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27 septembre 21
La motte de la chapelle à de l’aula la Fontaine. Habitats nobles et élitaire. Un des première exemple
de donjons ;
Bénéficie d’une fouille archéologique dans les années 50s. Restituent les ppls phases de la chapelle.
Déperement de Maine et Loire. Sud-ouest du Saumur entre Tours et Angers.
La motte de la chapelle était situé dans le comté du Poitiers, dans le royaume d’Aquitaine.
Date d’avant la période médiéval, notamment les traces gallo-romaines furent trouvé.
A l’époque carolingienne : valorisé. Villa (domaine rural) transformé en palais carolingien attesté par
les textes on a garder aucune trace physique ; Louis le Pieux résidais au palais 814 ou il a appris la
mort de son père. Les annales royales sont complété par la bibliographie des Vies. Emorld affirme
qu’il a construit ce palais.
Anjou se de base contre les bretons. Les domaines angevins servaient de point repos pour l’armée.
Domaine royal en frontière.
Hypothèse :
Toit en bâtière. Espace intérieur est divisé en deux parties, à l’intérieur on y trouve un mur de
refend. Eclairé par deux fenêtres au nord et sud (pas très éclairé).
Palais types carolingiens : deux grandes espaces. Bâtiment qualifié d’aula, construite par une
personne de haut rang. Associé à un camera.
A qui est il attribué ce bâtiment vers 900 : L’mpire carolingien disparait en 888. L’Anjou(Neustrie) est
dominé par la famille des Robertiens (Robert le Fort marquis de Neustrie, se met au service de
Charles le Chauve) Fonction politique et militaire, reçoit la charge de gérer les biens de l’abbaye
Marmoutier. Rapporte des bénéfices. Pouvoir militaire de Neustrie (d’où le titre de marquis).
Il a une mission de lutter contre les Normands, en 866, il meurt durant un combat.
Nomination de Robert (888-922) frère de Eudes reçoit le titre de marquisat de Neustrie : comté de
Paris, Blois, Tours, d’Angers ; Basilique de Saint Martin de Tours, Abbaye de Marmoutier (gère ces
domaines) ;
Activité architecturale : à la faveur des raides normands, période de reconstruction sous le Marquis
de Neustrie.
Incendie : charpente est totalement détruit, vers 930-940. Accidentel (cheminée) ou une activité
militaire. Violente (les pièces sont noircies).
Monté en puissance des vicomtes d’Angers (revendiquent le titre du comté) et la monté en puissance
des comtes de Blois s’opposent, rivalité, peut expliquer l’incendie.
Hugues le Grand 923-956 : duc des Francs, Bourgogne, assoie sa domination sur le duché de
Normandie ;
L’incendie de l’aula peut être lié au comte d’Anjou et Poitiers ou encore blésois. Comte de Blois sort
vainqueur.
Peut après l’incendie, on reconstruit le bâtiment, on convertie ce palais en donjon qui passe par la
surélévation des murs qui se fait dans un contexte d’évolution.
950-970 : conversion en donjon menait par les comtes Blois (Thibault de Tricheur 943 975),
s’émancipe de la tutelle Robertiens.
Bâtiment étendue à 5 mètres de hauteur, avec des portes étroites, installation des silos
(ravitaillement).
Poteau de bois à l’intérieur des bâtiments pour créer un planchait. Salle de réception, privé (camera).
A partir du 11e siècle : le donjon est emmotté (creuse autour de ce donjon un fossé large de 15
mètres). Le bâtiment disparait sous les mottes. Création d’un étage.
Cette évolution n’est pas exceptionnelle : Rhénanie ex.
Vendome (proche d’Hugues Capet) Comte Bouchard, Paris. Renault son fils est évêque de ( ? ).
Eudes Ier s’est allié avec le duc d’Aquitaine (concrétisé par un mariage, Emma.
Seconde fortification : date du XIe siècle érigé à proximité des vestiges gallo-romain. Dédicacé en
1040 dans la chronologie des luttes. Autour de la Notre-Dame de la Chapelle.
Les comtes de Blois : Chinon (abandonne des possessions pour aller vers l’Est). Il se dirigent vers la
Région de Champagne laissant les domaines au comte d’Anjou.
Le droit de fortifié était uniquement régalien au début : seuls les rois pouvaient en construire mais
étendu aux principautés.
Bois : palissade
Les fortifications (motte) sont proches des édifices, politiques, économiques (foire) et religieuses
(cimetière).
Le donjon de Langeais fin Xe siècle :
« L’une des constructions non religieuses les plus précoce que le moyen âge nous ait transmit »
994, Foulque Nerrat a tenté de s’emparer de Tours (région comtal attaché au comté de Blois). Cette
fortification est contemporaine du donjon de Doué la Fontaine vue en dessus.
L’édifice :
Bati rectangulaire, 16m, complété par deux tours carrées. Un rez-de-chaussée (fonction de stockage),
petites fenêtres. Cheminée. Deuxième étage : pas sûr. L’utilité des tours ne sont pas précises.
Ce donjon : fonction résidentielle. Utilisé comme lieu de manifestation du pouvoir. La grande salle du
donjon : union pour gérer les affaires publiques et appartement privé ; Fonction défensive (manifeste
un souci de sécurité) ;
Le donjon appartient a un vaste espace délimité par deux enceintes qui protège le donjon.
Promontoire, site naturelle qui s’élève d’est en ouest qui accroit le caractère défensif. La tour est
seuelemt un des éléments de ce vaste espace défensive.
Dans ce castrum : chapelle construite par Foulque Nerrat entre 987-1040. Selon Grégoire de Tours
(Martin de Tours avait construit un édifice religieux (donc pas la première).
Farah94alger@gmail.com
Etape interm