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le français, Hee-Kyung Kim leur a demandé de se filmer à l’aide de leur téléphone portable. Cet objet technologique très intégré
dans les pratiques quotidiennes des jeunes peut être un support pour travailler l’oral, échanger entre pairs, développer des
situations de communication proche du réel. dans un outil de type forum où elle pouvait à la fois commenter les productions et
encourager les échanges entre pairs.Cette pratique relève de l’apprentissage nomade (mobile learning, en anglais), c’est-à-dire
d’un apprentissage par l’intermédiaire d’appareils tenant dans la main, potentiellement disponible n’importe quand et
n’importe où, et pouvant relever d’un apprentissage formel ou informel [3]. La variété des activités va de pair avec celle des
outils : baladeurs, PDA, téléphones portables intégrant caméra vidéo et liaison Internet, sans compter l’ordinateur qui en est le
complément quasi indispensable.Si l’on souhaite vraiment tirer profit du nomadisme et si l’on ne se contente pas de faire
réaliser des activités de compréhension ou d’apprentissage lexical ou grammatical, les activités de production langagière
réalisées par les apprenants auront lieu à des moments où ceux-ci seront seuls face à leur appareil, même si une mise en
commun ultérieure des productions est prévue. On peut alors se demander quels sont les atouts et les difficultés liés à une telle
situation d’apprentissage. Une autre question importante concerne les processus que les apprenants coréens mettent en œuvre
pour réaliser leurs productions sonores asynchrones, et les avantages et inconvénients de ces manières de s’y
prendre.Cependant, si quelques problèmes ergonomiques se sont posés à celles qui ont participé à l’expérience (la petitesse de
l’écran, la qualité du son, la lenteur de connexion et le clavier), les étudiantes savent jongler avec les différents modes d’accès
(téléphone portable, ordinateur à domicile) pour obtenir la meilleure qualité de service.Elles considèrent en outre que le
téléphone portable est un outil ludique plutôt qu’un outil d’apprentissage : «En fait, déclare une des étudiantes, ce n’est pas
pareil quand on télécharge soit des chansons, soit des jeux vidéos. Votre projet est un apprentissage. Je suis perplexe sur la
possibilité d’apprendre avec le téléphone portable.» Enfin, plusieurs évoquent le coût d’accès à Internet et confirment ainsi que
ce facteur doit absolument être pris en compte avant d’offrir un dispositif d’apprentissage mobile, du moins avec des étudiants
qui ne gagnent pas encore leur vie.Cependant, les neuf étudiantes ayant participé jusqu’au bout à l’expérience et aux entretiens
y ont aussi vu la possibilité d’apprendre n’importe où, n’importe quand.Quant aux corrections de la tutrice, elles ont un
caractère sécurisant (lors de la production, on sait que l’on sera corrigé) et sont ressenties comme utiles pour mémoriser les
formes correctes ; là aussi, l’asynchronie et le stockage sur Internet sont des atouts dans la mesure où tout le monde peut avoir
accès à toutes les productions et aux corrections. Tous ces facteurs semblent avoir augmenté la confiance en soi, dimension
importante pour des étudiants asiatiques.La possibilité d’apprendre «n’importe où» est plus théorique que réelle, du moins
pour la production des vidéos, dans la mesure où il paraît impératif de se trouver dans un endroit calme pour se filmer.
N’aurait-il pas été alors plus logique de demander aux étudiantes de se filmer chez elles avec une webcam ? La webcam permet
d’avoir les mains libres et un retour d’image sur l’écran. Mais il serait sans doute dommage de faire perdre aux apprenants
l’impression subjective de pouvoir apprendre n’importe où, même si la mobilité n’est finalement qu’assez peu exploitée.
migrations
La mondialisation a ouvert de nouvelles voies aux migrations qui sont moins dépendantes des passés coloniaux. Si tous les
continents sont concernés, l’Asie centrale et orientale, l’Europe de l’Est et l’Afrique centrale sont devenues depuis vingt ans de
nouvelles zones de mobilité. Une diversification des causes de mobilité La surpopulation, la pauvreté, les crises politiques, les
désastres environnementaux, les regroupements à caractère religieux ou ethnique, l’attraction du mode de vie occidental sont
les nouvelles causes de mobilité. Ceux qui migrent disposent de réseaux transnationaux (familiaux, commerciaux, économiques
et parfois mafieux) et d’argent pour franchir les frontières, même illégalement. Une seule exception, la migration forcée de
réfugiés, qui se déroule pour les trois quarts dans le tiers-monde. Le profil des migrants évolue également : les jeunes hommes
ruraux et peu qualifiés sont désormais rejoints par des jeunes hommes qualifiés voire très qualifiés des classes moyennes
urbaines, des femmes isolées, qualifiées, aspirant à une indépendance, et même des mineurs. Les formes de migration Elles sont
de nos jours plus pendulaires, de courte durée, permettant des allers et retours entre pays d’origine et pays d’immigration. Les
politiques de visas tendent néanmoins à provoquer l’installation durable des migrants qui craignent de ne plus pouvoir revenir
et font venir leur famille.La mondialisation des migrations va se poursuivre, compte tenu des déséquilibres mondiaux et de la
meilleure connaissance des filières d’entrée, y compris dans les pays à politiques de contrôle des frontières.
Les migrations sont une réalité. Elles appartiennent à l’histoire de l’humanité et du continent européen. Les migrants ont
toujours apporté une contribution importante à la construction des sociétés européennes, de leur civilisation et de leur
communauté de valeurs. Au départ les migrations devaient être une manière courageuse de manifester la volonté des hommes
pour surmonter l'adversité et pour aller vers une vie meilleure. Mais aujourd’hui elles sont souvent vécues en Europe comme
une menace, et les migrants considérés comme des envahisseurs. Cette question est au cœur des préoccupations politiques des
gouvernements européens. Elle est par conséquent aussi à l’ordre du jour du Conseil de l’Europe. Les ONG actives au Conseil de
l’Europe, à la lumière des réflexions menées dans le cadre de ce Conseil, ont souhaité apporter leur témoignage et leurs
propositions face à ce problème et à l’espoir qu’engendrent les migrations. Car à l’avenir aussi surviendront de nouvelles
migrations. Après le tournant de 1989, on assiste à une réelle mobilité des peuples. L’Église, elle aussi, se préoccupe des
problèmes sociaux liés au phénomène migratoire : illégalité, chômage, vieillissement de la population dans les pays d’accueil,
trafic d’êtres humains, désagrégation des familles, enfants qui grandissent loin de leurs parents. D’autre part la diversité
culturelle de l’immigration est une richesse pour nos pays comme une ressource humaine pour nos projets : richesse
démographique, richesse de la mixité sociale et du métissage, renouvellement de la vie sociale, culturelle et associative, et
pratique de nouvelles formes d’économie. Les migrations ont aussi apporté une nouvelle réalité œcuménique et la rencontre
entre les religions. Il faudrait vivre l’immigration comme une chance d’ouvrir les frontières de l’Europe, d’ouvrir de nouvelles
relations Nord-Sud, à travers des opérations de co-développement permettant, au-delà des bénéfices économiques mutuels, la
découverte de l’autre et le plaisir de sa rencontre. L’immigration doit être vue comme une chance de construire des réseaux de
solidarité, de responsabilité, de fraternité dans une vision de l’Homme à laquelle nous tenons, celle des grandes traditions
humanistes et religieuses. À la lumière de ces droits fondamentaux, les ONG du Conseil de l’Europe aimeraient relever plusieurs
aspects renforçant les mesures d’intégration des personnes issues de l’immigration dans la société de leur pays d’accueil. Parmi
ces mesures est prioritaire l’accès (gratuit) des migrants (y inclus des demandeurs d’asile): • aux cours de langue ; • aux
systèmes de santé publique ; • à la protection de l’État contre des actes de violence ; • à la citoyenneté par participation aux
élections. La dimension culturelle des personnes immigrées doit être prise en compte : «les migrants doivent être reconnus pour
leur héritage culturel, et pouvoir en être fiers». Cela est particulièrement important quand les personnes immigrées proviennent
d’un pays anciennement colonisé par le pays où ils viennent s’installer. Un travail patient et constant d’éducation au dialogue
doit se mettre en place. Pourtant, les ONG ne sont pas naïves au point de croire que tout sera résolu par l’éducation. Les
politiques de concertation des gouvernements contribuent au premier chef à ces évolutions, mais aussi importantes soient-elles,
elles ne seront pas efficaces sans un travail sur les mentalités. Nous avons personnellement à prendre conscience de nos limites
pour les dépasser avec ce parti pris d’espérance qui nous appelle à voir dans chaque migrant un véritable frère en humanité et à
l'aider dans son intégration. Nos valeurs européennes ont été et devraient rester à l’avant-garde d’une telle prise de conscience.
La maîtrise des flux passe également par une politique équitable de partenariat et de coopération avec les pays de départ des
migrants : l’immigration dite «choisie» est une façon irresponsable d’organiser la «fuite des cerveaux» hors des pays
d’émigration. Une telle politique aboutit d’ailleurs au résultat inverse de celui recherché, car en privant les pays d’émigration de
leurs élites, on prive ces pays de la possibilité de créer sur place les emplois qui limiteraient les flux migratoires. La dignité des
migrants, à l’expérience des ONG du Conseil de l’Europe, exige que les programmes d’intégration soient établis «avec» et non
pas «pour» les migrants. Sans participation, il ne peut y avoir intégration. Les migrants doivent être les premiers acteurs de leur
propre intégration. Finalement, il faut souligner que face au danger d’une dérive sécuritaire l’acquis européen en matière de
libertés et droits fondamentaux doit être sauvegardé, renforcé et garanti, et ceci pour toutes les femmes et tous les hommes qui
se trouvent sur le territoire européen, y inclus les migrants irréguliers.
les valeurs de la construction européenne comme elles sont définies dans la Charte des droits fondamentaux de 2000 et celle
revue en 2007: «L'Union est fondée sur les valeurs de respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d'égalité, de
l'État de droit ainsi que de respect des droits de l'homme, y compris des droits des minorités. Ces valeurs sont communes aux
États membres dans une société caractérisée par le pluralisme, la nondiscrimination, la tolérance, la justice, la solidarité et
l'égalité entre les femmes et les hommes»
La Francophonie
La francophonie et la francophilie constituent pour la France et ses partenaires francophones une opportunité économique
majeure. Les enjeux sont immenses. L’ensemble des pays francophones représente 16% du PIB mondial et connaît un taux de
croissance de 7%. Dans le cadre de la politique d’attractivité engagée par le président de la République, tout doit donc être mis
en œuvre pour renforcer la communauté francophone dans le monde, au service d’une croissance mutuellement bénéfique. La
langue française est aujourd’hui la sixième langue la plus utilisée, derrière le chinois mandarin (plus d’un milliard de locuteurs),
l’anglais, l’hindi, l’espagnol et l’arabe, et devant le portugais (entre 178 et 240 millions de locuteurs). Le français est la 2e langue
la plus apprise après l’anglais avec près de 120 millions d’élèves et un demi-million de professeurs de français à l’étranger.
C'est également la 3e langue la plus utilisée sur Facebook et Wikipédia et l’une des langues de la vie économique internationale,
notamment au sein de l’espace francophone qui représente environ 15% de la richesse mondiale. Le nombre de locuteurs est
estimé aujourd'hui à 220 millions de personnes. En 2050, ils pourraient être 770 millions, dont 80% en Afrique. Cela ne pourra
toutefois se concrétiser que si les pays de cette zone, à forte croissance démographique, transmettent le français aux nouvelles
générations. La francophonie représente également un enjeu économique majeur : l’ensemble des pays francophones
représente 16% du PIB mondial et connaît un taux de croissance de 7%. Dans un monde où la concurrence globale impose
d’organiser les solidarités linguistiques, les pays qui ont une langue en partage tendent à accroître leurs échanges de biens et de
services dans de fortes proportions. Une politique bilatérale et multilatérale pour le rayonnement de la France dans le monde
Afin de promouvoir le français et la francophonie, vecteurs de rayonnement et d’influence, la diplomatie française a mis en
place deux politiques qui mobilisent plus de 500 agents expatriés et environ 600 millions d'euros : x une politique bilatérale qui
vise à consolider la place du français à l’extérieur de nos frontières au moyen d’actions de coopération avec les autorités locales
pour développer le français dans leur système éducatif (plaidoyer pour l’enseignement d’au moins deux langues étrangères,
formation de professeurs, développement de l’enseignement bilingue…) et d’une activité directe d’enseignement conduite par
les réseaux culturels et scolaires français. x une politique multilatérale qui vise à réunir les pays francophones dans une
communauté politique. La France a soutenu la création de l’Agence internationale de la francophonie en 1970. Devenue
l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) en 2005, elle regroupe 77 États membres et observateurs ayant le français
comme langue de référence. Cette francophonie institutionnelle contribue à la paix, à la démocratie, aux droits de l’Homme, à la
promotion du français et de la diversité culturelle ainsi qu’au développement d’une prospérité partagée et durable. Des
propositions pour faire de la francophonie un atout économique pour la France L’ensemble des pays francophones et
francophiles représente 16% du PIB mondial, avec un taux de croissance moyen de 7%, et près de 14% des réserves mondiales
de ressources minières et énergétiques, alors que les francophones ne représentent encore que 4% de la population mondiale.
C'est le constat que dresse le rapport remis par Jacques Attali au président de la République le 26 août 2014. De plus, poursuit le
rapport, les échanges commerciaux induits par le partage du français entre une trentaine de pays francophones sont à l’origine
de 6% de la richesse par habitant en moyenne pour ces pays et de 0,2 point de taux d’emploi. Le nombre de francophones dans
le monde pourrait atteindre 770 millions d'ici à 2050. Dès lors, le besoin en infrastructures pourrait porter la croissance des pays
"francophilophones" (selon l'expression employée par le rapporteur Jacques Attali), et le développement des nouvelles
technologies pourrait accélérer leur développement (paiement mobile, e-santé, big data, etc.). Cependant, le nombre de
francophones pourrait également reculer d'ici à 2050, sous la pression de la concurrence des autres grandes langues
internationales, des langues locales, et face aux difficultés de certains pays francophones du Sud à assurer l’accès à l’éducation
de leurs populations en situation d’explosion démographique. Cela entraînerait une perte de parts de marché pour les
entreprises françaises, un effondrement du droit continental au profit du droit anglo-saxon des affaires, ainsi qu’une perte
d’attractivité pour les universités, la culture et les produits français et en français.
Jeunes et racisme
Il suffit d’un appel via Internet, à la radio, à la télévision ou dans la presse pour que les jeunes s’engagent en faveur d'une grande
cause. Ils rêvent d’une société d’égalité, de justice, de respect et de tolérance, et ils sont prêts à s’y consacrer. Inquiets des
grands problèmes, tels que le chômage, le racisme, la drogue, le sida, la pollution ou la pauvreté ils ne restent ni indifférents ni
inactifs. Leur action prend diverses formes : organiser des manifestations culturelles ; assister auprès des personnes âgées ;
monter un journal scolaire ; lancer des campagnes d’information etc. La jeunesse est une source inépuisable d’idées et
d’initiatives. Et son intention de faire bouger les choses ne peut laisser personne impassible.
Portable (debat)
Les in-supportabies portables La France n'aura pas longtemps résisté à l'engouement provoqué par les téléphones portables,
dont plus de 25 millions de personnes sont les heureux ou dépendants propriétaires. Les points positifs relevés par les
utilisateurs sont surtout liés à des facteurs économiques et temporels. Le portable plaît parce qu'il est pratique, peu encombrant
et permet de gagner du temps. Nous vivons tous de plus en plus dans l'urgence et les habitudes contractées dans la vie
professionnelle finissent par déteindre sur notre vie privée. D'autre part, le portable assure un lien permanent avec les autres,
quels qu'ils soient. Grâce à lui, nous sommes en communication immédiate avec la famille, les amis, le garage le plus proche, le
poste de police joignable en cas d'accident... Bien utilisé, le portable rend d'incontestables services. Mal géré, il risque de nous
transformer en esclaves électroniques, jusqu'à nous pousser à une dépendance à cette nouvelle drogue. On peut voir partout
ces «accros» du boîtier téléphonique qu'ils utilisent en toutes circonstances. Si la vague déferlante du portable persiste, il nous
faudra mettre en place de nouvelles règles de politesse et de savoir-vivre, afin d’épargner à l'entourage les sonneries
intempestives suivies de conversations sinon privées du moins personnelles ou professionnelles. Sachant que les Français
s'emballent pour le portable, n'oublions pas que 58% d’entre eux restent malgré tout favorables à son interdiction dans les lieux
publics.
Le téléphone portable connaît un véritable essor, au vu du nombre effarant de vente. Cependant, il ne présente pas que des
avantages. En effet, outre le fait qu’il soit maniable, fonctionnel et qu’il nous mette rapidement en communication avec nos
proches, nos relations professionnelles, ou avec les services de première utilité, il empiète tout de même de façon considérable
dans notre vie de tous les jours, à croire que nous ne pouvons plus nous en passer, telle une véritable drogue. Peut-être est-il
temps de dicter des règles en matière d’utilisation, règles de savoir-vivre mais également mesures pour ne pas gêner autrui afin
qu’il ne vienne pas à polluer nos rapports humains.
AGISSONS TOUS ENSEMBLE ! Alors que des milliers d’appareils téléphoniques «en fin de vie» sont exportés chaque jour vers les
pays en voie de développement, il serait peut-être temps de réagir afin de dénoncer une pratique soi-disant altruiste qui s’avère,
en réalité, un mode de pollution modeste, certes mais qui peut devenir, à la longue, totalement toxique et créer une
contamination irréversible. Aussi serait-il judicieux de réglementer ce procédé, et d’informer le public des risques encourus.
Pourquoi ne pas mener un sondage pour éveiller les esprits de ne pas se rendre coupable, malgré soi, d’actes polluants à notre
propre insu ? Pourquoi ne pas demander aux utilisateurs de bien vouloir redéposer leurs mobiles inutilisables ou usagés dans
des réservoirs prédisposés, un peu comme dans le cas de la collecte des piles, ou des anciennes batteries des voitures. Les
fournisseurs et vendeurs de mobiles pourraient également reprendre l’ancien portable déductible de l’achat d’un nouveau
matériel plus performant. AGISSONS TOUS ENSEMBLE pour mener une campagne de presse, et d’information, afin de mettre en
oeuvre un nouvel état d’esprit plus conforme à des règles de respect de l’environnement et de la nature !
(debat)Apprendre une langue étrangère est une chance de communiquer avec davantage de gens, et de se faire des amis. Selon
moi, il est évident que plus on commence jeune à apprendre une autre langue mieux c’est. Car, cela développe la rapidité de
réflexion, d’apprentissage d’une autre culture, d’un autre pays. C’est le moyen d’élargir ses connaissances. Le plus tôt, on
commence à étudier, et le plus vite, on acquiert des enseignements qui nous motivent à voyager, à dépasser nos propres limites,
et à connaître de la sorte d’autres langues et d’autres contrées. Le monde nous appartient alors ! Pourquoi ne pas inculquer
l’anglais dès 5 ans : c’est la langue la plus pratique, et la plus parlée, la langue des affaires, et du commerce, de l’informatique et
de la technologie. Le français, ensuite, à un âge plus avancé (dès 9-10 ans) permet d’approcher le monde de la philosophie, de la
littérature, et de la culture française. Pourquoi ne pas se pencher sur l’espagnol, langue parlée en Amérique latine, mais
également le chinois, langage fort utile dans le subcontinent asiatique. En tout état de cause, l’apprentissage d’une langue est
un moyen sûr et certain de trouver un travail, de s’adapter plus rapidement, et de s’intégrer le mieux possible.
Droits(debat)
Les jeunes sont mitigés sur la question des droits de l’homme, car être bénévole nécessite un engagement auquel ils ne sont pas
tous sûrs de vouloir se plier. Toutefois, ceux qui décident de s’investir de façon volontaire sont propres à opter pour une carrière
proche de leurs idéaux humanitaires. Cependant, le bénévolat ne relève pas d’une oeuvre spontanée : c’est une action motivée
par des paramètres extérieurs qui incitent à agir. À l’origine, c’est la prise de conscience de la défense des droits de l’homme qui
constitue le déclencheur d’actions visant à se mobiliser pour une cause précise. En tout état de cause, défendre une cause
humanitaire est gage d’une expérience personnelle forte : cela montre que ce qui compte, c’est l’information et l’action, c'est
aussi laisser de côté ses chimères, et combattre à fond au quotidien. De toute manière, s’engager revient à participer de
manière utile et à lier des relations, mais cela reste avant tout un engagement personnel.
DÉFENDRE LES DROITS DE L'HOMME La défense des droits de l’homme est depuis que l’ONU existe une préoccupation de
nombreuses organisations telles que l’UNICEF, l’UNHCDH (Haut Commissariat des Nations Unies aux Droits De l'Homme),
notamment, mais elle regarde aussi de nombreux organismes non gouvernementaux tels que GREENPEACE ou AMNISTIE
INTERNATIONALE... Toute personne désireuse de montrer son intérêt pour ce genre de question doit s’impliquer
personnellement dans des actions précises visant à la défense des droits de la femme, des enfants, ou des hommes, de leurs
conditions de vie ou de travail, ou encore d’emprisonnement dans le respect de la nature humaine, et de leurs droits civiques les
plus simples afin que les droits de l’homme et du citoyen ne restent pas simplement dans un texte cosigné prônant simplement
des principes fondamentaux comme la simple liberté d’expression. Cela requiert une participation engagée dans des pétitions à
envoyer à des gouvernements utilisant la torture, ou bafouant les droits civiques de leurs citoyens, ainsi que des campagnes de
presse pour préserver la vie d’hommes et de femmes pris en otage dans des conflits ethniques. Cela va même jusqu’à une
participation physique en s’expatriant dans des pays dont les ressortissants ont besoin d’une aide concrète afin de défendre les
populations maltraitées.
au-delà des alertes ponctuelles, la pollution de l'air, de l'eau et du sol constitue aujourd'hui un phénomène durable, chronique
et global. Une grande partie de ses effets sur notre santé se situe à long terme, avec de fortes marges d'incertitude sur leur
importance. Mais il est fort possible que, par exemple, les particules rejetées par les pots d'échappement des voitures et des
camions ou les résidus de pesticides dans l'eau de boisson constituent des bombes à retardement, dont les conséquences ne se
feront sentir que dans quelques dizaines d'années. Nous laissons ainsi un héritage empoisonné et irréversible aux générations
futures. Par ailleurs, aucun lieu, en France ou ailleurs, n'est totalement épargné par ces pollutions. Les villes qui ont la chance
d'être en tête de notre classement ne sont pas un havre de pureté, mais sont simplement un peu moins polluées que les autres !
Et s'installer à la campagne ne représente pas une solution miracle : l'eau y est en général plus polluée que dans les grands
centres, et l'air parfois pas très pur à cause notamment des pesticides ! En fait, la pollution traverse souvent les frontières, voire
les continents. Ainsi a-t-on trouvé dans les glaces polaires des traces de plomb qui viennent des pots d'échappement de nos
voitures ! Et il est significatif que le principal risque radioactif en France vienne des retombées de la catastrophe de Tchernobyl,
qui s'est déroulée il y a déjà dix-huit ans à environ 2500 kilomètres de chez nous. Tous les spécialistes qui nous assuraient que le
nuage avait épargné la France nous avaient raconté des mensonges ! Bien sûr, notre situation reste privilégiée si on la compare
par exemple à celle du Sud-est asiatique, où, à cause des incendies de forêts, la pollution de l'air atteint actuellement des
niveaux sans commune mesure avec ceux constatés dans les villes françaises. Cependant, les rejets dans l'atmosphère dus à nos
activités jouent un rôle non négligeable dans l'accroissement.(La dégradation de ia planète est un fait avéré qui ne va pas en
s’améliorant. Ce phénomène a des répercussions sur notre santé qui n’ont pas encore été vraiment évaluées pour le moment.
Cependant, la pollution n’a pas de frontière, et ceux qui disent le contraire sont des affabulateurs/menteurs. Parallèlement,
l’analyse de la situation française montre un appauvrissement de notre patrimoine. Malheureusement, nos enfants vont hériter
d’un patrimoine à tout jamais souillé. Tout le territoire français est contaminé, même si nos agglomérations sont moins touchées
qu’ailleurs. Mais, contrairement à ce que l’on peut penser, les campagnes sont encore plus polluées que les villes à cause des
pesticides. Certes, la comparaison entre la France et le Sud-est asiatique montre que nous sommes privilégiés. Toutefois, nous
participons tout de même au processus de dérèglement mondial. Somme toute, la réduction des rejets dans l’atmosphère
contribuerait, à la fois, à la baisse des allergies humaines, à la diminution du réchauffement climatique, et serait une aubaine
pour notre planète. C’est une priorité qui s’impose quitte à changer notre mode de vie.)
Debat
Jusqu’à présent, nous vivions avec nos petits égoïsmes nationalistes, pensant que la pollution était maîtrisée ou limitée à
certaines zones industrialisées, mais qu’elle ne dépassait pas les frontières de nos pays. Mais la fonte des glaces, l’augmentation
du trou de l’ozone, les maladies virales et allergiques de plus en plus répandues montrent que le phénomène s’étend, et qu'il
génère des problèmes catastrophiques qui risquent d’avoir un impact irréversible, à long terme, sur la vie des humains peuplant
notre planète, sur la qualité de la vie, mais aussi sur le devenir, lui-même, de la Terre où nous vivons. Ce constat plutôt
pessimiste nous incite à comprendre qu’il est de notre devoir de relever le défi de lutter contre la pollution. Ce ne sont pas de
vaines promesses, voire de vagues objectifs. Il est sans doute notable de voir qu’il faut agir vite, utiliser des méthodes d’énergies
plus douces pour retrouver un équilibre durable, et sauver notre planète d’une mort lente mais certaine. Il est important que les
gouvernements prennent des mesures contre les usines polluantes, ou mobilisent leur nation en vue du respect de normes
moins polluantes.
Hereux
Les jeunes éprouvent du bonheur, soit au travers de leurs relations sociales ou familiales, soit grâce à des faits extérieurs. Ainsi,
certains se sentent heureux lorsqu’ils se trouvent en famille ou pendant les réunions familiales. Pour d’autres, se retrouver avec
des amis pour vivre des moments de connivence est tout ce qui leur satisfait. Puis, il y en a ceux qui ressentent une vive émotion
à l’écoute d’une bonne nouvelle surprise annoncée par leurs copains de classe/camarades de classe. D’ailleurs, partager les
mêmes intérêts avec une nouvelle accointance, c'est une partie de plaisir. Par ailleurs, des événements peuvent être source de
contentement, tels les résultats du bac/la réussite scolaire, le fait d’avoir de l’argent ou des souvenirs liés à un endroit, ou
encore le partage de goûts identiques. Enfin, le bonheur est fait de petits riens. Chacun est libre de le ressentir comme il se doit.
Vivre au mars
Tout au long de l’histoire humaine, l’homme n’a jamais cessé de satisfaire à son engouement / à sa soif de savoir et de
comprendre les raisons de son existence et de celle du monde qui l’entoure. La découverte de nouvelles terres, de différentes
espèces animales ou végétales, les avancées scientifiques et technologiques, malgré le coût, le labeur et le temps exigés,
aboutissaient à ce que l’homme se repère de plus en plus dans le labyrinthe de la vie et de l’inconnu.Depuis l’exploration de
nouvelles terres jusqu’à la conquête de la Lune et les missions sur Mars, l'être humain est à l’étude continuelle de son univers
terrestre et du vaste espace qui l’entoure. À cet égard, les visées commerciales, politiques et militaires de l’homme, d’une part,
et l’apport scientifique des expéditions restent parmi ses préoccupations inlassables. Toutefois, l’exploration de la planète rouge
est un enjeu de grande envergure, qui demande la synergie internationale, comme, d’ailleurs, tout grand projet spatial. La
possibilité d’une certaine existence de vie sur Mars, renforce l’engouement des scientifiques à prétendre relever ce grand défi.
Somme toute, les missions spatiales habitées ont beau être onéreuses, elles sont beaucoup plus fructueuses que les expéditions
automatiques en dépit des oppositions. Reste à savoir qui pourra financer des projets spatiaux de cette envergure.
Comment sortir du piège des ghettos
Le constat sur la vie dans les cités n’est pas vraiment positif. En effet, elles sont en proie à la violence des jeunes qui s’amusent à
les saccager. En fait, la délinquance juvénile n’est que la traduction du désespoir de la ghettoïsation qui s’est installée par
manque de réactivité. Car, face à des adolescents, qui s’enferment dans le cercle vicieux de l’exclusion, les politiques demeurent
partagés. En vérité, il faudrait lutter contre cet enfermement, synonyme d’échec scolaire, de chômage, mais également créateur
d’une société avec sa culture propre, ses codes de conduite porteurs de sa propre claustration. Il est important de rétablir
l’ordre public, à savoir, inculquer l’obéissance de l’autorité des pouvoirs publics, et des adultes, faire respecter le travail de ceux
qui habitent ces quartiers, les études, et les potentialités qu’elles octroient, solutionner les problèmes socio-économiques pour
y vivre mieux. Cela passe aussi par l’insertion au travail, par la reconquête de valeurs morales et par la démystification du statut
de martyr. En d’autres termes, il est maintenant largement temps d’agir au plus tôt !
Les événements violents du mois de novembre dans la banlieue parisienne m’ont beaucoup alerté(e). Toutefois, je pense que
c’était le fait déclencheur pour que tous se penchent sur la question brûlante des «ghettos». Mais, avant d’aller plus loin, il vaut
mieux d’abord repenser le sens du nom/mot «intégration». Selon le dictionnaire, l’intégration est une opération. Par cette
opération, un individu ou un groupe s’incorpore à une collectivité, à un milieu. Et «s’incorporer» signifie entrer comme partie
intégrante d’un tout. En effet, l’intégration ne peut se produire que par le consensus entre la personne ou le groupe de
personnes, et la société. Autrement dit, les immigrés doivent vraiment souhaiter faire partie de l’ensemble qui les reçoit en
même temps que le pays d’accueil accepte de bonne volonté ce désir d’insertion. Or comment faire ? D’une part, il est impératif
de tirer ces catégories sociales de l’exclusion, les arracher même de la marginalisation. Il ne faut pas leur tourner le dos mais
aller vers eux. Ce qui est primordial c’est de leur redonner confiance en eux-mêmes et de souligner leur dignité à travers
l’éducation, l’offre d’emplois, la culture et le divertissement. D’autre part, ces catégories sociales doivent prouver leur bonne foi
sans perdre leur identité, mais en prouvant leur souhait/tendance de s’intégrer. En fait, elles peuvent aider/contribuer à la
réinstauration de la sécurité publique tout en évitant de contrevenir à des dispositions d’ordre public. Il est nécessaire de
respecter l’autorité de la police et de la justice, l’autorité des enseignants et des parents. Par conséquent, on pourrait compter
sur une «déghettoïsation» des mentalités, et sur le rejet de toute attitude xénophobe.
La numerisation des livres
La numérisation des livres commencée depuis quelques années avec le lancement de l’e-book me semble plus une démarche
importante pour le livre qu'une menace permanente contre la version-papier. Je suis adepte de la nouvelle technologie et
fasciné(e) par ses exploits. Je sais que je ne suis pas le seul/la seule. Des milliards de personnes de par le monde se servent de
l’ordinateur et d’Internet comme moyen de travail et/ou de divertissement. Ainsi, lors d’une pause au bureau ou pendant les
vacances, on peut apporter avec soi l’e-book ou surfer sur le Net, et avoir accès à toute heure et dans n’importe quel endroit à
une multitude de titres de livres en consultant une bibliothèque virtuelle. En outre, les internautes ont un énorme choix à faire
grâce à un simple clic de souris entre des auteurs ou écrivains plus ou moins connus originaires des pays différents, et forts
d’une autre culture. Quel plaisir de rencontrer sur la Toile un poète espagnol et ses poésies, ou un essayiste américain et ses
essais ou encore un romancier japonais ! Toutefois, il faut prendre des mesures qui protègent l’édition classique, et respectent
les droits d’auteur. Le livre-papier était depuis des siècles un ami de l’homme et un compagnon inlassable. C’est aussi un
chantier pour qu’un jeune auteur fasse ses débuts. En outre, n’oublions pas qu’un nombre pas du tout négligeable de lecteurs
lui est encore fidèle. Somme toute, livre électronique et livre-papier ne rivalisent pas. Bien au contraire ils se concurrencent l’un
l’autre au profit de la diffusion de l’écrit, de la lecture et de la culture/des cultures.
Le problème de la pollution, et plus particulièrement de la pollution de l’air, est lié à l’utilisation excessive de la voiture. Chaque
année, la pollution de l'air fait des millions de victimes, et elle est responsable d'affections graves : troubles respiratoires,
asthme, affections pulmonaires obstructives chroniques, maladies cardio-vasculaires et cancer des poumons, principalement.
Afin d'apporter des réponses efficaces à ce problème, il conviendrait d'agir à deux niveaux : d’une part, sur l'offre, en
promouvant les transports publics (métro, bus, tramway), et particulièrement les moins polluants (métro, tramway), ainsi que
les solutions combinées entre les différents moyens de mobilité ; d’autre part, sur la demande, en sensibilisant les citoyens pour
qu'ils adoptent des comportements de mobilité plus respectueux de la qualité de l'air et de la santé de toute la population. Une
attention particulière doit être portée au problème de la mobilité dans les agglomérations et les villes, ainsi qu'à la mobilité des
loisirs. Les solutions sont multiples et en partie déjà en œuvre basées sur une réduction de la circulation et de la vitesse, mais il
conviendrait de les développer davantage et d'en consolider les synergies. Des solutions plus respectueuses de la qualité de l'air
sont déjà disponibles pour le grand public : moteurs à consommation réduite et moins polluants, véhicules hybrides
(essence-électricité), carburants alternatifs (biocarburants) et moteurs à hydrogène. Enfin, depuis quelque temps la voiture à
moteur hybride est volontiers considérée comme une solution à bien des problèmes, et notamment aux deux nuisances les plus
souvent évoquées lorsque l'on parle de transports : le bruit et les émissions de gaz
Pauvreté et absence d'emploi sont souvent liées : des individus au chômage pendant au moins douze mois appartiennent,
souvent, à un ménage pauvre. Cependant, le chômage n'est pas la seule explication. Certaines causes structurelles contribuent
au développement de la misère : l’augmentation des contrats à temps partiel et/ou à durée limitée, l’élévation des exigences
professionnelles et personnelles lors du recrutement, la pénurie de logements sociaux. Les obstacles à l'insertion professionnelle
des jeunes tiennent pour l'essentiel à l'insuffisance de leur niveau de formation ou à l’inadéquation de cette formation aux
caractéristiques des offres d'emploi ou encore à l'impossibilité d'acquérir une gamme large de qualifications utiles sur un
marché de l'emploi qui réclame sans cesse plus de faculté d'adaptation. Un autre phénomène marquant de notre société
actuelle est la solitude des personnes âgées démunies ou pas. Hier liée à des minorités, aujourd'hui lot commun à des millions
d'individus de tous âges, de tous sexes et de toutes conditions, la solitude traverse désormais de part en part notre société. Les
pouvoirs publics doivent réconforter les personnes âgées par des actions de générosité, d’animation et de médiation. Pour ce
faire, la création d’un lieu d’accueil et d’information, d’un service d’entretien et des relations avec leurs familles et leurs amis
s’impose.
Par la cassure des schémas sociaux, l’étirement de la scolarisation, le renforcement de l’individualité, on assiste à un étalement
de l’âge de la jeunesse bien au-delà des 25 ans. Certes, la longévité de cet état est souvent décrite avec ses aspects négatifs :
anxiété et soucis dus à l’instabilité professionnelle ou aux difficultés des études, poids de la société... Il est vrai que I on
demande beaucoup de qualités aux jeunes qui se débattent dans des paradoxes. En fait, cet âge met en place un enjeu de taille :
à la fois, une recherche d’affranchissement par rapport à l’enfance, et une acquisition de la personnalité, tout en privilégiant la
réussite scolaire dans le but de devenir adulte. Parfois, c’est dur, d’autre fois, c’est facile mais sans intérêt. Mais en général, c’est
une période relativement agréable, contrairement aux poncifs/clichés-stéréotypes en vigueur. En effet, les adolescents disent
apprécier leur vie scolaire moins au travers de l’école qu’au travers de la conquête de la liberté, des rapports sociaux liés à la
connivence des discussions, à l’intimité du groupe, aux amourettes, dans un climat de frivolité. Certes, ils sont prêts à
entreprendre des projets au sein de l'école, tels que la création et la rédaction d’un journal scolaire pour faire entendre leur voix,
les manifestations culturelles ou également les campagnes de bénévolat. Les jeunes trouvent leur bonheur dans un équilibre
entre engagements et abnégations. S'ils arrivent à la stabilité, dans ce cas, ils peuvent s'adonner à des loisirs susceptibles de
devenir une profession, puisque ce qui compte n’est pas forcément le diplôme. Néanmoins, l’objectif final des adolescents est
plus basé sur la réussite scolaire pour assurer l’avenir que sur des principes moraux. La peur de la punition parentale est moins
grande que le risque de l’échec. Peu importe si le jeune est amoureux à condition que cette relation n’atteinte pas à son succès
au bac. Enfin, il faut les aider, par la stabilité de l’emploi, à quitter cet état qui demeure sans nul doute un avantage s’il n’est pas
vécu comme une obligation.