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Nom 

: Pier-Alexandre Tremblay

Journal de pensée no.1

Lors de la première semaine de cours, nous avons parlé de ce qu’était la


philosophie, et surtout, nous avons parlé des préjugés. C’est donc sur ce
sujet que je vais réfléchir aujourd’hui. Lors des deux premiers cours, vous
avez dit que les préjugés étaient mauvais, et qu’on devait apprendre à s’en
débarrasser pour réfléchir par nous-même. Toutefois, est-ce bien une
bonne idée? Selon moi, nous ne devons pas laisser tomber tous nos
préjugés, puisque certains d’entre eux nous permettent, dans la vie de tous
les jours, d’être prêts à ce qu’on trouvera, ainsi qu’à bien se préparer aux
éventualités à venir. Bien évidemment, il est certain que certains préjugés
sont inutiles, voir faux, comme les préjugés racistes sur une ethnie
complète. Au contraire, lorsqu’on parle des préjugés sur certaines choses
particulières, qui ne généralisent pas sur une communauté complète, ces
préjugés peuvent être nécessaire pour la communauté, par exemple, une
sorte de préjugé inculqué dès l’enfance, serait le respect des parents. Dans
cet exemple, on parle d’un préjugé très simple, mais qui est nécessaire
dans la vie entière de l’enfant, puisque si les parents n’apprennent pas les
bases du respect, qu’on peut appeler un préjugé, et bien les enfants ne
vont peut-être pas tous penser par eux-mêmes qu’il est important de se
respecter les uns, les autres et de ne pas penser seulement à soi-même.
Pour conclure, les préjugés ne sont alors pas tous mauvais, ils sont même
dans certains cas très importants, mais il est toujours nécessaire de
réfléchir à ces préjugés avant d’en prendre compte.

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Journal de pensé no.2

Lors de la deuxième semaine de cours, nous avons parlé de beaucoup de


choses, toutefois ce qui m’a plus marqué est sans aucun doutes lorsqu’on a
parlé des agoras et que vous les avez comparés avec les réseaux sociaux
comme Facebook. Cependant, vous avez aussi dit que ce n’était pas la
même chose puisqu’on était isolés dans notre bulle avec les réseaux
sociaux. Dans ce texte je vais donc réfléchir sur pourquoi les réseaux
sociaux comme nous les connaissons nous isolent du monde, nous laissent
dans notre bulle, avec nos amis et les annonces que nous désirons.
Premièrement, dans les agoras les gens n’étaient pas simplement avec
leurs amis proches, ils étaient aussi avec des gens qu’ils aimaient moins ou
même avec de purs inconnus. Aujourd’hui, les applications de clavardage
social s’approchent beaucoup des agoras, mais contrairement à ceux-ci, ces
réseaux ne nous laissent pas rencontrer de nouvelles personnes, ou bien ne
nous laisse pas découvrir ce qu’on ne connait pas par exemple, les seules
publications qu’on voit sont celles des gens qui sont dans nos amis, les
seules annonces qu’on voit sont celles qui ont été déterminées pour nous,
etc. Deuxièmement, contrairement aux agoras, les réseaux sont bien
certainement à distance, et donc il n’y a pas de vrai contact, de contact
direct. Pour conclure on peut donc voir que de nos jours nous n’avons plus
de vraies agoras comme les Grecs avaient, il ne nous reste que certaines
petites parties de cette culture.

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