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Academia Bleu Merle – Bruno MILET

28, rue VerlaIne


DALF C1
22600 SAINT BARNABÉ - FRANCE
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DALF C1 – TOURISME

TOURISME ET RESEAUX SOCIAUX

TEXTE 1

Le village autrichien qui a inspiré La reine des neiges n’en peut plus des
touristes

Véritable décor de conte de fées, le petit village autrichien de Hallstatt est


victime du tourisme de masse depuis qu’il a été mis en scène dans La
Reine des neiges, le dessin animé de Disney qui cartonne. Le maire et les
habitants tentent de freiner cette popularité devenue incontrôlable.

795 habitants, et plus d’un million de touristes par an. C’est la malédiction qui s’abat sur
un petit village autrichien nommé Hallstatt, devenu la coqueluche des Instagrameurs en
quête de la photo parfaite à publier sur le réseau social.
Située dans le sud du pays, cette petite commune a été classée site du Patrimoine mondial
de l’Unesco en 1997, en particulier grâce à ses mines de sel, les plus anciennes du monde –
elles furent exploitées dès le Néolithique, il y a plus de 7 000 ans. Mais, enclavé dans la
région alpine du Salzkammergut, Hallstatt n’attirait pas pour autant les foules…
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Ce n’est qu’en 2006, lorsqu’une émission sud-coréenne le met à l’honneur, que le monde
découvre le potentiel féerique de son bourg, avec son grand clocher et ses maisons
couleurs pastels dans un écrin formé par le lac et les montagnes.
Un phénomène encore amplifié depuis 2013 et la sortie du film d’animation star de Disney
Pixar, La Reine des neiges : selon la rumeur, c’est Hallstatt qui aurait inspiré le royaume
d’Arendelle, où se déroule l’intrigue…
Adieu la tranquillité
En dix ans, le petit village montagneux est passé de 100 visiteurs quotidiens à des pics
atteignant les 10 000, principalement en provenance d’Asie. La folie Instagram n’y est pas
étrangère : là-bas, Hallstatt y est surnommé « le village le plus instagrammable du
monde ». Nombreux sont donc ceux à s’attrouper autour des meilleurs points de vue pour
réaliser le parfait cliché.
Sur le réseau social, on peut ainsi trouver plus de 600 000 publications, toutes plus
enchanteresses les unes que les autres, portant le hashtag #hallstatt. Il faut dire que le lieu
illustre parfaitement l’art du hygge, ce mode de vie scandinave chaleureux qui réconforte
même en plein hiver.
Mais la présence de ces touristes par centaines faisant des selfies à la pelle ou utilisant des
drones pour des tournages amateurs n’est pas sans conséquences. Et les habitants
saturent. Les prix ont grimpé en flèche, et ils ont dû dire adieu à leur tranquillité.
Le quotidien britannique The Daily Mail raconte par exemple qu’il arriverait régulièrement
que des touristes entrent dans les maisons de particuliers pour utiliser leurs
toilettes… « Ma mère s’est réveillée un jour avec des touristes chinois qui venaient d’entrer
dans sa chambre », raconte un propriétaire de café.
Une réplique en Chine
Pour faire face à cette situation devenue incontrôlable, le maire, Alexander Scheutz, a tenté
d’agir. Des routes ont été fermées, les drones interdits et le stationnement des cars limité.
« Hallstatt est une composante importante de notre histoire culturelle, pas un musée.
Nous voulons réduire le nombre de touristes au moins d’un tiers, mais nous n’avons aucun
moyen de les arrêter », a-t-il déclaré au quotidien britannique The Times.
À défaut, les voyageurs en quête de paysages pittoresques pourront toujours se rabattre
sur l’autre Hallstatt, à Huizhou. Située dans la province du Guangdong en Chine, cette
réplique a été construite par un magnat de l’immobilier tombé sous le charme du village
autrichien.

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Texte 2
LES RÉSEAUX SOCIAUX : LE MAL DU TOURISME ?

En 2017, 9 Français sur 10 seraient partis en vacances selon l’agence We Like Travel et son
« Etude Social Media des destinations touristiques françaises » publiée fin 2018. A l’heure
où le taux de possession d’un smartphone est en hausse et où les réseaux sociaux s’ancrent
de plus en plus dans les usages (environ 33 millions de Français sont actifs sur Facebook
chaque mois, par exemple), comment le tourisme s’adapte-t-il à cette tendance ?
Les réseaux sociaux : une quasi nécessité pour le tourisme
Sur les 562 destinations françaises étudiées du 1er septembre 2017 au 31 août 2018 pour
cette même étude, toutes animent un compte Facebook, 449 un compte Instagram et 386
un compte Twitter, soit environ 70% du panel. Ce dernier serait plus utilisé à des fins BtoB,
institutionnelles ou pour récolter des avis, tandis que Facebook et Instagram seraient plus
destinés à faire découvrir les destinations aux (futurs) voyageurs et échanger avec un
réseau. C’est Instagram qui recueille le taux d’engagement le plus élevé (8,7%, soit 5 fois
plus que Facebook), car il permet une mise en valeur plus optimale de la destination et
offre aux professionnels du tourisme la possibilité de communiquer par le biais de stories,
dont les plus jeunes sont particulièrement friands. L’importante présence en augmentation
de ces destinations sur les réseaux sociaux traduit une modernisation du secteur qui
cherche à atteindre une cible plus jeune, notamment celle des millenials. Ils seraient en
effet un individu sur deux à être influencés par les réseaux sociaux pour choisir leur lieu de
vacances.
Les réseaux sociaux s’inscrivent dorénavant dans toutes les étapes du voyage. D’après une
étude réalisée par Next Content pour Expedia en 2018 auprès de 1 480 voyageurs réguliers
français, ils permettraient de choisir une destination, choisir les activités sur place ou
encore l’hébergement, avoir accès à des retours d’expériences et bons plans,
communiquer et poster des photos souvenirs à destination du réseau. En effet, 23% des
voyageurs connectés reconnaissent avoir été influencés par leurs lectures sur les réseaux
sociaux, 25% vis-à-vis des activités à faire sur place et jusqu’à 29% pour l’hébergement. Ces
chiffres sont encore plus élevés pour les 18-24 ans dont 48% affirment être influencés par
les réseaux sociaux pour le choix de destination. Ce sont également eux qui sollicitent le
plus leurs contacts pour demander des conseils (49%) – pour seulement 19% chez les plus

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de 65 ans -, et qui modifient leur voyage suite à des échanges sur les réseaux sociaux (43%
contre 11% chez les plus de 65 ans). Une fois les vacances débutées, les réseaux sociaux ne
sont pour autant pas délaissés, avec 86% des Français qui emportent leur smartphone et
40% d’entre eux qui consultent Internet quasiment tous les jours. Ils sont alors 60% à
publier des photos depuis leur lieu de vacances sur Facebook, puis 24% sur Instagram et
Snapchat, et enfin 12% sur Twitter. Toutefois, la consommation de ces réseaux sociaux
n’est pas égale selon les tranches d’âges : Snapchat et Instagram sont préférés par les 18-
24 ans (55% et 40%) mais performent moins que Facebook auprès des plus âgés. Enfin, au
retour de vacances, les internautes de tout âge sont 67% à publier leurs photos sur
Facebook. Une fois encore, Instagram et Snapchat se démarquent auprès des 18-24 ans
avec respectivement 43% et 38% d’entre eux qui postent leurs photos.
Les réseaux sociaux, c’est donc une étape qui devient de plus en plus nécessaire pour les
professionnels du tourisme, pour capter les individus les plus jeunes mais aussi s’adapter
aux usages changeants, où le smartphone et le digital prennent une part de plus en plus
importante.
Les réseaux sociaux, responsables des effets néfastes du tourisme ?
Pourtant, certains réseaux sociaux comme Instagram notamment, se voient de plus en plus
blâmés au regard de l’effet néfaste qu’ils auraient sur l’environnement et la vie locale.
Selon une étude menée par l’institut de recherche One Poll pour le compte d’Edreams
Odigeo et dévoilée en avril 2019, 42% des voyageurs français réserveraient leur séjour en
prenant en compte le potentiel « instagrammable » de la destination.
Est souvent associé à cette tendance le terme « égo-tourisme » désignant le fait de voyager
en priorisant les photos, par exemple, afin de montrer aux autres que « on y était ».
Certains sont mêmes prêts à tout pour alimenter leur feed Instagram de ces clichés jugés
parfaits, comme récemment un touriste saoudien, qui s’est noyé dans le Nil en voulant
prendre un selfie. Pour autant, les réseaux sociaux sont-ils les seuls responsables ?
Rappelons que le film « La Plage » avec Leonardo DiCaprio a provoqué un afflux conséquent
de touristes en Thaïlande dont la plage, dégradée, est désormais fermée au public jusqu’en
2021. De même, certains lieux comme la Muraille de Chine ou encore le Machu Picchu se
voyaient déjà abîmés par le tourisme de masse bien avant l’essor que l’on connaît des
réseaux sociaux.

C’est donc l’utilisation parfois à la dérive qui pourrait être à blâmer. A l’instar de l’ONG
WWF, peut-être faudrait-il sensibiliser les utilisateurs ? Celle-ci lance en effet une

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campagne cet été visant à lutter contre le tourisme de masse pour protéger
l’environnement, via un système de localisation fictive. Plutôt que d’indiquer le lieu
géolocalisé au-dessus de la photo, les utilisateurs peuvent désormais inscrire « I protect
nature », renvoyant au siège de l’ONG en France, les lieux précis restant ainsi cachés.

Texte 3
En Islande, un village submergé par les touristes

Bienvenue à Vik, 572 âmes, 1,2


million de visiteurs attendus en 2017
: le village fait face au cyclone
touristique qui s’est emparé de toute
l’île.
Par Olivier Joly Publié le 02 juin 2017

C’est un village niché au pied de


collines verdoyantes, bordé de
falaises où volettent les macareux : dix rues, des maisons colorées et une petite église
blanche sur un promontoire, vue plongeante sur l’océan. Par-delà une langue de sable noir,
la silhouette d’étranges piliers de basalte se découpe à l’horizon.
Ce sont eux qui font la renommée du bourg, dont la plage est souvent classée parmi les
plus belles du monde. En se retournant, la vue porte sur le glacier Myrdalsjökull, qu’on
pourrait presque toucher par temps clair. Bienvenue en Islande, à Vik, 572 âmes,
1,2 million de touristes attendus en 2017.
A la sortie du village, le long de la route circulaire qui fait le tour de l’Etat insulaire sur 1 339
kilomètres, trois autocars déversent leurs passagers à doudounes, tout sourire, à la porte
du magasin de souvenirs. Devant la station-service, c’est un ballet incessant de voitures :
en mars, il en est passé près de 3 000 par jour en moyenne. Il y a encore cinq ans, le touriste
était pourtant une espèce essentiellement estivale, comme la sterne.
A seulement 186 kilomètres de Reykjavik, Vik était l’étape idéale sur la route du Sud et ses
merveilles naturelles : plages, cascades, glaciers, icebergs. Mais d’octobre à juin, sous un
ciel souvent maussade, le village hibernait.
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Inutile de chercher une chambre pour l’été
C’est un temps révolu. A l’office du tourisme, Beata Rutkowska travaille à un nouveau plan
du bourg. De nombreuses adresses sont à modifier : « Ici vont s’ouvrir deux chambres
d’hôte. Là, nous allons mettre en service une tyrolienne. Le loueur de chevaux a changé de
place, pour avoir des écuries plus grandes. Voici un nouveau restaurant. Et deux guides qui
proposent des randonnées sur le glacier. »
La boutique, déjà vaste, va encore s’agrandir. Deux hôtels vont augmenter leur capacité.
Un autre ouvrira en 2018.
Vik et ses environs proches disposent à ce jour de 1 800 lits. Mais inutile de chercher une
chambre pour le pic de l’été. Rien n’est disponible à moins de 50 kilomètres. A 400 euros
la nuit minimum, pour une famille de quatre.
Le village fait face au cyclone touristique qui s’est emparé de toute l’Islande. L’île accueillait
400 000 visiteurs en 2006. Elle en a reçu 1,7 million en 2016. Les prévisions pour cette
année font état de 2,3 millions. La moitié de ces voyageurs, au moins, transitent par la
commune, qui compte plusieurs spots touristiques : la plage de Reynisfjara, les glaciers
Solheimajökull et Myrdalsjökull, le cap de Dyrholaey…
Et même, curieusement, l’épave d’un avion américain qui s’est crashé sur le sable noir
en 1973. Exaspérés de voir les voitures tourner sur la propriété pour retrouver la carcasse
du DC3, les propriétaires en ont fermé l’accès. Désormais, il faut marcher une heure pour
prendre cet étonnant cliché.
Une manne touristique
A la municipalité de Vik, le tourisme est devenu un sujet majeur. Pour dire, il a relégué au
second plan l’agriculture. Asgeir Magnusson a été le premier maire de l’île à prendre une
mesure forte : l’interdiction aux propriétaires de proposer l’ensemble de leur logement sur
les sites de location saisonnière, à des tarifs prohibitifs, afin de ne pas étrangler le marché
locatif, déjà très réduit.
Pour l’essentiel des habitants, le tourisme est une manne. Les plus chanceux sont ceux qui
ont vendu des terrains aux hôtels. Nombre de fermiers ont réhabilité de vieux bâtiments
pour en faire des chambres d’hôte. Des jeunes se proposent comme guides, dans diverses
activités (randonnée, cheval, marche sur glace, scooter des neiges…).
Pour certains, la vie a complètement changé. Halla Olafsdottir était maîtresse d’école. La
voici restauratrice. Avec quatre propriétaires terriens des environs, elle a ouvert le Black
Beach Restaurant, sur la plage de Reynisfjara. « L’idée de départ, c’était que les touristes
aient des toilettes. Mais nous avons vu plus grand », dit-elle, désignant fièrement le sol et

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les murs en matières volcaniques. Elle a attendu la fin du coup de feu de midi pour s’asseoir.
En 2015, son établissement tournait avec quatre employés. Ils sont aujourd’hui quatorze.
Augmentation des accidents de voitures
Qu’ont changé ces visiteurs de toutes nationalités ? Son visage se ferme. Le
15 février 2016, elle a dû faire face à la détresse d’une touriste chinoise, dont le mari venait
d’être emporté par une vague. Reynisfjara est connue des locaux pour la traîtrise de ses
eaux. Après cet accident, des policiers ont été placés en faction sur la plage, en attendant
que soient fabriqués des panneaux prévenant du danger.
Las, le 9 janvier de cette année, une Allemande a péri sur une plage voisine. Ce même jour,
le fils de Halla, qui déjeunait pour une fois au restaurant, a plongé dans les eaux à 3°C pour
sauver une enfant.
Exaltés par la beauté de l’Islande, les visiteurs en oublient parfois les règles de prudence.
Sur la route, les accidents impliquant des conducteurs étrangers ont augmenté de 80 %
entre 2015 et 2016, selon les autorités. Les routes sont piégeuses. Et on ne compte plus les
véhicules arrêtés n’importe comment, le temps de photographier un cheval ou une aurore
boréale.
« C’est le tourisme qui nous a sauvés de la crise »
« Avant, on laissait tous la porte ouverte. Certains la ferment désormais car on ne connaît
plus tout le monde. » Kolbrun Hjörleifsdottir, gérante d’une chambre d’hôte
Désormais, il vend ses magnifiques photos d’aurores boréales sur clé USB à la boutique. En
attendant le jackpot : il a mis en vente 150 km2 de terres, qu’il possède avec ses sœurs.
Elles incluent la superbe montagne-table de Hjörleifshöfdi, au sommet de laquelle ses
grands-parents sont enterrés, aux côtés d’un des plus anciens colons de l’Islande
(IXe siècle).
Effets sur l’environnement
La vague touristique va continuer à déferler. Vingt-six compagnies aériennes desservent
l’Islande. Le cinéma popularise ses lieux naturels. Les réseaux sociaux sont dithyrambiques.
Les Chinois en nombre exponentiel. Par ailleurs, en raison des prix élevés, qui vont encore
croître avec la hausse de la TVA en 2018, les séjours plus courts (3,8 jours en moyenne)
favorisent les destinations faciles d’accès au détriment du tourisme-aventure.
Faute de pouvoir limiter l’afflux, Vik veut au moins contrôler ses effets sur l’environnement.
Notamment grâce au classement de la commune au sein du Katla Geopark (du nom du
volcan tapi sous le glacier Myrdalsjökull) de l’Unesco. A l’office du tourisme, Beata
Rutkowska est heureuse de présenter les tout nouveaux panneaux interdisant de marcher

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sur les mousses, à proximité des zones de nidification, ou de pratiquer le camping sauvage.
Ils seront installés avant l’été.

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Essai argumente:

700 MOTS MINIMUM


Sujet: Vous habitez Paris, dans un quartier touristique et quotidiennement, vous devez
supporter le manque de civisme des touristes de plus en plus nombreux avec
l’augmentation des appartements locatifs. Les publicités faites par les touristes sur les
réseaux sociaux augmentent également la pression sur la ville et sur ses habitants.
Vous décidez d’écrire une lettre ouverte au Maire de la ville pour lui signifier le ras-le bol
de la population, et pour lui rappeler les conséquences environnementales négatives de
cet afflux pour la ville Vous l’inviter à prendre des décisions draconiennes pour que votre
quartier retrouve une certaine sérénité Vous présenterez un texte structuré et argumenté
d’exemples précis.

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