'énergie qui n'a pas de masse et qui se déplace très rapidement.
Fait étrange d'ailleurs, un photon en mouvement a la particularité d'interagir avec la matière
comme le fait une onde, c'est-à-dire comme une vague à la surface de l'eau. Puisque l'onde a à
la fois une composante électrique et une composante magnétique, on parle « d'onde
électromagnétique » Toute fois il peu se comporter comme une particule.
Photon et onde électromagnétique sont donc en quelque sorte synonymes. En langage courant,
ils portent le même nom : celui de lumière. En effet, un photon n'est rien de moins qu'une
« particule de lumière » et une onde électromagnétique, une « onde lumineuse ».
Cas particuliers :
Les photons se comportent comme des particules ou comme des ondes en fonction de
l’expérience à laquelle on les soumet. Deux équipes ont conçu des dispositifs
interférométriques qui mettent en évidence des états combinant onde et particule
(Corpuscule).
Dualité onde-corpuscule
En physique, la dualité onde-corpuscule est un principe selon lequel tous les objets physiques
peuvent présenter parfois des propriétés d'ondes et parfois des propriétés de corpuscules. La
manifestation de ces propriétés ne dépend pas seulement de l'objet étudié isolément, mais aussi
de tout l'appareillage de mesure utilisé. Ce concept fait partie des fondements de la mécanique
quantique. Le cas d'école est celui de la lumière, qui présente deux aspects complémentaires
selon les conditions d'expérience : elle apparaît soit ondulatoire, d’où le concept de longueur
d’onde, soit corpusculaire, d'où le concept de photons.
Dans de nombreuses traditions religieuses, il s'agit d'un principe de la vie incorporelle de l'être
humain. En philosophie, la notion d'esprit est au cœur des traditions dites spiritualistes. On
oppose en ce sens corps et esprit (nommé plus volontiers conscience par la philosophie et âme
par certaines religions). En psychologie contemporaine, le terme devient synonyme de
l'ensemble des activités mentales humaines, conscientes et non-conscientes.
Nous avons tous appris comment fonctionnent nos 5 sens régis par notre cerveaux du haut
(celui de la tête) : la Vue, le Toucher, l’Odorat, le Goût, et l’Ouï. Ces sens sont étalonnés
pour percevoir le monde matériel qui nous entoure.
Nous savons maintenant qu’il existe un monde énergétique, vibratoire, tout aussi important,
quantifiable et mesurable que le monde que le monde physique. Il ne tient qu’à nous
d’apprendre à le percevoir. Pour cela ne devons nous intéresser à nos autres cerveaux,
notamment le ventre et le cœur.
Les neurosciences ont démontré que notre ventre et notre cœur possèdent chacun leur propre
cerveau, autonome, indépendant, communiquant avec le cerveau de la tête auquel il envoie plus
d’informations qu’ils n’en reçoivent. Ils jouent un rôle important dans notre comportement, sur
nos sentiments, et sur notre façon d’être face au monde. Il n’est donc pas incongru de penser
que ces 2 cerveaux puissent également recevoir des informations de l’extérieur tout comme
celui de notre tête.
Le rythme cardiaque génère un champ magnétique autour de vous des centaines de fois plus
puissant que le champ magnétique de votre cerveau.
La cohérence de votre rythme cardiaque dépend de vos émotions. Et vous pouvez contrôler vos
émotions. Choisir quoi lire, quoi regarder, qui fréquenter, quel environnement fréquenter, tous
ces choix ont une influence sur votre état émotionnel, sur votre rythme cardiaque, sur votre
santé et donc (comme nous sommes tous reliés, comme des cellules d'un même corps) sur la
santé et l'état émotionnel de la population mondiale.
Les informations qui arrivent à notre conscience sont filtrées successivement par le cerveau
reptilien, le limbique et le néocortex où elles sont conscientisées.
Dans notre appréhension du monde, l’information arrive dans un premier temps au niveau de
notre cerveau reptilien (le cervelet). Si la survie de notre organisme n’est pas engagée,
l’information passe à l’étage supérieur. Le cerveau reptilien gère nos besoins vitaux, tels que
manger, dormir, se reproduire, il gère également le rythme cardiaque.
Le cerveau reptilien qui gère les glandes pinéale et pituitaire (épiphyse et hypophyse). La
glande pinéale est une glande qui régule énergétiquement nos canaux de perceptions
extrasensorielles.
Chez les individus dont la culture et la pratique de la méditation est plus répandue, ainsi que
dans les traditions aborigènes qui vivent en étroite relation avec la terre, la glande pinéale est 2
fois plus grosse que la notre.
Le cerveau reptilien a pour fonction de jouer un rôle d’un premier filtre de notre rationalité. Il
se constitue depuis notre conception jusqu'à notre quinzième mois. Les données inscrite dans le
domaine de la survie sont liées à ce qu’a vécu la mère pendant la grossesse et dans les premier
mois de la vie de l’enfant. Toutes les limitations de danger et de peur que nous faison vivre a un
jeune enfant s’inscrivent dans ce cerveau qui filtre l’information entrante et qui établit ainsi
notre perception du monde. S’il y a danger pour le corps il bloque !
Si au contraire, nous nous efforçons de lui montrer toutes les subtilités du monde vibratoire qui
nous entoure, il grandira en s’ouvrant à plus de perceptions encore.
Notre travail d’adulte est de nous déconditionner pour sortir de la conscience collective et
entrer dans la conscience Divine, la conscience que tout est possible et réalisable.
Après ce premier filtre, l’information arrive au cerveau limbique qui traite l’information en la
classant en agréable ou en désagréable. Il ne laisse entrer que l’information agréable. Le
cerveau limbique est constitué entre le quinzième mois de l’enfant et ses 4 ans. Il est le siège de
nos émotions et de nos schémas comportementaux. Il régule notre rythme cardiaque notre
alimentation, notre activité sexuelle, nos hormones et nos émotions.
Le cerveau limbique est le centre de la manifestation de nos émotions et également le centre de
la mémoire. Chacun de nos souvenirs est lié à une émotion forte, qu’elle ait été positive ou
négative.
La Terre produit plusieurs types de champs magnétiques. Deux d’entre eux sont le champ
magnétique terrestre (qui se dégage du noyau de la Terre) et les champs qui existent entre la
terre et l’ionosphère. Ces champs entourent la planète entière et agissent comme des boucliers
de protection bloquant les effets nocifs du rayonnement solaire, les rayons cosmiques, le sable,
etc.
Ces champs énergétiques sont connus des scientifiques. Et l’idée que l’activité solaire et les
rythmes qui influencent les champs magnétiques de la Terre ont un impact sur la santé et le
comportement ont été fermement établis.
La littérature scientifique est claire sur le fait que plusieurs rythmes physiologiques et les
comportements collectifs mondiaux ne sont pas seulement synchronisés avec l’activité solaire
et géomagnétique, mais que les perturbations dans ces domaines peuvent créer des effets
néfastes sur la santé et le comportement humain : problèmes de sommeil, confusion mentale,
manque d’énergie…
À d’autres moments, lorsque les champs terrestres sont stables, alors on constate une
augmentation des sentiments positifs, de créativité et d’inspiration chez les gens. Ceci est
probablement dû à un couplage entre le cerveau humain, le système cardiovasculaire et le
système nerveux, produisant des fréquences de résonance géomagnétiques.
Cette nouvelle étude suggère que le cerveau est en fait bien plus souple. «Une cellule donnée
dans le cerveau reçoit des milliers d'entrées, mais elle peut choisir de n'en écouter qu'une et
d'ignorer le reste. En outre, ce choix peut changer à tout moment», résume le Dr Edvard Moser,
directeur du Kavli Institute for Systems Neuroscience. «Nous pensons que la commutation
gamma est un principe général dans le cerveau, qui sert à renforcer les communications entre
les régions cérébrales.»
La Terre et l’ionosphère génèrent des fréquences qui vont de 0,01 hertz à 300 hertz, dont
certains se situent exactement dans la même gamme de fréquences que celle du cerveau, du
système cardiovasculaire et du système nerveux autonome. Cela permet d’expliquer les
fluctuations des champs magnétiques de la Terre et du Soleil ainsi que leurs influences.
Il a également été démontré que ces changements pouvaient affecter nos ondes cérébrales, notre
rythme cardiaque, notre mémoire, nos performances en athlétisme et notre santé globale.
Nous connaissons les influences de ces facteurs sur nous, mais pas la manière dont nous
affectons ces domaines.
Les scientifiques de l’Institut HeartMath supposent que nous ne sommes pas seulement des
récepteurs d’informations biologiquement pertinentes, mais aussi des émetteurs d’informations.
Les émotions humaines ainsi que la conscience interagissent ensemble puis codifient les
informations dans le champ géomagnétique. Ensuite, cette information est distribuée à l’échelle
mondiale… Par conséquent, elle circule de manière non locale entre les gens et à un niveau
subconscient, reliant ainsi tous les systèmes vivants. Les champs magnétiques agissent comme
des ondes porteuses pour ces informations. Elles peuvent influer positivement ou négativement
sur tous les systèmes vivants. La conscience collective est alors directement impactée.
Dans l’une des récentes expériences de Kirschvink, ce fameux champ a été détecté chez les
participants de l’étude, tandis que leurs ondes cérébrales ont été mesurées.
Géophysicien Joe Kirschvink utilise une cage de Faraday, illustré ici, pour éviter les
interférences électromagnétiques dans son étude sur réception magnétique.
Il a découvert que lorsque le champ magnétique tournait dans le sens antihoraire, alors certains
neutrons provoquaient un pic d’activité électrique. Cela suggère donc la perception d’un sens
magnétique chez les humains.
Pourtant, plusieurs questions demeurent. Est-ce que cette activité neuronale constitue une
preuve de l’existence d’un sens magnétique ou d’autre chose ? Bien que le cerveau humain
réagisse d’une certaine manière, cela ne signifie pas qu’il soit en train de traiter l’information.
Si le corps possède en effet des récepteurs magnéto, alors où se situent-ils ? La prochaine étape
pour les chercheurs consiste à les identifier.
L’étude de Kirschvink est l’une des nombreuses publications qui s’intéresse aux mystères des
champs magnétiques ainsi qu’à leurs impacts sur les êtres humains. L’un des chefs de file dans
ce domaine de recherche est l’institut HeartMath qui est le leader mondial reconnu dans la
recherche de la physiologie émotionnelle, des interactions entre le cœur et le cerveau, la
physiologie, la santé et les performances optimales.
L’institut HeartMath a créé l’Initiative mondiale pour la cohérence qui est fondée sur la science
d’unir les gens à travers la cohérence cardiaque et axée sur l’intention. L’objectif est de faciliter
le changement au niveau de la conscience mondiale en se délestant de l’instabilité et de la
discorde pour ainsi tendre vers l’équilibre, la coopération et à la paix durable.
Le « Global Coherence Initiative » (Initiative mondiale Cohérence) ou GCI, a été impulsé par
l’Institut HeartMath dans un effort de coopération internationale, cherchant à activer le cœur de
l’humanité et ainsi faciliter un changement de conscience mondiale. Il invite les gens à y
participer en apportant de l’amour et de la compassion au champ planétaire.
Le deuxième objectif est la recherche scientifique sur la façon dont nous sommes
énergétiquement tous reliés les uns aux autres ainsi qu’à la planète. Mais comment pouvons-
nous utiliser cette interconnectivité afin d’élever notre niveau de vibration personnelle et ainsi
contribuer à créer un monde meilleur ?
Les hypothèses des chercheurs et des scientifiques au sujet de ce projet sont les suivants :
Les études menées à l’Institut HeartMath ont indiqué que le cœur semblait joué un rôle clé dans
l’intuition.
On nous a toujours enseigné que le cœur devait s’adapter aux « ordres » transmis par le cerveau
sous la forme de signaux neuronaux. En réalité, le cœur envoie plus d’informations au cerveau
que le cerveau n’en envoie au cœur ! Ces signaux cardiaques produisent un effet significatif sur
la fonction cérébrale. Ils influent sur le traitement émotionnel ainsi que sur les facultés
cognitives comme l’attention, la perception, la mémoire et la résolution de problèmes.
Par conséquent, un grand nombre d’experiencers de l’Institut HeartMath tentent de créer des
états cardiaques centrés sur l’amour et la compassion dans le but de générer un environnement
mondial plus favorable que celui connu actuellement.
Les Tachyons
La science « psionique* » ne dépend pas seulement de l'esprit humain mais aussi des
champs de force des ondes et des particules. (*Relatif au pouvoir psychique surnaturel)
Presque toutes les particules subatomiques se subdivisent. Ce faisant, elles se
transmutent ou se transforment en nouvelles panicules d'un genre différent. Lorsqu'un
électron remonte le temps il change de nom : il devient un positron. Le terme de
« positron » désigne un élément d'antimatière ou un antiélectron.
Les protons, les neutrons et les électrons s'unissent pour former l'atome. Toutes ces
particules sont sujettes à des subdivisions qui les transforment en particules
nouvelles. Si tant de nouvelles particules subatomiques sont découvertes, c'est peut être
parce que l'esprit des chercheurs crée ces particules en les cherchant. On a
fréquemment observé que les machines aussi bien que les observateurs exerçaient
une influence sur les particules. Il se pourrait que les scientifiques les créent en
projetant une image mentale, ce qui expliquerait pourquoi tant de nouvelles particules
ont été découvertes ces dernières années. Cela expliquerait aussi pourquoi les
physiciens découvrent toujours, tôt ou tard, les éléments dont l'existence a fait l'objet
de leur postulat. Cela peut prendre du temps, mais on finit toujours par découvrir les
particules que l'on croyait. Il est possible aussi que le délai nécessaire à cette
« découverte » soit exactement celui dont la penser de l'opérateur a besoin pour se
concentrer et donner naissance à une forme matérielle ou à une énergie.
Créer des formes physiques grâce à l’énergie mentale fait partie de l'entraînement des
yogis et autres mystiques. C'est peut-être ce qui se fait actuellement dans le domaine
de la physique. Démêler l'enchevêtrement des particules est un processus qui peut se
poursuivre indéfiniment si on les étudie en imaginant sans cesse l'existence de
nouvelles particules. Cela ne mènera nulle part, sinon à la découverte d'une infinité
de particules !
Il est plus sage d'apprendre à manipuler les particules, les ondes et les champs de
force qui ont déjà été découverts et il serait logique de consacrer à ce but nos
connaissances et notre énergie. Peu importent le nom de la particule et son poids si
vous pouvez la créer et la diriger à votre guise. Beaucoup de particules se déplacent à
une vitesse légèrement inférieure à celle de la lumière. Elles se déplacent également à
travers la matière. Quand elles traversent les cellules, elles exercent instantanément
un nouveau type d’action.
Concentrer son énergie mentale sur le déplacement des particules dans un but précis
est une démarche plus efficace que celle des chercheurs. Il n’est pas indispensable de
connaître le nom de l’élément, sa position ou sa vitesse pour l’influencer et le diriger
dans la direction voulue. Par contre, il est utile de savoir exactement à quel endroit
La science psionique revêt plusieurs aspects. L’un des plus connus est la radiesthésie.
Le radiesthésiste forme une image mentale de l’objet qu'il recherche, que ce soit une
source souterraine ou un certain type de minerai. A cet égard, on peut considérer la
baguette du radiesthésiste comme une version d'une machine psionique : le rôle le
plus actif est dévolu au mental de l'opérateur qui engage et contrôle l’action.
Il détermine également leur vitesse, leur trajectoire et leur but.
Les particules ne se comportent pas selon des règles de la physique classique.
Certaines peuvent apparaître au même moment en 2 endroits différents. On a vu deux
particules subatomiques suivre de concert le même trajet ou deux trajets parallèles
vers le même but. On sait qu'elles peuvent remonter le temps ou le dépasser, aller du
passé au futur ou l'inverse.
On pense que certaines particules se déplacent à une vitesse supérieure à celle de la
lumière. Il n’a pas encore été prouvé qu'il soit possible d'accélérer la vitesse d'une
particule de façon à lui faire dépasser cette limite. On croit toutefois qu’il existe des
particules, les tachyons, qui se déplacent toujours plus site que la lumière. C'est ce
qui rend leur observation si difficile en laboratoire. Néanmoins, si elles existent et si
elles se déplacent effectivement à une telle vitesse, elles sont sensibles à l'influence
de l'esprit humain qui actionne les engins psioniques. On peut les contrôler, les
concentrer, les utiliser.
Elles ont un point commun avec les électrons qui provoquent l'électricité : nous avons
développé toute une technologie à base d'électricité et pourtant cette énergie n'a
jamais été vraiment définie. Peut-être ne saurons-nous jamais vraiment ce qu’elle est.
Les particules existent naturellement. Nul besoin pour les créer, d'un accélérateur
linéaire, d'une chambre d'ionisation ou de tout autre engin. Elles existent et se
déplacent en permanence. Qu’elles naissent de nos champs magnétiques corporels, de
ceux de la Terre, des radiations du système solaire ou même de celles d'une autre
galaxie, elles constituent la matière qui nous entoure.
Ce sont en vérité des milliards de particules subatomiques qui nous traversent et
circulent autour de nous à chaque heure du jour. Nous pouvons constamment faire
appel à cet immense réservoir d’énergie. Elles sont en nous et autour de nous. Votre
mental les crée grâce à ses mécanismes de pensée, donc vous utilisez déjà
spontanément ces particules.
Définition de Tachyon :
Le tachyon est une classe de particules hypothétiques dont les principales caractéristiques sont
d'avoir une vitesse toujours supérieure à la vitesse de la lumière dans le vide, une masse
imaginaire pure et une énergie qui diminue lorsque la vitesse augmente.
Or la vitesse d'information de la cause est justement la vitesse limite que le tachyon dépasse
(même si la lumière elle-même était plus lente que la vitesse d'information de la cause, la
définition du tachyon est de se déplacer plus vite que la vitesse limite, non que la vitesse de la
lumière. Il peut donc se déplacer dans le temps.