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Caractéris2ques des êtres vivants Autotrophie/Hétérotrophie

Un organisme « autotrophe » est un organisme capable de générer sa


propre ma6ère organique à par6r d'éléments minéraux.
Un être vivant est un système cons6tué d’éléments mis en ordre grâce à ➔ Producteur primaire
l’informa6on géné6que, doté d’une série d’appareils qui assurent son
autonomie et de la capacité de se reproduire. Le terme « hétérotrophe » qualifie un organisme incapable de synthé6ser lui-même
ses composants et qui recourt donc à des sources de ma6ères organiques exogènes.
‣ Composé d’une ou plusieurs cellules (animale ou végétale)Organisa6on biologique : ➔ Producteur secondaire
cellule > noyau > mitochondrie … - (procaryotes ou eurcaryotes)
Il existe deux grands types d’organismes cellulaires :
• Les cellules eucaryotes possèdent un noyau contenant le matériel géné6que.
• Les cellules procaryotes sont dépourvues de noyau, leur matériel géné6que est donc
libre dans la cellule (exemple : les bactéries)

‣ Réac6on à un s6muli.
‣ Capable de réaliser : croissance et reproduc6on (naissance, croissance, âge
adulte, reproduc6on)
‣ Besoin l’énergie (ex : photosynthèse avec source lumineuse; alimenta6on)
‣ Produc6on de déchets à plusieurs échelles : cellulaire, respira6on, suda6on,
déféca6on,…
‣ Durée de vie limitée et no6on de finalité + cycle de vie + différentes échelles
‣ Échange avec son milieu : Écosystème avec l’interconnexion entre les êtres
vivants et biodiversité
‣ Adapta6on des êtres humains au sein d’un écosystème (équilibre)
Les décomposeurs L’ac6on mécanique :
• Une par6e de la pédofaune (= faune du sol), animaux appelés fragmenteurs,
fragmentent la MO afin d’augmenter la surface d’a`aque des champignons et des
bactéries du sol. Ex : lombrics, fragmentent plus grossièrement tandis que les
(♥) Les décomposeurs sont des êtres vivants u6lisant la ma6ère organique morte myriapodes (en moyenne 60 mm) puis les collemboles (2 mm) puis les acariens (de
(végétaux, cadavres, excréments) pour produire leur ma6ère. Ils sont très nombreux 10 micromètres à 20 mm) comme les acariens oribates et enfin les nématodes
dans les sols. (0.25 à 3 mm) fragmentent la ma6ère organique de plus en plus finement. fer6lité
Certains sont visibles à l’œil nu tel que les vers de terre, les champignons : ils du sol en perme`ant aussi une ruisselement de la ma6ère organique.
fragmentent la MO (ma6ère organique) : ce sont des détri2vores / saprophages • En se déplaçant, ils créent des conduits améliorant l’aéra2on du sol et la
(animaux) et des saprophytes (champignons). circula2on d’eau ce qui améliore la vie de beaucoup d’espèces et augmente la
fer2lité du sol en perme`ant aussi un ruissellement de la MO.
Quand une feuille n’est plus assez produc6ve, l’arbre envoie à la feuille un signal qui • Ils transportent ac2vement la MO par exemple en digérant les végétaux en haut de
fonc6onne comme une hormone, l’éthylène qui déclenche la sénescence de la feuille, la li6ère et en les rejetant plus bas sous forme de déjec6ons.
c'est-à-dire que la feuille va commencer à dégrader sa chlorophylle qui est ensuite
recyclée. Or la chlorophylle disparaissant, le pigment vert disparaît aussi de la feuille et
L’ac6on chimique :
les pigments minoritaires de la feuille lui donnent sa nouvelle couleur comme des
• Les déjec6ons des espèces riches en phosphore, en ammoniaque, en potassium ou
caroténoïdes avec les xanthophylles, des anthocyanes… Puis la feuille de déshydrate
en magnésium de sorte qu’elles nourrissent certaines autres espèces et fer2lisent
car sa base se durcit en réac6on à l’éthylène et à l’acide abscissique et, ce faisant,
le sol.
bouche les nervures perme`ant le passage de l’eau. Par ailleurs, une par6e de la base
se désagrège pour faciliter la chute de la feuille par la pesanteur.

Quand une feuille tombe au sol, ses composantes vont subir plusieurs étapes de
transforma6on afin de passer d’un état de MO organisée et non vivante à celui de
ma6ère minérale (MM) ou organique (MO) indépendante et réu6lisable par d’autres
individus encore vivants.

Les acteurs de la décomposi6on sont :


• Les animaux nécrophages qui mangent les plus grosse par6es du cadavre animal
ou des débris végétaux. Leur rôle est moindre dans la décomposi6on des
végétaux.
• Les ac6nomycètes (champignons filaments mycéliens), qui est une horizon (une
strate) qui surplombe l’humus et touche la surface et qui peuvent décomposer
la lignine (molécules apportant la rigidité) ou la cellulose en acides humiques.
Ils agissent principalement dans la première phase dite de fragmenta6on où les
composés organisés sont dégradés et rendus plus pe6ts.
• Les ascomycètes et les basidiomycètes (champignons) même rôle de les
ac6nomycètes.
La photosynthèse

Les plantes vertes ont besoin de MM telles que l’eau, les sels minéraux, le dioxyde de 

carbone, pour produire leur propre MO. Ce`e transforma6on n’est possible qu’en présence
de lumière, c’est la photosynthèse.
Les plantes vertes ont également besoin de chaleur, en effet, elle détermine l’ac6vité
cellulaire et s6mule la photosynthèse. Quand il y a de fortes baisses de température, les
plantes se me`ent dans un état végéta6f, elles fonc6onnent au ralen6.

Les substances prélevées par les plantes dans le sol


L’eau : absorbée par les racines, est nécessaire à la vie des plantes, c’est le composant
majeur des plantes. L’eau est u6lisée comme un liquide conducteur de sève et sert donc à
la croissance et pour la vie des cellules de la plante (divisions cellulaires pour la croissance
faite uniquement en présence d’eau)

Les sels minéraux : les principaux éléments dont la plante a besoin sont l’azote N, le
phosphore P, le calcium Ca et le potassium K. L’azote est un engrais de croissance, il sert
au développement du feuillage et des par6es antérieures de la plante. Le phosphore
s6mule le développement des racines, la floraison et la fruc2fica2on. Le calcium permet
de rigidifier la structure des cellules de la plante (comme pour nos os). Le potassium sert à
la circula2on de la sève et l’assimila2on des éléments nutri6fs par les plantes. Il améliore
la résistance des plantes au gel, aux maladies et aux parasites, également la couleur et le
goût des fruits.

Les substances captées par le feuillage


Les plantes vertes ont une spécificité, elles con6ennent de la chlorophylle. C’est un
pigment naturel qui leur donne leur couleur verte. Ce`e substance permet la réalisa6on
de la photosynthèse, c’est la fabrica6on de glucose grâce à un apport de CO2, d’eau et de
soleil. Lors de ce`e transforma6on, il y a un rejet d’O2. Photo = soleil et synthèse =
fabrica6on nécessaires au développement de la plante.

La lumière : l’énergie solaire est nécessaire pour que les plantes fassent une synthèse
d’énergie nécessaire à leur croissance. Ce`e énergie va transformer le CO2 capté par l’air
et l’eau captée par les racines en Glucose. Ce glucose sert ensuite à la croissance des
plantes et est transporté par la sève dans l’ensemble de la plante. Lors de ce`e synthèse, il
y a un rejet d’oxygène dans l’atmosphère par la plante, u6le pour les autres êtres vivants.

Le dioxyde de carbone : il sera transformé, grâce à l’énergie solaire, en ma6ère u6lisée par
la plante pour croître, le glucose. Il est donc essen6el aux plantes car sans lui il n’y a pas de
réalisa6on de photosynthèse.
6 CO2 + 12 H2O → C6H12O6 + 6 O2 + 6 H2O (+ MO)
Un volcan : relief formé par l’éjec6on et l’empilement de matériaux issus de la montée de
Les volcans magma sous forme de lave et de tephras (cendres). Après refroidissement, les laves donnent
des roches volcaniques.
Le volcanisme : manifesta6on en surface de l’ac6vité interne du globe. C’est l'arrivée en
surface de magma (lave en fusion) contenant des gaz. Les volcans se retrouvent concentrés Le magma : la ma6ère minérale profonde et solide se liquéfie lors de varia6ons de pression
sur le long des dorsales dans les océans et sur les con6nents. (augmenta6on) et de température, perme`ant la forma6on de magma (dans les chambres
magma6ques). Ce magma moins dense, mélange de minéraux en fusion, de gaz et
La ma2ère minérale profonde et solide, peut se liquéfier lors de varia6ons de pression d’éléments solides, parvient en surface et forme l’édifice volcanique par épanchement de
(augmenta6on) et de température, perme`ant la forma2on de magma (dans les chambres laves. La fluidité de la lave émise par le volcan dépend de la composi6on chimique du
magma6ques). Ce magma moins dense, mélange de minéraux en fusion, de gaz et magma formé en profondeur.
d’éléments solides, parvient en surface et forme l’édifice volcanique par épanchement de Il existe :
laves. - Le magma grani6que : acide, visqueux, formé vers 20 à 30 km de profondeur
La fluidité de la lave émise par le volcan dépend de la composi6on chimique du magma - Le magma basal6que : basique, peu fluide, formé vers 40 km de profondeur, donne
formé en profondeur. des roches effusives.

Il y a différents types d’ac2vité volcanique qui dépendent de la fluidité de la lave : La lave : roches à l’état liquide qui s’écoulent le long du volcan externe. Il existe plusieurs
– si la lave est fluide, le volcanisme sera effusif et le volcan aura une forme de cône ou types de laves (lisses, en coussins…). Les roches effusives sont les laves.
forme des iles volcaniques.
(Ex: le Kilauéa à Hawai (USA), le Piton de la Fournaise à la Réunion (France); Les roches magma6ques : roches plutoniques ou volcaniques résultant de la solidifica6on du
magma. Elles forment l’essen6el des croûtes con6nentales et océaniques. Elles sont surtout
– si la lave est visqueuse, le volcanisme sera explosif et le volcan sera surmonté d'un dôme représentées par les granites et les basaltes.
proje`eant à plus de 100 de Km/h des nuées ardentes cons6tuées de cendres, de gaz et de
solides à plus de 500°.. La chambre magma6que : accumula6on d’une masse de magma. C’est le siège de
(Ex: le Vésuve de Pompéi, Mont Helens aux Etats-Unis phénomènes complexes (réac6ons chimiques…).

Quand le magma arrive à l’air libre il se cristallise (refroidit + solidifie) donnant des roches Les manifesta6ons volcaniques : émissions de lave et de gaz. Les matériaux émis cons6tuent
volcaniques (ou magma6ques) : l’édifice volcanique.
- refroidissement lent ➔ andésite : roche à gros cristaux
- Refroidissement rapide ➔ basalte (faible teneur en silice (SiO2)): roche à pe6ts cristaux Une érup6on volcanique : arrivée en surface d’un magma qui se manifeste par deux grands
types d’érup6ons (effusive et explosive).
• Type hawaiien : émission de coulées de lave très fluide, rela6vement pauvre en gaz.Les
laves coulent dans de nombreuses direc6ons et s'empilent en nappes de centaines de
kilomètres de circonférence. Ce type est surtout présent dans les Iles Hawaii.
• Type strombolien : Viscosité élevée due à l'accumula6on de gaz sous pression. Des
explosions parfois assez violentes proje`ent divers matériaux solides dont les couches
alternent avec quelques coulées de lave solidifiée
• Type vulcanien : Des érup6ons très violentes avec des explosions de gaz entraînant
d'assez grandes quan6tés de matériaux solides caractérisent ce type de volcans. Les laves
sont très visqueuses, causant de grandes accumula6ons de gaz sous-pression.
• Type péléen : Appari6on brutale d'une nuée ardente, énorme masse de gaz surchauffés et
de cendres,
• Type Surtseyen : l’ac6vité volcanique se déroule sous la surface de l'eau, à faible
profondeur, dans l'océan ou dans un lac.
Après la féconda6on, la cellule principale (l’embryon) subit des mitoses successives donnant
ainsi les premières structures embryonnaires, radicule, cotylédons et gemmule (bourgeon
Les plantes à fleurs/
terminale). Les autres cellules dégénèrent. L’œuf accessoire subit des mul6plica6ons pour
Angiospermes
former des amas cellulaires renfermant des nutriments appelés albumen. Ainsi la graine
formée subit une dessicca6on et rentre en phase de vie ralen6e (dormance)ou les échanges
L’anthère est la par6e terminale de l’étamine qui renferme et produit le pollen (= nutri6onnelles et respiratoires sont faible lui perme`ant de supporter les condi6ons
gamétophyte (producteur de gamète)), elle est fixée au filet soit par sa base soit par son défavorables.
milieu. Elle se compose de deux loges contenant chacune deux sacs polliniques. Ceux-ci, à
♂ maturité, sont remplis de pollen et s’ouvre, généralement par déhiscence, pour répandre La germina6on est la reprise du métabolisme et du développement d’un embryon de
les grains de pollen à l’extérieur. spermaphyte contenu dans une graine me`ant fin à la vie ralen6e. Elle se produit lorsque les
- A maturité, le grain de pollen est formé de : deux cellules et deux noyaux haploïdes : le condi6ons extérieures sont favorables et se déroule selon les étapes présentées dans la figure
plus gros = noyau végéta6f qui formera le tube pollinique, l’autre = noyau reproducteur suivante :
qui formera 2 spermatozoide. * Entrée d’eau dans la graine, son gonflement, et déchirement des enveloppes qui l’entoure
* appari6on de la radicule et son pénétra6on dans le sol.
Le carpelle est une enveloppe protectrice supplémentaire du pis6l, c’est une * développement de la radicule et la 6gule et appari6on du bourgeon qui donnera les feuilles.
caractéris6que fondamentale des angiospermes dans la mesure ou les ovules y sont
enfermés. IL comprend trois par6es :
♀ - une cavité close qui abrite les ovules appelée ovaire.
- le style qui relie l’ovaire au s6gmates.
- le s2gmate
Le sac embryonnaire = gamétophyte est inclus dans l’ovule. Il est formé lors de la
matura6on de celui-ci et con6ent 7 cellules et 8 noyaux haploïdes dans le même
cytoplasme.

La pollinisa6on est le processus de transport d’un grain de pollen depuis les étamines vers
le pis6l, soit par autoféconda6on (pollen d’une fleur se dépose sur le s6gmate de la même
fleur) ➔ autogamie, soit par féconda6on croisée (le pollen d’une fleur se dépose sur le
s6gmate d’une autre fleur de la même espèce) ➔ allogamie.

Lors de la pollinisa6on, le pollen est transporté de l’anthère au s6gmate de la même fleur


ou d’une autre fleur de la même espèce. Sur le s6gmate, le pollen émet un tube pollinique
qui traverse le style, ce tube pollinique achemine le gamète male jusqu’à l’ovule afin de le
féconder.
Autours de la germina6on du pollen, la cellule végéta6ve émet le tube pollinique + la
cellule génératrice subit une endomitose pour donner deux gamètes males. Une fois au
niveau du micropyle, le tube pollinique déverse les deux gamètes males dans le sac
embryonnaire. L’un des gamètes males fusionne avec l’oosphère pour donner l’embryon :
c’est l’œuf principale. L’autre gamète male fusionne avec les deux noyaux de la cellule
centrale pour donner l’œuf accessoire qui donnera ultérieurement l’albumen : c’est la
double féconda2on des angiospermes
Structure de la Terre La subduc2on

Les zones de subduc6ons sont marquées par de forts reliefs :


- posi2f : ce sont des chaînes de montagnes volcaniques au niveau du con2nent (cordillère
des Andes) ou des arcs volcaniques insulaires (Japon) ;
- néga2f : ce sont des fosses océaniques (fosse des Mariannes Océan Pacifique)

D’autres structures tectoniques sont observables au niveau de ces régions :


- l’existence d’un prisme d’accré2on (ex : la Barbade), il s’agit d’un ensemble sédimentaire
provenant de la couverture sédimentaire de la croûte océanique qui est subductée ;
- des plis et des failles inverses ;
- la possibilité d’un bassin arrière-arc, en arrière de la zone de subduc6on qui traduit en fait
un mouvement d’extension (mer du Japon).
La subduc6on cons6tue l’un des principaux moteurs de la tectonique des plaques. Le moteur
de ce`e subduc6on est lié à la différence de densité.
Une plaque va être subductée lorsque son poids est trop important. La densité d’une plaque
océanique n’est pas constante, la densité dépend directement de la température de la
plaque.La température d’une plaque océanique n’a de cesse de diminuer en s'éloignant de son
point de naissance : la dorsale.
➔ En s'éloignant de la dorsale, la plaque vieillit, elle refroidit et sa densité augmente.
Lorsque son poids devient trop important, elle plonge.

On dis6ngue deux types de subduc2on :


- océan/con2nent : avec forma6on d’une chaîne de montagne.
- océan/océan : avec arc insulaire et bassin arrière-arc (fosse plus marquée).

La lithosphère : enveloppe du globe regroupant la croûte et la par6e superficielle du


manteau.

Le manteau : enveloppe du globe comprise entre le noyau et la croûte. C’est


l’enveloppe la plus volumineuse.
Les organes ont en permanence besoin de prendre du dioxygène et des nutriments comme le glucose. Les organes ont aussi en
Le système sanguin permanence besoin de rejeter des déchets comme le dioxyde de carbone. Ces échanges sont réaliser via le sang.
Le sang est toujours contenu dans des vaisseaux sanguin qui forme ainsi un système clos (ou système fermé). Le sang circule à sens
unique dans les vaisseaux vers tous les organes du corps :
Compo sang : - les artères conduisent le sang vers les organes,
• Plasma : 
 - les veines conduisent le sang vers le cœur,
Le plasma cons6tue 55 % du volume du sang total. - les capillaires conduisent le sang à l’intérieur des organes.
Formé d'eau à 90 %, de sels, de lipides et d’hormones, Le cœur est un muscle creux avec quatre “poches” (2 ventricules et 2 oreilleZes) et une cloison (séparant le côté gauche du côté droit).
le plasma est surtout un liquide riche en protéines, Le cœur fonc6onne comme une double pompe : par des ba`ements rythmiques, il propulse le sang dans les artères pulmonaires et
dont l'albumine, sa protéine principale; les l’artère aorte. Après avoir irrigué chaque organe du corps, le sang revient au cœur par les veines pulmonaires et les veines caves.
immunoglobulines; ainsi que les facteurs de
coagula6on et le fibrinogène. Maladie cardio-vasculaire : forma6on d’une plaque d’athérome (dépot graisse + cholestérol)
➔ Plusieurs fonc6ons : le transport des cellules
sanguines et des substances nutri6ves; la régula6on de
l'eau et des sels minéraux de l'organisme; l’irriga6on des
6ssus; la défense contre les infec6ons; la coagula6on du
sang.
Les immunoglobulines dans le plasma sont les an6corps
qui jouent, avec les globules blancs, un rôle important
dans la défense contre les agents pathogènes.

Les globules rouges, les globules blancs et les plaque;es


se retrouvent en suspension dans le plasma.
• Globules blancs : 

On retrouve 6 000 à 8 000 globules blancs (ou
leucocytes) par millimètre cube de sang.
➔ Plusieurs fonc6ons : purifica6on et protec6on contre
les infec6ons. En effet, dès qu'une infec6on est présente
dans un endroit du corps humain, les globules blancs s'y
rendent pour la comba`re.
• PlaqueZes :
Des cellules sanguines plus pe6tes que les globules.
➔ Plusieurs fonc6ons : contribuer à la coagula6on
sanguine et à la cicatrisa6on des plaies. Leur ac6on
coagulatrice se met en branle lorsqu'un vaisseau sanguin
se fissure.
• Globules rouges :
Pe6ts disques biconcaves sans noyau dont la couleur
rouge est due à une protéine appelée hémoglobine, une
protéine contenant du fer.
➔ Plusieurs fonc6ons : transport de l'oxygène.
Les CÔTES sont les os qui sou6ennent et protègent votre
cavité thoracique. Légèrement mobiles, elles aident les Le système respiratoire
poumons à se gonfler et à se contracter.

La trachée se divise en deux BRONCHES (tubes), une pour
chaque poumon. Les bronches se divisent à leur tour en
bronchioles.

Le POUMON DROIT comprend trois LOBES ou sec6ons.

Le poumon gauche comprend deux LOBES.

La PLÈVRE correspond aux membranes qui enveloppent


chaque lobe de vos poumons et qui séparent les poumons
de la paroi de votre cage thoracique.

Les bronches sont recouvertes de CILS (minuscules poils)


qui bougent en vagues. Ce mouvement pousse le MUCUS
(sécré6ons collantes) vers le haut, dans la gorge, où il est
toussé ou avalé. Le mucus sert à a`raper et à piéger une
grande par6e des poussières, des germes et des autres
ma6ères étrangères qui envahissent vos poumons. Vos
poumons évacuent le mucus par la toux.

Le DIAPHRAGME est la forte membrane musculaire qui


sépare votre cavité thoracique de votre cavité abdominale.
En se déplaçant vers le bas, il crée une succion qui permet
d’inspirer l’air et de gonfler les poumons.

Les BRONCHIOLES sont la plus pe6te par6e des bronches;


à leurs extrémités se trouvent les alvéoles.

Les ALVÉOLES sont les minuscules sacs d’air qui sont la


des6na6on de l’air que vous respirez. Les CAPILLAIRES sont
les vaisseaux sanguins qui tapissent les parois des alvéoles.
Le sang arrive de l’ARTÈRE PULMONAIRE, circule dans les
capillaires et en ressort par la VEINE PULMONAIRE. Lors
du passage du sang dans les capillaires, les alvéoles en
éliminent le dioxyde de carbone et le remplacent par de
l’oxygène.
Le système diges2f

Durée moyenne dans la Durée moyenne dans l’œsophage Durée moyenne dans l’estomac Durée moyenne dans le 5 gros intes2n
Durée moyenne dans l’intes2n grêle 8 heures
bouche 1 40 à 50 secondes 10 à 20 secondes 3 heures 15 heures

• ac6on mécanique des • déglu66on puis descente rapide • brassage complétant la • brassage et progression vers le gros intes6n • progression par péristal6sme ;
dents coupant, déchirant des aliments dans l’œsophage mas6ca6on ; grâce au péristal6sme ; • dégrada6on d’une par6e de la
et écrasant les aliments jusqu’à l’estomac. • évacua6on dans l’intes6n • ac6on combinée des sucs pancréa6ques et cellulose par fermenta6ons
(mas6ca6on) ; grêle par jets successifs ; intes6naux et de la bile sur tous les aliments : bactériennes et déshydrata6on des
• ac6on chimique de la • ac6on du suc gastrique sur les protéines, lipides et glucides sont dégradés résidus qui forment les excréments ;
salive sur les sucres lents protéines. respec6vement en acides aminés, acides gras et • absorp6on de l’eau, des sels
(amidon) réduits en glucose.... minéraux et du glucose provenant
molécules plus pe6tes. • pe6tes molécules traversant la muqueuse des fermenta6ons bactériennes
intes6nale pour aller dans le sang et la lymphe
(absorp6on des nutriments).
Le système reproduc2f
L’air

L’air est un mélange gazeux cons6tué de :


78 % de diazote (N2),
21 % dioxygène (O2)
mais également d’autres gaz (dioxyde de carbone, vapeur d’eau, hélium…) sans lesquels
n’existeraient pas les condi6ons nécessaires à la protec6on et au main6en de la vie.

L’air qui est un mélange de gaz est compressible et expansible.


– Lorsque l’on comprime l’air, son volume diminue et sa pression augmente.
– Lorsque l’on détend l’air, son volume augmente et sa pression diminue.

La masse d’un litre d’air dépend de la température et de la pression.



A la pression atmosphérique normale et à la température de 25°C, la masse d’un litre d’air
vaut environ 1,3 g.

Remarque :

L’air chaud est plus léger que l’air froid. Cela explique pourquoi les montgolfières, gonflées à
l’air chaud, peuvent s’élever dans le ciel.

On appelle atmosphère la couche d'air qui entoure la Terre. L’atmosphère a une épaisseur de
quelques centaines de kilomètres. Elle est composée de plusieurs couches : exosphère,
mésosphère, stratosphère et troposphère.
C'est dans la troposphère, la couche la plus proche du sol de la Terre, que se trouve l'air que
nous respirons.

L'effet de serre (isolent thermique) est un phénomène thermique bien connu sur les
planètes comme la Terre et Vénus, où l'atmosphère laisse passer une par6e du rayonnement
solaire qui vient frapper le sol. Réchauffé, celui-ci émet un rayonnement infrarouge en par6e
ou totalement piégé par l'atmosphère rendue « imperméable » par la présence de gaz, dont
principalement la vapeur d'eau sur Terre et le CO2 sur Venus. On observe alors
une isola6on accrue de la planète et un réchauffement global de celle-ci. À noter que l'effet
de serre existe aussi sur Mars, bien qu'il soit très faible.
La glycémie

Le glucose est un nutriment essen6el pour nos cellules qui le prélèvent dans le sang. Malgré
des apports alimentaires discon6nus, sa concentra6on dans le sang varie peu (autour de 1,26
g.L-1 = valeur consigne) elle semble donc contrôlée par un système de régula6on.

Le foie est le grand chef d’orchestre pour le stockage du glucose. Le stockage est réalisé sous
forme de glycogène (=polymère de glucose). Mais le foie transforme aussi le glucose en
triglycérides (graisses) qui sont stockés dans le 6ssu adipeux. Les muscles stockent du glucose
sous forme glycogène. L’état des réserves peut être évalué à :
- foie (55 %)
- muscles (18 %)
- 6ssu adipeux (11 %)
- sang et la lymphe (5 %).

La régula6on de la glycémie autour d’une valeur consigne nécessite une lecture permanente
de ce paramètre, il est donc indispensable de posséder de bons capteurs sensibles à ces
varia6ons de glycémie. Ces capteurs sont dans le pancréas : les îlots de Langerhans et plus
par6culièrement les cellules alpha et beta.

Le pancréas détecte le taux de glucose et réagit en déversant dans le milieu intérieur 2


hormones (=substance chimique produite a des cellules spécialisées, déversées dans le sang
et ayant une ac6on à distance sur des cellules cibles):
- l'insuline (sécrété par les cellules β)
- le glucagon (sécrété par les cellules α)

Le pancréas a donc une fonc6on endocrine : il agit à distance en sécrétant des hormones dans
le sang.

L'insuline se fixe sur des récepteurs présents à la surface des cellules des organes effecteurs
de la glycémie : foie, muscles, 6ssus adipeux. Ce`e fixa6on entraîne une augmenta6on du
stockage du glucose sous forme de glycogène et de triglycérides. Il s’agit donc d’une hormone
hypoglycémiante Ce stockage de glucose sous la forme d’un polymère est nommé :
glycogénogenèse. Le glucagon ne se fixe que sur les récepteurs des cellules hépa6ques ce qui
entraîne une libéra6on plus importante de glucose dans le sang. Ce déstockage de glycogène
est nommé : glycogènolyse Il s’agit dans ce cas d’une hormone hyperglycémiante.
Le système nerveux

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