Lors de la première semaine de cours, nous avons parlé de ce qu’était la
philosophie, et surtout, nous avons parlé des préjugés. C’est donc sur ce sujet que je vais réfléchir aujourd’hui. Lors des deux premiers cours, vous avez dit que les préjugés étaient mauvais, et qu’on devait apprendre à s’en débarrasser pour réfléchir par nous-même. Toutefois, est-ce bien une bonne idée? Selon moi, nous ne devons pas laisser tomber tous nos préjugés, puisque certains d’entre eux nous permettent, dans la vie de tous les jours, d’être prêts à ce qu’on trouvera, ainsi qu’à bien se préparer aux éventualités à venir. Bien évidemment, il est certain que certains préjugés sont inutiles, voir faux, comme les préjugés racistes sur une ethnie complète. Au contraire, lorsqu’on parle des préjugés sur certaines choses particulières, qui ne généralisent pas sur une communauté complète, ces préjugés peuvent être nécessaire pour la communauté, par exemple, une sorte de préjugé inculqué dès l’enfance, serait le respect des parents. Dans cet exemple, on parle d’un préjugé très simple, mais qui est nécessaire dans la vie entière de l’enfant, puisque si les parents n’apprennent pas les bases du respect, qu’on peut appeler un préjugé, et bien les enfants ne vont peut-être pas tous penser par eux-mêmes qu’il est important de se respecter les uns, les autres et de ne pas penser seulement à soi-même. Pour conclure, les préjugés ne sont alors pas tous mauvais, ils sont même dans certains cas très importants, mais il est toujours nécessaire de réfléchir à ces préjugés avant d’en prendre compte.
261 mots Journal de pensé no.2
Lors de la deuxième semaine de cours, nous avons parlé de beaucoup de
choses, toutefois ce qui m’a plus marqué est sans aucun doutes lorsqu’on a parlé des agoras et que vous les avez comparés avec les réseaux sociaux comme Facebook. Cependant, vous avez aussi dit que ce n’était pas la même chose puisqu’on était isolés dans notre bulle avec les réseaux sociaux. Dans ce texte je vais donc réfléchir sur pourquoi les réseaux sociaux comme nous les connaissons nous isolent du monde, nous laissent dans notre bulle, avec nos amis et les annonces que nous désirons. Premièrement, dans les agoras les gens n’étaient pas simplement avec leurs amis proches, ils étaient aussi avec des gens qu’ils aimaient moins ou même avec de purs inconnus. Aujourd’hui, les applications de clavardage social s’approchent beaucoup des agoras, mais contrairement à ceux-ci, ces réseaux ne nous laissent pas rencontrer de nouvelles personnes, ou bien ne nous laisse pas découvrir ce qu’on ne connait pas par exemple, les seules publications qu’on voit sont celles des gens qui sont dans nos amis, les seules annonces qu’on voit sont celles qui ont été déterminées pour nous, etc. Deuxièmement, contrairement aux agoras, les réseaux sont bien certainement à distance, et donc il n’y a pas de vrai contact, de contact direct. Pour conclure on peut donc voir que de nos jours nous n’avons plus de vraies agoras comme les Grecs avaient, il ne nous reste que certaines petites parties de cette culture.