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Département Génie Electrique

Filière :
« Génie Electrique et Contrôle des Systèmes Industriels »
GECSI

Eléments de module: Systèmes multitâches et distribués

Travail 1
(RdP temporisés, Rdp Colorés, Réduction des RdP)

Réalisé par : Encadré par :


FAHSSI AHMED Mme. NHAILA
DAHMANI JAMAL

Année Universitaire : 2021-2022


Compte rendu travail 1

Sommaire

1 Introduction ..................................................................................................................................... 4
2 Les modèles de RDP temporisé ....................................................................................................... 5
2.1 Passage d’un RDP P-temporisé vers un RDP T-Temporisé ........ 5
2.2 Passage d’un RDP T-temporisé vers un RDP P-Temporisé ........ 6
3 Réseau de Pétri P-temporisé ........................................................................................................... 6
3.1 Principe de fonctionnement de RdPT .......................... 6
3.2 Propriétés des RDPT ......................................... 8
1 RDP COLORÉS .................................................................................................................................. 9
1.1 Définition .................................................. 9
1.2 Graphe ...................................................... 9
1.3 Évolution du marquage ...................................... 10
1.4 Validation d’une transition ................................ 11
1.5 Franchissement d’une transition ............................ 11
1.6 Séquence de franchissement ................................. 12
2 DEGRÉ DE COLORATION ................................................................................................................ 12
2.1 Coloration total ........................................... 12
1 Méthodes de réduction ................................................................................................................. 14
1.1 R1 : Substituions de place (en fait suppression) ........... 14
1.2 R2 : Suppression des places implicites ..................... 15
1.3 R3 : Suppression des transitions neutres ................... 16
1.4 R4 : suppression des transitions identiques ................ 17
1.5 Ra : Suppression des transitions impures ................... 18
1.6 Rb : Suppression des transitions pures ..................... 19

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Compte rendu travail 1

Liste des figures


Figure 1:Schéma illustratif d'appartenance du RDP Temporisé .............................................................. 3
Figure 2:Passage d’un RDP P-temporisé vers un RDP T-Temporisé ........................................................ 5
Figure 3:Passage d’un RDP T-temporisé vers un RDP P-Temporisé ........................................................ 6
Figure 4:Modèle P-Temporisé ................................................................................................................. 7
Figure 5:Les Séquences de Franchissement ............................................................................................ 7
Figure 6:Exemple de RdP coloré .............................................................................................................. 9
Figure 7:RdP Coloré ............................................................................................................................... 10
Figure 8:exemple RDPC ......................................................................................................................... 12
Figure 9:Principe.................................................................................................................................... 13
Figure 10:Exemple 1 .............................................................................................................................. 15
Figure 11:Exemple 2 .............................................................................................................................. 15
Figure 12:Exemple 1 .............................................................................................................................. 16
Figure 13: Exemple 2 ............................................................................................................................. 16
Figure 14:Exemple de réduction R3 ...................................................................................................... 17
Figure 15:Exemple de réduction R4 ...................................................................................................... 17
Figure 16:Exemple de réductions R1 et R2 combinées ......................................................................... 18
Figure 17:Exemple de transition impure ............................................................................................... 18
Figure 18:Exemple 1 de réduction Ra ................................................................................................... 19
Figure 19:Exemple 2 de réduction Ra ................................................................................................... 19
Figure 20: Exemple 1 de réduction Rb .................................................................................................. 20
Figure 21: Exemple 1 de réduction Ra et Rb ......................................................................................... 21
Figure 22: Cas irréductibles : Place isolée, Transition puits, source et combiné .................................. 21
Figure 23: Exemple 2 de réduction Ra et Rb ......................................................................................... 22

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Compte rendu travail 1

Introduction
Les réseaux de Pétri (RDP) sont un outil graphique et mathématique qui s’applique à un
grand nombre de domaines ou les notions d’événements et d’évolutions simultanées sont
importantes. Un RDP est un graphe orienté biparti, c'est à dire disposant de deux types de
sommets (des places et des transitions) qui sont reliées par des arcs orientés qui forment des
chemins alternant place & transition. Par conséquent, un arc doit avoir un sommet à chaque
extrémité, et ces deux sommets sont nécessairement différents.
 Extensions Possibles
Ils existent plusieurs extensions possibles à partir du RDP :
 RDP Autonome.
 RDP Généralisé.
 RDP à Capacité.
 RDP Temporisé.
 RDP Coloré.
Dans notre cas, nous allons étudier uniquement le RDP Temporisé et RDP Colorés, le RDP
Temporisé qui appartient à la Catégorie des RDP Non Autonomes, Schéma illustratifNo table
of figures entries found.

Figure 1:Schéma illustratif d'appartenance du RDP Temporisé

Le flèche : veut dire qu’il y a d’autres extensions RDP qui appartiennent à cette catégorie,
par exemple : RDP Synchronisé (RDPS)
Le comportement de ces modèles dépend du temps. Ils permettent d’évaluer les
performances temporelles d’un système, il peut s’agir d’évaluer le temps d’exécution d’une
série d’opérations.

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Compte rendu travail 1

Partie 1 : RDP Temporisé

1 Introduction

Aucune Durée n’est est liée au franchissement des transitions et/ou au temps de séjour des
marques dans les places en ce qui concerne lesRdPAs. Cependant il y a beaucoup de Systèmes
à Événements discrets dont l'Évolution dépend du Temps. D'Autre Part la notion de temps est
Capitale lorsque l’On veut l'Evaluer les performances ou Étudier lesProblèmes
d'ordonnancement d'un system dynamique. La Nécessité de Modéliser et d'Étudier de tels
Systèmes a donné naissance aux RDPs temporisés.

Le premier travail sur les RdPTs a été réalisé par Ramchandani.Son modèle (les réseaux de Petri
t-temporisé (T-RdPT)) associe à chaquetransition d'un RdP autonome un paramètre temporel
dont la sémantiquecorrespond à la durée de tir de cette transition.

Un autre modèle a été proposé plus tard par Sifakis:les réseaux de Petri p-temporisés (p-RdPTs).
Un paramètre temporel estassocié à chaque place. La sémantique de ce paramètre correspond
au temps de séjour minimum d'une marque dans une place (temps d'indisponibilité). Sifakis
montrera plus tard, queson modèle et celui de Ramchandani sont équivalents.

Compte tenu de cette équivalence entre les deux modèles temporisés, seuls la définition et
les résultats obtenus pour le modèle P-RdPT seront discutés. De la même manière, la
définition et les résultats concernant les T-RdPT peuvent être obtenus.

Ce modèle fut la première extension temporelle de réseaux de Petri. Cet outil permet de
représenter les mécanismes temporels associés à un processus avec une logique de description
des temps nécessaires auxopérations. Il est performant pour la spécification et la validationdes
systèmes comprenant des temps minimums.

Dans ce type de réseau non autonome, aux transitions (ou aux places)sont associées des
franchissements (des activations de jetons) effectifs au bout d'un certain temps donné.

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Compte rendu travail 1

2 Les modèles de RDP temporisé

Il y a (02) Modèles, et selon [Sifakis] a montré que tous cesmodèles sont équivalents. Ces
modèles sont :
 (Modèle t-temporisé) aux transitions,

 (Modèle p-temporisé) aux places.

Il est possible de transformer un RdP P- temporisé en RdP T- temporiséet inversement. Ainsi


et sans perte de généralité, on présentera uniquement les RdP P- temporisés.
Pour les RdP P- temporisés, on associe à chaque place P une temporisation T,
éventuellement nulle. On considère le cas le plus simple où T est fixe mais dans le cas général
elle peut être variable.

2.1 Passage d’un RDP P-temporisé vers un RDP T-Temporisé

Figure 2:Passage d’un RDP P-temporisé vers un RDP T-Temporisé

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Compte rendu travail 1

2.2 Passage d’un RDP T-temporisé vers un RDP P-Temporisé

Figure 3:Passage d’un RDP T-temporisé vers un RDP P-Temporisé

3 Réseau de Pétri P-temporisé

Un réseau de Petri P-temporisé est un doublet <R, D> avec :


 R est un réseau de Petri autonome <P, T, Pre, Post> avec un marquageinitial M0 ;

 D est une fonction durée minimale de séjour d’une marque dans uneplace, qui à
chaque place fait correspondre un nombre rationnel positif décrivant la durée
d’indisponibilité des jetons (D: P→Q∗).
Pour les RdP P- temporisés, on associe à chaque place P une temporisation T,
éventuellement nulle. On considère le cas le plus simple où T est fixe mais dans le cas général
elle peut être variable.

3.1 Principe de fonctionnement de RdPT

On utilisera la notion d’état pour caractériser la situation du réseauà un instant donné.


 Définition :
Un état est un doublet <M,I> où :
 M est une application de marquage, assignant à chaque place du réseau uncertain
nombre de marques (∀p ∈ P, M(p)≥0);

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Compte rendu travail 1

 I est une application de temps d'indisponibilité, assignant à chaque marque k dans la


place p un temps T. T est la durée qui reste à la marque kpour terminer son temps de
séjour minimal dans la place p.
Lorsqu’un jeton est déposé dans une place p, ce jeton doit rester aumoins pendant le temps T.
On dit que le jeton est indisponible pendantcette durée. Quand la temporisation T s’est écoulée,
alors le jeton devient disponible.
A titre d’illustration, on considère l’exemple suivant :

Figure 4:Modèle P-Temporisé

Figure 5:Les Séquences de Franchissement

Dans un RdP P-temporisé, quand une marque est déposée dans la place P, elle reste
indisponible pendant un temps de Tempo(P). Une fois cetemps écoulé, elle devient
disponible. Pour déterminer si unetransition est validée, ne sont pris en compte que les
marques disponibles. Le marquage initial est supposé disponible au temps 0. Le
franchissement d’une transition validée est supposé de durée nulle.

 Propriété : Pour un RdP P-temporisé, le fonctionnement à vitesse maximale conduit à


un Fonctionnement périodique au bout d’un temps fini pour tout marquage initial tel
que le RdP P-temporisé soit borné.
Il est intéressant de caractériser ce fonctionnement périodique.
 Définition : La fréquence de franchissement Fj > 0 d’une transitionTj est d´définie
comme le nombre moyen.

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Compte rendu travail 1

3.2 Propriétés des RDPT

Les propriétés dynamiques et structurelles qui peuvent être étudiées pour les RdPT, sont les
mêmes que pour les RdPA (RDP Autonomes) et elles ont les mêmes définitions.
Il est important de noter que les propriétés dynamiques d'un RdPA nese conservent pas
nécessairement lorsque l'on introduit une temporisation. Ghosh a montré à l'aide d'exemples
que :
 Un réseau temporisé peut être vivant alors que son réseau sous-jacent ne l'est pas.
 Un réseau temporisé dont le réseau marqué sous-jacent est vivantpeut ne pas être
vivant.
 Un réseau temporisé dont le réseau marqué sous-jacent n'est pasborné peut-être borné.
Comme le souligne Chrétienne, le seul résultat positif donton dispose est le fait qu'un réseau
temporisé est nécessairement bornési le réseau sous-jacent l'est aussi.
D'après la règle de franchissement des transitions, celui-ci peut avoir lieu dès qu’elle est validée
et jusqu’à l’infini. Par conséquent,à partir d’état donné, on a un nombre infini d’un état
accessible (enfonction du temps). Pour cela, les travaux effectués sur les RdPT nedéfinissent
pas l’arbre de couverture pour ces réseaux (ceci sera fait en traitant les RdPT comme une sous-
classe des réseaux temporels).
 Il reste à rappeler que plusieurs autres modèles temporisés ontété définis.

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Compte rendu travail 1

Partie 2 : RDP Colorés


1 RDP COLORÉS

1.1 Définition

Un RdP coloré est un sextuple R ≤ P, T, Pré, Post, Mo, C > où :


P : Ensemble fini de places
T : Ensemble fini de transitions
C = {C1, C2,…..}: Ensemble des couleurs
Pré, Post : fonctions relatives aux couleurs de franchissements
Mo : Marquage initial

1.2 Graphe

Considérons le RdPC de la figure 6 :


A titre d’exemple nous considérons les fonctions f et g comme suit :

Figure 6:Exemple de RdP coloré

Nous présentons dans ce qui suit les différents paramètres du RdP de la figure 6
Place : Plusieurs couleurs peuvent se trouver dans la même place (autrement dit une place
peut comporter plusieurs informations) (figure 6)
Transition : Plusieurs couleurs peuvent être associées à une transition. Chaque couleur
indique une possibilité de franchissement, pour notre exemple la transition T1 peut être

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Compte rendu travail 1

franchie par rapport aux trois couleurs <b>, <v> (pour la couleur <o> la transition T1 ne peut
pas être franchie).
Arc : Par rapport aux RdP généralisés ; dans un RdPC on associe aux Pré et Post des couleurs.
Autrement dit on parle de : Pré ( Pi,Tj / Ck) et Post (Pi, Tj / Ck) Ainsi pour la figure 6 on a :
Pré (P1, T1 /<v>) = f(<v>) = <b> +2 <o>
Post (P2, T1 /<b>) = g(<b>) = <b> + <v>

1.3 Évolution du marquage

Le marquage d’un RdP coloré est défini par rapport à chaque couleur. Par exemple, pour le
RdP coloré de la figure 7 , le marquage

Figure 7:RdP Coloré

𝑃1 0
𝑃2 1
 pour la couleur < a > est : {
𝑃3 1
𝑃4 2

𝑃1 1
𝑃2 2
 pour la couleur < b > est : {
𝑃3 0
𝑃4 1
Le marquage peut être ainsi défini par une matrice où chaque colonne correspond à une
couleur :

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Compte rendu travail 1

Pour ne pas alourdir l’écriture, cette application est définie en utilisant des notations
formelles :

Ainsi le marquage de la place Pi est M(Pi) tel que :


M(Pi) = Somme des marques de chaque couleur contenu dans Pi
Exemple : Pour notre exemple
M(P1) = 3< b > + 2< v > + < o>
M(P2) = 0

1.4 Validation d’une transition

Soit C(Tj) = Ensemble des couleurs associées à Tj. Cette Transition peut être franchie par
rapport à l’une quelconque de ces couleurs.
Et soit Ck une couleur quelconque de C(Tj) et M un marquage quelconque du RdP coloré.
On dit que Tj est validée par rapport à la couleur Ck pour le marquage M si et seulement si le
nombre de marques contenus dans toute places Pi d’entrées de Tj est supérieure ou égal au
Pré (Pi, Tj/ Ck). Autrement dit :
Tj est validée par rapport à Ck, si Ɐ Pi Ɐ € Tj M(Pi) ≥ Pré (Pj, Tj/Ck) …………

1.5 Franchissement d’une transition

Une transition Tj validée par rapport à Ck peut être franchie. Son franchissement sera noté
Tj/Ck. Ce franchissement consistera à :
 Retrancher de toute place Pi d’entrées de Tj une quantité de marque égale au Pré (Pi,
Tj / Ck)
 Ajouter à toute place Pi de sorties de Tj une quantité de marque égale au Post (Pi, Tj /
Ck)
Le marquage M’obtenu par franchissement de Tj/Ck se déduit du marquage M comme suit :
M(Pi) = M1(Pi) + Post (Pi, Tj / Ck) – Pré (Pi, Tj / Ck)

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Compte rendu travail 1

1.6 Séquence de franchissement

La définition d’une séquence de franchissement reste la même que dans le cas d’un RdP
ordinaire, la seule différence réside dans le fait que dans ce cas il y a la notion de
franchissement par rapport à une couleur. Ainsi la séquence S,
S = T1/Ch1.T1/Ch2………Tk/Chk
Fait passer du marquage M1 au marquage Mk+1 que l’on calcule comme suit

Exemple :
Considérons le modèle RDPC la figure 8

Figure 8:exemple RDPC

Avec :
F (< c1>) = < c1> + < c2>.
F (< c2>) = < c2>.
La séquence S1 = T1/< c1>.T2/< c1>.T2/< c2> est une séquence répétitive

2 DEGRÉ DE COLORATION

D’après l’exemple, on remarque qu’on peut avoir plusieurs niveaux de coloration pour un
même système. La question qui se pose est : Jusqu'à quel niveau de coloration doit-on aller ?

2.1 Coloration total

Le cas extrême est la coloration totale, qui consiste à transformer le RdP ordinaire en un RdP
coloré constitué d’une seule place et d’une seule transition.

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Compte rendu travail 1

Principe :
Considérons un RdP ordinaire R et réalisons une coloration totale de R. Le nouveau RdPC
(Figure 9) contient seulement une place et une transition reliées par des arcs.

Figure 9:Principe

Nous allons identifier dans ce qui suit toutes les caractéristiques de ce RdPC.
Couleurs :
Chaque place Pi dans le RdP R est caractérisée par une couleur < Pi > dans la RdPC. Ainsi
on définit l’ensemble C(P) des couleurs associées à la place P correspond à l’ensemble des
couleurs < Pi > des places Pi
C(P) = < P1 >, < P2 >, ………. < Pn >
De même pour l’ensemble des couleurs associées à la transition T. On a
C(T) = < T1 >, < T2 >, ………. < Tm >
Marquage :
Le marquage initial du RdP coloré correspondant et la somme de toutes les marques du RdP
R initiale. Chaque marque d’une Pi du le RdP R correspond à une marque de couleur < Pi >
dans le RdP coloré. Autrement dit :

Fonctions :
Pour le RdPC on doit définir les deux fonctions Pré (P, T/<Tj>) et Post (P, T/<Tj>)

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Compte rendu travail 1

Partie 3 : Réduction des RDP


1 Méthodes de réduction

Il existe 6 méthodes :
 4 méthodes conservent les propriétés classiques : R1 → R4
 Méthodes conservent les invariants de marquage : Ra → Rb
Dans ce rapport nous verrons :
 Conditions
 Méthode de réduction
 Cas des jetons

1.1 R1 : Substituions de place (en fait suppression)

Conditions :
Une place P peut être située si et seulement si :
 Les transitions en sortie de P n’ont pas d’autre place en entrée que P
 Il n’existe pas de transition tj qui soit à la fois en entrée et en sortie de P (P doit être
pure)
 Au moins une transition en sortie de P n’est pas une transition puit. Si toutes ces
conditions sont remplies, P peut être supprimée.
Méthode :
 On supprime la place
 On supprime les transitions en sortie
 On crée une transition ti, j par couple ti, tj des transitions en entrée et sortie de P
Cas des jetons :
 Si une transition en sortie, facile : marquage après franchissement
 On doit étudier autont de réseaux que de transitions en sortie
Exemples :

14 | P a g e
Compte rendu travail 1

Figure 10:Exemple 1

Figure 11:Exemple 2

1.2 R2 : Suppression des places implicites

Conditions :
La place doit être implicite. Elle l’est si :
 Son marquage n’a aucun impact sur le franchissement des transitions en sortie
 Ce même marquage peut s’exprimer sous la forme d’une combinaison linéaire des
marquages des autres places.

Méthode :

15 | P a g e
Compte rendu travail 1

On supprime place et arcs en entrée et sortie.


Exemple :

Figure 12:Exemple 1

Figure 13: Exemple 2

1.3 R3 : Suppression des transitions neutres

Conditions :
Une transition neutre est une transition dont les places en entrée sont aussi des places en
sortie. tj est neutre si tj = tj

Méthode :
On supprime transitions et arcs
Exemple :

16 | P a g e
Compte rendu travail 1

Figure 14:Exemple de réduction R3

1.4 R4 : suppression des transitions identiques

Conditions :
Deux transitions identiques. Deux transitions sont identiques si on a :

Méthode :
Suppression d’une des 2 transitions et les arcs correspondants.
Exemples :

Figure 15:Exemple de réduction R4

17 | P a g e
Compte rendu travail 1

Figure 16:Exemple de réductions R1 et R2 combinées

1.5 Ra : Suppression des transitions impures

Conditions :
La transition doit être impure.

Figure 17:Exemple de transition impure

18 | P a g e
Compte rendu travail 1

Méthode :
 Suppression des arcs Pi → tj et tj → Pi où Pi est la place impure
 Suppression de la transition si elle est isolée
Exemples :

Figure 18:Exemple 1 de réduction Ra

Figure 19:Exemple 2 de réduction Ra

1.6 Rb : Suppression des transitions pures

Conditions :
On peut réduire tj si ◦tj= ∅ et tj◦ = ∅

19 | P a g e
Compte rendu travail 1

Méthode :
 Supprime de la transition tj
 (Pi, Pk) /Pi ∈ ◦tj,Pk ∈ tj◦
On va créer une place Pi+k
Le marquage de Pi+k = M(Pi) + M(Pk )
 Les transitions en entrée de Pi + k osnt celles de Pi et Pk . Idem pour les transitions en
sortie.
Exemples :

Figure 20: Exemple 1 de réduction Rb

20 | P a g e
Compte rendu travail 1

Figure 21: Exemple 1 de réduction Ra et Rb

Cas irréductibles de réduction :

Figure 22: Cas irréductibles : Place isolée, Transition puits, source et combiné

21 | P a g e
Compte rendu travail 1

Figure 23: Exemple 2 de réduction Ra et Rb

22 | P a g e

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